UNIVERSITE ASSANE SECK DE ZIGUINCHOR
UFR des Sciences Économies et Sociales
DEPARTEMENT DE SOCIOLOGIE
Matière: Introduction à la Sociologie Politique SOC2340
Professeur Jean Alain GOUDIABY
Étudiants :
FAYE Fallé
NDIAYE Idrissa
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Monsieur le Gouverneur !
Monsieur les Colonels !
Monsieur le maire !
Autorités religieux et Coutumiers !
Cher parents !
Frères et Sœurs !
Bonjour !
A cette occasion solennelle dédie à la protection de l’ environnement notamment la
forêt de la Casamance. J’ ai l’ honneur et le plus grande plaisir de vous présenter mes
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salutations les plus aimables. Chers invites nous vous informons sur la situation déplorable de
notre espace verte de la Casamance, qui est de plus en plus menacée.
Vous connaissez que la déforestation n’ est pas un phénomène récente au Sénégal. L’
histoire de l’ urbanisation depuis l’ indépendance montre comment le peuplement des espaces
péri-urbain a accéléré une dégradation du couvert végétal à l’ échelle mondiale. Chaque année
le pays perd près de 45000 ha de forêt. Les politique volontaristes mises en place par le
régime de Senghor, depuis 1960, dans le cadre de la préservation des forêts et de l’
environnement en général, et qui sont, du reste, une résonance des politiques coloniales en la
matière, ont peu à peu cédé la place à un désengagement de l’ Etat, du fait de la libéralisation
et de la rationalisation des dépenses, budgétaires imposées par les institutions de Breton
Woods. La présentation des forêts ne fut plus une priorité des politiques publiques. De ce fait,
la forêt de la Casamance est un champ de surexploitation et le trafiques illicite de bois passant
par la Gambie et la Guinée.
Par conséquent, si nous restons les bras crossaient et que cette situation persiste. L’
avenir prometteur de la forêt sera le désert. En plus les sècheresses, l’ aridité, la pauvreté des
sols et les disparitions de l’ espèce animale rare seront la répercussion de ce phénomène
actuel. Et plus ça peut créer des conflits entre population, car d’ après nos enquêtes de terrain
cause principale des victimes de l’ attaque en janvier 2018 à Brofail Bayot étaient conçues
comme des agresseurs de la nature ce qui les value la mort, “13 coupeurs de bois tuaient
parmis eux”.
C’ est cette logique d’ idée que nous invitons l’ Etat de prendre des mesures très
sèvres vis-à-vis des agresseurs de la forêt en renforcent les agents des eaux et forêts. Mais
aussi, la population devront organiser des journées de sensibilisation sur l’ importance de la
forêt et suivit de reboisement.
Je ne s’ aurais terminé ce discours sans remercier nos missionnaires infatigables, le
corps Eaux et Forêts qui veillent nuit et jour sur la forêt. Merci de votre aimable attention.
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