
Ces matériaux peuvent être des morceaux de feuilles, pulpe de feuilles mâchée, des poils végétaux
(parfois complétés de matière collante de souches de trichomes ou foliaire (Muller, 1996 c), de la
résine, des cailloux, de la boue, etc.
Une doublure sécrétée semble être absente chez quelques Megachilidae (Heriades spiniscutis
(Cameron) (Michener, 1968b) (figure 3) ; les osmies (Metallinella) (Radchenko, 1978) ; Megachile
(Sayapis) policaris Say (Krombein, 1967). Les cloisons entre les cellules sont parfois ou toujours
omis, de sorte que les larves sont élevées dans un espace commun avec des masses alimentaires
séparés ou contigus.
une ou de plusieurs cellules en : résine, résine et de cailloux, pulpe de feuilles ou de la boue. Sur
les surfaces des rochers, les murs, les tiges ou les feuilles comme chez le genre Anthidiellum.
e de résine exposée sur une feuille, tige
ou surface rocheuse, et le cas de la plupart des espèces de Dianthidium et de Megachile dont les nids
Ceux de Dianthidium sont faits de cailloux dans une matrice de résine (figure 2), tandis que ceux des
labiales, puisque ce genre se caractérise par leurs glandes agrandies) qui rend le nid hydrophobe et
capable de résister à la pluie (Kronenberg & Hefetz, 1984 b). Les nids de Lithurgus sp sont creusés
dans du bois mort.
Les Osmies utilisent de la terre ou bien des végétaux mastiqués pour cloisonner leur nid,
les mégachiles des découpures de feuilles, les espèces du genre Heriades de la résine de conifère
(figure 3), quant aux Anthidiums, ils utilisent des poils laineux de plantes (Tasei, 1984).