4) Khayar Y. Comportement des entérobactéries isolées des urines vis-à-vis de
l'amoxicilline-acide clavulanique et l'ertapenème.Thèses de doctorat en pharmacie,
Université Mohames V, RABAT, université mohammed v de rabat, 2011.
5) Pilet C. Les entérobactéries : Bactériologie médicale et vétérinaire ; systématique
bactérienne. Paris : Doins, 1979.
6) Perriere G. Application d'une présentation par objet des connaissances de
modalisation certains aspects de l'expression des gènes chez E.coli. thèse de doctorat
en pharmacie, lyon: Université Claude Bernard, 1992, 77.
2 – HABITAT :
La majorité des espèces d'entérobactéries sont associées à des hôtes normaux ou
pathologiques, et leurs habitats sont très variés (Moussa et Moussaoui, 2016). Elles doivent
leur nom à l'emplacement fréquent qu'elles occupent dans le tube digestif des mammifères,
dont l'homme, ainsi que d'autres animaux, comme les insectes (Tortora et al. 2013).Elles ont
également été trouvées dans le sol et même dans l'eau (Larousse, 2021).
REFERENCE :
Moussa N, Moussaoui F. (2016). Recherche des Entérobactéries productrices de Beta–
lactamases à spectre élargi dans les viandes de volaille. Mémoire de Master : Microbiologie
appliquée à la santé et à l’environnement .Tébessa, Algérie : Université de Tébessa, 57p.
Tortora, GJ, Funke, BR et Case, CL (2013). Introduction à la microbiologie. Panamerican
Medical Ed. 11éme édition, Pearson, Boston, p. 286.
Larousse (2021). Le Larousse médical : Dictionnaire médicale. France, p. 320.
3 - Entérobactéries en médecine :
3.1. Entérobactéries pathogènes : (Pouvoir pathogène)
Au point de vue de la pathologie médicale, tradition-nullement, on divisait les entérobactéries
en deux catégories :
Pathogènes opportunistes : ce sont des bactérie intestinale, qui ne provoque
habituellement pas de maladie mais qui peut devenir pathogène dans certaines
conditions, lorsque le système immunitaire et la résistance de l'individu sont affaiblis
²(Larousse, 2021).
De plus, ces espèces possèdent des plasmides de résistance aux antibiotiques qui facilitent
la sélection et profitent aux infections dysmicrobiennes. Ce trait est particulièrement
confirmé avec les espèces de Klebsiella pneumoniae, qui peuvent infecter diverses voies
respiratoires. (Brrehil et al., 2018).