Préparation du TEF

Telechargé par Mohamed Nait Mouloud
Pour faciliter la vie des étudiants (texte à trous)
La vie d’étudiant n’est pas toujours facile. Entre un budget limité et le travail à fournir, il n’est
pas toujours évident de trouver les moyens nécessaires au quotidien en général. …(phrase
1)… C’est pourquoi l’association Echo, spécialiste des animations universitaires, a conçu la
CarteEtudiante.com. Née d’une réflexion conjointe des établissements concernés, commerces
et associations d’étudiants, elle pourrait bien devenir la nouvelle alliée des jeunes.
…(phrase2)… Nominative et magnétique, elle est valable toute l’année scolaire et fait
bénéficier son titulaire de réductions immédiates : …(phrase 3)… Elles portent sur les
formations, la restauration, les vêtements, les voyages et les divertissements. A vocation
communautaire, la carte permet aux étudiants de se rassembler via le site internet dédié qui
regorge d’idées de sorties. …(phrase 4)… Et cela en toute sécurité, car elle est complétée par
une charte qui préconise notamment ma mise en place de navettes et postes de secours
pendant ces manifestations. …(phrase 5)… Certaines pensent même à l’utiliser comme badge
magnétique d’accès sécurisé à certaines salles.
Phrase 1 :
A. Alors, les parents aident leurs enfants.
B. On organise alors son temps au mieux.
C. Pourtant, les jeunes ne se découragent pas.
D. Il est difficile aussi de s’occuper de ses loisirs.
Phrase 2 :
A. L’association Echo mise sur leur enthousiasme.
B. Une enquête sur leurs attentes conforte cette idée.
C. Ils sont généralement friands de ce type de proposition.
D. Cette carte offre, pour 10 euros, une multitude d’avantages.
Phrase 3 :
A. celles-ci profitent à tout son entourage
B. elle lui permet alors de limiter ses dépenses
C. il profite ainsi des remises allant de 10 à 50 %
D. un délai d’utilisation de trois mois lui est alors imposé
Phrase 4 :
A. Sans pour autant les éloigner de leurs études.
B. L’inscription à ce site est fortement conseillée.
C. Ces rencontres ne sont pas seulement virtuelles.
D. Elle les invite aussi à des rendez-vous festifs ou culturels.
Phrase 5 :
A. Une démarche qui suscite l’inquiétude des municipalités.
B. Ces mesures rassurantes sont accueillies avec bienveillance.
C. Déjà séduites, plusieurs écoles et associations en font la promotion.
D. En complément, une assurance est proposée aux étudiantes mineures.
Les listes des taches à faire (texte à trous)
(…phrase 1…) John Herman, un cadre d’une entreprise de télécommunication, a utilisé
pendant des années des milliers de fiches cartonnées pour parvenir à faire ce qu’il avait à
faire. (…phrase 2…) En effet, il lui est arrivé plusieurs fois de perdre une fiche ou, pire
encore, de les perdre toutes et, par conséquent, de devoir les reconstituer.
Comme John Herman, beaucoup de cadres voient dans les listes de choses à faire le moyen
d’éviter les défaillances en tout genre. Les listes sont souvent présentées comme la clé de
l’efficacité. (…phrase 3…) Au lieu de faire des choses vraiment importantes, certains en
arrivent à vouloir en faire le plus possible.
(…phrase 4…) Si on est désorganisé, la technologie accentue la pagaille. 30 % des listophiles
passent plus de temps à gérer leurs listes qu’à s’acquitter des tâches qu’ils notent. Ces gens se
sentent plus à l’aise en mode pause qu’en mode action. (…phrase5…)
Phrase 1 :
A- Les listes de choses à faire sont essentiellement utilisées par les ouvriers.
B- Les listes de choses à faire stimulent la créativité au sein des entreprises.
C- Les listes de choses à faire sont le meilleur moyen de meubler les heures de loisir.
D- Les listes de choses à faire font partie des contraintes professionnelles des cadres.
Phrase 2 :
A- Cela lui prenait un temps fou.
B- C'était son passe-temps favori.
C- Cela lui faisait gagner du temps.
D- Cela le dispensait d'un travail inutile.
Phrase 3:
A- Cependant, elles ne tiennent que rarement leurs promesses.
B- En effet, elles représentent le gage d'une réussite exceptionnelle.
C- Elles témoignent d'ailleurs une capacité à sélectionner les priorités.
D- Elles constituent en fait un savoir-faire primordial pour un bon gestionnaire.
Phrase 4:
A- Les agendas électroniques de poche peuvent exacerber les problèmes.
B- Les agendas électroniques accroissent par défaut les performances des listophiles.
C- La majorité des listophiles renoncent à l'usage des agendas électroniques de poche.
D- Avec l'apparition des agendas électroniques, l'usage des listes s'est complètement éteint.
Phrase 5:
A- C'est vrai qu'il est moins risqué de planifier que d'agir.
B- C'est vrai que la liste ouvre un champ d'action plus large.
C- Ce qui leur épargne des actes spontanés dur un coup de tête.
D- C'est une façon d'agir avec toutes les précautions nécessaires.
Le mal des transports (texte à trous)
Le mal des transports est une affection courante. — (Phrase36) — On considère qu’une
personne sur trois en souffrira au moins une fois dans sa vie. Les femmes et les enfants sont
plus souvent atteins que les hommes, les nouveau-nés et les personnes âgées. — (Phrase 37)
— Ensuite viennent les nausées et les vomissements. On a froid, il arrive que l’on salive
beaucoup et que la pupille se dilate. On peut même se trouver en état de semi-syncope :
certains vont jusqu'à perdre connaissance brutalement. — (Phrase 38) — Suivent alors le mal
de l'air, puis le mal de voiture (chez les enfants) ou de train. On peut en souffrir lorsque l'on
est à dos de chameau ou d'éléphant, mais rarement à cheval.
— (Phrase 39) — : nos amies les bêtes, notamment les chevaux, vaches, chiens et chats y
sont également sensibles. — (Phrase 40) — : on peut désormais que traiter en quelques
séances de rééducation vestibulaire.
Question 36 :
A. Elle atteint une partie infime de la population.
B. Elle touche de façon chronique nombre de personnes.
C. Ce trouble rare existe pourtant depuis la nuit des temps.
D. On ignore encore l'importance des populations atteintes.
Question 37 :
A. Chaque année arrivent de nouvelles victimes.
B. Les symptômes sont multiples et assez mal définis.
C. Les personnes fragiles sont souvent I. plus atteintes.
D. On commence souvent par blêmir puis par somnoler.
Question 38 :
A. La fréquence des malaises s'accroit.
B. Cet état ne dure que quelques minutes.
C. L'affection la plus déclarée est le mal de mer.
D. On restera prudent devant l'évanouissement.
Question 39 :
A. Sauf en cas d'allure non maitrisée.
B. L'homme n’est pas le seul à en être victime.
C. Ce triste privilège appartient seulement à l'homme.
D. Les espèces animales en sont curieusement protégées.
Question 40 :
A. Mais ce mal n'est plus une finalité
B. Une fatalité à laquelle nul n'échappe.
C. Ils n'ont pas accès aux nouveaux remèdes
D. Ce malaise n'a pas fini de faire des dégâts
Les potins ? C’est aussi de l’info (texte à trous)
Les sociologues britanniques ont effectué une étude sur les conversations qui se déroulent sur
le lieu de travail. (...36...) Neuf personnes sur dix ont déjà révélé des confidences au travail. Il
s'agit dans la moitié des cas d'informations personnelles. (...37...) Questions confidentielles,
promotions et augmentations, mutations et licenciements — rien n'est épargné. Pourquoi les
salariés sont-ils donc prêts à risquer leur carrière en révélant des informations sensibles ?
(...38...) Ils utilisent l'information pour garder le contrôle.
Les commérages peuvent coûter cher à l'entreprise. (...39...) Près d'une société sur six a déjà
mis formellement en garde ses salariés à ce sujet.
(...40...) Dans certains cas, le responsable de service ne découvre un problème interne qu'en
bavardant avec les gens au café, après le travail. De cette façon on peut discrètement faire
passer l'information au supérieur hiérarchique.
Question 36
A- Selon cette étude, 80% des conversations sont consacrées aux commérages.
B- Selon cette étude, 80% des salariés communiquent difficilement entre eux.
C- Selon cette étude, 80% des salariés manquent de contact avec l'administration.
D- Selon cette étude, la communication améliore la rentabilité de l'entreprise de 80%.
Question 37
A- Mais un tiers porte sur les problèmes d'argent et de santé.
B- Mais un tiers touche les problèmes familiaux et les enfants .
C- Mais un tiers de ces conversations concernent le travail.
D- Mais un tiers des cas recensés ont un rapport à la politique.
Question 38
A- Certains agissent par peur de l'administration.
B- Certains cherchent à acquérir du pouvoir.
C- Certains essayent de soutenir leurs collègues.
D- Certains le font sans aucun objectif particulier.
Question 39
A- Les employeurs voient donc les colporteurs de rumeurs d'un très mauvais oeil
B- Aussi les patrons examinent-ils chaque information avec beaucoup de réserve
C- De ce fait, l'administration favorise la circulation des potins par tous les moyens.
D- Les employeurs se montrent donc assez condescendants envers ce genre de potins.
Question 40
A- De surcroit, l'information officieuse induit régulièrement l'administration en erreur.
B- Par ailleurs, par le biais des commérages, l'employeur fait passer les mesures impopulaires.
C- Cependant, cette forme d'échanges représente l'unique moyen de pression sur l'employeur.
D- Pourtant, les canaux d'information informels sont parfois le seul moyen de repérer les
problèmes.
Mamy factory (texte à trous)
« Depuis un an, l’entreprise québécoise, Mamy Factory fait appel à des retraitées pour
confectionner des vêtements pour enfants sur leur temps libre …. (Phrase1)
La fondatrice a réussi à exploiter deux tendances actuels ; un nombre de retraités qui ne cesse
de croitre et la consommation responsable qui séduit de plus en plus de monde… (Phrase2)…
les collections sont dessinées en interne. Lorsque le produit est validé, la laine est envoyée au
domicile des tricoteuses, aux quatre coins de la Province…. (Phrase3)…Faire appel à un
fournisseur à l’autre bout du monde exigerait au contraire des mois de production.
… (Phrase4) … chacune ouvre à son rythme, la marque souhaitant limiter les stocks au
minimum.
… (Phrase5)… En effet, plus de 3500 grands-mères ont contacté Mamy Factory pour devenir
les petites mains de la marque.
Phrase 1 :
A) l’âge des employées n’est pas une garantie de qualité.
B) en employant ces cadres, l’usine a dopé l’emploi dans la région.
C) le savoir-faire des ainées est plébiscité et les commandes se multiplient.
D) la dernière collection propose des tenues adaptées aux goûts des séniors.
Phrase 2 :
A) Elle imagine alors les mamies tricoteuses de matières naturelles.
B) Afin de réduire les coûts, la production est délocalisée à l’étranger.
C) Cette créatrice a ainsi permis à ces chômeuses de reprendre une activité.
D) Pour garantir plus de souplesse, les stylistes sont extérieurs à l’entreprise.
Phrase 3 :
A) Le bilan carbone de l’opération est ainsi positif.
B) Le cycle de fabrication est ainsi largement réduit.
C) Ce choix permet de faire des économies substantielles.
D) Cette gestion locale est la marque d’un commerce engagé.
Phrase 4 :
A) Pour autant, pas question de mettre pression aux mamies.
B) Ce système est néanmoins incompatible avec des délais serrés.
C) Un bonus est accordé aux mamies qui tricotent plus que demandé.
D) La demande est si forte que des grands-mères croulent sous la charge.
Phrase 5 :
A) Le concept fait des émules et le bouche à oreille fonctionne à merveille.
B) Galvanisés avec ce succès, les mamies revendiquent une revalorisation.
C) D’anciennes coutrières limogées ont désormais une perspective d’avenir.
D) Les débuts restent modestes mais devraient bientôt toucher le grand public.
1 / 17 100%

Préparation du TEF

Telechargé par Mohamed Nait Mouloud
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !