Source : http://www.humour-felin.com/fonds-ecran-chat-6-all-chaton-piege-dans-un-bocal.html
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Les savoirs essentiels suivants sont traités dans cette situation d’apprentissage :
Anglicismes lexicaux et orthographiques
Groupe verbal : - reconnaissance
- accord du verbe avec le sujet
Phrase impérative affirmative
Pronom personnel : reconnaissance de la personne grammaticale
Le savoir essentiel suivant est réinvesti dans cette situation d’apprentissage :
Référent du pronom
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Connaissez-vous l’expression « faire courir le poisson d’avril » ?
Au Québec, on l’emploie depuis 1749. À cette époque, elle avait le sens de « faire
marcher quelqu’un ». En fait, les blagues consistaient surtout à envoyer des enfants ou
des adolescents à la recherche d’objets bizarres : une corde à virer le vent, un bâton sans
bout, etc.
Aujourd’hui, on colle de petits poissons en papier dans le dos de nos amis ou bien ce sont
les médias qui en profitent pour annoncer de fausses nouvelles plutôt originales que l’on
présente d’une manière très sérieuse pour faire croire qu’elles sont vraies.
À vous maintenant de vous plonger dans l’univers du canular. Soyez vigilant(e), car c’est
peut-être vous qui mordrez à l’hameçon.
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Préparation
Lisez l’adaptation de cet article de Dominique Lemoine intitulé Poisson d’avril pour les
nuls, qui est paru sur le site www.lesaffaires.com. Il porte sur le fait que les blagues du
1er avril sont plutôt bien reçues par les travailleurs de différents milieux de travail.
Poisson d’avril pour les nuls
Bouffons réjouissez-vous, car environ trois milieux de travail sur quatre voient d’un bon
œil les farces et pitreries du 1er avril. Attention toutefois de ne pas franchir les limites
nécessaires au maintien d’un climat de franche camaraderie.
Un récent sondage commandé par Workopolis révèle que les travailleurs québécois
accueillent favorablement la journée du 1er avril. Parmi les répondants, 76 % soutenaient
que les blagues de bon goût étaient acceptées ou encouragées dans leur milieu de travail.
Pour aider les facétieux à discerner ce qui est permis de ce qui ne l’est pas dans leur
propre milieu de travail, Workopolis a élaboré un guide 101 sur l’humour au travail. Il
leur suggère d’identifier les personnes à ne pas trop taquiner, de connaître les limites au
bon goût, de savoir reconnaître le moment opportun, de savoir quoi faire s’ils vont trop
loin avec la mauvaise cible et enfin de connaître la culture de leur entreprise.
Pour 41 % des Québécois, l’humour au boulot serait un bon moyen pour réduire la
pression et gérer le stress. Par ailleurs, 40 % croient que l’humour est un outil efficace
pour renforcer l’esprit d’équipe et les bonnes relations avec les collègues.
Par contre, « il existe une limite à ne pas dépasser et les travailleurs devraient la
connaître, puisque les blagues déplacées peuvent nuire à une carrière », soutient Bruno
Gendron, vice-président chez Workopolis pour la région de l’Est du Québec.
Dominique Lemoine
lesaffaires.com
31 mars 2008
Source autorisée : Lesaffaires.com
1. Décrivez en deux ou trois phrases complètes ce qui est pour vous une blague de bon
goût que vous pourriez jouer à un collègue de classe ou de travail.
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2. Décrivez en deux ou trois phrases complètes une blague de mauvais goût que vous
n’aimeriez pas vous faire jouer.
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3. Faites-vous partie des 40 % des Québécois qui croient que l’humour est important
pour maintenir de bonnes relations entre collègues (au travail ou à l’école) ?
Expliquez votre point de vue en deux ou trois phrases complètes.
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Réalisation
Écouter la radio fait partie du quotidien de plusieurs personnes. Êtes-vous de ces gens qui
vous levez au son de votre radioréveil ou qui allumez votre radio dès que vous démarrez
votre voiture ? L’écoutez-vous au travail ?
Peu importe le nombre d’heures par semaine que vous passez à l’antenne de votre station
préférée, une grande question demeure : l’écoutez-vous vraiment ? Êtes-vous attentif(ve)
aux propos des animateurs ? Fredonnez-vous les paroles de vos chansons favorites ?
Tendez-vous l’oreille lors des bulletins de nouvelles ?
Activité d’écoute
Voyons si vous êtes un(e) auditeur(trice) suffisamment averti(e) pour être capable de
découvrir le mensonge qui se cache dans ce bulletin de nouvelles.
Ouvrez le fichier MP3 de la page d’accueil de cette situation d’apprentissage. Puis, faites
l’écoute du bulletin de nouvelles à trois (3) reprises. Les écoutes doivent se faire sans
pauses. Notez, sur la grille d’écoute, les informations qui vous semblent vraies et celles
que vous croyez fausses.
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