Une nouvelle formule chimique non-toxique
pour combattre et détruire les larves de
moustiques.
100 % D'ÉLIMINATION EN UNE HEURE EN
TOUTE SÉCURITÉ
Pourquoi Kulicide est la seule
solution pour la lutte larvicide
Kulicide est efficace tout en étant écologique, sans danger pour l'environnement et non-toxique. Il
agit sur les larves de moustiques avant qu'elles n'éclosent, plutôt que d'essayer de tuer des
moustiques éclos qui volent en liberté. Les larves de moustiques sont protégées par un cocon
huileux et la plupart des larvicides ne parviennent pas à pénétrer ce cocon. Ceux qui en sont
capables sont nocifs pour l'eau et l'environnement aquatique.
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Le problème des moustiques
Les larves de moustiques vivent dans l'eau jusqu'à ce qu'elles deviennent et se développent jusqu
devenir des moustiques adultes. Les larves de moustiques sont protégées dans une enveloppe
huileuse appelée cocon, très difficile à percer.
Les moustiques préfèrent les eaux stagnantes pour déposer leurs œufs. Ils infestent le plus souvent les
mares, les marais, les marécages et autres habitats aquatiques. Cependant, ils sont capables de
prospérer dans divers endroits et peuvent proliférer même lorsqu'ils ne sont pas dans leur habitat
naturel. De nombreuses espèces de moustiques utilisent des plans récipients d'eau pour y déposer leurs
œufs.
Les environnements chauds et humides sont les plus propices au développement et à la survie des
moustiques. L'infestation peut s'effectuer facilement dans les zones tropicales. Certaines espèces sont
également connues pour peupler des régions gelées comme le Cercle Arctique.
Les larves de moustiques peuvent se trouver dans différents types d'habitats. Certaines larves sont
actives dans les eaux transitoires telles que les eaux de crue; les fossés et les étangs forestiers. Les ,
les Culex, les Culiseta, les Coquillettidia et les Uranotaenia sont des espèces qui se reproduisent dans
des plans d'eau permanents et qui peuvent survivre aussi bien dans les eaux polluées que dans des
eaux propres, des eaux acides ou des marécages d'eau saumâtres.
D'autres larves peuvent se trouver dans des surfaces d'eaux comme des flaques, sur des feuilles et
dans les eaux stagnantes de petites mares.
Les larves de la plupart des espèces utilisent des siphons pour respirer ; toutefois, certaines larves
s'accrochent à des plantes pour satisfaire leurs besoins en air. Les larves de moustiques consomment
les micro-organismes et les matières organiques présentes dans l'eau.
Les larves de moustiques peuvent atteindre jusqu'à 5 mm et peuvent être clairement visibles dans l'eau.
Les plus grosses larves se trouvent plus près de la surface de l'eau. Les larves de moustiques sont
extrêmement sensibles et s'immergeront pour se protéger si elles se sentent dérangées.
Le contrôle des moustiques implique l'élimination des infestations existantes et la prévention contre
la ré-infestation grâce à l'éradication des populations larvaires. Afin de contrôler les larves de
moustiques, des inspections de routine des lieux de reproduction potentiels doivent être menées.
Les larves de moustiques ne pouvant pas survivre sans eau, les zones touchées par une infestation
doivent être examinées pour y trouver les sources d'eau. L'eau stagnante depuis trois jours est un
habitat idéal pour les moustiques. Certaines espèces exigent une quantité minimale d'eau pour
proliférer ; même des points d'eau comme des bassins pour oiseaux sont de potentiels sites de
reproduction.
Le risque - Le paludisme tue
Près de 3,3 milliards de personnes (soit environ la moitié de la population mondiale) sont exposées à
des risques de paludisme. En 2010, on a recensé environ 219 millions de cas de paludisme (avec une
marge d'erreur allant de 154 millions à 289 millions) et on estime le nombre de morts liées au
paludisme à 660 000 (avec une marge de 490 000 à 836 000).
Chaque minute, un enfant meurt du paludisme.
Le paludisme inflige des pertes économiques conséquentes dans les pays très touchés.
Dans des contextes très affectés, le paludisme peut enfermer les familles et les communautés
dans un engrenage de la pauvreté, en affectant de façon disproportionnée les populations
marginalisées et pauvres qui ne peuvent pas se permettre le traitement ou qui ont un accès
limité aux soins de santé.
Le risque - La dengue tue
Une épidémie de dengue sévit en Amérique Centrale et en Asie. L'Organisation panaméricaine de la
santé craint que les chiffres « explosent », cette année s'annonçant « anormalement mauvaise ». Les
précipitations abondantes et la chaleur torride sont des conditions particulièrement favorables à la
prolifération du principal vecteur de la dengue, le moustique Aedes aegypti, dont les œufs éclosent à la
surface des mares. En 2010, l'Organisation de la Santé a rapporté 1,6 million de cas de dengue en
Amérique Latine seule, dont 49 000 cas graves; il s'agit de la principale cause de mortalité infantile dans
la région. Les Philippines sont également atteintes par une épidémie de dengue, de même que le
Pakistan, pour ne nommer que certaines des zones affectées.
Mesures actuelles de contrôle des moustiques
Le contrôle des moustiques peut être divisé en deux domaines de responsabilité: individuelle et
publique. Le plus souvent, il s’effectue selon le plan de gestion intégrée des moustiques
(Integrated Mosquito Management IMM).
Les méthodes de contrôle publiques sont appliquées selon le plan de gestion intégrée des
moustiques (Integrated Mosquito Management IMM). L'IMM est basé sur des critères
écologiques, économiques et sociaux et intègre des méthodologies pluridisciplinaires dans les
stratégies de gestion contre les parasites qui sont réalisables et efficaces pour protéger la
santé publique et l'environnement et améliorer la qualité de vie.
Les stratégies IMM sont utilisées en parallèle avec les insecticides. Cela inclut la réduction des
sources, à savoir le contrôle physique (creuser des fossés et des mares dans les marais ciblés) et le
contrôle biologique [placer des poissons vivants mangeurs de moustiques (Gambusia) dans les fossés
et les mares pour qu'ils se nourrissent des larves de moustiques.
Des moyens non-chimiques ont été déployés (comme par exemple l'intégration de prédateurs
invertébrés, de parasites et de maladies pour contrôler les larves de moustiques) mais ils sont plus
difficile à vérifier.
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