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Tutorat de Révision Campus Santé de Rennes 1 2 Avenue du Professeur Léon Bernard - 35043 Rennes 02 23 23 45 48
Tutorat de Révision
Campus Santé de Rennes 1
2 Avenue du Professeur Léon Bernard
35043 Rennes cedex
Tél : 02 23 23 45 48 Année Universitaire 2010/2011
PAES
UE 2
Conférence n°1
Ce questionnaire comprend 7 pages de questions comprenant 33 questions numérotées de 1 à 33.
Pour chaque question, une ou plusieurs ponses sont exactes. Noircissez la ou les case(s) correspondant à la ou
aux propositions exactes. Seules seront comptabilisées comme bonnes les réponses dont toutes les propositions
exactes, et seulement celles-ci, auront été cochées.
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1. Concernant les cellules cancéreuses :
A. Elles sont immortelles en culture, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas besoin de milieu de culture pour survivre
et se développer.
B. Elles ont perdu l'inhibition de contact.
C. Elles n'ont pas besoin d'ancrage pour se diviser.
D. Elles forment une couche uniforme et bien organisée en culture.
E. Elles sont à l'origine de tumeurs in vitro.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
2. Les milieux de culture classiques :
A. Comportent des substances nutritives de base, dont l'eau, des acides aminés, des ions et du glucose.
B. Peuvent être supplémentés pour favoriser la division cellulaire.
C. Peuvent contenir du sérum, qui comporte des hormones, des facteurs de croissance, des protéines et des
lipides.
D. Peuvent être accidentellement colonisés par des bactéries.
E. Doivent reproduire le milieu physiologique des cellules que l'on veut cultiver.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
3. Concernant le clonage cellulaire :
A. Il est effectué à partir d'une cellule unique.
B. Il ne nécessite pas de mise en culture.
C. Toutes les cellules obtenues ont les mêmes caractéristiques génotypiques.
D. Il peut permettre l'élaboration d'anticorps monoclonaux.
E. Il n'ouvre aucune voie à la recherche sur le plan thérapeutique.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
4. À propos du fractionnement cellulaire :
A. L'homogénéisation est une étape qui consiste à rompre la membrane plasmique.
B. En centrifugation, les constituants ayant la plus grande densité et la plus grande taille subissent la plus
grande force centrifuge.
C. La centrifugation différentielle est une centrifugation réalisée en plusieurs étapes et à plusieurs vitesses
différentes.
D. Après chaque centrifugation, on obtient le culot et le surnageant.
E. Après centrifugation de l'homogénat cellulaire à 1000 g pendant 10 minutes, le surnageant comporte des
cellules entières, des noyaux et des débris cellulaires.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
5. La sédimentation :
A. Met en jeu des forces pouvant aller jusqu'à 20000 g.
B. Ne nécessite aucune centrifugation préalable de l'homogénat cellulaire pour séparer sur gradient de
densité les lysosomes, les mitochondries et les péroxysomes.
C. Est cotée grâce au coefficient de sédimentation, dont l'unité est le Romberg.
D. Est plus rapide pour les ribosomes que pour le noyau.
E. Contrairement à la centrifugation, ne permet pas d'obtenir un surnageant et un culot.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
6. Le microscope photonique :
A. A un pouvoir de résolution suffisant pour observer les cellules.
B. Comporte un oculaire et un objectif.
C. Peut permettre d'observer des cellules fixées.
D. Peut permettre d'observer des cellules vivantes.
E. Ne permet pas d'observer la forme biconcave des globules rouges.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
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7. Concernant la microscopie électronique à transmission, choisissez la ou les proposition(s) inexacte(s) :
A. Elle nécessite un prélèvement d'environ 1 cm3.
B. La fixation se fait dans le glutaraldéhyde.
C. La coupe est effectuée à l'aide d'un microtome.
D. Pour visualiser une surface cellulaire, on utilise le procédé ombrage, réplique.
E. La réplique se dissout et on observe le matériel cellulaire.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
8. Choisissez l'ordre exact concernant les méthodes de coupe pour microscopie photonique :
A. 1) Prélèvement ; 2) Fixation ; 3) Coloration ; 4) Inclusion ; 5) Coupe.
B. 1) Prélèvement ; 2) Inclusion ; 3) Fixation ; 4) Coupe ; 5) Coloration.
C. 1) Coloration ; 2) Prélèvement ; 3) Coupe ; 4) Inclusion ; 5) Fixation.
D. 1) Prélèvement ; 2) Fixation ; 3) Inclusion ; 4) Coupe ; 5) Coloration.
E. 1) Prélèvement ; 2) Fixation ; 3) Inclusion ; 4) Coloration ; 5) Coupe.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
9. Concernant les méthodes de coupe pour microscopie photonique :
A. L'inclusion met en jeu des bains d'alcool successifs à des températures décroissantes.
B. La coupe est réalisée à l'aide d'un microtome.
C. La fixation sert au ramollissement de la biopsie en vue de sa conservation.
D. On peut sauter l'étape de fixation en congelant à -60°C la biopsie, et en coupant grâce au cryostat.
E. La coloration est précédée d'une étape de réhydratation, mettant en jeu des bains d'alcool successifs à
des températures croissantes.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
10. À propos de l'immuno-cytochimie :
A. Elle nécessite l'emploi d'antigènes spécifiques d'un anticorps recherché.
B. Les anticorps utilisés sont marqués sur leur partie ultra-variable.
C. Le marqueur peut être une enzyme, qui est fréquemment la tyrosine kinase.
D. Le marqueur peut être un fluorochrome, on parle alors d'immunophosphorescence.
E. Les anticorps constituent le facteur limitant de la réaction.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
11. La membrane plasmique :
A. A uniquement un rôle de frontière.
B. Délimite le volume de la cellule et la protège.
C. Constitue une barrière aux molécules liposolubles.
D. Est un lieu de communication.
E. Comporte des lipides maintenus par des interactions non-covalentes.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
12. Concernant les lipides de la membrane plasmique :
A. Ils constituent environ 50% du poids sec de la membrane plasmique.
B. Les phospholipides sont amphiphiles, c'est-à-dire qu'ils ont une tête polaire hydrophile et une queue
apolaire hydrophobe.
C. Les phospholipides sont uniquement représentés par les glycérophospholipides.
D. Le cholestérol , inséré entre les phospholipides, rigidifie les chaînes hydrocarbonées.
E. Le cholestérol est un marqueur de la membrane plasmique des cellules eucaryotes végétales.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
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13. À propos de l'architecture de la membrane plasmique :
A. Les éléments constitutifs de la double couche lipidique sont en perpétuel mouvement.
B. On parle de rigidité des acides gras constitutifs des lipides membranaires.
C. Le flip-flop se déroule sur la même hémicouche.
D. Le flip-flop se fait par l'intermédiaire de flippases ATP-indépendantes.
E. Les acides gras ne peuvent avoir qu'un seul type de mouvement.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
14. À propos des constituants des hémicouches de la membrane plasmique :
A. Ils sont répartis de manière symétrique entre les hémicouches.
B. La phosphatidylcholine et la sphingomyéline sont principalement du côté intracellulaire.
C. La phosphatidylsérine est principalement du côté extracellulaire.
D. Les glycolipides sont principalement en surface de la cellule.
E. Les dérivés de l'inositol se trouvent uniquement du côté intracellulaire.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
15. Concernant les protéines ancrées de la membrane plasmique :
A. Elles ne font pas de flip-flop.
B. Elles peuvent effectuer une diffusion latérale.
C. Leurs mouvements ne sont jamais limités en diffusion latérale.
D. Elles peuvent interagir avec des constituants de la matrice extracellulaire.
E. Elles ne sont jamais des protéines de signalisation.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
16. Choisissez la ou les affirmation(s) exacte(s) :
A. Centrioles et corpuscule basal comprennent 9 triplets de microtubules.
B. Centrioles, corpuscule basal, axonème du cil et du flagelle sont des structures stables.
C. Les molécules de tubuline sont associées en dimères αβ grâce à l'ATP.
D. Les microtubules sont des structures pleines dites polarisées (une extrémité + et une extrémité -).
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
17. À propos des spécialisations apicales, choisissez la ou les affirmation(s) exacte(s) :
A. Cils et microvillosités permettent les mouvements liquidiens.
B. Dans l'épididyme, les cils sont regroupés en pinceaux et portent le nom de stéréocils.
C. Au niveau intestinal, les mucocytes sécrètent des substances protégeant contre le pH acide.
D. Les microvillosités peuvent contenir 20 à 30 filaments de myosine.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
18. Choisissez la ou les affirmation(s) exacte(s) :
A. Dans le cil vibratile apparaissant au pôle basal de certaines cellules épithéliales, on trouve des doublets
de microtubules.
B. Un tubule est constitué d'un microtubule A complet (13 protofilaments) et d'un microtubule B incomplet
(11 protofilaments).
C. Au centre du cil, on retrouve un centrosome constitué de 2 centrioles.
D. Les poussières de l'appareil respiratoire remontent au croisement de l'œsophage grâce au mucus et aux
battements des cils vibratiles.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
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19. Choisissez la ou les affirmation(s) exacte(s) :
A. Les villosités des cellules épithéliales intestinales permettent d'augmenter de 20 à 30 fois la surface
d'échange.
B. Les microvillosités de l'intestin forment le plateau strié.
C. Les microvillosités permettent la réabsorption des éléments du bol alimentaire.
D. Les cellules caliciformes sécrètent du mucus qui participe à la constitution du tapis muco-ciliaire.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
20. Concernant le renouvellement cellulaire :
A. Dans l'utérus, les cellules souches permettent un renouvellement cyclique de l'épithélium.
B. Au sein des épithéliums pseudo-stratifiés, les cellules souches sont disposées en couche continue.
C. L'EGF stimule les divisions des cellules épithéliales.
D. Suite à une lésion, les cellules sont capables de modifier leur forme afin de recouvrir le tissu conjonctif
sous-jacent.
E. Chez les fumeurs, on peut observer une métaplasie de l'épithélium respiratoire.
F. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
21. Concernant les épithéliums glandulaires :
A. Les glandes exocrines déversent leur sécrétion dans les vaisseaux via les canaux excréteurs.
B. Le thymus est la seule glande endocrine organisée en vésicules.
C. Les cellules séreuses et muqueuses contiennent des granules de sécrétion dans leur cytoplasme.
D. Les cellules séreuses et muqueuses sont des cellules polarisées.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
22. Concernant les épithéliums glandulaires :
A. Les jonctions adhérentes permettent le couplage physiologique et l'échange d'informations entre les
cellules glandulaires.
B. Dans les glandes endocrines, les cellules sont en contact avec les vaisseaux par l'intermédiaire de la
membrane basale.
C. Selon le mode de sécrétion mérocrine, les sécrétions sortent par exocytose au pôle apical, entourées
d'une membrane.
D. Dans le mode dection holocrine, un peu de cytoplasme est expulsé en plus du grain de sécrétion.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
23. Concernant l'activité glandulaire :
A. Des stimuli visuels peuvent stimuler la sécrétion de certaines glandes.
B. Un rétrocontrôle hormonal est exercé sur certaines glandes.
C. Des mutations génétiques peuvent altérer l'activité glandulaire.
D. Le testicule féminisant est une pathologie dans laquelle les hormones sont modifiées et donc non
reconnues par leur récepteur.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
24. Concernant les épithéliums glandulaires :
A. Ils sont composés de cellules spécialisées dans la production de sécrétions tel le sang.
B. Le pancréas est un exemple de glande seulement exocrine.
C. Le système diffus est représenté par le foie.
D. Les cellules glandulaires peuvent être polarisées ou non.
E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
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