1. De la théorie...
Les prédictions du GIEC sont basées, tout le monde le
sait, sur des modélisations numériques qui consistent à
construire un ensemble de fonctions mathématiques
décrivant l’évolution du climat. En modifiant les variables
de départ, on peut ainsi prédire les modifications du
système physique. En principe.
Le catastrophisme climatique ambiant est basé sur des
modélisations numériques qui restent théoriques mais qui
tendent toutes, quelques soient les scénarios, vers une
Terre surchauffée.
Sauf que rien ne vaut les observations concrètes
sensées, pour ce qui concerne le climat, confirmer la
théorie soutenue par le GIEC via ses simulations.
2. A la pratique.
Et là, les choses se compliquent. En effet, la divergence
observations/modélisation s’aggrave d’année en
année.
Les relevés de températures globales obtenus à partir de
mesures effectuées par les satellites dédiés de la NASA
et par des ballons sondes lâchés dans l'atmosphère
n’enregistrent aucune augmentation de la température
moyenne globale depuis 1997 malgré l’explosion des
émissions de CO2.
Rappelons que cette pause n’a jamais été envisagée
dans les modélisations du GIEC.
nom féminin, (latin divergentia).
Situation de deux lignes, de deux rayons qui vont en s'écartant.
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/divergence/26134