Avec ce projet, nous nous saisissons de ce cri poétique lancé par Claudine Galéa, pour nous questionner sur
notre rapport au temps et au langage, nous qui jonglons avec le réel à en perdre haleine, nous qui parlons
souvent pour ne rien dire.
Pour interpr
éter ce poème dramatique mis en scène par Marion Chobert, nous écrivons le spectacle pour
un comédien et un jongleur.
Pierre-
Antoine Rousseau interprètera
enfants...). Nous traitons
la pièce comme un poème intérieur de Titus, et non comme une mise en jeu de
différents personnages. Ceux-
ci prennent la forme de voix, souvent intrusives, dérangeantes, venues du
monde extérieur, et filtrées par les ressentis et émotions de Titus. Le coméd
passeur du monde intérieur de Titus pour le public.
C’est le jongle
ur, Vincent Regnard, qui donnera
silencieusement son propre langage avec le monde à travers les objets
balles de jonglage
, ce petit garçon qui cherche sans relâche un nouvel équilibre dans une réalité tous
azimuts.
Nous allons donc adapter, rechercher, créer une partition jonglée traduisant une écriture littéraire. Cela
no
us amène sur d’autres chemins, à réinventer un processus de composition pour trouver un juste
équilibre entre ce qui est dit par la parole et ce qui est raconté par le mouvement des corps et des objets.
Nous ferons ainsi dialoguer le visuel et les mots p
qui émane de l’intérieur intime
comme une légère brise, qui
soleil.
Nous avons imaginé que l’univers de Titus pouvait se composer de jeux en bois à grande échelle. Ainsi la
scénographie
se dévoile au fur et à mesure du spectacle dans ses formes et ses couleurs. Au départ
un simple escalier qui ap
imaginaires) finit par se transformer en un jardin d’enfants coloré.
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Avec ce projet, nous nous saisissons de ce cri poétique lancé par Claudine Galéa, pour nous questionner sur
notre rapport au temps et au langage, nous qui jonglons avec le réel à en perdre haleine, nous qui parlons
éter ce poème dramatique mis en scène par Marion Chobert, nous écrivons le spectacle pour
Antoine Rousseau interprètera
toutes les voix du texte (Titus, le père, la mère, le maître d’école, les
la pièce comme un poème intérieur de Titus, et non comme une mise en jeu de
ci prennent la forme de voix, souvent intrusives, dérangeantes, venues du
monde extérieur, et filtrées par les ressentis et émotions de Titus. Le coméd
ien prend ainsi le statut de
passeur du monde intérieur de Titus pour le public.
ur, Vincent Regnard, qui donnera
corps au personnage de Titus ;
ce personnage qui invente
silencieusement son propre langage avec le monde à travers les objets
, ce petit garçon qui cherche sans relâche un nouvel équilibre dans une réalité tous
Nous allons donc adapter, rechercher, créer une partition jonglée traduisant une écriture littéraire. Cela
us amène sur d’autres chemins, à réinventer un processus de composition pour trouver un juste
équilibre entre ce qui est dit par la parole et ce qui est raconté par le mouvement des corps et des objets.
Nous ferons ainsi dialoguer le visuel et les mots p
our ce duo d’interprètes
et nous ouvre à son imaginaire.
dra chatouiller nos oreilles et
Nous avons imaginé que l’univers de Titus pouvait se composer de jeux en bois à grande échelle. Ainsi la
se dévoile au fur et à mesure du spectacle dans ses formes et ses couleurs. Au départ
lançoire, mur, couloir et
autres constructions plus
imaginaires) finit par se transformer en un jardin d’enfants coloré.
Marion Chobert et Vincent Regnard
Avec ce projet, nous nous saisissons de ce cri poétique lancé par Claudine Galéa, pour nous questionner sur
notre rapport au temps et au langage, nous qui jonglons avec le réel à en perdre haleine, nous qui parlons
éter ce poème dramatique mis en scène par Marion Chobert, nous écrivons le spectacle pour
toutes les voix du texte (Titus, le père, la mère, le maître d’école, les
la pièce comme un poème intérieur de Titus, et non comme une mise en jeu de
ci prennent la forme de voix, souvent intrusives, dérangeantes, venues du
ien prend ainsi le statut de
ce personnage qui invente
nt et ses secrètes
, ce petit garçon qui cherche sans relâche un nouvel équilibre dans une réalité tous
Nous allons donc adapter, rechercher, créer une partition jonglée traduisant une écriture littéraire. Cela
us amène sur d’autres chemins, à réinventer un processus de composition pour trouver un juste
équilibre entre ce qui est dit par la parole et ce qui est raconté par le mouvement des corps et des objets.
par une musique
un son,
doux rayon de
Nous avons imaginé que l’univers de Titus pouvait se composer de jeux en bois à grande échelle. Ainsi la
se dévoile au fur et à mesure du spectacle dans ses formes et ses couleurs. Au départ
, il y a
autres constructions plus
Marion Chobert et Vincent Regnard