Les (-) représentent des relations de distance et bien entendu les (+) représentent des relations de
distance. Cette structure est universelle. Il y a toujours des alliés, cette combinaison universelle
découle de la prohibition de l’inceste, cette question préoccupe les anthropologues et notamment les
évolutionnistes. Pour LS ce n’est pas un état naturelle, où les hommes auraient vécus sans règle
sociale car l’être humain est logiquement structuré et cet esprit se retrouvent dans sa façon qu’il va
classer le monde et notamment ces parents.
Pour LS le tabou de l’inceste on peut le situer entre nature et culture, pas dans une période
historique mais en soit, la manière dont il est mis en œuvre sa ressort de la culture car dans les
différentes cultures il y a une différence de parenté, en comparant de règle de parenté qui
proscrivent certains parent et interdisent l’inceste, ces règles de prohibition s’accompagne toujours
de la logique de l’alliance la logique du mariage. Cette logique de l’alliance se situe entre nature et
culture. La prohibition de l’inceste découle de l’alliance.
Dans la structure à part entière de la parenté, le frère de la mère n’est pas un élément extérieur, c’est
un élément fondamental. Là ici se sont les femmes sont des objets d’échange entre ces groupe.
Principe de l’exogamie, l’alliance c’est la logique fondamentale qui permet l’échange. LS
l’organisation du langage n’est pas une métaphore car fondamentalement on en revient toujours à
l’idée que c’est l’esprit humain a besoin d’avoir à sa disposition des termes différenciés qui peuvent
être mis à profit/ en relation. Le principe de l’exogamie est un reflet propre à l’esprit humain.
D. Analyse des mythes par LS
Les mythes amérindiens en grande partie collectés par Franck Boas, à partir de ces mythes il a
considéré que d’un endroit à l’autre il change mais ce sont des variations sur le même thème, le but
ce n’est pas de savoir la fondation originale mais le but c’est de comprendre les fondations qui sont
opérés de but à l’autre mais c’est de comprendre les structures. La poésie joue avec les mots de
façon stylistique, et c’est dernière qui est fondamentale, le mythe se fonde sur d’autre base et
raconte une histoire fondatrice qui peut être traduite d’une culture à l’autre mais qui reste
universelle. Il peut être raconté de différentes façons les détails peuvent être retranché, différentes
variantes, ce qui subsistent quand le mythe est traduit c’est sa structure fondamentale. Dans les
mythes il peut arriver des choses invraisemblables que d’habitude, ce sont des choses abstraites qui
peuvent être raconté. Pour LS en terme de particularité n’est pas pertinente car elle n’est pas à
même de traduire la structure même du mythe. Ce qui est à l’œuvre ce sont des communalistes.
Finalement ce sont des variations sur un même principe qui est la mise en forme du réel symbolique
et organiser cette symbolisation de façon structurale, il n’y a pas représentation directe de la réalité,
il y a plutôt un discours de la réalité, ce qui arrive est à l’inverse de ce qui se passe ou de ce qui doit
se passer dans la réalité. Il y a souvent rupture ou opposition avec le réel.
A chaque fois il y a deux relations, dans les relations petit 1 si on met les deux séries de mythes cote
a cote ce sont des relations d’alliés par mariage, mais avec opposition d’un mythe à l’autre une fois
l’homme est le héros et dans l’autre mythe il est transformé en cochon sauvage ; pour les deux
mythes il y a permutation/ opposition bienveillant comme malveillants, relation de complémentarité
mais d’opposition logique entre ces deux mythes.
1er mythe : origine du feu mais aussi une histoire parlant d’alliance et de l’échange qui en découle,
le jaguar se retrouve comme l’alliés des hommes sa femme est une humaine, et de part cette
échange il leur donne le feu.
2ème mythe : origine de la viande (cochon sauvage), il est question dans ce mythe d’un échange raté,
les hommes ne se plient pas dans l’échange matrimoniale, il refuse de donner la viande et sont
transformés eux même en viande. Il raconte un passage de la nature à la culture ratée ; et le feu
aussi symbolise la même chose.
Whorf il s’intéresse à partir des travaux de Boas aux particularités des langues amérindiennes au
fait que dans certains domaine il y est un vocabulaire assez développé, une grammaire aussi