Densité et mode d'enregistrement des disque magnétique

Telechargé par Sam Brige
Densité d’enregistrement :
Qui est également alternativement appelé densité linéaire, est le nombre de
bits d’information qui peuvent être stockés sur une piste donnée du
disque. Ce concept est mesurée en unités de données par unité de
surface (BPI), Elle n'influence directement la performance, la capacité et le
débit du disque et en est la principale caractéristique. La densité des supports
a augmenté au fil des années, De nos jours elle passe les 15000BPI en
disque
I. évolution de la densité d’enregistrement :
1er génération : les supports physique et bande magnétique : telles que
les disquettes et les bandes avec une densité d’enregistrement modeste.
2eme génération : les disques durs : l'introduction de la
magnétorésistance géante (GMR) a permis une augmentation signifiante
de la densité d’enregistrement.
3eme génération : les supports optiques : Ils marquent la fin du
20ème siècle et surtout la démocratisation des supports numériques.
C’est la génération des disques laser, tels que les CD, DVD... Cette
technologie a augmenté la densité par rapport aux supports
magnétiques
II. Technologies actuelles :
SSD : disques durs à semi-conducteur, utilisent des puces à semi-
conducteurs pour stocker les données , le conception a permis
d’accroitre la densité d’enregistrement comparée aux disques
durs.
Technologies magnétiques avancées : adoptent la
technologie perpendiculaire utilisée dans l’organisation des
particules magnétique qui maximise la densité d’enregistrement.
Stockage holographique : la recherche sur le stockage
holographique explore la possibilité d'exploiter les propriétés de
la lumière pour stocker des informations en trois dimensions,
offrant ainsi une densité d'enregistrement potentiellement
révolutionnaire.
La densité d’enregistrement dépends de plusieurs facteurs et technologiques
tels que :
La nature de la couche magnétisable : la diminution
systématique de la taille de la structure magnétique élémentaire - de
l'oxyde de fer au dioxyde de chrome, puis au "métal pur" utilisé dans
les bandes à particules métalliques et les disques durs , permet
l’augmenter la quantité des informations enregistrer sur les supports
et donc la densité.
La distance entre la tête de lecture et la couche
magnétisable : cette parmi les technique adopter pour augmenter
la densité, plus la distance entre la tête et la couche magnétique est
petit plus la densité et grande.
Méthodes d'enregistrement : tels que :
o LMR : L’enregistrement magnétique longitudinal. Le principe
? Les données sont déposées en cercles concentriques par la
tête d’écriture à la surface du plateau, en suivant un axe
parallèle à ce dernier. La magnétisation de l’information suit
ainsi un alignement horizontal, la densité maximale est de
100 à 200 Go par pouce carré (un carré de 2,54 cm de côté) ,
mais c’était avant la révolution de la technologie PMR.
o PMR : (Perpendicular Magnetic Recording) qui a introduit
l’enregistrement magnétique perpendiculaire dans les
disques durs sous l’impulsion de Western Digital en 2005.
Cette fois-ci, les bits de données sont déposés
verticalement, en suivant un axe perpendiculaire à la
surface du disque. Un moyen d’augmenter la densi
surfacique et d’atteindre ainsi 1 To de capacide stockage
par plateau.
o SMR : (Shingled Magnetic Recording) : est une extension
du PMR et offre une plus grande densité surfacique En
termes simples, l’enregistrement magnétique en bardeaux
est une technologie de disque dur qui réduit l’espace entre
les pistes adjacentes sur les plateaux.
L’écart de l’entrefer.
Mode d’enregistrement :
Le codages numerique est la representations des donnes en generant des
signeaux electriques sur les support ,c’est technique ont etais utiliser afin
d’optimisiser la densité .
1. Mode RZ (return to zero ) :
C’est un format de codage le plus simple et intuitif qui existe, dans ce
mode les cellules sont séparées par des espace non magnétiser qui
vont se représenter comme des zéros. Une forme du signal binaire
électrique, c’est à dire il transforme tout simplement les zéros et les
uns binaire en impulsion continue. Un « 0 » est codé par un signal
négative (idéalement nulle) Un « 1 » est codé un signal positive.
2. Mode NRZ (no return to zero ) :
pour economiser les transitions est augmente la densite du support
ce mode genere une seules impulsions au debut de chaque
sequences de bits egaux , cette impulsion est positive pour 1 et
negative pour 0 , si y’a une transition ou un passage de 1 a 0 ou de 1
a 0 ce mode genere une autre impulsion
3. Mode NRZI (no return de zero inverted ) :
Ce code symétrise par rapport au zéro, c’est une variante inversée du
code NRZ
Une transition du signal pour chaque bit « 1 »
Pas de transition pour les bits « 0 »
Représentation en mode NRZI de la suite e suite binaire
(10000101111)
.
4. Mode modulation de Phase PE ( Phase encoding ) :
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