TermES SES
Lycée Verlaine Mr Guichard
a)_ L'analyse "néo-classique" de départ se situe dans le cadre de la
"croissance extensive" :
1. "Accumulation des facteurs" et "rendements décroissants" :
α Un "modèle à 2 facteurs", "substituables" (# du "modèle à 1 facteur" des "Classiques") :
β Une représentation sous la forme d'une "fonction de production" (ex : "fonction Cobb-Douglas") :
γ Une "accumulation de facteurs", qui débouche sur une "croissance extensive" :
δ Une hypothèse de "rendements décroissants" (déjà présente chez Ricardo) :
2. L'hypothèse inverse, celle des "rendements croissants" ; grâce aux "économies d'échelle" :
3. Le problème du "résidu" : ce modèle néo-classique ne permet d'expliquer qu'une (petite) partie de
la "croissance réelle" (mesurée par le "TCAM" du "PIB") :
b)_ La croissance "intensive" et "exogène" : (= l'analyse néo-classique
améliorée : le "modèle de Solow", 1956) :
1. "L'accumulation du capital" augmente "l'efficacité du travail" :
2. Intégration de la "qualité des facteurs", mais le Pb du résidu subsiste :
3. Intégration du "progrès technique " et explication du "résidu" :
4. Trois problèmes subsistent cependant :
c)_ La croissance "intensive" et "endogène" : (= l'amélioration décisive
des "néo-libéraux" : le "modèle de Romer", 1986) :
1. Différents constats empiriques à l'origine de ces théories :
2. Un progrès technique "endogène", qui repose sur 4 facteurs :
α Le "Capital physique" de P. Romer et les "externalités entre firmes" :
β Les investissements en "R/D" et la notion de "biens publics" (= "biens collectifs") :
γ Le "capital humain" de G. Becker :
δ Le "capital public" de R.J. Barro :
3. Quelques conséquences de cette nouvelle approche :
3)_ Synthèse sur la notion de "productivité" :
a)_ Présentation générale de la notion de "productivité" : (cf : TD N°8)
1. La "productivité", ce n'est pas :
α La "compétitivité" :
β La "rentabilité" : (cf : TD N°9)
2. C'est un rapport, donc il dépend de 2 évolutions différentes :
α Des évolutions de la "production" (productivités "en valeur" ou "en volume" ; productivité de la "VA"
plutôt que de la "PT" ; productivités des "PME" ou des "Gdes E") :
β Des évolutions de la "PAO" (productivités "par tête", ou "horaire" ; facteur L non homogène) :
3. Etudes en termes de "niveaux" et/ou "d'évolutions" :
α Etudes en termes de "niveaux" : les "niveaux de productivité" ("micro" ; "méso" ; "macro") :
β Etudes en termes "d'évolutions" : les "gains de productivité" :
4. 4 façons concrètes d'obtenir les "gains de productivité" :
b)_ Trois analyses spécifiques de la notion :
1. On peut mesurer différentes "sortes de productivité" :
α Selon le "modèle à 1 facteur" des "Classiques" : "productivité du travail" :
β Selon le "modèle à 2 facteurs" des "Néo-classiques" : "productivité apparente" (du L ou du K) :
γ Selon la "Théorie de la croissance endogène" : "productivité globale des facteurs" :
2. Les analyses "sectorielles" de la "productivité" :
α La "productivité" prend un sens différent selon le "Secteur" étudié (I & II ; III march./non-march.) :
β 2 "répartitions par Secteur", différentes (/ à la "PAO" ; / au "PIB") témoignent de la "productivité
différentielle par Secteur" :
3. Les "comparaisons internationales" de productivité :
α Les évolutions "à LT" de la "productivité" dans les "pays développés" :
β La "productivité différentielle" par "secteurs" et par "pays" :
c)_ J. Schumpeter et la "productivité" :
1. Rappels sur les "cycles longs" :
α Les "vagues d'innovations" :
β La "destruction créatrice" (v. Dossier & mini TD) :
2. Des "vagues" aux "grappes" :
α Innovations "radicales" ou "incrémentales" :
β Les "grappes d'innovations" :
(En guise de) conclusion : le "paradoxe de Solow" :