Typeur : Cédric.U , David.F Correcteur : Edouard.B
Description de la trame vasculaire :
Au centre on peut reconnaitre les veines pulmonaires des artères pulmonaires, dans les 2/3 latéraux la
différenciation n’est plus faisable.
Quand on est debout il y a une différence de pression hydrostatique. Au sommet du poumon la pression
alvéolaire est supérieure à la pression artérielle, elle-même supérieure à la pression veineuse, tandis qu’à la
base du poumon on a Partérielle > Pveineuse > Palvéolaire.
Ainsi la circulation se fait très peu au sommet, on perfuse plus la base pulmonaire, tandis que le sommet sert
plus de réserve pour l’effort. Donc à l’état normal les vaisseaux qui vont au sommet sont plus petits que
ceux de la base pour une même distance latérale par rapport à la ligne médiane.
Lorsque l’on se couche tout s’égalise.
II. Parenchyme Pulmonaire
a) Radiographie standard :
Les Bronches :
Les bronches sont visibles si les rayons X sont tangents à la paroi sur la radiographie de face.
On a 3 descriptions :
Clarté annulaire si le trajet est antéro-postérieur
Clarté en rail si le trajet est transverse : c’est le signe du canon de fusil
Opacité ronde dû à la présence de l’artère pulmonaire satellite : c’est le signe de la jumelle
Le calibre de la bronche peut augmenter quand on a une pathologie inflammatoire ou quand on a une
pathologie de l’interstitium pulmonaire.
Les espaces clairs :
Les espaces clairs sont au nombre de 4, visibles sur la radiographie de profil, s’ils s’opacifient ils permettent
de déceler des pathologies, notamment les masses :