
Est -il anxieux, triste, agressif, à t’il peur ? . Les humeurs seront observées durant la journée
ainsi que la nuit de plus la prise des traitements médicamenteux sont également à surveiller.
Chaque jour est un jour différent, c’est pour cela que l’évaluation doit se faire quotidiennement.
Via à ses évaluations, il est possible d’observer les progrès et les régressions chez le patient.
L’infirmier doit travailler sur l’aspect psychologique en privilégiant les moments d’écoute avec
le patient. Via l’écoute, les soins peuvent être un moment qui apportent un certain nombre
d’information qui peuvent être indispensable à la prise en charge du patient. Savoir analyser et
repéré les signes et symptômes d’une des phases du trouble bipolaire, permet de prendre en
charge correctement le patient. Reconnaitre lorsque la personne « retombe » dans une des
phases. Dès l’apparition des premiers signes, l ’infirmier doit l’avertir dans le rapport de soin
afin de suivre l’évolution du patient. Ainsi, il doit être capable de prendre en charge la personne
lorsqu’elle est dans une des deux phases.
A présent l’accompagnement d’une personne atteinte d’un trouble bipolaire, demande
une certaine posture soignante. Dans un premier temps, l’infirmier qui ne possède pas de bagage
dans ce milieu peut se sentir inutile. Le sentiment d’impuissance est une sensation qui peut se
faire ressentir lors d’une situation de crise ou encore lors d’un refus de soin. L’infirmier peut
alors prendre personnellement cette position. Au fur et à mesure de prendre cela pour soi,
l’infirmier risque de perdre confiance en soi ou de se sentir inutile. Cela peut amener à une perte
d’intérêt de la profession ou encore se sentir perdue. Le professionnel de santé peut être amener
à développer un burnout. La différence d’approche de communication peut accentuer cet état
cela peut engendre également un sentiment de culpabilité. Coupable de ne pas être à la hauteur,
et de ne pas prodiguer des soins de qualités. Pourtant ce critère fait partie de la discipline
infirmière ; « Le patient doit toujours, où qu’il soit, pouvoir compter sur les meilleurs soins
possibles, peu importe le prestataire qui lui prodigue des soins ou le lieu où ceux-ci lui sont
prodigués.» (Maggie, 2018)
Cet état peut ammener des manifestations d’un comportemnt d’agréssivité.Ayant perdu tout
humanisme,l’infirmiers se place en tant que simple soigant thérapeutique.Hors qu’en psychatrie
,il n’a pas que le médical qui soigne,il y’a aussi tout l’aspect mental.
D’abord, l’écoute est un critère pertinent en raison d’etre en mesure d’exploiter et
d’explorer le vécue de chaque personne. Toujours dans l’accompagnement du trouble
bipolaire,le rôle infirmier est composé également de moment de partage.Le partage
d’informations à titre de récolter des informations de types procédurales,mais aussi le partage
d’information qui va permetttre au patient de raconter son vécue à une personne de confance.le
fait de creér un lien va permettre au patient de se rendre compter que l’infirmier n’est pas la
contre lui mais avec lui.Lors des sitations de crise ou de dépression,le patient pourra bénéfincier
d’un sentiment d’assurance.Ce qui va permettre au soignant de reconnaitre les signes de
dépression du patient.Pouvoir accompagner le patient de manière singulière permet
d’augmenter la qualité des soins.