AIMER sa VIE(1)

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Sommaire
Comment mettre plus de plaisir dans ma vie ?...................... Page 2
5 conseils pour arrêter de prendre les choses trop à cœur
Page 11
Pourquoi c’est toujours à moi de faire des efforts ?............ Page 17
Comment apprendre à aimer sa vie ?.....................................
Page23
Comment arrêter d’avoir besoin du regard des autres ? .... Page 27
Bonne Lecture !!
Aimer sa vie
page 3
Comment mettre plus de plaisir dans ma vie ?
C’est une question que l’on me pose
souvent lors de mes coachings, et sur
laquelle je travaille beaucoup.
Et c’est fatiguant, car notre vie
ressemble à une suggestion de « il
faut » et de « je dois ».
Il faut reconnaître que nous avons
tendance à transformer nos vies en
quelque chose de lourd et de
sérieux,
où
les
difficultés
s’enchaînent.
Donc, d’après moi, nos
manquent souvent de plaisir.
On se prend la tête pour un oui, ou
pour un non, pour des choses qui
n’auront plus d’importance dans
quelques années.
On cogite tout le temps, on anticipe,
on essaie de tout contrôler, de tout
prévoir.
vies
Mais on sait tous que la vie pourrait
être autre chose. Notre petite voix
nous dit que la vie c’est bien plus
que ça.
Et à mon sens c’est important de
remettre cette notion de plaisir, de
fun et de légèreté dans notre vie.
Alors j’ai réfléchi à des conseils que
vous pourrez mettre en application
concrètement pour redonner du
Aimer sa vie
page 4
plaisir à votre vie.
1 - Qu'est-ce qui vous ferait plaisir
aujourd'hui ?
Le premier point, peut sembler
évident mais l’idée est de prendre le
temps de vous demander chaque
jour ce qui vous ferait plaisir
aujourd’hui ?
Prendre le temps de vous poser cette
question vous permettra peut-être
d’avoir des idées, des envies.
Cependant si vous n’avez pas de
réponse sur le moment, ne vous
prenez pas la tête.
Un matin vous aurez peut-être une
réponse et un autre vous n’en aurez
pas, et ce n’est pas grave.
Ce n’est qu’une des dix pistes que je
veux vous donner à explorer.
Donc commencez déjà à prendre
comme habitude de vous poser
cette question.
2 - Se reconnecter à son enfant
intérieur
La deuxième piste que je veux
partager avec vous est très large et
très complète.
Aimer sa vie
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Il s’agit de vous reconnecter à votre
enfant intérieur.
gens qui me jugent comme trop
légère ou trop futile.
Car lorsque nous étions enfants on
se posait beaucoup moins de
questions.
Leurs avis ne m’appartiennent pas
et je sais que c’est très important de
faire de la place au rire dans notre
vie.
Si on avait envie de rire, on riait, de
crier, on criait, de jouer, on jouait…
Nous étions plus dans le flux de la
vie.
Donc je vous propose d’aller
rechercher cet enfant intérieur que
vous avez encore, comme son nom
l’indique, à l’intérieur de vous.
A) Faire place aux rires
Tout simplement en laissant de la
place aux rires.
Il est démontré que plus on vieillit et
moins on rit, alors à nous de faire
mentir les statistiques.
On peut faire des choses sérieuses
sans se prendre au sérieux. Donc
l’idée est vraiment d’aller provoquer
le rire, de ne pas attendre qu’il vienne
à nous.
Cela peut se faire en regardant un
film humoristique, en regardant des
vidéos drôles, en voyant des gens
qui vous font du bien parce que vous
savez qu’avec eux vous rigolez bien.
Rien qu’échanger un rire, un sourire
avec quelqu’un est quelque chose
de très puissant.
B) Faire appel à la musique
On a développé une croyance par
rapport au rire, comme quoi ce n’est
pas sérieux.
Pour retrouver notre enfant intérieur,
on peut également faire appel à la
musique.
Et moi la première qui aime
énormément rire, j’ai longtemps eu
cette impression de ne pas être prise
au sérieux parce que je faisais de
l’humour.
On sait qu’elle adoucit les mœurs
mais elle est aussi capable de
générer des émotions.
Et puis finalement j’ai décidé de ne
plus accorder d’importance aux
Souvenez-vous lorsque nous étions
adolescent.e.s, quand ça n’allait pas,
on écoutait des musiques tristes qui
nous permettaient de pleurer.
Aimer sa vie
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Mais désormais je vous conseille
d’écouter des musiques qui vont
vous nourrir, vous faire plaisir.
Un autre point pour retrouver votre
enfant intérieur est la créativité.
Ce qui peut être de la cuisine, du
jardinage, de la couture, du dessin
peu importe.
L’essentiel est de vivre ces moments
qui vous feront oublier le temps qui
passe.
Ça ajoutera du plaisir à votre vie et
ça vous fera sortir des « je dois » et
des « il faut » pour redonner de la
place à l’envie.
C) Être ouvert(e) et curieux./
curieuse
Le dernier point que je souhaite
aborder concernant votre enfant
intérieur, c’est l’ouverture et la
curiosité.
On est tellement enfermé.e.s dans
nos croyances et nos peurs en tout
genre
que
l’on
se
ferme
progressivement à la vie.
Alors je vous invite à sortir de ce
côté blasé et à redécouvrir
l’émerveillement.
Redécouvrir
votre
famille,
votre
conjoint,
vos
logement…
enfants,
votre
Tout
redécouvrir
avec
émerveillement, comme si vous le
voyez pour la première fois.
En résumé faites de la place à votre
enfant intérieur. Il est là en vous, et
quand il va s’exprimer il ramènera
du plaisir et de la légèreté dans
votre vie.
3 - Bousculer la routine
Nous fonctionnons principalement
en mode pilote automatique.
On fait les choses de la même
manière aujourd’hui, demain, aprèsdemain …
Et la routine elle nous ennuie, elle
n’est pas propice au plaisir.
Alors demandez-vous
ce que vous pourriez changer
dans votre quotidien ?
Ça peut être ce que vous mangez ou
le chemin que vous utilisez pour aller
au travail par exemple.
Donnez
un
coup
de
bienveillant à votre routine.
pied
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4 - Être dans l'instant présent
échange avec quelqu’un.
Quatrième conseil, être moins dans
votre tête et plus dans le moment
présent.
Sortez de votre tête pour
simplement l’écouter et lui parler
sans masques.
On parle beaucoup de pleine
conscience et à mon sens ce n’est
pas une mode.
Cela va contribuer à ajouter du fun
et du plaisir dans votre vie.
La pleine conscience permet de
redonner du plaisir, de la présence,
et de la sérénité ainsi que de
profiter de la vie tout simplement.
5 - La gratitude
On ne peut pas profiter de la vie en
étant tout le temps dans notre tête.
Elle monte nos vibrations, ce qui est
bon pour notre santé et notre côté
plaisir.
Donc sortez de vos pensées pour
être davantage présent pleinement
à ce qui est en train de se passer.
Faites le test lors de votre prochain
Les vertus de la gratitude sont
nombreuses.
La gratitude consiste simplement à
dire merci, merci pour ce que j’ai.
Aimer sa vie
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Alors souvent on peut courir après
ce que l’on n’a pas et être
insatisfait(e).
On se sent frustré car il n’y en a
jamais assez pour notre ego.
La gratitude me donne la possibilité
de me réjouir de ce que j’ai, de ce
que je suis, plutôt que de regarder ce
qui me manque.
Alors faites de la place à la gratitude.
Vous pouvez adopter les 3 kifs par
jour de Florence Servan-Schreiber.
Vous pouvez les retrouver dans son
livre qui nous invite à écrire chaque
soir trois choses pour lesquelles
nous sommes reconnaissant(e)s
dans notre vie.
Ce qui peut être un moment fun de
votre journée.
6 - Tomber les masques !
J’ai vécu des années avec un
masque.
Et bien souvent on en porte un pour
être aimé.e et accepté(e).
De ce fait on s’impose des
contraintes, on fait semblant, on
surjoue, on essaie d’être quelqu’un
que l’on n’est pas.
Alors tombons le masque pour aller
vers davantage d’authenticité.
Arrêtons de jouer à être ce que nous
ne sommes pas car nous sommes
les seul.e.s à pouvoir incarner l’être
que nous sommes vraiment.
Et être soi, ramène beaucoup de
plaisir, on ressent moins de
frustration et de culpabilité.
7 - Donner pour faire plaisir
Je suis sûre vous l’avez déjà vérifié,
donner, nous apporte de la joie.
Car donner est l’un des besoins
fondamentaux de l’être humain.
Alors ça peut être du temps, de
l’écoute ou de l’aide.
Soyez créatif/créative
et demandez-vous
ce que vous pourriez donner ?
Parce que faire quelque chose de
bien pour les autres, apporte du
plaisir à notre vie.
Donc donnez ce que vous pouvez
en fonction de vos moyens et de
vos possibilités.
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8 - Faire quelque chose qui vous
fait peur
Et par là, je n’entends pas faire
quelque chose de dangereux, il peut
s’agir d’une toute petite chose.
Ce qui me faisait peur il y a quelques
années c’était de demander une
autre baguette à la boulangère.
Mais je l’ai fait et cela a créé en moi,
un sentiment d’accomplissement.
Donc c’est du plaisir à l’état brut.
Alors essayez de voir ce qui vous
fait peur et ce que vous n’osez pas
faire ou ne pas dire et faites-vous le
cadeau de passer à l’action.
9 - Sourire pour ajouter du plaisir
à votre vie
Un échange de sourire avec un.e
inconnu.e c’est quelque chose de
génial.
Alors certes avec le masque en ce
moment c’est compliqué mais même
si je souris ça se voit dans mon
regard.
Le sourire est très important.
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D’ailleurs j’ai une astuce qui
pourrait vous aider lorsque vous
êtes angoissé(e)s ; souriez !
Ce qui ne veut pas dire de ne plus
allez au travail ou ne plus être
performant.
Même si c’est un sourire forcé, ça
fonctionne car notre cerveau ne
sait pas générer deux émotions
radicalement opposées en même
temps.
Prenez le temps de respirer, de
regarder ce qui vous entoure.
Donc, même si vous devez vous
forcer à sourire parce qu'il n'y a rien
de drôle ou d'heureux dans votre vie,
vous allez voir qu'il y aura un impact
intéressant.
Cela apportera du plaisir dans
votre vie.
Laquelle ou lesquelles de ces dix
clés allez-vous appliquer ?
L’idée par le biais de tous ces
conseils est de passer à l’action.
C’est ainsi que vous pourrez
retrouver le plaisir de vivre votre vie.
10 - Prendre le temps de se faire
plaisir
C’est l’intention que je tiens pour
vous.
Nous vivons dans une société où tout
va vite.
Si vous désirez, allez plus loin
pour apprendre à réellement vous
C’est la société micro-ondes.
aimer tel que vous êtes,
On court tout le temps. Et si on ne vit
pas notre quotidien en conscience,
on vit en mode pilote automatique.
je vous invite à réserver
On a alors l’impression d’être en
apnée, de manquer de temps pour
faire ce que l’on aimerait, de
manquer d’amour, d’argent.
Alors appuyez sur « PAUSE », et
prenez le temps.
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Aimer sa vie
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5 conseils pour arrêter
de prendre les choses trop à cœur
Avez-vous l’impression de prendre
les choses trop à cœur, et que
cela devient de plus en plus un
poids dans votre vie ?
Vous sentez-vous impacté(e)
émotionnellement par les
événements qui se déroulent
autour de vous et les choses qui
vous arrivent ?
Avez-vous le sentiment que vous
devenez une éponge qui se remplit
de problèmes et d’émotions, même
parfois de ceux des autres ?
Prendre les choses trop à cœur
vous tire vers le bas au quotidien et
peut devenir un véritable poids
pour vous, alors que prendre les
choses à cœur sans exagération est
quelque chose de très positif.
Cela ramène de la vie dans notre
existence.
J’ai pour habitude de dire que ce
n’est qu’une question de curseur,
que si on prend trop les choses à
cœur c’est que le curseur est poussé
à son extrême.
On peut alors être embarqué(e)
dans des émotions et des pensées
Aimer sa vie
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extrêmement désagréables et avoir
du mal à se décoller de cette
souffrance.
A contrario, si on ramène le curseur
dans l’autre position extrême, en
disant qu’on ne veut plus du tout
prendre les choses à cœur, on se
coupe de ses ressentis, tel un robot,
et la vie devient alors bien fade.
Il faut donc réussir à trouver un
intermédiaire, le juste milieu qui
permet de ne pas vous couper
totalement de vos émotions et de
vos ressentis, même si vous pensez
être quelqu’un d’hypersensible et
que tout prend des dimensions
vraiment trop importantes.
Vos émotions et vos ressentis sont
des boussoles.
C’est pour cela qu’il est important de
les conserver et de ne pas vous en
détacher complètement en coupant
les vannes.
Dans cet article, je vais vous livrer
cinq conseils que vous pourrez
appliquer
quand
vous
aurez
vraiment tendance à prendre les
choses trop à cœur et qui vous
permettront de remettre le curseur
dans une position qui soit juste.
Ne plus prendre les choses trop à
cœur en prenant du recul.
Pour pouvoir prendre du recul face
aux situations pour lesquelles vous
prenez les choses trop à cœur, il faut
d’abord vous poser ces deux
questions :
Est-ce si grave que ça ?
Comme nous avons le don
d’embarquer pour des choses qui,
en réalité, ne sont pas si graves
qu’on le croit, il faut se poser la
question pour s’entendre dire que
non, ce n’est pas si grave.
Est-ce que ça aura encore
de l’importance dans ma vie
dans une dizaine d’années ?
Si vous vous posez cette question et
que la réponse est “non”, cela va
vous permettre de vous détacher de
la problématique et de prendre du
recul face à la situation.
Développer votre discernement.
Si vous prenez les choses trop à
cœur, les problèmes des autres
vont aussi pouvoir vous envahir.
Aimer sa vie
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Pourtant, ce sont des choses sur
lesquelles vous n’avez aucun
pouvoir, aucun levier d’action.
que nous avons un potentiel illimité,
même si nous n’y sommes pas
souvent connectés.
C’est pour cela qu’apprendre le
discernement est extrêmement
important
pour
votre
santé
psychologique.
Considérer les autres comme de
pauvres petites choses fragiles et
leur apporter de l’aide, même quand
elles ne nous ont absolument rien
demandé, ne fera qu’amplifier le
phénomène de prendre les choses
trop à cœur.
Il faut donc que vous réfléchissiez à
ce qui dépend de vous quand vous
vous sentez débordé(e) et à faire la
part des choses, entre ce qui vous
appartient et ce qui n’est pas de
votre ressort.
Quand on prend les choses trop à
cœur, on a souvent tendance à
oublier que l’autre est extrêmement
puissant, et on oublie également
Pour cela, je vous propose un petit
exercice :
Prenez une feuille et un stylo et
faites deux colonnes :
une avec les choses qui vous
prennent la tête en ce moment,
et qui dépendent de vous,
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une autre avec les choses qui ne
vous appartiennent pas.
Cela ne doit bien entendu pas vouloir
dire que vous ne devez jamais aider
les autres, ni que vous devez devenir
égoïste, mais simplement que le
meilleur moyen d’aider quelqu’un
c’est de le considérer comme une
personne puissante.
De plus, il vaut mieux se décoller de
sa situation car si vous êtes autant
impacté(e) que lui, vous ne serez
pas de bons conseils et vous risquez
de manquer de discernement.
Plonger à l’intérieur de vous
Vous avez sûrement repéré des
scénarios qui se répètent, des
phrases
que
vous
entendez
régulièrement et qui vont toujours
avoir le même impact émotionnel
sur vous, ou encore des situations
auxquelles vous êtes confronté(e)
assez souvent et vous bouleversent
à chaque fois.
Cela vient du fait qu’il y a des
schémas
et
des
blessures
conscientes et inconscientes à
l’intérieur de vous et qui font que
vous créez ces scénarios vous-
même.
C’est pour cela qu’il faut plonger en
vous, pour prendre conscience et
identifier vos déclencheurs, ces
boutons, sur lesquels les autres
sont très doués pour appuyer !
Après avoir pris conscience de vos
déclencheurs, vous pourrez mieux
comprendre ce qui se joue.
Je vous invite à vous inspirer de
ma playlist sur ma chaîne YouTube
qui est consacrée aux blessures et
qui
vous
aidera
à
mieux
comprendre vos déclencheurs.
Arrêter de gamberger tout le
temps
Souvent, quand nous prenons les
choses trop à cœur, notre mental
se raconte l’histoire en boucle et
nous allons gamberger dessus
pendant un long moment.
On se retrace toute l’histoire, on
rumine, on tente d'interpréter les
choses, on s'inquiète, on anticipe…
Plus on gamberge, plus on arrive à
des choses qui sont complètement
déraisonnables.
Michel
de
Montaigne disait :
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“ma vie a été remplie de
terribles malheurs, dont la
plupart ne se sont jamais
produits”.
Ce qu’il voulait dire c’est que la
plupart de ses malheurs n’ont existé
que dans sa tête, à cause de sa
capacité à anticiper.
Il s’est donc imposé des souffrances
aujourd’hui pour quelque chose qu’il
pensait arriver demain, mais ces
choses ne sont jamais arrivées.
Je vais vous livrer un conseil pour
que vous puissiez vous faire le
cadeau d’arrêter de ruminer : tenezvous en aux faits.
Posez-vous la question quand vous
sentez que vous commencez à
ruminer
“quels sont les faits ?”.
Par exemple, si une personne vous
dit quelque chose, ne tentez pas
d’interpréter sa phrase en ruminant
mais tenez-vous en à ce qu’elle
vous a dit, sans extrapoler, ni
interpréter.
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Ne plus prendre les choses trop à
cœur en maîtrisant vos émotions
Quand
vos
émotions
vous
embarquent, quand le cerveau crée
des émotions désagréables à
l’intérieur de vous, vous ne maîtrisez
plus vos pensées et cela a un
impact sur votre santé.
Il faut donc apprendre à nettoyer
cela en gérant ses émotions, sans
les accumuler en nous, ni les jeter sur
les autres non plus.
Voyons cela comme une cocotteminute qui contient des émotions
enfouies depuis des années car elle
ne veut pas embêter les autres ou
parce qu’elle a peur de ce que cela
va donner.
Un jour, la cocotte-minute va
exploser à force de retenir toutes
ces émotions !
C’est pour cela qu’il faut vider cette
cocotte-minute
afin
qu’elle
n’explose pas à n’importe quel
moment ou devant n’importe qui, et
de
manière
totalement
disproportionnée.
Pour apprendre à maîtriser ses
émotions, il est important de bien
choisir ses outils. Il y a des outils qui
vous
parleront
et
d’autres
beaucoup moins.
Je pense que la meilleure méthode
reste l’EFT, qui est un outil qui
contribue, selon moi, à un meilleur
bien-être
psychologique,
émotionnel et physique.
Vos émotions sont un atout
dont il ne faut pas avoir peur
ni se contenter de les fuir,
mais simplement de remettre
les curseurs à un endroit
qui vous permet
de ne plus prendre les choses
trop à cœur.
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Pourquoi c’est toujours à moi de faire des efforts ?
Vous avez envie de devenir une
meilleure version de vous, alors
vous apprenez des choses, que vous
essayez de mettre en application.
Pourquoi faire des efforts ?
Vous essayez de faire des efforts et
parfois, vous en avez marre d’en
faire.
Car quand on est en chemin, on
comprend des choses, on évolue, on
apprend, on se remet en question.
Et vous vous demandez :
On est sans cesse en train de se
demander si c'est la bonne chose à
faire.
pourquoi ce serait toujours à vous
de faire des efforts
et pas aux autres ?
Alors cet article, est fait pour vous.
Je me suis souvent posée cette
question.
On essaye vraiment d'évoluer et de
mettre en application tout ce qu'on
apprend.
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Par exemple on apprend à parler
avec bienveillance, à communiquer
sans violence.
Et c'est génial, sauf qu'à un moment
donné, on est confronté à des gens
qui ne sont pas sur le même chemin.
Elle se sent attaquée, menacée par
l'autre.
Et elle n'hésiterait pas à rentrer en
conflit avec l'autre et lui dire ses
quatre vérités.
Donc ça nous demande de faire
des efforts, de l'énergie, des
ressources pour prendre sur nous,
pour évoluer, pour garder le cap.
Tout au long de notre parcours, on
a l'impression, et moi aussi, de faire
du rodéo avec cette partie de nous,
pour ne pas oublier toute la
théorie.
Quand en face, il n'y a pas
l'évolution qu'on aimerait voir chez
l'autre et voir chez nous.
Et en venir à se demander pourquoi
c'est toujours à moi de faire des
efforts.
Faire des efforts pour dompter
notre ego
On peut trouver ça fatiguant : sans
cesse essayer de comprendre
l'autre quand en face, on a
l'impression que ce n'est pas la
même chose.
Finalement, ça demande vraiment
des efforts pour dompter notre
ego.
Cette partie de nous qui est rempli
de jugements de valeur.
Car elle n'en a rien à faire de la
communication non violente, elle
n'en a rien à faire de la bienveillance,
elle n'en a rien à faire de "j'accueille
ce que tu me dis".
Elle n'a qu'une envie, c'est de
répondre du tac au tac.
Le chemin de l'éveil spirituel
En fait, je crois que c'est notre ego
qui se le demande.
Parce que c'est lui qui trouve ça
fatigant.
C'est lui qui juge que l'autre pourrait
lui aussi faire sa part du boulot et lui
aussi, prendre le chemin.
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Notre ego croit savoir aussi quel est d'essayer de mettre les formes,
d'essayer de devenir une meilleure
le chemin de l'autre.
version de moi, simplement parce
Il pense que notre chemin, c'est le que je vais en récolter les fruits.
bon, qu'il est universel et que tout le
monde devrait faire ce que nous Bien sûr si j'en récolte les fruits alors
mon entourage aussi.
faisons.
En se questionnant de cette manière, Mais la première personne à en
il oublie complètement que ce n'est bénéficier c’est moi.
pas pour l'autre que je fais le chemin.
Car on va essayer de dompter notre
Ce n'est pas non plus pour changer égo, de faire en sorte qu'il ne
mon image dans le regard de l'autre. s'exprime pas à un moment où il
aurait parfois toutes les raisons de le
Je fais le chemin d'évoluer, faire.
d'essayer de me comprendre,
Aimer sa vie
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Et puis par rapport à l'autre
maintenant, on fait quoi ?
Mais si j'arrive à retenir mon ego,
alors il va prendre de moins en
moins de place, dans mes relations
Parfois, on va trouver ça fatigant de
aux autres.
faire des efforts et de toujours
Donc ça c'est gagné pour la relation mettre les formes, on a le droit de ne
et pour l'autre. Mais aussi de moins pas toujours y arriver.
en moins de place par rapport à soi.
Moi, je n'y arrive pas tout le temps. Et
Parce
que
si
j'apprends parfois, on a le droit d'en avoir marre
progressivement à ne pas me de faire des efforts.
lâcher, ne pas juger, ne pas
critiquer, je vais aussi me critiquer Donc peut-être que ponctuellement,
moins facilement et moins souvent. je vais accepter que je n'ai pas envie
de faire d'effort.
En apprenant à donner de la
bienveillance à l'autre, j'apprends Je ne vais pas aller alimenter mon
ego en souhaitant du mal à l'autre et
aussi à m'en donner à moi.
en campant sur mes prises de
position.
Donc pourquoi est-ce que c'est
toujours à moi de faire des efforts
?
Mais je vais juste me dire :
" je n'ai pas le courage de faire des
efforts et c'est une partie de moi.
Premièrement, et à mon sens, le Je l'accepte, et je n'alimente pas
chemin, je le fais pour moi.
mon ego qui s'embarque dans des
jugements sur l'autre".
C'est à moi de faire des efforts si je
veux en récolter les fruits.
Ça m'apprend juste que je suis
encore en chemin.
Parce que je vais être la première
personne à en bénéficiait.
Et je ne m'endors pas dans ce
comportement.
Ce n'est pas l'autre, c'est moi.
J'ai le droit de prendre cette
décision, mais l'important c'est de le
faire en conscience.
Aimer sa vie
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Comme tous les choix que je fais, il
y a des conséquences. Il y en aura
pour moi, pour l'autre, pour la
relation.
avec les autres, je suis comme ça,
pas autrement, je ne changerai
pas, je dis ce qui me passe par la
tête... »
Il faut juste être prêt à payer le prix.
On vit quand même en société.
On vit avec un environnement et le
jeu ne consiste pas à vider son sac
dès qu'il y a quelque chose qui nous
passe par la tête.
Conscience et éveil spirituel
Cependant si les jours suivant je
n’ai toujours pas envie de faire
d’efforts alors, c'est une crise
d'inflammation de l'ego.
Parce qu'encore une fois, c'est
nourrir son ego, qui croit avoir raison.
Ça veut dire qu’il a complètement
repris le pouvoir et qu'il me dit :
Sauf que si je le nourris envers
l'autre, moi aussi je me prends le
retour de flamme.
« je n'ai pas envie de faire
d'effort dans mes interactions
Moi aussi je vais être dans le
jugement par rapport à moi.
Aimer sa vie
page 22
Donc je voulais faire cet article parce
que, j'entends souvent cette question
chez les personnes qui sont en
chemin.
Donc pour moi, la clé c'est :
" je prends sur moi, je fais des
efforts et je vais en récolter
directement les fruits".
Chacun ses choix de vie
Peu importe que l'autre ne prenne
pas le même chemin que le mien.
C'est mon chemin et ce n'est pas le
sien.
Je ne connais pas le chemin de
l'autre, et ça il faut l'accepter.
Et puis accepter aussi par moment,
de ne pas avoir envie de faire des
efforts.
Et être conscient des conséquences
de cette décision et les assumer.
Quoi qu'il en soit, je ne peux que vous
inciter à continuer votre rééducation.
Continuer à faire du rodéo sur votre
ego pour ne pas le laisser prendre le
dessus.
Car il n'y a rien de tel pour se pourrir
la vie, et pour pourrir nos relations.
La vie peut être beaucoup plus
légère que ça, si justement on
poursuit le fait de dompter notre ego
pour laisser de la place à la meilleure
partie de nous dans nos vies et dans
nos interactions.
Si vous avez envie d’aller plus loin,
de faire le point, je vous invite à
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Aimer sa vie
page 23
Comment apprendre à aimer sa vie ?
Il y a des moments plus difficiles que
d’autres dans notre vie.
Des moments pendant lesquels nous
avons parfois du mal à supporter
notre vie, à l’aimer telle qu’elle est.
Pas de panique !
Ce type de moments arrive à chacun
de nous.
Est-il possible de (re)-tomber
amoureux(se) de notre existence ?
Bonne nouvelle, il est possible de
(re)-tomber en amour, comme le
disent nos amis Québecois, avec
notre vie.
OUI !! Comment ?
Comment ?
On en parle dans cet article !
Vous avez du mal à aimer votre
vie en ce moment ?
Vous en avez ras-le-bol de ce
que vous vivez ?
Je vous donne 6 conseils dans cet
article
Aimer sa vie
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Conseil n°1 : Reconnectez-vous à Conseil n°2 : Prenez pleinement la
la gratitude.
responsabilité de votre création.
Lorsque nous sommes dans une
période où nous n’aimons pas notre
vie, nous pouvons facilement noircir
le tableau, et perdre de vue tout ce
qui est beau dans notre existence, et
dans la vie en général.
Si vous voulez apprendre à aimer
votre vie, il vous faut apprendre à
voir le beau, ne serait-ce que les
petites choses.
Ne considérez rien comme étant
normal, ou acquis, et remerciez la vie
pour ce qu’elle vous donne, même si
vous considérez qu’elle vous donne
peu ou qu’elle pourrait vous donner
davantage.
Faites l’effort de la gratitude, vous y
prendrez vite goût.
Posez-vous cette question :
qu’est-ce que j’ai aujourd’hui, ou
qu’est-ce que je vis, et que
d’autres personnes sur cette
planète aimeraient vivre/ avoir
aussi ?
Je sais que ce n’est pas forcément
ce que vous avez envie d’entendre,
mais je sais que c’est aussi ce que
vous avez besoin d’entendre.
Votre vie est le résultat de votre
création.
Vous en êtes responsable.
Je n’ai pas dit que vous étiez
coupable, et je vous invite d’ailleurs à
ne pas tomber dans la culpabilité,
qui ne vous rapporte rien.
Responsable mais pas coupable,
cela vous parle ? ?
C’est ce que vous êtes.
La bonne nouvelle, c’est que si le
résultat de votre création ne vous
plaît pas, et que vous en êtes 100%
responsable, vous allez pouvoir
changer et créer ce que vous voulez
!
Conseil n°3 : Identifiez ce que
vous voulez changer.
Identifiez clairement ce que vous
n’aimez pas dans votre vie.
Qu’est-ce qui, concrètement, vous
fait dire que vous ne l’aimez pas
Aimer sa vie
page 25
?
Prenez un papier et un crayon et
listez clairement ce que vous
n’aimez pas, le plus en détail
possible.
Vous vous apercevrez que ce n’est
peut-être pas votre vie globalement
que vous n’aimez, pas, mais plutôt
certains aspects sur lesquels vous
vous concentrez en ce moment.
Conseil n°4 : Identifiez ce que
vous voudriez à la place de ce que
vous avez listé au conseil n°3.
Vous savez ce que vous n’aimez pas,
maintenant demandez-vous par
quoi vous voudriez le remplacer,
comment vous voudriez le changer,
dans quel sens vous voudriez aller.
Vous avez le pouvoir de changer les
choses à condition de savoir
clairement ce que vous voulez
changer, et comment vous voulez le
transformer.
Conseil n°5 : Identifiez le petit pas
que vous pourriez poser pour faire
évoluer votre vie dans le bon sens,
pour vous.
Parmi tout ce que vous avez listé au
conseil n°4,
Quel changement vous tient le
plus à cœur ?
Aimer sa vie
page 26
Quelle petite action pourriez-vous
poser pour aller dans ce sens,
dès aujourd’hui ?
Rien ne vaut l’action juste pour
changer votre vie.
Le simple fait de poser cette action
va remettre une dynamique dans
votre vie : pendant que vous êtes en
train d’agir, vous n’êtes plus en train
de réfléchir et cela soulage
énormément.
Vous savez alors que vous êtes en
route vers le mieux.
Conseil n°6 : Apprenez à vous
amuser en chemin.
Au conseil n°4, vous avez identifié
des axes de changement, puis au 5,
des actions à mettre en place pour
faire avancer votre vie dans le bon
sens.
Je vous invite à vous amuser sur
votre chemin de transformation.
Monter le volume sur les activités qui
vous font plaisir, mettez du fun dans
votre vie.
Quelle est cette activité
que vous adorez faire
et que vous n’avez pas faite
depuis (trop) longtemps ?
Monter le volume sur cette activité
et sur ce qui vous procure de la joie.
Vous avez maintenant 6 conseils à
votre
disposition
pour
(ré)apprendre à aimer votre vie.
Bien sûr, ces conseils ne sont utiles,
que si vous vous en servez ?
Je vous invite donc à le faire sans
plus tarder : votre Vie, la vraie avec
un grand V vous attend ?
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Aimer sa vie
page 27
Comment arrêter d’avoir besoin
du regard des autres ?
De nombreuses personnes sont
prisonnières du regard et du
jugement des autres.
Si vous lisez cet article, c’est sans
doute que le regard des autres est
très important pour vous.
Cette prison a un coût : celui de ne
pas créer une vie qui nous
épanouisse vraiment.
Peut-être que lorsque vous avez une
décision à prendre, vous demandez
aux autres ce qu’ils feraient à votre
place, et peut-être que la plupart du
temps, voire tout le temps, vous vous
fiez à ce qu’ils vous disent.
Celui d’être limité dans notre vie,
nous qui sommes des êtes sans
limite.
Comment sortir de cette prison ?
Je vous donne des clés dans cet
article.
Il y a d’ailleurs un aspect confortable
à cela : cela vous évite de vous
mouiller vraiment, d’avoir le
sentiment de prendre des risques,
Aimer sa vie
page 28
et lorsque les choses tournent mal,
vous pouvez avoir l’impression que
ce n’est pas de votre faute.
En même temps, si vous êtes ici, c’est
que vous sentez que ce besoin du
regard et de la validation des autres
vous pèse, et que vous aimeriez
vous en libérer.
Je veux vous partager 4 clés pour
que vous puissiez lâcher ce besoin
du regard des autres :
1. Identifiez maintenant ce que ce
besoin vous coûte :
Combien d’opportunités avez-vous
déjà manquées, à cause de ce
besoin d’avoir la validation des
autres, ou par peur de ce que les
autres diraient ou penseraient de
vous si vous osiez faire les choix qui
vous tiennent à cœur. ?
Combien de fois avez-vous déjà eu
mal au ventre en faisant un choix
par défaut, un choix tiède, pour
éviter de vous exposer au regard des
autres, ou pour ne pas prendre le
risque d’être jugé(e) ?
Quel est le coût pour vous si vous
continuez à fonctionner de cette
manière ?
Ne pensez-vous pas
que ce coût soit trop élevé ?
2. Vous êtes le seul spécialiste de
vous-même, et de votre vie :
Chacun de nous est le
spécialiste de sa propre vie :
seul
Le seul à savoir vraiment
ce qui est bon pour lui.
Le seul à pouvoir le ressentir.
Lorsque les autres vous disent quoi
faire, comment vous comportez, ou
qui vous devez être, ils le font en tant
que spécialiste d’eux-mêmes, rien de
plus, rien de moins.
Cela n’engage qu’eux, leur vécu,
leurs croyances.
Qu’avez-vous à faire là-dedans ??
Imaginez un instant un poisson
demandant à un oiseau ce qu’il ferait
à sa place.
Les conseils à suivre, les jugements
du poisson seraient-ils vraiment tous
Aimer sa vie
page 29
transposables à la vie du poisson ?
Pas sûr…
Nombre d’entre nous ne sont que
des inconnus pour eux-mêmes.
Cette méconnaissance est la racine
du besoin du regard des autres.
3. Devenez le spécialiste de vousmême :
Dans la seconde clé, je vous disais
que vous êtes le seul spécialiste de
vous-même.
Peut-être que cette expression vous
a fait sourciller, parce que,
justement, ce n’est pas le cas pour
vous.
Si vous voulez vous libérer de ce
besoin il vous faut plonger à
l’intérieur de vous pour découvrir
enfin qui vous êtes.
Non pas ce que vos parents disent
que vous êtes, ni ce que vos
collègues, votre conjoint, vos enfants
disent que vous êtes.
Mais ce que vous êtes vraiment, au
fond de vous, au fond de vos tripes.
Aimer sa vie
page 30
Votre vérité est ici, pas dans le
regard des autres.
Tant que vous ne la détenez pas,
vous cherchez cette vérité dans le
regard de l’autre.
Lorsque quelqu’un vous dit que vous
êtes comme ça, ou que vous devriez
faire ça, vous le prenez pour argent
comptant car vous n’êtes par relié(e)
à votre propre Vérité.
Ce sont donc les choses, les
événements qui vous définissent, ce
qui est une source de souffrance car
vous êtes coupé(e) de vous-même.
Je vous invite donc à plonger en
vous, à écouter ce que vous
ressentez.
4. Faîtes-vous du muscle !
Avoir besoin du regard des autres
est un muscle.
Si vous avez tant besoin du regard
des autres dans votre vie, c’est que
vous avez bien exercé ce muscle !
Si vous voulez vous libérer du besoin
du regard des autres, il va vous
falloir arrêter de muscler ce besoin,
et commencer à muscler votre
besoin de liberté, d’autonomie,
d’authenticité.
Comment ?
Sur de petites décisions, de petits
choix.
Aimer sa vie
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Au
moment
où
vous
vous
apprêterez à demander aux autres
ce qu’ils feraient à votre place, ou au
moment où vous commencez à
vous dire :
« oui mais si je fais ça, que va
penser untel »,
souvenez-vous de ce que cela vous
coûte de fonctionner de cette
manière, cela vous passera sans
doute l’envie d’alimenter votre
besoin du regard des autres.
Ensuite, demandez-vous ce que
vous feriez si tout était possible et
si tout ne dépendait que de vous.
Vous aurez alors une réponse
précieuse pour savoir comment
vous comporter ou quelle option
choisir dans cette situation.
Faites-vous le cadeau de suivre
cette intuition.
Le fait de vous libérer de votre
besoin du regard des autres va vous
permettre de reprendre les rênes de
votre vie.
Vous allez enfin pouvoir créer Votre
vie et pas celle de quelqu’un qui se
définit par rapport aux autres.
J’espère que ce livret vous a plu et surtout vous a
donné quelques clés pour vous aider à réaliser vos
rêves.
Si vous souhaitez allez plus loin
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Je vous souhaite le meilleur !
Nathalie Martin
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