dopants sont bien choisis cette émission lumineuse se fera dans une gamme chromatique donnée. Visible ou pas,
monochromatique ou pas.
Le luxéon reprend cette technologie avec une différence sur la technique d’encapsulation. Au moment où la
jonction PN dopée est sous le gel spécial on a créé un vide très poussé. Cela autorise une température de
fonctionnement supérieure à celle d’une LED classique.
Voir les petits dessins au-dessus.
Qui dit température de fonctionnement élevée, dit chaleur à évacuer. C’est le rôle du support (substrat) en
alumium. C’est un des problèmes du luxéon.
Les caractéristiques électriques de fonctionnement du modèle retenu sont données sur la figure ci contre.
La diode doit être parcourue par un courant de 350 mA et
supporter une ddp (différence de potentiel) de 3.3V
environ. Ces 2 paramètres définissent le point de
fonctionnement.
Si vous relisez le début de cet article vous comprendrez
très vite, que les piles ou les accus chargés de fournir
l’énergie à la diode, sont incapables, par un branchement
direct, d’assurer un maintien à ce point de
fonctionnement. La solution rustique mais fonctionnelle
consiste en l’utilisation d’une résistance. Bien sûr cette
solution à des limites. Principalement deux :
La résistance provoque une perte d’énergie (effet
Joule). Perte que vous n’aurez pas dans votre système
d’éclairage.
Quand la tension de votre pile passe en-dessous du
seuil de fonctionnement du luxéon adieu lumière..
Pour améliorer le rendement de l’adaptation source
d’énergie vers luxéon nous utiliserons un circuit
électronique appelé driver, dont le rôle est de maintenir le
point de fonctionnement du luxéon dans un intervalle de 1
à 7 volts.
Voilà comment peut arriver le matériel à la commande.
Nous avions commandé le même ensemble moins les piles et le boîtier.