L’anthropologie
L’anthropologie s’intéresse à l’abréviation dans le contexte culturelle, politique, économique,
ethnographique …etc
Pour l’anthropologie, l’homme n’existe pas en soi, tout est toujours relatif à un contexte. Dès lors,
rien ne va de soi, rien n’existe en soi.
Différence à la philosophhie on est à l’observation de la réalité, mise en relation du contexte et pas
de sn propre pt de vue sur les choses.
Les idées st retravaillées, tt est remis dans le contexte, tt est remis à niveau.
Les anthropologues s’intéressent à des ethnies lointaines (un style exotique).
Pendant longtemps l’anthropologue était plutôt penché sur les pays exotiques.
Notre démarche consiste d’abord à nous étonner de ce qui est familier et à rendre plus familier ce
qui nous est étranger (religion, comportement, croyances, etc…).
Va et vient permanent entre le terrain et la réflexion théorique/ et entre soi et l’autre et en ayant bien
à l’idée que soi-même est l’autre aussi.
Tt ce que l’on pense et fait ne vient pas de soi.
On pourrait dire que l’anthropologie est un exercice de décentrement (de ce qui va de soi).
A partir de cette idéologie évolutionnistes les recherches vont s’orienter vers plusieurs thèmes :
l’apparenté (question de la famille, du mariage, d’une l’alliance), des structures politiques et
économique et dans le domaine de la religion (les évolutionnistes appellent cette dernière la magie).
Les anthropologues de la période sont certains d’anciens religieux, donc pour eux la science…
Selon Tylor la croyance animisme (notion de l’âme) est vouée à un principe spirituel, cette croyance
provient d’une exigence spontanée universelle d’un esprit humain, qui emmène l’homme à
s’interroger sur la cause des phénomènes inexpliqués (Ex : catastrophe naturelle, ou une maladie)
cette cause serait attribuée à un principe spirituel animant toute chose humaine. C’est la forme
primitive de la religion. Et la forme la plus évoluée est le monothéisme. C’est à partir de cette
recherche que toute l’anthropologie va se fonder, néanmoins il y a des notions qui continuent
malgré les critiques d’être réutilisé dans l’anthropologie religieuse.
Dans le domaine de l’apparenté on a Morgan Mc Lennan et Bachofen comme auteur, c’est en fait
l’étude des relations entre parent. Soit des « consanguin » (personne de la même famille,
descendant…) ou que ce soit des « affins » qui sont des parents en relation d’alliance (mariage).
Les anthropologues commencent à réfléchir sur cette notion de parenté et remarquent qu’il n’y a pas
un seul domaine de parenté (comme de religion,…) cette notion varie d’une culture à l’autre, le lien
de consanguinité qui importe c’est une relation matrilinéaire (mère-enfant), le père est plutôt dans
une relation d’alliance. Modèle bilatérale : deux parents. Les évolutionnistes font l’hypothèse qu’il
y aurait une…
Ils inventent le mythe, remplacé par le modèle du patriarcat
Ils observent que dans certaines sociétés qu’ils qualifient de primitive, les rapports de parenté
structurent celle-ci. Soit il y a la règle de l’exogamie (obligation de se marier en dehors du groupe
consanguin) et la règle de l’endogamie (obligation de se marier au sein du groupe consanguin :
inceste)
Morgane observe qu’il y a des différences, système de nomination et de dénomination. Il existe des
systèmes de terminologie, des systèmes d’appellation des parents qui sont de type
classificatoire (ex : terme père va signifier la relation paternelle, mais aussi le frère du père), dans
les systèmes descriptifs chaque parent est désigné par un seul terme.
3 stades principaux d’’évolution : barbare, civilisé et
4 types d’organisations politiques :
société caractérisé par la promiscuité (pas de système de parenté),
caractérisé par un système de groupe matrilinéaire
et de groupe patrilinéaire,
l’invention d’état et de la propriété privée (véritable organisation politique)
Les critiques sur le courant évolutionniste sont nombreuses, en même temps il faut reconnaitre que
le travail d’anthropologue de cette époque va fonder les grands thèmes de l’anthropologie.
Les anthropologues évolutionnistes ne sont pas partis sur le terrain, ils copient des données qui
sont écrit par d’autre (il reste chez eux ou vont à la bibliothèque).
Courant d’illusionniste (fin du XIXe début du XX)
L’idée c’est d’écrire d’un point de vue historique comment les autres ont fait dans le temps et de
voir l’évolution qu’il y a eu dans l’espace. Leurs idées sont que l’esprit humain n’est pas si créatif
que sa et que les grandes avancées se diffusent ailleurs. Chaque humains allaient nécessairement
passer par tel ou tel stade même si pour certain il fallait prendre beaucoup plus de temps ; Pour eux
au contraire la question des changements de l’évolution est une question de contact culturel de
diffusion, par contact accidentelle. Toujours cette ambition de dresser un tableau récapitulatif de
toutes les sociétés du monde, sans avoir un détail bien précis de toutes celle-ci. Toujours l’idée
sous-jacente que l’humanité tend vers une sorte de progrès ou vers une espèce de déchéance, mais
en tout cas toujours l’idée d’un processus évolutif par ce biais là que les illusionnistes étudient
l’histoire.
FONDATEUR DE LA DEMARCHE ANTHROPOLOGIQUE
Ces fondateurs Franz Boas (1858-1902), Bronslaw Malinowski (1884-1942).
Franz Boas est un des premiers anthropologues à part entière qui va mener des études de terrain
permettant d’approfondir son étude, une attitude à la fois de curiosité et de respect pour ceux qu’il
étudie. Il est né en Allemagne en 1858 et fait des études de maths et de physique sur la couleur de
l’eau ce qui signale déjà sa curiosité et son originalité. Autour de sa carrière il va faire de nombreux
voyages chez les amérindiens (les indiens du nord du canada) et il fera sa carrière d’anthropologue
aux E-U où il immigre en 1987 pendant sa carrière il fera des positions politiques… A 25 ans il fait
un voyage au nord du canada chez les innuites (les eskimo) avec l’idée d’étudier (encore en
géographie) l’influence de la géo sur… Sur place il s’intéresse moins à la géo mais plutôt à la
culture des gens qui l’entourent, pour lui les conditions de climat sont moins importante que les
habitudes de vie, et la langue de ceux qu’ils étudient ; il fera beaucoup d’autre voyage dans le nord
du canada dans beaucoup d’autre groupe d’amérindiens, il pense que tout détail est important, il va
apprendre cette notion à ses étudiants, une attitude de travail à tout noter, tout observer, car tout
pour lui est digne d’intérêt, qui poussent à penser que les autres sont des professeurs. Il pense que
pour retenir de bonnes informations il faut apprendre la langue sur le terrain, c’est mieux de
connaitre cette langue pour lui d’où ces écrits sur les langues très rare des amérindiens.
A partir de toutes ces observations il va chercher à reconstituer à partir de tous ces éléments que
tout prend forme ensemble, il va rassembler tous ces éléments, tout est à considérer comme un tout.
Chaque culture est le fruit d’une interaction particulière de l’homme. C’est le fruit d’un
développement qui est spécifique à un groupe particulier, le fruit d’un développement autour duquel
les hommes ont élaboré leurs conditions de vie par rapport aux questions qu’ils ont pu se poser ; il
rejette l’idée évolutionniste que l’on peut comparer les cultures entres elles de manière à avoir un
regard pseudo- historique. Il revendique la spécificité de chaque culture ; chaque élément de culture
doit être mis dans son propre contexte.
Vision holiste de la culture
Il s’intéresse à la question de l’histoire, et la question de la diffusion au sein d’une même aire
culturelle.
Beaucoup d’ethnographie, jamais d’analyse théorique à partir de ces recherches, il ne voulait pas
faire trop de théorisation, il craignait de perdre de vue ces spécificités de chaque culture, perdre de
vue ce qui pour chaque culture constituait un point de vue sur le monde, pour lui c’est irréductible.
Il va donner naissance au courant de l’anthropologie culturaliste, c’est ce courant
d’anthropologie américain qui se développera à partir du XXè siècle.
Bronslaw Malinowski il prône l’anthropologie anglaise, il se rend à Londres pour débuter ces
études d’anthropologie, et au début il fait une thèse d’anthropologie qui porte sur les aborigènes
d’Australie qui l’amène à réfléchir sur le thème de l’apparenté puis il se sent frustrer parce qu’il
n’est pas parti sur le terrain. Il décide donc en 1915 de partir en Australie ( ou il y a la guerre) il se
trouve assigné à résidence ou il y reste pendant toute la guerre, c’est une opportunité pour lui
d’enquêter sur le terrain ; il fait des recherches notamment dans les îles Trobriand qui sont à l’est de
la guinée, il publie « les argonautes du pacifique occidentale » (1922) ; il partage avec Boas
beaucoup de point commun en particulier que chaque culture forme un tout distinct et l’idée que
toutes les cultures sont égales aux valeurs mais plus que Boas il va s’élever contre les attitudes
évolutionnistes, il dénonce avec beaucoup de virulence le faible des évolutionnistes pour
l’exotisme, et de la sauvagerie toujours considéré comme malsain ; il montre au contraire la
nécessité d’étudier empiriquement les faits dans la vie quotidienne, des institutions qui sont
finalement en apparence proche de soi, des systèmes avec lesquels il est possible de se familiariser ;
contrairement à Boas il ne pense pas que les reconstitutions historiques ne peuvent pas expliquer la
construction d’une société dans le présent, une organisation dans sa logique à l’œuvre dans le
présent à travers ces règles ces institutions qui sont sensé répondre à des… précises ; c’est le
premier à ériger l’expérience de terrain, comme partie prenante à part entière et comme une attitude
noble, c’est lui qui formalise ce qui est appelé « lui-même » mais après « lui » ; l’idée est qu’en
étant sur le terrain l’anthropologue peut oublier ces propres références culturelles en même temps
qu’il en apprend d’autre donc sa lui devient familier ( méthodologie permettant d’éviter
l’ethnocentrisme).
Ils appliquent lui a la langue et qui s’appliquera a d’autre domaine telle que la structure sociale avec
d’autre anthropologue.
La notion de parole c’est l’acte de parler d’une personne réelle dans le contexte d’échange
linguistique tandis que la langue désigne la structure linguistique et notamment la grammaire de la
langue par extension on dira que l’on compare la langue à la structure d’une culture alors que la
parole c’est la question des comportements d’individu dans un contexte de parole particulier.
Une autre distinction très importante c’est celle entre notion de signifiant et de signifié, le signifiant
c’est le mot qui regroupe un assemblage de lettre de syllabes ou encore de symbole tandis que le
signifié c’est le contenu ce à quoi le mot symbole renvoie. Ces deux éléments qui sont associés
forment ensemble ce que l’on appelle :<le signe et le propre de cet objet particulier c’est d’être
arbitraire. Les symboles prennent sens au sein d’un contexte particulier. Les relations entre symbole
et symbolisme sont culturellement déterminée.
Autre distinction : relation entre des termes qui sont soit de type syntagmatique et de type
paradigmatique, le mot paradigmatique ne renvoie pas du type au sens paradigme c’est autre chose,
prenons l’exemple des feux de circulation, dans ce contexte de la circulation ce sont les couleurs
rouge orange et verte qui sont mises en relation, on a tendance à les associé dans ce contexte, cette
association est de type syntagmatique, ces couleurs veulent dire respectivement stop, ralentissement
ou passage. Relation de type Horizontale. Il y a des relations de type paradigmatique entre rouge et
stop, entre orange et ralentir et entre vert et passage c’est verticale. Ces choses sont indissociables,
elles forment ensemble une structure. Cette façon de penser les choses de les mettre en relation les
choses que nous avons, de façon instinctive et c’est sur ce genre de logique que se base le
structuralisme.
B. Ce que dit Levis Stross sur le totémisme
Ce que LS désigne par la pensée sauvage ce n’est pas la signification en elle-même, il fait un espèce
de clin d’œil à ses préjugés qui ont longtemps existé, ce qui cherche à décrire c’est le fondement
sociale de la pensée sauvage, la pensée à l’état brut pour lui, dans sa logique ultime logique qui est
universel ; mais logique que l »on le mieux par la logique structurale et en déterminant certains
objet comme le totémisme et le mythe qui sont des choses bonnes à penser.
Ce qui est du toténisme il reprend les travaux de ces prédécesseurs pour LS, tous ceux-ci se sont
trompés il dit d’ailleurs que c’est le philosophe Berson qui a mieux compris ce qui était le
totémisme car elle allait mieux en relation avec les pops totémique. Ce n’est pas la réalité sociale
qui intéresse LS, c’est le fait que le totémisme est une pensée qui l’intéresse.
Pour Durkheim c’est une relation de descendance entre un totémique et un groupe mais il fallait
plutôt voir le totémisme comme un mouvement social, cela visait à rassembler un groupe, cohésion
sociale.
Pour ce qui est de… le totémisme c’est la mise en place d’une structure sociale, c’est une façon de
structurer des groupes.
LS propose un avis qui ira plus loin dans, le totémisme c’est une façon d’opérer qui dans son
essence est présente de manière universelle, façon de penser, de mettre en pratique des principes
logiques, organiser le réel à l’ordonné par le biais de la symbolisation, mise en place tout le temps
de signe et de système de signe (structure quant aux signes), mais pour que ce système de signe soit
possible il faut d’abord que l’on est en notre possession des termes distincts au travers des autres….
Si il y a ressemblance de tous on ne peut rien organiser, justement à la base on pourrait dire que les
hommes ne sont pas tant distinct les uns des autres. Avec le totémisme on se sert d’animaux de
plusieurs tailles pour faire leurs différences, on se sert de ces différences entre les choses pour
refaire la culture. Il y a identification à une espèce a un groupe et en même temps il y a
différenciation de ce groupe par rapport à un autre groupe, un peu comme la linguistique dans le
totémisme on parle d’un groupe de signifiant à signifier, c’est ainsi que les groupes seront en lien de
relation syntagmatique sur l’axe horizontale. Pour que deux signes puissent être mis en relation il
faut qu’ils soient intelligible, C’est de cette façon que le réelle peut être pensé et articulé. Par
association et par opposition c’est de cette façon que l’on opère dans la pensée sauvage.
C. Structure élémentaire de la parité
Il reprend les choses sur lesquelles avait travaillée Rakilbran qui s’était déjà intéressé à la relation
neveu utérin (neveu par rapport à ce frère maternelle) et oncle maternelle (frère de la mère) il
s’était intéressé aux rôles qui existaient entre ce neveu et cet oncle maternelle, relation qui changeait
entre les patrilinéaires et matrilinéaire. Dans le système patrilinéaire, la relation entre l’individu et
son père est une relation d’autorité et de respect tandis que la mère est source d’affection, l’oncle
maternelle ici est associé à la mère comme source d’affection, tandis que la sœur du père est
associée au père et tout comme le père elle est crainte et respecté, c’est le principe d’équivalence
entre les germes. Au contraire dans une société matrilinéaire, il se trouve que c’est plutôt l’oncle du
côté de la mère qui est distant et autoritaire, tandis que le père est un personnage affectueux
amicale, pour LS cette analyse est un début qui doit être poussé, il montre qu’il y a pas mal
d’exception qui contredise ce que dit Rakibran cela ne peut pas être généralisé. LS dit que R ne
s’est pas servi de la bonne méthode en ne mettant pas les faits à distance et LS montre qu’il faut
prendre en compte toute cette structure de la parenté.
4 relations : l’alliance niveau 1, niveau 2 la germanité la relation frère- sœur, en 3 il y a la filiation
la relation parents-enfant, et en 4 relation entre oncle maternelle et nièce. LS montre que la relation
entre oncle maternelle et nièce existe en fonction des 3 autres relations. Il dresse un tableau, en
prenant l’exemple de 4 sociétés différentes :
1
2
3
4
Trobriandais
+
-
+
-
Tonga
+
-
-
+
Tcherkesse
-
+
-
+
Takutubi
-
+
+
-
Les (-) représentent des relations de distance et bien entendu les (+) représentent des relations de
distance. Cette structure est universelle. Il y a toujours des alliés, cette combinaison universelle
découle de la prohibition de l’inceste, cette question préoccupe les anthropologues et notamment les
évolutionnistes. Pour LS ce n’est pas un état naturelle, où les hommes auraient vécus sans règle
sociale car l’être humain est logiquement structuré et cet esprit se retrouvent dans sa façon qu’il va
classer le monde et notamment ces parents.
Pour LS le tabou de l’inceste on peut le situer entre nature et culture, pas dans une période
historique mais en soit, la manière dont il est mis en œuvre sa ressort de la culture car dans les
différentes cultures il y a une différence de parenté, en comparant de règle de parenté qui
proscrivent certains parent et interdisent l’inceste, ces règles de prohibition s’accompagne toujours
de la logique de l’alliance la logique du mariage. Cette logique de l’alliance se situe entre nature et
culture. La prohibition de l’inceste découle de l’alliance.
Dans la structure à part entière de la parenté, le frère de la mère n’est pas un élément extérieur, c’est
un élément fondamental. Là ici se sont les femmes sont des objets d’échange entre ces groupe.
Principe de l’exogamie, l’alliance c’est la logique fondamentale qui permet l’échange. LS
l’organisation du langage n’est pas une métaphore car fondamentalement on en revient toujours à
l’idée que c’est l’esprit humain a besoin d’avoir à sa disposition des termes différenciés qui peuvent
être mis à profit/ en relation. Le principe de l’exogamie est un reflet propre à l’esprit humain.
D. Analyse des mythes par LS
Les mythes amérindiens en grande partie collectés par Franck Boas, à partir de ces mythes il a
considéré que d’un endroit à l’autre il change mais ce sont des variations sur le même thème, le but
ce n’est pas de savoir la fondation originale mais le but c’est de comprendre les fondations qui sont
opérés de but à l’autre mais c’est de comprendre les structures. La poésie joue avec les mots de
façon stylistique, et c’est dernière qui est fondamentale, le mythe se fonde sur d’autre base et
raconte une histoire fondatrice qui peut être traduite d’une culture à l’autre mais qui reste
universelle. Il peut être raconté de différentes façons les détails peuvent être retranché, différentes
variantes, ce qui subsistent quand le mythe est traduit c’est sa structure fondamentale. Dans les
mythes il peut arriver des choses invraisemblables que d’habitude, ce sont des choses abstraites qui
peuvent être raconté. Pour LS en terme de particularité n’est pas pertinente car elle n’est pas à
même de traduire la structure même du mythe. Ce qui est à l’œuvre ce sont des communalistes.
Finalement ce sont des variations sur un même principe qui est la mise en forme du réel symbolique
et organiser cette symbolisation de façon structurale, il n’y a pas représentation directe de la réalité,
il y a plutôt un discours de la réalité, ce qui arrive est à l’inverse de ce qui se passe ou de ce qui doit
se passer dans la réalité. Il y a souvent rupture ou opposition avec le réel.
A chaque fois il y a deux relations, dans les relations petit 1 si on met les deux séries de mythes cote
a cote ce sont des relations d’alliés par mariage, mais avec opposition d’un mythe à l’autre une fois
l’homme est le héros et dans l’autre mythe il est transformé en cochon sauvage ; pour les deux
mythes il y a permutation/ opposition bienveillant comme malveillants, relation de complémentarité
mais d’opposition logique entre ces deux mythes.
1er mythe : origine du feu mais aussi une histoire parlant d’alliance et de l’échange qui en découle,
le jaguar se retrouve comme l’alliés des hommes sa femme est une humaine, et de part cette
échange il leur donne le feu.
2ème mythe : origine de la viande (cochon sauvage), il est question dans ce mythe d’un échange raté,
les hommes ne se plient pas dans l’échange matrimoniale, il refuse de donner la viande et sont
transformés eux même en viande. Il raconte un passage de la nature à la culture ratée ; et le feu
aussi symbolise la même chose.
Whorf il s’intéresse à partir des travaux de Boas aux particularités des langues amérindiennes au
fait que dans certains domaine il y est un vocabulaire assez développé, une grammaire aussi
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