Les Bryozoaires - CN Poissy Plongée Commission Environnement

Les BRYOZOAIRES / Sommaire
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Introduction
Situation arbre phylogénique, classification
Description morphologique et anatomique
Reproduction
Mode de vie
Quelques images
Remerciements
Commission Environnement et Biologie
Subaquatiques
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LES BRYOZOAIRES / Introduction
Du grec :
BRUON = MOUSSE
ZOON=ANIMAL
Fixés dans des endroits cachés.
Microscopiques, ils vivent en colonie. (colonie =zoarium)
Foliacé / Encroûtant
L’individu = zoïde = zoécie
Structures arbustives, dressées,
articulées ou pas
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(1) Le terme bryozoaire vient du grec : bruon=mousse et zôon=animal.
(2) Les B. sont des animaux fixés assez discrets. Seul le plongeur averti, qui en connaît
l’existence, peut les repérer, installés dans des endroits cachés comme les grottes, les
failles ou les dessous de roches.
Ces animaux mousses sont connus depuis très longtemps… Un médecin de Montpellier
et ami de Rabelais, Guillaume de Rondelet, réalise une première description de la
dentelle de Neptune dès le début du 16ème siècle. Un peu plus tard Savigny, en 1817,
produit de superbes dessins et on se demande encore aujourd’hui quels moyens
optiques il utilisait.
En effet, ces animaux sont microscopiques et plus petits que les polypes de cnidaires
dont Stéphanie vous a parlé au dernier cours. Mais ils vivent en colonie (3+4+5) de
plusieurs centaines d’individus, lesquelles sont visibles à l’œil nu puisque leur taille en
moyenne est de l’ordre de quelques cm. Certaines atteignent même le mètre (rose de
mer). La colonie peut être rigide ou molle même toujours très FRAGILE. On peut les
rencontrer sur divers substrats : roche, sable, végétaux, animaux…. Et à toutes les
profodeurs.
Les bryozoaires sont très largement répandus et se rencontrent dans tous les océans et
mers à la surface du globe. Les eaux chaudes des océans et mers tropicaux regroupent
certainement la plus grande variété d’espèces de bryozoaires !
Sous nos latitudes dans la mer Méditerranée, l’un des bryozoaires le plus connu est
certainement la dentelle de Neptune !
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LES BRYOZOAIRES /
Situation arbre phylogénique
mollusques
(moules, poulpes,
nudibranches, porcelaines)
annélides
plathelminthes
(vers de feu, spirographes)
(vers plats)
ates
elom
aco
échinodermes
(oursins, étoiles de mer,
holothuries)
bryozoaires
és
ire
oa
oz
ch
s
ec dy
sozo
aires
proto
stom
cténaires
iens
(béroé)
cnidaires
(corail, méduses,
anémones)
porifères
diplo
blasti
ques
(poissons, dauphins)
(ascidies)
arthropodes
(langoustes, crabes)
vertébrés
tuniciers
ro
ot
ph
lo
lophophorien
s
ch
or
d
(dentelle de Neptune,
faux corail)
téro
deu
mie
sto
ns
ues
loblastiq
ns (trip
bilatérie elomates)
co
(éponges)
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Subaquatiques
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Ils appartiennent à l’embranchement des LOPHOPHORIENS, c’est à dire des êtres
vivants caractérisés par la possession d’une couronne de tentacules ciliés, non urticants
= le lophophore. Pour mémoire, citons les autres individus appartenant à cet
embranchement :
les BRACHIOPODES = bivalves, marins, visibles,
solitaires
Les PHORODINIENS = individus visibles, dans un tube,
marins, groupés et sans lien entre eux.
Les Bryozoaires possèdent également un tube digestif en U et un anus, proche de la
bouche mais à l’extérieur du lophophore, ce qui leur vaut le qualificatif d’ECTOPROCTES.
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LES BRYOZOAIRES / Classification (1)
Se munir d’une
Calcification ou pas des logettes des zoïdes
Forme des zoïdes, des orifices, des opercules
Présence ou non d’épines
Polymorphisme = spécialisation des zoïdes
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(1) Pas facile pour un plongeur…
rapidement et sans trop détailler, disons que la classification fait intervenir divers
critères qui sont : (2)
Forme des zoïdes :
boîtes
Bouteilles
Tubes
Orifices :
situation et structure
Opercule :
à charnière
à sphincter = colerette membraneuse
Spécialisation :
défense, nettoyage, reproduction
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LES BRYOZOAIRES / Classification (2)
Emb.
Lophophoriens
Bryozoaires
Sous-Emb.
(5000)
Brachiopodes
Phoronidiens
(335)
(15)
Sténolènes
(zoïdes tubulaires,
essentiellement des
espèces fossiles)
Gymnolènes
Classe
Phylactolènes
(zoïdes en forme de boîtes)
(eau douce uniquement)
Cyclostomes
Cténostomes
Chilostomes
A côté des Bryozoaires, dans les lophophores on trouve, comme je l’ai déjà dit :
Les BRACHIOPODES ( bivalves marins, visibles et solitaires-)
Les PHORONIDIENS ( individus marins, visibles, dans un tube
et vivant en groupe sans lien entre eux.)
Les Bryozoaires se subdivisent en 3 classes :
Les PHYLACTOLENES
Les GYMNOLENES
Les STENOLENES
Les Gymnolènes se subdivisent en 3 ordres :
Les cyclotomes avec un squelette calcaire et sans opercule
Les Ctenostomes avec un squelette coloniale non calcaire et
absence de aviculaire+vibraculaire
Les Chilostomes avec squelette
calcaire+aviculaire+vibraculaire.
LES BRYOZOAIRES / Description
morphologique et anatomique.(1)
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Les zoïdes sont formés de deux parties fondamentales, le cystide et le polypide.
Le cystide est constitué par un épiderme doublé intérieurement d'une couche mésodermique comportant une musculature
pariétale lisse, et extérieurement d'une paroi squelettique. Celle-ci est une sécrétion épidermique de nature chitinoïde. Il s'y
adjoint parfois un dépôt de calcaire (carbonate de calcium), la calcification s'effectuant sous la cuticule. Très fréquemment, la
surface zoéciale est ornée d'épines, de plaques calcifiées ou de perforations. L'ouverture de la zoécie est antérieure. La
communication entre deux zoécies d'un même zoarium est assurée par de minuscules perforations, les "pores à rosettes". Leur
orifice est occupé par un groupe de cellules disposées d'une manière radiaire et affectant en perspective la forme d'un diabolo. Le
terme de polypide désigne l'ensemble des tissus de l'appareil digestif, la musculature rétractrice de l'individu et l'essentiel du
système nerveux qui sont périodiquement susceptibles de dégénérer pour donner une formation particulière appelée le "corps
brun". Le polypide débute par la couronne de tentacules recouverts sur toute leur hauteur par une ciliature mobile dont le
battement amène vers la bouche les particules alimentaires (débris organiques divers, petits animaux ou végétaux, phyto et
zooplancton). Ces tentacules ont une paroi ectodermique. Leur intérieur contient un diverticule du coelome, rempli de cellules
mésodermiques. Les tentacules se rattachent à une zone d'implantation, le lophophore, perforé en son centre par la
bouche. Autour de la cavité buccale existe un anneau nerveux auquel est accolé un volumineux ganglion. Par ailleurs, le
lophophore est relié à l'ouverture zoéciale par un cylindre membraneux emprisonnant les tentacules, appelé gaine tentaculaire. A la
bouche fait suite un pharynx aux parois épaisses et musclées, parfois suivi d'un gésier, et débouchant dans un estomac prolongé par
un volumineux espace stomacal. Le transit des aliments non digérés est assuré par un pylore cilié et un rectum débouchant dans la
gaine tentaculaire, à l'extérieur de la couronne de tentacules : d'où le nom d'Ectoproctes. Le polypide est en rapport avec le cystide
par l'intermédiaire de muscles rétracteurs striés, implantés sur le lophophore, et en arrière de la zoécie, qui permettent, notamment
en cas de danger, l'invagination brusque du polypide, normalement épanoui à l'extérieur de la loge. Un ou plusieurs funicules
relient aussi le tube digestif à la paroi zoéciale. C'est généralement à partir des cellules du ou des funicules, et parfois du
mésoderme pariétal, que se différencient les éléments génitaux mâles et femelles. Tout l'intérieur de la cavité générale est tapissé
de cellules mésodermiques mésenchymateuses. Celle-ci renferme également des cellules libres et amiboïdes, qui sont soit des
phagocytes absorbant les débris cellulaires dégénérescents, soit des cellules de réserves protéiques, lipidiques ou glucidiques.
Il n'existe ni appareil circulatoire ni appareil respiratoire.
Le système nerveux, outre le ganglion et l'anneau lophophoriens d'où partent divers nerfs, dont ceux qui innervent les tentacules,
comporte entre le mésoderme et l'épiderme pariétaux un plexus de petites cellules étoilées. Des cellules sensorielles existent au
moins dans les tentacules.
Les organes excréteurs spécialisés font défaut. La majeure partie des excrétats s'accumule dans la paroi du tube digestif, et la
surcharge excessive de ces cellules en déchets provoque la formation du corps brun, forme de dégénérescence de tout le polypide
(muscles rétracteurs compris) caractérisée par la concentration de l'ensemble des tissus polypidiens en une ou plusieurs masses
opaques, ultérieurement confluentes ou non. Les tissus du corps brun se dégradent peu à peu, et lorsqu'un nouveau polypide aura
bourgeonné, ou bien il assimilera le corps brun et en rejettera les ultimes déchets, ou bien le corps brun sera expulsé à
l'extérieur. Le bourgeonnement de la partie digestive du nouveau polypide naît d'une prolifération cellulaire interne et localisée de
l'épiderme cystidien, qui forme une verrue d'abord pleine, puis creuse, s'allongeant peu à peu et finissant par se recourber en
U. Cette régénération épidermique d'un tissu fonctionnant comme un "dérivé endodermique" est un phénomène périodique et
caractéristique des Bryozoaires. Les spermatozoïdes et les œufs ont toujours une origine mésodermique. Les loges sont
hermaphrodites. Il n'y a pas de gonades différencié
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LES BRYOZOAIRES / Description
morphologique et anatomique.(2)
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LES BRYOZOAIRES / Reproduction
Les 2 types de reproduction existent:
Asexuée, par bourgeonnement
Sexuée, hermaphrodites protandres
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Asexuée : par bourgeonnement. En 1er il y a création du cystide à la périphérie de la
colonie, puis création du polypide. Ne permet pas une colonisation à distance, sensible à
l’environnement et uniquement à partir d’une certaine taille de colonie.
Parfois, un cystide clos et rigide, muni de crochets et de réserves nutritives est expulsé
de la colonie pour aller coloniser un peu + loin. Ce cystide est appelé hibernacule
Les B. sont hermaphrodites protandres c’est-à-dire mâles puis femelles. Les gamètes
mâles et femelles s’unissent après libération en pleine eau et donnent naissance à un
œuf qui ira se fixer pour créer une nouvelle colonie. Certaines espèces de bryozoaires se
reproduisent par autofécondation interne, l’œuf se développe alors au sein de son
géniteur et sera expulsé au stade larvaire.
Les gamètes sont émis par deux orifices situés à l’extrémité de 2 tentacules sexuels.
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LES BRYOZOAIRES / Mode de vie.
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Où les trouver?
Combien de temps vivent-ils?
Que mangent-ils?
Qui les mange?
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(1) Il leur faut de la place pour s’installer sur un substrat solide (végétaux, roches,
coquilles ou sable), de la nourritue, des voisins peu expansifs. On les observera donc
dans des milieux cachés et ombragés comme les grottes, les failles, les surplombs,
mais aussi sur les herbes et algues…
(2) Le cycle de vie est variable d’une espèce à l’autre : il sera court sur des substrat
temporaires type algues, posidonies… et sera long sur des substrats stables comme
les grottes, les roches ou encore les rhizomes de posidonies.
(3) Ces animaux sont des filtreurs actifs suspensivores microphages. Ils se nourrissent
de petits organismes planctoniques capturés et transportés jusqu’à la bouche grâce
aux tentacules ciliés du lophophore, qui en creant par leur mouvement une
dépression attirent les organismes vers la bouche et refoulent l’eau au travers des
tentacules. Il y a ensuite digestion puis réjection par l’anus.
(4) Dans la phase œuf/larve, les Bryozoaires font partie du plancton et leurs prédateurs
sont tous les mangeurs de plancton. En colonie, les algues, les éponges, les oursins,
les nudibranches et quelques petits crustacés sont leurs principaux prédateurs.
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
• Ce que le plongeur ne peut pas voir…
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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Myriapora truncata Faux corail
Pointe de la Causinière, Cap Ferrat (06), 8 m
Zoécies ouvertes et fermées. On distingue sur cette branche de
faux-corail à la fois les pores des zoécies fermées et les panaches
des individus sortis. Les parties orange de la colonie sont les plus
vivaces tandis que certaines parties palissent et semblent en
dégénérescence. Deux petites nasses peuvent s'observer sur les
branches du Bryozoaire.
Diamètre 10 cm, rarement > 20 cm
Colonie rouge orangé vif avec extremités des rameaux tronquées.
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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(1)ReLa Gabinière, Port Cros (Var), 22 m
(2)teporella grimaldii Dentelle de Neptune
Lophophores minuscules ! Sur cet agrandissement d'une petite
colonie fixée sur un tombant, nous avons la chance de pouvoir
distinguer clairement les logettes et les lophophores. Il est
utopique de découvrir ceci en plongée !
(2)Reteporella grimaldii Dentelle de Neptune
Grotte du lido, rade de Villefranche-sur-Mer (06), 25 m
Une structure fragile Le délicat réseau du bryozoaire est très
sensible à la lumière et se laisse envahir par les algues. De plus,
l’animal reste très fragile au moindre choc et se brise facilement.
Elle évite zones trop agitées; de 0 à 50m
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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Pentapora fascialis Rose de mer / Pentapore bois de cerf
Le Ranolien, Perros-Guirec (22), 15 m
Une rose de mer Une rose de mer fixée à la roche étale ses
délicats pétales au courant nourricier...
Le + grand des Bryozoaires : 30 cm diamètre et 20cm haut
Sur les fonds rocheux
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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(1)Membranipora membranacea Membranipore
Erquy Evette, 14 m
Nourriture de nombreux mollusques De nombreux mollusques (ici
Polycera quadrilineata) se nourrissent de M. membranacea, qui
doit se développer vite pour compenser ce prélèvement.
(1)Membranipora membranacea Membranipore
Trebeurden (22), Ar Goredec
Détail des lophophores Sur cette belle photo macro, on voit les
lophophores sortir des logettes.
Sur laminaires, rochers et coquillages.
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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Adeonella calveti Adéonelle
Bormes les Mimosas (Var), 15 m
Jeune colonie Au milieu de cette jeune adéonelle, une belle
éponge rose à la consistance molle (Haliclona mediterranea) est en
concurrence pour l’espace.
Colonie de 5 à 15 cm; à partir de 5m dans les endroits ombragés et
protégés.
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Smittina cervicornis Bryozoaire bois de cerf
Puerto de la Selva (Catalogne, Costa Brava), 25 m
Smittina cervicornis Cette colonie de Smittina cervicornis d’une
dizaine de cm est en quasi-totalité revêtue de son éponge translucide
dont on peut apercevoir les petits oscules ça et là (Halisarca sp.).
Ainsi les lophophores ne sont bien visibles qu'aux rares endroits où
l’éponge est absente. En premier plan, sur une éponge pierre
(Petrosia ficiformis) dont il se nourrit, se trouve un nudibranche blanc
maculé de taches marron (Peltodoris atromaculata ou Doris
dalmatien).
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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Bugula turbinata Bugule spiralée
Bretagne, France
Beau bouquet spiralé Colonie buissonnante, forme une spirale
serrée et régulière. Prolifère dans eaux calmes et chargées de
particules (pilotis et pontons des ports)
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LES BRYOZOAIRES / Quelques images….
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Bugula plumosa Bugule plumeuse
Bretagne
Beau bouquet spiralé L’axe central ou tronc est robuste, des
branches s’y insèrent de façon hélicoïdale. Elles se divisent de façon
dichotomique* en rameaux très fins donnant une consistance très
souple à la colonie.
Bugula plumosa Bugule plumeuse
Ria d'Etel (56), 12 m
Zoïdes et aviculaires microscopiques Les zoïdes* sont
microscopiques mesurant 0,5 x 0,2 mm environ. Les aviculaires*
possèdent une mandibule et un bec crochu.
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LES BRYOZOAIRES / Conclusion
Colonie magnifique mais fragile alors…
Ayons des
au bout de nos
Mais aussi, dégâts sur les coques de bateaux…
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LES BRYOZOAIRES / Remerciements
• Merci à Stéphanie et Patrick pour leur
confiance, leur soutien.
• Merci à tous ceux qui, en mettant en ligne
leurs travaux et leurs photos, m’ont permis de
réaliser ce travail.
• Merci à vous tous pour votre présence et
votre écoute.
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