Vendredi 3 juillet 2020 / N° 163 SOMMAIRE ANALYTIQUE LOIS 1 LOI no 2020-833 du 2 juillet 2020 relative au droit des victimes de présenter une demande d’indemnité au Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions Décrets, arrêtés, circulaires textes généraux Premier ministre 2 Décision du 29 juin 2020 portant délégation de signature (service d’information du Gouvernement) ministère de la justice 3 4 5 Décret no 2020-834 du 2 juillet 2020 pris pour l’application de l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis et relatif à diverses mesures concernant le fonctionnement de la copropriété Arrêté du 30 juin 2020 portant modification de l’arrêté du 30 juillet 2014 portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Ecole nationale des greffes Arrêté du 2 juillet 2020 fixant le modèle de formulaire de vote par correspondance aux assemblées générales de copropriétaires 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ministère de l’Europe et des affaires étrangères 6 7 8 Décret no 2020-835 du 30 juin 2020 portant publication de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République d’Angola relatif aux services aériens (ensemble une annexe), signé à Luanda le 1er mars 2018 Décret no 2020-836 du 30 juin 2020 portant publication de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République de Serbie relatif au statut de l’Ecole française à Belgrade, signé à Belgrade le 15 juillet 2019 Arrêté du 24 juin 2020 portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Institut français du Bénin ministère des armées 9 10 11 12 13 14 Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat du ministère des armées Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du ministère de la défense Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe exceptionnelle du ministère de la défense au titre de l’année 2021 Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel d’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat relevant du ministère des armées au titre de l’année 2021 Décision du 1er juillet 2020 portant délégation de signature (service de l’action sociale des armées) Décision du 1er juillet 2020 portant délégation de signature (service des ressources humaines civiles) ministère de la transition écologique et solidaire 15 16 17 Arrêté du 22 juin 2020 pris en application du décret no 2019-799 du 26 juillet 2019 fixant les modalités d’indemnisation du référent déontologue et du référent en matière de recueil des signalements émis par les lanceurs d’alerte de l’Autorité de sûreté nucléaire Arrêté du 29 juin 2020 portant interdiction de mise sur le marché de bouteilles de gaz métalliques non rechargeables contenant de l’hélium Arrêté du 29 juin 2020 portant interdiction de mise sur le marché de bouteilles de gaz métalliques non rechargeables contenant de l’hélium ministère des solidarités et de la santé 18 Décret no 2020-837 du 1er juillet 2020 prorogeant les mandats des membres des conseils et des chambres disciplinaires de l’ordre des infirmiers ministère de l’économie et des finances 19 20 21 22 23 24 25 Décret no 2020-838 du 1er juillet 2020 précisant les modalités de contrôle par l’Etat de la mise en œuvre par la société anonyme Bpifrance des dispositions de l’article 6 de la loi no 2020-289 modifiée du 23 mars 2020 de finances rectificative pour 2020 Arrêté du 28 juin 2020 portant ouverture au titre de l’année 2020 d’une liste d’aptitude pour le recrutement de deux ingénieurs du corps des mines Arrêté du 29 juin 2020 portant renouvellement de l’agrément de la Confédération syndicale des familles (CSF) Arrêté du 29 juin 2020 portant renouvellement de l’agrément de la Confédération de la consommation, du logement et du cadre de vie (CLCV) Arrêté du 29 juin 2020 relatif au versement d’une aide au soutien de la trésorerie de la société KLEIN ACCES DESIGN SAS fragilisée par la crise du covid-19 Arrêté du 30 juin 2020 fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade de contrôleur principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques Arrêté du 30 juin 2020 fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade d’attaché statisticien principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques Sommaire 3 juillet 2020 26 27 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Arrêté du 1er juillet 2020 complétant l’arrêté du 24 octobre 2019 portant approbation du programme d’enquêtes statistiques d’initiative nationale ou régionale des services publics pour 2020 (enquêtes auprès des ménages et des collectivités territoriales) Décision du 25 juin 2020 portant délégation de signature pour les directions régionales et interrégionales de l’Institut national de la statistique et des études économiques ministère du travail 28 29 30 Arrêté du 24 juin 2020 portant agrément des experts auxquels le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou le comité social et économique peut faire appel Arrêté du 29 juin 2020 portant adaptation des règles d’organisation générale et du contenu de la formation initiale pour le recrutement exceptionnel des inspecteurs du travail stagiaires Décision du 1er juillet 2020 modifiant la décision du 3 janvier 2020 portant délégation de signature ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse 31 Décision du 26 juin 2020 portant délégation de signature (secrétariat général) ministère de l’action et des comptes publics 32 33 34 35 36 Arrêté du 22 juin 2020 portant ouverture de crédits de fonds de concours Arrêté du 24 juin 2020 modifiant l’arrêté du 13 novembre 1963 pris pour l’application du décret du 30 octobre 1963 relatif au régime d’allocations viagères des gérants de débits de tabac Arrêté du 24 juin 2020 fixant la liste des thèmes d’actualité de la première épreuve d’admissibilité de la session de printemps 2021 des concours d’accès aux instituts régionaux d’administration (épreuves de mars 2021) Arrêté du 25 juin 2020 modifiant les arrêtés pris sur le fondement de l’article 220 du décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique relatifs à divers organismes sous tutelle du ministère de la transition écologique et solidaire ou du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales Arrêté du 26 juin 2020 modifiant l’arrêté du 16 juillet 2019 fixant la liste des personnes morales de droit public mentionnées au 5o du I de l’article 4 du décret no 2018-689 du 1er août 2018 relatif à l’obligation pour les administrations de mettre à disposition des usagers un service de paiement en ligne ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation 37 Arrêté du 29 juin 2020 modifiant l’arrêté du 30 mai 2013 relatif aux demandes d’admission à une première inscription en première année de licence et aux modalités d’évaluation du niveau de compréhension de la langue française pour les ressortissants étrangers ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales 38 Arrêté du 25 juin 2020 pris pour l’application, en 2020, de l’article L. 1614-4 du code général des collectivités territoriales ministère de l’agriculture et de l’alimentation 39 40 41 42 Arrêté du 23 juin 2020 relatif aux dispositions de l’avenant no 1 à l’accord triennal interprofessionnel 2019-2020-2021 conclu dans le cadre du conseil interprofessionnel des vins du Roussillon (CIVR) Arrêté du 23 juin 2020 modifiant l’arrêté du 20 avril 2020 relatif à l’extension de l’accord interprofessionnel pour les campagnes 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022 conclu dans le cadre du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne Arrêté du 23 juin 2020 portant reconnaissance de l’organisation de producteurs Cloche d’Or en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur du lait de chèvre Arrêté du 23 juin 2020 relatif à la société coopérative agricole (SCA) ALLIANCE PORCI D’OC et modifiant l’arrêté du 23 décembre 1993 portant reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur porcin Sommaire JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 43 44 45 46 47 Arrêté du 23 juin 2020 portant retrait de la reconnaissance de la société coopérative agricole (SCA) des productions et élevages La Quercynoise (CAPEL) en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur porcin Arrêté du 23 juin 2020 relatif à l’association Les Fruitiers Dauphinois et modifiant l’arrêté du 8 novembre 2006 portant reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur des fruits et légumes Arrêté du 25 juin 2020 autorisant au titre de l’année 2020 l’ouverture d’un recrutement sans concours en échelle C1 d’adjoints techniques des administrations de l’Etat au ministère de l’agriculture et de l’alimentation Arrêté du 25 juin 2020 modifiant l’arrêté du 25 mars 2020 fixant au titre de l’année 2020 le contingent d’emplois offerts aux militaires candidats à des emplois civils Arrêté du 26 juin 2020 relatif aux dispositions des bordereaux de confirmation d’achat en vrac avec retiraison en vrac et d’achat en vrac avec retiraison en bouteilles annexés à l’accord interprofessionnel triennal 2017-2020 conclu le 18 décembre 2017 dans le cadre du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux mesures nominatives Premier ministre 48 Décision du 1er juillet 2020 portant désignation d’officiers de sécurité des systèmes d’information ministère de la justice 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Décret du 2 juillet 2020 portant mise en disponibilité (magistrature) Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en disponibilité (magistrature) Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) Décret du 2 juillet 2020 portant nomination du président du conseil d’administration de l’Agence publique pour l’immobilier de la justice Arrêté du 23 juin 2020 portant radiation des cadres et admission à la retraite (magistrature) Arrêté du 23 juin 2020 portant admission à la retraite (magistrature) Arrêté du 23 juin 2020 portant radiation des cadres et admission à la retraite (magistrature) Arrêté du 1er juillet 2020 portant réintégration et détachement (Conseil d’Etat) ministère de l’Europe et des affaires étrangères 60 61 62 63 64 65 Arrêté Arrêté Arrêté Arrêté Arrêté Arrêté du 4 juin 2020 portant démission d’office d’un conseiller consulaire à Tanger (Maroc) du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) ministère des armées 66 67 68 Décret du 2 juillet 2020 portant nomination du président du conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne Arrêté du 25 juin 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Arrêté du 25 juin 2020 portant nomination au choix au grade d’infirmier de catégorie A hors classe du ministère des armées au titre de l’année 2020 ministère de la transition écologique et solidaire 69 70 Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) Sommaire 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ministère des solidarités et de la santé 71 Arrêté du 30 juin 2020 portant nomination de la directrice du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante ministère de l’économie et des finances 72 Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) ministère du travail 73 Arrêté du 29 juin 2020 portant nomination du commissaire du Gouvernement au conseil d’administration de l’opérateur de compétences Cohésion sociale ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse 74 Décret du 1er juillet 2020 portant nomination de directeurs académiques des services de l’éducation nationale ministère de l’action et des comptes publics 75 Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) ministère de l’intérieur 76 77 78 79 Décret du 2 juillet 2020 portant nomination du sous-préfet de Lesparre-Médoc - M. LAGARDE (Lionel) Décret du 2 juillet 2020 portant cessation de fonctions du sous-préfet de Rambouillet (classe fonctionnelle III) - M. HEUZÉ (Michel) Arrêté du 4 juin 2020 portant admission à la retraite Arrêté du 4 juin 2020 portant admission à la retraite ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales 80 Arrêté du 29 juin 2020 portant nomination au sein du Conseil national d’évaluation des normes ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales collectivités territoriales 81 Décret du 1er juillet 2020 portant nomination au comité des finances locales institué par l’article L. 1211-1 du code général des collectivités territoriales conventions collectives ministère du travail 82 83 84 Arrêté du 5 juin 2020 portant extension d’un accord régional (Bretagne) conclu dans le cadre d’un accord national professionnel conclu dans le secteur du bâtiment et des travaux publics Avis relatif à l’extension d’un avenant à la convention collective nationale du sport Avis relatif à l’extension d’un avenant à un accord interbranches instituant des garanties collectives de prévoyance au profit des salariés intermittents du spectacle ministère de l’agriculture et de l’alimentation 85 Arrêté du 24 juin 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale de travail concernant les entreprises d’accouvage et de sélection avicoles Sommaire 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Autorité nationale des jeux 86 87 88 Décision no 2020-010 du 23 juin 2020 portant adoption du règlement intérieur de l’Autorité nationale des jeux Décision no 2020-011 du 23 juin 2020 portant adoption de la liste des supports de paris sportifs autorisés Décision no 2020-012 du 23 juin 2020 portant renouvellement de l’agrément de jeux de cercle en ligne de la société REEL MALTA LIMITED Conseil supérieur de l’audiovisuel 89 90 91 92 Délibération du 8 juin service de radio Délibération du 8 juin service de radio Délibération du 8 juin service de radio Délibération du 9 juin service de radio 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un Centre national de la fonction publique territoriale 93 94 95 Arrêté du 16 juin 2020 portant établissement de la liste d’aptitude pour le recrutement dans le cadre d’emplois de conservateur territorial de bibliothèques (session 2018) à compter du 1er juillet 2020 Arrêté du 16 juin 2020 portant établissement de la liste d’aptitude pour le recrutement dans le cadre d’emplois de conservateur territorial du patrimoine (session 2018) à compter du 1er juillet 2020 Arrêté du 18 juin 2020 portant établissement de la liste d’aptitude au titre du concours d’administrateur territorial (session 2018) à compter du 1er juillet 2020 Naturalisations et réintégrations 96 Décret du 26 juin 2020 portant rectification de décrets de naturalisation, réintégration, libération des liens d’allégeance à l’égard de la France et francisation de noms et prénoms En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé" Informations parlementaires Assemblée nationale 97 98 99 100 ORDRE DU JOUR CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE DOCUMENTS ET PUBLICATIONS Sommaire JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Sénat 101 102 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES DOCUMENTS PUBLIÉS Commissions mixtes paritaires 103 COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES Offices et délégations 104 105 OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES DÉLÉGATION PARLEMENTAIRE AU RENSEIGNEMENT Avis et communications avis de concours et de vacance d'emplois Premier ministre 106 Avis de vacance d’emploi de conseiller pour les affaires sociales ministère de la justice 107 108 Avis de recrutement d’un travailleur handicapé par la voie contractuelle dans le corps des adjoints administratifs du ministère de la justice au titre de l’année 2020 Avis de recrutement d’un travailleur handicapé par la voie contractuelle dans le corps des secrétaires administratifs du ministère de la justice au titre de l’année 2020 ministère de l’économie et des finances 109 110 Avis fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade de contrôleur principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques Avis fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade d’attaché statisticien principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques ministère de l’intérieur 111 Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel (DDCSPP d’Eure-etLoir) avis divers ministère de l’action et des comptes publics 112 113 Statistique mensuelle des vins. – Relevé par département. – Campagne 2019-2020. – Mois de mars 2020 Statistique mensuelle des cidres. – Campagne 2019-2020. – Mois de mars 2020 Sommaire JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Informations diverses liste de cours indicatifs 114 Cours indicatifs du 2 juillet 2020 communiqués par la Banque de France Annonces 115 Demandes de changement de nom (textes 115 à 146) Sommaire 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 146 LOIS LOI no 2020-833 du 2 juillet 2020 relative au droit des victimes de présenter une demande d’indemnité au Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions (1) NOR : JUSX2012546L L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : Article unique Le premier alinéa de l’article 706-5 du code de procédure pénale est ainsi modifié : 1o Après le mot : « répressive », la fin de la deuxième phrase est supprimée ; 2o A la dernière phrase, la première occurrence des mots : « lorsqu’il » est remplacée par les mots : « lorsque l’information prévue à l’article 706-15 n’a pas été donnée, lorsque le requérant ». La présente loi sera exécutée comme loi de l’Etat. Fait à Paris, le 2 juillet 2020. EMMANUEL MACRON Par le Président de la République : Le Premier ministre, EDOUARD PHILIPPE La garde des sceaux, ministre de la justice, NICOLE BELLOUBET Le ministre de l’économie et des finances, BRUNO LE MAIRE (1) Travaux préparatoires : loi no 2020-833. Assemblée nationale : Proposition de loi no 2386 rect. ; Rapport de Mme Jeanine Dubié, au nom de la commission des lois, no 2653 ; Discussion et adoption le 13 février 2020 (TA no 407). Sénat : Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale, no 320 (2019-2020) ; Rapport de Mme Laurence Harribey, au nom de la commission des lois, no 519 (2019-2020) ; Texte de la commission no 520 (2019-2020) ; Discussion et adoption le 24 juin 2020 (TA no 108, 2019-2020). 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX PREMIER MINISTRE Décision du 29 juin 2020 portant délégation de signature (service d’information du Gouvernement) NOR : PRMG2016903S Le directeur du service d’information du Gouvernement, Vu le décret no 2000-1027 du 18 octobre 2000 relatif au service d’information du Gouvernement ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ; Vu le décret du 3 octobre 2018 portant nomination du directeur du service d’information du Gouvernement, Décide : Art. 1 . – Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du Premier ministre, tout acte ou décision, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions du service, aux personnes ci-après désignées : Mme Marion BURLOT, agente contractuelle, directrice adjointe du service d’information du Gouvernement ; Mme Julie CHIRET-CANNESAN, agente contractuelle, directrice de cabinet du service d’information du Gouvernement ; Mme Florence BARRES, attachée principale d’administration de l’Etat, secrétaire générale chargée des moyens et des opérations. Art. 2. – Délégation est donnée à Mme Sandrine ARGILLET, agente contractuelle, cadre budgétaire et comptable, à M. Moustafa CHAKER, attaché d’administration de l’Etat, cadre budgétaire et comptable, et à Mme Khadija FARTASSE, secrétaire administrative de classe normale, gestionnaire budgétaire comptable et financier, à l’effet de valider, dans l’application informatique de l’Etat Chorus-Formulaires, les actes relatifs à la réalisation des opérations budgétaires et comptables en matière de recettes et de dépenses. Art. 3. – La décision du 26 mars 2020 portant délégation de signature (service d’information du Gouvernement) est abrogée. Art. 4. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. M. NATHAN er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret no 2020-834 du 2 juillet 2020 pris pour l’application de l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis et relatif à diverses mesures concernant le fonctionnement de la copropriété NOR : JUSC2006501D Publics concernés : copropriétaires, membres des conseils syndicaux, syndics, assureurs. Objet : modalités de mise en œuvre des mesures nouvelles introduites dans la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 modifiée fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, par l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis ; Diverses mesures concernant le fonctionnement de la copropriété (notifications et mises en demeure par voie électronique, avances exigibles par le syndic etc.). Entrée en vigueur : les dispositions de l’article 29 du décret entrent en vigueur le 31 décembre 2020. Pour les syndics ayant été dispensés de l’obligation d’ouvrir un compte séparé au nom du syndicat, les dispositions du c du 12o et du a du 13o de l’article 50 du décret, relatives au contrat type, s’appliquent aux contrats de syndic conclus à compter du 31 décembre 2020. Les autres modifications du contrat type s’appliquent aux contrats de syndic conclus postérieurement à l’entrée en vigueur du décret. Les dispositions de l’article 9, de l’article 13, du 4o de l’article 14, de l’article 25, du 2o de l’article 26 et de l’article 27 du décret s’appliquent aux assemblées générales des copropriétaires tenues à compter du 31 décembre 2020. Les autres dispositions du texte entrent en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : conditions d’organisation d’une assemblée générale à la demande de tout copropriétaire afin de faire inscrire à l’ordre du jour une ou plusieurs questions concernant ses droits ou obligations ; Informations à transmettre par un copropriétaire souhaitant faire réaliser des travaux d’accessibilité et inscription obligatoire à l’ordre du jour de l’éventuelle opposition de l’assemblée générale à de tels travaux ; Modalités de vote par correspondance (conditions de délais, de transmission du formulaire de vote au syndic, de prise en compte du vote) ; Encadrement de l’exercice des délégations accordées au conseil syndical par l’assemblée générale ; Modalités de mise en œuvre de la consultation des copropriétaires dans les petites copropriétés ; Diverses mesures concernant les syndicats dont les voix sont réparties entre deux copropriétaires ; Modalités de mise en œuvre de nouvelles procédures judiciaires introduites par l’ordonnance du 30 octobre 2019 ; Coordination et mise en cohérence du décret du 17 mars 1967 ainsi que de ses annexes avec les dispositions prises par l’ordonnance du 30 octobre 2019. Références : le texte est pris pour application de l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis. Les textes modifiés par le décret peuvent être consultés, dans leur rédaction issue de ces modifications, sur le site Légifrance. Le Premier ministre, Sur le rapport de la garde des sceaux, ministre de la justice, Vu le règlement (UE) no 910/2014 du Parlement européen et du Conseil du 23 juillet 2014 sur l’identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur et abrogeant la directive 1999/93/CE, notamment son article 3 ; Vu le code de la construction et de l’habitation, notamment son article R. 711-9 ; Vu le code des assurances, notamment son article R. 250-4-3 ; Vu le code des postes et des communications électroniques ; Vu la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 modifiée fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, dans sa rédaction issue de l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 ; Vu l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis ; Vu le décret no 67-223 du 17 mars 1967 modifié pris pour l’application de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis ; Vu la consultation du Conseil national de la transaction et de la gestion immobilières en date du 29 mai 2020 ; Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu, 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 Décrète : Art. 1 . – Le décret du 17 mars 1967 susvisé est modifié conformément aux articles 2 à 51 du présent décret. er CHAPITRE 1er MESURES RELATIVES AUX ACTES CONCOURANT À L’ÉTABLISSEMENT ET À L’ORGANISATION DE LA COPROPRIÉTÉ D’UN IMMEUBLE BÂTI Art. 2. – L’article premier est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa, les mots : « l’alinéa 1er » sont remplacés par les mots : « le premier alinéa » ; 2o Le troisième alinéa est remplacé par quatre alinéas ainsi rédigés : « L’état de répartition des charges fixe, conformément aux dispositions du troisième alinéa et, s’il y a lieu, du dernier alinéa de l’article 10 de la loi du 10 juillet 1965, la quote-part qui incombe à chaque lot dans chacune des catégories de charges. « Il précise les éléments pris en considération et la méthode de calcul ayant permis de fixer la quote-part de charges afférente à chaque lot : « 1o Proportionnellement aux valeurs relatives des parties privatives comprises dans chaque lot, telles que ces valeurs résultent des critères posés à l’article 5 de la loi du 10 juillet 1965, s’agissant des charges relatives à la conservation, à l’entretien et à l’administration des parties communes ; « 2o En fonction de l’utilité objective que les services et éléments d’équipement commun présentent à l’égard de chaque lot, en précisant les bases selon lesquelles la répartition a été effectuée, s’agissant des charges entraînées par lesdits services et éléments, dès lors que ces charges ne sont pas individualisées. » Art. 3. – A l’article 3, après les mots : « dans les conditions fixées par », sont insérés les mots : « le I de ». Art. 4. – L’article 4-4 est abrogé. Art. 5. – L’article 5 est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa, après les mots : « celle du copropriétaire qui transfère tout ou partie de ses droits sur le lot », sont insérés les mots : « ou les lots objets d’une même mutation » ; 2o Aux 1o, 2o et 3o, les mots : « pour le lot considéré » sont remplacés par les mots : « pour chaque lot considéré » ; 3o Au dernier alinéa, les mots : « la quote-part afférente au lot considéré » sont remplacés par les mots : « la quote-part afférente à chaque lot considéré ». Art. 6. – Aux 1o et 2o de l’article 5-1, les mots : « des créances du syndicat afférentes aux charges et travaux mentionnés aux articles 10 et 30 de la loi du 10 juillet 1965 » sont remplacés par les mots : « des créances de toute nature du syndicat ». Art. 7. – Le deuxième alinéa de l’article 6 est ainsi modifié : 1o Après les mots : « domicile réel ou élu », sont insérés les mots : « et, sous réserve de leur accord exprès, l’adresse électronique » ; 2o La référence : « à l’article 23 (alinéa 2) » est remplacée par la référence : « aux deuxième et troisième alinéas de l’article 23 » ; 3o Le mot : « également » est supprimé. CHAPITRE 2 MESURES RELATIVES AUX ASSEMBLÉES GÉNÉRALES DE COPROPRIÉTAIRES Art. 8. – Le deuxième alinéa de l’article 7 est remplacé par les dispositions suivantes : « Sauf s’il en est disposé autrement dans la loi du 10 juillet 1965 ou le présent décret, l’assemblée générale est convoquée par le syndic. » Art. 9. – Après l’article 8, est inséré un article 8-1 ainsi rédigé : « Art. 8-1. – La demande faite par un ou plusieurs copropriétaires de convoquer une assemblée générale à leurs frais, en application de l’article 17-1 AA de la loi du 10 juillet 1965, est notifiée au syndic et précise la ou les questions dont l’inscription à l’ordre du jour est demandée. « Elle est accompagnée d’un projet de résolution pour chaque question et comporte, le cas échéant, les documents requis au deuxième alinéa de l’article 10 et au 3o du I de l’article 11. « Lorsque l’assemblée générale est convoquée à la demande de plusieurs copropriétaires, ils précisent la répartition des frais et honoraires entre eux. A défaut de précision, les frais sont répartis entre ces copropriétaires à parts égales. « Dans les quinze jours qui suivent la notification mentionnée au premier alinéa, le syndic informe le ou les copropriétaires demandeurs des frais prévisionnels et de ses honoraires. « Il convoque l’assemblée générale qui se tient dans le délai de quarante-cinq jours suivant le paiement de ces frais et honoraires. » 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 Art. 10. – L’article 9 est ainsi modifié : 1o Après le premier alinéa, est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Le formulaire de vote par correspondance mentionné au deuxième alinéa de l’article 17-1 A est joint à la convocation. » ; 2o A la deuxième phrase du deuxième alinéa, les mots : « à peine d’irrégularité de la convocation » sont remplacés par les mots : « à peine de nullité de l’assemblée générale ». Art. 11. – Après l’article 9, est inséré un article 9 bis ainsi rédigé : « Art. 9 bis. – Pour être pris en compte lors de l’assemblée générale, le formulaire de vote par correspondance est réceptionné par le syndic au plus tard trois jours francs avant la date de la réunion. « Lorsque le formulaire de vote est transmis par courrier électronique à l’adresse indiquée par le syndic, il est présumé réceptionné à la date de l’envoi. » Art. 12. – L’article 10 est ainsi modifié : 1o Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Lorsque la convocation de l’assemblée générale est sollicitée en application de l’article 17-1 AA de la loi du 10 juillet 1965, le syndic ne porte à l’ordre du jour de cette assemblée que les questions relatives aux droits et obligations du ou des copropriétaires demandeurs. » ; 2o Au deuxième alinéa, les mots : « du e du II de l’article 24 et » sont supprimés. Art. 13. – Après l’article 10, sont insérés trois articles ainsi rédigés : « Art. 10-1. – Le descriptif détaillé mentionné au premier alinéa de l’article 25-2 de la loi du 10 juillet 1965 précise la nature, l’implantation, la durée et les conditions d’exécution des travaux envisagés, ainsi que les éléments essentiels de l’équipement ou de l’ouvrage, tels que les marques, modèles, notices, garanties et documents relatifs à l’utilisation et à l’entretien. Il est assorti d’un plan technique d’intervention, et, le cas échéant, d’un schéma de raccordement électrique. « A défaut de notification par le copropriétaire au syndic de ce descriptif détaillé des travaux, le point d’information n’est pas inscrit à l’ordre du jour de l’assemblée générale. « Le descriptif peut également comprendre tous éléments nécessaires à la compréhension des travaux prévus, notamment des documents graphiques ou photographiques. « Art. 10-2. – Pour l’application de l’article 25-2 de la loi du 10 juillet 1965, le syndic inscrit à l’ordre du jour de la même assemblée générale : « – le point d’information relatif aux travaux d’accessibilité ; « – la question de l’opposition éventuelle à la réalisation de ces travaux par décision motivée de l’assemblée générale, accompagnée d’un projet de résolution reproduisant les termes du dernier alinéa de cet article. « Art. 10-3. – En l’absence d’opposition motivée de l’assemblée générale dans les conditions prévues au dernier alinéa de l’article 25-2 de la loi du 10 juillet 1965, le copropriétaire peut faire réaliser les travaux conformément au descriptif détaillé présenté à l’assemblée générale, à l’expiration du délai de deux mois mentionné au deuxième alinéa de l’article 42 de la loi du 10 juillet 1965. » Art. 14. – L’article 11 est ainsi modifié : 1o Au 4o du I, après les mots : « Le ou les projets de contrat du syndic, », sont insérés les mots : « accompagné de la fiche d’information prévue au troisième alinéa du I de l’article 18-1 A, » ; 2o Au 7o du I, les références : « 18 (7e alinéa), 24 (alinéas 2 et 3) » sont remplacées par les références : « 18-1 A er (1 et 2e alinéas du II), 24 II » ; 3o Après le 13o du I, est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « 14o Lorsque l’assemblée générale est appelée à se prononcer sur des travaux d’intérêt collectif réalisés sur parties privatives, en application du II de l’article 9 de la loi du 10 juillet 1965, une analyse des solutions éventuelles n’affectant pas ces parties. » ; 4o Après le 7o du II, sont insérés trois alinéas ainsi rédigés : « 8o Le descriptif détaillé des travaux, mentionné au premier alinéa de l’article 25-2 de la loi du 10 juillet 1965 ; « 9o Une présentation générale des principales caractéristiques du recours à l’emprunt collectif, lorsque la question de la souscription d’un tel emprunt est inscrite à l’ordre du jour de l’assemblée générale ; « 10o Le rapport prévu au dernier alinéa de l’article 21-5 de la loi du 10 juillet 1965. » Art. 15. – L’article 14 est ainsi modifié : 1o Après le troisième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « – ayant voté par correspondance avec mention de la date de réception du formulaire par le syndic. » ; 2o Au cinquième alinéa, les mots : « alinéas 2 et 3 du I de l’article 22 et du III de l’article 24 de la loi du 10 juillet 1965 » sont remplacés par les mots : « deuxième et troisième alinéas du I de l’article 22 et du dernier alinéa de l’article 10 de la loi du 10 juillet 1965 » ; 3o La dernière phrase du sixième alinéa est supprimée. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 Art. 16. – Après l’article 14, est inséré un article 14-1 ainsi rédigé : « Art. 14-1. – Au moment du vote, le formulaire de vote par correspondance n’est pas pris en compte lorsque le copropriétaire, l’associé ou leur mandataire est présent à l’assemblée générale, quelle que soit la date à laquelle a été établi ou reçu le formulaire de vote par correspondance ou le mandat avec délégation de vote, y compris en cas de délégation de vote sans désignation d’un mandataire. » Art. 17. – L’article 15-1 est ainsi modifié : 1o A la première phrase, après les mots : « remet ce mandat en début de réunion au président du conseil syndical », sont insérés les mots : « , ou à défaut à un membre du conseil syndical, » ; 2o A la seconde phrase, les mots : « En l’absence du président du conseil syndical » sont remplacés par les mots : « En leur absence ». Art. 18. – L’article 17 est ainsi modifié : 1o A la première phrase du premier alinéa, après les mots : « à la fin de la séance », sont insérés les mots : « , ou dans les huit jours suivant la tenue de l’assemblée » ; 2o Au deuxième alinéa, après les mots : « par le président du conseil syndical », sont insérés les mots : « , par un membre du conseil syndical » ; 3o La deuxième phrase du troisième alinéa de l’article 17 est remplacée par les dispositions suivantes : « Il précise les noms et nombre de voix des copropriétaires ou associés qui se sont opposés à la décision, qui se sont abstenus, ou qui sont assimilés à un copropriétaire défaillant en application du deuxième alinéa de l’article 17-1 A de la loi du 10 juillet 1965. » Art. 19. – Après l’article 17, est inséré un article 17-1 ainsi rédigé : « Art. 17-1. – L’irrégularité formelle affectant le procès-verbal d’assemblée générale ou la feuille de présence, lorsqu’elle est relative aux conditions de vote ou à la computation des voix, n’entraine pas nécessairement la nullité de l’assemblée générale dès lors qu’il est possible de reconstituer le sens du vote et que le résultat de celui-ci n’en est pas affecté. » Art. 20. – L’article 18 est ainsi modifié : 1o Les mots : « l’article 23 (alinéa 1er) » sont remplacés à chaque occurrence par les mots : « au premier alinéa de l’article 23 » ; 2o A la première phrase du premier alinéa, la référence : « à l’article 42 (alinéa 2) » est remplacée par la référence : « au deuxième alinéa de l’article 42 » et les mots : « à compter de la notification de la décision » sont remplacés par les mots : « à compter de la notification du procès-verbal d’assemblée » ; 3o Au deuxième alinéa, les mots : « de l’article 42 (alinéa 2) » sont remplacés par les mots : « du deuxième alinéa de l’article 42 ». Art. 21. – L’article 19 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 19. – Pour l’application des articles 25-1 et 26-1 de la loi du 10 juillet 1965, lorsque l’assemblée est appelée à approuver un contrat, un devis ou un marché mettant en concurrence plusieurs candidats, elle ne peut procéder au second vote prévu à ces articles qu’après avoir voté sur chacune des candidatures à la majorité applicable au premier vote. » Art. 22. – L’article 19-1 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 19-1. – Pour l’application de l’article 26-1 de la loi du 10 juillet 1965, lorsque l’assemblée générale des copropriétaires n’a pas décidé à la majorité des voix de tous les copropriétaires lors du second vote, les dispositions de l’article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 ne sont pas applicables aux décisions relevant de la majorité prévue au premier alinéa de l’article 26 de ladite loi. » Art. 23. – L’article 20 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 20. – Il est procédé pour les assemblées spéciales des copropriétaires de la même manière que pour les assemblées générales des copropriétaires. » Art. 24. – L’article 21 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 21. – La délégation de pouvoir accordée en application du a de l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965 mentionne expressément l’acte ou la décision déléguée. A l’issue de cette délégation, le délégataire rend compte à l’assemblée de son exécution. « Elle ne peut, en aucun cas, priver l’assemblée générale de son pouvoir de contrôle sur l’administration de l’immeuble et la gestion du syndic. » Art. 25. – Après l’article 21, est inséré un article 21-1 ainsi rédigé : « Art. 21-1. – Les décisions prises par le conseil syndical, lorsqu’il bénéficie d’une délégation de pouvoirs en application des articles 21-1 et suivants de la loi du 10 juillet 1965, sont consignées dans un procès-verbal, signé par deux de ses membres. « Le procès-verbal mentionne le nom des membres du conseil syndical ayant participé à la délibération et le sens de leur vote. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 « Le procès-verbal des décisions du conseil syndical est transmis au syndic qui l’inscrit au registre des procèsverbaux des assemblées générales. » CHAPITRE 3 MESURES RELATIVES AU CONSEIL SYNDICAL Art. 26. – L’article 26 est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa, le mot : « éxecution » est remplacé par le mot : « exécution » ; 2o Au deuxième alinéa, les mots : « à l’article 25 a de la loi du 10 juillet 1965 et à l’article 21 du présent décret » sont remplacés par les mots : « aux articles 21-1 à 21-5 et 25 a de la loi du 10 juillet 1965, ainsi qu’aux articles 21 et 21-1 du présent décret » ; 3o Au troisième alinéa, les mots : « , habilités à cet effet par ce dernier, » sont supprimés et les mots : « troisième alinéa » sont remplacés par les mots : « septième alinéa » ; 4o Il est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Lorsque l’assemblée générale est appelée à se prononcer sur la désignation d’un syndic professionnel, et sauf dispense de mise en concurrence dans les conditions prévues à l’article 21 de la loi du 10 juillet 1965 susvisée, le conseil syndical communique au syndic un ou plusieurs projets de contrats issus de la mise en concurrence prévue au même article. » Art. 27. – Après l’article 26, est inséré un article 26-1 ainsi rédigé : « Art. 26-1. – Pour l’application des dispositions de l’article 21-2 de la loi du 10 juillet 1965, un montant spécifique est alloué au conseil syndical au sein du budget prévisionnel voté chaque année pour l’exercice de sa délégation de pouvoirs. « Par dérogation à l’alinéa précédent, lorsque la délégation de pouvoirs porte sur des dépenses pour travaux non comprises dans le budget prévisionnel, l’assemblée générale précise le montant maximum alloué pour chacune d’elles. Les sommes afférentes à ces dépenses sont appelées selon les mêmes modalités que celles prévues au second alinéa du I de l’article 14-2 de la loi du 10 juillet 1965. » CHAPITRE 4 MESURES RELATIVES AU SYNDIC Art. 28. – A l’article 28, après les mots : « pacte civil de solidarité, », sont insérés les mots : « le concubin, » et les mots : « jusqu’au troisième degré » sont remplacés par les mots : « jusqu’au deuxième degré ». Art. 29. – L’article 29-1 est abrogé. Art. 30. – Après le deuxième alinéa de l’article 33, est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Il délivre dans les mêmes conditions, copies ou extraits des procès-verbaux, des décisions prises par voie de consultation dans les petites copropriétés, par un seul copropriétaire ou lors d’une réunion sans convocation préalable dans les syndicats dont le nombre de voix est réparti entre deux copropriétaires, ainsi que par le conseil syndical dans le cadre d’une délégation de pouvoirs. » Art. 31. – A la première phrase de l’article 33-1, après les mots : « et archives du syndicat », sont insérés les mots : « , ainsi que, le cas échéant, l’ensemble des documents dématérialisés relatifs à la gestion de l’immeuble ou aux lots gérés figurant dans l’espace en ligne sécurisé prévu au dixième alinéa du I de l’article 18, ». Art. 32. – Au deuxième alinéa de l’article 33-1-1, les mots : « précédant l’assemblée générale annuelle » sont remplacés par les mots : « suivant la dernière assemblée générale annuelle ayant été appelée à connaître des comptes. » Art. 33. – A l’article 33-2, les mots : « deuxième phrase » sont remplacés par les mots : « troisième phrase ». Art. 34. – L’article 35 est ainsi modifié : 1o Au 2o, les mots : « alinéas 2 et 3 » sont remplacés par les mots : « deuxième et troisième alinéas » ; 2o Au 3o, les mots : « à l’article 14-2 » sont remplacés par les mots : « au I de l’article 14-2 » ; 3o Le 5o est remplacé par les dispositions suivantes : « 5o Des cotisations au fonds de travaux prévues au II de l’article 14-2 de la loi du 10 juillet 1965 ; » ; 4o Après le 5o, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés : « 6o Des provisions sur les sommes allouées au conseil syndical au titre des dépenses non comprises dans le budget prévisionnel, pour la mise en œuvre de sa délégation, prévues à l’article 21-2 de la loi du 10 juillet 1965 ; « 7o Des avances décidées en assemblée générale et destinées à pallier un manque temporaire de trésorerie du syndicat des copropriétaires. » Art. 35. – L’article 39 est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa, après les mots : « pacte civil de solidarité, », sont insérés les mots : « son concubin, » et les mots : « jusqu’au troisième degré » sont remplacés par les mots : « jusqu’au deuxième degré » ; 2o Le dernier alinéa est supprimé. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 CHAPITRE 5 MESURES RELATIVES À CERTAINES COPROPRIÉTÉS Section 1 Dispositions relatives aux syndicats de forme coopérative Art. 36. – Au dernier alinéa de l’article 42-1, après les mots : « le conjoint, », sont insérés les mots : « le concubin, ». Section 2 Dispositions relatives aux petites copropriétés et aux syndicats dont le nombre de voix est réparti entre deux copropriétaires Art. 37. – Après l’article 42-2, est insérée une section V bis ainsi rédigée : « Section V bis « Dispositions particulières à certaines copropriétés « Sous-section 1 « Dispositions particulières aux petites copropriétés « Art. 42-3. – En application de l’article 41-12 de la loi du 10 juillet 1965, les décisions prises par voie de de consultation sont valables dès lors que tous les copropriétaires composant le syndicat ont chacun exprimé leur vote selon l’une des modalités suivantes : « – par présence physique, y compris dans le cadre d’une délégation de vote ; « – par visioconférence, audioconférence ou tout autre moyen de communication électronique admis par décision de l’assemblée générale dans les conditions de l’article 13-1 du présent décret ; « – par courrier, sur support papier ou électronique. « Art. 42-4. – Pour l’application du deuxième alinéa de l’article 41-12 de la loi du 10 juillet 1965, le syndic organise la consultation du syndicat dans les vingt et un jours suivant la demande adressée par un copropriétaire. « Art. 42-5. – Chaque décision prise par voie de consultation est consignée sur un procès-verbal établi et signé par le syndic, comportant le sens du vote de chaque copropriétaire et la signature des copropriétaires présents. « Ce procès-verbal est annexé au registre des procès-verbaux des assemblées générales. « Lorsque le copropriétaire a participé à la consultation par visioconférence ou audioconférence, il confirme le sens de son vote par tout moyen dans les quarante-huit heures qui suivent la réunion. A défaut, la décision n’est pas valablement prise. « Sont annexés au procès-verbal mentionné au premier alinéa les écrits par lesquels les copropriétaires ont exprimé ou confirmé le sens de leur vote. « Sous-section 2 « Dispositions particulières aux syndicats dont le nombre de voix est réparti entre deux copropriétaires « Art. 42-6. – L’action en paiement des provisions sur charges peut être exercée par le copropriétaire mentionné à l’article 41-15 de la loi du 10 juillet 1965 dans les conditions prévues à l’article 19-2 de la loi précitée. « Art. 42-7. – Les décisions ou mesures prises par les deux copropriétaires ou par l’un d’entre eux sont portées à la connaissance de la personne qui exerce tout ou partie des missions de syndic sans être copropriétaire. « Art. 42-8. – La notification d’une décision prise en application de l’article 41-17 de la loi du 10 juillet 1965 précise la nature de la décision et, le cas échéant, son coût, justifié par des devis ou contrats. « Art. 42-9. – Les décisions prises au cours d’une réunion rassemblant les copropriétaires en application de l’article 41-18 de la loi du 10 juillet 1965 ou prises par un seul copropriétaire sont consignées par écrit et versées au registre des procès-verbaux des assemblées générales. « Art. 42-10. – La contestation d’une décision prise par l’un des copropriétaires n’est possible que devant le tribunal judiciaire. « Art. 42-11. – Sont annexées à l’état des dépenses et créances tenu en application des dispositions de l’article 41-20 de la loi du 10 juillet 1965, toutes pièces permettant de justifier la nature et le montant de chaque dépense et créance, ainsi que la réalité de leur paiement. « Art. 42-12. – Le président du tribunal judiciaire saisi en application de l’article 41-22 de la loi du 10 juillet 1965 statue selon la procédure accélérée au fond. » 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 CHAPITRE 6 MESURE RELATIVE À LA COMPTABILITÉ DU SYNDICAT Art. 38. – Au quatrième alinéa de l’article 45-1, les mots : « , ou qui représentent un emprunt du syndicat auprès des copropriétaires ou de certains d’entre eux » sont supprimés. CHAPITRE 7 MESURES RELATIVES AUX PROCÉDURES JUDICIAIRES Art. 39. – Au premier alinéa de l’article 47, les mots : « les fonds » sont remplacés par les mots : « les références des comptes bancaires du syndicat, les coordonnées de la banque ». Art. 40. – Après l’article 47, est inséré un article 47-1 ainsi rédigé : « Art. 47-1. – Le mandataire ad hoc mentionné à l’article 46-1 de la loi du 10 juillet 1965 est désigné par le président du tribunal judiciaire, statuant par ordonnance sur requête, à la demande de tout intéressé. Il a pour mission de procéder aux opérations de liquidation du syndicat des copropriétaires et de le représenter pour introduire ou poursuivre les actions en justice nécessaires à la liquidation. « La procédure prévue à l’alinéa précédent est applicable en l’absence de syndic et, dans les cas d’empêchement ou de carence du syndic mentionnés au V de l’article 18 de la loi du 10 juillet 1965, s’il est justifié d’une mise en demeure adressée au syndic restée infructueuse pendant plus de huit jours. » Art. 41. – Aux premier et deuxième alinéas de l’article 49, le mot : « provisoire » est remplacé à chaque occurrence par le mot : « ad hoc ». Art. 42. – Après l’article 49, est inséré un article 49-1 ainsi rédigé : « Art. 49-1. – L’action en justice prévue au troisième alinéa de l’article 15 de la loi du 10 juillet 1965 est portée devant le président du tribunal judiciaire statuant selon la procédure accélérée au fond. « Lorsqu’elle est exercée par un ou plusieurs copropriétaires représentant au moins un quart des voix de tous les copropriétaires, le président du tribunal judiciaire saisi désigne un mandataire ad hoc représentant les intérêts du syndicat. « Cette action est exercée aux frais avancés du ou des copropriétaires représentant au moins un quart des voix de tous les copropriétaires, qui en supporteront définitivement la charge si l’action est rejetée par le juge. » Art. 43. – A l’article 56, après les mots : « son conjoint, », sont insérés les mots : « son concubin, », et les mots : « jusqu’au troisième degré » sont remplacés par les mots : « jusqu’au deuxième degré ». Art. 44. – L’article 57 est ainsi rétabli : « Art. 57. – Le président du conseil syndical exerce aux frais avancés du syndicat des copropriétaires les procédures judiciaires prévues à l’article 18-2, au septième alinéa de l’article 21 ainsi qu’à l’article 29-1 A de la loi du 10 juillet 1965. « Un état des frais de justice prévisionnels accompagné de devis est présenté au syndic afin qu’il procède aux avances nécessaires à la conduite de ces procédures. » Art. 45. – L’article 61 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 61. – Pour l’application des deuxième et troisième alinéas de l’article 23 de la loi du 10 juillet 1965, le président du tribunal judiciaire statue, selon la procédure accélérée au fond lorsque l’absence d’accord entre les indivisaires ou nus-propriétaires impose la désignation judiciaire d’un mandataire commun. » CHAPITRE 8 MESURE RELATIVE AUX UNIONS DE SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES Art. 46. – L’article 63-3 est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa, après les mots : « leurs conjoints, », sont insérés les mots : « leurs concubins, » ; 2o Au dernier alinéa, les mots : « elle y est représentée par son représentant légal ou statutaire, ou, à défaut, par un fondé de pouvoir » sont remplacés par les mots : « elle y est représentée soit par son représentant légal ou statutaire, soit par un fondé de pouvoir ». CHAPITRE 9 MESURES RELATIVES AUX MODALITÉS DE NOTIFICATION ET DE MISE EN DEMEURE Art. 47. – Le deuxième alinéa de l’article 64 est supprimé. Art. 48. – Les articles 64-1 à 64-5 sont remplacés par les dispositions suivantes : « Art. 64-1. – Lorsque la copropriété est dotée d’un espace en ligne sécurisé, la notification des documents mentionnés à l’article 11 peut, sous réserve de l’accord exprès du copropriétaire, valablement résulter d’une mise à disposition dans un espace du site dont l’accès est réservé aux copropriétaires. La convocation mentionnée à l’article 9 précise expressément que ces documents sont accessibles en ligne et la durée de leur mise à disposition. « Art. 64-2. – Pour l’application de l’article 42-1 de la loi du 10 juillet 1965, toutes les notifications et mises en demeure peuvent également être faites soit par lettre recommandée électronique dans les conditions prévues par les 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 articles R. 53 à R. 53-4 du code des postes et des communications électroniques, soit au moyen d’un procédé électronique mis en œuvre par l’intermédiaire d’un prestataire de services de confiance qualifié et garantissant l’intégrité des données, la sécurité, ainsi que la traçabilité des communications, dans les conditions prévues aux articles 64-5 à 64-9. « Le délai que les notifications et mises en demeure par voie électronique font courir a pour point de départ le lendemain de la transmission, par le prestataire de service de confiance qualifié, de l’avis électronique informant le destinataire d’un envoi électronique. « Art. 64-3. – I. – L’accord exprès du copropriétaire mentionné à l’article 42-1 de la loi du 10 juillet 1965 précise s’il porte sur les notifications, les mises en demeure ou les deux. Cet accord exprès peut ne porter que sur les modalités particulières de notification mentionnées à l’article 64-1. « Lorsqu’il est formulé lors de l’assemblée générale, cet accord est mentionné sur le procès-verbal d’assemblée générale. Il peut également être adressé à tout moment au syndic par tout moyen permettant d’établir avec certitude la date de sa réception. « II. – Lorsque les notifications et mises en demeure mentionnées au I sont faites au moyen du procédé électronique mis en œuvre par l’intermédiaire d’un prestataire de services de confiance qualifié mentionné à l’article 64-2, chaque copropriétaire concerné en est informé au moins quinze jours avant le premier envoi effectué par ce moyen, sans que cette formalité soit prescrite à peine d’irrégularité de l’acte. « Art. 64-4. – Le copropriétaire peut à tout moment retirer son accord exprès selon les mêmes formes que celles prévues au I de l’article 64-3. Si cette décision est formulée lors de l’assemblée générale, le syndic en fait mention sur le procès-verbal. « Cette décision prend effet le lendemain du huitième jour suivant la réception par le syndic de l’information adressée selon les modalités mentionnées au I de l’article 64-3. « Art. 64-5. – Le prestataire de service de confiance qualifié chargé, en application de l’article 64-2, de la transmission par voie électronique des mises en demeure et notifications délivre à l’expéditeur un récépissé du dépôt électronique de l’envoi ainsi qu’un justificatif de la transmission de l’envoi par ses soins au destinataire. Ces documents comportent les informations suivantes : « 1o Le nom et le prénom ou la raison sociale de l’expéditeur, ainsi que son adresse électronique ; « 2o Le nom et le prénom ou la raison sociale du destinataire ainsi que son adresse électronique ; « 3o Un numéro d’identification unique de l’envoi attribué par le prestataire ; « 4o La liste des pièces remises par l’expéditeur en vue de leur envoi ; « 5o La date et l’heure du dépôt électronique de l’envoi ainsi que celles de la transmission au destinataire de l’envoi indiquées par un horodatage électronique qualifié tel que défini par l’article 3 du règlement (UE) no 910/2014 du Parlement européen et du Conseil du 23 juillet 2014 sur l’identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur et abrogeant la directive 1999/93/CE ; « 6o La signature électronique et le cachet électronique avancés tels que définis par l’article 3 du règlement (UE) o n 910/2014 mentionné ci-dessus, utilisés par le prestataire lors de l’envoi. « Le prestataire conserve ces preuves de dépôt et de transmission pour une durée minimale d’un an. « Art. 64-6. – Un avis électronique est adressé au destinataire par le prestataire de service de confiance qualifié afin de l’informer qu’un envoi électronique lui a été transmis. Cet avis comporte : « 1o Le nom de l’expéditeur de l’envoi électronique ; « 2o L’objet de l’envoi électronique ; « 3o Un lien hypertexte invitant le destinataire à télécharger le contenu de l’envoi adressé par l’expéditeur, disponible pendant au moins vingt et un jours à compter de la transmission de l’avis électronique ; « 4o La reproduction de la mention suivante : “En application du second alinéa de l’article 64-2 du décret no 67-223 du 17 mars 1967, le délai que les notifications et mises en demeure par voie électronique font courir a pour point de départ le lendemain de la transmission de l’avis électronique au destinataire. Pour le présent envoi, la date de transmission est le : (date à préciser).” « Art. 64-7. – Si le prestataire de service de confiance qualifié constate, passé un délai de 48 heures après la transmission de l’avis électronique au destinataire, que ce dernier n’a pas procédé au téléchargement du contenu de l’envoi électronique qui lui a été adressé, le prestataire lui adresse un message de rappel comportant les mentions prévues à l’article 64-6. Ce nouveau message est sans incidence sur le point de départ du délai mentionné au second alinéa de l’article 64-2. « Art. 64-8. – Le prestataire de service de confiance qualifié conserve la preuve de l’historique de la transmission et des éventuels incidents survenus durant celle-ci pendant une durée minimale d’un an. L’expéditeur a accès à ces informations pendant un an. « Art. 64-9. – Les articles 64-1 à 64-4 sont applicables lorsqu’un administrateur provisoire est désigné en application de l’article 29-1 de la loi du 10 juillet 1965 susvisée ou lorsque l’assemblée générale est convoquée par le président du conseil syndical ou par un copropriétaire dans les conditions définies aux articles 8 et 50. » Art. 49. – L’article 65 est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa, les mots : « de l’article 64 » sont remplacés par les mots : « des articles 64 et 64-2 » ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 2o Au deuxième alinéa, les mots : « par l’article 64 » sont remplacés par les mots : « par les articles 64 et 64-2 » et le mot : « notifiée » est remplacé par le mot : « indiquée » ; 3o Le dernier alinéa est complété par un alinéa ainsi rédigé : « En cas de retard dans la réception ou en cas de perte des données, la responsabilité du prestataire est engagée dans les conditions prévues au 3o de l’article R. 2-1 du code des postes et des communications électroniques. » CHAPITRE 10 MESURES RELATIVES AU CONTRAT TYPE DE SYNDIC Art. 50. – L’annexe 1 est ainsi modifiée : 1o Au point 2 intitulé « Durée du contrat », le dernier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Il ne peut être conclu un nouveau contrat que par décision expresse de l’assemblée générale. » ; 2o Le point 3 intitulé « Révocation du syndic » est remplacé par les dispositions suivantes : « 3. Résiliation du contrat à l’initiative du conseil syndical « Le contrat de syndic peut être résilié, à l’initiative du conseil syndical, par décision de l’assemblée générale des copropriétaires statuant à la majorité des voix de tous les copropriétaires (art. 25 de la loi du 10 juillet 1965) (3). « Cette résiliation du contrat doit être fondée sur une inexécution suffisamment grave reprochée au syndic. « Le conseil syndical notifie au syndic une demande motivée d’inscription de la question à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale, en précisant la ou les inexécutions qui lui sont reprochées. « La résiliation prend effet à la date déterminée par l’assemblée générale et au plus tôt un jour franc après la tenue de celle-ci. » ; 3o Le point 4 intitulé « Démission du syndic » est remplacé par les dispositions suivantes : « 4. Résiliation du contrat à l’initiative du syndic « La résiliation du contrat doit être fondée sur une inexécution suffisamment grave reprochée par le syndic au syndicat des copropriétaires. « Le syndic doit notifier son intention au président du conseil syndical, et à défaut à chaque copropriétaire, en précisant la ou les inexécutions reprochées par le syndic au syndicat des copropriétaires. « Il convoque dans un délai qui ne peut être inférieur à deux mois à compter de cette notification une assemblée générale, en inscrivant à l’ordre du jour la question de la désignation d’un nouveau syndic. « La résiliation prend effet au plus tôt un jour franc après la tenue de l’assemblée générale. » ; 4o Le point 5 intitulé « Nouvelle désignation du syndic » est ainsi modifié : a) A la deuxième phrase du premier alinéa, les mots : « renouvelé dans ses fonctions » sont remplacés par les mots : « désigné à nouveau » ; b) Après le premier alinéa, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés : « Lorsqu’il est envisagé de désigner un nouveau syndic, il peut être mis fin au présent contrat, de manière anticipée et sans indemnité, dès lors que la question du changement de syndic et de la date de fin du présent contrat sont inscrites à l’ordre du jour d’une assemblée générale convoquée dans les trois mois précédant le terme du présent contrat. « Le syndic qui ne souhaite pas être désigné à nouveau doit en informer le président du conseil syndical au moins trois mois avant la tenue de cette assemblée générale. » ; 5o Le point 6 intitulé « Fiche synthétique de copropriété (4) » est ainsi modifié : a) Le titre est complété par les mots suivants : « et transmission de pièces au conseil syndical » ; b) Après le titre, est inséré un alinéa ainsi rédigé : « 6.1. La fiche synthétique de la copropriété » ; c) Les deuxième, troisième et quatrième alinéas sont remplacés par deux alinéas ainsi rédigés : « Le syndic met cette fiche à disposition du copropriétaire qui en fait la demande dans le délai d’un mois. A défaut, il est tenu au paiement de la pénalité financière suivante : (montant fixé par décret) € par jour de retard. « Cette pénalité est déduite de la rémunération forfaitaire annuelle du syndic lors de l’établissement des comptes à clôturer et à soumettre à l’assemblée générale. » ; d) Il est complété par un point 6.2 ainsi rédigé : « 6.2. La transmission de pièces au conseil syndical « En application du septième alinéa de l’article 21 de la loi 10 juillet 1965, le conseil syndical peut prendre connaissance et copie, à sa demande, après en avoir donné avis au syndic, de toutes pièces ou documents, correspondances ou registres se rapportant à la gestion du syndic et, d’une manière générale, à l’administration de la copropriété. « En l’absence de transmission desdites pièces, au-delà du délai d’un mois à compter de la demande du conseil syndical, le syndic est tenu au paiement de la pénalité suivante : (montant fixé par décret) € par jour de retard. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 146 « Cette pénalité est déduite de la rémunération forfaitaire annuelle du syndic lors de l’établissement des comptes définitifs à clôturer et à soumettre à l’assemblée générale. » ; 6o Au premier alinéa du point 7.1.2 intitulé « Précisions concernant la tenue de l’assemblée générale annuelle », après les mots : « pour une durée de », est insérée la mention : « … » ; 7o Le point 7.1.3 intitulé « Prestations optionnelles qui peuvent être incluses dans le forfait sur décision des parties » est ainsi modifié : a) Au troisième alinéa, après les mots : « convocation et tenue de », est insérée la mention : « … » ; b) Le dernier alinéa est ainsi modifié : – après les mots : « d’une durée de », est insérée la mention : « … » ; – l’alinéa est complété par les mots : « , à l’intérieur d’une plage horaire allant de … heures à … heures. » ; 8o Le deuxième alinéa du point 7.1.4 intitulé « Prestations qui peuvent être exclues des missions du syndic sur décision de l’assemblée générale des copropriétaires » et la note de bas de page (5) sont supprimés ; 9o Le point 7.2.1 intitulé « Modalités de rémunération des prestations particulières » est ainsi modifié : a) Le premier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « La rémunération due au syndic professionnel au titre des prestations particulières, à l’exception de celles citées au 7.2.5, est calculée pour chacune d’elles : » ; b) Au deuxième alinéa, après les mots : « en application du », est inséré le mot : « seul » ; c) Le troisième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « – soit en application du tarif forfaitaire total convenu par les parties, exprimé hors taxes et toutes taxes comprises. » ; 10o Dans la colonne « MODALITES DE TARIFICATION convenues » du point 7.2.2 intitulé « Prestations relatives aux réunions et visites supplémentaires (au-delà du contenu du forfait stipulé aux 7.1.1 et 7.1.3) », les mots : « majoration spécifique » sont remplacés par les mots : « une majoration spécifique unique » ; 11o Le point 7.2.5 intitulé « Prestations relatives aux travaux et études techniques » est ainsi modifié : a) Le neuvième alinéa est supprimé ; b) Au dixième alinéa, les mots : « doit être exprimée en » sont remplacés par les mots : « doit être exprimée hors taxes et toutes taxes comprises, en application du » ; 12o Le point 9 intitulé « Frais et honoraires imputables aux seuls copropriétaires » est ainsi modifié : a) La colonne intitulée « TARIFICATION PRATIQUÉE » est remplacée par une colonne intitulée « TARIFICATION PRATIQUÉE exprimée HT et TTC » ; b) Le deuxième alinéa de la colonne « DÉTAILS » du point 9.2 intitulé « Frais et honoraires liés aux mutations » est ainsi rédigé : « (Nota. – Le montant maximum applicable aux honoraires et frais perçus par le syndic pour l’établissement de l’état daté, fixé en application du décret prévu à l’article 10-1 b de la loi du 10 juillet 1965, s’élève à la somme de 380 € TTC). » ; c) Le tableau est complété par un point 9.4 ainsi rédigé : – la colonne « PRESTATIONS » est complétée par un alinéa ainsi rédigé : « 9.4. Préparation, convocation et tenue d’une assemblée générale à la demande d’un ou plusieurs copropriétaires, pour des questions concernant leurs droits ou obligations (art. 17-1 AA de la loi du 10 juillet 1965) » ; – la colonne « DÉTAILS » est complétée par un alinéa ainsi rédigé : « Etablissement de l’ordre du jour ; élaboration et envoi de la convocation avec l’ordre du jour, des documents à joindre à la convocation et des projets de résolutions ; présence du syndic ou de son représentant à l’assemblée générale ; établissement de la feuille de présence ; émargement, vérification des voix et des pouvoirs ; rédaction et tenue du registre des procès-verbaux ; envoi et notification du procès-verbal comportant les décisions prises en assemblée générale des copropriétaires (opposant ou défaillant) et, le cas échéant, information des occupants de chaque immeuble de la copropriété des décisions prises par l’assemblée générale par affichage d’un procès-verbal abrégé dans les parties communes (article 44 de la loi no 86-1290 du 23 décembre 1986). » ; 13o L’ANNEXE AU CONTRAT TYPE DE SYNDIC relative à la LISTE NON LIMITATIVE DES PRESTATIONS INCLUSES DANS LE FORFAIT est ainsi modifiée : a) Dans la colonne « DÉTAILS » du III-8o intitulé « Comptes bancaires. », le a est remplacé par les dispositions suivantes : « a) Ouverture d’un compte bancaire séparé ; » ; JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 3 sur 146 b) Dans la colonne « DÉTAILS » du III-11o intitulé « Remise au syndic successeur. », le a est remplacé par les dispositions suivantes : « a) Remise de l’état financier, des références des comptes bancaires du syndicat, des coordonnées de la banque, de l’état des comptes des copropriétaires et des comptes du syndicat. » CHAPITRE 11 MESURES RELATIVES À LA LISTE LIMITATIVE DES PRESTATIONS PARTICULIÈRES POUVANT DONNER LIEU AU VERSEMENT D’UNE RÉMUNÉRATION SPÉCIFIQUE COMPLÉMENTAIRE Art. 51. – La colonne DÉTAILS du VI intitulé « - Autre prestations » de l’annexe 2 relative à la LISTE LIMITATIVE DES PRESTATIONS PARTICULIÈRES POUVANT DONNER LIEU AU VERSEMENT D’UNE RÉMUNÉRATION SPÉCIFIQUE COMPLÉMENTAIRE est complétée par un 19o ainsi rédigé : « 19o Opérations de liquidation en cas de disparition de plein droit de la copropriété et de dissolution du syndicat des copropriétaires par réunion de tous les lots entre les mains d’un même copropriétaire, en application du dernier alinéa de l’article 46-1 de la loi du 10 juillet 1965. » CHAPITRE 12 DISPOSITIONS DIVERSES Art. 52. – I. – Au troisième alinéa de l’article R. 250-4-3 du code des assurances, les mots : « à la deuxième phrase du deuxième alinéa de l’article 14-3 » sont remplacés par les mots : « à l’article 41-8 ». II. – Au second alinéa du II de l’article R. 711-9 du code de la construction et de l’habitation, les mots : « du deuxième alinéa de l’article 14-3 » sont remplacés par les mots : « de l’article 41-8 ». CHAPITRE 13 DISPOSITIONS TRANSITOIRES ET FINALES Art. 53. – I. – Les dispositions de l’article 29 du présent décret entrent en vigueur le 31 décembre 2020. II. – Les dispositions du c du 12o et du a du 13o de l’article 50 du présent décret s’appliquent aux contrats de syndic conclus postérieurement au 31 décembre 2020. III. – Pour les syndics ayant été dispensés de l’obligation d’ouvrir un compte séparé au nom du syndicat par décision de l’assemblée générale, les dispositions de l’article 39 du présent décret entrent en vigueur le 31 décembre 2020 et les dispositions du b du 13o de l’article 50 du présent décret s’appliquent aux contrats de syndic conclus postérieurement au 31 décembre 2020. IV. – Les dispositions des 1o à 11o ainsi que des a et b du 12o de l’article 50 et de l’article 51 du présent décret s’appliquent aux contrats de syndic conclus postérieurement à l’entrée en vigueur du présent décret. V. – Les dispositions de l’article 9, de l’article 13, du 4o de l’article 14, de l’article 25, du 2o de l’article 26 et de l’article 27 du présent décret s’appliquent aux assemblées générales de copropriétaires tenues à compter du 31 décembre 2020. VI. – Les dispositions du présent décret entrent en vigueur le lendemain de sa publication. Art. 54. – La garde des sceaux, ministre de la justice, le ministre de l’économie et des finances, la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales et le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 2 juillet 2020. EDOUARD PHILIPPE Par le Premier ministre : La garde des sceaux, ministre de la justice, NICOLE BELLOUBET Le ministre de l’économie et des finances, BRUNO LE MAIRE La ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, JACQUELINE GOURAULT Le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, JULIEN DENORMANDIE 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Arrêté du 30 juin 2020 portant modification de l’arrêté du 30 juillet 2014 portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Ecole nationale des greffes NOR : JUSB2015290A La garde des sceaux, ministre de la justice, Vu l’arrêté du 30 juillet 2014 modifié portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Ecole nationale des greffes ; Vu l’arrêté du 17 février 2005 modifié habilitant le garde des sceaux, ministre de la justice, à instituer une régie de recettes et une régie d’avances auprès de l’Ecole nationale des greffes ; Vu la demande du directeur de l’Ecole nationale des greffes du 18 février 2020 aux fins de réduction du montant de l’avance de la régie de l’Ecole nationale des greffes, Arrête : Art. 1 . – L’arrêté du 30 juillet 2014 portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Ecole nationale des greffes est modifié par les dispositions de l’article 2 du présent arrêté. Art. 2. – L’article 5 de l’arrêté du 30 juillet 2014 portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Ecole nationale des greffes est ainsi modifié : « Art. 5. – Le montant de l’avance à consentir au régisseur est fixé à 90 000 €. » Art. 3. – Le directeur des services judiciaires est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 30 juin 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur des services judiciaires, P. GHALEH-MARZBAN er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Arrêté du 2 juillet 2020 fixant le modèle de formulaire de vote par correspondance aux assemblées générales de copropriétaires NOR : JUSC2016025A Publics concernés : copropriétaires, syndics de copropriété professionnels et bénévoles, présidents de conseils syndicaux. Objet : modèle de formulaire de vote par correspondance à joindre par l’organisateur de l’assemblée générale des copropriétaires à la convocation. Entrée en vigueur : ce texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : l’article 17-1 A de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, modifié par l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis, introduit la faculté pour les copropriétaires de voter par correspondance avant la tenue de l’assemblée générale. Le formulaire de vote par correspondance doit être joint à la convocation de l’assemblée qui est envoyée aux copropriétaires ou, le cas échéant, aux associés d’une société d’attribution. Références : le présent arrêté est pris pour l’application de l’article 17-1 A de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, modifié par l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis. La garde des sceaux, ministre de la justice, et le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, Vu la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, notamment son article 17-1 A dans sa rédaction issue de l’ordonnance no 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis ; Vu le décret no 67-223 du 17 mars 1967 modifié pris pour l’application de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis ; Vu l’avis du Conseil national de la transaction et de la gestion immobilières en date du 29 mai 2020, Arrêtent : Art. 1 . – Le formulaire de vote par correspondance mentionné à l’article 17-1 A de la loi du 10 juillet 1965 susvisée est conforme au modèle figurant en annexe du présent arrêté. Le formulaire peut être adapté et complété sans qu’aucune des mentions du modèle puisse être supprimée. Art. 2. – Le directeur des affaires civiles et du sceau et le directeur de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 2 juillet 2020. La garde des sceaux, ministre de la justice, Pour la ministre et par délégation : Le directeur des affaires civiles et du sceau, J.-F. DE MONTGOLFIER Le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, Pour le ministre et par délégation : Le directeur de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages, F. ADAM er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ANNEXE Texte 5 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 146 RAPPEL DES DISPOSITIONS LÉGALES ET RÉGLEMENTAIRES Il s’agit du formulaire prévu par l’alinéa 2 de l’article 17-1 A de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 qui précise que : « Les copropriétaires peuvent, par ailleurs, voter par correspondance avant la tenue de l’assemblée générale, au moyen d’un formulaire établi conformément à un modèle fixé par arrêté. Si la résolution objet du vote par correspondance est amendée en cours d’assemblée générale, le votant par correspondance ayant voté favorablement est assimilé à un copropriétaire défaillant pour cette résolution. » Ce formulaire est régi par les articles 9, alinéa 2, 9 bis, 14, alinéas 1 à 4, 14-1 et 17, alinéa 3, du décret no 67-223 du 17 mars 1967 modifié pris pour l’application de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, selon lesquels : Alinéa 2 de l’article 9 : « Le formulaire de vote par correspondance mentionné au deuxième alinéa de l’article 17-1 A est joint à la convocation. » Article 9 bis : « Pour être pris en compte lors de l’assemblée générale, le formulaire de vote par correspondance est réceptionné par le syndic au plus tard trois jours francs avant la date de la réunion. Lorsque le formulaire de vote est transmis par courrier électronique à l’adresse indiquée par le syndic, il est présumé réceptionné à la date de l’envoi. » Alinéas 1er à 4 de l’article 14 : « Il est tenu une feuille de présence, pouvant comporter plusieurs feuillets, qui indique les nom et domicile de chaque copropriétaire ou associé : – présent physiquement ou représenté ; – participant à l’assemblée générale par visioconférence, par audioconférence ou par un autre moyen de communication électronique ; – ayant voté par correspondance avec mention de la date de réception du formulaire par le syndic. » Article 14-1 : « Au moment du vote, le formulaire de vote par correspondance n’est pas pris en compte lorsque le copropriétaire, l’associé ou leur mandataire est présent à l’assemblée générale, quelle que soit la date à laquelle a été établi ou reçu le formulaire de vote par correspondance ou le mandat avec délégation de vote, y compris en cas de délégation de vote sans désignation d’un mandataire. » Alinéa 3 de l’article 17 : « Le procès-verbal comporte, sous l’intitulé de chaque question inscrite à l’ordre du jour, le résultat du vote. Il précise les noms et nombre de voix des copropriétaires ou associés qui se sont opposés à la décision, qui se sont abstenus, ou qui sont assimilés à un copropriétaire défaillant en application du deuxième alinéa de l’article 17-1 A de la loi du 10 juillet 1965. » JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 6 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Décret no 2020-835 du 30 juin 2020 portant publication de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République d’Angola relatif aux services aériens (ensemble une annexe), signé à Luanda le 1er mars 2018 (1) NOR : EAEJ2014919D Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, Vu la Constitution, notamment ses articles 52 à 55 ; Vu la loi no 2020-86 du 5 février 2020 autorisant l’approbation de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République du Tchad relatif aux services aériens et de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République d’Angola relatif aux services aériens ; Vu le décret no 47-974 du 31 mai 1947 de publication de la convention relative à l’aviation civile internationale signée à Chicago le 7 décembre 1944 ; Vu le décret no 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements internationaux souscrits par la France, Décrète : Art. 1 . – L’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République d’Angola relatif aux services aériens (ensemble une annexe), signé à Luanda le 1er mars 2018, sera publié au Journal officiel de la République française. Art. 2. – Le Premier ministre et le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 30 juin 2020. EMMANUEL MACRON er Par le Président de la République : Le Premier ministre, EDOUARD PHILIPPE Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, JEAN-YVES LE DRIAN (1) Entrée en vigueur : 1er juin 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE D’ANGOLA RELATIF AUX SERVICES AÉRIENS (ENSEMBLE UNE ANNEXE), SIGNÉ À LUANDA LE 1ER MARS 2018 Le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République d’Angola, ci-après dénommés « les Parties contractantes », Etant Parties à la Convention relative à l’aviation civile internationale ouverte à la signature à Chicago le 7 décembre 1944, et Désireux de conclure un accord complétant ladite Convention afin d’établir des services de transport aérien entre leurs territoires respectifs et au-delà, Sont convenus des dispositions suivantes : Article 1er Définitions 1. Aux fins du présent accord, sauf dispositions contraires : a) le terme « Convention » désigne la Convention relative à l’aviation civile internationale ouverte à la signature à Chicago le 7 décembre 1944 et inclut toute annexe adoptée en vertu de l’article 90 de ladite Convention et tout amendement aux annexes ou à la Convention en vertu de ses articles 90 et 94, dans la mesure où ces annexes et amendements ont été adoptés par les deux Parties contractantes ; b) l’expression « autorités aéronautiques » désigne, pour la République française, la Direction générale de l’aviation civile et, pour la République d’Angola, le ministre chargé de l’aviation civile, ou toute personne ou tout organisme habilité à exercer des fonctions exercées par les autorités susmentionnées ou des fonctions analogues ; c) l’expression « transporteur aérien désigné » désigne un transporteur aérien désigné conformément à l’article 3 du présent accord ; d) le terme « territoire » a le sens que lui donne l’article 2 de la Convention ; e) les expressions « service aérien », « service aérien international », « transporteur aérien » et « escale non commerciale » ont respectivement le sens que leur donne l’article 96 de la Convention ; f) l’expression « routes spécifiées » désigne les routes figurant au tableau des routes annexé au présent accord ; g) l’expression « services agréés » désigne les services aériens réguliers de transport, distinct ou combiné, de passagers, de courrier et de fret, effectués moyennant rétribution sur les routes spécifiées ; h) le terme « tarif » désigne les prix facturés par le(s) transporteur(s) aérien(s), directement ou par l’intermédiaire de leurs agents, pour le transport de passagers, de bagages et de fret, ainsi que les conditions auxquelles s’appliquent ces prix, y compris la rémunération et les conditions applicables aux agences, mais à l’exclusion de la rémunération ou des conditions applicables au transport de courrier ; i) l’expression « redevances d’usage » désigne la redevance imposée aux transporteurs aériens par les autorités compétentes au titre de l’utilisation d’un aéroport ou d’installations de navigation aérienne par des aéronefs, leurs équipages, leurs passagers ou leur fret ; et j) le terme « accord » désigne le présent accord, son annexe et tous amendements à l’accord ou à son annexe convenus conformément aux dispositions de l’article 21 du présent accord. 2. L’annexe forme partie intégrante du présent accord. Toute référence à l’accord porte également sur son annexe, sauf dispositions contraires expressément convenues. Article 2 Octroi de droits 1. Chaque Partie contractante accorde à l’autre Partie contractante les droits ci-après aux fins des services aériens internationaux, réguliers ou non, effectués par le(s) transporteur(s) aérien(s) de l’autre Partie contractante : a) le droit de survoler son territoire sans atterrir ; b) le droit d’effectuer des escales sur son territoire à des fins non commerciales. 2. Chaque Partie contractante accorde à l’autre Partie contractante les droits énoncés au présent accord afin d’établir et d’exploiter des services aériens internationaux réguliers sur les routes spécifiées dans l’annexe au présent accord. Dans le cadre de l’exploitation d’un service agréé sur une route spécifiée, un transporteur aérien désigné par une Partie contractante a, outre les droits énoncés au paragraphe 1 du présent article, le droit d’effectuer des escales sur le territoire de l’autre Partie contractante aux points mentionnés sur ladite route spécifiée afin d’embarquer et de débarquer, séparément ou ensemble, des passagers et du fret, y compris du courrier, à destination ou en provenance du territoire de la première Partie contractante. 3. Aucune disposition du présent accord ne peut être interprétée comme conférant au transporteur aérien d’une Partie contractante le droit d’embarquer sur le territoire de l’autre Partie contractante, moyennant location ou rémunération, des passagers, leurs bagages ou du fret, y compris du courrier, à destination d’un autre point situé sur le territoire de cette autre Partie contractante. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 Article 3 Désignation et autorisation des transporteurs aériens 1. Chaque Partie contractante désigne par écrit à l’autre Partie contractante le(s) transporteur(s) aérien(s) autorisé(s) à exploiter des services agréés sur les routes spécifiées. Le nombre de transporteurs aériens désignés est arrêté entre les autorités aéronautiques. 2. Dès réception d’une désignation effectuée par l’une des Parties contractantes conformément aux dispositions du paragraphe 1 du présent article et sur demande du transporteur aérien désigné présentée dans la forme et selon les modalités prescrites, les autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante accordent dans les délais les plus brefs les autorisations d’exploitation appropriées, à condition : a) dans le cas d’un transporteur aérien désigné par la République française : i. que ce transporteur soit établi sur le territoire de la République française au sens du Traité sur l’Union européenne et du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne et possède une licence d’exploitation valide conforme au droit de l’Union européenne ; et ii. que le contrôle réglementaire effectif du transporteur soit exercé et assuré par l’Etat membre de l’Union européenne responsable de la délivrance de son certificat de transporteur aérien et que les autorités aéronautiques compétentes soient clairement identifiées dans la désignation ; et iii. que le transporteur soit détenu, soit directement, soit par participation majoritaire, par des Etats membres de l’Union européenne ou de l’Association européenne de libre-échange et/ou des ressortissants de ces Etats, et soit soumis à un contrôle effectif de ces Etats et/ou des ressortissants de ces Etats ; b) dans le cas d’un transporteur aérien désigné par la République d’Angola : i. que ce transporteur soit établi sur le territoire de la République d’Angola et possède une licence d’exploitation valide conforme au droit de la République d’Angola ; et ii. que la République d’Angola exerce et assure un contrôle réglementaire effectif sur le transporteur ; et iii. que ce transporteur soit la propriété directe ou majoritaire de la République d’Angola et/ou de ressortissants de la République d’Angola et soit soumis à un contrôle effectif de cet Etats et/ou de ses ressortissants ; c) que le transporteur aérien désigné soit à même de satisfaire aux conditions prescrites au titre des lois et règlements normalement et raisonnablement applicables en matière de transport aérien international par la Partie contractante qui examine la ou les demandes conformément aux dispositions de la Convention ; et d) que les normes énoncées aux articles 9 et 10 soient requises et appliquées ; 3. Lorsqu’un transporteur aérien a été ainsi désigné et autorisé, il peut commencer à tout moment l’exploitation des services agréés, sous réserve de respecter les dispositions du présent accord. Article 4 Révocation ou suspension d’une autorisation d’exploitation 1. Chaque Partie contractante a le droit de révoquer une autorisation d’exploitation, de suspendre l’exercice des droits accordés par le présent accord à un transporteur aérien désigné par l’autre Partie contractante ou d’imposer à l’exercice de ces droits les conditions qu’elle estime nécessaires lorsque : a) dans le cas d’un transporteur aérien désigné par la République française : i. ce transporteur n’est pas établi sur le territoire de la République française en vertu du Traité sur l’Union européenne et du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne ou ne possède pas de licence d’exploitation valide conforme au droit de l’Union européenne ; ou ii. le contrôle réglementaire effectif du transporteur aérien n’est pas exercé ou assuré par l’Etat membre de l’Union européenne responsable de la délivrance de son certificat de transporteur aérien ou les autorités aéronautiques compétentes ne sont pas clairement identifiées dans la désignation ; ou iii. le transporteur aérien n’est pas détenu, soit directement, soit par participation majoritaire, par des Etats membres de l’Union européenne ou de l’Association européenne de libre-échange et/ou des ressortissants de ces Etats, ou n’est pas soumis à tout moment à un contrôle effectif de ces Etats et/ou des ressortissants de ces Etats. En exerçant son droit dans le cadre du présent paragraphe, la République d’Angola n’exerce aucune discrimination basée sur la nationalité entre les transporteurs aériens de l’Union européenne ; b) dans le cas d’un transporteur aérien désigné par la République d’Angola : i. le transporteur n’est pas établi sur le territoire de la République d’Angola ou ne possède pas de licence d’exploitation valide conforme au droit de la République d’Angola ; ou ii. la République d’Angola n’exerce pas et n’assure pas un contrôle réglementaire effectif sur le transporteur aérien ; ou iii. ce transporteur n’est pas la propriété directe ou majoritaire de la République d’Angola et/ou de ses ressortissants, ou n’est pas soumis à tout moment à un contrôle effectif de cet Etat et/ou de ses ressortissants ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 c) lorsque ce transporteur ne se conforme pas aux lois ou règlements normalement et uniformément appliqués à l’exploitation de transports aériens internationaux par la Partie contractante qui accorde ces droits ; d) dans tous les cas où les normes énoncées au présent accord, en particulier aux articles 9 et 10, ne sont pas requises et appliquées. 2. A moins que la révocation, la suspension ou l’imposition des conditions prévues au paragraphe 1 du présent article ne soient nécessaires pour éviter de nouvelles infractions aux lois et règlements, ou aux dispositions du présent accord, ce droit n’est exercé qu’après des consultations avec l’autre Partie contractante. Ces consultations se tiennent dans les trente (30) jours suivant la date de leur demande par l’une des Parties contractantes, sauf accord contraire entre les deux Parties contractantes. Article 5 Principes régissant l’exploitation des services agréés 1. Chaque Partie contractante fait en sorte que les transporteurs aériens désignés des deux Parties contractantes disposent de possibilités équitables et égales de concurrence pour l’exploitation des services agréés régis par le présent accord. Chaque Partie contractante s’assure que son (ses) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) fonctionne(nt) dans des conditions qui permettent de respecter ce principe et prend des mesures pour en assurer le respect en tant que de besoin. 2. Les services agréés exploités par les transporteurs aériens désignés des Parties contractantes sur les routes spécifiées entre leurs territoires respectifs doivent être en rapport étroit avec la demande de transport de la clientèle et doivent avoir pour objectif primordial d’offrir, avec un coefficient de remplissage raisonnable compatible avec les tarifs conformes aux dispositions de l’article 17 du présent accord, une capacité appropriée pour faire face aux besoins courants et raisonnablement attendus de transport de passagers, de fret et de courrier, afin de favoriser le développement harmonieux des services aériens entre les territoires des Parties contractantes. Article 6 Concurrence loyale 1. Les Parties contractantes reconnaissent que leur objectif commun est de disposer d’un environnement concurrentiel et loyal et de possibilités loyales et équitables pour permettre aux transporteurs aériens des deux Parties contractantes de se concurrencer dans l’exploitation des services agréés sur les routes spécifiées. En conséquence, les Parties contractantes prennent toutes les mesures adéquates pour assurer la pleine application de cet objectif. 2. Les Parties contractantes affirment qu’une concurrence libre, loyale et non faussée est importante pour promouvoir les objectifs du présent accord et notent que l’existence d’un droit de la concurrence complet et d’une autorité indépendante de la concurrence, ainsi que l’application saine et effective de leur droit national de la concurrence est important pour la fourniture efficace de services de transport aérien. Le droit de la concurrence de chaque Partie contractante traitant des questions couvertes par le présent article, tel qu’amendé en tant que de besoin, s’applique à l’activité des transporteurs aériens dans la juridiction de chacune des Parties contractantes. Les Parties contractantes partagent l’objectif de compatibilité et de convergence du droit de la concurrence et de son application effective. Elles coopèrent, en tant que de besoin et lorsque cela est justifié, à l’application effective du droit de la concurrence, notamment en autorisant la communication par leur(s) transporteur(s) aérien(s) ou d’autres ressortissants, conformément à leurs règles et jurisprudence respectives, des informations pertinentes se rapportant à une action relevant du droit de la concurrence intentée par les autorités de la concurrence de l’autre Partie. 3. Chaque Partie contractante élimine toutes formes de discrimination ou de pratiques déloyales qui porteraient atteinte aux possibilités loyales et équitables pour le(s) transporteur(s) aérien(s) de l’autre partie contractante. Article 7 Application des lois et règlements 1. Les lois, règlements et procédures d’une Partie contractante relatifs à l’entrée sur son territoire ou à la sortie de son territoire des aéronefs assurant des services aériens internationaux, ou à l’exploitation et à la navigation de ces aéronefs durant leur séjour sur son territoire, s’appliquent aux aéronefs de(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante et sont appliqués à ces aéronefs à l’entrée sur le territoire, à la sortie du territoire ou pendant le séjour sur le territoire de la première Partie contractante. 2. Les lois et règlements d’une Partie contractante relatifs à l’entrée sur son territoire ou à la sortie de son territoire des passagers, des bagages, des équipages et du fret à bord d’aéronefs sont respectés par lesdits passagers, bagages, équipages et fret du (des) transporteur(s) aérien(s) de l’autre Partie contractante, ou en leur nom, à l’entrée sur le territoire ou à la sortie du territoire d’une Partie contractante. 3. Les lois et règlements mentionnés aux paragraphes 1 et 2 du présent article sont les mêmes que ceux qui s’appliquent aux aéronefs nationaux qui assurent des services aériens internationaux analogues, ainsi qu’aux passagers, aux bagages, aux équipages, au fret et au courrier transportés par ces aéronefs. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 Article 8 Certificats de navigabilité, brevets d’aptitude et licences 1. La validité des certificats de navigabilité, brevets d’aptitude et licences délivrés ou validés conformément aux lois et règlements d’une Partie contractante, y compris, dans le cas de la France, au droit de l’Union européenne, est reconnue par l’autre Partie contractante aux fins de l’exploitation des services agréés sur les routes spécifiées, sous réserve que les critères de délivrance ou de validation desdits certificats, brevets ou licences soient au moins égaux aux normes qui peuvent être instituées en application de la Convention. 2. Toutefois, chaque Partie contractante se réserve le droit de ne pas reconnaître, aux fins du survol de son propre territoire, la validité des brevets d’aptitude et licences délivrés à ses propres ressortissants par l’autre Partie contractante. Article 9 Sécurité de l’aviation 1. Chaque Partie contractante peut demander à tout moment des consultations au sujet des normes de sécurité adoptées par l’autre Partie contractante et relatives aux installations aéronautiques, aux équipages, aux aéronefs et à leur exploitation. Ces consultations ont lieu dans un délai de trente (30) jours à compter de la date de la demande. 2. Si, à la suite de ces consultations, une Partie contractante estime que l’autre Partie contractante ne requiert pas ou n’applique pas effectivement, dans les domaines mentionnés au paragraphe 1, des normes de sécurité au moins égales aux normes minimales instituées au moment considéré en application de la Convention, elle informe l’autre Partie contractante de ces constatations et l’autre Partie contractante adopte des mesures correctives en conséquence. Si l’autre Partie contractante ne prend pas des mesures appropriées dans un délai raisonnable et, en tout cas, dans les quinze (15) jours ou dans un délai plus long éventuellement arrêté d’un commun accord, il y a lieu d’appliquer l’article 4 du présent accord. 3. Nonobstant les obligations énoncées à l’article 33 de la Convention, il est convenu que tout aéronef exploité ou loué par le(s) transporteur(s) aérien(s) d’une Partie contractante pour des services à destination ou en provenance du territoire de l’autre Partie contractante peut, pendant son séjour sur le territoire de l’autre Partie contractante, être soumis par les représentants habilités de l’autre Partie contractante à un examen à bord ou à l’extérieur de l’aéronef afin de vérifier la validité des documents de l’aéronef et de ceux de son équipage ainsi que l’état apparent de l’aéronef et de ses équipements (examen dénommé « inspection au sol » dans la suite du présent article), pour autant que cela n’entraîne pas un retard déraisonnable. 4. Si une inspection ou une série d’inspections au sol donne lieu à : a) des motifs sérieux de penser qu’un aéronef ou son exploitation ne respecte pas les normes minimales en vigueur au moment considéré conformément à la Convention, ou b) des motifs sérieux de craindre des déficiences dans l’adoption et la mise en œuvre effectives de normes de sécurité en vigueur au moment considéré conformément à la Convention, la Partie contractante qui effectue l’inspection est, pour l’application de l’article 33 de la Convention, libre de conclure que les critères suivant lesquels les certificats ou les licences relatifs à cet aéronef, à son exploitant ou à son équipage ont été délivrés ou validés ne sont pas égaux ou supérieurs aux normes minimales en vigueur au moment considéré conformément à la Convention. 5. En cas de refus d’accès à un aéronef exploité par le(s) transporteur(s) aérien(s) d’une Partie contractante aux fins de son inspection au sol conformément au paragraphe 3 ci-dessus, l’autre Partie contractante a toute latitude d’en déduire qu’il existe des motifs sérieux du type de ceux mentionnés au paragraphe 4 ci-dessus et d’en tirer les conclusions mentionnées au même paragraphe. 6. Chaque Partie contractante se réserve le droit de suspendre ou de modifier immédiatement l’autorisation d’exploitation accordée à un transporteur aérien de l’autre Partie contractante si, à la suite d’une inspection au sol, d’une série d’inspections au sol, d’un refus d’accès pour inspection au sol, de consultations ou de toute autre forme de dialogue, elle conclut à la nécessité d’agir immédiatement pour assurer la sécurité de l’exploitation d’un ou de plusieurs transporteurs aériens. 7. Toute mesure prise par une Partie contractante conformément aux paragraphes 2 ou 6 ci-dessus est suspendue dès que les faits qui l’ont motivée ont cessé d’exister. 8. Si la République française a désigné un transporteur aérien dont le contrôle réglementaire est exercé et assuré par un autre Etat membre de l’Union européenne, les droits de la République d’Angola au titre du présent article s’appliquent également à l’adoption, à l’application ou à la mise en œuvre de normes de sécurité par cet Etat membre de l’Union européenne et à l’autorisation d’exploitation de ce transporteur aérien. Article 10 Sûreté de l’aviation 1. Conformément à leurs droits et obligations en vertu du droit international, les Parties contractantes réaffirment que leur obligation mutuelle de protéger la sûreté de l’aviation civile contre les actes d’intervention illicite forme partie intégrante du présent accord. Sans limiter la portée générale de leurs droits et obligations découlant du droit international, les Parties contractantes agissent, notamment, conformément aux dispositions de la Convention 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 relative aux infractions et à certains autres actes survenant à bord des aéronefs signée à Tokyo le 14 septembre 1963, de la Convention pour la répression de la capture illicite d’aéronefs signée à La Haye le 16 décembre 1970, de la Convention pour la répression d’actes illicites dirigés contre la sécurité de l’aviation civile signée à Montréal le 23 septembre 1971, du Protocole pour la répression des actes illicites de violence dans les aéroports servant à l’aviation civile internationale, complémentaire à la Convention pour la répression d’actes illicites dirigés contre la sécurité de l’aviation civile, ouvert à la signature à Montréal le 24 février 1988, de la Convention sur le marquage des explosifs plastiques et en feuilles aux fins de détection signée à Montréal le 1er mars 1991 et de tout autre accord multilatéral régissant la sûreté de l’aviation civile et liant les deux Parties contractantes. 2. Les Parties contractantes s’accordent mutuellement, sur demande, toute l’aide nécessaire pour prévenir les actes de capture illicite d’aéronefs civils et les autres actes illicites dirigés contre la sécurité desdits aéronefs, de leurs passagers, de leurs équipages, des aéroports et des installations de navigation aérienne, ainsi que toute autre menace pour la sûreté de l’aviation civile. 3. Les Parties contractantes agissent, dans leurs relations mutuelles, conformément aux dispositions relatives à la sûreté de l’aviation établies par l’Organisation de l’aviation civile internationale et désignées comme annexes à la Convention, dans la mesure où ces dispositions leur sont applicables ; elles exigent que les exploitants d’aéronefs dont le siège principal d’exploitation ou la résidence permanente est situé sur leur territoire et, dans le cas de la République française, que les exploitants qui sont établis sur son territoire et possèdent une licence d’exploitation conformément au droit de l’Union européenne, ainsi que les exploitants des aéroports situés sur leur territoire agissent conformément à ces dispositions relatives à la sûreté de l’aviation. Dans le présent paragraphe, la référence aux dispositions relatives à la sûreté de l’aviation inclut toute divergence notifiée par la Partie contractante concernée. Chaque Partie contractante informe à l’avance l’autre Partie contractante de son intention de notifier toute divergence concernant ces dispositions. 4. Chaque Partie contractante convient que ses exploitants d’aéronefs peuvent être tenus de respecter, pour le départ du territoire de l’autre Partie contractante ou pendant le séjour sur ce territoire, les dispositions en matière de sûreté de l’aviation en vertu de la législation en vigueur dans ce pays, conformément à l’article 7 du présent accord. Chaque Partie contractante fait en sorte que des mesures appropriées soient effectivement appliquées sur son territoire pour protéger les aéronefs et pour inspecter les passagers, les équipages, leurs bagages, le fret et les provisions de bord, avant et pendant l’embarquement ou le chargement. Chaque Partie contractante examine également avec bienveillance toute demande émanant de l’autre Partie contractante en vue d’instituer des mesures spéciales mais raisonnables de sûreté afin de faire face à une menace particulière. 5. En cas d’incident ou de menace d’incident de capture illicite d’un aéronef civil ou d’autres actes illicites dirigés contre la sécurité de passagers, d’équipages, d’aéronefs, d’aéroports ou d’installations de navigation aérienne, les Parties contractantes se prêtent mutuellement assistance en facilitant les communications et en prenant d’autres mesures appropriées destinées à mettre fin rapidement et en toute sécurité à cet incident ou à cette menace. 6. Si une Partie contractante a des motifs raisonnables d’estimer que l’autre Partie contractante n’a pas respecté les dispositions relatives à la sûreté de l’aviation prévues au présent article, elle peut demander des consultations immédiates à l’autre Partie contractante. Sans préjuger des dispositions de l’article 4 du présent accord, l’absence d’accord satisfaisant dans un délai de quinze (15) jours à compter de la date de cette demande constitue un motif de suspension des droits accordés aux Parties contractantes en vertu du présent accord. En cas d’urgence constituée par une menace directe et exceptionnelle pour la sûreté de passagers, d’équipages ou d’aéronefs d’une Partie contractante et si l’autre Partie contractante ne s’est pas acquittée comme il convient des obligations qui découlent pour elle des paragraphes 4 et 5 du présent article, une Partie contractante peut prendre immédiatement, à titre provisoire, les mesures de protection appropriées pour parer à cette menace. Toute mesure prise conformément au présent paragraphe est suspendue dès que l’autre Partie contractante s’est conformée aux dispositions du présent article en matière de sûreté. Article 11 Redevances d’usage 1. Les redevances d’usage qui peuvent être perçues par les autorités ou organismes compétents d’une Partie contractante auprès du (des) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante au titre de l’utilisation des installations et services aéroportuaires et des installations de sécurité, de sûreté, de navigation aérienne et autres qui relèvent de leur autorité doivent être justes, raisonnables, non discriminatoires et faire l’objet d’une répartition équitable entre les catégories d’usagers. Elles ne doivent pas être plus élevées que celles qui sont perçues au titre de l’utilisation desdits services et installations par un autre transporteur aérien qui exploite les mêmes services internationaux ou des services analogues. 2. Ces redevances peuvent refléter, sans toutefois excéder, une part équitable du coût total supporté pour la mise à disposition des installations et services aéroportuaires ainsi que des services et installations de sécurité, de sûreté et de navigation aérienne. Les installations et services pour lesquels des redevances sont perçues sont fournis sur une base efficace et économique. Les autorités ou organismes compétents de chaque Partie contractante notifient au(x) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante tout projet de modification significative de ces redevances ; cette notification doit intervenir dans un délai raisonnable précédant l’entrée en vigueur de ladite modification. Chaque Partie contractante encourage les consultations entre les autorités ou organismes compétents sur son territoire et les transporteurs aériens qui utilisent les services et installations, en cas d’augmentation des redevances. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 Article 12 Droits de douane et taxes 1. A l’entrée sur le territoire d’une Partie contractante, les aéronefs exploités aux fins de services aériens internationaux par le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante, leur équipement normal, leurs carburants et lubrifiants, fournitures techniques consommables, pièces détachées, y compris les moteurs, et provisions de bord (y compris mais de manière non limitative la nourriture, les boissons et alcools, les tabacs et autres produits destinés à la vente aux passagers ou à leur consommation en quantités limitées pendant le vol), leurs équipements et les autres produits destinés à être utilisés ou utilisés uniquement en rapport avec l’exploitation ou l’entretien des aéronefs exploitant un service aérien international sont, à titre temporaire, en attente de leur réexportation et sur la base de la réciprocité, admis en exemption de tous droits de douane, restrictions à l’importation, impôts réels, taxes sur le capital, droits d’inspection, droits d’accise et droits ou redevances analogues perçus par les autorités nationales ou locales, à condition que ces équipements et fournitures restent à bord de l’aéronef. 2. Sont également exemptés, sur la base de la réciprocité, des impôts, droits, frais d’inspection et redevances mentionnés au paragraphe 1 du présent article, à l’exception des redevances basées sur le coût des services rendus : a) les provisions de bord introduites ou fournies sur le territoire d’une Partie contractante et embarquées, dans des limites raisonnables, pour être utilisées à bord des aéronefs au départ du (des) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante exploitant des services aériens internationaux, même si ces provisions sont destinées à être utilisées sur une partie du trajet effectuée au-dessus du territoire de la Partie contractante dans laquelle elles sont embarquées ; b) les équipements normaux et les pièces détachées, y compris les moteurs, introduits sur le territoire d’une Partie contractante aux fins d’entretien, de maintenance, de réparation et d’approvisionnement d’un aéronef d’un transporteur aérien désigné de l’autre Partie contractante assurant des services aériens internationaux ; c) les carburants, lubrifiants et fournitures techniques consommables introduits ou fournis sur le territoire d’une Partie contractante pour être utilisés à bord d’un aéronef d’un transporteur aérien désigné d’une Partie contractante assurant des services aériens internationaux, même si ces fournitures sont destinées à être utilisées sur une partie du trajet effectuée au-dessus du territoire de la Partie contractante dans laquelle ils sont embarqués ; d) les imprimés et documents publicitaires promotionnels, y compris mais non uniquement les horaires, brochures et imprimés, introduits sur le territoire d’une Partie contractante et destinés à être distribués gratuitement à bord des aéronefs par le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante ; e) l’équipement de sûreté et de sécurité utilisé dans les aéroports et les terminaux de fret. 3. Il peut être exigé que les équipements et fournitures mentionnés aux paragraphes 1 et 2 du présent article soient placés sous la surveillance ou le contrôle des autorités compétentes et que leur propriété ne soit transférée qu’après paiement des droits de douane et taxes correspondants. 4. Les exonérations prévues au présent article sont également accordées lorsque le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) d’une Partie contractante a (ont) conclu avec un autre transporteur aérien bénéficiant des mêmes exonérations de la part de l’autre Partie contractante des contrats en vue du prêt ou du transfert sur le territoire de l’autre Partie contractante des produits mentionnés aux paragraphes 1 et 2 du présent article. 5. L’équipement aéroporté normal, ainsi que les matériels et fournitures normalement conservés à bord de l’aéronef d’un transporteur aérien de l’une des Parties contractantes ne peuvent être déchargés sur le territoire de l’autre Partie contractante qu’avec l’accord des autorités douanières de ce territoire. Dans ce cas, ils peuvent être placés sous la surveillance desdites autorités jusqu’à ce qu’ils soient réexportés ou cédés d’une autre manière conformément à la réglementation douanière. 6. En application de la réglementation européenne en la matière, aucune disposition du présent accord n’empêche la République française d’imposer, de manière non discriminatoire, des prélèvements, impôts, droits, taxes ou redevances sur le carburant fourni sur son territoire en vue d’une utilisation par un aéronef d’un transporteur aérien désigné de la République d’Angola qui exploite un service entre un point situé sur le territoire de la République française et un autre point situé sur le territoire de la République française ou d’un autre Etat membre de l’Union européenne. Article 13 Activités commerciales 1. Le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) d’une Partie contractante a (ont) le droit, sur la base de la réciprocité, d’établir des bureaux sur le territoire de l’autre Partie contractante aux fins de la promotion et de la vente de services de transport aérien. 2. Le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) d’une Partie contractante est (sont) autorisé(s), sur la base de la réciprocité, conformément aux lois et règlements relatifs à l’entrée et à la résidence sur le territoire de l’autre Partie contractante, à faire entrer et séjourner sur le territoire de l’autre Partie contractante leur personnel de gestion, d’exploitation, leur personnel commercial et tout autre personnel spécialisé nécessaire pour assurer les transports aériens. 3. Chaque Partie contractante accorde au personnel nécessaire du (des) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante, sur la base de la réciprocité, l’autorisation d’accéder, sur son territoire, à l’aéroport et 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 aux zones en rapport avec l’exploitation des aéronefs, les équipages, les passagers et le fret d’un transporteur aérien de l’autre Partie contractante. 4. Chaque Partie contractante accorde, sur la base de la réciprocité, au(x) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante le droit de faire entrer et séjourner sur son territoire, pendant de brèves périodes n’excédant pas quatre-vingt-dix (90) jours, le personnel supplémentaire requis par le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante pour ses activités. 5. Les Parties contractantes s’assurent que les passagers, quelle que soit leur nationalité, puissent acheter des billets auprès du transporteur aérien de leur choix, en monnaie locale ou en toute devise librement convertible acceptée par ce transporteur aérien. Ces principes s’appliquent également au transport de fret. 6. Sur la base de la réciprocité, le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) d’une Partie contractante a (ont), sur le territoire de l’autre Partie contractante, le droit de procéder, en monnaie locale ou en toute devise librement convertible, à la vente de billets de transport aérien de passagers et de fret, dans ses (leurs) propres bureaux comme par l’intermédiaire des agents accrédités de leur choix. Le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) d’une Partie contractante ont le droit d’ouvrir et de conserver, sur le territoire de l’autre Partie contractante, des comptes bancaires nominatifs dans la monnaie de l’une ou l’autre des Parties contractantes ou en toute devise librement convertible, à sa (leur) discrétion. Article 14 Accords de coopération commerciale 1. Pour l’exploitation de services agréés, le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de chaque Partie contractante peu(ven)t conclure des accords de coopération commerciale, notamment des accords de réservation de capacité, de partage de codes ou tout autre accord de coentreprise : a) avec un ou plusieurs transporteurs aériens de l’une ou l’autre des Parties contractantes ; et b) avec un ou plusieurs transporteurs aériens d’un pays tiers. 2. Le(s) transporteur(s) aérien(s) de fait dans le cadre de ces accords de coopération commerciale doi(ven)t disposer des autorisations adéquates et des droits de trafic correspondants, y compris ceux relatifs aux routes et aux enveloppes de capacité, et satisfaire aux critères normalement applicables à de tels accords. 3. Tous les transporteurs aériens contractuels dans le cadre de ces accords de coopération commerciale doivent disposer des autorisations adéquates et des droits correspondants relatifs aux routes, et satisfaire aux critères normalement applicables à de tels accords. 4. La capacité totale exploitée par les services aériens assurés dans le cadre de ces accords de coopération commerciale n’est décomptée que de l’enveloppe de capacité de la Partie contractante qui a désigné le(s) transporteur(s) aérien(s) de fait. La capacité proposée pour ces services par le(s) transporteur(s) aérien(s) contractuel(s) n’est pas décomptée de l’enveloppe de capacité de la Partie contractante qui a désigné ce transporteur. 5. Les autorités aéronautiques de chaque Partie contractante peuvent demander non seulement au(x) transporteur (s) aérien(s) de fait, mais aussi au(x) transporteur(s) aérien(s) contractuel(s) de déposer leurs programmes à des fins d’autorisation. 6. Lors de la vente de services dans le cadre de ces accords de coopération commerciale, le transporteur aérien concerné ou son agent informent l’acquéreur, au moment de la vente, de l’identité du transporteur aérien de fait sur chaque tronçon du service et de l’identité du ou des transporteurs aériens avec lesquels il conclut un contrat. Article 15 Transfert des excédents de recettes 1. Chaque Partie contractante accorde, sur la base de la réciprocité, au(x) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante le droit de transférer librement l’excédent des recettes par rapport aux dépenses, réalisées par ce transporteur sur son territoire en rapport avec le transport de passagers, de bagages, de courrier et de fret. Ces transferts s’effectuent promptement conformément à la réglementation des changes et aux exigences en la matière, au taux de change officiel ou au taux en vigueur sur le marché des changes pour les paiements courants, et ils ne sont pas imposables ni soumis à d’autres frais que ceux qui sont normalement perçus par les banques pour ce type d’opérations. 2. Chaque Partie contractante accorde au(x) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de l’autre Partie contractante le droit d’affecter tout ou partie de leurs recettes réalisées sur son territoire au règlement de toutes dépenses en rapport avec leurs activités de transport (y compris les achats de carburant) et avec les autres activités liées au transport aérien. 3. Dans la mesure où les règlements financiers entre les Parties contractantes sont régis par un accord particulier, ledit accord s’applique. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 Article 16 Services d’assistance en escale Sous réserve des lois et règlements nationaux en vigueur dans chaque Partie contractante, y compris, pour ce qui concerne la France, le droit de l’Union européenne, chaque transporteur aérien a le droit, sur le territoire de l’autre Partie contractante, de pratiquer l’auto-assistance ou, à son gré, de choisir parmi les prestataires concurrents qui fournissent des services d’assistance en escale en totalité ou en partie. Lorsque les lois et règlements applicables limitent ou excluent l’auto-assistance et lorsqu’il n’y a pas de concurrence effective entre les prestataires d’assistance en escale, chaque transporteur aérien désigné est traité de manière non-discriminatoire en ce qui concerne l’accès à l’auto-assistance et aux services d’assistance en escale fournis par un ou plusieurs prestataires. Article 17 Tarifs 1. Les tarifs (y compris les taxes et/ou les surtaxes) à appliquer par le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de chaque Partie contractante sont fixés à des niveaux raisonnables, librement et de manière indépendante, en tenant dûment compte de tous les facteurs pertinents, y compris les coûts d’exploitation, le prix du carburant, les caractéristiques du service et un bénéfice raisonnable. 2. Chaque Partie contractante peut demander la notification à ses autorités aéronautiques ou l’enregistrement auprès de celles-ci des tarifs que le(s) transporteur(s) aérien(s) de l’autre Partie contractante enten(den)t appliquer au départ ou à destination de son territoire. La notification ou l’enregistrement, par les transporteurs aériens des deux Parties contractantes, peuvent être requis au plus tard trente (30) jours avant la date prévue pour leur entrée en vigueur. Dans certains cas, la notification ou l’enregistrement peuvent être autorisés dans des délais plus courts que ceux normalement prévus. 3. Sans préjudice des lois en matière de concurrence et de protection du consommateur en vigueur dans chaque Partie contractante, l’intervention des Parties contractantes se limite : a) à la protection du consommateur par rapport à des prix déraisonnablement élevés ou restrictifs en raison d’un abus de position dominante ; b) à la protection des transporteurs aériens par rapport à des prix artificiellement faibles en raison de subventions ou d’aides directes ou indirectes ; c) à la protection des transporteurs aériens par rapport à des prix artificiellement bas, avec l’intention avérée d’éliminer la concurrence. 4. Si les autorités aéronautiques de l’une des Parties contractantes estiment qu’un tarif ne répond pas aux critères énoncés au paragraphe 1 et/ou relève des catégories visées aux paragraphes 3 a), 3 b) et/ou 3 c), elles envoient une notification motivée de leur désapprobation aux autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante ainsi qu’au transporteur aérien concerné aussi tôt que possible et, en tout état de cause, au plus tard trente (30) jours après la date de notification ou d’enregistrement du tarif en question. En outre, elles peuvent demander des consultations à ce sujet avec les autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante. Ces consultations ont lieu dans un délai de trente (30) jours à compter de la réception de la demande. Les tarifs sont considérés comme approuvés, sauf si les autorités aéronautiques des deux Parties sont convenues de les désapprouver par écrit. Article 18 Dépôt des programmes 1. Les horaires du (des) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) d’une Partie contractante sont soumis pour approbation aux autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante. 2. Les horaires sont communiqués au moins quarante-cinq (45) jours avant leur entrée en vigueur et incluent les informations relatives au programme d’exploitation, à la fréquence des services, aux types et à la configuration des aéronefs exploités. 3. Toute modification apportée aux horaires présentés, à l’exception des modifications ad hoc, est communiquée aux autorités aéronautiques au moins vingt (20) jours avant l’entrée en vigueur de cette modification. Toute modification ad hoc, est communiquée aux autorités aéronautiques au moins un (1) jour avant l’entrée en vigueur de cette modification. Cependant, les autorités aéronautiques s’efforcent d’accélérer la prise de décision concernant toute modification ad hoc. 4. En l’absence de désaccord reçu avant la date effective d’entrée en vigueur d’un horaire ou d’une modification d’horaire, cet horaire est considéré comme étant approuvé, étant entendu que cette approbation tacite devient automatiquement nulle si les limitations applicables en termes de capacités et de fréquence offertes sont dépassées. 5. En cas de circonstances exceptionnelles, les périodes mentionnées aux paragraphes 2 et 3 du présent article peuvent être réduites par accord entre les deux autorités aéronautiques. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 Article 19 Transit 1. Les passagers et le fret en transit via le territoire d’une Partie contractante sont soumis à des contrôles simplifiés. 2. Le fret et les bagages en transit via le territoire d’une Partie contractante sont exonérés de tous droits de douane, frais d’inspection et autres droits et redevances. Article 20 Statistiques Les autorités aéronautiques d’une Partie contractante communiquent aux autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante ou leur font communiquer, à leur demande, par leur(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) les documents statistiques qui peuvent être raisonnablement nécessaires pour examiner l’exploitation des services agréés. Article 21 Consultations et modifications 1. Les autorités aéronautiques des Parties contractantes se consultent aussi souvent que cela est jugé nécessaire, dans un esprit d’étroite coopération, afin de veiller à l’application satisfaisante des principes et des dispositions du présent accord. Ces consultations commencent dans un délai de soixante (60) jours à compter de la date de réception d’une demande de consultations émanant d’une Partie contractante. 2. Chaque Partie contractante peut à tout moment demander à l’autre Partie contractante des consultations afin d’interpréter les dispositions du présent accord ou de procéder à tout amendement ou à toute modification des dispositions du présent accord ou de son annexe qu’elle estime souhaitable. Ces consultations peuvent avoir lieu entre les autorités aéronautiques et se dérouler oralement ou par correspondance. Ces consultations commencent dans un délai de soixante (60) jours à compter de la date de réception d’une demande de consultations émanant d’une Partie contractante. 3. Les amendements ou modifications du présent accord convenus entre les Parties contractantes en vertu des dispositions du paragraphe 2 du présent article entrent en vigueur, en tant que de besoin, après confirmation par la voie diplomatique de l’accomplissement des procédures internes requises par chaque Partie contractante. Article 22 Règlement des différends 1. En cas de différend entre les Parties contractantes au sujet de l’interprétation ou de l’application du présent accord, les Parties contractantes s’efforcent en premier lieu de le régler par voie de négociations directes entre les autorités aéronautiques, conformément aux dispositions de l’article 21 du présent accord. 2. Si les autorités aéronautiques des Parties contractantes ne parviennent pas à se mettre d’accord, le différend est réglé par voie de consultations diplomatiques. Ces consultations commencent dans un délai maximum de soixante (60) jours à compter de la date de réception d’une demande de consultations émanant d’une Partie contractante. 3. Si les Parties contractantes ne parviennent pas à un règlement par voie de négociations conformément aux paragraphes 1 et 2 du présent article, elles peuvent convenir de soumettre le différend pour décision soit à une personne ou à un organisme désigné d’un commun accord soit, à la demande de l’une ou l’autre des Parties contractantes, à un tribunal composé de trois arbitres. Dans ce cas, chaque Partie contractante désigne un arbitre ; le troisième arbitre, qui ne doit pas être ressortissant de l’une des Parties contractantes, est désigné par ces deux arbitres et exerce les fonctions de président du tribunal. Chaque Partie contractante désigne son arbitre dans les soixante (60) jours suivant la date de réception par l’une ou l’autre d’entre elles, par la voie diplomatique, de la demande d’arbitrage émanant de l’autre Partie contractante ; le troisième arbitre est désigné dans les soixante (60) jours suivant la désignation des deux premiers. Si l’une des Parties contractantes ne désigne pas d’arbitre dans le délai prescrit ou si le troisième arbitre n’a pas été désigné dans le délai prescrit, le président du Conseil de l’Organisation de l’aviation civile internationale peut, à la demande de l’une quelconque des Parties contractantes, procéder à la désignation d’un ou, selon le cas, de plusieurs arbitres. 4. Le tribunal d’arbitrage fixe librement ses règles de procédure. Les frais de chacun des arbitres nationaux sont à la charge de la Partie contractante qui l’a désigné. Toutes les autres dépenses du tribunal d’arbitrage sont partagées à égalité entre les Parties contractantes. 5. Les Parties contractantes se conforment à toute décision rendue en vertu du paragraphe 3 du présent article. 6. Si l’une des Parties contractantes ne se conforme pas à une décision rendue en vertu du paragraphe 3 du présent article et tant qu’elle persiste à ne pas s’y conformer, l’autre Partie contractante peut limiter, refuser ou abroger tout droit ou privilège accordé en vertu du présent accord. JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 6 sur 146 Article 23 Accords multilatéraux Si, après l’entrée en vigueur du présent accord, les deux Parties contractantes deviennent liées par un accord multilatéral traitant de questions régies par le présent accord, les dispositions dudit accord prévalent. Les deux Parties contractantes peuvent procéder à des consultations conformément à l’article 21 du présent accord en vue d’établir dans quelle mesure le présent accord est affecté par les dispositions de cet accord multilatéral et s’il convient de réviser le présent accord pour tenir compte de cet accord multilatéral. Article 24 Dénonciation Chacune des Parties contractantes peut à tout moment notifier par écrit et par la voie diplomatique son intention de dénoncer le présent accord. Cette notification doit être adressée simultanément à l’Organisation de l’aviation civile internationale. Dans ce cas, le présent accord prend fin douze (12) mois après la date de réception de la notification par l’autre Partie contractante, sauf retrait de la dénonciation décidé d’un commun accord avant l’expiration de ce délai. S’il n’en est pas accusé réception par l’autre Partie contractante, la notification est réputée avoir été reçue quinze (15) jours après la date à laquelle l’Organisation de l’aviation civile internationale en a accusé réception. Article 25 Enregistrement auprès de l’organisation de l’aviation civile internationale Le présent accord sera enregistré auprès de l’Organisation de l’aviation civile internationale. Article 26 Entrée en vigueur Chaque Partie contractante notifie à l’autre, par la voie diplomatique, l’accomplissement des procédures constitutionnelles requises, en ce qui la concerne, pour l’entrée en vigueur du présent accord qui prend effet le premier jour du deuxième mois suivant le jour de la réception de la seconde notification. En foi de quoi, les soussignés, dûment autorisés par leur Gouvernement respectif, ont signé le présent accord. Fait à Luanda, le 1er mars 2018, en deux exemplaires en langues française et portugaise, les deux textes étant basés sur la version paraphée en langue anglaise, et faisant également foi. Pour le Gouvernement de la République Française : JEAN-YVES LE DRIAN Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères Pour le Gouvernement de la République d’Angola : MANUEL DOMINGOS AUGUSTO Ministre des Relations extérieures ANNEXE TABLEAU DES ROUTES 1. Route pouvant être exploitée par le(s) transporteur(s) aérien(s) de la République française : A partir de Points intermédiaires Vers Points au-delà Tous points en France Tous points en Afrique Tous points en Angola Tous points en Afrique 2. Route pouvant être exploitée par le(s) transporteur(s) aérien(s) de la République d’Angola : A partir de Points intermédiaires Vers Points au-delà Tous points en Angola Tous points en Europe Tous points en France Tous points en Europe Notes : a) Le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de chaque Partie contractante peuvent, à leur convenance, sur tout ou partie de leurs services : – exploiter des vols dans un sens ou dans les deux sens ; – omettre des escales en un ou plusieurs points des routes spécifiées ; – modifier l’ordre de desserte des points des routes spécifiées (y compris la possibilité de desservir des points intermédiaires en qualité de points au-delà et vice versa, ainsi que celle d’omettre des escales dans un sens d’un service) ; – achever leur service sur le territoire de l’autre Partie contractante ou au-delà ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 146 – desservir des points de coterminalisation sur les routes spécifiées du territoire de l’autre Partie contractante ; – modifier les points non spécifiés du tableau des routes par simple communication aux autorités aéronautiques ; à condition que les services correspondants commencent ou prennent fin sur le territoire de la Partie contractante qui a désigné le transporteur aérien. b) L’exercice de droits de trafic par le(s) transporteur(s) aérien(s) désigné(s) de chaque Partie contractante entre des points intermédiaires ou des points au-delà situés dans un pays tiers et le territoire de l’autre Partie contractante est subordonné à un accord entre les autorités aéronautiques des deux Parties contractantes. c) Sur tout segment des routes ci-dessus, un transporteur aérien désigné de l’une ou l’autre des Parties contractantes peut, en tout point, redistribuer le trafic. Cette faculté est ouverte pour autant que le transport au-delà de ce point constitue une exploitation secondaire par rapport au service principal sur la route spécifiée, sous réserve d’avoir obtenu l’autorisation préalable des autorités aéronautiques compétentes. JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 7 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Décret no 2020-836 du 30 juin 2020 portant publication de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République de Serbie relatif au statut de l’Ecole française à Belgrade, signé à Belgrade le 15 juillet 2019 (1) NOR : EAEJ2015283D Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, Vu la Constitution, notamment ses articles 52 à 55 ; Vu le décret no 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements internationaux souscrits par la France ; Vu le décret no 2011-1835 du 7 décembre 2011 portant publication de l’accord de partenariat stratégique et de coopération entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République de Serbie, signé à Paris le 8 avril 2011, Décrète : Art. 1 . – L’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République de Serbie relatif au statut de l’Ecole française à Belgrade, signé à Belgrade le 15 juillet 2019, sera publié au Journal officiel de la République française. Art. 2. – Le Premier ministre et le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 30 juin 2020. EMMANUEL MACRON er Par le Président de la République : Le Premier ministre, EDOUARD PHILIPPE Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, JEAN-YVES LE DRIAN (1) Entrée en vigueur : 15 février 2020 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 146 ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE DE SERBIE RELATIF AU STATUT DE L’ÉCOLE FRANÇAISE À BELGRADE, SIGNÉ À BELGRADE LE 15 JUILLET 2019 Le Gouvernement de la République française, d’une part, et le Gouvernement de la République de Serbie, d’autre part, (ci-après dénommés les « Parties ») Reconnaissant les intérêts mutuels pour le renforcement des liens culturels entre la République française et la République de Serbie, Appréciant l’importance de l’activité de l’Ecole française de Belgrade, qui accueille des élèves de nationalité française, serbe, ou tierce, désireux de suivre un enseignement en français d’après les programmes officiels du ministère français chargé de l’éducation nationale, Désireux de réglementer le statut de l’Ecole française de Belgrade, Considérant l’accord de partenariat stratégique et de coopération entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République de Serbie, signé à Paris le 8 avril 2011, Considérant l’accord de l’Ecole française de Belgrade, représentée par l’association des parents d’élèves, mentionné par lettre du 4 septembre 2017, sur l’ensemble des stipulations du présent accord et son engagement à assumer l’ensemble des obligations qui en découlent, sont convenus de ce qui suit : Article 1er L’Ecole française de Belgrade est un établissement conventionné avec l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (ci-après l’AEFE), agence placée sous la tutelle du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française. L’Ecole française de Belgrade est homologuée par le ministère de l’Education nationale de la République française, conformément aux exigences pédagogiques et administratives qui s’imposent aux établissements scolaires homologués habilités à délivrer hors de France le diplôme de fin d’études secondaires français (baccalauréat). L’Ecole française de Belgrade (ci-après l’« Ecole ») est un établissement fondé par l’association des parents d’élèves de l’Ecole française (l’association des parents d’élèves de l’Ecole française), APE, 101, boulevard Raspail, 75006 Paris, dont la filiale à Belgrade est située au no 31-35, rue Kablarska. Par décision du ministre de la République de Serbie chargé de l’Education, n° 022-05-153/2016-03, en date du 2 novembre 2016, l’Ecole, sise au no 31-35 de la rue Kablarska à Belgrade, est autorisée à mettre en œuvre les plans et programmes pédagogiques de la République française, à savoir : TPS (toute petite section, deux ans) ; PS (petite section, trois ans) ; MS (moyenne section, quatre ans) ; GS (grande section, cinq ans) ; CP (cours préparatoire, six ans) ; CE1 (cours élémentaire / première année, sept ans) ; CE 2 (cours élémentaire / deuxième année, huit ans) ; CM 1 (cours moyen / première année, neuf ans) ; CM 2 (cours moyen / deuxième année, dix ans) ; 6e (correspondant à la 6e année de l’école primaire dans le système serbe) : 6 ans avant le baccalauréat et première année du second niveau de scolarité ; 5e (correspondant à la 7e année de l’école primaire dans le système serbe) : 5 ans avant le baccalauréat. Par décision complémentaire du ministre de la République de Serbie chargé de l’Education no 022-05-153/2016-03, en date du 14 novembre 2016, l’Ecole, sise au no 31-35 de la rue Kablarska à Belgrade, est autorisée à mettre en oeuvre les plans et programmes pédagogiques de la République française pour : – l’enseignement secondaire de premier niveau (collège), comprenant le diplôme DNB (diplôme national du brevet) : • 5e (correspondant à la 7e année de l’école primaire dans le système serbe) - 12 ans ; • 4e (correspondant à la 8e année de l’école primaire dans le système serbe) - 13 ans ; • 3e (correspondant à la 1re année du lycée dans le système serbe) - diplôme national du brevet -14 ans ; – l’enseignement secondaire, second niveau (lycée général) : • 2e - deux ans avant le baccalauréat (correspondant à la 2e année de lycée dans le système serbe) - 15 ans ; • 1re - une année avant le baccalauréat (correspondant à la 3e année de lycée dans le système serbe) - 16 ans ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 146 • Terminale - dernière année de l’enseignement secondaire (correspondant à la 4e année de lycée dans le système serbe) - 17 ans, section « S » (sciences-nature), section « ES » (sciences sociales et économiques), section « L » (langue et littérature), examen du baccalauréat. Ces décisions attestent que les conditions requises en termes d’espace, d’équipement, de matériel didactique et du nombre requis d’enseignants et de professionnels associés sont remplies, afin que l’Ecole puisse réaliser les plans et programmes pédagogiques énumérés ci-dessus. L’Ecole est un établissement à but non lucratif bénéficiant de la personnalité juridique au regard de la loi serbe, et ayant le droit d’être inscrite au registre correspondant déposé auprès des autorités compétentes de la République de Serbie. Article 2 L’Ecole dispense, conformément à l’article 1er, des cours sur trois (3) niveaux d’enseignement qui couvrent quinze (15) classes : – l’enseignement préélémentaire (école maternelle) ; – l’enseignement élémentaire ; – l’enseignement secondaire réparti sur deux (2) cycles : • le premier cycle (collège) ; • le deuxième cycle (lycée). Les programmes, qui sont enseignés en français, se réfèrent aux programmes du ministère français chargé de l’Education nationale. Les notes délivrées par l’Ecole correspondent au système scolaire français. Le diplôme délivré après les épreuves du baccalauréat est un diplôme du système éducatif français et il est reconnu comme tel par d’autres pays, sur la base des conventions internationales. L’Ecole française de Belgrade peut scolariser des enfants de toutes nationalités. Article 3 L’Ecole est gérée par un conseil de gestion, élu par l’association des parents d’élèves. Le conseil de gestion fixe le montant des frais de scolarité. Le paiement des salaires et autres rémunérations pour le personnel recruté localement, ainsi que du loyer et des dépenses de fonctionnement de l’Ecole, est assuré par le conseil de gestion. Article 4 L’Ecole est dirigée, sur le plan pédagogique, par un proviseur (en serbe « chef de l’Ecole ») nommé et envoyé par l’AEFE. Ce proviseur (en serbe « chef de l’Ecole ») est responsable de l’ensemble du personnel et est chargé de l’organisation de l’établissement et de la mise en œuvre des enseignements. A l’Ecole travaillent, d’une part, des enseignants ressortissants de la République française ou d’un Etat membre de l’Union européenne, nommés et rémunérés directement par l’AEFE, et relevant du droit français, et, d’autre part, des enseignants et des personnels administratifs recrutés localement, dont le statut est conforme au droit du travail en République de Serbie. Les personnels enseignants doivent présenter la maîtrise de la langue française requise, attestée par des diplômes de l’enseignement supérieur français, ou à défaut, par des diplômes de l’enseignement supérieur d’un autre pays d’un niveau équivalent, ainsi que des certificats linguistiques appropriés. Article 5 Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française informe par note verbale l’Ambassade de la République de Serbie à Paris des affectations à venir du proviseur (en serbe « chef de l’Ecole ») et de personnels administratifs et enseignants, dès lors qu’ils sont titulaires de passeports de service, et présente en même temps une demande de délivrance d’un visa d’entrée pour ces agents. L’Ambassade de la République française en Serbie informe par note verbale le ministère des Affaires étrangères de la République de Serbie des fins de mission à venir et de tous autres changements de statut parmi les personnels administratifs et enseignants titulaires de passeports de service étant affectés à l’Ecole française de Belgrade. Article 6 La demande d’enregistrement du proviseur (en serbe « chef de l’Ecole »), de personnels administratifs et enseignants de l’Ecole, ainsi que des membres de leurs familles, dès lors qu’ils sont titulaires de passeports de service revêtus d’un visa d’entrée, obtenu conformément à la réglementation en vigueur, doit être soumise au service du protocole du ministère des Affaires étrangères de la République de Serbie, en vue de la délivrance des cartes d’identité de service à leurs noms. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 146 Est considérée comme membre du personnel local toute personne ayant signé un contrat de travail avec l’Ecole, ressortissante de la République de Serbie ou étrangère, ayant le statut de résident permanent ou ayant le séjour temporaire en République de Serbie, conformément au droit des étrangers de la République de Serbie. Article 7 Les autorités compétentes de la République de Serbie délivrent les documents nécessaires pour l’obtention d’un permis de séjour et de travail aux membres du personnel de l’Ecole qui sont des ressortissants étrangers ayant le statut de résident permanent ou ayant le séjour temporaire en République de Serbie, conformément à la réglementation de la République de Serbie. Article 8 A l’exception des accises, la Partie serbe exonère l’Ecole : 1. des droits de douane, excepté les frais de transport et stockage, d’autres taxes d’importation ainsi que de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et d’autres taxes pour l’achat des biens et des services en rapport aux activités d’enseignement de l’Ecole ou aux travaux de construction, à la location et à l’entretien des bâtiments scolaires, des véhicules, du mobilier scolaire, du matériel audiovisuel, des équipements sportifs et autres. Les biens susmentionnés ne peuvent être cédés, prêtés ou vendus à une personne tierce durant les trois années à partir de la date de leur importation. Si cela devait arriver, le règlement des droits de douanes, des autres taxes d’importation, ainsi que de la TVA et des autres impôts devra alors être effectué, conformément à la réglementation ; 2. du paiement de la TVA sur les frais de scolarisation ; 3. du paiement des impôts sur l’immobilier que l’Ecole utilise pour l’enseignement, ainsi que des impôts sur le transfert des droits absolus d’héritage ou de cession (transfert ou cession des droits) sur chaque transaction relative au fonctionnement de l’Ecole, selon les règles qui pourront être établies ultérieurement par des accords bilatéraux spécifiques entre les Parties. Article 9 L’exonération du paiement de la TVA, mentionnée à l’article 8 se fait en vertu du présent accord, sur la base d’une attestation délivrée par le ministère des Affaires étrangères de la République de Serbie. Article 10 Les autorités compétentes de la République de Serbie ne sont pas tenues de fournir l’équipement, les manuels scolaires, les fournitures scolaires ni le matériel de construction ou autre matériel nécessaire au fonctionnement de l’Ecole. Article 11 Les autorités compétentes de la République de Serbie, dans le cadre de la réglementation en vigueur, facilitent la délivrance à l’Ecole des autorisations nécessaires pour effectuer les travaux de construction destinés à sa relocalisation. Article 12 Tout différend relatif à l’application ou à l’interprétation du présent accord est réglé à l’amiable par des négociations entre les Parties. Article 13 Le présent accord s’applique provisoirement dès la date de sa signature, conformément à la procédure légale applicable par les Parties. La mise en œuvre provisoire de l’accord cesse le jour de l’entrée en vigueur de l’accord. Article 14 Le présent accord entre en vigueur le jour suivant la réception de la dernière notification écrite par laquelle les Parties contractantes confirment que les dispositions internes requises pour son entrée en vigueur légale sont respectées. Le présent accord peut être amendé à tout moment, par écrit, d’un commun accord entre les Parties. Tout amendement prend effet conformément à la disposition de l’alinéa 1 du présent article. Le présent accord est conclu pour une période de 30 ans et il est renouvelé par tacite reconduction pour des périodes successives de 10 ans si une des Parties, au plus tard 18 mois avant l’expiration de l’accord, n’informe pas par écrit l’autre Partie qu’elle s’oppose à la reconduction. Nonobstant les dispositions de l’alinéa 3 du présent article, chaque Partie peut à n’importe quel moment dénoncer le présent accord en remettant à l’autre Partie, par voie diplomatique, une notification écrite à ce sujet. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 146 Dans ce cas, l’accord cesse d’être valable un an après le jour de la fin de l’année scolaire pendant laquelle une des Parties a reçu l’information concernant sa dénonciation. Fait à Belgrade, le 15 juillet 2019, en deux exemplaires originaux, en langues française et serbe, les deux textes faisant également foi. Pour le Gouvernement de la République française : FRÉDÉRIC MONDOLONI Ambassadeur de France en Serbie Pour le Gouvernement de la République de Serbie : MLADEN ŠARČEVIĆ Ministre de l’Education, de la Science et du Développement technologique JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 8 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 24 juin 2020 portant institution d’une régie de recettes et d’une régie d’avances auprès de l’Institut français du Bénin NOR : EAEM2015878A Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, Vu l’arrêté interministériel du 10 décembre 1993 modifié, habilitant le ministre des affaires étrangères à instituer des régies de recettes et des régies d’avances auprès de certains établissements ou organismes de diffusion culturelle ; Vu l’arrêté du 24 janvier 2011 modifié portant abrogation des arrêtés des 3 mars 1982 et 30 avril 1999 modifiés fixant la liste des établissements et organismes de diffusion culturelle ou d’enseignement dotés de l’autonomie financière, Arrête : TITRE Ier RÉGIE DE RECETTES Art. 1 . – Il est institué auprès de l’Institut français du Bénin une régie de recettes pour l’encaissement des produits mentionnés à l’article 1er de l’arrêté du 10 décembre 1993 susvisé. er TITRE II RÉGIE D’AVANCES Art. 2. – Il est institué auprès de l’Institut français du Bénin une régie d’avances pour le paiement des dépenses mentionnées à l’article 3 de l’arrêté du 10 décembre 1993 susvisé. Art. 3. – Le montant de l’avance à consentir au régisseur est fixé à : 7 622,45 €. TITRE III DISPOSITIONS COMMUNES Art. 4. – Le régisseur peut être autorisé à ouvrir un compte bancaire ou postal local. Toutefois son ouverture en une devise autre que la monnaie locale ou l’euro devra faire l’objet d’une autorisation préalable auprès de la direction spécialisée des finances publiques pour l’Etranger (DSFIPE). Art. 5. – Le montant maximum autorisé de l’encaisse et de l’avoir du compte bancaire ou postal du régisseur est fixé comme suit : Montant maximum de l’encaisse : 15 244,90 €. Montant maximum de l’avoir du compte local : 22 867,35 €. Art. 6. – L’ambassadeur de France au Bénin est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : Le sous-directeur du réseau de coopération et d’action culturelle, R. LAMBERT 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES ARMÉES Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat du ministère des armées NOR : ARMH2016585A Par arrêté de la ministre des armées en date du 30 juin 2020, les délais des inscriptions par internet, sur le site https://www.concours-civils.defense.gouv.fr, à l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat du ministère des armées, ouvert par arrêté du 27 mai 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat du ministère des armées, sont exceptionnellement prorogés jusqu’au 6 juillet 2020 à 12 heures. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES ARMÉES Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du ministère de la défense NOR : ARMH2016595A Par arrêté de la ministre des armées en date du 30 juin 2020, les délais des inscriptions par internet, sur le site https://www.concours-civils.defense.gouv.fr, à l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du ministère de la défense, ouvert par arrêté du 3 février 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du ministère de la défense et dont le calendrier a été modifié par arrêté du 7 mai 2020 modifiant le calendrier de l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du ministère de la défense, sont exceptionnellement prorogés jusqu’au 6 juillet 2020 à 12 heures. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES ARMÉES Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe exceptionnelle du ministère de la défense au titre de l’année 2021 NOR : ARMH2016609A Par arrêté de la ministre des armées en date du 30 juin 2020, les délais des inscriptions par internet, sur le site https://www.concours-civils.defense.gouv.fr, à l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe exceptionnelle du ministère de la défense, ouvert par arrêté du 3 février 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe exceptionnelle du ministère de la défense et dont le calendrier a été modifié par arrêté du 7 mai 2020 modifiant le calendrier de l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire administratif de classe exceptionnelle du ministère de la défense au titre de l’année 2021, sont exceptionnellement prorogés jusqu’au 6 juillet 2020 à 12 heures. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES ARMÉES Arrêté du 30 juin 2020 prorogeant les délais des inscriptions par internet à l’examen professionnel d’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat relevant du ministère des armées au titre de l’année 2021 NOR : ARMH2016654A Par arrêté de la ministre des armées en date du 30 juin 2020, les délais des inscriptions par internet, sur le site https://www.concours-civils.defense.gouv.fr, à l’examen professionnel d’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat relevant du ministère des armées, ouvert par arrêté du 10 mars 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel d’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat relevant du ministère des armées et dont le calendrier a été modifié par arrêté du 12 mai 2020 reportant le calendrier de l’examen professionnel d’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat relevant du ministère des armées au titre de l’année 2021, sont exceptionnellement prorogés jusqu’au 6 juillet 2020 à 12 heures. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES ARMÉES Décision du 1er juillet 2020 portant délégation de signature (service de l’action sociale des armées) NOR : ARMD2016874S Le chef du service de l’action sociale des armées, Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, notamment son article 3 ; Vu le décret no 2020-800 du 29 juin 2020 portant création d’un service à compétence nationale dénommé « service de l’action sociale des armées » ; Vu l’arrêté du 29 juin 2020 portant organisation du service de l’action sociale des armées, Décide : Art. 1 . – Délégation est donnée aux personnes désignées ci-après à l’effet de signer, au nom du ministre, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets : er I. – Echelon de direction 1. M. Vincent Niquet, administrateur civil, adjoint au chef du service de l’action sociale des armées, dans la limite des attributions du service ; 2. M. Bruno Lebouc, conseiller technique de service social, inspecteur technique de l’action sociale des administrations de l’Etat, dans la limite de ses attributions ; 3. Mme Valérie Meunier, conseillère technique de service social, inspectrice technique de l’action sociale des administrations de l’Etat, dans la limite des attributions du service ; 4. M. Jean-Michel Pierret, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau du suivi de la réglementation et des actions sociales, dans la limite des attributions du bureau ; 5. M. Eric Le Floch, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion des ressources humaines, dans la limite des attributions du bureau ; 6. Mme Nadine Delanoë, ingénieur civil de la défense, chef du bureau du soutien numérique et informatique, dans la limite des attributions du bureau ; 7. M. Sylvain Letellier, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau du pilotage de la performance et de la tutelle, dans la limite des attributions du bureau ; 8. Mme Catherine Vygadoula, conseillère technique de service social, adjointe à l’inspectrice technique de l’action sociale des administrations de l’Etat, pour signer les décisions relatives aux prestations d’action sociale et les décisions de paiement, hors secours et prêts sociaux ; II. – Echelons locaux 9. Mme Béatrice Castéra, conseillère d’administration de la défense, directrice du centre territorial d’action sociale de Bordeaux, dans la limite des attributions du centre ; 10. Mme Véronique Duret, conseillère technique de service social, adjointe sociale de la directrice du centre territorial d’action sociale de Bordeaux, conseillère technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 11. M. Nicolas Rougeau, attaché d’administration de l’Etat, adjoint administration générale de la directrice du centre territorial d’action sociale de Bordeaux, dans la limite des attributions du centre ; 12. M. Jean-Joël Kyndt, attaché d’administration de l’Etat, responsable des prestations au centre territorial d’action sociale de Bordeaux, pour les actes relatifs à l’attribution des prestations individuelles d’action sociale ; 13. M. Benoit Tourment, attaché d’administration de l’Etat, directeur du centre territorial d’action sociale de Lyon, dans la limite des attributions du centre ; 14. Mme Christel Solcourt, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre territorial d’action sociale de Lyon, conseillère technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 146 15. Mme Corinne Noël, attachée d’administration de l’Etat, adjointe administration générale du directeur du centre territorial d’action sociale de Lyon, dans la limite des attributions du centre ; 16. Mme Kheira Mathon, conseillère technique de service social, adjointe à la conseillère technique de direction du centre territorial d’action sociale de Lyon, dans la limite des attributions du centre ; 17. Mme Anne Vigneron, conseillère technique de service social, adjointe à la conseillère technique de direction du centre territorial d’action sociale de Lyon, dans la limite des attributions du centre ; 18. M. Didier Schmitt, conseiller d’administration de la défense, directeur du centre territorial d’action sociale de Metz, dans la limite des attributions du centre ; 19. Mme Valérie Péchoutre, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre territorial d’action sociale de Metz, conseillère technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 20. Mme Martine Lannoy, attachée d’administration de l’Etat, adjointe administration générale du directeur du centre territorial d’action sociale de Metz, dans la limite des attributions du centre ; 21. M. Philippe Lloria, attaché d’administration de l’Etat, responsable des prestations au centre territorial d’action sociale de Metz, pour les actes relatifs à l’attribution des prestations individuelles d’action sociale ; 22. M. Pascal Cartier, attaché d’administration de l’Etat, directeur du centre territorial d’action sociale de Rennes, dans la limite des attributions du centre ; 23. Mme Catherine Lesven, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre territorial d’action sociale de Rennes, conseillère technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 24. Mme Claudia Le Grand, attachée d’administration de l’Etat, adjointe administration générale du directeur du centre territorial d’action sociale de Rennes, dans la limite des attributions du centre ; 25. Mme Francine Naudais, attachée d’administration de l’Etat, responsable des prestations au centre territorial d’action sociale de Rennes, pour les actes relatifs à l’attribution des prestations individuelles d’action sociale ; 26. Mme Violette Bruguera, conseillère pour l’action sociale de l’administration de l’Etat, directrice du centre territorial d’action sociale de Saint-Germain-en-Laye, dans la limite des attributions du centre ; 27. Mme Muriel Heiligenstein, conseillère technique de service social, adjointe sociale de la directrice du centre territorial d’action sociale de Saint-Germain-en-Laye, conseillère technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 28. Mme Nathalie Vitrant, attachée d’administration de l’Etat, adjointe administration générale du directeur du centre territorial d’action sociale de Saint-Germain-en-Laye, dans la limite des attributions du centre ; 29. Mme Martine Dantan, conseillère technique de service social, adjointe à la conseillère technique de direction du centre territorial d’action sociale de Saint-Germain-en-Laye, dans la limite des attributions du centre ; 30. Mme Marie Iguenane-Zanolin, conseillère technique de service social, adjointe à la conseillère technique de direction du centre territorial d’action sociale de Saint-Germain-en-Laye, dans la limite des attributions du centre ; 31. M. Samuel Magré, attaché d’administration de l’Etat, directeur du centre territorial d’action sociale de Brest, dans la limite des attributions du centre ; 32. M. Loïc Le Fur, conseiller technique de service social, adjoint social du directeur du centre territorial d’action sociale de Brest, conseiller technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 33. Mme Françoise Brélivet, attachée d’administration de l’Etat, adjointe administration générale du directeur du centre territorial d’action sociale de Brest, dans la limite des attributions du centre ; 34. Mme Martine Bisson, conseillère technique de service social, adjointe au conseiller technique de direction du centre territorial d’action sociale de Brest, dans la limite des attributions du centre ; 35. Mme Véronique Gimenez, attachée d’administration de l’Etat, directrice du centre territorial d’action sociale de Toulon, dans la limite des attributions du centre ; 36. Mme Caroline Robustelli, conseillère technique de service social, adjointe sociale de la directrice du centre territorial d’action sociale de Toulon, conseillère technique de direction, dans la limite des attributions du centre ; 37. M. le capitaine de corvette François Madelenat, adjoint administration générale de la directrice du centre territorial d’action sociale de Toulon, dans la limite des attributions du centre ; 38. Mme Corinne Chapus-Le Guerneve, conseillère technique de service social, conseillère technique responsable des prestations au centre territorial d’action sociale de Toulon, pour les actes relatifs à l’attribution des prestations individuelles d’action sociale ; 39. Mme Maria-Paule Audegond, conseillère technique de service social, directrice du centre d’action sociale d’outre-mer de La Réunion, dans la limite des attributions du centre ; 40. Mme Valérie Caquet-Gimenez, conseillère technique de service social, adjointe sociale de la directrice du centre d’action sociale d’outre-mer de La Réunion, conseillère technique d’encadrement, dans la limite des attributions du centre ; 41. M. le lieutenant-colonel Frédéric-Charles Bonnouvrier, directeur du centre d’action sociale d’outre-mer de Guyane, dans la limite des attributions du centre ; 42. Mme Aline Jacota, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre d’action sociale d’outre-mer de Guyane, conseillère technique d’encadrement, dans la limite des attributions du centre ; 43. M. le lieutenant-colonel Philippe Desprès, directeur du centre d’action sociale d’outre-mer de NouvelleCalédonie, dans la limite des attributions du centre ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 146 44. Mme Annie Loirat, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre d’action sociale d’outre-mer de Nouvelle-Calédonie, conseillère technique d’encadrement, dans la limite des attributions du centre ; 45. M. le lieutenant-colonel Jean-Pierre Lagaillarde, directeur du centre d’action sociale d’outre-mer de Polynésie française, dans la limite des attributions du centre ; 46. Mme Ericka Masy, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre d’action sociale d’outre-mer de Polynésie française, conseillère technique d’encadrement, dans la limite des attributions du centre ; 47. M. Patrick Urlacher, attaché d’administration de l’Etat, directeur du centre d’action sociale d’outre-mer des Antilles, dans la limite des attributions du centre ; 48. Mme Patricia Dori, conseillère technique de service social, adjointe sociale du directeur du centre d’action sociale d’outre-mer des Antilles, conseillère technique d’encadrement, dans la limite des attributions du centre. Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. J.-J. CLADY 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES ARMÉES Décision du 1er juillet 2020 portant délégation de signature (service des ressources humaines civiles) NOR : ARMD2016886S Le chef du service des ressources humaines civiles, Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, notamment son article 3 ; Vu le décret no 2009-1178 du 5 octobre 2009 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère de la défense ; Vu le décret no 2009-1179 du 5 octobre 2009 modifié fixant les attributions et l’organisation du secrétariat général pour l’administration du ministère de la défense ; Vu le décret no 2015-675 du 16 juin 2015 modifié portant création du service des ressources humaines civiles ; Vu l’arrêté du 8 février 2011 modifié relatif aux attributions et au fonctionnement du centre de formation de la défense ; Vu l’arrêté du 29 juin 2020 portant organisation de la direction des ressources humaines du ministère de la défense ; Vu l’arrêté du 29 juin 2020 relatif aux missions et à l’organisation du service des ressources humaines civiles, Décide : Art. 1 . – Délégation est donnée aux personnes désignées ci-après à l’effet de signer, au nom du ministre, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets : er I. – Sous-direction de la gestion du personnel civil 1. M. Luc Bersat, administrateur civil, adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel civil, dans la limite des attributions de la sous-direction. 2. Mme Véronique Bonche-Alquier, administratrice civile, adjointe au sous-directeur de la gestion du personnel civil et cheffe du département des carrières et des compétences, dans la limite des attributions de la sous-direction. 3. M. Jean-Philippe Cherel, administrateur civil, chef du département du pilotage des effectifs et de la masse salariale, dans la limite des attributions du département, à compter du 1er août 2020. 4. M. Franck Chevreux, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du département du pilotage des effectifs et de la masse salariale, dans la limite des attributions du département. 5. M. Benjamin Tessier, attaché d’administration de l’Etat, au sein du département du pilotage des effectifs et de la masse salariale, pour les actes relatifs au pilotage de la masse salariale. 6. M. Laurent Delmas, attaché d’administration de l’Etat, chef du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, dans la limite des attributions du département. 7. M. Jean-Yves Placenti, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, dans la limite des attributions du département. 8. M. Sébastien Bozek, attaché d’administration de l’Etat, au sein du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, pour ce qui concerne les personnels administratifs, les personnels techniques, paramédicaux et sociaux et les ouvriers de l’Etat. 9. Mme Virginie Leclere, attachée d’administration de l’Etat, au sein du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, pour ce qui concerne les personnels administratifs, les personnels techniques, paramédicaux et sociaux et les ouvriers de l’Etat. 10. Mme Marianne Nabaloum, attachée d’administration de l’Etat, au sein du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, pour ce qui concerne les agents contractuels et les enseignants détachés au ministère. 11. Mme Sandrine Husson, attachée d’administration de l’Etat, au sein du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, pour ce qui concerne les agents contractuels et les enseignants détachés au ministère, jusqu’au 31 août 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 146 12. Mme Nittiadevy Eganadane, attachée d’administration de l’Etat, au sein du département de la gestion ministérielle des ressources humaines civiles, pour ce qui concerne les agents contractuels et les enseignants détachés au ministère, à compter du 1er septembre 2020. 13. M. Lionel De Fritsch, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du département des carrières et des compétences, dans la limite des attributions du département. 14. Mme Amandine Pechalat, attachée d’administration de l’Etat, au sein du département des carrières et des compétences, pour ce qui concerne la formation professionnelle, les concours et examens professionnels. 15. Mme Gabrielle Touret, attachée d’administration de l’Etat, au sein du département des carrières et des compétences, pour ce qui concerne les actes relatifs à la gestion et la mobilité du personnel civil. 16. Mme Isabelle Roger-Mourey, attachée d’administration de l’Etat, cheffe de la mission d’accompagnement des réorganisations, dans la limite des attributions de la mission. 17. Mme Marie-Pierre Rignault, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef de la mission d’accompagnement des réorganisations, dans la limite des attributions de la mission. II. – Sous-direction de la gestion des personnels relevant de l’administration centrale 18. Mme Sandrine Vayer, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au sous-directeur de la gestion des personnels relevant de l’administration centrale, dans la limite des attributions de la sous-direction. 19. Mme Sylvie Pelleter, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 20. Mme Marina Mortier, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 21. M. Frédéric Thibault, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 22. M. Vandadbhe Zarrine-Kafche, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 23. M. Fabien Pouget, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 24. M. Alain Arribard, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau II et de niveau III, dans la limite des attributions du bureau. 25. M. Pierre Squillari, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau II et de niveau III, dans la limite des attributions du bureau. 26. M. Geoffroy Pulizzi, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la formation, dans la limite des attributions du bureau. 27. M. Sébastien Cerveau, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la formation, dans la limite des attributions du bureau. 28. M. Pierre Guillien, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion et de la rémunération des ingénieurs cadres technico-commerciaux et techniciens, dans la limite des attributions du bureau. 29. M. Alain Cantie, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des ingénieurs cadres technico-commerciaux et techniciens, dans la limite des attributions du bureau. 30. Mme Isabelle Bélot, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau de la gestion et de la rémunération des officiers des corps de l’armement, dans la limite des attributions du bureau. 31. Mme Evelyne Couloigner, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des officiers des corps de l’armement, dans la limite des attributions du bureau. 32. Mme Canan Yildiz-Jaber, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau des pensions et de la coordination interne, dans la limite des attributions du bureau. 33. Mme Patricia Cannat, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau des pensions et de la coordination interne, dans la limite des attributions du bureau. 34. Mme Thanh-Ha Bui, attachée d’administration de l’Etat, au sein du bureau des pensions et de la coordination interne, dans la limite des attributions du bureau. 35. M. Didier Taurus, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion des ressources humaines, dans la limite des attributions du bureau. 36. Mme Anne-Sophie Renou, attachée d’administration de l’Etat, au sein du bureau de la gestion des ressources humaines, dans la limite des attributions du bureau. 37. Mme Marie-Odile Corsetti, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau des affaires médicoadministratives, dans la limite des attributions du bureau. 38. Mme Nathalie Fort, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau des affaires médicoadministratives, dans la limite des attributions du bureau. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 146 III. – Département de la coordination et du soutien 39. M. Olivier Pfund, attaché d’administration de l’Etat, chef du département, dans la limite des attributions du département. 40. M. Jean-Christophe Carrer, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du département, dans la limite des attributions du département. IV. – Centre de formation de la défense 41. Mme Elsa Palandjian, attachée d’administration de l’Etat, directrice du centre de formation de la défense, dans la limite des attributions du centre. 42. M. Noël Pitault, ingénieur civil de la défense, adjoint au directeur du centre de formation de la défense, dans la limite des attributions du centre. Art. 2. – Délégation est donnée aux personnes désignées ci-après à l’effet de signer, au nom du ministre, toutes pièces justificatives relatives aux dépenses et aux opérations de régularisation, et notamment tous documents comptables relatifs à l’engagement, à la liquidation et à l’ordonnancement de la dépense : I. – Sous-direction de la gestion du personnel civil 1. M. Jean-Philippe Cherel, administrateur civil, chef du département du pilotage des effectifs et de la masse salariale, dans la limite des attributions du département, à compter du 1er août 2020. 2. M. Franck Chevreux, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du département du pilotage des effectifs et de la masse salariale, dans la limite des attributions du département. 3. M. Benjamin Tessier, attaché d’administration de l’Etat, au sein du département du pilotage des effectifs et de la masse salariale, pour les actes relatifs au pilotage de la masse salariale. II. – Sous-direction de la gestion des personnels relevant de l’administration centrale 4. Mme Sandrine Vayer, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au sous-directeur de la gestion des personnels relevant de l’administration centrale, dans la limite des attributions de la sous-direction. 5. Mme Rachel Lebas, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau de la gestion des primes et de la performance, dans la limite des attributions du bureau. 6. Mme Rachel Mas, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau de la gestion des primes et de la performance, dans la limite des attributions du bureau. 7. Mme Brigitte d’Angelo, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion des primes et de la performance, dans la limite des attributions du bureau. 8. Mme Sylvie Pelleter, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 9. Mme Marina Mortier, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 10. Mme Catherine Basso, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 11. Mme Nathalie Herreyre, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 12. Mme Frédérique L’Anthoen, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels contractuels et des ouvriers de l’Etat, dans la limite des attributions du bureau. 13. M. Frédéric Thibault, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 14. M. Vandadbhe Zarrine-Kafche, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 15. M. Fabien Pouget, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 16. Mme Dominique Reff, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 17. Mme Elisa Bidjoua, attachée d’administration de l’Etat, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 18. Mme Axelle Argon, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 19. Mme Faouziat Bacari, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau I, dans la limite des attributions du bureau. 20. M. Alain Arribard, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau II et de niveau III, dans la limite des attributions du bureau. 21. M. Pierre Squillari, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau II et de niveau III, dans la limite des attributions du bureau. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 146 22. Mme Catherine Guégan, attachée d’administration de l’Etat, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau II et de niveau III, dans la limite des attributions du bureau. 23. Mme Laurence Le Caudrec-Malon, attachée d’administration de l’Etat, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des personnels de niveau II et niveau III, dans la limite des attributions du bureau. 24. M. Geoffroy Pulizzi, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la formation, dans la limite des attributions du bureau. 25. M. Sébastien Cerveau, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la formation, dans la limite des attributions du bureau. 26. M. Pierre Guillien, attaché d’administration de l’Etat, chef du bureau de la gestion et de la rémunération des ingénieurs cadres technico-commerciaux et techniciens, dans la limite des attributions du bureau. 27. M. Alain Cantie, attaché d’administration de l’Etat, adjoint au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des ingénieurs cadres technico-commerciaux et techniciens, dans la limite des attributions du bureau. 28. Mme Fouzia Benachenhou, secrétaire administrative, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des ingénieurs cadres technico-commerciaux et techniciens, dans la limite des attributions du bureau. 29. M. Sébastien David, secrétaire administratif, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des ingénieurs cadres technico-commerciaux et techniciens, dans la limite des attributions du bureau. 30. Mme Marie-Odile Corsetti, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau des affaires médicoadministratives, dans la limite des attributions du bureau. 31. Mme Nathalie Fort, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau des affaires médicoadministratives, dans la limite des attributions du bureau. 32. Mme Christelle Marziali, secrétaire administrative, au sein du bureau des affaires médico-administratives, dans la limite des attributions du bureau. 33. Mme Isabelle Bélot, attachée d’administration de l’Etat, cheffe du bureau de la gestion et de la rémunération des officiers des corps de l’armement, dans la limite des attributions du bureau. 34. Mme Evelyne Couloigner, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef du bureau de la gestion et de la rémunération des officiers des corps de l’armement, dans la limite des attributions du bureau. 35. Mme Sabrina Elio, attachée d’administration de l’Etat, au sein du bureau de la gestion et de la rémunération des officiers des corps de l’armement, dans la limite des attributions du bureau. Art. 3. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. M. TREGLIA 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE Arrêté du 22 juin 2020 pris en application du décret no 2019-799 du 26 juillet 2019 fixant les modalités d’indemnisation du référent déontologue et du référent en matière de recueil des signalements émis par les lanceurs d’alerte de l’Autorité de sûreté nucléaire NOR : TREK2009241A La ministre de la transition écologique et solidaire, Vu le décret no 2017-519 du 10 avril 2017 relatif au référent déontologue dans la fonction publique ; Vu le décret no 2017-564 du 19 avril 2017 relatif aux procédures de recueil des signalements émis par les lanceurs d’alerte au sein des personnes morales de droit public ou de droit privé ou des administrations de l’Etat ; Vu le décret no 2019-799 du 26 juillet 2019 fixant les modalités d’indemnisation dans la fonction publique de l’Etat des missions du référent déontologue et du référent en matière de recueil des signalements émis par les lanceurs d’alerte ; Vu l’arrêté du 26 juillet 2019 pris en application du décret no 2019-799 du 26 juillet 2019 fixant les modalités d’indemnisation dans la fonction publique de l’Etat des missions du référent déontologue et du référent en matière de recueil des signalements émis par les lanceurs d’alerte ; Vu la décision CODEP-CLG-2020-00757 du président de l’Autorité de sûreté nucléaire du 27 janvier 2020 portant nomination d’un référent déontologue à l’Autorité de sûreté nucléaire ; Sur proposition du président de l’Autorité de sûreté nucléaire, Arrête : Art. 1 . – En application des articles 6 et 8 du décret du 26 juillet 2019 susvisé, le montant mensuel brut de l’indemnité versée au référent déontologue de l’Autorité de sûreté nucléaire nommé par la décision CODEP-CLG2020-00757 susvisée est fixé à 850 euros. Art. 2. – Le présent arrêté entrera en vigueur à compter du 1er février 2020. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 22 juin 2020. ELISABETH BORNE er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE Arrêté du 29 juin 2020 portant interdiction de mise sur le marché de bouteilles de gaz métalliques non rechargeables contenant de l’hélium NOR : TREP2015614A Publics concernés : opérateurs économiques (fabricants, importateurs) participant aux opérations de mise sur le marché, autres opérateurs économiques (distributeurs, propriétaires), intervenants (expéditeurs, transporteurs, chargeurs, déchargeurs, emballeurs, remplisseurs) participant aux opérations de transport par voies de navigation intérieures ; services de l’Etat chargés du contrôle et/ou de l’instruction (DREAL, DEAL, DRIEE, DRIEA, services instructeurs visés à l’article R.* 4100-1 du code des transports). Objet : cet arrêté interdit la mise sur le marché de bouteilles de gaz métalliques non rechargeables contenant de l’hélium, non conformes. Mots-clés : transports de marchandises dangereuses par voies terrestres. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa date de parution au Journal officiel. Notice : les bouteilles de gaz doivent être conformes à la directive 2010/35/UE du Parlement européen et du Conseil du 16 juin 2010 relative aux équipements sous pression transportables et à la directive 2008/68/CE du Parlement européen et du Conseil relative au transport intérieur des marchandises dangereuses. Références : le texte peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr/). La ministre de la transition écologique et solidaire, Vu le règlement (CE) no 765/2008 du Parlement européen et du Conseil du 9 juillet 2008 fixant les prescriptions relatives à l’accréditation et à la surveillance du marché pour la commercialisation des produits ; Vu l’accord européen relatif au transport international de marchandises dangereuses par route fait à Genève le 30 septembre 1957, dit « ADR » ; Vu la directive 2010/35/UE du Parlement européen et du Conseil du 16 juin 2010 relative aux équipements sous pression transportables et abrogeant les directives du Conseil 76/767/CEE, 84/525/CEE, 84/526/CEE, 84/527/CEE et 1999/36/CE ; Vu la directive 2008/68/CE du Parlement européen et du Conseil relative au transport intérieur des marchandises dangereuses ; Vu le code de l’environnement, notamment le chapitre VII du titre V de son livre V, son article L. 557-53 et ses articles R. 557-11-1 à 8 relatifs à la conformité des équipements sous pression transportables ; Vu l’arrêté du 29 mai 2009 modifié relatif aux transports de marchandises dangereuses par voies terrestres, dit « arrêté TMD », notamment ses articles 15, 17, 19 et 20 ; Vu la norme EN ISO 11118:2015 relative aux bouteilles à gaz métalliques non rechargeables – spécifications et méthodes d’essai ; Vu le rapport du 22 janvier 2020 (ref : 2019-11-RSPT-ZJK-V2) de l’autorité française de surveillance du marché relatif à l’examen du dossier de conception et de fabrication de bouteilles en acier, soudées, non rechargeables avec disque de rupture, produites par la société Zhejiang Kin-Shine Technology Co. Ltd et notamment importées en France par la société « Ballon Pub » ; Vu le courrier du 22 janvier 2020 invitant l’importateur « Ballon Pub » à faire part de ses observations sous 10 jours sur le rapport susvisé et sur les mesures restrictives envisagées à l’encontre des équipements sous pression transportables qu’il met sur le marché ; Vu les résultats d’essais de mise en pression réalisés par l’importateur « Ballon Pub » reçus le 14 février 2020, en réponse au courrier du 22 janvier 2020 suscité ; Considérant, d’une part, que les équipements sous pression transportables concernés de type/variante EC-5-1.2 ne sont pas couverts par le certificat d’agrément de type délivré par l’organisme notifié MITREC1-01-8765­ CER12.2061800258, contrairement à l’imposition du point 1.8.7.2.3 de l’ADR 2017 ; Considérant, d’autre part, que les équipements sous pression transportables concernés présentent des nonconformités importantes aux exigences de la directive 2010/35/UE susvisée, notamment son article 4 (qualifications de modes opératoires de soudage inadaptées, accessoire de sécurité non conforme au plan de conception approuvé) ; JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 16 sur 146 Considérant que ces équipements sous pression transportables peuvent présenter un risque pour la sécurité des personnes, Arrête : Art. 1er. – La mise sur le marché des bouteilles de type EC-5-1.2, fabriquées par la société Zhejiang Kin-Shine Technology Co. Ltd., contenant de l’hélium et faisant l’objet du certificat d’agrément de type no MIRTEC1-01-8765CER12.2061800258 délivré par l’organisme notifié MIRTEC (0437 – Grèce), est interdite. Les caractéristiques de ces bouteilles sont les suivantes : Fabricant Type Fluide PW (bar) PH (bar) TS (°C) min/max V (L) Zhejiang Kin-Shine Technology (ZJK) EC-5-1.2 Helium 28 42 -20/+65 5 Ces bouteilles présentent en partie supérieure une marque distinctive du fabricant JY1 inscrite dans un triangle. Art. 2. – Le présent arrêté est soumis à un contentieux de pleine juridiction. Il peut être déféré à la juridiction administrative compétente, dans un délai de deux mois à compter de sa publication. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. Pour la ministre et par délégation : Le chef du service des risques technologiques, P. MERLE 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE Arrêté du 29 juin 2020 portant interdiction de mise sur le marché de bouteilles de gaz métalliques non rechargeables contenant de l’hélium NOR : TREP2015617A Publics concernés : utilisateurs, opérateurs économiques (fabricants, importateurs, distributeurs) participant aux opérations de mise à disposition sur le marché, intervenants (expéditeurs, transporteurs, chargeurs, déchargeurs, emballeurs, remplisseurs) participant aux opérations de transport par voies de navigation intérieures ; services de l’Etat chargés du contrôle et/ou de l’instruction (DREAL, DEAL, DRIEE, DRIEA, services instructeurs visés à l’article R.* 4100-1 du code des transports). Objet : cet arrêté interdit la mise sur le marché de bouteilles de gaz métalliques non rechargeables contenant de l’hélium, non conformes. Mots-clés : transport de marchandises dangereuses par voies terrestres. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : les bouteilles de gaz doivent être conformes à la directive 2010/35/UE du Parlement européen et du Conseil du 16 juin 2010 relative aux équipements sous pression transportables et à la directive 2008/68/CE du Parlement européen et du Conseil relative au transport intérieur des marchandises dangereuses. Références : le texte peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr/). La ministre de la transition écologique et solidaire, Vu le règlement (CE) no 765/2008 du Parlement européen et du Conseil du 9 juillet 2008 fixant les prescriptions relatives à l’accréditation et à la surveillance du marché pour la commercialisation des produits ; Vu l’accord européen relatif au transport international de marchandises dangereuses par route fait à Genève le 30 septembre 1957, dit « ADR » ; Vu la directive 2010/35/UE du Parlement européen et du Conseil du 16 juin 2010 relative aux équipements sous pression transportables et abrogeant les directives du Conseil 76/767/CEE, 84/525/CEE, 84/526/CEE, 84/527/CEE et 1999/36/CE ; Vu la directive 2008/68/CE du Parlement européen et du Conseil relative au transport intérieur des marchandises dangereuses ; Vu le code de l’environnement, notamment le chapitre VII du titre V de son livre V, son article L. 557-53 et ses articles R. 557-11-1 à R. 557-11-8 relatifs à la conformité des équipements sous pression transportables ; Vu l’arrêté du 29 mai 2009 modifié relatif aux transports de marchandises dangereuses par voies terrestres, dit « arrêté TMD », notamment ses articles 15, 17, 19 et 20 ; Vu la norme EN ISO 11118:2015 relative aux bouteilles à gaz métalliques non rechargeables – spécifications et méthodes d’essai ; Vu le rapport du 17 janvier 2020 (ref : 2019-5-RSPT-JHZL-V1) de l’autorité française de surveillance du marché relatif à l’examen du dossier de conception et de fabrication de bouteilles en acier, soudées, non rechargeables avec disque de rupture, produites par la société Jinhua Sinoblue Machinery Manufacturing Co., Ltd., importées par la société hollandaise « Folat BV » et distribuées en France dans les magasins « Action » ; Vu le courrier du 22 janvier 2020 invitant l’importateur « Folat BV » à faire part de ses observations sous 10 jours sur le rapport susmentionné et sur les mesures restrictives envisagées à l’encontre des équipements sous pression transportables qu’il met sur le marché ; Vu les observations formulées par l’importateur « Folat BV » dans les courriers du 14 février et 29 avril 2020 ; Vu le rapport du 16 juin 2020 (ref : 2019-5-RSPT-JHZL-V3) de l’autorité française de surveillance du marché relatif, mis à jour suite aux observations de l’importateur ; Considérant que les équipements sous pression transportables concernés présentent des non-conformités importantes aux exigences de la directive 2010/35/UE susvisée, notamment son article 4 (manque d’épaisseur de l’acier, absence d’une qualification de mode opératoire de soudage et d’une qualification d’opérateur soudeur) ; Considérant que la qualification de la soudure par points a été délivrée le 24 mars 2020 et que la qualification correspondante pour l’opérateur soudeur a été délivrée le 28 mars 2020 ; ces qualifications faisant défaut par le passé ; JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 17 sur 146 Considérant que l’organisme notifié réalise depuis mars 2020 les contrôles et essais nécessaires pour vérifier que le produit est fabriqué conformément à l’agrément de type ; Considérant que ces équipements sous pression peuvent présenter un risque pour la sécurité des personnes, Arrête : Art. 1 . – La mise sur le marché des bouteilles de référence EN191-40.5, fabriquées par la société Jinhua Sinoblue Machinery Manufacturing Co., Ltd. avant le 28 mars 2020 et faisant l’objet du certificat d’agrément de type no 0036-007-18 délivré par l’organisme notifié TÜV SÜD (0036 – Allemagne), est interdite. Les caractéristiques de ces bouteilles sont les suivantes : er FABRICANT PLAN DE RÉFÉRENCE FLUIDE PW (bar) PH (bar) TS (°C) min/max V (L) Jinhua Sinoblue Machinery Manufacturing Co., Ltd. (JHZL) EN191-40.5 Helium 27 40,5 -20/+65 7 Ces produits sont notamment vendus sous la marque commerciale « BalloonGaz ». Art. 2. – Le présent arrêté est soumis à un contentieux de pleine juridiction. Il peut être déféré à la juridiction administrative compétente, dans un délai de deux mois à compter de sa publication. Art. 3. – Le directeur général de la prévention des risques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. Pour la ministre et par délégation : Le chef du service des risques technologiques, P. MERLE JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 18 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ Décret no 2020-837 du 1er juillet 2020 prorogeant les mandats des membres des conseils et des chambres disciplinaires de l’ordre des infirmiers NOR : SSAH2013946D Publics concernés : membres des conseils départementaux et interdépartementaux, régionaux et interrégionaux, du Conseil national ainsi que des chambres disciplinaires de l’ordre des infirmiers. Objet : prorogation des mandats des membres des conseils et des chambres disciplinaires de l’ordre des infirmiers. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : le décret proroge de quatre mois la durée des mandats des membres des conseils de l’ordre des infirmiers, à l’exception des conseils départementaux et interdépartementaux, ainsi que ceux des membres des chambres disciplinaires de l’ordre des infirmiers, qui arrivent à échéance en 2020 et 2021, en raison de la situation sanitaire et ses conséquences. Par cohérence, les mandats des membres des conseils et des chambres disciplinaires de l’ordre des infirmiers arrivant à échéance en 2023 et 2024 sont prorogés de la même durée. Références : les dispositions du code de la santé publique créées par le décret peuvent être consultées sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé, Vu le code de la santé publique ; Vu l’ordonnance no 2020-347 du 27 mars 2020 modifiée adaptant le droit applicable au fonctionnement des établissements publics et des instances collégiales administratives pendant l’état d’urgence sanitaire ; Le Conseil d’Etat (section sociale) entendu, Décrète : Art. 1er. – Les mandats des membres des conseils régionaux et interrégionaux et du Conseil national de l’ordre des infirmiers en cours à la date de la publication du présent décret, ainsi que les mandats des membres des conseils départementaux et interdépartementaux venant à échéance en 2023, sont prorogés de quatre mois. Les mandats des membres des chambres disciplinaires de première instance et de la chambre disciplinaire nationale en cours à la date de publication du présent décret sont prorogés de la même durée. Art. 2. – Le ministre des solidarités et de la santé est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. EDOUARD PHILIPPE Par le Premier ministre : Le ministre des solidarités et de la santé, OLIVIER VÉRAN 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Décret no 2020-838 du 1er juillet 2020 précisant les modalités de contrôle par l’Etat de la mise en œuvre par la société anonyme Bpifrance des dispositions de l’article 6 de la loi no 2020-289 modifiée du 23 mars 2020 de finances rectificative pour 2020 NOR : ECOT2014219D Publics concernés : la société anonyme Bpifrance. Objet : définition des modalités de contrôle par l’Etat sur l’exercice par Bpifrance des missions de gestion de la garantie de l’Etat qui lui sont confiées à l’article 6 de la loi no 2020-289 modifiée du 23 mars 2020 de finances rectificatives pour 2020. Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : le décret prévoit d’abord que la société anonyme Bpifrance conclut des contrats avec tout prêteur qui souhaite bénéficier de la garantie de l’Etat mentionnée au I de l’article 6 de la loi no 2020-289 susmentionnée, afin de convenir d’un dispositif de gestion et d’échange d’informations sur l’encours de garantie. Il dispose ensuite que l’Etat et la société anonyme Bpifrance concluent une convention de gestion de cette garantie comportant des dispositions sur les tâches de vérifications des appels en garantie, des dispositions sur les modalités de paiement et de comptabilité des opérations, des dispositions sur le reporting à l’Etat de l’activité sur l’encours garanti. Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre de l’économie et des finances, Vu la loi no 2020-289 modifiée du 23 mars 2020 de finances rectificative pour 2020, notamment son article 6, Décrète : Art. 1 . – La société anonyme Bpifrance conclut un contrat au nom, sous le contrôle et pour le compte de l’Etat, avec tout établissement de crédit, société de financement, ou intermédiaire en financement participatif pour le compte des prêteurs mentionnés à l’article L. 548-1 du code monétaire et financier, qui souhaite bénéficier de la garantie de l’Etat mentionnée au I de l’article 6 de loi du 23 mars 2020 susvisée. Ce contrat comprend les éléments nécessaires au bon fonctionnement de cette garantie, notamment un document établissant les conditions générales de la garantie et un document récapitulant les modalités de transmission des informations nécessaires telles que prévues au V et au VI du même article. Par ce contrat, la société anonyme Bpifrance et l’établissement ou intermédiaire concerné procèdent à un échange réciproque des coordonnées bancaires utiles à la perception des recettes d’une part et au versement de toute somme due d’autre part, en application du VI du même article. Art. 2. – La société anonyme Bpifrance informe sans délai l’Etat lorsque le montant total d’engagements que représente l’encours de prêts garantis par l’Etat en application du I de l’article 6 de la loi susmentionnée, notifiés par les établissements prêteurs ou les intermédiaires en financement participatif pour le compte des prêteurs, ou octroyés par arrêté du ministre chargé de l’économie en application du V du même article, atteint 80 % puis 90 % de la limite prévue au II du même article. La société anonyme Bpifrance fournit chaque mois à l’Etat un ensemble d’informations sur l’encours de prêts garanti, selon des modalités fixées par une convention conclue entre eux. Ces informations incluent notamment la liste des nouveaux prêts garantis par l’Etat et des prêts pour lesquels la garantie a été appelée au cours du mois écoulé en vue d’obtenir le paiement de toute somme due, et une synthèse de l’encours de prêts garantis qui présente notamment, par département, la part de l’encours pour laquelle la garantie a été appelée pour un paiement, la part de l’encours par classe d’emprunteur, en ce compris sa taille et son secteur d’activité, et la part de l’encours par classe de montant de prêt garanti. Art. 3. – En application des dispositions prévues au VI de l’article 6 de la loi susmentionnée : 1o L’Etat donne mandat à la société anonyme Bpifrance de procéder sous son contrôle, en son nom et pour son compte, au recouvrement des commissions dues au titre de la rémunération de la garantie de l’Etat et des trop perçus éventuellement constatés dans le cadre du paiement de toute somme due et à cette fin, de prendre, par voie er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 146 amiable, extrajudiciaire ou judiciaire, toutes les mesures nécessaires ou utiles au recouvrement de ces créances et à la préservation des droits de l’Etat sur celles-ci. 2o La société anonyme Bpifrance met en œuvre la stratégie que lui prescrit, par une convention conclue entre eux, l’Etat en matière de vérification de l’éligibilité des appels de la garantie reçus conformément au contrat et aux conditions générales visés par l’article 1er, avant de procéder au paiement des sommes dues conformément aux dispositions de l’arrêté mentionné au III de l’article 6 de la loi susmentionnée. Cette stratégie comporte en particulier la référence à un seuil à partir duquel ces vérifications sont systématiques, et en-deçà duquel elles sont uniquement réalisées sur un échantillon d’appels en garantie tirés par l’application d’une règle aléatoire agréée par l’Etat. Les résultats de ces vérifications peuvent conduire à adapter le seuil et la calibration de la règle de tirage aléatoire susmentionnés afin de moduler la fréquence des vérifications, mais ils ne peuvent pas conduire, par extrapolation, à remettre en cause le paiement des sommes dues pour les appels en garantie qui ne feraient pas l’objet de vérifications. 3o La société anonyme Bpifrance veille à ce que les contrats et conditions générales mentionnés à l’article 1er comportent un engagement des établissements concernés à conserver sur une durée de dix ans, pour chaque garantie octroyée par l’Etat, l’ensemble des documents susceptibles d’être utilisés dans le cadre de vérifications telles que celles mentionnées au 2o, et prévoient que la société anonyme Bpifrance ou l’Etat puissent avoir accès à ces documents à tout moment. 4o Lorsque les vérifications mentionnées au 2o conduisent à constater que le prêt qui fait l’objet de l’appel de la garantie ne respectait pas lors de son octroi le cahier des charges défini par l’arrêté mentionné au III du même article 6, la société anonyme Bpifrance notifie à l’établissement prêteur, ou à l’intermédiaire en financement participatif pour le compte des prêteurs, que la garantie ne peut être appelée. Pour les appels de la garantie qui, en vertu de la stratégie de vérification mentionnée au 2o, ne font pas l’objet d’une vérification, la mise en paiement par la société anonyme Bpifrance des sommes dues est automatique. 5o Dans le cas des garanties octroyées par arrêté du ministre chargé de l’économie en application de la dernière phrase du V de l’article 6 de la loi susmentionnée, les vérifications mentionnées au 2o tiennent compte de celles intervenues préalablement à l’octroi de la garantie par l’arrêté susmentionné. Elles sont réalisées directement par l’Etat, qui dispose à cette fin de l’ensemble des documents transmis par les établissements prêteurs à la société anonyme Bpifrance en application des contrats et conditions générales mentionnés à l’article 1er. 6o Les opérations effectuées par la société anonyme Bpifrance au titre des dispositions du présent article font l’objet d’un enregistrement comptable distinct, exhaustif, fidèle et sincère. La convention prévue au présent article définit les modalités selon lesquelles cet enregistrement est effectué. Art. 4. – Le commissaire du Gouvernement nommé auprès de la société anonyme Bpifrance veille à ce que ce dernier dispose des moyens et de la trésorerie nécessaires à l’exécution de sa mission. Il est chargé de vérifier le bon exercice des responsabilités qui sont confiées par l’Etat à la société anonyme Bpifrance dans le cadre de sa mission et du contrôle de l’exécution des conventions prévues par le présent décret et par l’article 6 de la loi susmentionnée. Il peut prendre connaissance, à tout moment, de la comptabilité distincte de la société anonyme Bpifrance visée au 6o de l’article 3 du présent décret, ainsi que de tout document ou information nécessaire à l’exécution de sa mission. Art. 5. – Le ministre de l’économie et des finances est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. EDOUARD PHILIPPE Par le Premier ministre : Le ministre de l’économie et des finances, BRUNO LE MAIRE 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 28 juin 2020 portant ouverture au titre de l’année 2020 d’une liste d’aptitude pour le recrutement de deux ingénieurs du corps des mines NOR : ECOG2016471A Par arrêté du ministre de l’économie et des finances en date du 28 juin 2020, est autorisé le recrutement de deux ingénieurs des mines par voie d’inscription sur une liste d’aptitude ouverte aux ingénieurs divisionnaires de l’industrie et des mines ayant atteint au 1er janvier 2020 au moins le 6e échelon de leur grade et aux ingénieurs de l’industrie et des mines hors classe. La date limite de dépôt des candidatures et des dossiers de sélection est fixée au 23 septembre 2020 à 12 heures. Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie et des finances, service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333, 75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05 , mail : [email protected]). 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 29 juin 2020 portant renouvellement de l’agrément de la Confédération syndicale des familles (CSF) NOR : ECOC2001366A La garde des sceaux, ministre de la justice, et le ministre de l’économie et des finances, Vu le code de la consommation, notamment ses articles L. 811-1, L. 811-2 et R. 811-1 à R. 811-7 ; Vu l’arrêté du 30 juin 2015 portant renouvellement de l’agrément de la Confédération syndicale des familles (CSF) ; Vu la demande déposée par l’association, Arrêtent : Art. 1 . – L’agrément de la Confédération syndicale des familles (CSF) pour exercer sur le plan national les droits reconnus aux associations agréées de consommateurs par le code de la consommation est renouvelé pour une période de cinq ans à compter du 9 juin 2020. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. Le ministre de l’économie et des finances, BRUNO LE MAIRE La garde des sceaux, ministre de la justice, NICOLE BELLOUBET er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 29 juin 2020 portant renouvellement de l’agrément de la Confédération de la consommation, du logement et du cadre de vie (CLCV) NOR : ECOC2013461A La garde des sceaux, ministre de la justice, et le ministre de l’économie et des finances, Vu le code de la consommation, notamment ses articles L. 811-1, L. 811-2 et R. 811-1 à R. 811-7 ; Vu l’arrêté du 30 juin 2015 portant renouvellement de l’agrément de la Confédération de la consommation, du logement et du cadre de vie (CLCV) ; Vu la demande déposée par l’association, Arrêtent : Art. 1 . – L’agrément de la Confédération de la consommation, du logement et du cadre de vie (CLCV) pour exercer sur le plan national les droits reconnus aux associations agréées de consommateurs par le code de la consommation est renouvelé pour une période de cinq ans à compter du 27 juin 2020. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. Le ministre de l’économie et des finances, BRUNO LE MAIRE La garde des sceaux, ministre de la justice, NICOLE BELLOUBET er JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 23 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 29 juin 2020 relatif au versement d’une aide au soutien de la trésorerie de la société KLEIN ACCES DESIGN SAS fragilisée par la crise du covid-19 NOR : ECOI2016417A Le ministre de l’économie et des finances, Vu l’article 23 de la loi no 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificative pour 2020 ; Vu le décret no 2020-712 du 12 juin 2020 relatif à la création d’un dispositif d’aides ad hoc au soutien de la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise du covid-19 ; Vu l’arrêté du 19 juin 2020 fixant le barème des taux d’emprunt des aides de soutien en trésorerie des petites et moyennes entreprises fragilisées par la crise de covid-19, Arrête : Art. 1er. – L’Etat versera huit cent mille (800 000) euros, au titre du dispositif d’aides ad hoc au soutien de la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise du covid-19 par l’entremise de Bpifrance Financement SA, sous la forme d’un prêt au profit de la société KLEIN ACCES DESIGN SAS. Le prêt sera versé par Bpifrance Financement SA au nom de l’Etat selon les modalités décrites dans le contrat de prêt entre la société KLEIN ACCES DESIGN SAS et Bpifrance Financement SA. Bpifrance Financement SA agissant au nom et pour le compte de l’Etat procédera à la régularisation de l’acte de prêt et des sûretés prévues. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des entreprises, T. COURBE 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 30 juin 2020 fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade de contrôleur principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques NOR : ECOO2010744A Par arrêté du ministre de l’économie et des finances en date du 30 juin 2020, est fixé au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade de contrôleur principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques. Le nombre de postes offerts est fixé à 32. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats peuvent s’adresser à : Institut national de la statistique et des études économiques, section concours et examens, timbre C930, 88, avenue Verdier, CS 70058, 92541 Montrouge Cedex ; courriel : [email protected]. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 30 juin 2020 fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade d’attaché statisticien principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques NOR : ECOO2015074A Par arrêté du ministre de l’économie et des finances en date du 30 juin 2020, est fixé au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel d’accès au grade d’attaché statisticien principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques. Le nombre de postes offerts est fixé à 33. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats peuvent s’adresser à : Institut national de la statistique et des études économiques, section concours et examens, timbre C 930, 88, avenue Verdier, CS 70058, 92541 Montrouge Cedex ; courriel : [email protected]. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 1er juillet 2020 complétant l’arrêté du 24 octobre 2019 portant approbation du programme d’enquêtes statistiques d’initiative nationale ou régionale des services publics pour 2020 (enquêtes auprès des ménages et des collectivités territoriales) NOR : ECOO2016880A Publics concernés : ménages et collectivités territoriales faisant partie des échantillons des enquêtes statistiques, services mettant en œuvre des enquêtes statistiques. Objet : complément au programme des enquêtes statistiques auprès des ménages et collectivités territoriales de l’année 2020. Notice : cet arrêté complète la liste des enquêtes statistiques auprès des ménages et des collectivités territoriales des services publics pour 2020. Il précise le service enquêteur en charge de l’enquête et désigne les enquêtes obligatoires. L’avis d’opportunité, l’avis de conformité, l’avis d’examen ainsi que le descriptif des enquêtes sont disponibles sur le site du CNIS (www.cnis.fr). Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Références : l’arrêté peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). Le ministre de l’économie et des finances, Vu la loi no 51-711 du 7 juin 1951 modifiée sur l’obligation, la coordination et le secret en matière de statistiques ; Vu le décret no 2013-34 du 10 janvier 2013 modifiant le décret no 2009-250 du 3 mars 2009 relatif à l’Autorité de la statistique publique et le décret no 2009-318 du 20 mars 2009 relatif au Conseil national de l’information statistique et au comité du secret statistique ; Vu l’arrêté du 2 mai 2013 relatif aux modalités d’organisation du comité du label de la statistique publique ; Vu l’arrêté du 24 octobre 2019 portant approbation du programme d’enquêtes statistiques d’initiative nationale ou régionale des services publics pour 2020 ; Vu les avis de conformité et d’examen délivrés par le comité du label de la statistique publique et disponibles sur le site du CNIS pour chaque enquête (www.cnis.fr), Arrête : Art. 1 . – Le programme d’enquêtes statistiques des services publics et des autres services producteurs d’information statistique pour 2020, tel qu’approuvé par l’arrêté du 24 octobre 2019 susvisé, est complété par l’annexe ci-après. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de l’Institut national de la statistique et des études économiques, J.-L. TAVERNIER er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 146 ANNEXE PROGRAMME D’ENQUÊTES STATISTIQUES DES SERVICES PUBLICS AUPRÈS DES MÉNAGES ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES POUR 2020 Dès disponibilité, l’avis d’opportunité, l’avis de conformité, l’avis d’examen ainsi que le descriptif des enquêtes sont consultables sur le site du CNIS (www.cnis.fr). 2. Enquêtes d’intérêt général 2.B. – Enquête d’initiative régionale Démographie et questions sociales Santé post incendie 76 : une étude à l’écoute de votre santé Périodicité Producteur (*) Ponctuelle SPF (*) Voir liste des producteurs. Liste des producteurs Sigle du producteur SPF Intitulé du producteur Santé publique France Ministère ou ministère de tutelle le cas échéant Ministère des solidarités et de la santé 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Décision du 25 juin 2020 portant délégation de signature pour les directions régionales et interrégionales de l’Institut national de la statistique et des études économiques NOR : ECOO2015915S Le directeur général de l’Institut national de la statistique et des études économiques, Vu le code de la commande publique ; Vu la loi no 51-711 du 7 juin 1951 modifiée sur l’obligation, la coordination et le secret en matière statistique ; Vu le décret no 46-1432 du 14 juin 1946 pris pour l’application des articles 32 et 33 de la loi de finances du 27 avril 1946 relatifs à l’Institut national de la statistique et des études économiques pour la métropole et la France d’outre-mer ; Vu le décret no 60-516 du 2 juin 1960 modifié portant harmonisation des circonscriptions administratives ; Vu le décret no 89-373 du 9 juin 1989 relatif aux modalités d’organisation de l’Institut national de la statistique et des études économiques et modifiant la loi du 27 avril 1946 portant ouverture et annulation de crédits sur l’exercice de 1946 ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ; Vu l’arrêté du 2 décembre 2019 relatif à l’organisation interne de l’Institut national de la statistique et des études économiques, Décide : Art. 1 . – Délégation est donnée aux personnes mentionnées dans le tableau présent à l’annexe 1 du présent arrêté, à l’effet de signer au nom du ministre chargé de l’économie et dans la limite des attributions de la direction régionale ou interrégionale mentionnée dans le même tableau : – tous actes et décisions relatifs à la gestion du personnel, à l’exercice des attributions du pouvoir adjudicateur en matière de marchés publics et contrats locaux d’un montant inférieur au seuil de 139 000 euros HT mentionné à l’article L. 2127-1 du code de la commande publique susvisé, à la liquidation des dépenses de personnel sans ordonnancement préalable, aux ordres de mission, aux états de frais, aux conventions et partenariats locaux ; – les actes et décisions relatifs aux dépenses et recettes imputées au budget opérationnel central du programme 220 « Statistiques et études économiques » et relatifs aux actes et décisions mentionnés dans l’alinéa précédent ; – tous actes et arrêtés tendant à préciser l’organisation interne des services mentionnés à l’annexe de l’arrêté du 10 juillet 2017 modifié. Art. 2. – Délégation est donnée aux personnes mentionnées dans le tableau présent dans l’annexe 2, à l’effet de signer au nom du ministre chargé de l’économie et dans la limite des attributions de la direction régionale ou interrégionale ou du site mentionné dans le même tableau : – tous actes et décisions relatifs à la gestion du personnel, à la liquidation des dépenses de personnel sans ordonnancement préalable, à l’exercice des attributions du pouvoir adjudicateur en matière de marchés publics et contrats locaux d’un montant inférieur ou égal à 40 000 euros, aux ordres de mission et aux états de frais ; – les actes et décisions relatifs aux dépenses et recettes imputées au budget opérationnel central du programme 220 « Statistiques et études économiques » et relatifs aux actes et décisions mentionnés dans l’alinéa précédent. Art. 3. – Délégation est donnée aux personnes mentionnées dans le tableau présent dans l’annexe 3, à l’effet de signer, au nom du ministre chargé de l’économie et dans la limite des attributions de la direction régionale ou interrégionale ou du site mentionné dans le même tableau, tous ordres de mission et états de frais ainsi que les actes et décisions relatifs aux dépenses et recettes imputées au budget opérationnel central du programme 220 « Statistiques et études économiques » relatifs à ces ordres de mission et états de frais. Art. 4. – La décision de délégation de signature pour les directions régionales et interrégionales de l’Institut national de la statistique et des études économiques du 3 juin 2020 est abrogée. er JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 27 sur 146 Art. 5. – La présente décision est publiée au Journal officiel de la République Française. Fait le 25 juin 2020. J.-L. TAVERNIER ANNEXES ANNEXE 1 Identité Corps Direction régionale ou interrégionale Fonctions Olivier Léna Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur interrégional Antilles-Guyane Jean-Philippe Grouthier Inspecteur général de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Auvergne-Rhône-Alpes Moïse Mayo Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Bourgogne-Franche-Comté Eric Lesage Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Bretagne Yvonne Pérot Administratrice de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directrice régionale Centre-Val de Loire Véronique Daudin Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directrice régionale Corse Yves Caldérini Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Grand Est Jean-Christophe Fanouillet Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Hauts-de-France Marie-Christine Parent Inspectrice générale de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directrice régionale Île-de-France Aurélien Daubaire Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur interrégional La Réunion-Mayotte Daniel Brondel Inspecteur général de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Normandie Fabienne Le Hellaye Administratrice de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directrice régionale Nouvelle-Aquitaine Caroline Jamet Inspectrice générale de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directrice régionale Occitanie Pascal Seguin Inspecteur général de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Pays de la Loire Albert Lopez Inspecteur général de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Directeur régional Provence-Alpes-Côte-D’azur ANNEXE 2 Identité Direction régionale ou interrégionale Corps Fonctions Site(s) Fabrice Romans Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Antilles-Guyane Baie-Mahaut, Basse-Terre, Cayenne, et Fort-de-France Bertrand Kauffmann Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Auvergne-Rhône-Alpes Clermont-Ferrand Lyon Patrick Dayan Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Auvergne-Rhône-Alpes Clermont-Ferrand, Lyon Béatrice Magistrali Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Adjointe au chef du service administration des res­ sources Auvergne-Rhône-Alpes Clermont-Ferrand, Lyon 3 juillet 2020 Identité JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 146 Direction régionale ou interrégionale Corps Fonctions Site(s) Valérie Guerland Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Auvergne-Rhône-Alpes Clermont-Ferrand Chantal Drouin Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service adminis­ tration des ressources Bourgogne – Franche Comté Besançon, Dijon Christophe Basso Attaché statisticien de l’Institut national de la statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Bourgogne-Franche Comté Dijon Claude Petit Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Bretagne Rennes Véronique Livertout Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service adminis­ tration des ressources Centre-Val de Loire Orléans Sandra Montiel Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service adminis­ tration des ressources Corse Ajaccio Daniel Huet Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Grand Est Nancy Pascal Avet Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Grand Est Nancy, Strasbourg, Reims Sylvie Grcic Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Adjointe au chef du service administration des res­ sources Grand Est Nancy, Strasbourg, Reims Mireille Floremont Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Grand Est Reims Josy Dussart Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service adminis­ tration des ressources Hauts-de-France Lille, Amiens Joëlle Gueugnon Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Hauts-de-France Amiens Edwige Crocquey Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Adjointe à la cheffe du ser­ vice administration des ressources Hauts-de-France Lille, Amiens Patrick Salvatori Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Île-de-France Saint Quentin-en-Yvelines Anne Jobert-Gouezel Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Île-de-France Saint Quentin-en-Yvelines Jean-Eric Place Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources La Réunion Saint-Denis Christian Camesella Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Normandie Caen, Rouen Jean-Louis Reboul Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Normandie Rouen Jérôme Follin Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef adjoint du service étu­ des et diffusion Normandie Rouen Nicole Thomas Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service adminis­ tration des ressources Nouvelle-Aquitaine Bordeaux, Limoges, Poitiers 3 juillet 2020 Identité JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Corps Fonctions Texte 27 sur 146 Direction régionale ou interrégionale Site(s) Éric Vaillant Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Adjoint au chef du service administration des res­ sources, chef de la divi­ sion Pilotage des Ressources Humaines Nouvelle Aquitaine Bordeaux, Limoges, Poitiers Patrick Hernandez Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Nouvelle-Aquitaine Bordeaux Laurent Bergougnoux Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Nouvelle-Aquitaine Limoges Xavier Helfenstein Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Adjoint au chef du service statistique Nouvelle-Aquitaine Limoges Monique Cauquil Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe de la division des ressources informatiques et matérielles Occitanie Toulouse, Montpellier Marie-Hélène Derveaux Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Occitanie Montpellier Bruno Priou Administrateur de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du centre national informatique Pays de la Loire Nantes Roger Fauveau Attaché de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Eco­ nomiques Adjoint au chef du service administration des res­ sources Pays de la Loire Nantes Christophe Barret Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service administra­ tion des ressources Provence-Alpes-Côte d’Azur Aix-en-Provence, Marseille Stéphane Camminada Attaché statisticien de l’Institut national de la statistique et des Etudes Economiques Adjoint au chef du service administration des res­ sources Provence-Alpes-Côte d’Azur Aix-en-Provence, Marseille ANNEXE 3 Identité Corps Fonctions Direction régionale ou interrégionale Site(s) Philippe Dorelon Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Antilles-Guyane Baie-Mahaut, Basse-Terre, Cayenne et Fort-de-France Delphine Artaud Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service études et diffu­ sion Antilles-Guyane Baie-Mahaut, Basse-Terre, Cayenne et Fort-de-France Michel Lelievre Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef de division Antilles-Guyane Baie-Mahaut, Basse-Terre, Cayenne et Fort-de-France Philippe Winnicki Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef de service Antilles-Guyane Baie-Mahaut, Basse-Terre Rémi Charrier Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef de service adjoint Antilles-Guyane Cayenne Hughes Horatius-Clo­ vis Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef de service régional Antilles-Guyane Fort-de-France Camille de Caix Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Auvergne-Rhône-Alpes Lyon Pascal Ardilly Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service du recensement national Auvergne-Rhône-Alpes Clermont-Ferrand, Lyon 3 juillet 2020 Identité JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Corps Fonctions Texte 27 sur 146 Direction régionale ou interrégionale Site(s) Xavier Monchois Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Bourgogne – Franche Comté Besançon Robert Viatte Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Bourgogne – Franche Comté Dijon Sébastien Pons Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service des études et diffusion Bretagne Rennes Tristan Picard Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Bretagne Rennes Sébastien Terra Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Centre-Val de Loire Orléans Vincent Bernard Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service des études et diffusion Centre-Val de Loire Orléans Emmanuel Biyidi Awala Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service national de déve­ loppement informatique d’Or­ léans Centre-Val de Loire Orléans Aude Genovese-Bol­ leyn Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service statistique Corse Ajaccio Magali Bonnefont Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service études et diffu­ sion Corse Ajaccio Jean-Paul Strauss Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Responsable de pôle au service études et diffusion Grand Est Strasbourg Nathalie Stéphan Attachée statisticienne de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Responsable de pôle au service statistique Grand Est Nancy Stéphan Challier Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Hauts-de-France Lille Jean-François Eude­ line Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service national de déve­ loppement informatique de Lille Hauts-de-France Lille, Amiens François Chevalier Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Hauts-de-France Lille Olivier Léon Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Île-de-France Saint Quentin-en-Yvelines Jamel Mekkaoui Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef de service La Réunion – Mayotte Mamoudzou Emmanuel L’Hour Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique La Réunion – Mayotte Saint Denis Sébastien Seguin Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion La Réunion – Mayotte Saint-Denis Jean-Pierre Servel Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service Statistique Natio­ nal d’Entreprises Normandie Caen Jérôme Letournel Attaché d’administration centrale Chef du service statistique Normandie Caen 3 juillet 2020 Identité JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Corps Fonctions Texte 27 sur 146 Direction régionale ou interrégionale Site(s) Stève Lacroix Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Normandie Rouen Olivier Frouté Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Nouvelle Aquitaine Bordeaux Jérôme Borély Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Nouvelle Aquitaine Poitiers Marie-Laure Monteil Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Cheffe du service études et diffu­ sion Occitanie Toulouse Stéphane Richard Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Occitanie Toulouse Benoît Buisson Attaché statisticien de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service Esane Pays de la Loire Nantes Nathalie Cloarec Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Pays de la Loire Nantes Claire Marbot Administratrice de l’Institut natio­ nal de la Statistique et des Etudes Economiques Adjointe au chef de service études et diffusion Pays de la Loire Nantes Emmanuel Guillaume Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service national de déve­ loppement informatique de Nantes Pays de la Loire Nantes Pierre Roux Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service national des sup­ ports informatiques Pays de la Loire Nantes François Capelle Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service statistique Provence-Alpes-Côte-D’Azur Marseille Alexandre Gautier Administrateur de l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques Chef du service études et diffusion Provence-Alpes-Côte-D’Azur Marseille 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL Arrêté du 24 juin 2020 portant agrément des experts auxquels le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou le comité social et économique peut faire appel NOR : MTRT2015856A La ministre du travail, Vu les articles L. 2315-94, L. 4614-12, L. 4614-13 du code du travail ; Vu les articles R. 4614-6 et suivants du code du travail ; Vu l’article 6-II du décret no 2017-1819 du 29 décembre 2017 relatif au comité social et économique ; Vu les avis des membres de la commission spécialisée no 5 du Conseil d’orientation des conditions de travail, consultés par voie électronique entre le 9 et le 16 juin 2020, Arrête : Art. 1 . – Est agréé en qualité d’experts auxquels le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou le comité social et économique peuvent faire appel, pour une durée de 12 mois, du 1er juillet 2020 au 30 juin 2021, l’organisme ci-après : DTR Conseil : 40, rue Alexandre-Dumas, 75011 Paris, rue d’Inkermann, dans les domaines de la santé et sécurité au travail et de l’organisation du travail et de la production. Art. 2. – Les personnes physiques, salariées de l’organisme ci-dessus habilité ne peuvent effectuer des expertises que pour le compte de celui-ci. Art. 3. – Le directeur général du travail est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 juin 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, Y. STRUILLOU er JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 29 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL Arrêté du 29 juin 2020 portant adaptation des règles d’organisation générale et du contenu de la formation initiale pour le recrutement exceptionnel des inspecteurs du travail stagiaires NOR : MTRR2013732A La ministre du travail et le ministre de l’action et des comptes publics, Vu la loi no 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, notamment son article 113 ; Vu la loi no 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19 ; Vu l’ordonnance no 2020-306 du 25 mars 2020 modifiée relative à la prorogation des délais échus pendant la période d’urgence sanitaire et à l’adaptation des procédures pendant cette même période, notamment son article 13 ; Vu l’ordonnance no 2020-351 du 27 mars 2020 modifiée relative à l’organisation des examens et concours pendant la crise sanitaire née de l’épidémie de covid-19, notamment son article 5 ; Vu le décret no 94-874 du 7 octobre 1994 modifié fixant les dispositions communes applicables aux stagiaires de l’Etat et de ses établissements publics ; Vu le décret no 2003-770 du 20 août 2003 modifié portant statut particulier du corps de l’inspection du travail ; Vu le décret no 2007-1470 du 15 octobre 2007 modifié relatif à la formation professionnelle tout au long de la vie des fonctionnaires de l’Etat, notamment son article 1er ; Vu le décret no 2016-1733 du 14 décembre 2016 portant application de l’article 113 de la loi no 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels ; Vu le décret no 2020-437 du 16 avril 2020 pris pour l’application des articles 5 et 6 de l’ordonnance no 2020-351 du 27 mars 2020 relative à l’organisation des examens et concours pendant la crise sanitaire née de l’épidémie de covid-19, notamment son article 16 ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2016 fixant les règles d’organisation générale et le contenu de la formation initiale pour le recrutement exceptionnel des inspecteurs du travail stagiaires, Arrêtent : Art. 1er. – Les règles d’organisation générale et le contenu de la formation initiale des inspecteurs du travail stagiaires prévues par les dispositions des articles 1er, 2, 5, 7, 8, 9, 10 et 11 et 12 de l’arrêté susvisé sont adaptées dans les conditions prévues par le présent arrêté. Les autres dispositions de l’arrêté demeurent applicables aux inspecteurs du travail stagiaires mentionnés à l’alinéa ci-dessus. Art. 2. – L’évaluation de l’aptitude professionnelle des stagiaires s’effectue sur dossier sur la base d’un rapport du maître de stage désigné en début de formation pour le stage de découverte des services et d’un avis du directeur de l’Institut national du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle. Art. 3. – Après leur titularisation, les inspecteurs du travail suivent une formation obligatoire complémentaire dont le contenu est défini en fonction des besoins spécifiques identifiés par l’Institut national du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle, l’inspecteur du travail et le responsable de service. Art. 4. – Les dispositions du présent arrêté sont applicables uniquement à la promotion des inspecteurs du travail stagiaires dont la formation a débuté le 16 décembre 2019. Art. 5. – Le directeur des ressources humaines est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 146 Fait le 29 juin 2020. La ministre du travail, Pour la ministre et par délégation : Le directeur des ressources humaines, P. BERNARD Le ministre de l’action et des comptes publics, Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice des compétences et des parcours professionnels, C. LOMBARD 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL Décision du 1er juillet 2020 modifiant la décision du 3 janvier 2020 portant délégation de signature NOR : MTRD2013888S Le délégué général à l’emploi et à la formation professionnelle, Vu le décret no 97-244 du 18 mars 1997 portant création d’une délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle à l’administration centrale du ministère du travail et des affaires sociales ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, notamment son article 3 ; Vu le décret du 1er avril 2019 portant nomination du délégué général à l’emploi et à la formation professionnelle ; Vu l’arrêté du 4 mai 2017 portant organisation de la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle ; Vu l’arrêté du 4 mai 2017 portant organisation de la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle, modifié par les arrêtés du 4 juin 2018 et du 30 décembre 2019 ; Vu la décision du 3 janvier 2020 portant délégation de signature, Décide : Art. 1 . – L’article 20 de la décision du 3 janvier 2020 susvisée est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 20. – Délégation est donnée à Mme Stéphanie Le Blanc, administratrice civile hors classe, adjointe au sous-directeur, à l’effet de signer, dans la limite des attributions de la sous-direction des mutations économiques et de la sécurisation de l’emploi et au nom du ministre chargé du travail, tous actes, arrêtés, décisions, conventions (sans engagement financier de l’Etat), ou actes de liquidation de la dépense et de certification du service fait à l’exclusion des décrets. » Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. B. LUCAS er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE Décision du 26 juin 2020 portant délégation de signature (secrétariat général) NOR : MENA2015061S La secrétaire générale, Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, notamment son article 3 ; Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ; Vu le décret no 2014-133 du 17 février 2014 modifié fixant l’organisation de l’administration centrale des ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et de la recherche ; Vu l’arrêté du 17 février 2014 modifié fixant l’organisation de l’administration centrale des ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et de la recherche, Décide : Art. 1 . – Délégation est donnée, à l’effet de signer dans le cadre de l’utilisation du système d’information CHORUS, au nom du ministre chargé de l’éducation nationale et de la jeunesse, toutes les opérations relatives à la dépense publique (hors subventions) : engagement juridique, certification du service fait, ordre de paiement, opérations d’inventaire de fin d’année, réalisation des travaux de fin de gestion et rattachement des charges à l’exercice, écritures correctives, opérations d’immobilisation, relevant du périmètre des attributions du service de l’action administrative et des moyens et des prestations confiées dans le cadre des délégations de gestion à : Mme Mélanie DOUBLET, assistante ingénieure, adjointe au chef de mission centre de services partagés dépenses. Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 26 juin 2020. M.-A. LÉVÊQUE er JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 32 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Arrêté du 22 juin 2020 portant ouverture de crédits de fonds de concours NOR : CPAB2015570A Le ministre de l’action et des comptes publics, Vu la loi no 2001-692 du 1er août 2001 modifiée portant loi organique relative aux lois de finances, notamment son article 17 ; Vu la loi de finances et les textes portant ouverture et annulation de crédits pour 2020 ; Attendu qu’il a été constaté le versement dans les caisses du Trésor public d’une somme de 185 030 687,00 € à titre de fonds de concours, Arrête : Art. 1er. – Sont ouverts sur 2020 des crédits pour un montant de 185 030 687,00 € en autorisations d’engagement et de 185 030 687,00 € en crédits de paiement applicables aux programmes du budget général mentionnés dans le tableau 1 annexé au présent arrêté. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 22 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : Le chargé de la première sous-direction de la direction du budget, S. BAKHOUCHE ANNEXE TABLEAU 1 INTITULÉ DE LA MISSION, DU PROGRAMME, DE LA DOTATION NUMÉRO du programme ou de la dotation Plan d’urgence face à la crise sanitaire AUTORISATIONS d’engagement ouvertes (en euros) CRÉDITS de paiement ouverts (en euros) 185 030 687,00 185 030 687,00 185 030 687,00 185 030 687,00 Totaux .......................................................................................................... 185 030 687,00 185 030 687,00 Dont titre 2.............................................................................................. 0,00 0,00 Fonds de solidarité pour les entreprises à la suite de la crise sanitaire ........ 357 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Arrêté du 24 juin 2020 modifiant l’arrêté du 13 novembre 1963 pris pour l’application du décret du 30 octobre 1963 relatif au régime d’allocations viagères des gérants de débits de tabac NOR : CPAD2014839A Le ministre de l’action et des comptes publics, Vu le décret no 63-1104 du 30 octobre 1963 modifié relatif au régime d’allocations viagères des gérants de débits de tabac ; Vu l’arrêté du 13 novembre 1963 modifié pris pour l’application du décret du 30 octobre 1963 modifié relatif au régime d’allocations viagères des gérants de débits de tabac, Arrête : Art. 1 . – Le 2 du III de l’article 14 de l’arrêté du 13 novembre 1963 susvisé est ainsi rédigé : « 2. Au 1er juillet 2020, la valeur de service du point est de 2,13 euros. Cette valeur est révisée le 1er juillet de chaque année, selon les modalités prévues au quatrième alinéa de l’article 4 du décret du 30 octobre 1963 modifié. » Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : La directrice générale des douanes et droits indirects, I. BRAUN-LEMAIRE er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Arrêté du 24 juin 2020 fixant la liste des thèmes d’actualité de la première épreuve d’admissibilité de la session de printemps 2021 des concours d’accès aux instituts régionaux d’administration (épreuves de mars 2021) NOR : CPAF2016283A Le ministre de l’action et des comptes publics, Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat ; Vu le décret no 2019-86 du 8 février 2019 relatif aux instituts régionaux d’administration ; Vu l’arrêté du 28 mars 2019 fixant les règles d’organisation générale, la nature, la durée, le programme des épreuves et la discipline des concours d’entrée aux instituts régionaux d’administration, notamment son article 2, Arrête : Art. 1 . – La liste des thèmes d’actualité prévue à l’article 2 de l’arrêté du 28 mars 2019 susvisé, à partir desquels est proposé par le jury le sujet de la première épreuve d’admissibilité de la session de printemps 2021 des concours d’accès aux instituts régionaux d’administration (épreuves de mars 2021), est fixée comme suit : – enjeux de cohésion sociale, de développement durable et de diversité des territoires dans les politiques publiques ; – finances publiques et intervention économique ; – l’évolution des services publics : enjeux de transformation, notamment numérique ; – le système éducatif, du premier degré à l’enseignement supérieur ; – enjeux européens et internationaux des politiques publiques ; – l’organisation territoriale de la France. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau du recrutement et des politiques d’égalité et de diversité, N. ROBLAIN er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Arrêté du 25 juin 2020 modifiant les arrêtés pris sur le fondement de l’article 220 du décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique relatifs à divers organismes sous tutelle du ministère de la transition écologique et solidaire ou du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales NOR : CPAB2003968A La ministre de la transition écologique et solidaire, le ministre de l’action et des comptes publics et la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 213-8 à L. 213-11 et R. 213-29 à R. 213-48, ses articles L. 131-3 à L. 131-7 et R. 131-1 à R.131-26, ses articles R. 131-35 à R. 131-47 ses articles L. 322-2 et R. 322-38 et suivants ; Vu le code de la construction et de l’habitation, notamment son article L. 321-1, ses articles L. 342-1 à L. 342-21 et R. 342-1 à R. 342-40, ses articles L. 435-1 et R. 435-1 à R. 435-9, ses articles L. 452-1 à L. 452-7 et R. 452-1 et suivants ; Vu le décret no 2004-1466 du 23 décembre 2004 modifié relatif à l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs ; Vu le décret no 2011-1371 du 27 octobre 2011 modifié relatif à l’Institut national de l’information géographique et forestière ; Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique, notamment son article 220 ; Vu le décret no 2013-1273 du 27 décembre 2013 relatif au Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) ; Vu l’arrêté du 6 mai 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs ; Vu l’arrêté du 6 mai 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Institut national de l’environnement industriel et des risques ; Vu l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur la Caisse de garantie du logement locatif social ; Vu l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence nationale de l’habitat ; Vu l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur les agences de l’eau ; Vu l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) ; Vu l’arrêté du 12 août 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur le Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres ; Vu l’arrêté du 17 août 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence nationale de contrôle du logement social ; Vu l’arrêté du 3 septembre 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Institut national de l’information géographique et forestière ; Vu l’arrêté du 13 octobre 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) ; Vu l’arrêté du 12 décembre 2016 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur le Fonds national des aides à la pierre, 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 146 Arrêtent : Art. 1 . – L’article 7 de l’arrêté du 6 mai 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : er Sont soumis au visa : – les contrats de recrutement et leurs avenants ; – les conventions de mise à disposition de personnel contre remboursement ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les conventions et contrats autres que les contrats de recrutements ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons de commande ; – les bons de commande. Sont soumis à avis préalable : – les accords-cadres ; – les projets de transaction avant transmission aux tiers pour signature. Sont soumis à information préalable : – les mesures catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale ; – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les prêts et les subventions ; – les contrats conclus avec l’Union des groupements d’achat public ou avec la direction des achats de l’Etat. » Art. 2. – L’article 7 de l’arrêté du 6 mai 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Institut national de l’environnement industriel et des risques susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis à avis préalable : – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les accords-cadres ; – les accords d’intéressement du personnel ; – les actes relatifs au recrutement, à la rémunération et à l’avancement des cadres dirigeants ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les contrats de recrutement ; – les entrées par détachement sur contrat ; – les entrées par mise à disposition donnant lieu à remboursement ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons commande ; – les mesures générales ou catégorielles relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; – les projets de transactions avant transmission au tiers pour signature ; – les ruptures conventionnelles de contrat de travail ; – les participations et les apports à toute entité dans les cas où ils ne sont pas approuvés par les autorités tutelle ainsi que les cessions de participation et les retraits d’apports ; – les subventions accordées. » Art. 3. – L’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur la Caisse garantie du logement locatif social susvisé est modifié ainsi qu’il suit : I. – L’article 4 est abrogé. de de de de II. – L’article 7 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les contrats de recrutement et leurs avenants, sauf s’ils respectent un référentiel de rémunération validé par le contrôleur ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons de commande. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 146 Sont soumis à avis préalable : – les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; – les conventions de mise à disposition de personnel contre remboursement ; – les accords-cadres ; – les ruptures conventionnelles de contrat et les indemnités de départ. » Art. 4. – L’article 7 de l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence nationale de l’habitat susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les contrats de recrutement et leurs avenants, sauf s’ils respectent un référentiel de rémunération validé par le contrôleur ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les conventions et contrats autres que les contrats de recrutement ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons de commande ; – les bons de commande ; – les emprunts autorisés et les attributions de garanties. Sont soumis à avis préalable : – les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; – les conventions de mise à disposition de personnel contre remboursement ; – les accords-cadres ; – les prêts et subventions ; – les ruptures conventionnelles de contrat et les indemnités de départ ; – les projets de transactions avant transmission au tiers pour signature. » Art. 5. – L’article 7 de l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur les agences de l’eau susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les contrats de recrutement à durée indéterminée et les avenants. Sont soumis à avis préalable : – – – – – – – – – – – – – les conventions types et leurs avenants destinés à la mise en œuvre des aides de l’établissement ; les accords-cadres ; les marchés, les groupements de commande et les accords de mutualisation ; les projets de transaction avant transmission au tiers pour signature ; les conventions, les prêts et subventions intervenant en dehors du champ des conventions types ; les emprunts autorisés ; les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; les mesures individuelles relatives à l’avancement, à la promotion ou au reclassement des personnels ; le calcul des enveloppes annuelles de primes ; les ruptures conventionnelles de contrat de travail ; les indemnités de départ ; les contrats de recrutement à durée déterminée et les avenants ; les conventions de mises à disposition de personnel. » 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 146 Art. 6. – L’article 7 de l’arrêté du 9 juillet 2015 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les ouvertures de concours ; – les contrats de recrutement et les avenants sauf s’ils respectent un référentiel de rémunération validé par le contrôleur ; – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les conventions et contrats autres que les contrats de recrutement ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons de commande ; – les bons de commande. Sont soumis à avis préalable : – les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; – les accords-cadres ; – les conventions de mise à disposition de personnel contre remboursement ; – les prêts et subventions ; – les mesures relatives à l’avancement des personnels ; – les ruptures conventionnelles de contrat de personnel et les indemnités de départ ; – les projets de transactions avant transmission au tiers pour signature. » Art. 7. – L’article 7 de l’arrêté du 12 août 2015 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les contrats de recrutement à durée indéterminée ; – les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme. Sont soumis à avis préalable : – les contrats de recrutement à durée déterminée ; – les conventions de mise à disposition de personnel donnant lieu à remboursement ; – les accords-cadres ; – les conventions types et leurs avenants destinés à la mise en œuvre du programme d’intervention de l’établissement ; – les conventions, les prêts et subventions intervenant en dehors du champ des conventions-type ; – les marchés, les groupements de commande et les accords de mutualisation ; – les projets de transaction avant transmission au tiers pour signature ; – les emprunts autorisés ; – les conventions de mise à disposition de personnel ne donnant pas lieu à remboursement ; – les ruptures conventionnelles de contrat de personnel et les indemnités de départ ; – les enveloppes annuelles de primes. » Art. 8. – L’article 7 de l’arrêté du 17 août 2015 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; – les actes relatifs au recrutement, à la rémunération et à l’avancement des cadres dirigeants ; – les contrats de recrutement ; – les entrées par détachement sur contrat ; – les entrées par mise à disposition donnant lieu à remboursement ; – les mesures relatives à l’avancement des personnels ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 146 – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les baux autres que les baux domaniaux. Sont soumis à avis préalable : – les ruptures conventionnelles de contrat ; – les indemnités de départ ; – les accords-cadres ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons de commande ; – les conventions et contrats autres que les contrats de recrutement ; – les projets de transactions avant transmission au tiers pour signature. » Art. 9. – L’article 7 de l’arrêté du 3 septembre 2015 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les mesures générales ou catégorielles, relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’IGN ; – les contrats de recrutement en contrat à durée indéterminée et les avenants ; – les ruptures conventionnelles de contrat ; – les acquisitions et aliénations immobilières. Sont soumis à avis préalable : – les conventions types et les contrats types ainsi que leurs avenants ; – les contrats de recrutement en contrat à durée déterminée et les avenants ; – les indemnités de départ ; – les mesures individuelles relatives à l’avancement, à la promotion ou au reclassement des personnels ; – les mises à disposition donnant lieu à remboursement ou pas ; – les ouvertures de concours ; – les accords-cadres, hormis les conventions types ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les marchés, les groupements de commande et les accords de mutualisation ; – les projets de transaction avant transmission aux tiers avant signature ; – les conventions, les contrats, les prêts et les subventions intervenant en dehors du champ des conventions types ; – les emprunts autorisés ; – les participations et les apports à toute entité dans le cas où ils ne sont pas soumis à l’approbation du ministre de tutelle ainsi que les cessions de participations et les retraits d’apports. » Art. 10. – L’article 7 de l’arrêté du 13 octobre 2015 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les mesures générales ou catégorielles relatives notamment à la rémunération ou à la gestion du temps de travail et ayant un impact sur la masse salariale de l’organisme ; – les contrats de recrutement et leurs avenants ; – les acquisitions et aliénations immobilières ; – les baux autres que les baux domaniaux ; – les marchés autres que les marchés subséquents aux accords-cadres s’exécutant au moyen de bons de commande ; – les bons de commande ; – les conventions et contrats autres que les contrats de recrutement. Sont soumis à avis préalable : – les accords-cadres ; – les prêts et subventions ; – les ruptures conventionnelles de contrat de personnel et les indemnités de départ ; – les projets de transactions avant transmission au tiers pour signature. Sont soumis à information préalable : – les mesures relatives à l’avancement des personnels ; – les conventions de mise à disposition de personnel contre remboursement. » 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 146 Art. 11. – L’arrêté du 12 décembre 2016 susvisé est modifié ainsi qu’il suit : I. – L’article 4 est abrogé. II. – L’article 7 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 7. – Dans les conditions et selon les seuils fixés par le document prévu à l’article 10, au regard de la qualité du contrôle interne budgétaire : Sont soumis au visa : – les prêts et subventions ; – les emprunts autorisés et les attributions de garanties ; – les conventions et contrats autres que les contrats de recrutement, y compris la convention prévue à l’article 5 du décret no 2007-44 du 11 janvier 2007 pris pour l’application du II de l’article 17 de la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, et ses avenants. Sont soumis à avis préalable : – les projets de transactions avant transmission au tiers pour signature. » Art. 12. – L’arrêté du 5 mai 2017 relatif aux modalités d’exercice du contrôle budgétaire sur l’Agence nationale pour la rénovation urbaine est abrogé. Art. 13. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 25 juin 2020. Le ministre de l’action et des comptes publics, Pour le ministre et par délégation : Le chef de service à la direction du budget, A. GROSSE La ministre de la transition écologique et solidaire, Pour la ministre et par délégation : La secrétaire générale, E. PIETTE La ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Pour la ministre et par délégation : La secrétaire générale, E. PIETTE JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 36 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Arrêté du 26 juin 2020 modifiant l’arrêté du 16 juillet 2019 fixant la liste des personnes morales de droit public mentionnées au 5o du I de l’article 4 du décret no 2018-689 du 1er août 2018 relatif à l’obligation pour les administrations de mettre à disposition des usagers un service de paiement en ligne NOR : CPAE2014961A Publics concernés : les personnes morales de droit public visées au 5o du I de l’article 4 du décret no 2018-689 du 1er août 2018 relatif à l’obligation pour les administrations de mettre à disposition des usagers un service de paiement en ligne. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : cet arrêté complète la liste des organismes de droit public et des groupements d’intérêt public soumis à la gestion budgétaire et comptable publique, concernés par l’obligation de mettre à disposition des usagers un service de paiement en ligne au 1er juillet 2020. Références : le présent arrêté peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). Le ministre de l’économie et des finances et le ministre de l’action et des comptes publics, Vu le code général des collectivités territoriales, notamment l’article L. 1611-5-1 ; Vu la loi no 2011-525 du 17 mai 2011 de simplification et d’amélioration de la qualité du droit, notamment son article 112 ; Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique, notamment son article 33 ; Vu le décret no 2018-689 du 1er août 2018 relatif à l’obligation pour les administrations de mettre à disposition des usagers un service de paiement en ligne ; Vu l’arrêté du 16 juillet 2019 fixant la liste des personnes morales de droit public mentionnées au 5o du I de l’article 4 du décret no 2018-689 du 1er août 2018 relatif à l’obligation pour les administrations de mettre à disposition des usagers un service de paiement en ligne, Arrêtent : Art. 1 . – L’arrêté du 16 juillet 2019 susvisé est modifié conformément aux dispositions des articles 2 et 3 du er présent arrêté. Art. 2. – I. – L’article 1er est ainsi modifié : Après les termes : « L’annexe » sont insérés les termes : « no 1 ». II. – L’annexe est nommée : « Annexe no 1 ». Art. 3. – Après l’article 1er, est inséré un article 1er bis ainsi rédigé : « Art. 1er bis. – L’annexe no 2 au présent arrêté constitue la liste des personnes morales de droit public et des groupements d’intérêt public dont le seuil de recettes annuelles est supérieur ou égal à 1 000 000 d’euros au 31 décembre 2018 et soumis, au plus tard le 1er juillet 2020, à l’obligation de se doter du service de paiement en ligne mentionné à l’article 2 du décret du 1er août 2018 susvisé. » Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 26 juin 2020. Le ministre de l’action et des comptes publics, GÉRALD DARMANIN Le ministre de l’économie et des finances, BRUNO LE MAIRE 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ANNEXE No 2 Agence nationale de santé publique Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail Agence régionale de santé Occitanie Agence technique de l’information sur l’hospitalisation Autorité des marchés financiers Caisse de garantie du logement locatif social Centrale Lille Institut CentraleSupélec Centre d’enseignement zootechnique Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive d’Ile-de-France Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Bordeaux Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de la Réunion Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Montpellier Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Nancy Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Pointe à Pitre Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Poitiers Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Reims Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Strasbourg Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Toulouse Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Vichy Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Wattignies Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive du Centre Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive Pays de la Loire Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive Provence-Alpes-Côte d’Azur Centre informatique national de l’enseignement supérieur Centre international de Valbonne Centre national de la propriété forestière Centre régional des œuvres universitaires et scolaires d’Antilles-Guyane Centre régional des œuvres universitaires et scolaires de Corse Centre régional des œuvres universitaires et scolaires de la Réunion Centre régional des œuvres universitaires et scolaires de Limoges Chambre d’agriculture de région Ile-de-France Chambre départementale d’agriculture d’Eure-et-Loir Chambre départementale d’agriculture d’Indre-et-Loire Chambre départementale d’agriculture d’Ile-et-Vilaine Chambre départementale d’agriculture de l’Ain Chambre départementale d’agriculture de l’Allier Chambre départementale d’agriculture de l’Ariège Chambre départementale d’agriculture de l’Aube Chambre départementale d’agriculture de l’Aude Chambre départementale d’agriculture de l’Hérault Chambre départementale d’agriculture de l’Indre Chambre départementale d’agriculture de l’Isère Chambre départementale d’agriculture de l’Orne Chambre départementale d’agriculture de l’Yonne Chambre départementale d’agriculture de la Charente Chambre départementale d’agriculture de la Charente-Maritime Chambre départementale d’agriculture de la Corrèze Chambre départementale d’agriculture de la Côte-d’Or Chambre départementale d’agriculture de la Creuse Chambre départementale d’agriculture de la Dordogne Chambre départementale d’agriculture de la Drôme Chambre départementale d’agriculture de la Haute-Corse Chambre départementale d’agriculture de la Haute-Garonne Chambre départementale d’agriculture de la Haute-Loire Chambre départementale d’agriculture de la Haute-Saône Texte 36 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Chambre départementale d’agriculture de la Haute-Vienne Chambre départementale d’agriculture de la Haute-Marne Chambre départementale d’agriculture de la Loire Chambre départementale d’agriculture de la Lozère Chambre départementale d’agriculture de la Manche Chambre départementale d’agriculture de la Marne Chambre départementale d’agriculture de la Mayenne Chambre départementale d’agriculture de la Meuse Chambre départementale d’agriculture de la Moselle Chambre départementale d’agriculture de la Nièvre Chambre départementale d’agriculture de la Réunion Chambre départementale d’agriculture de la Vienne Chambre départementale d’agriculture de Loir-et-Cher Chambre départementale d’agriculture de Lot-et-Garonne Chambre départementale d’agriculture de Meurthe-et-Moselle Chambre départementale d’agriculture de Saône-et-Loire Chambre départementale d’agriculture de Vaucluse Chambre départementale d’agriculture des Ardennes Chambre départementale d’agriculture des Bouches-du-Rhône Chambre départementale d’agriculture des Côtes-d’Armor Chambre départementale d’agriculture des Deux-Sèvres Chambre départementale d’agriculture des Hautes-Pyrénées Chambre départementale d’agriculture des Landes Chambre départementale d’agriculture des Pyrénées-Atlantiques Chambre départementale d’agriculture des Pyrénées-Orientales Chambre départementale d’agriculture des Vosges Chambre départementale d’agriculture du Calvados Chambre départementale d’agriculture du Cantal Chambre départementale d’agriculture du Cher Chambre départementale d’agriculture du Finistère Chambre départementale d’agriculture du Gard Chambre départementale d’agriculture du Gers Chambre départementale d’agriculture du Jura Chambre départementale d’agriculture du Loiret Chambre départementale d’agriculture du Lot Chambre départementale d’agriculture du Morbihan Chambre départementale d’agriculture du Puy-de-Dôme Chambre départementale d’agriculture du Rhône Chambre départementale d’agriculture du Tarn Chambre interdépartementale d’agriculture Doubs -Territoire de Belfort Chambre régionale d’agriculture Auvergne-Rhône-Alpes Chambre régionale d’agriculture de Bourgogne -Franche-Comté Chambre régionale d’agriculture de Normandie Chambre régionale d’agriculture de Provence Alpes Côte-d’Azur Chambre régionale d’agriculture Grand Est Chambre régionale d’agriculture Nouvelle Aquitaine Chambre régionale d’agriculture Occitanie Chancellerie des universités de Paris Communauté d’universités et établissements Université de Lyon Communauté d’universités et établissements Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées Communauté d’universités et établissements Université Paris-Est Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris Ecole centrale de Lyon Ecole centrale de Marseille Ecole d’ingénieurs SIGMA Clermont Ecole des hautes études en sciences sociales Ecole du Louvre Ecole nationale d’administration Texte 36 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 146 Ecole nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne Ecole nationale d’ingénieurs de Tarbes Ecole nationale de voile et des sports nautiques Ecole nationale des sports de montagne Ecole nationale des travaux publics de l’Etat Ecole nationale supérieure d’architecture de Nantes Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-la Villette Ecole nationale supérieure d’informatique pour l’industrie et l’entreprise Ecole nationale supérieure de chimie de Montpellier Ecole nationale supérieure de chimie de Paris Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes Ecole nationale supérieure de création industrielle Ecole nationale supérieure de formation de l’enseignement agricole Ecole nationale supérieure de l’électronique et de ses applications Ecole nationale supérieure de la police Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique de Poitiers Ecole nationale supérieure de paysage de Versailles Ecole nationale supérieure de sécurité sociale Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne Ecole nationale supérieure de techniques avancées ParisTech Ecole nationale supérieure des beaux-arts Ecole nationale supérieure des métiers de l’image et du son Ecole nationale supérieure des mines de Paris Ecole nationale supérieure des sciences agronomiques de Bordeaux Aquitaine Ecole nationale supérieure maritime Ecole nationale vétérinaire de Toulouse Ecole normale supérieure Ecole normale supérieure de Lyon Ecole normale supérieure de Paris-Saclay Ecole pratique des hautes études Etablissement d’utilité agricole inter-chambres d’agriculture Centre régional de formation aux techniques d’élevage de Poisy Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la défense Etablissement public administratif Service hydrographique et océanographique de la marine Etablissement public Cité de la céramique Sèvres et Limoges Etablissement public d’aménagement Alzette-Belval Etablissement public d’exploitation du livre foncier informatisé d’Alsace-Moselle Etablissement public de la Cité de l’architecture et du patrimoine Etablissement public de sécurité ferroviaire Etablissement public du château de Fontainebleau Etablissement public du musée des arts asiatiques Guimet Etablissement public du Musée du quai Branly – Jacques Chirac Etablissement public du palais de la Porte Dorée Etablissement public foncier de Bretagne Etablissement public foncier de Vendée Etablissement public foncier et d’aménagement de la Guyane Grande chancellerie de la Légion d’honneur Groupe des écoles nationales d’économie et statistique Groupement d’intérêt public académique pour la promotion de la formation des adultes, l’insertion professionnelle et la validation Groupement d’intérêt public Auvergne Groupement d’intérêt public Blanchisserie des Marais de Grée Groupement d’intérêt public Blanchisserie inter hospitalière de la Baie Groupement d’intérêt public Blanchisserie inter-hospitalière Périgueux, Ribérac, Sarlat Groupement d’intérêt public Blanchisserie interhospitalière Groupement d’intérêt public Blanchisserie interhospitalière Bourges-Vierzon Groupement d’intérêt public Blanchisserie interhospitalière de Saintonge Groupement d’intérêt public Blanchisserie interhospitalière du Haut Quercy -B.I.2H.Q Groupement d’intérêt public Campus de l’excellence sportive de Bretagne 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 146 Groupement d’intérêt public Concours commun Mines-Ponts Groupement d’intérêt public Cyclotron Réunion Océan Indien Groupement d’intérêt public de l’académie de Lyon Groupement d’intérêt public de restauration du Pays d’Apt Groupement d’intérêt public du Penthièvre Groupement d’intérêt public Formation continue et insertion professionnelle : EXPERIENCE Groupement d’intérêt public Formation continue et insertion professionnelle d’Aquitaine Groupement d’intérêt public Formation continue et insertion professionnelle de Bourgogne Groupement d’intérêt public Formation continue et insertion professionnelle de l’académie de Créteil Groupement d’intérêt public Formation continue et insertion professionnelle de l’académie de Versailles Groupement d’intérêt public Formation continue et Insertion professionnelle de Paris Groupement d’intérêt public Formation et certification pour l’insertion professionnelle de Toulouse Groupement d’intérêt public Formation et insertion professionnelles de l’académie de Grenoble Groupement d’intérêt public Formation et insertion professionnelles de l’académie de Nice Groupement d’intérêt public Formation tout au long de la vie Groupement d’intérêt public Formation tout au long de la vie et insertion professionnelle de l’académie d’Orléans-Tours Groupement d’intérêt public Groupement logistique des établissements de santé et médicaux-sociaux de SudRhône Groupement d’intérêt public Groupement régional des pays de la Loire pour l’élimination des déchets hospitaliers et assimilés Groupement d’intérêt public Institut de formation aux carrières administratives, sanitaires et sociales Groupement d’intérêt public Institut de formation interhospitalier Théodore Simon Groupement d’intérêt public Institut national de la transfusion sanguine Groupement d’intérêt public interhospitalier de la Drôme Provençale et du Haut Vaucluse Groupement d’intérêt public logistique interhospitalier de l’Aube Groupement d’intérêt public Organisme de gestion de l’apprentissage dans l’enseignement supérieur Groupement d’intérêt public Restauration centre hospitalier ville de Lillebonne Groupement d’intérêt public Restauration de l’Angoumois-Santé/Social Groupement d’intérêt public Restauration du Graulhétois Groupement d’intérêt public Service interhospitalier du Trégor-Goëlo Groupement d’intérêt public Synergie et mutualisation des actions de recherche en informatique de santé (Sym@ris) Groupement de Coopération Sanitaire Biologie de l’Arc Jurassien Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie des hôpitaux de Savoie Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie hospitalière de Bigorre Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie hospitalière de l’Est francilien Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie inter hospitalière de l’ouest Hérault Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie inter hospitalière de la Basse-Terre Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie inter hospitalière du grand Clermont Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie inter hospitalière Loire sud Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie inter-hospitalière Pau-Pyrénées Groupement de coopération sanitaire Blanchisserie Sud-Lorraine Groupement de coopération sanitaire Centre de traitement textile hospitalier Groupement de coopération sanitaire Corrèzien Groupement de coopération sanitaire Cuisine Bellevue-Beauregard Groupement de coopération sanitaire d’union pour le traitement du linge des établissements de santé du Hainaut Groupement de coopération sanitaire de blanchisserie à Vienne Groupement de coopération sanitaire de Bourbon-Lancy Groupement de coopération sanitaire de l’institut de formation public varois des professions de santé Groupement de Coopération Sanitaire de moyens de logistique hospitalière du Libournais et du Pays Foyen Groupement de coopération sanitaire de moyens logistiques Groupement de coopération sanitaire de Plaisir Groupement de coopération sanitaire de restauration Vienne-Beaurepaire Groupement de coopération sanitaire de Saintonge -Laboratoire interhospitalier Groupement de coopération sanitaire des CH de Lunéville – Pont-à-Mousson-Toul, du GCS de l’ouest Vosgien et du CHU de Nancy Groupement de coopération sanitaire des établissements de santé du Roannais Groupement de coopération sanitaire des Hautes Alpes 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 146 Groupement de coopération sanitaire du Chalonnais Groupement de coopération sanitaire du Nord Ouest Touraine Groupement de coopération sanitaire du pays de Retz Groupement de coopération sanitaire GCS (LBM)3 Groupement de coopération sanitaire GCS logistique et médico-technique Médilog 85 Groupement de coopération sanitaire GHT Léman Mont-Blanc Groupement de coopération sanitaire Groupement Charentais de Coopération en Radiothérapie Groupement de coopération sanitaire Groupement d’imagerie médicale de Périgueux Groupement de coopération sanitaire groupement de biologie médicale Durance Provence Groupement de coopération sanitaire groupement de coopération du CHRU et de l’UGECAM-NE pour la rééducation Groupement de coopération sanitaire Groupement hospitalier de la chirurgie de l’appareil locomoteur Groupement de coopération sanitaire groupement inter-hospitalier de médecine physique et de réadaptation des établissements vosgiens Groupement de coopération sanitaire Groupement Interhospitalier de Blanchisserie Angevin Groupement de coopération sanitaire HCL-Givors Groupement de coopération sanitaire Laboratoire interhospitalier de biologie du Quercy Groupement de coopération sanitaire Laboratoire public inter hospitalier de l’Aube-GCS de moyens Groupement de coopération sanitaire Pharmacie des établissements sanitaires et médico-sociaux du nord Franche-Comté Groupement de coopération sanitaire Pôle logistique Sud Haut-Marnais Groupement de coopération sanitaire pour l’activité de stérilisation inter hospitalière Côte d’Opale Groupement de coopération sanitaire Restauration du Nord Drôme Groupement de coopération sanitaire Sant’Estuaire Groupement de coopération sanitaire Services interhospitaliers d’Armor -SIA Groupement de coopération sanitaire Services Interhospitaliers de Lot et Garonne -SIH 47 Groupement de coopération sanitaire Stérilisation de la vallée de l’Arve Groupement de coopération sanitaire Unité de traitement inter-établissements du linge Institut d’administration des entreprises de Paris Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence Institut d’études politiques de Bordeaux Institut d’études politiques de Grenoble Institut d’études politiques de Lille Institut d’études politiques de Lyon Institut d’études politiques de Rennes Institut d’études politiques de Toulouse Institut de recherche pour le développement Institut des hautes études de défense nationale Institut national de police scientifique Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Institut national des jeunes aveugles Institut national des langues et civilisations orientales Institut national des sciences appliquées Centre-Val-de Loire Institut national des sciences appliquées de Rennes Institut national des sciences appliquées de Rouen Institut national des sciences appliquées de Strasbourg Institut national des sciences appliquées de Toulouse Institut national du Patrimoine Institut national du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle Institut national supérieur de formation et de recherche pour l’éducation des jeunes handicapés et enseignements adapté Institut national supérieur des sciences agronomiques de l’alimentation et de l’environnement (Agrosup Dijon) Institut national universitaire Jean-François Champollion Institut polytechnique de Bordeaux Institut supérieur de mécanique de Paris Musée de l’air et de l’espace Musée de l’armée Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée Musée national de la Marine 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Musée national Picasso-Paris Musée Rodin Observatoire de Paris Office national d’information sur les enseignements et les professions OIER Etablissement de l’élevage de Franche-Comté Théâtre national de Chaillot Théâtre national de l’Odéon Théâtre national de l’Opéra-comique Théâtre national de la Colline Théâtre national de Strasbourg Université d’Artois Université d’Avignon et des Pays-de-Vaucluse Université d’Evry-Val d’Essonne Université de Bordeaux III Université de Bretagne-Sud Université de Corse Université de la Guyane Université de la Réunion Université de la Rochelle Université de Lille Université de Mulhouse Université de Paris III Université de Perpignan Université de technologie de Belfort-Montbéliard Université de technologie de Compiègne Université de technologie de Troyes Université de Toulon et du Var Université des Antilles Université du Havre Université du Littoral Côte d’Opale Université du Maine Université Sorbonne Université Texte 36 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION Arrêté du 29 juin 2020 modifiant l’arrêté du 30 mai 2013 relatif aux demandes d’admission à une première inscription en première année de licence et aux modalités d’évaluation du niveau de compréhension de la langue française pour les ressortissants étrangers NOR : ESRS2014259A Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, la ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation et la ministre des outre-mer, Vu le code de l’éducation, notamment ses articles D. 612-11 à D. 612-18 ; Vu la loi de finances no 51-598 du 24 mai 1951, notamment son article 48 ; Vu l’arrêté du 30 mai 2013 modifié relatif aux demandes d’admission à une première inscription en première année de licence et aux modalités d’évaluation du niveau de compréhension de la langue française pour les ressortissants étrangers, Arrêtent : Art. 1 . – L’article 10 de l’arrêté du 30 mai 2013 susvisé est ainsi rédigé : « Art. 10. – Chacune des universités correspondant aux vœux de formation du candidat se prononce sur la demande d’admission avant le 1er juillet. Au vu des propositions d’admission reçues, le candidat fait connaître son choix définitif pour l’une des propositions avant le 10 juillet. » Art. 2. – Les dispositions du présent arrêté sont applicables dans les îles Wallis-et-Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 29 juin 2020. La ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, FRÉDÉRIQUE VIDAL Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, JEAN-YVES LE DRIAN La ministre des outre-mer, ANNICK GIRARDIN er JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 38 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA COHÉSION DES TERRITOIRES ET DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Arrêté du 25 juin 2020 pris pour l’application, en 2020, de l’article L. 1614-4 du code général des collectivités territoriales NOR : TERB2016240A Le ministre de l’action et des comptes publics et la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L. 1614-1 et L. 1614-4 ; Vu la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016 ; Vu la loi no 2015-1786 du 29 décembre 2015 de finances rectificative pour 2015 ; Vu l’arrêté du 22 mai 2014 pris pour l’application en 2014 de l’article L. 1614-4 du code général des collectivités territoriales ; Vu l’arrêté du 28 avril 2015 pris pour l’application en 2015 de l’article L. 1614-4 du code général des collectivités territoriales, Arrêtent : Art. 1 . – Le produit des impôts revenant, en 2020, aux départements des Alpes-Maritimes, de Paris et des Hauts-de-Seine est diminué au profit du fonds de compensation de la fiscalité transférée. Le montant du prélèvement à opérer est indiqué, pour chaque département, dans le tableau joint en annexe. Art. 2. – Le directeur général des finances publiques, le directeur général des collectivités locales, les directeurs départementaux des finances publiques des Alpes-Maritimes, de Paris et des Hauts-de-Seine et les préfets sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 25 juin 2020. La ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Pour la ministre et par délégation : Le sous-directeur des finances locales et de l’action économique, A. MENGUY Le ministre de l’action et des comptes publics, Pour le ministre et par délégation : Le sous-directeur par intérim, P. CHAVY er ANNEXE AJUSTEMENTS À OPÉRER RÉGULARISATIONS À OPÉRER DÉPARTEMENTS AU TITRE DE L’EXERCICE 2020 ALPES MARITIMES PARIS HAUTS DE SEINE TOTAUX AU TITRE DE L’EXERCICE 2019 AU TITRE DE L’EXERCICE 2018 TOTAL DE L’AJUSTEMENT À OPÉRER EN 2020 -21 528 746 € 0€ 0€ -21 528 746 € -122 829 454 € 0€ 0€ -122 829 454 € -6 541 068 € 0€ 0€ -6 541 068 € -150 899 268 € 0€ 0€ -150 899 268 € JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 39 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 23 juin 2020 relatif aux dispositions de l’avenant no 1 à l’accord triennal interprofessionnel 2019-2020-2021 conclu dans le cadre du conseil interprofessionnel des vins du Roussillon (CIVR) NOR : AGRT2007652A Le ministre de l’économie et des finances, le ministre de l’action et des comptes publics et le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment les articles L. 632-1 à L. 632-11, relatifs aux organisations interprofessionnelles agricoles ; Vu le décret no 2014-572 du 2 juin 2014 relatif à la reconnaissance des organisations interprofessionnelles ; Vu l’arrêté du 18 décembre 2000 modifié relatif à la reconnaissance en qualité d’organisation interprofessionnelle du conseil interprofessionnel des vins du Roussillon à appellation d’origine contrôlée ; Vu l’arrêté du 22 juin 2012 relatif au changement de dénomination du conseil interprofessionnel des vins du Roussillon à appellation d’origine contrôlée ; Vu la décision de l’assemblée générale du conseil interprofessionnel des vins du Roussillon en date du 16 décembre 2019, Arrêtent : Art. 1er. – Les dispositions de l’avenant no 1 à l’accord triennal interprofessionnel 2019-2020-2021 conclu le 16 décembre 2019 sont étendues jusqu’au 31 décembre 2021 aux viticulteurs et groupements de producteurs produisant des vins bénéficiant d’une appellation d’origine contrôlée ou d’une indication géographique protégée du ressort du CIVR et aux négociants en vins commercialisant ces appellations et indications, à l’exception : – du point 8 des conditions générales du contrat d’achat de vin à indication géographique du LanguedocRoussillon relatif aux retards de paiement ; – du point 11 des conditions générales du contrat d’achat de vin à indication géographique du LanguedocRoussillon relatif à la clause de dédit. Art. 2. – Le lien http://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-1fec974d-a381452e-b782-dc5709fd13ae permettra de consulter l’avenant étendu par le présent arrêté dès qu’il aura été publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture. Il peut également être consulté : – au ministère de l’agriculture et de l’alimentation, bureau du vin et des autres boissons, 3, rue Barbet-de-Jouy, 75349 Paris SP 07 ; – au conseil interprofessionnel des vins du Roussillon 19, avenue de Grande-Bretagne, BP 649, 66006 Perpignan Cedex. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 juin 2020. Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Pour le ministre et par délégation : L’ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, sous-direction des filières agroalimentaires, T. GUYOT 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 146 Le ministre de l’économie et des finances, Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice des produits alimentaires et des marchés agricoles et alimentaires, A. BIOLLEY-COORNAERT Le ministre de l’action et des comptes publics, Pour le ministre et par délégation : Le sous-directeur de la fiscalité douanière, Y. ZERBINI JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 40 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 23 juin 2020 modifiant l’arrêté du 20 avril 2020 relatif à l’extension de l’accord interprofessionnel pour les campagnes 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022 conclu dans le cadre du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne NOR : AGRT2011535A Le ministre de l’économie et des finances, le ministre de l’action et des comptes publics et le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment les articles L. 632-1 à L. 632-11, relatifs aux organisations interprofessionnelles agricoles ; Vu le décret no 2014-572 du 2 juin 2014 relatif à la reconnaissance des organisations interprofessionnelles ; Vu l’arrêté du 1er février 1991 relatif à la reconnaissance du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne ; Vu l’arrêté du 20 avril 2020 relatif à l’extension de l’accord interprofessionnel pour les campagnes 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022 conclu dans le cadre du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne ; Vu la décision de l’assemblée générale du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne en date du 17 avril 2019, Arrêtent : Art. 1er. – Le cinquième visa de l’arrêté du 20 avril 2020 susvisé est ainsi rédigé : « Vu la décision de l’assemblée générale du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne en date du 17 avril 2019, ». Art. 2. – L’article 1er de l’arrêté du 20 avril 2020 susvisé est ainsi rédigé : « Art. 1er. – Les dispositions de l’accord interprofessionnel pour les campagnes 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022 conclu le 17 avril 2019 dans le cadre du comité interprofessionnel du Floc de Gascogne sont étendues jusqu’au 31 juillet 2022 dans la région de production du vin d’appellation d’origine du ressort du comité interprofessionnel aux viticulteurs et groupements de viticulteurs produisant cette appellation et aux négociants commercialisant cette appellation à l’exception de : « – l’article 3 c relatif à la connaissance de la demande. » Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 juin 2020. Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Pour le ministre et par délégation : L’ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, sous-direction des filières agro-alimentaires, T. GUYOT Le ministre de l’économie et des finances, Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice des produits alimentaires et des marchés agricoles et alimentaires, A. BIOLLEY-COORNAERT 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 146 Le ministre de l’action et des comptes publics, Pour le ministre et par délégation : Le sous-directeur de la fiscalité douanière, Y. ZERBINI 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 23 juin 2020 portant reconnaissance de l’organisation de producteurs Cloche d’Or en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur du lait de chèvre NOR : AGRT2007116A Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le titre V du livre V et les articles L. 551-1, D. 551-1 à D. 551-6, D. 551-31 à D. 551-40 et D. 553-1 à D. 553-5 ; Vu la délibération de l’assemblée générale ordinaire en date du 20 décembre 2018 par laquelle l’organisation de producteurs Cloche d’Or demande la reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur du lait de chèvre ; Vu l’avis par voie électronique de la Commission nationale technique spécialisée du Conseil supérieur d’orientation et de coordination de l’économie agricole et alimentaire du 3 avril 2020, Arrête : Art. 1 . – La reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs est accordée à l’organisation de producteurs Cloche d’Or dont le siège social est situé à Pont-du-Ruan (Indre-et-Loire), sous le numéro 37 LA 2090 C, dans le secteur du lait de chèvre sur la zone sur laquelle opèrent les membres de l’organisation de producteurs. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice Compétitivité, M. TESTUT-NEVES er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 23 juin 2020 relatif à la société coopérative agricole (SCA) ALLIANCE PORCI D’OC et modifiant l’arrêté du 23 décembre 1993 portant reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur porcin NOR : AGRT2013346A Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le titre V du livre V et les articles L. 551-1, D. 551-1 à D. 551-6, D. 551-18 à D. 551-30 et D. 553-1 à D. 553-5 ; Vu l’arrêté du 23 décembre 1993 modifié portant reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur porcin de la société coopérative agricole ALLIANCE PORCI D’OC ; Vu le procès-verbal du conseil d’administration en date du 17 janvier 2019 par lequel la SCA ALLIANCE PORCI D’OC sollicite l’extension de sa zone géographique de reconnaissance à la suite de l’adhésion de la SCA des productions et élevages La Quercynoise (CAPEL) ; Vu le procès-verbal du conseil d’administration en date du 6 décembre 2018 par lequel la SCA CAPEL valide le projet d’adhésion et d’engagement de sa structure au sein de la SCA ALLIANCE PORCI D’OC pour son activité porcine ; Vu l’avis par voie électronique de la commission nationale technique spécialisée du Conseil supérieur d’orientation et de coordination de l’économie agricole et alimentaire du 19 juin 2020, Arrête : Art. 1 . – La reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs est accordée à la SCA ALLIANCE PORCI D’OC dont le siège social est situé à Sainte-Radegonde (Aveyron), sous le numéro 12 - 72 - 1265, dans le secteur porcin sur la zone sur laquelle opèrent les membres de l’organisation de producteurs. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice Compétitivité, M. TESTUT-NEVES er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 23 juin 2020 portant retrait de la reconnaissance de la société coopérative agricole (SCA) des productions et élevages La Quercynoise (CAPEL) en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur porcin NOR : AGRT2013530A Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le titre V du livre V et les articles L. 553-1, D. 551-1 à D. 551-6, D. 551-18 à D. 551-30 et D. 553-1 à D. 553-5 ; Vu l’arrêté du 3 avril 2012 relatif à la reconnaissance d’une organisation de producteurs dans le secteur porcin ; Vu le procès-verbal du conseil d’administration en date du 6 décembre 2018 par lequel la SCA CAPEL valide le projet d’adhésion et d’engagement de sa structure au sein de la SCA ALLIANCE PORCI D’OC pour son activité porcine ; Vu le procès-verbal du conseil d’administration en date du 17 janvier 2019 par lequel la SCA ALLIANCE PORCI D’OC sollicite l’extension de sa zone géographique de reconnaissance à la suite de l’adhésion de la SCA CAPEL ; Vu l’avis par voie électronique de la commission nationale technique spécialisée du Conseil supérieur d’orientation et de coordination de l’économie agricole et alimentaire du 19 juin 2020, Arrête : Art. 1 . – La reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs accordée à la SCA des productions et élevages La Quercynoise, dite CAPEL, dont le siège social est situé à Cahors (département du Lot) sous le numéro 46-72-1435 dans le secteur porcin est retirée. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice Compétitivité, M. TESTUT-NEVES er JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 44 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 23 juin 2020 relatif à l’association Les Fruitiers Dauphinois et modifiant l’arrêté du 8 novembre 2006 portant reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur des fruits et légumes NOR : AGRT2014046A Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le règlement (UE) no 543/2011 de la Commission du 7 juin 2011 portant modalités d’application du règlement (UE) no 1308/2013 en ce qui concerne le secteur des fruits et légumes et des fruits et légumes transformés ; Vu le règlement délégué (UE) 2017/891 de la Commission du 13 mars 2017 complétant le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les secteurs des fruits et légumes et des produits transformés à base de fruits et légumes ainsi que le règlement (UE) no 1306/2013 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les sanctions à appliquer dans ces secteurs et modifiant le règlement d’exécution (UE) no 543/2011 de la Commission ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le titre V du livre V et les articles L. 551-1, D.551-1 à D. 551-17 et D. 553-1 à D. 553-5 ; Vu l’arrêté du 8 novembre 2006 portant reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur des fruits et légumes ; Vu le procès-verbal du conseil d’administration en date du 28 octobre 2019 par lequel l’association Les Fruitiers Dauphinois décide du recentrage de sa reconnaissance sur la catégorie des fruits et la mise à jour de la rédaction relative à sa zone géographique de reconnaissance ; Vu l’avis par voie électronique de la commission nationale technique spécialisée du Conseil supérieur d’orientation et de coordination de l’économie agricole et alimentaire du 19 juin 2020, Arrête : Art. 1er. – L’arrêté du 8 novembre 2006 susvisé est modifié ainsi : La reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs est accordée à l’association Les Fruitiers Dauphinois dont le siège social est situé à Chanas (Isère), sous le numéro 38 FL 2380, dans le secteur des fruits sur la zone sur laquelle opèrent les membres de l’organisation de producteurs. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice Compétitivité, M. TESTUT-NEVES 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 25 juin 2020 autorisant au titre de l’année 2020 l’ouverture d’un recrutement sans concours en échelle C1 d’adjoints techniques des administrations de l’Etat au ministère de l’agriculture et de l’alimentation NOR : AGRS2015521A Par arrêté du ministre de l’agriculture et de l’alimentation en date du 25 juin 2020, est autorisée au titre de l’année 2020 l’ouverture d’un recrutement sans concours en échelle C1 d’adjoints techniques des administrations de l’Etat au ministère de l’agriculture et de l’alimentation. Le nombre total de places offertes est fixé à une. Cette place est offerte dans la branche d’activité « techniques agricoles ». Ce recrutement est réalisé conformément aux dispositions relatives aux recrutements sans concours prévues aux articles 3-2 à 3-4 du décret no 2016-580 du 11 mai 2016 modifié relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires de catégorie C dans la fonction publique de l’Etat. Il est destiné à pourvoir un poste d’inspection en abattoir à la direction des territoires, de l’alimentation et de la mer à Saint-Pierre-et-Miquelon. Le modèle de dossier de candidature est téléchargeable sur le site internet à l’adresse suivante : https://www. concours.agriculture.gouv.fr. Les inscriptions auront lieu à partir du 2 juillet 2020. La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 31 juillet 2020 (cachet de la poste faisant foi). Les dossiers de candidature sont à adresser par voie postale à : direction des territoires, de l’alimentation et de la mer, secrétariat général - unité ressources humaines et formation, boulevard Constant-Colmay, BP 4217, 97500 Saint-Pierre-et-Miquelon. La commission de sélection se réunira à partir du 3 septembre 2020 afin de sélectionner les dossiers des candidats qui seront retenus pour l’entretien. L’audition des candidats retenus pour cet entretien se déroulera à Saint-Pierre-et-Miquelon à partir du 15 septembre 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 25 juin 2020 modifiant l’arrêté du 25 mars 2020 fixant au titre de l’année 2020 le contingent d’emplois offerts aux militaires candidats à des emplois civils NOR : AGRS2016532A Par arrêté du ministre de l’agriculture et de l’alimentation en date du 25 juin 2020, l’article 1er de l’arrêté du 25 mars 2020 fixant au titre de l’année 2020 le contingent d’emplois offerts aux militaires candidats à des emplois civils est ainsi modifié : « 4 emplois de secrétaire administratif ». JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 47 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 26 juin 2020 relatif aux dispositions des bordereaux de confirmation d’achat en vrac avec retiraison en vrac et d’achat en vrac avec retiraison en bouteilles annexés à l’accord interprofessionnel triennal 2017-2020 conclu le 18 décembre 2017 dans le cadre du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux NOR : AGRT2011496A Le ministre de l’économie et des finances, le ministre de l’action et des comptes publics et le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant organisation commune des marchés des produits agricoles ; Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment les articles L. 632-1 à L. 632-11, relatifs aux organisations interprofessionnelles agricoles ; Vu la loi no 48-1284 du 18 août 1948 modifiée, relative à la création du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux ; Vu le décret no 2014-572 du 2 juin 2014 relatif à la reconnaissance des organisations interprofessionnelles ; Vu le décret no 66-866 du 18 novembre 1966 modifié portant réorganisation du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux ; Vu l’arrêté du 3 juin 2014 relatif à la reconnaissance en qualité d’organisation interprofessionnelle du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) ; Vu l’avis du 15 septembre 2017 relatif à l’extension des dispositions de l’accord interprofessionnel triennal 2017-2020 conclu dans le cadre du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux et relatif à l’organisation économique du marché ; Vu la délibération de l’assemblée générale du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux, en date du 18 décembre 2017 ; Vu la décision no 424055 du Conseil d’Etat en date du 18 mars 2020, Arrêtent : Art. 1er. – Les dispositions des bordereaux de confirmation d’achat en vrac avec retiraison en vrac et d’achat en vrac avec retiraison en bouteilles annexés à l’accord interprofessionnel triennal 2017-2020 conclu le 18 décembre 2017 dans le cadre du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux sont étendues du 16 mars 2018 au 31 juillet 2020 aux viticulteurs et groupements de producteurs produisant des vins bénéficiant d’une appellation d’origine contrôlée du ressort du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux et aux négociants en vins commercialisant ces appellations. Art. 2. – Le lien http://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-1d4945ee-858c4cfe-84ac-a8230086f1ff permettra de consulter l’accord étendu par le présent arrêté dès qu’il aura été publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture. Il peut également être consulté : – au ministère de l’agriculture et de l’alimentation, bureau du vin et des autres boissons, 3, rue Barbet-de-Jouy, 75349 Paris SP 07 ; – au siège conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux, 1, cours du XXX-Juillet, 33075 Bordeaux Cedex. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 26 juin 2020. Le ministre de l’agriculture et de l'alimentation, Pour le ministre et par délégation : L'ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, sous-direction filières agroalimentaires, T. GUYOT 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 146 Le ministre de l'économie et des finances, Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice des produits alimentaires et des marchés agricoles et alimentaires, A. BIOLLEY-COORNAERT Le ministre de l’action et des comptes publics, Pour le ministre et par délégation : Le sous-directeur de la fiscalité douanière, Y. ZERBINI 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES PREMIER MINISTRE Décision du 1er juillet 2020 portant désignation d’officiers de sécurité des systèmes d’information NOR : PRMD2015385S La secrétaire générale de la défense et de la sécurité nationale, Vu le code de la défense, notamment ses articles R. 1143-1 et R. 1143-5 ; Vu le décret no 2012-383 du 20 mars 2012 modifié relatif aux attributions du haut fonctionnaire de défense et de sécurité auprès du Premier ministre, notamment son article 1er ; Vu l’arrêté du 30 novembre 2011 portant approbation de l’instruction générale interministérielle no 1300 sur la protection du secret de la défense nationale, notamment les articles 12 et 86 de son annexe ; Vu l’arrêté du 19 mars 2015 modifié portant désignation des autorités qualifiées pour la sécurité des systèmes d’information dans les services du Premier ministre, Décide : Art. 1 . – M. Jean-Paul BAUDIC, attaché principal d’administration, et M. Stéphane GOBERT, agent contractuel, sont nommés respectivement officier de sécurité des systèmes d’information et officier de sécurité adjoint des systèmes d’information pour le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale, l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information, l’opérateur des systèmes d’information interministériels classifiés, l’Institut des hautes études de la défense nationale, l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice et l’académie du renseignement. Art. 2. – M. Mathieu THUAIRE, agent contractuel, est nommé officier de sécurité des systèmes d’information pour le groupement interministériel de contrôle. Art. 3. – Les personnes mentionnées aux articles 1er et 2 exercent les attributions prévues au 2 de l’article 86 de l’annexe à l’arrêté du 30 novembre 2011 susvisé. Elles sont placées au titre de leurs fonctions d’officier de sécurité des systèmes d’information sous l’autorité hiérarchique du secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale en sa qualité d’autorité qualifiée pour la sécurité des systèmes d’information. Art. 4. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 1er juillet 2020. C. LANDAIS er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant mise en disponibilité (magistrature) NOR : JUSB2009006D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, vu l’avis du Conseil supérieur de la magistrature lors de sa séance du 20 février 2020, Mme Nelly GIFFARD, vice-présidente chargée des fonctions de juge des libertés et de la détention au tribunal judiciaire de Périgueux, est placée sur sa demande, en position de disponibilité sur le fondement du 2o de l’article 47 du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 modifié, relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter du 7 juin 2020 et jusqu’au 6 juin 2021. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) NOR : JUSB2012538D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, Mme Brigitte ERNOULT-CABOT, magistrate hors-hiérarchie, est maintenue en position de détachement afin d’occuper l’emploi de directrice, adjointe au directeur de l’administration pénitentiaire, au sein de la direction de l’administration pénitentiaire à l’administration centrale du ministère de la justice, pour une durée de deux ans, à compter du 25 juin 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en disponibilité (magistrature) NOR : JUSB2014370D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, Mme Catherine JOLY, magistrate du premier grade, est maintenue sur sa demande en position de disponibilité, sur le fondement du 1o de l’article 47 du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 modifié, relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter du 3 juillet 2020 et jusqu’au 2 juillet 2023. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) NOR : JUSB2014622D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, M. Charles MOYNOT, magistrat du premier grade, est maintenu en position de détachement auprès de la chambre régionale des comptes Nouvelle-Aquitaine, pour exercer les fonctions de procureur financier, à compter du 1er juillet 2020 et jusqu’au 30 juin 2021. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) NOR : JUSB2014640D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, Mme Audrey FARRUGIA, magistrate du premier grade, est maintenue en position de détachement auprès de l’administration centrale du ministère de la justice, afin d’occuper l’emploi de sous-directrice de l’insertion et de la probation au sein du service des métiers de la direction de l’administration pénitentiaire, pour une durée de deux ans, à compter du 17 juin 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant maintien en détachement (magistrature) NOR : JUSB2015186D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, Mme Charlotte HEMMERDINGER, magistrate du premier grade, est maintenue en position de détachement auprès de l’administration centrale du ministère de la justice, afin d’occuper l’emploi de sous-directrice, directrice du service à compétence nationale « Service national du renseignement pénitentiaire » au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, pour une durée de deux ans, à compter du 17 juin 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret du 2 juillet 2020 portant nomination du président du conseil d’administration de l’Agence publique pour l’immobilier de la justice NOR : JUST2015914D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, M. Xavier LEFORT, conseiller-maître à la Cour des comptes, secrétaire général de la Cour des comptes, est nommé président du conseil d’administration de l’Agence publique pour l’immobilier de la justice, à compter du 1er juillet 2020, pour une durée de trois ans. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Arrêté du 23 juin 2020 portant radiation des cadres et admission à la retraite (magistrature) NOR : JUSB2015824A Par arrêté de la garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 23 juin 2020, Mme Roselyne NEMOZBENILAN, conseillère à la cour d’appel de Paris, atteinte par la limite d’âge le 19 avril 2019, autorisée sur sa demande à prolonger son activité, en application des dispositions de l’article 69 de la loi no 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites, est radiée des cadres de la magistrature le 31 août 2020 et admise à faire valoir ses droits à la retraite. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Arrêté du 23 juin 2020 portant admission à la retraite (magistrature) NOR : JUSB2015841A Par arrêté de la garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 23 juin 2020, Mme Marie-Christine MASSUET-FAYE, conseillère à la cour d’appel de Versailles, est admise, par limite d’âge, à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 14 octobre 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Arrêté du 23 juin 2020 portant radiation des cadres et admission à la retraite (magistrature) NOR : JUSB2015845A Par arrêté de la garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 23 juin 2020, Mme Sylvie PARISOT, viceprocureure au tribunal judiciaire de Montpellier, atteinte par la limite d’âge le 5 juillet 2018, autorisée sur sa demande à prolonger son activité, en application des dispositions de l’article 69 de la loi no 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites, est radiée des cadres de la magistrature le 1er octobre 2020 et admise à faire valoir ses droits à la retraite. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA JUSTICE Arrêté du 1er juillet 2020 portant réintégration et détachement (Conseil d’Etat) NOR : JUSE2012676A Par arrêté du Premier ministre et de la garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 1er juillet 2020, Mme Marianne LAIGNEAU, conseillère d’Etat, placée dans la position de détachement, est réintégrée au Conseil d’Etat dans ses fonctions et à son rang, à compter du 9 février 2020. Mme Marianne LAIGNEAU, conseillère d’Etat, est placée dans la position de détachement, auprès de la société ENEDIS S.A, pour la période du 9 février 2020 au 10 janvier 2023, afin d’exercer les fonctions de présidente du directoire. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 4 juin 2020 portant démission d’office d’un conseiller consulaire à Tanger (Maroc) NOR : EAEF2013998A Par arrêté du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 4 juin 2020, M. Mohamed OULKHOUIR est déclaré démissionnaire d’office en tant que conseiller consulaire. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : EAEA2011659A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 1er juillet 2020, M. Eric GERARD, conseiller des affaires étrangères hors classe, est nommé chef de service à l’administration centrale du ministère de l’Europe et des affaires étrangères pour exercer les fonctions de directeur de la sécurité diplomatique, à compter du 1er août 2020, pour une durée de trois ans, avec une période probatoire de six mois. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : EAEA2011978A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 1er juillet 2020, sont renouvelés dans leurs fonctions les sous-directeurs suivants à l’administration centrale du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, pour une durée de trois ans : M. Jean-Baptiste FAIVRE, conseiller des affaires étrangères hors classe (cadre d’Orient), en qualité de sousdirecteur, directeur adjoint à la direction d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (groupe A), à compter du 1er août 2020 ; M. Florian ESCUDIÉ, conseiller des affaires étrangères (cadre d’Orient), en qualité de sous-directeur des affaires stratégiques et de la cybersécurité (groupe B) à la direction des affaires stratégiques, de sécurité et du désarmement, à compter du 10 août 2020 ; M. Yannick TAGAND, conseiller des affaires étrangères (cadre d’Orient), en qualité de sous-directeur d’Egypte-Levant (groupe B) à la direction d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, à compter du 10 août 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : EAEA2012661A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 1er juillet 2020, M. Frédéric MONDOLONI, conseiller des affaires étrangères hors classe, est renouvelé dans ses fonctions de chef de service à l’administration centrale du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, au sein de la direction générale des affaires politiques et de sécurité, pour exercer les fonctions de directeur de l’Europe continentale, pour une durée de deux ans, à compter du 1er août 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : EAEA2013645A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 1er juillet 2020, M. Thierry Mathou, conseiller des affaires étrangères hors classe, est renouvelé dans ses fonctions de chef de service à l’administration centrale du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, pour exercer les fonctions de directeur d’Asie et d’Océanie au sein de la direction générale des affaires politiques et de sécurité, pour une durée de trois ans, à compter du 1er août 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : EAEA2016500A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 1er juillet 2020, M. Philippe BERTOUX, conseiller des affaires étrangères hors classe, est nommé chef de service à l’administration centrale du ministère de l’Europe et des affaires étrangères pour exercer les fonctions de directeur des affaires stratégiques, de sécurité et du désarmement, à compter du 13 juillet 2020, pour une durée de trois ans, avec une période probatoire de six mois. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DES ARMÉES Décret du 2 juillet 2020 portant nomination du président du conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne NOR : ARMA2016225D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, M. Jean-Georges MALCOR est nommé président du conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DES ARMÉES Arrêté du 25 juin 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées NOR : ARMA2016350A Par arrêté de la ministre des armées en date du 25 juin 2020, M. Thierry PELLÉ, chef du département du contrôle budgétaire près le ministère des armées, est reconduit dans ses fonctions de membre du conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées en qualité de représentant du ministre chargé du budget. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DES ARMÉES Arrêté du 25 juin 2020 portant nomination au choix au grade d’infirmier de catégorie A hors classe du ministère des armées au titre de l’année 2020 NOR : ARMH2016385A Par arrêté de la ministre des armées en date du 25 juin 2020, Mme Catherine CARBON, née LAFORET, est nommée au choix au grade d’infirmier de catégorie A hors classe du ministère des armées, à compter du 1er janvier 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : TREK2011371A Par arrêté du Premier ministre, de la ministre de la transition écologique et solidaire et de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales en date du 1er juillet 2020, Mme Magali AUFAN, administratrice civile hors classe, est renouvelée dans les fonctions de sous-directrice des affaires générales, au sein du service des affaires générales et de la performance de la direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature, à l’administration centrale du ministère de la transition écologique et solidaire et du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, pour une durée de trois ans, à compter du 15 juillet 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : TREK2014684A Par arrêté du Premier ministre et de la ministre de la transition écologique et solidaire en date du 1er juillet 2020, Mme Elise TEXIER, administratrice civile hors classe, est renouvelée dans les fonctions de sous-directrice du travail et des affaires sociales, au sein de la direction des services de transport de la direction générale des infrastructures, des transports et de la mer, à l’administration centrale du ministère de la transition écologique et solidaire, pour une durée de deux ans, à compter du 1er août 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ Arrêté du 30 juin 2020 portant nomination de la directrice du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante NOR : SSAS2010898A Par arrêté du ministre des solidarités et de la santé et du ministre de l’action et des comptes publics en date du 30 juin 2020, Mme Pascale ROMENTEAU est reconduite dans les fonctions de directrice du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante, pour une durée de deux ans. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : ECOP2012806A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’économie et des finances en date du 1er juillet 2020, M. Bruno VINCENT, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, est renouvelé dans l’emploi de sous-directeur, directeur de participations « énergie » au sein du service à compétence nationale « Agence des participations de l’Etat », à l’administration centrale du ministère de l’économie et des finances, pour une durée de trois ans, à compter du 1er août 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL Arrêté du 29 juin 2020 portant nomination du commissaire du Gouvernement au conseil d’administration de l’opérateur de compétences Cohésion sociale NOR : MTRD2013587A Par arrêté de la ministre du travail en date du 29 juin 2020, est nommé commissaire du Gouvernement au conseil d’administration de l’opérateur de compétences Cohésion sociale : M. Tuan NGUYEN, en remplacement de M. Pascal FOUCART. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE Décret du 1er juillet 2020 portant nomination de directeurs académiques des services de l’éducation nationale NOR : MENH2013597D Par décret du Président de la République en date du 1er juillet 2020 : Mme Catherine ALBARIC-DELPECH, directrice académique adjointe des services de l’éducation nationale de Seine-Saint-Denis (groupe III), est nommée directrice académique des services de l’éducation nationale des Hautes-Alpes (groupe II), en remplacement de M. Philippe MAHEU, appelé à d’autres fonctions, à compter du 1er juillet 2020, pour une durée de quatre ans, avec une période probatoire de six mois. M. Vincent STANEK, inspecteur général de l’éducation, du sport et de la recherche de 1re classe, est nommé directeur académique des services de l’éducation nationale des Bouches-du-Rhône (groupe I), en remplacement de M. Dominique BECK, admis à faire valoir ses droits à pension, à compter du 24 août 2020, pour une durée de quatre ans, avec une période probatoire de six mois. M. Laurent BLANES, directeur académique adjoint des services de l’éducation nationale de l’Essonne (groupe III), est nommé directeur académique des services de l’éducation nationale du Morbihan (groupe II), en remplacement de Mme Françoise FAVREAU, admise à faire valoir ses droits à pension, à compter du 1er septembre 2020, pour une durée de quatre ans, avec une période probatoire de six mois. Mme Guylène ESNAULT, inspectrice d’académie-inspectrice pédagogique régionale hors classe, est nommée directrice académique des services de l’éducation nationale du Finistère (groupe I), en remplacement de Mme Caroline LOMBARDI-PASQUIER, admise à faire valoir ses droits à pension, à compter du 1er septembre 2020, pour une durée de quatre ans, avec une période probatoire de six mois. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Arrêté du 1er juillet 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : CPAP2015185A Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’action et des comptes publics en date du 1er juillet 2020, M. Adrien FRIEZ, administrateur hors classe de l’Institut national de la statistique et des études économiques, est nommé sous-directeur des études, des statistiques et des systèmes d’information à la direction générale de l’administration et de la fonction publique, à l’administration centrale du ministère de l’action et des comptes publics, à compter du 6 juillet 2020, pour une durée de trois ans avec une période probatoire de six mois. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Décret du 2 juillet 2020 portant nomination du sous-préfet de Lesparre-Médoc - M. LAGARDE (Lionel) NOR : INTA2014290D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, M. Lionel LAGARDE, administrateur civil détaché en qualité de sous-préfet, directeur de cabinet de la préfète de la Charente, est nommé sous-préfet de Lesparre-Médoc. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Décret du 2 juillet 2020 portant cessation de fonctions du sous-préfet de Rambouillet (classe fonctionnelle III) - M. HEUZÉ (Michel) NOR : INTA2015844D Par décret du Président de la République en date du 2 juillet 2020, il est mis fin, à sa demande, aux fonctions de sous-préfet de Rambouillet (classe fonctionnelle III) exercées par M. Michel HEUZÉ, commissaire divisionnaire de la police nationale détaché en qualité de sous-préfet hors classe. Il sera réintégré dans son corps d’origine. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Arrêté du 4 juin 2020 portant admission à la retraite NOR : INTC2016383A Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 4 juin 2020, est admis, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite M. Philippe SALAGNAC, commissaire divisionnaire de police de la police nationale, à compter du 1er septembre 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Arrêté du 4 juin 2020 portant admission à la retraite NOR : INTC2016386A Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 4 juin 2020, est admis, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite M. Pascal DELATTRE, commissaire divisionnaire de police de la police nationale, à compter du 1er septembre 2020. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA COHÉSION DES TERRITOIRES ET DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Arrêté du 29 juin 2020 portant nomination au sein du Conseil national d’évaluation des normes NOR : TERB2015409A Par arrêté de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales en date du 29 juin 2020, sont désignés en tant que représentants du ministre chargé des collectivités territoriales au sein du Conseil national d’évaluation des normes : Mme Nathalie VALLEIX, directrice de cabinet du directeur général des collectivités locales, en qualité de membre suppléant de M. Stanislas BOURRON, directeur général des collectivités locales, en remplacement de Mme Cécile RAQUIN. M. Arnaud MENGUY, sous-directeur des finances locales et de l’action économique à la direction générale des collectivités locales, en qualité de membre titulaire, en remplacement de Mme Eve PERENNEC-SEGARRA appelée à d’autres fonctions, ainsi que sa suppléante, Mme Claudie CALABRIN, chef du bureau de la stratégie, de la contractualisation et de l’évaluation à la direction générale des collectivités locales, en remplacement de M. Stéphane BRUNOT. M. Olivier LAIGNEAU, chef de bureau du financement des transferts de compétences à la direction générale des collectivités locales, en qualité de membre titulaire, en remplacement de M. Gabor ARANY appelé à d’autres fonctions, ainsi que sa suppléante, Mme Julie DELAIDDE, chef du bureau des statuts et de la réglementation des personnels territoriaux à la direction générale des collectivités locales, en remplacement de Mme Anne-Sophie PERON. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires MESURES NOMINATIVES MINISTÈRE DE LA COHÉSION DES TERRITOIRES ET DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Décret du 1er juillet 2020 portant nomination au comité des finances locales institué par l’article L. 1211-1 du code général des collectivités territoriales NOR : COTB2014883D Par décret en date du 1er juillet 2020, sont désignés, en application de l’article L. 1211-2 du code général des collectivités territoriales, au comité des finances locales : Mme Béatrice MARCHAL, adjointe au chef du bureau des budgets locaux et de l’analyse financière à la direction générale des collectivités locales au ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, en qualité de représentante de l’Etat au comité des finances locales, en remplacement de Mme Cécile RAQUIN, appelée à d’autres fonctions ; Mme Adeline LATIGE, adjointe au chef du bureau de la fiscalité locale à la direction générale des collectivités locales au ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, en qualité de suppléante de M. Stanislas BOURRON, en remplacement de M. Gabor ARANY, appelé à d’autres fonctions ; M. Stéphane BRUNOT, directeur, adjoint au directeur général des collectivités locales au ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, en qualité de suppléant de Mme Béatrice MARCHAL, en remplacement de Mme Eve PERENNEC-SEGARRA, appelée à d’autres fonctions ; M. Olivier LAIGNEAU, chef du bureau du financement des transferts de compétences à la direction générale des collectivités locales au ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, en qualité de suppléant de M. Faustin GADEN, en remplacement de Mme Lucile JOSSE, appelée à d’autres fonctions. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL Arrêté du 5 juin 2020 portant extension d’un accord régional (Bretagne) conclu dans le cadre d’un accord national professionnel conclu dans le secteur du bâtiment et des travaux publics NOR : MTRT2014112A La ministre du travail et le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le code du travail, notamment ses articles L. 133-1 et suivants ; Vu l’arrêté du 3 mai 2005 portant extension de l’accord du 13 juillet 2004 « maître d’apprentissage, formation, certification, charte, indemnisation » conclu dans le secteur du bâtiment et des travaux publics ; Vu l’accord régional (Bretagne) du 11 décembre 2019 relatif à l’indemnisation des maîtres d’apprentissage confirmés, conclu dans le cadre de l’accord national professionnel susvisé ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 22 février 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrêtent : Art. 1 . – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de l’accord national professionnel du 13 juillet 2004 relatif au maître d’apprentissage (formation – certification – charte – indemnisation), conclu dans le secteur du bâtiment et des travaux publics, et dans son propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord régional (Bretagne) du 11 décembre 2019 relatif à l’indemnisation des maîtres d’apprentissage confirmés, conclu dans le cadre de l’accord national professionnel susvisé. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé est faite à dater de la publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le directeur général du travail, au ministère du travail, et le directeur des affaires financières, sociales et logistiques, au ministère de l’agriculture et de l’alimentation, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 5 juin 2020. La ministre du travail, Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, Y. STRUILLOU Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Pour le ministre et par délégation : Le directeur des affaires financières, sociales et logistiques, C. LIGEARD er Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/6, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL Avis relatif à l’extension d’un avenant à la convention collective nationale du sport NOR : MTRT2016280V En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les stipulations de l’avenant ci-après indiqué. Cet avenant pourra être consulté en direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de huit jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère du travail (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai AndréCitroën, 75902 Paris Cedex 15. Dans un délai de huit jours, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail. Texte dont l’extension est envisagée : Avenant du 3 juin 2020. Dépôt : Direction générale du travail au ministère du travail. Objet : Prolongation de l’accord de méthode relatif à l’organisation du dialogue social pendant la période de la crise sanitaire due à l’épidémie de Covid-19. Signataires : Conseil national des employeurs d’avenir (CNEA). Conseil social du mouvement sportif (CoSMoS). Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT et à la CGT. Fédération nationale des syndicats de sportifs – FNASS. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL Avis relatif à l’extension d’un avenant à un accord interbranches instituant des garanties collectives de prévoyance au profit des salariés intermittents du spectacle NOR : MTRT2016358V En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les stipulations de l’avenant ci-après indiqué. Cet avenant pourra être consulté en direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère du travail (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai AndréCitroën, 75902 Paris Cedex 15. Dans un délai d’un mois, les organisations d’employeurs reconnues représentatives au niveau de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail. Texte dont l’extension est envisagée : Avenant no 6 du 11 mai 2020 à l’accord du 20 décembre 2006. Dépôt : Direction générale du travail au ministère du travail. Objet : Garanties collectives de prévoyance. Signataires : Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma. Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT, à la CGT, à la CFTC, à la CFE-CGC et à la CGT-FO. JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 85 sur 146 Décrets, arrêtés, circulaires CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION Arrêté du 24 juin 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale de travail concernant les entreprises d’accouvage et de sélection avicoles NOR : AGRS2015996A Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le code du travail et notamment les articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 ; Vu l’arrêté du 26 juin 1975 portant extension de la convention collective nationale de travail concernant les entreprises d’accouvage et de sélection avicoles et les arrêtés successifs portant extension des avenants à ladite convention ; Vu l’avenant du 19 septembre 2019 à la convention susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis relatif à l’extension publié au Journal officiel du 30 avril 2020 ; Vu l’avis motivé de la sous-commission agricole des conventions et accords de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle du 4 juin 2020 ; Vu l’accord donné par la ministre du travail, Arrête : Art. 1er. – Les dispositions de l’avenant no 90 du 19 septembre 2019 à la convention collective nationale de travail du 2 avril 1974 concernant les entreprises d’accouvage et de sélection avicoles sont rendues obligatoires pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel et territorial de ladite convention. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant visé à l’article 1er est faite à dater de la publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le directeur des affaires financières, sociales et logistiques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 juin 2020. Pour le ministre et par délégation : Le sous-directeur du travail et de la protection sociale, O. CUNIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel des conventions collectives, (agriculture) no 2020/15, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 86 sur 146 Autorité nationale des jeux Décision no 2020-010 du 23 juin 2020 portant adoption du règlement intérieur de l’Autorité nationale des jeux NOR : ARJJ2016411S Le collège de l’Autorité nationale des jeux, Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires ; Vu la loi no 2010-476 du 12 mai 2010 modifiée relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne ; Vu la loi no 2013-907 du 11 octobre 2013 modifiée relative à la transparence de la vie politique ; Vu la loi no 2016-1691 du 9 décembre 2016 modifiée relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique ; Vu la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017 portant statut général des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes ; Vu le décret 86-83 du 17 janvier 1986 modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non titulaires de l’Etat pris pour l’application de l’article 7 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat ; Vu le décret no 2013-1212 du 23 décembre 2013 modifié relatif aux déclarations de situation patrimoniale et déclarations d’intérêts adressées à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique ; Vu le décret no 2014-90 du 31 janvier 2014 portant application de l’article 2 de la loi no 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique ; Vu le décret no 2014-747 du 1er juillet 2014 modifié relatif à la gestion des instruments financiers détenus par les membres du Gouvernement et par les présidents et membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes intervenant dans le domaine économique ; Vu le décret no 2014-1627 du 26 décembre 2014 relatif aux modalités d’organisation des délibérations à distance des instances administratives collégiales ; Vu le décret no 2017-519 du 10 avril 2017 relatif au référent déontologue dans la fonction publique ; Vu le décret no 2017-564 du 19 avril 2017 relatif aux procédures de recueil des signalements émis par les lanceurs d’alerte au sein des personnes morales de droit public ou de droit privé ou des administrations de l’Etat ; Vu le décret no 2020-69 du 30 janvier 2020 relatif aux contrôles déontologiques dans la fonction publique ; Vu le décret no 2020-173 du 27 février 2020 relatif aux modalités de rémunération des membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes : Vu le décret no 2020-199 du 4 mars 2020 relatif à l’organisation et au fonctionnement de l’Autorité nationale des jeux ; Vu l’arrêté du 27 février 2020 pris en application du décret no 2020-173 du 27 février 2020 relatif aux modalités de rémunération des membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes ; Après en avoir délibéré le 23 juin 2020, Décide : Art. 1er. – Le titre I du règlement intérieur de l’Autorité nationale des jeux figurant en annexe est adopté. Art. 2. – Le projet de titre II du règlement intérieur de l’Autorité nationale des jeux figurant en annexe est soumis à l’avis du comité technique. Art. 3. – Le directeur général de l’autorité est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal officiel et sur le site internet de l’autorité. Fait à Paris, le 23 juin 2020. La présidente de l’Autorité nationale des jeux, I. FALQUE-PIERROTIN JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 ANNEXE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE L’AUTORITÉ NATIONALE DES JEUX Table des matières er TITRE I . – LE COLLÈGE Chapitre 1er. – Les membres du collège Section 1. – Déontologie des membres du collège Article 1er. – Principe général Article 2. – Indépendance et impartialité Article 3. – Secret et discrétion professionnels Article 4. – Devoir de réserve Article 5. – Conflits d’intérêts Article 6. – Prise illégale d’intérêts Article 7. – Gestion des instruments financiers détenus Article 8. – Utilisation d'une information privilégiée Article 9. – Incompatibilités Article 10. – Obligations déclaratives Article 11. – Cadeaux, invitations et voyages Section 2. – Indemnités et frais Article 13. – Indemnisation des membres du collège Article 14. – Frais Section 3. – Cessation des fonctions des membres du collège Article 15. – Révocation ou suspension des membres du collège Article 16. – Proposition de nomination d’un membre du collège Chapitre 2 – Le fonctionnement du collège Article 17. – Convocation du collège Article 18. – Ordre du jour Article 19. – Déport d’un membre du collège Article 20. – Déroulement des séances du collège Article 21. – Délibérations du collège Article 22. – Secrétariat du collège Article 23. – Publicité Article 24. – Rapport annuel Chapitre 3. – Les commissions consultatives permanentes Article 25. – Compétence des commissions Article 26. – Indemnisation des membres des commissions Article 27. – Convocation des commissions Article 28. – Secrétariat Article 29. – Déroulement des séances Article 32. – Compte-rendu des travaux des commissions TITRE II. – LA DÉONTOLOGIE DES AGENTS Article 33. – Secret professionnel Article 34. – Discrétion professionnelle Article 35. – Devoir de réserve Article 36. – Impartialité Article 37. – Conflit d’intérêts Article 38. – Déclaration à la HATVP Article 39. – Utilisation d’une information privilégiée Article 40. – Cadeaux, invitations et voyages Article 41. – Interdiction d’engagement de mises Article 42. – Exercice d’une activité accessoire Article 43. – Cessation des fonctions Article 44. – Référent déontologue Article 45. – Enquêteurs Article 46. – Représentants d’intérêts Texte 86 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 TITRE Ier LE COLLÈGE CHAPITRE 1er LES MEMBRES DU COLLÈGE Section 1 Déontologie des membres du collège Article 1er Principe général Les membres du collège exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Article 2 Indépendance et impartialité Les membres du collège exercent leurs fonctions en toute impartialité, sans recevoir d’instruction d’aucune autorité. Ils se déterminent librement, sans parti pris d’aucune sorte, ni volonté de favoriser telle partie ou tel intérêt particulier et sans céder à aucune pression. Ils se comportent de manière à prévenir tout doute légitime à cet égard et à préserver la confiance des acteurs de l’ensemble du secteur régulé et du public en l’indépendance de l’Autorité. Ils veillent à ce que les relations qu’ils entretiennent tant dans un cadre professionnel que privé ne fassent pas naître de suspicion de partialité, ni ne les rendent vulnérables à une quelconque influence, ni ne portent atteinte à la dignité de leurs fonctions. Ils ne doivent pas se placer ou se laisser placer dans une situation susceptible de les obliger à accorder en retour une faveur à une personne ou à une entité, quelle qu’elle soit. Article 3 Secret et discrétion professionnels I. – Les membres et anciens membres de l’Autorité sont tenus au secret professionnel pour les faits, actes et renseignements dont ils ont pu avoir connaissance en raison de leurs fonctions, dans les conditions prévues aux articles 226-13 et 226-14 du code pénal. Ce secret couvre le déroulement des séances du collège, notamment les opinions, propos et votes des membres exprimés en son sein. Le non-respect du secret professionnel, établi par décision de justice devenue définitive, entraîne la cessation d’office des fonctions au sein de l’Autorité. Il peut en outre donner lieu à des poursuites pénales, dans les conditions prévues aux articles 226-13 et 226-14 du code pénal. Le président de l’Autorité nationale des jeux informe le collège, à sa plus prochaine réunion, de la cessation d’office des fonctions de l’un de ses membres du fait du non-respect du secret professionnel. II. – Les membres et anciens membres de l’Autorité font preuve de discrétion professionnelle pour tous les faits, informations ou documents dont ils ont ou ont eu connaissance dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions. Au-delà des faits, des informations et des documents couverts par le secret professionnel, la discrétion professionnelle couvre toute activité interne de l’Autorité. Article 4 Devoir de réserve Les membres du collège ne doivent pas porter atteinte à la dignité de leurs fonctions, nuire au renom de l’Autorité à laquelle ils appartiennent ou ont appartenu ou mettre en cause le fonctionnement normal, l’indépendance, l’impartialité ou la neutralité de l’Autorité. Le devoir de réserve s’impose tout particulièrement dans le cadre de toute publication, intervention publique, notamment sur les réseaux sociaux, en particulier lorsque ceux-ci ne sont pas exclusivement réservés à un cercle privé aux accès protégés, et plus généralement de toute expression publique. Dans un tel cadre, les membres de l’Autorité s’abstiennent notamment de toute prise de position contraire à celle de l’Autorité ou qui pourrait être préjudiciable à son bon fonctionnement. Les membres de l’Autorité s’abstiennent également de donner leur avis personnel sur les décisions de celle-ci ou sur les sujets sur lesquels ils sont susceptibles d’être amenés à statuer dans le cadre de leurs fonctions. Est en revanche autorisé le fait de présenter, de façon neutre et objective, l’organisation et le fonctionnement du secteur régulé, les missions de l’Autorité, le contenu et la portée de ses avis et décisions dès lors qu’ils ont été publiés, en particulier lors de manifestations publiques ou dans des publications. Dans le cas de publications ou d’interventions publiques à l’occasion desquels ils se prévalent de leur qualité de membre de l’ANJ, ils doivent en informer préalablement le président, ou à défaut le directeur général. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Article 5 Conflits d’intérêts Il résulte des dispositions de l’article 12 de la loi du 20 janvier 2017 susvisée que les membres du collège ne peuvent siéger ou, le cas échéant, participer à une délibération, une vérification ou un contrôle si : 1o Il y a un intérêt, au sens de l’article 2 de la loi no 2013-907 du 11 octobre 2013 précitée, ou il y a eu un tel intérêt au cours des trois années précédant la délibération, la vérification ou le contrôle ; 2o Ils exercent des fonctions ou détiennent des mandats ou, si au cours de la même période, ils ont exercé des fonctions ou détenu des mandats au sein d’une personne morale concernée par la délibération, la vérification ou le contrôle ; 3o Ils représentent ou, au cours de la même période, ont représenté une des parties intéressées. De manière générale, les membres du collège doivent s’abstenir de participer au traitement des affaires et dossiers susceptibles de les placer en situation de conflit d’intérêts. Constitue un conflit d’intérêts toute situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés de nature à influencer ou à paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif de leurs fonctions. Cette obligation d’abstention s’applique aux situations objectives où le membre a personnellement intérêt à ce qu’une décision soit prise ou un dossier traité dans un sens donné dès lors qu’il est susceptible d’en retirer un avantage pour lui-même ou pour ses proches. Elle s’applique également aux situations de nature à susciter, pour un observateur extérieur neutre, un doute raisonnable sur les mobiles réels du membre, sur son impartialité ou son indépendance, sans que l’éthique personnelle de ce membre ne soit nécessairement en cause. Placés dans une telle situation, les membres du collège de l’Autorité se déportent dans les conditions de l’article 19 du présent règlement intérieur. Article 6 Prise illégale d’intérêts Les membres du collège ne peuvent prendre par eux-mêmes ou par personne interposée, dans une entité dont l’activité est en relation avec les compétences et les missions de l’Autorité, d’intérêts de nature à compromettre leur indépendance. Les membres du collège, même s’ils se prononcent collégialement, sont soumis personnellement à cette interdiction. La détention de valeurs mobilières, préalablement à la prise de fonctions, ne constitue pas en soi une prise d’intérêt de nature à compromettre l’indépendance des membres du collège. Article 7 Gestion des instruments financiers détenus Les instruments financiers détenus par les membres du collège (actions, obligations, produits dérivés financiers…) sont gérés dans des conditions excluant tout droit de regard de leur part pendant la durée de leurs fonctions. Respectent ces conditions et sont ainsi autorisées : – la détention, l’acquisition ou la cession de parts ou actions d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières ou de fonds d’investissement alternatif, à l’exception des fonds à vocation générale, des fonds professionnels spécialisés ou des fonds professionnels de capital investissement ; – la gestion sous mandat ; – la conservation en l’état des instruments financiers qui ne sont pas en rapport avec les secteurs régulés, sous réserve de déclaration ; – la gestion confiée à un tiers d’instruments financiers qui ne sont pas admis à la négociation sur un marché réglementé, au moyen d’une fiducie ou d’une convention en vertu de laquelle ce tiers exerce les droits attachés à la détention de ces instruments financiers. Article 8 Utilisation d’une information privilégiée L’utilisation par un membre du collège d’une information précise, confidentielle et susceptible d’influer sur le cours d’une société cotée, par exemple la délivrance ou le refus d’agrément d’un opérateur par l’Autorité, est susceptible de constituer le délit puni par le premier alinéa de l’article L. 465-1 du code monétaire financier de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 1 500 000 euros dont le montant peut être porté au-delà de ce chiffre, jusqu’au décuple du montant du profit éventuellement réalisé, sans que l’amende puisse être inférieure à ce même profit. Il en de même en cas de divulgation à un tiers qui utilise cette information en sachant qu’elle est confidentielle, l’auteur d’une telle divulgation s’exposant, en application du deuxième alinéa de l’article L. 465-1 du code monétaire et financier, à une peine d’un an d’emprisonnement et au paiement de 150 000 euros d’amende. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Article 9 Incompatibilités I. – Le mandat de membre ou de président de l’Autorité nationale des jeux est incompatible avec toute fonction exercée dans le cadre d’une activité économique ou financière en relation avec le secteur des jeux d’argent et de hasard. Il est en outre incompatible avec les fonctions énumérées à l’article 10 de la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017 susvisée. Le mandat de membre de l’Autorité est incompatible avec l’exercice de fonctions au sein des services d’une autre autorité administrative indépendante ou d’une autorité publique indépendante. En outre, nul ne peut être membre de plusieurs autorités administratives indépendantes ou autorités publiques indépendantes, sous réserve de la dérogation prévue à l’article 8 de la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017 susvisée. Un membre du collège peut se porter candidat à un mandat électif national ou local mais doit, dans ce cas, en informer préalablement le président de l’Autorité. II. – Au terme de leur mandat, les membres du collège ne peuvent occuper aucune position professionnelle ni exercer aucune responsabilité au sein d’entreprises ou entités entrant dans le champ de régulation de l’Autorité nationale des jeux pendant une période minimale de trois ans. Article 10 Obligations déclaratives I. – Déclaration sur l’honneur Lors de son entrée en fonction, tout membre signe une déclaration sur l’honneur dans laquelle il prend l’engagement solennel d’exercer ses fonctions avec dignité, probité et intégrité, de veiller à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts ainsi que de respecter le secret professionnel auquel il est astreint pour les faits, actes et renseignements dont il aura connaissance en raison de ses fonctions. Il s’engage également à se conformer pendant toute la durée de ses fonctions ainsi qu’après leur cessation, aux obligations attachées à celles-ci, telles qu’elles découlent notamment des lois no 2010-476 du 12 mai 2010, no 2013-907 du 11 octobre 2013 et no 2016-1697 du 9 décembre 2016 susvisées ainsi que du présent règlement intérieur. Il s’engage plus particulièrement à ne pas engager à titre personnel, directement ou par personne interposée, des mises sur des jeux ou paris proposés par des opérateurs de jeux ou de paris en ligne, par les opérateurs titulaires de droits exclusifs, des casinos et clubs de jeux. II. – Déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique Dans les deux mois qui suivent son entrée en fonction, tout membre du collège de l’Autorité, y compris son président, adresse personnellement au président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration de situation patrimoniale et une déclaration d’intérêts. La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique en assure la vérification et le contrôle. Les déclarations d’intérêts sont adressées également au président de l’Autorité et sont mises à la disposition de tout membre du collège au secrétariat du collège. Toute modification substantielle de la situation patrimoniale ou des intérêts détenus donne lieu, dans un délai de deux mois, à une nouvelle déclaration adressée au président de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. En cas de non-respect de ces obligations, les membres de l’Autorité ainsi que son président s’exposent aux peines prévues à l’article 26 de la loi no 2013-907 du 11 octobre 2013 susvisée. Les membres du collège adressent au président de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique une nouvelle déclaration de situation patrimoniale dans les deux mois qui suivent la fin de leurs fonctions. Article 11 Cadeaux, invitations et voyages I. – Les membres du collège de l’Autorité nationale des jeux n’acceptent aucun cadeau ni aucune invitation de la part d’une personne travaillant directement ou indirectement pour une entreprise entrant dans le champ de compétence de l’Autorité. Ils ne sollicitent ni n’acceptent, pour eux-mêmes ou pour des tiers, aucune libéralité, quelles que soient sa forme et son origine, dont ils estiment qu’elle serait de nature à les placer en situation de conflit d’intérêts et, en particulier, qui constituerait ou paraîtrait constituer la récompense d’une décision à laquelle ils auraient concouru ou qui ne se situerait pas dans le cadre des usages habituels en matière de relations professionnelles. II. – Toutefois, dans le respect des principes énoncés au I, les membres du collège peuvent accepter les cadeaux d’un montant inférieur à 30 euros, à condition qu’ils ne présentent pas de caractère répétitif. Les cadeaux protocolaires d’un montant supérieur à 30 euros peuvent par exception être acceptés, sous réserve de ne pas faire l’objet d’une appropriation individuelle. Ils sont à cette fin versés au patrimoine de l’Autorité ou mis à la disposition du collectif, selon des modalités adaptées à leur nature. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 III. – Dans le respect des principes énoncés au I, l’invitation des membres du collège à des événements, manifestations, colloques, séminaire ou des repas professionnels doit faire l’objet d’une information préalable du président du collège, qui détermine le cas échéant les modalités de son acceptation. En acceptant une invitation, les membres veillent à ne pas porter atteinte à l’image et à la réputation de l’Autorité. Les invitations à des événements de loisirs (sports, concerts, vacances ou week-ends) ne peuvent jamais être acceptées. IV. – Les voyage effectués pour le compte de l’Autorité sont pris en charge par celle-ci, sous les conditions et selon les modalités qu’elle définit. Exceptionnellement, notamment lorsqu’un membre du collège est l’un des invités officiels ou intervenants d’une manifestation, d’un colloque ou d’un séminaire, ils peuvent être pris en charge par un tiers extérieur, après autorisation du président du collège. V. – Par dérogation au III du présent article, le président du collège est autorisé à participer aux événements, manifestations, colloques, séminaire ou repas à caractère professionnels liés à l’exercice des fonctions qui lui sont dévolues, notamment en sa qualité de représentant de l’Autorité. A cet égard, il veille à ce que son attitude ne suscite aucun doute quant à son indépendance ou son impartialité. Article 12 Représentants d’intérêts Les dispositions de l’article 46 sont applicables aux relations entre les membres du collège et les représentants d’intérêts. Section 2 Indemnités et frais Article 13 Indemnisation des membres du collège I. – Conformément aux dispositions du 2o de l’article 5 de l’arrêté du 27 février 2020 susvisé, les membres du collège autre que le président perçoivent une indemnité par séance du collège à laquelle ils participent, dont le montant est fixé à 350 euros bruts. L’indemnisation prend la forme de vacations, dont il est justifié par une feuille d’émargement. Le nombre maximal de vacations par membre au titre de l’année est de 20. II. – Les membres du collège peuvent percevoir l’indemnité prévue à l’article 6 de l’arrêté du 27 février 2020 susvisé, sous réserve que l’activité ou l’intervention qui la justifie ait été préalablement et expressément autorisée par le président de l’Autorité. Le montant de cette indemnité est fixé à 100 euros bruts. Article 14 Frais Les frais occasionnés par les déplacements et les séjours des membres du collège sont pris en charge dans les conditions prévues par la réglementation applicable aux personnels civils de l’Etat. Section 3 Cessation des fonctions des membres du collège Article 15 Révocation ou suspension des membres du collège Un membre du collège peut être révoqué ou voir son mandat suspendu dans les hypothèses et sous les conditions suivantes : 1o Le mandat d’un membre du collège peut être suspendu pour une durée déterminée en cas d’empêchement à exercer ses fonctions, soit à la demande du membre concerné, soit par le collège, à la majorité des trois quarts des autres membres, sur proposition de l’un d’entre eux. 2o Il peut être mis fin aux fonctions d’un membre du collège, dans les formes prévues pour sa nomination, soit en cas de démission, soit, sur proposition du président ou d’un tiers des membres du collège, après délibération, à la majorité des trois quarts des autres membres du collège que l’intéressé, constatant un manquement grave à ses obligations légales ou une incapacité définitive empêchant la poursuite de son mandat. Cette délibération ne peut intervenir qu’après que l’intéressé a été en mesure de produire ses observations écrites, dans un délai qui ne peut être inférieur à une semaine. Le collège se réunit à huis clos et le vote a lieu à bulletin secret hors la présence de l’intéressé. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 3o Lorsqu’un membre du collège se trouve en situation d’incompatibilité au sens de l’article 9, le président, ou un tiers au moins des membres du collège lorsque l’incompatibilité concerne le président invite l’intéressé, par lettre recommandée avec accusé de réception ou lettre remise en main propre, à exposer ses observations. Si cette situation d’incompatibilité se prolonge au-delà de l’expiration d’un délai de 30 jours à compter de la nomination qui a déclenché cette situation, le président, ou un tiers au moins des membres du collège lorsque le président est concerné, le déclare démissionnaire après qu’il a été mis en mesure de présenter ses observations écrites. Article 16 Proposition de nomination d’un membre du collège Au moment de l’expiration ou de la fin anticipée du mandat d’un membre du collège, à défaut de nomination d’un nouveau membre à l’expiration d’un délai de soixante jours, le collège, convoqué à l’initiative de son président, propose, par délibération adoptée à la majorité simple, un candidat à l’autorité de nomination dans un délai de trente jours. CHAPITRE 2 LE FONCTIONNEMENT DU COLLÈGE Article 17 Convocation du collège Le collège se réunit sur convocation du président de l’Autorité, adressée dans un délai d’au moins sept jours avant la date de la séance. Toutefois, le président de l’Autorité peut ramener ce délai à trois jours, pour un motif d’urgence dont il rend compte au collège à l’ouverture de sa séance. Les convocations sont adressées aux membres et au commissaire du gouvernement par courrier postal ou voie électronique. Le collège se réunit au siège de l’Autorité ou en tout autre lieu précisé dans la convocation. Article 18 Ordre du jour Le président de l’Autorité fixe l’ordre du jour des séances du collège, qu’il joint à la convocation. Les projets de décision soumis au collège font l’objet de documents explicatifs adressés aux membres avec leur convocation. En tant que de besoin, des pièces complémentaires peuvent être transmises après l’envoi de la convocation ou déposées en séance. Le commissaire du gouvernement est destinataire de l’ordre du jour des séances et des documents afférents ainsi que de tout projet de décision du collège, à l’exception de ceux relatifs exclusivement aux opérateurs de jeux ou paris en ligne agréés. Les points qui n’ont pu être examinés au cours de la séance sont inscrits en priorité à l’ordre du jour de la séance suivante. Article 19 Déport d’un membre du collège Lorsqu’un membre du collège autre que le président de l’Autorité estime que sa participation à une délibération le placerait en situation de conflit d’intérêts, il en informe par écrit le président de l’Autorité au plus tard au début de la réunion au cours de laquelle l’affaire en cause est délibérée. Le président de l’Autorité informe les autres membres du collège sans délai des conflits dont il a connaissance en vertu de la présente disposition ou de ceux qui le concernent. Lorsque le président de l’Autorité estime qu’un membre ne peut délibérer dans une affaire parce que sa participation le placerait en situation de conflit d’intérêts, il prévient sans délai l’intéressé et lui demande de s’abstenir de siéger. Dans le cas où l’intéressé conteste son empêchement, il est entendu par le collège, lequel doit constater si le membre concerné est, ou non, empêché. La décision imposant au membre de ne pas siéger est prise hors la présence de ce dernier et adoptée à la majorité absolue des suffrages exprimés. Le membre du collège qui décide de se déporter ne peut prendre part à aucune réunion ni émettre aucun avis en rapport avec la délibération en cause. Pour la détermination des règles de quorum applicables aux délibérations du collège, le membre qui s’abstient de siéger au motif qu’il s’estime en situation de conflit d’intérêts est réputé présent. Lorsqu’un membre du collège s’abstient de délibérer au motif qu’il s’estime en situation de conflit d’intérêts, il en est fait mention au procès-verbal des délibérations. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Article 20 Déroulement des séances du collège I. – Sauf décision contraire du collège, ses séances ne sont pas publiques. Le président de l’Autorité peut décider qu’une séance du collège sera déroulera dans le cadre d’une conférence téléphonique ou audiovisuelle, ou par tout procédé assurant l’échange d’écrits transmis par voie électronique permettant un dialogue en ligne ou par messagerie conformément à l’ordonnance no 2014-1329 du 6 novembre 2014 relative aux délibérations à distance des instances administratives à caractère collégial. Le président s’assure alors de l’identité des participants et veille au respect de la confidentialité des débats vis-à-vis des tiers. II. – Le président de l’Autorité préside la séance. En cas d’absence du président, la séance est présidée par le membre du collège désigné par le président ou, à défaut, par le membre du collège le plus âgé. La séance est ouverte par la vérification du quorum à laquelle procède le président de séance. Le collège ne peut délibérer que si la moitié de ses membres sont présents. Lorsqu’un membre ne prend pas part à une délibération, il est réputé présent au titre du quorum. Le vote par procuration n’est pas autorisé. Aucun membre du collège ne peut être représenté. Le commissaire du gouvernement assiste, avec voix consultative, aux séances du collège, à l’exception des points de l’ordre du jour portant sur les décisions exclusivement relatives aux opérateurs de jeux ou paris en ligne agréés. Un registre d’émargement est mis à disposition des membres. Le collège peut se saisir en séance de toute question qui doit être examinée de manière urgente. Lorsque le collège a décidé d’entendre une personne dont l’audition lui paraît utile, cette personne est introduite dans la salle du collège et entendue, le cas échéant accompagnée de tout conseil de son choix. Elle est invitée à quitter la salle du collège après avoir été entendue. Le président de l’Autorité peut convoquer à la séance les agents dont il estime la présence utile. Ils peuvent notamment être appelés pour être rapporteurs sur un projet de décision soumis au collège et sont alors invités à quitter la salle lorsque le collège s’estime suffisamment éclairé. Le président de séance peut suspendre la séance dans tous les cas où une telle suspension lui apparaît opportune et jusqu’à l’heure ou la date qu’il fixe. La séance est levée par le président de séance. Article 21 Délibérations du collège I. – Sauf décision contraire du président de l’Autorité, le directeur général assiste aux délibérations du collège. II. – Le collège délibère à la majorité des membres présents. Le président a voix prépondérante en cas de partage égal des voix. Le président soumet le sens de la décision ou de l’avis à un vote à main levée. Le vote à bulletin secret est cependant de droit à la demande d’un membre. Dans cette hypothèse, et en cas de partage des voix, le vote du président est rendu public et sa voix est prépondérante. Les votes blancs ou nuls ne sont pas pris en considération pour le calcul de la majorité. III. – Le président de l’Autorité peut décider qu’une délibération sera organisée au moyen d’une conférence téléphonique ou audiovisuelle, ou par tout procédé assurant l’échange d’écrits transmis par voie électronique permettant un dialogue en ligne ou par messagerie conformément à l’ordonnance no 2014-1329 du 6 novembre 2014 relative aux délibérations à distance des instances administratives à caractère collégial. Le président s’assure de l’identité des participants et veille au respect de la confidentialité des délibérations visà-vis des tiers. IV. – A l’exception des décisions exclusivement relatives aux opérateurs de jeux ou paris en ligne agréés et des décisions prévues au premier alinéa du X de l’article 34 et au II de l’article 43 de la loi no 2010-476, le commissaire du gouvernement peut demander une deuxième délibération au collège, dans les cinq jours suivant la délibération initiale, par courrier postal ou par courrier électronique adressé au président de l’Autorité. Article 22 Secrétariat du collège I. – Le secrétariat de séance est assuré par un agent de l’Autorité chargé par le président et sous son autorité de la préparation des ordres du jour, des convocations, de la mise en forme des dossiers des séances, de la rédaction, de la diffusion et de la conservation des procès-verbaux et des comptes rendus des délibérations du collège. Il assiste aux réunions de chaque formation du collège et transmet au directeur général les documents permettant d’assurer la publicité de leurs décisions. II. – Le procès-verbal de séance indique : a) La date de la séance ; b) L’heure du début et de la fin de la séance, ainsi que le cas échéant de sa suspension et de sa reprise ; c) Les noms du président de séance et des membres ayant siégé ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 d) La présence du commissaire du gouvernement ; e) Les questions abordées ; f) Le résumé des interventions ; g) Le relevé des décisions et le détail du vote dont elles procèdent. Les décisions ou avis adoptés lui sont annexés. Le procès-verbal est soumis à l’approbation de la formation concernée du collège à sa plus proche réunion. Une fois approuvé, il est signé par le président de séance et copie en est tenue à la disposition de chacun des membres du collège par le secrétaire du collège. Article 23 Publicité I. – Les décisions de l’Autorité sont publiées, sauf disposition contraire, sur son site internet. La date de mise en ligne est mentionnée dans la publication. Le collège peut limiter, dans sa décision, sa publicité à la demande d’une personne devant y être mentionnée, pour des motifs tirés de son droit à la protection de ses savoir-faire et procédés. Un compte-rendu des délibérations du collège portant relevé des décisions de chaque séance est publié sur le site internet de l’Autorité. II. – Le collège et son président peuvent diffuser des informations sur tout support, y compris sur les réseaux sociaux, concernant les décisions rendues publiques par la commission des sanctions, la commission nationale des sanctions et toute juridiction afin de renseigner le public sur l’activité de l’Autorité. Article 24 Rapport annuel Le rapport d’activité annuel de l’Autorité est arrêté par le collège sur proposition du président de l’Autorité. Il est remis au Premier ministre et au Parlement par le président de l’Autorité au plus tard le 1er juin. Il est rendu public. CHAPITRE 3 LES COMMISSIONS CONSULTATIVES PERMANENTES Article 25 Compétence des commissions I. – L’Autorité comprend trois commissions consultatives permanentes : – une commission consultative permanente pour la prévention du jeu excessif ou pathologique ; – une commission consultative permanente pour le contrôle des opérations de jeux ; – une commission consultative permanente pour la lutte contre la fraude et contre le blanchiment des capitaux. II. – Ces commissions sont consultées en tant que de besoin par le collège, dans leur domaine de compétence respectif. III. – Le collège s’appuie sur la commission de prévention du jeu excessif ou pathologique prévue au III de l’article 35 de la loi du 12 mai 2010 susvisée. Cette commission est consultée, notamment, sur les plans d’actions présentés en application du IX de l’article 34 de la même loi et sur les documents exposant la stratégie promotionnelle des opérateurs prévus au IV du même article. Le collège s’appuie sur la commission du contrôle des opérations de jeux prévue au III de l’article 35 de la loi du 12 mai 2010 susvisée. Cette commission est consultée, notamment, sur les matières énumérées aux trois premiers alinéas du VIII de l’article 34 de la même loi : – les caractéristiques techniques des plates-formes et des logiciels de jeux et de paris en ligne des opérateurs ; – l’homologation des logiciels de jeux ; – les exigences techniques en matière d’intégrité des opérations de jeux et de sécurité des systèmes d’information ; – les paramètres techniques des jeux. Le collège s’appuie sur la commission de la lutte contre la fraude et contre le blanchiment des capitaux prévue au III de l’article 35 de la loi du 12 mai 2010 susvisée. Cette commission est consultée, notamment, sur les plans d’actions présentés en application du X de l’article 34 de la même loi. Le collège peut consulter ces commissions sur tout autre sujet entrant dans leur domaine de compétence respectif. Article 26 Indemnisation des membres des commissions Les membres des commissions consultatives permanentes perçoivent une indemnité par séance dont le montant est fixé par arrêté. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Article 27 Convocation des commissions Chaque commission permanente se réunit sur convocation du président de l’Autorité, qui fixe l’ordre du jour. La convocation peut être envoyée par tout moyen, y compris par courrier électronique. Les commissions consultatives permanentes se réunissent dans les locaux de l’Autorité ou en tout autre lieu si cela est nécessaire. Article 28 Secrétariat Le secrétariat de chaque commission consultative permanente est assuré par un agent des services de l’Autorité. Le secrétariat envoie les convocations et l’ordre du jour aux membres et est chargé de mettre en forme les dossiers des séances, ainsi que de rédiger, de diffuser et de conserver les comptes rendus des séances de la commission. Article 29 Déroulement des séances I. – Le président de l’Autorité nationale des jeux préside les séances des commissions consultatives permanentes. Il peut, en tant que de besoin, confier à l’un des autres membres du collège de l’Autorité le soin de présider les séances de l’une de ces commissions. Le président de l’Autorité nationale des jeux peut, le cas échéant, après avoir informé les autres membres des commissions consultatives permanentes et en fonction de l’ordre du jour, inviter des personnes extérieures à participer aux séances. II. – Un membre d’une commission ne peut donner un mandat à un autre membre. III. – Chaque commission consultative permanente peut, sur décision de son président, procéder à l’audition de toute personne dont la contribution lui est utile. Les séances des commissions consultatives permanentes ne sont pas publiques. Le commissaire du Gouvernement assiste aux séances des commissions consultatives permanentes. Il peut s’y faire représenter. Article 30 Confidentialité Les membres des commissions consultatives permanentes et les personnes extérieures invitées à y participer sont tenus à la confidentialité sur les sujets discutés en leur sein. Ils ne sont pas autorisés à s’exprimer individuellement au nom de la commission à laquelle ils appartiennent. Article 31 Impartialité et indépendance Les membres des commissions consultatives permanentes veillent à ce que leur comportement ne puisse être perçu comme une atteinte aux principes d’impartialité et d’indépendance qui doivent les guider. Article 32 Compte-rendu des travaux des commissions Les commissions consultatives permanentes rendent compte du contenu et du résultat de leurs travaux dans un rapport adressé au collège de l’Autorité. TITRE II LA DÉONTOLOGIE DES AGENTS Comme tout agent public, les agents de l’Autorité nationale des jeux disposent notamment des droits et libertés suivants : – liberté d’opinion politique, syndicale, philosophique ou religieuse ; – droit de grève ; – droit syndical ; – droit à la formation permanente ; – droit de participation ; – droit à la rémunération après service fait ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 – droit à la protection. Ils sont notamment tenus par les obligations suivantes : – obligation de respecter le secret professionnel ; – obligation de discrétion professionnelle ; – obligation de neutralité ; – obligation d’effectuer les tâches confiées ; – obligation d’obéissance hiérarchique ; – obligation de réserve. Article 33 Secret professionnel Les agents de l’Autorité, ainsi que toutes les personnes physiques ou morales qui, à quelque titre que ce soit, participent, même occasionnellement, à l’activité de celle-ci, sont tenus au secret professionnel pour les faits, actes et renseignements dont ils ont pu avoir connaissance en raison de leurs fonctions. Le fait que d’autres personnes connaissent les informations concernées n’est pas de nature à leur ôter leur caractère secret. Au sein de l’Autorité, le secret professionnel porte notamment sur : – les éléments des dossiers traités ou en cours de traitement ; – les contrôles et enquêtes administratives ainsi que les informations et documents recueillis à cette occasion ; – le contenu des réunions de travail, notes et documents à usage interne établis par les services ; – les échanges de l’Autorité avec d’autres régulateurs et avec toute autre autorité administrative ou judiciaire. Le secret professionnel ne couvre pas les éléments rendus publics par l’Autorité, notamment ses décisions, ses communications ainsi que les données, rapports et études établis au titre de sa mission de régulation du marché des jeux d’argent. Le secret professionnel ne peut être levé que dans les cas déterminés par la loi. A cet égard, il est inopposable à l’autorité judiciaire ainsi qu’aux autorités auxquelles la loi reconnaît expressément un droit de communication. En outre, les agents qui, dans l’exercice de leurs fonctions, acquièrent la connaissance d’un crime ou d’un délit, sont tenus d’en donner avis sans délai au procureur de la République en lui transmettant tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs. Les agents en informent le directeur général. La violation du secret professionnel expose son auteur à un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende. Le non-respect du secret professionnel, établi par décision de justice devenue définitive, entraîne la cessation d’office des fonctions au sein de l’Autorité. Article 34 Discrétion professionnelle Les agents de l’Autorité font preuve de discrétion professionnelle. Cette obligation s’impose à toute personne exerçant au sein de l’Autorité des fonctions permanentes ou non, ainsi qu’à toute personne y travaillant à titre temporaire. Cette discrétion professionnelle couvre tous les faits, toutes les informations et tous les documents dont les agents ont pu avoir connaissance en raison de leurs fonctions. Les agents de l’Autorité s’abstiennent de toute prise de position publique portant sur des questions ayant fait ou, à leur connaissance, susceptibles de faire l’objet d’une décision de l’Autorité. Article 35 Devoir de réserve Les agents de l’Autorité font preuve de retenue et de discernement dans l’expression de leurs opinions, afin d’éviter de porter atteinte à la dignité de leurs fonctions, et de ne pas mettre en cause le fonctionnement normal, l’indépendance, l’impartialité ou la neutralité de l’Autorité. Le devoir de réserve s’impose tout particulièrement dans le cadre de toute publication, intervention publique, notamment sur les réseaux sociaux, en particulier lorsque ceux-ci ne sont pas exclusivement réservés à un cercle privé aux accès protégés, et plus généralement de toute expression publique. Dans un tel cadre, les agents de l’Autorité s’abstiennent notamment de toute prise de position contraire à celle de l’Autorité et de donner leur avis personnel sur les décisions de celle-ci ou sur les sujets sur lesquels l’Autorité est susceptible de statuer. En tout état de cause, toute publication ou communication d’un agent en relation avec son activité professionnelle est soumise à l’autorisation préalable de son supérieur hiérarchique, qui vérifie qu’elle n’est pas contraire aux positions exprimées par l’Autorité et n’est pas de nature à porter atteinte à son indépendance et à son impartialité. L’obligation de réserve s’applique pendant et hors du temps de service. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Sauf cas exceptionnel et sous réserve de l’autorisation du directeur général, les agents ne peuvent répondre aux sollicitations des médias. Article 36 Impartialité Les agents de l’Autorité exercent leurs fonctions en toute impartialité, sans parti pris, ni volonté de favoriser un intérêt particulier. Ils veillent à ce que les relations qu’ils entretiennent dans un cadre professionnel ou privé ne fassent pas naître de suspicion de partialité ou ne les rendent pas vulnérables à une quelconque influence, ni ne portent atteinte à la dignité de leurs fonctions. Ils sont en outre tenus, dans l’exercice de leurs fonctions, à une obligation de neutralité et au respect du principe de laïcité. Article 37 Conflit d’intérêts Les agents veillent à faire cesser immédiatement ou à prévenir les situations de conflit d’intérêts dans lesquelles ils se trouvent ou pourraient se trouver. Constitue un conflit d’intérêts toute situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés qui est de nature à influencer ou paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif de ses fonctions. A cette fin, les agents qui estiment se trouver dans une situation de conflit d’intérêts : – lorsqu’ils sont placés dans une position hiérarchique, saisissent leur supérieur hiérarchique ; ce dernier, à la suite de la saisine ou de sa propre initiative, confie, le cas échéant, le traitement du dossier ou l’élaboration de la décision à une autre personne ; – lorsqu’ils ont reçu une délégation de signature, s’abstiennent d’en user. Les agents de l’Autorité ont l’interdiction, pendant toute la période durant laquelle ils sont en fonction, d’acquérir, de revendre ou de détenir des parts sociales, actions ou autres prises d’intérêts dans des opérateurs de jeux d’argent et de hasard. Cette interdiction ne concerne pas les placements collectifs qui ne sont pas gérés par les agents (tels que des parts ou des actions d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières ou de fonds d’investissement alternatif...). Article 38 Déclaration à la HATVP Conformément aux dispositions du 6o du I de l’article 11 de la loi no 2013-907 du 11 octobre 2013 susvisée, le directeur général, le secrétaire général et, le cas échéant, leurs adjoints adressent au président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration de situation patrimoniale et une déclaration d’intérêts dans les deux mois qui suivent leur entrée en fonction. La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique en assure la vérification et le contrôle. Toute modification substantielle de la situation patrimoniale ou des intérêts détenus donne lieu, dans un délai de deux mois, à une nouvelle déclaration adressée au président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Article 39 Utilisation d’une information privilégiée L’utilisation par un agent d’une information précise, confidentielle et susceptible d’influer sur le cours d’une société cotée, par exemple la délivrance ou le refus d’agrément d’un opérateur par l’Autorité, est susceptible de constituer le délit puni par le premier alinéa de l’article L. 465-1 du code monétaire financier de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 1 500 000 euros dont le montant peut être porté au-delà de ce chiffre, jusqu’au décuple du montant du profit éventuellement réalisé, sans que l’amende puisse être inférieure à ce même profit. Il en de même en cas de divulgation à un tiers qui utilise cette information en sachant qu’elle est confidentielle, l’agent auteur d’une telle divulgation s’exposant, en application du deuxième alinéa de l’article L. 465-1 du code monétaire et financier, à une peine d’un an d’emprisonnement et au paiement de 150 000 euros d’amende. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Article 40 Cadeaux, invitations et voyages I. – Les agents de l’Autorité de l’Autorité nationale des jeux n’acceptent aucun cadeau ni aucune invitation de la part d’une personne travaillant directement ou indirectement pour une entreprise entrant dans le champ de compétence de l’Autorité Ils ne sollicitent ni n’acceptent, pour eux-mêmes ou pour des tiers, aucune libéralité, quelles que soient sa forme et son origine, dont ils estiment qu’elle serait de nature à les placer en situation de conflit d’intérêts et, en particulier, qui constituerait ou paraîtrait constituer la récompense d’une décision à laquelle ils auraient concouru ou qui ne se situerait pas dans le cadre des usages habituels en matière de relations professionnelles. II. – Toutefois, dans le respect des principes énoncés au I, les agents peuvent accepter les cadeaux d’un montant inférieur à 30 euros, à condition qu’ils ne présentent pas de caractère répétitif, et refusent tout cadeau individuel d’un montant supérieur. Les cadeaux protocolaires d’un montant supérieur à 30 euros peuvent par exception être acceptés, sous réserve de ne pas faire l’objet d’une appropriation individuelle. Ils sont à cette fin versés au patrimoine de l’Autorité ou mis à la disposition du collectif, selon des modalités adaptées à leur nature. III. – Dans le respect des principes énoncés au I, l’invitation des agents à des événements, manifestations, colloques, séminaire ou des repas professionnels doit faire l’objet d’une information préalable du directeur général. Il en est rendu compte. Les proches des agents n’y sont pas conviés. Les repas professionnels des agents sont pris en charge par l’Autorité. Exceptionnellement, eu égard au contexte dans lequel ils ont lieu (repas collectif pris à l’occasion d’un colloque ou d’un séminaire, par exemple), ils peuvent être pris en charge par un tiers extérieur, après autorisation du supérieur hiérarchique. Les invitations à des événements de loisirs (réunions sportives, concerts, vacances ou week-ends) ne peuvent jamais être acceptées. IV. – Les voyages effectués pour le compte de l’Autorité sont pris en charge par celle-ci, sous les conditions et selon les modalités qu’elle définit. Exceptionnellement, notamment lorsque l’agent est l’un des invités officiels ou intervenants d’une manifestation, d’un colloque ou d’un séminaire, ils peuvent être pris en charge par un tiers extérieur, après autorisation expresse du secrétaire général. Article 41 Interdiction d’engagement de mises Les agents de l’Autorité ne peuvent engager à titre personnel, directement ou par personne interposée, des mises sur des jeux ou paris proposés par des opérateurs de jeux ou de paris en ligne, des opérateurs titulaires de droits exclusifs, des casinos et clubs de jeux. Article 42 Exercice d’une activité accessoire Les agents de l’Autorité consacrent l’intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées et ne peuvent exercer à titre professionnel une activité privée lucrative de quelque nature que ce soit. Toutefois, les agents de l’Autorité peuvent être autorisés à exercer, à titre accessoire, une activité lucrative sous les conditions et selon les modalités définies par le décret no 2020-69 du 30 janvier 2020 relatif aux contrôles déontologiques dans la fonction publique, dès lors que cette activité ne porte pas atteinte au fonctionnement normal, à l’indépendance ou à la neutralité du service et ne place pas l’intéressé en situation de méconnaître les dispositions de l’article 432-12 du code pénal. Les agents de l’Autorité qui envisagent d’effectuer une activité accessoire doivent en faire la demande écrite, sous couvert de leur hiérarchie, au secrétaire général de l’Autorité. Cette demande décrit l’activité accessoire envisagée, notamment l’identité de la personne auprès de laquelle elle sera exercée, sa nature, sa périodicité, sa durée ainsi que les conditions de sa rémunération. Le secrétaire général notifie sa décision dans un délai d’un mois à compter de la réception de la demande. En l’absence de décision expresse écrite dans ce délai, la demande d’autorisation est réputée rejetée. Article 43 Cessation des fonctions I. – Les agents qui souhaitent exercer des activités privées après avoir cessé leurs fonctions doivent veiller à ne pas se rendre coupables du délit de prise illégale d’intérêt puni par les dispositions de l’article 432-13 du code pénal. II. – Les agents contractuels de droit public de catégorie A employés de manière continue par l’Autorité depuis plus de six mois et les agents contractuels de droit public des catégories B et C employés depuis plus d’un an par l’Autorité sont concernés par les obligations suivantes. Les agents qui entendent cesser temporairement ou définitivement leurs fonctions saisissent, le secrétaire général afin d’apprécier la compatibilité de toute activité lucrative, salariée ou non, dans une entreprise privée ou un 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 organisme de droit privé ou de toute activité libérale avec les fonctions exercées au cours des trois années précédant le début de cette activité. Le secrétaire général examine si l’activité qu’exerce l’agent risque de compromettre ou de mettre en cause le fonctionnement normal, l’indépendance ou la neutralité du service, de méconnaître tout principe déontologique mentionné à l’article 25 de la loi du 13 juillet 1983 ou de placer l’intéressé en situation de commettre les infractions prévues aux articles 432-12 ou 432-13 du code pénal. Lorsque le secrétaire général a un doute sérieux sur la compatibilité de l’activité envisagée avec les fonctions exercées par l’agent au cours des trois années précédant le début de cette activité, il saisit pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue. La saisine du référent déontologue ne suspend pas le délai de deux mois dont dispose l’autorité hiérarchique pour se prononcer sur la demande de l’agent. Lorsque l’avis de ce dernier ne permet pas de lever ce doute, le président de l’Autorité saisit sans délai la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique et lui transmet l’avis du référent déontologue. III. – Lorsque la demande émane du directeur général, du secrétaire général ou de leurs adjoints, le président de l’Autorité soumet cette demande à l’avis préalable de la Haute Autorité dans un délai de quinze jours à compter de la demande de l’agent. A défaut, l’agent peut également saisir la Haute Autorité et doit en informer par écrit le président de l’Autorité IV. – La saisine de la Haute Autorité suspend le délai de deux mois dont dispose l’autorité hiérarchique pour se prononcer sur la demande de l’agent. Dans un délai de deux mois à compter de sa saisine, la Haute Autorité rend un avis, de compatibilité, de compatibilité avec réserves, celles-ci étant prononcées pour une durée de trois ans, ou d’incompatibilité. L’absence d’avis dans le délai de deux mois vaut avis de compatibilité. Les avis de compatibilité avec réserves et d’incompatibilité lient l’administration et s’imposent à l’agent. Ils sont notifiés à l’administration, à l’agent et à l’entreprise ou à l’organisme de droit privé d’accueil de l’agent. Si l’avis de compatibilité avec réserves ou d’incompatibilité n’est pas respecté, l’agent peut faire l’objet des sanctions prévues par l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983. Les avis du référent déontologue et de la Haute Autorité ne lient pas l’autorité judiciaire. Article 44 Référent déontologue Un référent déontologue, nommé par le président de l’Autorité, est chargé d’apporter aux agents tout conseil utile au respect des obligations et des principes déontologiques liés à leur activité. Les agents de l’Autorité ont la faculté de le consulter personnellement à tout moment. Cette consultation est confidentielle. Lorsque des faits susceptibles d’être qualifiés de conflit d’intérêts lui sont signalés, le référent déontologue apporte, le cas échéant, aux personnes intéressées tout conseil de nature à faire cesser ce conflit. Sur saisine d’un agent ou de sa propre initiative, le référent déontologue peut également émettre des recommandations de nature à éclairer l’ensemble des agents de l’Autorité sur l’application des principes déontologiques. Il exerce également la fonction de référent chargé du recueil et du traitement des signalements émis par les lanceurs d’alerte. La procédure de recueil des signalements est définie par une décision du président de l’Autorité. Article 45 Enquêteurs Une décision du directeur général de l’Autorité nationale des jeux habilite parmi les agents disposant des compétences techniques et juridiques nécessaires, ceux chargés de procéder aux enquêtes prévues à l’article 42 de la loi du 12 mai 2010 susvisée. Cet acte précise l’objet et la durée de l’habilitation. Nul ne peut être habilité s’il a fait l’objet d’une condamnation, incapacité ou déchéance mentionnée au bulletin no 2 du casier judiciaire. Les agents habilités prêtent serment devant le procureur de la République. Un titre portant mention de l’habilitation, de son objet et de sa durée est délivré par le directeur général aux enquêteurs. Il peut être renouvelé. La mention de la prestation de serment est portée sur ce titre par les soins du greffier du tribunal de grande instance. Il est immédiatement restitué en cas de cessation des fonctions ayant justifié l’habilitation. L’habilitation est retirée à l’enquêteur par le directeur général lorsque cette mesure est justifiée par les nécessités du service ou compte tenu du comportement de l’enquêteur dans l’exercice de ses fonctions, après, dans ce dernier cas, que l’intéressé a été mis à même de présenter ses observations. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 146 Article 46 Représentants d’intérêts Constituent des représentants d’intérêts les personnes ayant pour activité principale ou régulière d’influer sur les décisions de l’Autorité en entrant en communication avec son directeur général, son secrétaire général ou leurs adjoints. Les relations des agents de l’Autorité avec ces représentants d’intérêts doivent s’inscrire dans le respect des règles déontologiques prévues au présent titre. Le directeur général, le secrétaire général et leurs adjoints peuvent notamment saisir la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique sur la qualification à donner à l’activité d’une personne physique ou d’une personne morale entrant en communication avec eux, afin de s’assurer que celle-ci respecte, le cas échéant, les obligations applicables aux représentants d’intérêts. Ils peuvent également être avisés par la Haute Autorité, dès lors qu’ils auraient répondu favorablement à une sollicitation effectuée par le représentant d’intérêts concerné, d’un manquement de ce dernier à ses obligations. Dans un tel cas, les agents de l’Autorité tiennent le plus grand compte des observations qui leur sont adressées par la Haute Autorité. JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 87 sur 146 Autorité nationale des jeux Décision no 2020-011 du 23 juin 2020 portant adoption de la liste des supports de paris sportifs autorisés NOR : ARJJ2016441S Le collège de l’Autorité nationale des jeux, Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 322-17 ; Vu la loi no 2010-476 du 12 mai 2010 modifiée relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne, notamment son article 12 ; Vu l’ordonnance no 2019-1015 du 2 octobre 2019 réformant la régulation des jeux d’argent et de hasard ; Vu le décret no 2019-1061 du 17 octobre 2019 relatif à l’encadrement de l’offre de jeux de La Française des jeux et du Pari mutuel urbain, notamment son article 8 ; Vu le décret no 2010-483 du 12 mai 2010 relatif aux compétitions sportives et aux types de résultats sportifs définis par l’Autorité de régulation des jeux en ligne ; Après en avoir délibéré le 23 juin 2020, Décide : Art. 1er. – La liste des compétitions et manifestations sportives mentionnée au I de l’article 12 de la loi du 12 mai 2010 susvisée figure à l’annexe 1 de la présente décision. Art. 2. – La liste des phases de jeu et types de résultat mentionnée au II de l’article 12 de la loi du 12 mai 2010 susvisée figure à l’annexe 2 de la présente décision. Art. 3. – Les listes mentionnées aux articles 1 et 2 de la présente décision régissent l’offre de jeux de paris sportifs proposée en ligne par les opérateurs agréés par l’Autorité et celle fournie en réseau physique de distribution par La Française des jeux au titre de ses droits exclusifs. Art. 4. – Le directeur général de l’Autorité nationale des jeux est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée sur le site de l’autorité. Fait à Paris, le 23 juin 2020. La présidente de l’Autorité nationale des jeux, I. FALQUE-PIERROTIN 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 146 Autorité nationale des jeux Décision no 2020-012 du 23 juin 2020 portant renouvellement de l’agrément de jeux de cercle en ligne de la société REEL MALTA LIMITED NOR : ARJJ2016450S Le collège de l’Autorité nationale des jeux, Vu le code de la sécurité intérieure ; Vu la loi no 2010-476 du 12 mai 2010 modifiée relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne, notamment son article 21 et le II de son article 34 ; Vu l’ordonnance no 2019-1015 du 2 octobre 2019 réformant la régulation des jeux d’argent et de hasard, notamment son article 49 ; Vu le décret no 2010-482 du 12 mai 2010 fixant les conditions de délivrance des agréments d’opérateur de jeux en ligne, notamment ses articles 8 et 10 ; Vu l’arrêté du 27 mars 2015 portant approbation du cahier des charges applicable aux opérateurs de jeux en ligne ; Vu la décision no 2015-012 du 9 avril 2015 du collège de l’Autorité de régulation des jeux en ligne relative aux modalités et conditions d’examen des dossiers de demande d’agrément ; Vu le dossier de demande de renouvellement d’agrément déposé par la société REEL MALTA LIMITED le 24 février 2020 ; Vu le rapport d’instruction du 16 juin 2020 ; Vu les autres pièces du dossier ; Après en avoir délibéré le 23 juin 2020, Décide : Art. 1 . – L’agrément no 0006-PO-2010-06-25 délivré par l’Autorité de régulation des jeux en ligne à la société REEL MALTA LIMITED pour l’exploitation de jeux de cercle en ligne tels que définis au II de l’article 14 de la loi du 12 mai 2010 susvisée est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 25 juin 2020. Il est renouvelable et incessible. Art. 2. – L’offre de jeux de cercle en ligne autorisée est accessible depuis les noms de domaine : « pokerstars. fr » et « pokerstarsmobile.fr ». Art. 3. – Sont rappelées, conformément aux dispositions de l’article 10 du décret du 12 mai 2010 susvisé, les obligations de certification pesant sur le titulaire de l’agrément en vertu de l’article 23 de la loi du 12 mai 2010 susvisée : « III. — Dans un délai d’un an à compter de la date d’obtention de l’agrément prévu à l’article 21, l’opérateur de jeux ou de paris en ligne ou l’opérateur titulaire de droits exclusifs transmet à l’Autorité nationale des jeux un document attestant de la certification qu’il a obtenue. Cette certification porte sur le respect par ses soins de l’ensemble des exigences techniques déterminées par l’Autorité en matière d’intégrité des opérations de jeux et de sécurité des systèmes d’information. Elle est réalisée par un organisme indépendant choisi par l’opérateur au sein de la liste mentionnée au II. Le coût de cette certification est à sa charge. La certification fait l’objet d’une actualisation annuelle. » Art. 4. – Le directeur général de l’Autorité nationale des jeux est chargé de l’exécution de la présente décision qui sera notifiée à la société REEL MALTA LIMITED et publiée au Journal officiel de la République française et sur le site internet de l’Autorité. Fait à Paris, le 23 juin 2020. La présidente de l’Autorité nationale des jeux, I. FALQUE-PIERROTIN er 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 146 Conseil supérieur de l’audiovisuel Délibération du 8 juin 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un service de radio NOR : CSAR2016655X Par délibération en date du 8 juin 2020, le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, d’autoriser l’association Centre régional audio visuel de Lorraine (CRAVLOR) à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé CINE DRIVE IN, pour la période alternée du 11 juillet 2020 et du 22 août 2020. Site : Bouzonville (57320), place de la Liberté. Puissance : 1 W. Fréquence : 106.4 MHz. Fait à Nancy, le 8 juin 2020. Pour le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy : La présidente, C. LEDAMOISEL 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 146 Conseil supérieur de l’audiovisuel Délibération du 8 juin 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un service de radio NOR : CSAR2016659X Par délibération en date du 8 juin 2020, le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, d’autoriser l’association Centre Régional Audio Visuel de Lorraine (CRAVLOR) à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé CINE DRIVE, pour la période alternée du 3 juillet 2020 au 3 juillet 2020 et du 29 août 2020 au 29 août 2020. Site : Cattenom (57570), parking du tennis club, virage de la D56. Puissance : 5 W. Fréquence : 97.6 MHz. Fait à Nancy, le 8 juin 2020. Pour le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy : La présidente, C. LEDAMOISEL 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 146 Conseil supérieur de l’audiovisuel Délibération du 8 juin 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un service de radio NOR : CSAR2016704X Par délibération en date du 8 juin 2020, le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, d’autoriser l’association Centre Régional Audio Visuel de Lorraine (CRAVLOR) à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé Retour vers le Futur, pour la période du 10 au 11 juillet 2020. Site : Pagny-sur-Moselle (54530). Impasse de Strasbourg, parking du Parc de l’Avenir. Puissance : 5 W. Fréquence : 106,3 MHz. Fait à Nancy, le 8 juin 2020. Pour le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy : La présidente, C. LEDAMOISEL 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 146 Conseil supérieur de l’audiovisuel Délibération du 9 juin 2020 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un service de radio NOR : CSAR2016650X Par délibération en date du 9 juin 2020, le comité territorial de l’audiovisuel de Lille a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, d’autoriser la SARL Cin’étoiles à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé Cin’étoiles, pour la période du 20 juin 2020 au 21 juin 2020. Site : Abbeville (80). Puissance : 5 W. Fréquence : 92.5 MHz. Fait à Lille, le 9 juin 2020. Pour le comité territorial de l’audiovisuel de Lille : Le président, J.-F. MOUTTE 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 146 Centre national de la fonction publique territoriale Arrêté du 16 juin 2020 portant établissement de la liste d’aptitude pour le recrutement dans le cadre d’emplois de conservateur territorial de bibliothèques (session 2018) à compter du 1er juillet 2020 NOR : FPTC2015108A Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 16 juin 2020, la liste d’aptitude des concours d’accès au grade de conservateur territorial de bibliothèques (session 2018) est arrêtée, à compter du 1er juillet 2020, et comporte 16 lauréats : ADRIAN Mélisande ; AGUILELLA Anaïs ; BAUDIN Antoine ; CARBAIN Paul ; CURCHOD Hélène ; DAVID Julie ; HUSSON Matthieu ; JODET Franck ; LABORDE Anaïs ; LAGUERRE Marion ; LE BOHEC Eleonora ; PEREZ-TEJEDOR Luce ; SCHNEBELEN Agathe ; STEIN Eva ; TOUCHARD Laetitia ; TRIBHOU Pierre. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 146 Centre national de la fonction publique territoriale Arrêté du 16 juin 2020 portant établissement de la liste d’aptitude pour le recrutement dans le cadre d’emplois de conservateur territorial du patrimoine (session 2018) à compter du 1er juillet 2020 NOR : FPTC2015109A Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 16 juin 2020, la liste d’aptitude des concours pour le recrutement dans le cadre d’emplois de conservateur territorial du patrimoine (session 2018) est arrêtée comme suit, à compter du 1er juillet 2020, et comporte 16 lauréats : Spécialité Archives DESCHAMPS Clotilde. Spécialité Monuments historiques et inventaire MASON Megan ; VALLEE Clémence. Spécialité Musées BERNADAC Alice ; DERRIEN Maya ; DURET Hélène ; FLEURY Alice ; FONDBERTASSE Lola ; GROSS Camille ; JAGOT-JOUIN Hélène ; LONGO Giulia ; MARGO-SCHWOEBEL Florence ; MISERY Nicolas ; TOUZET Jean-Rémi ; VILLETTE Mathilde. Spécialité Patrimoine scientifique, technique et naturel OLIVEAU Margaux. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 146 Centre national de la fonction publique territoriale Arrêté du 18 juin 2020 portant établissement de la liste d’aptitude au titre du concours d’administrateur territorial (session 2018) à compter du 1er juillet 2020 NOR : FPTC2015361A Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 18 juin 2020, la liste d’aptitude des concours d’accès au grade d’administrateur territorial (session 2018) est arrêtée, à compter du 1er juillet 2020, et comporte 40 lauréats : ABRIC Sarah. ASTIER Gaël. BAHUAUD Julien. BARBOT Clotilde. BERGER Thibault. BERNARDY-VERRET Christine. BLONDEAU Julien. BOURGOUIN Gaëlle. CHOLLEY Jérémie. CROUZET Kevin. DIETLIN Amélie. FLAVIGNY Gaétan. GARRIGUES Xavier. GERONIMI François. GORGE Guillaume. HARTMANN Chloé. JACQUEMIN Morgan. JAULMES Samuel. KRIEF Steve. LABURTHE Marie. LAGIER Friedelinde. LAMOINE Erwan. LAPRAY Marylou. LEGOND Agathe. LEIBAR Xavier. LEVIVIER Constance. LHOMMEDE Matthieu. METAIS Louis. MOKRANI Sara. OUARDI Samira. PALOTY Jérémy. PARRAVANO Dorine. PEYRATOUT Fanette. RICHARD Sylvie. RODEKUHR Ariane. RODRIGUEZ Cécile. ROUX Jean-Victor. ROYER Cyril. TOURÉ Mathilde. VAN DER MEE Camille. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 146 Naturalisations et réintégrations Décret du 26 juin 2020 portant rectification de décrets de naturalisation, réintégration, libération des liens d’allégeance à l’égard de la France et francisation de noms et prénoms NOR : INTN2015773D En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé" JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 97 sur 146 Informations parlementaires ASSEMBLÉE NATIONALE Session extraordinaire de 2019-2020 ORDRE DU JOUR NOR : INPA2017158X Vendredi 3 juillet 2020 re A 9 heures. – 1 séance publique : Suite de la discussion du projet de loi de finances rectificative pour 2020 (no 3074 et no 3132). Rapport de M. Laurent Saint-Martin, au nom de la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire. A 15 heures. – 2e séance publique : Suite de l’ordre du jour de la première séance. A 21 h 30. – 3e séance publique : Suite de l’ordre du jour de la deuxième séance. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 146 Informations parlementaires ASSEMBLÉE NATIONALE Session extraordinaire de 2019-2020 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS NOR : INPA2017159X Convocation de la Conférence des présidents La Conférence, constituée conformément à l’article 47 du Règlement, est convoquée pour le mardi 7 juillet 2020 à 10 heures dans les salons de la Présidence. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 Informations parlementaires ASSEMBLÉE NATIONALE Session extraordinaire de 2019-2020 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE NOR : INPA2017154X 1. Réunions Vendredi 3 juillet 2020 Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, A 10 heures (visioconférence) : - seconde table ronde relative à la périnatalité dans la période d’état d’urgence sanitaire, réunissant : - le Pr Yves VILLE, Chef de service de la maternité de l’hôpital Necker et membre de l’Académie nationale de médecine ; - M. Adrien GANTOIS, Président du Collège national des sages-femmes de France ; - Mme Caroline BUSSIERE, cheffe du bureau Santé des populations et politique vaccinale du Ministère des Solidarités et de la santé, ainsi que Mme Zinna BESSA, sous-directrice Santé des populations, et Mme Magalie GUEGAN, adjointe de sous-direction. Conditions de délivrance des passeports à l’étranger, A 9 h 30 (visioconférence) : - Audition de M. Patrick Lachaussée, consul général de France à Genève et de M. Raphaël Trannoy, consul général de France à Bruxelles. A 10 h 30 (visioconférence) : - Audition de Mme Sandrine Le Bohec, cheffe de la mission de la valise diplomatique, et de M. Louis-Vincent Gay, adjoint à la cheffe de la mission. A 11 h 30 (visioconférence) : - Audition de M. Didier Trutt, président directeur général d’IN Groupe, de Mme Valérie Decleves, directrice commerciale et de M. Romain Galesne-Fontaine, directeur des relations institutionnelles. Mission flash sur la mise en place d’un collège de déontologie des officiers publics ministériels, A 9 heures (visioconférence) : - audition de Mme Audrey Chemouli, présidente de la commission statut professionnel de l’avocat du Conseil national des barreaux (CNB), de M. Xavier Autain, président de la commission communication du CNB, de Mme Florence Rochelemagne, membre de la commission règles et usages du CNB, de M. Bernard Fau, membre du conseil de l’ordre, et de M. Jacques Demay, avocat au barreau de Saint-Brieuc. A 10 heures (visioconférence) : - audition de M. Christophe Basse, président du Conseil national des administrateurs judiciaires et mandataires judiciaires, de M. Frédéric Abitbol, vice-président, de M. François-Charles Desprat, trésorier, de M. Alain Damais, directeur général, et de M. Alexandre de Montesquiou, conseiller. A 11 heures (visioconférence) : - audition de M. Georges Richelme, président de la Conférence générale des juges consulaires de France. Lundi 6 juillet 2020 Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 17 heures (salle de la commission des Finances) : - audition de M. Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris, et de M. Christophe Gautier, directeur général des hôpitaux universitaires de Strasbourg (CHU). 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 A 18 h 30 (salle de la commission des Finances) : - audition de M. François Braun, président de Samu Urgences de France et chef du pôle urgences du Centre hospitalier régional (CHR) de Metz-Thionville. Mission flash sur les relations entre autorités civiles et militaires : les leçons de la crise du covid-19, A 8 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. le général de corps d’armée Philippe Loiacono, officier général de la zone de défense et de sécurité sud-est. Mardi 7 juillet 2020 Commission des affaires culturelles, A 17 h 15 salle 6242 (Affaires culturelles) : - audition de M. Roch-Olivier Maistre, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), sur le rapport d’activité du Conseil en 2019. Commission des affaires économiques, A 17 h 15 (salle 6241) : - audition de M. Jean-François Carenco, président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Commission des affaires étrangères, A 17 h 15 (Visioconférence) : - conclusions de la mission flash sur les conditions de délivrance des passeports aux Français établis hors de France (MM. Alexandre Holroyd et Didier Quentin, co-rapporteurs). Commission du développement durable, A 17 h 30 (par visioconférence) : - audition de Mme Elisabeth Borne, ministre de la transition écologique et solidaire, sur les conclusions de la Convention citoyenne pour le climat. Commission des lois, A 17 h 30 6e Bureau (Lois) : - audition de Mme Adeline Hazan, Contrôleure générale des lieux de privation de liberté. Mission d’évaluation de la lutte contre la contrefaçon, A 9 heures (Salle du CEC) : - audition de M. Richard Yung, sénateur, président du Comité national anti-contrefaçon. A 10 h 30 (Salle du CEC) : - audition d’un représentant de la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI). Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 17 heures (salle de la commission des Finances) : - table ronde réunissant les organisations représentatives des personnels hospitaliers. Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 17 heures (en visioconférence) : - audition de M. Henri Pena-Ruiz, philosophe et écrivain. A 18 heures (en visioconférence) : - audition de M. Luc Ferry, philosophe et écrivain, ancien Ministre de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche. Mission d’information sur la réhabilitation de l’étang de Berre, A 10 heures (par visioconférence) : - audition d’EGIS. Mission flash sur les relations entre autorités civiles et militaires : les leçons de la crise du covid-19, A 8 h 30 (Visioconférence) : - audition de Mme Emmanuelle Dubée, préfète déléguée pour la défense et la sécurité de la zone sud-est. A 9 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. Jean-Yves Grall, directeur général de l’Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes. Mission d’information sur les géants du numérique, 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 A 9 heures (Visioconférence) : - audition de M. Gwendal Le Grand, secrétaire général adjoint de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), de Mme Karin Kieffer, directrice adjointe à la direction de la protection des droits et des sanctions, et de Mme Tiphaine Havel, conseillère pour les questions institutionnelles et parlementaires. Mercredi 8 juillet 2020 Commission des affaires culturelles, A 9 h 30 salle 6242 (Affaires culturelles) : - audition de Mme Sibyle Veil, présidente-directrice générale de Radio France, sur l’exécution du contrat d’objectifs et de moyens de la société en 2019. A 15 heures salle 6242 (Affaires culturelles) : - communication de la mission flash sur le statut des auteurs ; - point d’étape de la mission d’information pour le suivi de l’application de la loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Commission des affaires économiques, A 9 h 30 (par visioconférence) : - audition de M. Philippe Chalmin, président de l’Observatoire de la fixation des prix et des marges des produits alimentaires. A 15 heures (salle 6241) : - identité numérique (rapport d’information). Commission des affaires étrangères, A 9 h 30 (Visioconférence) : - présentation des conclusions des groupes de travail : groupe no 1 "Les réseaux" ; groupe no 2 "Aide publique au développement - Actions humanitaires " ; groupe no 3 "Action économique extérieure". Commission des affaires sociales, A 9 h 30 salle 6351 (Affaires sociales) : - désignation des rapporteurs pour avis sur le projet de loi de finances pour 2021 ; - mission d’information de la Conférence des présidents sur la politique familiale française (rapport d’information) (sous réserve de son adoption). Commission du développement durable, A 9 h 30 (par visioconférence) : - audition de MM. Pascal Sainson, président d’Europorte France, et Franck Tuffereau, coordinateur de la coalition « Fret ferroviaire français du futur » (4F), délégué général de l’Association française du rail (AFRA), sur les perspectives du fret ferroviaire. Commission des lois, A 9 h 30 6e Bureau (Lois) : - examen du projet de loi relatif à la prorogation des chapitres VI à X du titre II du livre II et de l’article L. 851-3 du code de la sécurité intérieure (no 3117) ; - examen du rapport d’information présenté en conclusion de la mission d’information sur le Défenseur des droits (Mme Coralie Dubost et M. Pierre Morel-A-L’Huissier, co-rapporteurs) ; - nomination d’un rapporteur sur le projet de loi organique prorogeant le mandat des membres du Conseil économique, social et environnemental (sous réserve de son dépôt et de sa transmission) ; - nomination d’un rapporteur sur la recevabilité de la proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête relative à l’état des lieux, la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l’ordre afin de maintenir et renouveler la confiance entre les citoyens et la force publique (no 3138) ; - désignation des rapporteurs pour avis sur le projet de loi de finances pour 2021 ; - nomination d’un rapporteur sur la proposition du Président de la République de nommer Mme Claire Hédon en qualité de Défenseure des droits ; - création d’une mission flash sur l’évolution et la refondation des conseils locaux ou intercommunaux de sécurité et de prévention de la délinquance. A 15 heures salle 6241 (Affaires économiques) : - examen du rapport d’information présenté en conclusion de la mission d’information, commune avec la commission des Affaires économiques, sur l’identité numérique (Mme Marietta Karamanli, Présidente ; Mme Christine Hennion et M. Jean-Michel Mis, co-rapporteurs). Délégation aux outre-mer, 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 A 13 heures (visioconférence) : - à 1 heure en Polynésie, à 7 heures aux Antilles, à 8 heures en Guyane, à 9 heures à Saint-Pierre-et-Miquelon, à 14 heures à Mayotte, à 15 heures à La Réunion, à 22 heures en Nouvelle-Calédonie et à 11 heures à Wallis et Futuna ; - audition des représentants des compagnies régionales des commissaires aux comptes (CRCC) ultramarines : - M. Jean Bouquot, président de la compagnie nationale des commissaires aux comptes ; - M. Pierre Sabatier, dirigeant du cabinet de recherche économique primeview ; - M. Prudence Ecoué, président de la compagnie régionale des commissaires aux comptes de Fort-de-France ; - M. David Moueza, président de la compagnie régionale des commissaires aux comptes de Basse-Terre ; - M. Bernard Fontaine, président de la compagnie régionale des commissaires aux comptes de Saint-Denis ; - questions diverses. Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 15 heures (salle de la commission des Finances) : - audition de M. Fréderic Valletoux, président de la Fédération Hospitalière de France (FHP). A 17 heures (salle de la commission des Finances) : - audition de M. Lamine Gharbi, président de la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), et de Mme MarieSophie Desaulle, présidente de la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratif (FEHAP). Mission flash sur les relations entre autorités civiles et militaires : les leçons de la crise du covid-19, A 8 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. le lieutenant-colonel Jérôme Thieulart ; de M. le capitaine de vaisseau Christophe Boin ; de M. le colonel Stanislas Michel et de M. le colonel David Pawlowski. A 14 heures (Visioconférence) : - audition de M. le contre-amiral Jean Hausermann, commandant supérieur des forces armées aux Antilles. Mission d’information sur les géants du numérique, A 15 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. Henri Verdier, ambassadeur pour le numérique. Jeudi 9 juillet 2020 Commission des affaires étrangères, A 14 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. Michel Barnier, négociateur en chef responsable du groupe de travail de la Commission chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni au titre de l’article 50 du traité de l’Union européenne. Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 10 h 30 (salle de la commission des Finances) : - table ronde réunissant les organisations représentatives des médecins libéraux. Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 9 heures (en visioconférence) : - table ronde réunissant : - M. Fabien Jobard, politologue, directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), au centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales (CESDIP) ; - M. Sébastian Roché, politologue, directeur de recherche au CNRS, professeur à Sciences-Po Grenoble / Université de Grenoble-Alpes. A 11 heures (en visioconférence) : - audition de M. François Héran, sociologue et démographe, professeur au Collège de France, directeur de recherche à l’Institut national d’études démographiques (INED), président du conseil d’orientation du musée national de l’histoire de l’immigration. A 12 heures (en visioconférence) : - table ronde réunissant : - M. Tommaso Vitale, sociologue, professeur associé à Sciences Po, membre du conseil scientifique de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 - M. Marcel Courthiade, linguiste, professeur associé à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), membre du conseil scientifique de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Mission flash sur les relations entre autorités civiles et militaires : les leçons de la crise du covid-19, A 8 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. Christian Gravel, Haut fonctionnaire de défense adjoint au sein du Service du haut fonctionnaire de défense (SHFD), et de M. Michael LENTZ, conseiller militaire. Mission d’information sur la pollution des mers, A 9 heures (Visioconférence) : - audition de M. Thierry Coquil, directeur des affaires maritimes au ministère de la transition écologique et solidaire. Vendredi 10 juillet 2020 Commission des finances, A 9 heures (salle de la commission des Finances) : - éventuellement, projet de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes de l’année 2019 (nouvelle lecture). Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, A 9 h 30 (Visioconférence) : - audition conjointe de M. Cyrille Melchior, président du département de La Réunion et de M. Stéphane Troussel, président du département de Seine-Saint-Denis, sur le thème de la recentralisation du RSA. 2. Ordre du jour prévisionnel Mardi 7 juillet 2020 Commission de la défense, A 14 heures salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) : - examen, ouvert à la presse, de l’avis sur l’article 2 du projet de loi relatif à la prorogation des chapitres VI à X du titre II du livre II et de l’article L. 851-3 du code de la sécurité intérieure (no 3117). A 18 heures salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) : - audition, à huis clos, de Mme Florence Parly, Ministre des Armées, sur le rapport au Parlement sur les exportations d’armement de la France 2020. Mission flash sur le rôle de l’industrie de défense dans la politique de relance, A 17 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Éric Béranger, président-directeur général de MBDA. Mercredi 8 juillet 2020 Commission des affaires européennes, A 16 h 30 salle 4325 (33, rue Saint-Dominique) : - " Comment ajuster le cadre financier pluriannuel face au défi de la relance économique ? " (MM. Bernard Deflesselles et Christophe Jerretie) (communication) ; - " Quelle méthode pour définir et mettre en œuvre au niveau européen des outils financiers propres à faciliter la sortie de crise ? " (Mmes Frédérique Dumas et Liliana Tanguy) (communication) ; Commission de la défense, A 9 h 30 salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) : - audition, à huis clos, du général Michel Friedling, commandant du commandement de l’espace. Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis, A 14 h 30 (salle 6238 ) : - 14 h 30 : - audition du professeur Nicolas Simon, médecin addictologue et pharmacologue à l’Assistance publique – hôpitaux de Marseille ; - 15 h 30 : - audition du docteur Alexandre Maciuk, maître de conférence au laboratoire de pharmacognosie, faculté de pharmacie de l’Université de Paris Sud ; 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 - 16 h 30 à 18 heures : - audition commune des administrations de contrôle : - direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) : M. Gil Lorenzo, sous-directeur des affaires juridiques et de la lutte contre la fraude (sous réserve de confirmation) ; - direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) : Mme Annick Biolley-Coornaert, sous-directrice des produits et des marchés agroalimentaires (sous réserve de confirmation). Mission flash sur le rôle de l’industrie de défense dans la politique de relance, A 9 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition conjointe, sous forme de table ronde, de M. Yannick Vergez, Président du Groupe FIVA et Président du Comité PME-ETI du GICAN ; de M. François Lambert, Délégué Général du GICAN ; des représentants du Comité Richelieu ; de M. Bertrand Lucereau, président d’Honneur du comité aéro-pme du GIFAS et Président de SECAMIC ; de M. Nicolas Voiriot, Président de la société Jacques Dubois ; de M. Guillaume Muesser, Directeur affaires de défense du GIFAS et de M. Jean-Marc DUQUESNE, Délégué général, ainsi que de M. François MATTENS, Directeur des affaires publiques et de l’innovation Jeudi 9 juillet 2020 Commission des affaires européennes, A 10 h 30 salle 4325 (33, rue Saint-Dominique) : - espace fiscal européen (Mme Frédérique Dumas et M. Xavier Paluszkiewicz, rapporteurs), en présence de M. Daniel Gutmann, (rapport d’information) A 14 h 30 salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) : - commune avec la commission de la défense, de M. Thierry Breton, commissaire européen chargé du marché intérieur, sur la base industrielle et technologique de défense (audition). Commission de la défense, A 14 h 30 (salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) + Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, en présentiel et en visioconférence, de M. Thierry Breton, commissaire au marché intérieur à la Commission européenne. Mission flash sur le rôle de l’industrie de défense dans la politique de relance, A 9 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Frédéric Parisot, sous-chef d’état-major de l’armée de l’air chargé de la préparation de l’avenir. A 10 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Joël Barre, délégué général pour l’armement. A 14 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Charles Beaudouin, sous-chef d’état-major chargé des plans et des programmes. A 15 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Stéphane Mayer, président-directeur général du groupe Nexter. A 16 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Patrice Caine, président-directeur général de Thales. A 17 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Fabien Mandon, chef de la division « cohérence capacitaire » de l’état-major des armées. A 18 h 30 salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Emmanuel Levacher, président-directeur-général d’Arquus. Mission d’information commune sur la revalorisation des friches industrielles, commerciales et administratives, A 10 heures (par visioconférence) : - audition de Mme Valérie Lasek, directrice générale adjointe « appui opérationnel et stratégique » de l’Agence nationale de cohésion des territoires (ANCT) et de M. Guillaume Basset, directeur du programme « territoires d’industrie ». A 11 heures (par visioconférence) : - audition de représentants de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (à confirmer). Mercredi 15 juillet 2020 Commission des affaires culturelles, 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 A 9 h 30 salle 6242 (Affaires culturelles) : - examen du rapport de la mission d’évaluation de la loi no 2017-261 du 1er mars 2017 visant à préserver l’éthique du sport, à renforcer la régulation et la transparence du sport professionnel et à améliorer la compétitivité des clubs ; - communication de la mission flash sur la mise en place du dispositif « 2S2C ». Commission des affaires économiques, A 9 h 30 (par visioconférence) : - audition de Mme Ilham Kadri, directrice générale et présidente du comité exécutif de Solvay. Commission de la défense, A 9 h 30 salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) : - examen, ouvert à la presse, des conclusions de la mission flash relative aux hélicoptères des armées (MM. Jean-Pierre Cubertafon et Jean-Jacques Ferrara, co-rapporteurs). Commission du développement durable, A 9 h 30 (par visioconférence) : - audition de M. Thierry Mallet, président, et M. Claude Faucher, délégué général de l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP). Commission des finances, A 11 heures (salle de la commission des Finances) : - nomination d’un rapporteur ; - audition de M. Gilles Andréani, président de la quatrième chambre de la Cour des comptes, sur le rapport d’enquête réalisé par la Cour des comptes, en application du 2° de l’article 58 de la loi organique relative aux lois de finances, sur les moyens de la lutte contre le terrorisme (exercices 2015-2019) ; - présentation par M. Hervé Pellois d’une communication sur la prévention des aléas et la gestion des risques dans le secteur agricole. Commission des lois, A 9 h 30 6e Bureau (Lois) : - en cas d’échec de la commission mixte paritaire, examen, en nouvelle lecture, de la proposition de loi visant à protéger les victimes de violences conjugales (Mme Bérangère Couillard, rapporteure) (no 3072). A 10 h 30 6e Bureau (Lois) : - examen de la recevabilité de la proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête relative à l’état des lieux, la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l’ordre afin de maintenir et renouveler la confiance entre les citoyens et la force publique (no 3138). A 11 heures 6e Bureau (Lois) : - audition de Mme Claire Hédon dont la nomination en qualité de Défenseure des droits est proposée par le Président de la République. Délégation aux outre-mer, A 20 heures (Visioconférence) : - audition des représentants de la presse écrite et web ultramarine. Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis, A 15 heures (salle 6238 ) : - auditions sur la thématique du chanvre de bien-être (CBD) (en cours d’organisation). Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 10 h 30 salle 6238 (Développement durable) : - table ronde réunissant les médecins urgentistes et réanimateurs hospitaliers. Jeudi 16 juillet 2020 Commission de la défense, A 9 h 30 salle 4123 (33, rue Saint-Dominique) : - audition, à huis clos, du général François Lecointre, chef d’état-major des armées sur « l’analyse des conséquences stratégiques et militaires de la crise Covid, vision des perspectives qu’elle dessine ». Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, A 9 heures (Visioconférence) : - audition de M. Julien Denormandie, ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 10 heures (salle de la commission des Finances) : - audition de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS). A 11 h 30 (salle de la commission des Finances) : - audition du Conseil de l’ordre des médecins. Mission d’information commune sur la revalorisation des friches industrielles, commerciales et administratives, A 10 heures (par visioconférence) : - audition à confirmer. Lundi 20 juillet 2020 Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, A 15 heures (Visioconférence) : - audition de M. Jean-Baptiste Djebarri, secrétaire d’état auprès de la ministre de la transition écologique et solidaire, chargé des transports. Mardi 21 juillet 2020 Commission du développement durable, A 17 h 15 (par visioconférence) : - audition de Mme Emmanuelle Wargon, secrétaire d’État auprès de la ministre de la transition écologique et solidaire, sur le bilan des Assises de l’eau. Commission des finances, A 17 h 15 (salle de la commission des Finances) : - éventuellement, troisième projet de loi de finances rectificative pour 2020 (nouvelle lecture). A 21 heures (Salle de la commission) : - éventuellement, troisième projet de loi de finances rectificative pour 2020 (nouvelle lecture) (suite). Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 17 heures (salle 6350) : - table ronde sur le projet Global race INED - Sciences Po réunissant : - M. Patrick Simon, socio-démographe, directeur de recherche à l’Institut national d’études démographiques (INED), chercheur associé au Centre d’études européennes de Sciences Po ; - M. Daniel Sabbagh, politologue, directeur de recherche au Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po. Mercredi 22 juillet 2020 Commission des affaires culturelles, A 9 h 30 salle 6242 (Affaires culturelles) : - bilan d’activité de la commission pour la session 2019-2020 ; - communication de la mission flash sur le financement des CROUS dans le contexte de l’épidémie de coronavirus-covid 19. Commission des affaires économiques, A 9 h 30 (Salle de la commission) : - audition, conjointe avec la commission des finances, de M. Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations. Commission du développement durable, A 17 heures (par visioconférence) : - audition de M. Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics. Commission des finances, A 9 h 30 (salle de la commission des Finances) : - audition, conjointe avec la commission des affaires économiques, de M. Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations. Commission des lois, 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 A 9 h 30 6e Bureau (Lois) : - examen du projet de loi organique prorogeant le mandat des membres du Conseil économique, social et environnemental (sous réserve de son dépôt) ; - examen du rapport d’information présenté en conclusion de la mission d’information sur les baux ruraux (MM. Antoine Savignat et Jean Terlier, co-rapporteurs) ; - création d’une mission d’information flash sur les cours criminelles départementales. Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis, A 15 heures (salle 6238) : - auditions sur la thématique du chanvre de bien-être (CBD) (en cours d’organisation). Jeudi 23 juillet 2020 Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 9 heures (salle 6351) : - table ronde (à confirmer). A 11 heures (salle 6351) : - audition (à confirmer). A 12 heures (salle 6351) : - table ronde (à confirmer). 3. Membres présents ou excusés Commission de la défense nationale et des forces armées Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 9 h 45 Présents. - M. Jean-Philippe Ardouin, M. Jean-Jacques Bridey, M. André Chassaigne, M. Jean-Pierre Cubertafon, Mme Françoise Dumas, M. Jean-Jacques Ferrara, M. Jean-Marie Fiévet, M. Philippe Folliot, M. Claude de Ganay, M. Thomas Gassilloud, M. Jean-Michel Jacques, M. Fabien Lainé, M. Jean-Charles Larsonneur, Mme Patricia Mirallès, Mme Florence Morlighem, M. Jean-François Parigi, Mme Josy Poueyto, Mme Nathalie Serre, M. Joachim Son-Forget, M. Jean-Louis Thiériot, M. Stéphane Trompille, Mme Alexandra Valetta Ardisson, M. Pierre Venteau Excusés. - M. Florian Bachelier, M. Thibault Bazin, M. Olivier Becht, M. Sylvain Brial, M. Alexis Corbière, M. Olivier Faure, M. Yannick Favennec Becot, M. Richard Ferrand, Mme Séverine Gipson, M. Stanislas Guerini, M. Christian Jacob, Mme Manuéla Kéclard-Mondésir, Mme Anissa Khedher, M. Jean-Christophe Lagarde, M. Didier Le Gac, M. Gilles Le Gendre, M. Jacques Marilossian, M. Franck Marlin, Mme Monica Michel, M. Bernard Reynès, Mme Sabine Thillaye Commission d’enquête sur les obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire Réunion du mercredi 1er juillet 2020 à 16 heures Présents. - M. Ugo Bernalicis, M. Fabien Gouttefarde, M. Didier Paris Commission d’enquête sur les obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 9 h 30 Présents. - M. Erwan Balanant, M. Ugo Bernalicis, M. Ian Boucard, M. Olivier Marleix, Mme Naïma Moutchou, M. Didier Paris, M. Antoine Savignat, Mme Cécile Untermaier Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 11 h 45 Présents. - M. Erwan Balanant, M. Ugo Bernalicis, M. Ian Boucard, M. Olivier Marleix, Mme Naïma Moutchou, M. Didier Paris, M. Antoine Savignat, Mme Cécile Untermaier Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 15 heures Présents. - M. Ugo Bernalicis, M. Olivier Marleix, Mme Naïma Moutchou, M. Didier Paris, M. Antoine Savignat, Mme Cécile Untermaier Excusé. - M. Ian Boucard Commission des affaires européennes Réunion du mercredi 1er juillet 2020 à 17 h 35 Présents. - Mme Aude Bono-Vandorme, M. Jean-Louis Bourlanges, M. André Chassaigne, Mme Typhanie Degois, Mme Marguerite Deprez-Audebert, Mme Caroline Janvier, Mme Nicole Le Peih, M. Xavier Paluszkiewicz, Mme Liliana Tanguy, Mme Sabine Thillaye Excusés. - Mme Yolaine de Courson, Mme Frédérique Dumas Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique Réunion du mardi 30 juin 2020 à 17 h 15 Présents. - M. Didier Baichère, Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, Mme Valérie Beauvais, M. Olivier Becht, Mme Aurore Bergé, M. Philippe Berta, Mme Marine Brenier, M. Xavier Breton, M. Pascal Brindeau, Mme Anne-France Brunet, M. Guillaume Chiche, M. Francis Chouat, M. Marc Delatte, Mme Coralie 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 146 Dubost, Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Pierre-Henri Dumont, M. Jean-François Eliaou, Mme Nathalie Elimas, Mme Elsa Faucillon, Mme Agnès Firmin Le Bodo, Mme Emmanuelle Fontaine-Domeizel, M. Bruno Fuchs, Mme Camille Galliard-Minier, Mme Annie Genevard, M. Brahim Hammouche, M. Patrick Hetzel, M. Cyrille Isaac-Sibille, Mme Caroline Janvier, M. Bastien Lachaud, Mme Anne-Christine Lang, Mme Marie Lebec, Mme Monique Limon, Mme Brigitte Liso, M. Jacques Marilossian, M. Didier Martin, Mme Sereine Mauborgne, M. Jean François Mbaye, Mme Emmanuelle Ménard, M. Maxime Minot, Mme Danièle Obono, M. Matthieu Orphelin, Mme Sylvia Pinel, Mme Claire Pitollat, Mme Florence Provendier, Mme Laëtitia Romeiro Dias, M. Hervé Saulignac, Mme Marie Tamarelle-Verhaeghe, Mme Laurence Vanceunebrock, Mme Michèle de Vaucouleurs Excusés. - M. Raphaël Gérard, Mme Marie-Pierre Rixain Assistaient également à la réunion. - M. Dino Cinieri, M. Fabien Di Filippo, Mme Agnès Thill Réunion du mardi 30 juin 2020 à 21 h 35 Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, M. Olivier Becht, Mme Aurore Bergé, M. Philippe Berta, Mme Marine Brenier, M. Xavier Breton, M. Pascal Brindeau, Mme Anne-France Brunet, M. Guillaume Chiche, Mme Bérangère Couillard, M. Marc Delatte, M. Pierre Dharréville, Mme Coralie Dubost, Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Pierre-Henri Dumont, M. Jean-François Eliaou, Mme Elsa Faucillon, Mme Agnès Firmin Le Bodo, Mme Emmanuelle Fontaine-Domeizel, M. Bruno Fuchs, Mme Camille Galliard-Minier, M. Guillaume Gouffier-Cha, M. Patrick Hetzel, M. Cyrille Isaac-Sibille, Mme Caroline Janvier, Mme Anne-Christine Lang, Mme Marie Lebec, Mme Monique Limon, Mme Brigitte Liso, M. Jacques Marilossian, M. Didier Martin, Mme Sereine Mauborgne, M. Jean François Mbaye, Mme Emmanuelle Ménard, M. Thomas Mesnier, M. Maxime Minot, Mme Danièle Obono, Mme George Pau-Langevin, Mme Sylvia Pinel, Mme Claire Pitollat, Mme Florence Provendier, Mme Laëtitia Romeiro Dias, M. Hervé Saulignac, Mme Marie Tamarelle-Verhaeghe, M. Jean-Louis Touraine, Mme Laurence Vanceunebrock, Mme Michèle de Vaucouleurs, M. Philippe Vigier, M. Guillaume Vuilletet Excusés. - Mme Annie Genevard, M. Raphaël Gérard, Mme Marie-Pierre Rixain Assistaient également à la réunion. - M. Fabien Di Filippo, Mme Agnès Thill Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique Réunion du mercredi 1er juillet 2020 à 15 heures Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, Mme Aurore Bergé, M. Philippe Berta, M. Xavier Breton, M. Pascal Brindeau, Mme Anne-France Brunet, Mme Bérangère Couillard, M. Marc Delatte, M. Pierre Dharréville, Mme Coralie Dubost, Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Pierre-Henri Dumont, M. Jean-François Eliaou, Mme Nathalie Elimas, Mme Elsa Faucillon, Mme Agnès Firmin Le Bodo, Mme Emmanuelle Fontaine-Domeizel, M. Bruno Fuchs, Mme Camille Galliard-Minier, Mme Annie Genevard, M. Guillaume Gouffier-Cha, M. Patrick Hetzel, M. Cyrille Isaac-Sibille, Mme Monique Limon, Mme Brigitte Liso, M. Jacques Marilossian, Mme Sereine Mauborgne, M. Jean François Mbaye, Mme Emmanuelle Ménard, M. Thomas Mesnier, Mme Danièle Obono, Mme George Pau-Langevin, Mme Sylvia Pinel, Mme Bénédicte Pételle, Mme Laëtitia Romeiro Dias, Mme Laurianne Rossi, M. Hervé Saulignac, M. Jean-Louis Touraine, Mme Laurence Vanceunebrock, Mme Michèle de Vaucouleurs Assistaient également à la réunion. - Mme Géraldine Bannier, M. Fabien Di Filippo, Mme Agnès Thill Réunion du mercredi 1er juillet 2020 à 22 h 10 Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, Mme Aurore Bergé, M. Philippe Berta, M. Xavier Breton, Mme Anne-France Brunet, M. Guillaume Chiche, M. Marc Delatte, M. Pierre Dharréville, Mme Coralie Dubost, Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Pierre-Henri Dumont, M. Jean-François Eliaou, Mme Nathalie Elimas, Mme Elsa Faucillon, Mme Agnès Firmin Le Bodo, Mme Emmanuelle Fontaine-Domeizel, M. Bruno Fuchs, Mme Camille Galliard-Minier, Mme Annie Genevard, M. Guillaume Gouffier-Cha, M. Patrick Hetzel, M. Cyrille Isaac-Sibille, Mme Caroline Janvier, Mme Anne-Christine Lang, Mme Monique Limon, Mme Brigitte Liso, M. Jacques Marilossian, M. Didier Martin, Mme Sereine Mauborgne, M. Jean François Mbaye, Mme Emmanuelle Ménard, M. Thomas Mesnier, M. Maxime Minot, Mme Danièle Obono, Mme Sylvia Pinel, Mme Natalia Pouzyreff, Mme Florence Provendier, M. Hervé Saulignac, Mme Marie Tamarelle-Verhaeghe, M. Jean-Louis Touraine, Mme Laurence Vanceunebrock, Mme Michèle de Vaucouleurs, M. Philippe Vigier Assistaient également à la réunion. - Mme Géraldine Bannier, M. Fabien Di Filippo, Mme Agnès Thill Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis Réunion du mercredi 1er juillet 2020 à 14 h 30 Présents. - Mme Sylvie Charrière, Mme Emmanuelle Fontaine-Domeizel, Mme Caroline Janvier, M. Ludovic Mendes, M. Jean-Baptiste Moreau, M. Robin Reda Excusé. - Mme Michèle Victory 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 146 Informations parlementaires ASSEMBLÉE NATIONALE Session extraordinaire de 2019-2020 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS NOR : INPA2017157X Documents parlementaires Dépôt du jeudi 2 juillet 2020 Dépôt d’un projet de loi organique M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 2 juillet 2020, transmis par M. le Premier ministre, un projet de loi organique, modifié par le Sénat, relatif à la dette sociale et à l’autonomie. Ce projet de loi organique, no 3179, est renvoyé à une commission spéciale, en application de l’article 83 du règlement. Dépôt de projets de loi M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 2 juillet 2020, transmis par M. le Premier ministre, un projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, en nouvelle lecture, organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire. Ce projet de loi, no 3178, est renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement. M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 2 juillet 2020, transmis par M. le Premier ministre, un projet de loi, modifié par le Sénat, relatif à la dette sociale et à l’autonomie. Ce projet de loi, no 3180, est renvoyé à une commission spéciale, en application de l’article 83 du règlement. Dépôt d’un rapport M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 2 juillet 2020, de M. Christophe Blanchet, un rapport, no 3177, fait au nom de Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte les dispositions restant en discussion de la proposition de loi permettant d’offrir des chèques-vacances aux personnels des secteurs sanitaire et médico-social en reconnaissance de leur action du. : Annexe 0 : texte de la commission mixte paritaire. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 146 Informations parlementaires SÉNAT Session extraordinaire de 2019-2020 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES NOR : INPS2017153X Réunions Vendredi 3 juillet 2020 Commission d’enquête sur les problèmes sanitaires et écologiques liés aux pollutions des sols qui ont accueilli des activités industrielles ou minières et sur les politiques publiques et industrielles de réhabilitation de ces sols à 14 heures en téléconférence Ouverte à la presse – Captation vidéo - Audition de MM. Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé, et Jérôme Salomon, directeur général de la santé du ministère des solidarités et de la santé. Mission d’information sur le fonctionnement et l’organisation des fédérations sportives à 14 heures en téléconférence à 14 heures : - Audition conjointe de représentants de la Fédération française de football, de la Fédération française de tennis et de la Fédération française de rugby. à 15 h 30 : - Audition de MM. Jean Castex, président de l’Agence nationale du sport, et Frédéric Sanaur, directeur général. Membres présents ou excusés Commission des affaires économiques Séance du mercredi 1 juillet 2020 Présents : Viviane Artigalas, Henri Cabanel, François Calvet, Anne Chain-Larché, Roland Courteau, Alain Duran, Dominique Estrosi Sassone, Françoise Férat, Michel Magras, Jean-Pierre Moga, Sylviane Noël, Catherine Procaccia, Évelyne Renaud-Garabedian, Denise Saint-Pé. Assistaient également à la séance en visioconférence : Serge Babary, Anne-Marie Bertrand, Yves Bouloux, Marie-Christine Chauvin, Cécile Cukierman, Pierre Cuypers, Laurent Duplomb, Fabien Gay, Daniel Gremillet, Joël Labbé, Élisabeth Lamure, Valérie Létard, Anne-Catherine Loisier, Pierre Louault, Franck Menonville, Patricia Morhet-Richaud, Jackie Pierre, Sophie Primas, Marie-Noëlle Schoeller, Jean-Claude Tissot. Excusés : Alain Chatillon, Annie Guillemot, Daniel Laurent, Guylène Pantel. Séance du jeudi 2 juillet 2020 Présents : Pierre Cuypers, Joël Labbé, Pierre Louault, Franck Menonville, Michel Raison, MarieNoëlle Schoeller. Assistaient également à la séance en visioconférence : Viviane Artigalas, Anne-Marie Bertrand, Henri Cabanel, Marie-Christine Chauvin, Alain Duran, Daniel Gremillet, Anne-Catherine Loisier, Sylviane Noël, Sophie Primas, Noëlle Rauscent, Denise Saint-Pé. Assistaient en outre à la séance : Mireille Jouve (commission de la culture, de l’éducation et de la communication), Cyril Pellevat (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Simon Sutour (commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale), Benoît Huré (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Pascale Gruny (commission des affaires sociales), Assistaient en outre à la séance en visioconférence : Jean Bizet (commission des finances), Jean-Yves Leconte (commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale), Jean-François Rapin (commission des finances), André Reichardt (commission des lois constitutionnel­ les, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale). Commission des affaires sociales Séance du mercredi 1 juillet 2020 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 146 Présents : Cathy Apourceau-Poly, Martine Berthet, Christine Bonfanti-Dossat, Bernard Bonne, JeanNoël Cardoux, Laurence Cohen, Muriel Cabaret, Yves Daudigny, Gérard Dériot, Chantal Deseyne, Élisabeth Doi­ neau, Michel Forissier, Michelle Gréaume, Pascale Gruny, Jocelyne Guidez, Olivier Henno, Bernard Jomier, Florence Lassarade, Michelle Meunier, Alain Milon, Jean-Marie Morisset, René-Paul Savary, Jean Sol, Dominique Théophile, Jean-Marie Vanlerenberghe. Assistaient également à la séance en visioconférence : Corinne Féret, Véronique Guillotin, Xavier Iacovelli, Corinne Imbert, Monique Lubin, Viviane Malet, Frédérique Puissat, Marie-Pierre Richer, Laurence Rossignol, Sabine Van Heghe. Excusé : Colette Giudicelli. Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable Séance du mercredi 1 juillet 2020 Présents : Jérôme Bignon, Joël Bigot, Jean-Marc Boyer, Stéphane Cardenes, Françoise Cartron, Patrick Chaize, Guillaume Chevrollier, Marta de Cidrac, Martine Filleul, Hervé Gillé, Jordi Ginesta, Guillaume Gontard, JeanMichel Houllegatte, Benoît Huré, Jean-François Longeot, Didier Mandelli, Pascal Martin, Hervé Maurey, Angèle Préville, Françoise Ramond, Nadia Sollogoub, Nelly Tocqueville, Michel Vaspart, Michèle Vullien. Assistaient également à la séance en visioconférence : Alain Fouché, Éric Gold, Christine Lanfranchi Dorgal, Philippe Pemezec, Évelyne Perrot, Jean-Paul Prince, Christophe Priou, Esther Sittler. Excusés : Éliane Assassi, Nicole Bonnefoy, Ronan Dantec, Frédéric Marchand. Ont délégué leur droit de vote : Christine Lanfranchi Dorgal, Jean-Claude Luche, Louis-Jean de Nicolaÿ, JeanJacques Panunzi, Philippe Pemezec, Rémy Pointereau, Esther Sittler, Nadia Sollogoub. Commission des finances 1ère séance du mercredi 1 juillet 2020 Présents : Philippe Adnot, Jérôme Bascher, Arnaud Bazin, Michel Canevet, Vincent Capo-Canellas, Emmanuel Capus, Thierry Carcenac, Yvon Collin, Philippe Dallier, Vincent Delahaye, Vincent Éblé, JeanMarc Gabouty, Charles Guené, Jean-François Husson, Patrice Joly, Roger Karoutchi, Christine Lavarde, Antoine Lefèvre, Albéric de Montgolfier, Claude Nougein, Didier Rambaud, Jean-François Rapin, Pascal Savol­ delli, Vincent Segouin, Sophie Taillé-Polian. Assistaient également à la séance en visioconférence : Julien Bargeton, Éric Bocquet, Victorin Lurel, Sébastien Meurant, Nathalie Goulet, Éric Jeansannetas, Claude Raynal, Jean-Claude Requier, Sylvie Vermeillet A délégué son droit de vote : Vincent Delahaye. Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale 1ère séance du mercredi 1 juillet 2020 Présents : Catherine André, Philippe Bas, Maryse Carrère, Mathieu Darnaud, Yves Détraigne, Catherine Di Folco, Jérôme Durain, Jacqueline Eustache-Brinio, Jean-Luc Fichet, Christophe-André Frassa, Muriel Jourda, Éric Kerrouche, Jean-Yves Leconte, Henri Leroy, Didier Marie, Marie Mercier, Alain Richard, Jean-Pierre Sueur. Assistaient également à la séance en visioconférence : Esther Benbassa, Marie-Pierre de la Gontrie, Simon Sutour Ont délégué leur droit de vote : François Bonhomme, François-Noël Buffet, Agnès Canayer, Marc-Philippe Dau­ bresse, Jacky Deromedi, Pierre Frogier, François Grosdidier, Sophie Joissains, Catherine Troendlé. Commission d’enquête sur le contrôle, la régulation et l’évolution des concessions autoroutières Séance du mercredi 1 juillet 2020 Présents : Vincent Delahaye, Éric Jeansannetas. Assistaient également à la séance en visioconférence : Éric Bocquet, Roland Courteau, Olivier Jacquin. Séance du jeudi 2 juillet 2020 Présents : Éric Bocquet, Vincent Delahaye, Éric Jeansannetas, Christine Lavarde. Assistaient également à la séance en visioconférence : Alain Fouché, Olivier Jacquin. Commission d’enquête pour l’évaluation des politiques publiques face aux grandes pandémies à la lumière de la crise sanitaire de la covid-19 et de sa gestion Séance du jeudi 2 juillet 2020 Présents : Éliane Assassi, David Assouline, Arnaud Bazin, Laurence Cohen, Annie Delmont-Koropoulis, Catherine Deroche, Jacky Deromedi, Marie-Pierre de la Gontrie, Jocelyne Guidez, Annie Guillemot, Véronique Guillotin, Bernard Jomier, Muriel Jourda, Roger Karoutchi, Martin Lévrier, Michelle Meunier, Alain Milon, Angèle Préville, Jean-François Rapin, Damien Regnard, René-Paul Savary, Jean Sol. Excusés : Emmanuel Capus, Claude Malhuret, Didier Rambaud, Jean-Marie Vanlerenberghe, Sylvie Vermeillet. Mission d’information sur la lutte contre l’illectronisme et inclusion numérique Séance du mardi 30 juin 2020 Présents : Martine Berthet, Éric Gold, Pascale Gruny, Jean-Marie Mizzon, Angèle Préville, Marie-Pierre Richer, Denise Saint-Pé, Raymond Vall. Excusé : Emmanuel Capus. Séance du jeudi 2 juillet 2020 Présents : Jacques-Bernard Magner, Jean-Marie Mizzon, Marie-Pierre Richer, Raymond Vall. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 146 Bureau de commission d’enquête Commission d’enquête pour l’évaluation des politiques publiques face aux grandes pandémies à la lumière de la crise sanitaire de la covid-19 et de sa gestion À l’issue de sa réunion constitutive, le bureau de la mission est ainsi constitué : Président : M. Alain Milon (LR) Rapporteurs : – Mme Catherine Deroche (LR) – M Bernard Jomier (SOC) – Mme Sylvie Vermeillet (UC) Vice-présidents : – Philippe Adnot (NI) – Mme Eliane Assassi (CRCE) – M. Emmanuel Capus (LIRT) – Mme Véronique Guillotin (RDSE) – M. Martin Lévrier (LREM) Mme Angèle Préville SOC M. René-Paul Savary LR Convocations Commission des affaires économiques I. Mardi 7 juillet 2020 à 14 heures (Salle A263 et en téléconférence) 1 – Examen des éventuels amendements de séance déposés sur les articles délégués au fond sur le texte no 553 (2019-2020) du projet de loi no 314 rect. bis (2019-2020) portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière économique et financière (M. Laurent Duplomb, rapporteur) ; 2 – Questions diverses. II. Mercredi 8 juillet 2020 à 9 h 30 (Salle Clemenceau et en téléconférence) Captation vidéo. 1 – Examen, en commun avec la commission des affaires européennes, du rapport et de la proposition de résolution européenne de MM. Alain Chatillon et Olivier Henno sur l’évolution de la politique européenne de concurrence ; 2 – Questions diverses. III. Mercredi 8 juillet 2020 à 16 h 15 (Salle Clemenceau et en téléconférence) Ouverte à la presse. Captation vidéo. 1 – Audition, en commun avec la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, de Mme Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, sur la relance verte et les propositions de la convention citoyenne pour le climat ; 2 – Questions diverses. Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées Mercredi 8 juillet 2020 à 9 h 30 (Salle René Monory et en téléconférence) à 17 heures (Salle René Monory et en téléconférence) À 9 h 30 1o Audition du général de division Pascal Facon, commandant de l’opération Barkhane (COMANFOR). 2o Examen du rapport d’information de MM. Pascal Allizard et Michel Boutant sur le financement de la BITD (base industrielle et technologique de défense). 3o Questions diverses. À 17 heures Captation vidéo. 1o Audition de M. Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, sur la situation en Méditerranée. 2o Questions diverses. Commission des finances Seuls les sénateurs présents physiquement pourront prendre part au vote. Mardi 7 juillet 2020 à 13 h 30 (Salle de la commission et par visioconférence) 1o Examen des amendements de séance déposés sur le texte no 553 (2019-2020) adopté par la commission, sur le projet de loi no 314 rect. bis (2019-2020)1 portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière économique et financière2 (M. Jean BIZET, rapporteur) 2o Questions diverses. Mercredi 8 juillet 2020 à 9 heures (Salle de la commission et par visioconférence) 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 146 1o Examen des éventuels amendements de séance sur le projet de loi no 505 (2019-2020) de règlement du budget et d’approbation des comptes de l’année 20192 (M. Albéric de MONTGOLFIER, rapporteur général) 2o Examen du rapport de M. Albéric de MONTGOLFIER, rapporteur général, sur le troisième projet de loi de finances rectificative pour 2020, sous réserve de sa transmission2 3o Communication de M. Vincent ÉBLÉ, Président, sur la recevabilité financière des initiatives parlementaires 4o Contrôle budgétaire – communication de MM. Charles GUENÉ et Claude RAYNAL, rapporteurs spéciaux, sur la refonte de la péréquation 5o Contrôle budgétaire – communication de MM. Arnaud BAZIN et Éric BOCQUET, rapporteurs spéciaux, sur la lutte contre les violences faites aux femmes 6o Contrôle budgétaire – communication de M. Dominique DE LEGGE, rapporteur spécial, sur l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (ONERA) 7o Désignation des candidats pour faire partie de l’éventuelle commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes de l’année 2019 8o Questions diverses. Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale Mercredi 8 juillet 2020 à 9 h 30 (Salle Médicis et en téléconférence) Ouverte à la presse. 1o Audition du général Christian Rodriguez, directeur général de la gendarmerie nationale, dans le cadre de la mission d’information relative aux moyens d’action et aux méthodes d’intervention de la police et de la gendarmerie ; Seuls les sénateurs présents physiquement pourront prendre part au vote. 2o Examen du rapport de M. Jacques Bigot et du texte proposé par la commission sur la proposition de loi no 242 (2019-2020), adoptée par l’Assemblée nationale, après engagement de la procédure accélérée, visant à homologuer des peines d’emprisonnement prévues en Nouvelle-Calédonie ; Le délai limite pour le dépôt des amendements, auprès du secrétariat de la commission (Ameli commission), est fixé au : Vendredi 3 juillet à 12 heures 3o Examen du rapport d’information sur le contrôle de la loi no 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19 ; 4o Questions diverses. Jeudi 9 juillet 2020 à 8 h 30 (Salle Médicis et en téléconférence) 1o Examen, en commun avec la commission des affaires européennes, du rapport d’information sur la lutte contre la cybercriminalité (Rapporteurs : Mme Sophie Joissains et M. Jacques Bigot) ; 2o Questions diverses. Commission d’enquête sur le contrôle, la régulation et l’évolution des concessions autoroutières Ouvertes à la presse. Captation vidéo. Jeudi 9 juillet 2020 à 14 heures (Salle Médicis) À 14 heures (Salle Médicis) 1o Audition de Mme Ségolène ROYAL, ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie de 2014 à 20161 2o Questions diverses. À 16 heures (Salle Médicis) 1o Audition de M. Dominique de VILLEPIN, Premier ministre de 2005 à 20071 2o Questions diverses. Mission d’information sur la lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique Lundi 6 juillet 2020 à 10 heures (En téléconférence) Audition de la Direction générale des réseaux de communication, du contenu et des technologies de la Commission européenne (DG Connect) : - M. Khalil Rouhana, directeur général adjoint - Mme Fabrizia Benini, chef d’Unité Économie et compétences numériques - Mme Rehana Schwinninger-Ladak, chef d’Unité Technologies interactives, digitalisation de la culture et de l’éducation. Jeudi 9 juillet 2020 à 11 h 30 (En téléconférence) Échanges de vues sur les travaux en cours de la mission d’information. Mission d’information sur le fonctionnement et l’organisation des fédérations sportives Lundi 6 juillet 2020 à 14 h 15 (En téléconférence) 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 146 1o Audition conjointe de représentants de la Fédération française de football, de la Fédération française de tennis et de la Fédération française de rugby : • M. Bernard Giudicelli, président de la Fédération française de tennis (FFT) ; • MM. Kenny Jean-Marie, directeur de cabinet du président de la Fédération française de football (FFF), et Pierre Samsonoff, directeur général de la Ligue de football amateur ; • M. Christian Dullin, secrétaire général de la Fédération française de rugby (FFR). 2o Questions diverses. Mercredi 8 juillet 2020 à 16 h 30 (En téléconférence) 1o Audition de Mme Roxana Maracineanu, ministre des sports. 2o Questions diverses. Délais limites de dépôt des amendements en commission Commission des affaires sociales Proposition de loi permettant d’offrir des chèques-vacances aux personnels des secteurs sanitaire et médicosocial en reconnaissance de leur action durant l’épidémie de covid-19 : Mardi 21 juillet 2020 17h00 Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale - Proposition de loi visant à homologuer des peines d’emprisonnement prévues en Nouvelle-Calédonie : Vendredi 3 juillet 2020 12h00 Projet de loi organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire : Mercredi 1 juillet 2020 9h00 - Proposition de loi instaurant des mesures de sûreté à l’encontre des auteurs d’infractions terroristes à l’issue de leur peine : Vendredi 10 juillet 2020 12h00 - Proposition de loi visant à protéger les victimes de violences conjugales : Lundi 20 juillet 2020 12h00 - Projet de loi organique portant report des élections sénatoriales et des élections législatives partielles : Lundi 20 juillet 2020 12h00 COMMISSION DES AFFAIRES EUROPÉENNES Membres présents ou excusés Commission des affaires européennes 1ère séance du jeudi 2 juillet 2020 Présents : Pierre Cuypers, Pascale Gruny, Benoît Huré, Mireille Jouve, Franck Menonville, Cyril Pellevat, Michel Raison, Simon Sutour. Assistaient également à la séance en visioconférence : Jean Bizet, Jean-Yves Leconte, Jean-François Rapin, André Reichardt, Excusé : Christophe-André Frassa. Assistaient en outre à la séance : Daniel Gremillet (commission des affaires économiques), Joël Labbé (commission des affaires économiques), Anne-Catherine Loisier (commission des affaires économiques), Pierre Louault (commission des affaires économiques), Marie-Noëlle Schoeller (commission des affaires économiques). Assistaient en outre à la séance en visioconférence : Viviane Artigalas (commission des affaires économiques), Anne-Marie Bertrand (commission des affaires économiques), Henri Cabanel (commission des affaires économiques), Marie-Christine Chauvin (commission des affaires économiques), Alain Duran (commission des affaires économiques), Daniel Gremillet (commission des affaires économiques), Anne-Catherine Loisier (commission des affaires économiques), Sylviane Noël (commission des affaires économiques), Sophie Primas (commission des affaires économiques), Noëlle Rauscent (commission des affaires économiques), Denise Saint-Pé (commission des affaires économiques). Convocation Commission des affaires européennes Mercredi 8 juillet 2020 à 9 h 30 (Salle Clemenceau et par visioconférence) Captation vidéo. 1o Examen, en commun avec la commission des affaires économiques, du rapport et de la proposition de résolution européenne de MM. Alain Chatillon et Olivier Henno sur l’évolution de la politique européenne de concurrence 1 ; 2o Questions diverses. Jeudi 9 juillet 2020 à 8 h 30 (Salle Médicis et par visioconférence) 1o Examen, en commun avec la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, du rapport d’information, de la proposition de résolution européenne et de l’avis politique de Mme Sophie Joissains et M. Jacques Bigot sur la lutte contre la cybercriminalité ; Ouverte à la presse. Captation vidéo. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 146 2o Audition de M. Janez Lenarčič, commissaire européen à la gestion des crises1, 2 ; Ouverte à la presse. Captation vidéo. 3o Audition de S. E. M. Nikolaus Meyer-Landrut, Ambassadeur d’Allemagne en France1, 2 ; 4o Examen du rapport d’information de M. Jean Bizet sur l’agriculture et la politique de concurrence ; 5o Questions diverses. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 146 Informations parlementaires SÉNAT Session extraordinaire de 2019-2020 DOCUMENTS PUBLIÉS NOR : INPS2017147X Addenda aux documents publiés sur le site internet du Sénat le mercredi 1er juillet 2020 No 516 (2019-2020) Rapport fait par M. Jean-François RAPIN au nom de la commission des finances sur la proposition de résolution européenne de MM. Jean BIZET et Simon SUTOUR au nom de la commission des affaires européennes, en application de l’article 73 quater du Règlement, relative à la proposition révisée de cadre financier pluriannuel 2021-2027 et à la proposition de mise en place d’un instrument de relance pour faire face aux conséquences de la pandémie de Covid-19 (no 497, 2019-2020) et texte de la commission. No 571 (2019-2020) Proposition de résolution européenne présentée par Mmes Sylviane NOËL, Frédérique PUISSAT, MM. Michel SAVIN, Jean-Pierre VIAL, Mme Colette GIUDICELLI, M. Cyril PELLEVAT et Mme Martine BERTHET, en application de l’article 73 quinquies du Règlement, visant à modifier le classement dont bénéficie le loup au sein de la Convention de Berne, envoyée à la commission des affaires européennes. No 582 (2019-2020) Rapport fait par M. Philippe BAS au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale sur le projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale en nouvelle lecture, organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire (no 578, 2019-2020). Documents publiés sur le site internet du Sénat le jeudi 2 juillet 2020 No 526 (2019-2020) Rapport d’information fait par MM. Jean-Pierre GRAND et Rachid TEMAL au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées sur le suivi du rapatriement des Français de passage à l’étranger pendant la crise sanitaire. No 589 (2019-2020) Texte de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi permettant d’offrir des chèques-vacances aux personnels des secteurs sanitaire et médico-social en reconnaissance de leur action durant l’épidémie de covid-19. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 146 Informations parlementaires COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES NOR : INPX2017144X 1. Composition Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi visant à protéger les victimes de violences conjugales À la suite des nominations effectuées par l’Assemblée nationale le jeudi 2 juillet 2020 et par le Sénat dans sa séance du merdredi 24 juin 2020, cette commission est ainsi composée : Députés Titulaires Suppléants Mme Bérangère Couillard Mme Alexandra Louis M. Guillaume Gouffier-Cha M. Guillaume Vuilletet Mme Nicole Le Peih Mme Cécile Untermaier Mme Yaël Braun-Pivet Mme Sophie Auconie Mme Valérie Boyer M. Jean-Félix Acquaviva M. Antoine Savignat M. Dimitri Houbron M. Erwan Balanant M. Stéphane Peu Sénateurs Titulaires Suppléants M. Philippe Bas M. François Bonhomme Mme Marie Mercier Mme Catherine Di Folco Mme Jacky Deromedi Mme Jacqueline Eustache-Brinio Mme Annick Billon Mme Dominique Vérien Mme Marie-Pierre de la Gontrie Mme Laurence Harribey Mme Laurence Rossignol Mme Maryse Carrère M. Thani Mohamed Soilihi Mme Esther Benbassa Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi permettant d’offrir des chèques-vacances aux personnels des secteurs sanitaire et médicosocial en reconnaissance de leur action durant l’épidémie de covid 19 Dans sa séance du jeudi 2 juillet 2020, la commission mixte paritaire a nommé son bureau ainsi composé : Président : M. Alain Milon Vice-Présidente : Mme Pascale Fontenel-Personne Rapporteurs : M. Christophe Blanchet Mme Frédérique Puissat 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 146 2. Réunions Jeudi 9 Juillet 2020 Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes de l’année 2019, A 9 h 30 au Sénat, salle no 131 (salle de la commission des finances) : (sous réserve des travaux du Sénat et de la demande du Gouvernement) - nomination du bureau ; - nomination des rapporteurs ; - examen des dispositions restant en discussion du projet de loi. Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi visant à protéger les victimes de violences conjugales, A 14 heures (Sénat, salle Clemenceau) : - nomination du bureau ; - nomination des rapporteurs ; - examen des dispositions restant en discussion de la proposition de loi. 3. Membres présents ou excusés Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi permettant d’offrir des chèques-vacances aux personnels des secteurs sanitaire et médicosocial en reconnaissance de leur action durant l’épidémie de covid 19 Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 9 heures Députés Titulaires. - M. Christophe Blanchet, Mme Christine Cloarec-Le Nabour, Mme Pascale Fontenel-Personne, M. Maxime Minot, Mme Michèle de Vaucouleurs Suppléants. - Mme Sereine Mauborgne, M. Jean-Marc Zulesi Sénateurs Titulaires. - M. Yves Daudigny, Mme Pascale Gruny, Mme Jocelyne Guidez, M. Bernard Jomier, M. Martin Lévrier, M. Alain Milon, Mme Frédérique Puissat Suppléants. - Mme Catherine Deroche, Mme Michelle Meunier 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 146 Informations parlementaires OFFICES ET DÉLÉGATIONS OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES NOR : INPX2017156X 1. Réunions Mercredi 8 juillet 2020 A 17 heures visioconférence avec captation (faite au Sénat) : - présentation, ouverte à la presse, du rapport annuel pour 2019 de la Commission nationale d’évaluation des recherches et études relatives à la gestion des matières et des déchets radioactifs (CNE2), par M. Gilles PijaudierCabot, président. Jeudi 9 juillet 2020 A 9 h 30 salle 7040 (103, rue de l’université) : - communication de Pierre Henriet, député, et Pierre Ouzoulias, sénateur, sur leur rapport Intégrité et publications scientifiques. 2. Ordre du jour prévisionnel Jeudi 16 juillet 2020 A 9 h 30 Sénat (Grande salle Delavigne) : - examen du rapport de Roland Courteau, sénateur, et Jean-Luc Fugit, député, sur la production d’énergie dans le secteur agricole. 3. Membres présents ou excusés Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 9 h 30 Députés Présents. - M. Antoine Herth, M. Cédric Villani Excusés. - M. Jean-François Eliaou, M. Claude de Ganay Sénateurs Présents. - Mme Laure Darcos, M. Ronan Le Gleut, M. Pierre Ouzoulias Excusé. - M. Gérard Longuet 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 146 Informations parlementaires OFFICES ET DÉLÉGATIONS DÉLÉGATION PARLEMENTAIRE AU RENSEIGNEMENT NOR : INPX2017155X Membres présents ou excusés Réunion du jeudi 2 juillet 2020 à 14 h 30 Député Excusé. – M. Loïc Kervran Sénateurs Présent. – M. Michel Boutant Excusé. – M. François-Noël Buffet 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 146 Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS PREMIER MINISTRE Avis de vacance d’emploi de conseiller pour les affaires sociales NOR : PRMG2016838V La France assurera la présidence tournante de l’Union européenne au 1er semestre 2022 (PFUE 2022). A cette occasion, l’équipe en place des trois conseillers pour les affaires sociales (CAS) au sein de la Représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne (RPFUE) à Bruxelles va être renforcée par une équipe temporaire de conseillers aux affaires sociales jusqu’à la fin de l’exercice 2022. L’équipe permanente déjà en place est composée des trois conseillers suivants : – un conseiller chargé des questions de santé ; – un conseiller chargé des questions de travail, emploi, protection sociale et affaires sociales ; – un conseiller adjoint chargé des questions d’affaires sociales, d’inclusion et d’égalité hommes-femmes. Ces conseillers ont pour fonction de représenter la France dans les enceintes formelles de négociation européennes sur les questions relevant des politiques publiques européennes dans les domaines cités. L’équipe de conseillers recrutée en renfort sera spécifiquement dédiée à la préparation et au suivi de la PFUE 2022 au sein de la RP à Bruxelles, sur l’ensemble des champs sanitaires et sociaux en santé publique-médicament et en travail-emploi-affaires sociales. Cet avis de vacance porte sur l’emploi proposé de CAS en charge des questions de travail, emploi et affaires sociales au sens large. Recrutement prévu au 1er semestre 2021. Sous l’autorité hiérarchique de l’ambassadeur, représentant permanent de la France auprès de l’Union européenne à Bruxelles et fonctionnelle du représentant permanent adjoint, en étroite collaboration avec le directeur de projet PFUE 2022 placé auprès de la secrétaire générale des ministères sociaux, les cabinets des ministères sociaux, la délégation aux affaires européennes et internationales (DAEI), et l’équipe permanente de conseillers déjà en place à Bruxelles, en lien avec le secrétariat général aux affaires européennes (SGAE) et les départements ministériels responsables, le conseiller contribue, dans un cadre interministériel, à la préparation et à la réalisation des objectifs de la PFUE 2022 dans un champ thématique large et diversifié cadré par les priorités stratégiques portées par la présidence française en matière de questions sociales, travail, emploi, inclusion et égalités femmes-hommes. Le conseiller recruté veillera par ailleurs à maintenir une parfaite synergie avec les autres secteurs de la Représentation permanente avec lesquels le champ social comporte de multiples interfaces. L’attention des candidats est appelée spécifiquement sur les exigences attendues pour la présidence française : les conseillers en poste pendant cette période auront un rôle majeur dans la conduite des négociations européennes, soumises à des échéances très courtes, et devront présider les groupes du Conseil qui préparent les décisions du Conseil des ministres. Ils seront aussi, le cas échéant, en première ligne dans les négociations avec le Parlement européen pour les textes au stade de trilogues. Ce contexte particulier nécessite d’excellentes qualités de négociateur, d’écoute, tout en impliquant une grande maîtrise juridique et technique des dossiers. Les conseillers en poste devront rapporter de façon rapprochée aux ambassadeurs, aux cabinets (ministres, Premier ministre, présidence de la République) et aux autorités ministérielles. Dans le contexte particulier de la crise sanitaire liée au covid-19 et de la post-crise, l’Union européenne – dans les mois à venir – va se concentrer essentiellement sur la gestion des conséquences de cette crise. L’un des grands volets du plan de relance de l’économie européenne en cours de préparation par les services de la Commission portera sur les questions économiques et de l’emploi : les ministères sociaux devront suivre de près l’impact de ce plan de relance sur les politiques sociales et d’emploi, ainsi que la proposition de système de réassurance chômage que fera la Commission et qui devra être négociée par les Etats membres au sein de la sphère emploi – politiques sociales. Dans ce contexte, le conseiller recruté en renfort devra disposer des compétences nécessaires pour négocier ces dossiers en lien avec les collègues du ministère de l’économie et des finances. Il constituera ainsi avec le conseiller 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 146 déjà en poste sur ces questions le duo « présidence PFUE 2022 » pour la partie travail, emploi et questions sociales au sens large. Compte tenu de l’importance stratégique de ces postes, des responsabilités spécifiques inhérentes au travail dans les enceintes de négociation européennes et des objectifs assignés aux CAS, le titulaire de ce poste, appartenant de préférence à un corps supérieur de la fonction publique, devra réunir le maximum possible des critères suivants : – connaissance approfondie des domaines et des administrations de l’ensemble des ministères sociaux et plus spécifiquement du domaine d’activité des postes proposés ; – connaissance approfondie des questions européennes et du fonctionnement des institutions de l’Union européenne ; – sens de la négociation ; – excellente capacité d’analyse et de synthèse ; – bonnes capacités rédactionnelles ; – solides qualités relationnelles et capacité à créer et entretenir des réseaux d’interlocuteurs ; – très grande disponibilité horaire et réactivité. Une expérience du travail en milieu international serait un atout pour le poste. Les candidats doivent pouvoir impérativement travailler et négocier en langue anglaise. La connaissance d’une langue communautaire supplémentaire serait appréciée. Les conseillers « PFUE 2022 » seront recrutés jusqu’à fin 2022, comprenant d’éventuels travaux à l’issue de la présidence française, liés au suivi des chantiers avec la présidence suivante et aux travaux nécessaires de reporting. L’ensemble du réseau des conseillers pour les affaires sociales est rattaché à la délégation aux affaires européennes et internationales (DAEI) des ministères chargés des affaires sociales. Des renseignements complémentaires peuvent, le cas échéant, être obtenus auprès de Mme Christiane Labalme, déléguée aux affaires européennes et internationales (courriel : [email protected]), de Mme Elvire Aronica, déléguée adjointe aux affaires européennes et internationales (courriel : elvire.aronica@sg. social.gouv.fr) ou de M. Jean Thiébaud, chef de cabinet (courriel : [email protected]). Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, doivent être transmises, revêtues du visa hiérarchique, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, par courriel uniquement à l’adresse : [email protected], en mettant en copie la DAEI (Mme Labalme, Mme Aronica et M. Thiébaud). 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 146 Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS MINISTÈRE DE LA JUSTICE Avis de recrutement d’un travailleur handicapé par la voie contractuelle dans le corps des adjoints administratifs du ministère de la justice au titre de l’année 2020 NOR : JUST2015115V En application de l’article 27 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée, un recrutement d’un travailleur handicapé par la voie contractuelle dans le corps des adjoints administratifs du ministère de la justice est ouvert au titre de l’année 2020 au sein de la direction de l’administration pénitentiaire et de ses services déconcentrés. Les candidats doivent satisfaire les conditions suivantes : – être de nationalité française ou ressortissant d’un des Etats membres de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen, – jouir de leurs droits civiques, – se trouver en position régulière au regard du code du service national, – remplir les conditions d’aptitude physique exigées pour l’exercice de la fonction, – ne pas avoir de mentions au bulletin no 2 du casier judiciaire incompatibles avec l’exercice des fonctions. Ils doivent en outre établir un dossier de candidature comportant obligatoirement : 1) un curriculum vitae précisant l’état civil, le parcours d’étude et le parcours professionnel détaillé du candidat (avec l’indication des employeurs, des fonctions assurées et dates d’exercice), 2) une lettre de motivation précisant le lieu d’affectation et le poste recherché, 3) un certificat établi par un médecin agréé, seul habilité à établir l’attestation de la compatibilité du handicap avec le poste envisagé. Pour ce faire, le candidat est invité à contacter la direction interrégionale des services pénitentiaires dont il dépend géographiquement afin d’obtenir la liste de ces praticiens. 4) une photocopie d’une pièce d’identité en cours de validité, 5) une photocopie de l’attestation de la carte vitale, 6) un état signalétique des services militaires ou une pièce constatant la situation au regard du code du service national, 7) la photocopie des attestations de travail, le cas échéant, 8) une attestation sur l’honneur certifiant que le candidat n’appartient pas à un corps ou un cadre d’emploi de l’une des trois Fonctions publiques, 9) la notification délivrée par la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) reconnaissant la qualité de travailleur handicapé ou tout autre document administratif justifiant d’un handicap prévu à l’article L. 5212-13 du Code du travail. Le nombre total de postes à pourvoir est fixé à 1. La date limite de dépôt des inscriptions est fixée au 1er septembre 2020 (le cachet de la poste faisant foi). Le dossier doit être déposé auprès du département des ressources humaines et de l’action sociale dans le service de la délégation interrégionale du secrétariat général du ministère de la justice où la personne souhaite postuler. Le dossier d’inscription et la fiche de poste seront accessibles en ligne, sur l’internet du ministère de la justice, à la rubrique METIERS puis Métiers administratifs et de l’informatique http://www.metiers.justice.gouv.fr/ Il sera procédé à une présélection parmi les candidatures déposées. Les candidats présélectionnés seront invités à un entretien de recrutement destiné à vérifier leur aptitude à occuper l’emploi sollicité. L’agent est recruté en qualité d’agent contractuel de droit public et doit effectuer une année de stage dans son service d’affectation. A l’issue de cette période, l’agent a vocation à être titularisé dans le corps des adjoints administratifs du ministère de la justice. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 146 Localisation du poste à pourvoir Nombre de postes Adresse où renvoyer votre dossier d’inscription Délégation interrégionale du secrétariat général - direction Grand Nord Département des achats et de l’exécution budgétaire et comptable 35 boulevard Carnot - 59043 Lille 1 Délégation interrégionale du secrétariat général - direction Grand Nord – Département des ressources humaines et de l’action sociale 35 boulevard Carnot - 59043 Lille 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 146 Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS MINISTÈRE DE LA JUSTICE Avis de recrutement d’un travailleur handicapé par la voie contractuelle dans le corps des secrétaires administratifs du ministère de la justice au titre de l’année 2020 NOR : JUSF2016183V En application de l’article 27 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat, un recrutement de travailleur handicapé par la voie contractuelle dans le corps des secrétaires administratifs du ministère de la justice est ouvert au titre de l’année 2020. Les candidats doivent satisfaire aux conditions générales d’accès à la fonction publique : – être de nationalité française ou ressortissant d’un des Etats membres de l’Union européenne ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen ; – jouir de leurs droits civiques ; – être en position régulière au regard du code du service national ; – satisfaire aux conditions d’aptitude physique exigées pour l’exercice de la fonction ; – ne pas avoir de mentions au bulletin no 2 du casier judiciaire incompatibles avec l’exercice des fonctions. Les candidats devront en outre satisfaire aux conditions de diplôme permettant le recrutement dans le corps des secrétaires administratifs par voie de concours externe donc être titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme équivalent. En application de l’article L. 221-3 du code du sport, les sportifs de haut niveau peuvent faire acte de candidature aux concours de l’État sans remplir les conditions de diplômes exigées. Ils doivent être inscrits sur la liste ministérielle, établie par le ministre chargé des sports, en cours de validité à la date à laquelle est exigé le diplôme pour se présenter au concours. Les mères ou pères de famille (élevant ou ayant élevé au moins trois enfants) peuvent faire acte de candidature sans remplir les conditions de diplôme exigées (décret no 81-317 du 7 avril 1981 modifié). Les candidats doivent de plus établir un dossier de candidature comportant : 1. Un curriculum vitae précisant l’état civil, le parcours d’études suivi et le parcours professionnel détaillé du candidat (avec l’indication des employeurs, des fonctions assurées et des dates d’exercice) ; 2. Une lettre de motivation précisant le lieu d’affectation et le poste recherché ; 3. Un certificat établi par un médecin agréé, seul habilité à établir l’attestation de la compatibilité du handicap avec le poste envisagé. Pour ce faire, le candidat est invité à contacter la direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse dans le ressort de laquelle (desquelles) ils souhaitent postuler afin d’obtenir la liste de ces praticiens (voir la liste des directions interrégionales et leur adresse en annexe) ; 4. Une photocopie d’une pièce d’identité en cours de validité ; 5. Une photocopie de l’attestation de la carte vitale ; 6. Un état signalétique des services militaires ou les pièces constatant la situation au regard du code du service national, le cas échéant ; 7. La photocopie du (des) titre(s) ou diplôme(s) ou de toute pièce attestant du niveau reconnu équivalent ; 8. La photocopie des attestations de travail, le cas échéant ; 9. Une attestation sur l’honneur certifiant que le candidat n’appartient pas à un corps ou un cadre d’emploi de l’une des trois fonctions publiques ; 10. L’attestation de la reconnaissance de travailleur handicapé délivrée par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 7 août 2020. Le dossier doit être déposé auprès du service chargé du recrutement de la direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse dans le ressort de laquelle la personne souhaite postuler. Il sera procédé à une présélection parmi les candidatures déposées et recevables. Les candidats présélectionnés seront invités à un entretien de recrutement destiné à vérifier leur aptitude à occuper l’emploi sollicité. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 146 L’agent sera recruté en qualité d’agent contractuel de droit public. Il bénéficiera d’un contrat pour une période correspondant à celle du stage prévu par le statut des secrétaires administratifs du ministère de la justice dans lequel il a vocation à être titularisé. Localisation des postes à pourvoir Emploi ou métier Département Nombre de pos­ tes Direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse Direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse Sud Est - DRH Secrétaire administratif (gestionnaire chargé de gestion administrative et de paye) 13 1 SUD EST Pour tous renseignements complémentaires, s’adresser au ministère de la justice, direction de la protection judiciaire de la jeunesse, sous-direction des ressources humaines et des relations sociales, bureau du recrutement et de la formation, section de l’organisation des recrutements. Adresse postale : 13, place Vendôme, 75042 Paris Cedex 01. Bureaux situés : 35, rue de la Gare, 75019 Paris. Internet : www.justice.gouv.fr. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 146 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 146 Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Avis fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade de contrôleur principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques NOR : ECOO2010747V Un concours professionnel est organisé pour l’accès au grade de contrôleur principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques au titre de l’année 2020. Le nombre de postes offerts est fixé à 32. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 146 Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES Avis fixant au titre de l’année 2020 le nombre de postes au concours professionnel pour l’accès au grade d’attaché statisticien principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques NOR : ECOO2015075V Un concours professionnel est organisé pour l’accès au grade d’attaché statisticien principal de l’Institut national de la statistique et des études économiques en 2020. Le nombre de postes offerts est fixé à 33. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 146 Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel (DDCSPP d’Eure-et-Loir) NOR : INTA2017059V L’emploi de directeur départemental de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) d’Eure-et-Loir est vacant à compter du 1er septembre 2020. Intérêt du poste Le directeur départemental contribue, sous la responsabilité de la préfète, à la mise en œuvre des politiques publiques en matière de cohésion sociale et de protection des populations. L’intérêt du poste réside dans l’intégration des différentes politiques sur le territoire, la variété des dossiers traités, les partenariats à nouer avec les collectivités locales, les chambres consulaires, les opérateurs de l’Etat et les services de l’Etat ainsi que la gestion de 70 agents. Missions Les missions des directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations sont définies à l’article 6 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux directions départementales interministérielles. Le directeur est chargé des missions suivantes : – mise en œuvre à l’échelle territoriale des orientations stratégiques définies par les ministres et déclinées au niveau régional ; – pilotage, coordination et évaluation de l’action de l’Etat au niveau territorial dans le domaine des politiques publiques dont il a la charge ; – participation à la définition par le responsable du budget opérationnel de programme des objectifs et des indicateurs assignés à la DDI ; – direction des services placés sous sa responsabilité : fixation des objectifs, organisation et répartition des moyens, évaluation des résultats et de la performance, mise en œuvre du dialogue social ; – participation à la définition et à la mise en œuvre des stratégies territoriales pilotées par le préfet ; – représentation du service auprès des partenaires institutionnels et associatifs ; – compte rendus réguliers à l’autorité de rattachement (préfet). Environnement Le poste est situé à Chartres dans les locaux de la cité administrative. Le département compte 365 communes et est peuplé de plus de 444 000 habitants. Le département est découpé en 4 arrondissements. L’agriculture est essentiellement céréalière (Beauce) et les élevages sont situés dans le Perche. Les problématiques liées à la cohésion sociale sont assez prégnantes et un investissement particulier doit notamment être apporté dans le cadre de la mise en œuvre des politiques liées à l’hébergement, au logement et à la politique de la ville, en particulier dans les agglomérations chartraine (Chartres/Lucé/Mainvilliers) et drouaise (Dreux/Vernouillet), et dans une moindre mesure à Châteaudun et à Nogent-le-Rotrou. Sous l’autorité de la préfète de département, la DDCSPP entretient, au niveau régional, des liens étroits avec la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRAAF), la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), la direction régionale et départementale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRDJSCS), la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE). Au plan départemental, elle travaille en particulier avec les services de la préfecture et les sous-préfets, la direction départementale des territoires (DDT), les unités départementales de la DIRECCTE et de l’agence régionale de santé. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 146 Profil recherché/Compétences Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins 6 ans) d’encadrement direct d’un service important composé d’équipes pluridisciplinaires, portant des politiques publiques différenciées. La capacité de manager en mode projet et d’accompagner les changements doit être particulièrement mise en évidence dans la présentation de l’expérience des candidats. Ils devront être en mesure d’assumer des responsabilités de direction stratégique, de conduire des négociations de haut niveau avec des décideurs publics ou privés et de représenter le préfet en situation complexe, environnement sensible et contexte de crise, et plus largement de savoir faire face à la pression. Le poste exige une capacité d’animation, de coordination du travail ainsi qu’une pratique de la conduite et du suivi de projets. Les compétences suivantes sont aussi demandées : – une réelle capacité d’analyse, de synthèse et de réactivité ; – une expérience en animation d’équipes pluridisciplinaires et interministérielles ; – une capacité à piloter des projets et faire prévaloir les enjeux de politiques publiques ; – une aptitude au travail en réseau, à la communication, à l’écoute et à la négociation ; – une réelle disponibilité ; – une capacité d’anticipation et de vision prospective et une appétence pour le management de projets. Enfin, le poste nécessite un plein engagement, en lien avec les services de la préfecture, dans l’accompagnement de la réforme en cours de l’organisation territoriale de l’Etat au plan départemental. La situation particulière de sortie de crise doit être également être prise en compte. Conditions d’emploi Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9, 47 et 49 notamment) et l’arrêté du 13 février 2020 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur (article 6), est classé dans le groupe III en application des dispositions de l’arrêté du 29 décembre 2009 modifié fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des directions départementales interministérielles. Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée totale de six ans. La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné. La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe brute comprise entre 64 500 € et 113 100 €. Elle peut être augmentée par une part annuelle variable dont le maximum est fixé à 8 820 € brut. Procédure de recrutement La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat. Concernant cet emploi : – l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur ; – l’autorité dont relève l’emploi est la préfète d’Eure-et-Loir. Recevabilité des candidatures : L’autorité d’emploi procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe les candidats non éligibles. Examen des candidatures : L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 susmentionné, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à auditionner. L’instance collégiale est composée : – du directeur de la modernisation et de l’administration territoriale ou son représentant ; – ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition écologique et solidaire ou son représentant, le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’alimentation ou son représentant, le secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales ou son représentant et le directeur général de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes ou son représentant. Audition des candidats et choix du candidat retenu : L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 146 A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats auditionnés pour lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat susceptible d’être nommé. Nomination par l’autorité de recrutement : A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats non retenus pour occuper l’emploi à pourvoir sont informés. Dossier de candidature Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel : – à Mme la préfète d’Eure-et-Loir : [email protected] ; – copie à Mme Hélène de COUSTIN, déléguée à la mobilité et aux carrières pour les emplois de direction de l’administration territoriale de l’Etat (DMC/DMAT) : [email protected] ; et – à l’adresse fonctionnelle suivante : [email protected]. Le dossier de candidature devra impérativement comprendre : – une lettre de motivation ; – un curriculum vitae détaillé. Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées : – d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ; – du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ; – des trois derniers bulletins de salaire. Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées : – d’une copie de la carte nationale d’identité ; – de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ; – du dernier contrat de travail ; – des trois derniers bulletins de salaire. Déontologie o Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 du 28 décembre 2016 modifié relatif à l’obligation de transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article 25 ter de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination. Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf. Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination. Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application du IV de l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983. Formation Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonctions, un séminaire de prise de fonctions. Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des ressources humaines dans la fonction publique. Personnes à contacter Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de : – Mme Fadela BENRABIA, préfète d’Eure-et-Loir, 02-37-27-70-09, [email protected] ; – M. Adrien BAYLE, secrétaire général de la préfecture d’Eure-et-Loir, 02-37-27-70-06, [email protected] ; – Mme Hélène de COUSTIN, déléguée à la mobilité et aux carrières pour les emplois de direction de l’administration territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur, 07-72-25-04-15, helene.de-coustin@interieur. gouv.fr. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 146 Références o Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires. Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat. Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et de ses établissements publics (article 14-I). Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat. Arrêté du 13 février 2020 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur. 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Avis et communications AVIS DIVERS MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Statistique mensuelle des vins. – Relevé par département. – Campagne 2019-2020. – Mois de mars 2020 NOR : CPAD2015172B DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES ET DROITS INDIRECTS SOUS-DIRECTION DE LA FISCALITÉ DOUANIÈRE (Volumes en hectolitres) Texte 112 sur 146 294 06 ALPES-MARITIMES 25 17 CHARENTE-MARITIME 16 168 21 COTE-D’OR 296 5 497 2B CORSE (HAUTE-) 22 COTES-D’ARMOR 797 8 948 155 897 24 8 40 717 1 067 8 113 146 69 97 2 820 403 93 9 456 7 242 84 41 534 0 83 0 29 477 IGP IG 5 861 202 413 122 325 10 105 1 545 56 333 16 078 5 009 3 457 102 533 109 202 4 728 460 868 81 955 852 3 179 762 12 601 2 625 12 794 9 302 32 453 13 986 Antérieurs 6 874 219 648 135 935 11 048 1 622 60 914 18 923 5 490 3 627 125 844 128 920 5 092 519 096 86 380 935 3 211 205 13 843 2 804 14 477 10 434 36 067 15 143 Total 209 5 225 76 74 362 1 247 14 543 819 122 56 474 579 749 671 13 140 755 362 20 149 4 28 0 1 855 Mars 13 636 126 905 12 014 1 952 443 1 537 11 183 6 950 7 811 81 381 8 664 1 302 185 185 13 279 0 18 593 1 991 107 2 316 803 914 5 426 Antérieurs Vins de France Sans IG 14 883 141 448 12 833 2 074 499 2 011 11 762 7 699 8 482 94 521 9 419 1 664 205 334 17 307 0 20 448 2 200 112 2 541 879 988 5 788 Total 2 260 31 778 14 429 1 065 133 5 055 3 424 1 230 841 36 451 20 473 726 78 377 4 429 111 0 33 298 1 451 184 1 908 1 208 3 688 1 519 Mars 19 497 329 318 134 339 12 057 1 988 57 870 27 261 11 959 11 268 183 914 117 866 6 030 646 053 81 968 1 131 3 198 355 14 592 2 732 15 110 10 105 33 367 19 412 Antérieurs Total 21 757 361 096 148 768 13 122 2 121 62 925 30 685 13 189 12 109 220 365 138 339 6 756 724 430 86 397 1 242 3 231 653 16 043 2 916 17 018 11 313 37 055 20 931 Total 3 245 260 901 6 831 1 250 619 3 459 55 151 73 817 3 472 29 973 54 975 229 375 190 3 368 84 165 10 288 64 202 72 322 89 642 13 554 STOCK AU COMMERCE (*) JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 2A CORSE-DU-SUD 19 CORREZE 4 484 78 16 CHARENTE 18 CHER 77 13 855 14 CALVADOS 15 CANTAL 12 476 13 BOUCHES-DU-RHONE 280 16 694 11 AUDE 12 AVEYRON 4 425 0 09 ARIEGE 10 AUBE 0 08 ARDENNES 1 966 24 05 ALPES (HAUTES-) 07 ARDECHE 786 1 108 03 ALLIER 04 ALPES-DE-HTE-PR 3 606 02 AISNE Mars 1 117 AOP 01 AIN NUMÉROS D’ORDRE ET DÉPARTEMENTS QUANTITÉS DE VINS SOUMISES AU DROIT DE CIRCULATION 3 juillet 2020 Texte 112 sur 146 0 Mars 0 29 FINISTERE 45 LOIRET 44 LOIRE-ATLANTIQUE 487 25 540 54 1 076 42 LOIRE 0 0 0 5 479 3 4 855 0 2 33 930 32 730 715 1 287 35 78 301 12 26 176 112 42 557 14 634 235 67 277 IGP IG 0 4 666 427 880 468 29 969 62 336 16 959 30 383 3 658 140 678 6 478 2 515 1 254 232 2 231 083 171 717 8 980 731 644 0 2 1 502 265 077 151 154 851 Antérieurs 0 5 155 487 350 554 31 775 68 591 19 157 32 538 4 022 154 890 7 172 2 603 1 464 716 2 486 079 190 454 9 753 864 037 0 2 1 556 298 629 154 175 316 Total 31 2 414 38 007 299 1 291 1 541 157 1 379 1 006 2 798 85 443 30 297 67 412 755 1 015 18 689 0 0 383 1 027 6 13 757 Mars 15 466 290 767 1 978 11 316 10 842 3 078 13 533 5 522 26 826 1 315 2 073 199 654 237 505 9 459 8 958 150 813 374 4 2 636 12 295 65 96 574 375 Antérieurs Vins de France Sans IG 406 17 880 328 774 2 277 12 607 12 383 3 235 14 912 6 528 29 624 1 400 2 516 229 951 304 917 10 214 9 973 169 502 374 4 3 019 13 322 71 110 331 Total 31 2 903 97 477 385 3 097 7 796 2 355 3 534 1 370 17 010 779 531 240 781 322 408 19 492 1 788 151 082 0 0 437 34 579 9 34 222 Mars 20 132 718 647 2 446 41 285 73 178 20 037 43 916 9 180 167 504 7 793 4 588 1 453 886 2 468 588 181 176 17 938 882 457 374 6 4 138 277 372 216 251 425 375 Antérieurs Total 406 23 035 816 124 2 831 44 382 80 974 22 392 47 450 10 550 184 514 8 572 5 119 1 694 667 2 790 996 200 668 19 726 1 033 539 374 6 4 575 311 951 225 285 647 Total 3 898 52 469 1 313 4 558 41 775 2 753 10 937 1 655 6 159 540 985 938 931 3 148 417 8 989 8 702 216 309 71 0 414 119 372 121 52 185 407 STOCK AU COMMERCE (*) JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 43 LOIRE (HAUTE-) 5 540 41 LOIR-ET-CHER 911 2 120 39 JURA 40 LANDES 286 38 ISERE 13 911 682 36 INDRE 37 INDRE-ET-LOIRE 62 34 372 34 HERAULT 35 ILLE-ET-VILAINE 212 439 4 103 538 33 GIRONDE 32 GERS 31 GARONNE (HAUTE-) 65 116 0 28 EURE-ET-LOIR 30 GARD 54 28 073 26 DROME 27 EURE 0 15 610 AOP 25 DOUBS 24 DORDOGNE 23 CREUSE NUMÉROS D’ORDRE ET DÉPARTEMENTS QUANTITÉS DE VINS SOUMISES AU DROIT DE CIRCULATION 3 juillet 2020 Texte 112 sur 146 768 62 3 59 NORD 60 OISE 61 ORNE 11 157 14 358 25 952 66 PYRENEES-ORIENT. 67 RHIN (BAS-) 68 RHIN (HAUT-) 29 2 535 23 57 75 7 630 0 1 324 185 1 0 83 0 0 57 112 0 2 550 2 1 175 1 508 71 1 908 10 366 IGP IG 331 414 175 344 147 094 1 150 37 720 4 854 99 066 20 713 11 555 27 006 2 293 7 685 2 611 0 1 547 613 025 3 324 569 118 62 343 34 606 Antérieurs 357 437 191 610 168 617 1 202 40 312 5 231 110 798 23 776 12 647 29 233 2 446 7 768 2 862 0 1 636 661 184 3 373 619 120 71 820 38 089 Total 77 440 996 44 4 895 1 838 1 991 195 20 000 5 282 1 633 293 603 56 65 559 12 0 28 0 6 375 Mars 2 826 25 932 17 819 24 13 431 1 716 116 711 59 2 249 18 731 3 479 4 619 60 674 4 143 235 17 252 0 44 861 655 4 828 7 630 Antérieurs Vins de France Sans IG 2 870 30 827 19 657 25 14 422 1 911 136 711 64 2 531 20 364 3 772 5 222 116 739 4 702 247 17 280 0 51 236 732 5 268 8 626 Total 26 067 21 161 23 361 53 3 583 572 31 732 8 345 2 725 2 520 756 56 148 810 12 89 48 187 0 55 425 79 9 917 4 479 Mars 334 240 201 276 164 913 1 174 51 151 6 570 215 777 79 2 962 30 286 30 485 6 912 67 1 359 6 754 235 1 564 613 277 3 369 430 773 67 171 42 236 Antérieurs Total 360 307 222 437 188 274 1 227 54 734 7 142 247 509 87 3 307 33 011 33 005 7 668 123 1 507 7 564 247 1 653 661 464 3 424 855 852 77 088 46 715 Total 37 575 190 874 113 559 16 17 336 1 387 56 975 35 332 12 570 1 310 671 14 1 182 3 209 234 13 131 653 0 120 555 89 476 16 599 STOCK AU COMMERCE (*) JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 65 PYRENEES (HAUTES-) 64 PYRENEES-ATLANT. 302 2 042 58 NIEVRE 63 PUY-DE-DOME 152 57 MOSELLE 4 102 0 56 MORBIHAN 62 PAS-DE-CALAIS 0 55 MEUSE 251 0 53 MAYENNE 54 MEURTHE-ET-MOSELLE 32 48 047 0 46 500 0 52 MARNE (HAUTE-) 51 MARNE 50 MANCHE 49 MAINE-ET-LOIRE 48 LOZERE 8302 47 LOT-ET-GARONNE Mars 1 975 AOP 46 LOT NUMÉROS D’ORDRE ET DÉPARTEMENTS QUANTITÉS DE VINS SOUMISES AU DROIT DE CIRCULATION 3 juillet 2020 Texte 112 sur 146 Mars 0 1 055 76 SEINE-MARITIME 77 SEINE-ET-MARNE 1 052 500 221 85 VENDEE 86 VIENNE 87 VIENNE (HAUTE-) 91 ESSONNE 90 TERRIT. DE BELFORT 360 0 7 358 44 596 84 VAUCLUSE 89 YONNE 42 325 83 VAR 0 1 305 82 TARN-ET-GARONNE 0 0 88 0 2 258 784 9 749 28 659 781 5 591 0 35 092 1 793 8 0 19 135 470 22 2 575 176 16 740 IGP IG 2 278 0 81 293 0 1 949 3 902 21 983 395 227 375 841 14 739 107 909 701 289 837 12 178 8 639 30 1 005 5 646 68 815 2 060 278 853 1 684 460 163 Antérieurs 2 638 0 88 739 0 2 172 4 660 23 819 449 572 446 825 16 825 120 336 782 353 763 14 356 9 702 30 1 071 6 152 73 927 2 252 303 457 1 860 516 910 Total 759 0 146 2 17 146 867 2 251 5 527 866 2 931 0 31 072 12 491 25 312 1 596 2 73 788 46 4 611 20 26 333 Mars 6 852 0 17 443 38 274 1 813 9 822 21 677 40 256 6 876 17 215 71 269 054 81 165 158 505 6 992 661 1 508 8 554 318 44 047 259 134 821 Antérieurs Vins de France Sans IG 7 611 0 17 589 40 291 1 959 10 689 23 928 45 783 7 742 20 146 71 300 126 93 656 183 817 8 588 663 1 581 9 342 364 48 658 279 161 154 Total 1 119 0 7 592 2 240 904 2 703 56 596 76 511 2 952 15 358 81 94 998 14 669 26 375 1 596 68 579 5 900 238 29 215 196 83 080 Mars 9 130 0 98 736 38 2 223 5 715 31 805 416 904 416 097 21 615 125 124 772 558 891 93 343 167 144 7 022 1 666 7 154 77 369 2 378 322 900 1 943 594 984 Antérieurs Total 10 249 0 106 328 40 2 463 6 619 34 508 473 500 492 608 24 567 140 482 853 653 889 108 012 193 519 8 618 1 734 7 733 83 269 2 616 352 115 2 139 678 064 Total 2 046 4 1 395 8 76 393 10 389 302 381 172 582 10 477 13 495 187 84 067 25 672 121 187 28 285 521 1 036 11 420 7 369 753 425 318 029 STOCK AU COMMERCE (*) JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 88 VOSGES 6 836 81 28 834 81 TARN 80 SOMME 79 SEVRES (DEUX-) 385 47 75 PARIS 78 YVELINES 371 4 642 73 SAVOIE 74 SAVOIE (HAUTE-) 170 22 029 71 SAONE-ET-LOIRE 72 SARTHE 0 40 007 AOP 70 SAONE (HAUTE-) 69 RHONE NUMÉROS D’ORDRE ET DÉPARTEMENTS QUANTITÉS DE VINS SOUMISES AU DROIT DE CIRCULATION 3 juillet 2020 Texte 112 sur 146 869 388 178 4 171 14 891 7 471 582 226 IGP IG 11 075 294 1 632 46 761 3 207 19 200 Antérieurs 12 526 908 1 824 51 823 3 401 20 745 Total 272 345 397 457 676 1 624 Mars 2 725 851 4 239 25 099 1 621 4 887 Antérieurs Vins de France Sans IG 3 123 308 4 915 26 723 1 893 5 232 Total 1 849 071 868 6 686 466 1 890 Mars 13 801 145 5 871 71 860 4 828 24 087 Antérieurs Total 15 650 216 6 739 78 546 5 294 25 977 Total 7 791 073 2 391 17 123 2 638 5 564 STOCK AU COMMERCE (*) (*) En application des dispositions de l’article 6 du règlement UE no 1308/2013 du 17 décembre 2013, la campagne commence le 1er août de chaque année et se termine le 31 juillet de l’année suivante. (*) Toute reproduction des présentes données ou d’extrait de celles-ci devra indiquer la source « DGDDI ». (*) Attention appelée : à compter des statistiques de mai 2016, le stock au commerce ne comprend plus les quantités de vins produits par les négociants vinificateurs, c’est-à-dire les négociants qui achètent des vendanges ou des moûts pour les vinifier. Ces quantités sont désormais considérées comme faisant partie du stock à la production et figurent dans le tableau des « sorties des chais des récoltants et des négociants vinificateurs ». TOTAUX 95 VAL-D’OISE 94 VAL-DE-MARNE 187 93 SEINE-SAINT-DENIS Mars 1 074 AOP 92 HAUTS-DE-SEINE NUMÉROS D’ORDRE ET DÉPARTEMENTS QUANTITÉS DE VINS SOUMISES AU DROIT DE CIRCULATION 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 146 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 3 juillet 2020 Texte 113 sur 146 Avis et communications AVIS DIVERS MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS Statistique mensuelle des cidres. – Campagne 2019-2020. – Mois de mars 2020 NOR : CPAD2015173B DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES ET DROITS INDIRECTS SOUS-DIRECTION DE LA FISCALITÉ DOUANIÈRE (En hectolitres) QUANTITÉS DE CIDRE IMPOSÉES AU DROIT DE CIRCULATION STOCK COMMERCIAL Mars Antérieurs Total 42 577 431 105 473 682 878 822 RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES À LA STATISTIQUE MENSUELLE DES VINS Campagne 2019-2020. – Mois de mars 2020 (En hectolitres) EMPLOIS DE VINS OU DE MOÛTS PÉRIODE Période du 1er août 2019 au 31 mars 2020 Jus de raisin Moûts concentrés Vinaigre de vin 762 1 015 10 258 (*) En application des dispositions de l’annexe 1.1 du règlement (CE) no 479/2008 du Conseil du 29 avril 2008, la campagne commence le 1er août de chaque année et se termine le 31 juillet de l’année suivante. (*) Toute reproduction des présentes données ou d’extrait de celles-ci devra indiquer la source « DGDDI ». 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 146 Informations diverses Cours indicatifs du 2 juillet 2020 communiqués par la Banque de France NOR : IDIX2000129X (Euros contre devises) 1 euro ............................................................................ 1,128 6 USD 1 euro ............................................................................ 1,629 6 AUD 1 euro ............................................................................ 121,24 JPY 1 euro ............................................................................ 5,982 3 BRL 1 euro ............................................................................ 1,955 8 BGN 1 euro ............................................................................ 1,534 3 CAD 1 euro ............................................................................ 26,632 CZK 1 euro ............................................................................ 7,975 9 CNY 1 euro ............................................................................ 7,450 6 DKK 1 euro ............................................................................ 8,746 9 HKD 1 euro ............................................................................ 0,902 25 GBP 1 euro ............................................................................ 16 227,58 IDR 1 euro ............................................................................ 351,59 HUF 1 euro ............................................................................ 3,890 3 ILS 1 euro ............................................................................ 4,474 PLN 1 euro ............................................................................ 84,354 INR 1 euro ............................................................................ 4,835 5 RON 1 euro ............................................................................ 1 353,9 KRW 1 euro ............................................................................ 10,463 5 SEK 1 euro ............................................................................ 25,536 MXN 1 euro ............................................................................ 1,064 8 CHF 1 euro ............................................................................ 4,836 6 MYR 1 euro ............................................................................ 156,2 ISK 1 euro ............................................................................ 1,729 7 NZD 1 euro ............................................................................ 10,687 3 NOK 1 euro ............................................................................ 56,078 PHP 1 euro ............................................................................ 7,560 5 HRK 1 euro ............................................................................ 1,572 6 SGD 1 euro ............................................................................ 79,443 4 RUB 1 euro ............................................................................ 35,054 THB 1 euro ............................................................................ 7,736 8 TRY 1 euro ............................................................................ 19,095 2 ZAR 1 euro ............................................................................ 121,24 CNH 3 juillet 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 146 ANNONCES Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche Autres annonces : [email protected] ou DILA, DIRE JOURNAUX OFFICIELS, TSA No 71641, 75901 PARIS CEDEX 15 (L'Administration décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces.) DEMANDES DE CHANGEMENT DE NOM (textes 115 à 146) En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé" ISSN 0373-0425 La Directrice de l’information légale et administrative : Anne DUCLOS-GRISIER