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Évaluation sur la perspective
I – Histoire de l’art
a) Dans l’anquité égypenne, les arstes ignoraient la perspecve. Comment étaient représenté les
personnages ? (2 réponses). /1
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
b) Compléter la phrase par la forme géométrique correspondante : sphère, cube, cône, cylindre. /1
C'est en Grèce que des philosophes et des mathémaciens établirent (de 500 à 100 av. J.-C.) que notre "image
visuelle" était constuée de lignes droites partant de l'œil et formant un ……………….", posant ainsi les bases de la
réexion sur la perspecve. On sait alors que les lignes doivent converger pour exprimer le relief.
c) Compléter avec les mots manquants : ligne d'horizon, des yeux, le point de fuite, les fuyantes - méthodes
géométriques – volume - la profondeur- la Renaissance. /3
C'est pendant …………………………………. (au XVe s.) que des arstes comme Brunelleschi, Alber, De Vinci (...)
cherchèrent des ………………………………………………….. sûres pour représenter en ………………………..même les objets les
plus compliqués.
Ils inventèrent……………………………………, point où convergent les lignes qui représentent ……………………… et que l'on
appelle ………………………………. (ou lignes de fuite). Au début du XVIe s. apparaît la noon de ………………………….., ligne
imaginaire qui se situe toujours devant nous, à la hauteur …………………………. .
I I - Exercices de mise en application
A. Perspective cavalière ou axonométrique
a) A l’aide du quadrillage, compléter les gures pour obtenir une représentaon en perspecve cavalière d’un pavé
droit. /2
b) Reproduire sur le quadrillage la gure ci-dessous en perspecve cavalière. /6
Dans ce type de perspecve, l’objet est vu par une face, on peut se placer où l’on veut pour regarder l’objet (l’image ne
changera pas d’aspect).
Toutes les lignes qui en réalité sont parallèles seront aussi parallèles sur le dessin. Ainsi, les vercales en réalité sont
vercales sur le dessin et parallèles entre elles.
Les horizontales face à nous sont horizontales et parallèles entre elles, celles qui fuient sont elles aussi parallèles entre
elles et gardent le même angle par rapport aux vercales.