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PHARE MATHS 5° corrigés

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et civile, soit trois ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende.
Collection
PHARE
5
e
Mathématiques
Roger Brault
Professeur au Lycée Maréchal Soult à Mazamet (81)
Isabelle Daro
Professeur au Collège Jean-Auguste Ingres à Montauban (82)
Christine Ferrero
Professeur au Collège Bellevue à Toulouse (31)
Dominique Perbos-Raimbourg
Professeur au Collège Pierre de Fermat à Toulouse (31)
Christophe Telmon
Professeur au Lycée Pierre Bourdieu à Fronton (31)
Livre du
professeur
Tous les tableaux et figures (en couleurs) sont disponibles à partir de septembre 2010 sur le
site www.phare-prof.hachette-education.com
Les auteurs et l’éditeur remercient Régis Chevallier pour sa collaboration.
Maquette de couverture : N. Piroux
Maquette intérieure : F. Jély
Mise en page : CMB Graphic
Crédit photographique couverture : Phare © Marcus-Lorenz – Fotolia.com
© Hachette Livre 2010, 43 quai de Grenelle, 75905 Paris Cedex 15.
ISBN : 978-2-01-125597-6
Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays.
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Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre français de l’exploitation du droit de copie
(20, rue des Grands-Augustins 75006 Paris), constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.
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●
Préambule pour le collège . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
●
Grille de référence de fin de cycle central (fin de 4e) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
●
Préambule pour la classe de Cinquième . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
●
Je comprends les consignes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
Nombres et calculs
1
Enchaînements d’opérations
●
●
2
15
Calculer une expression numérique avec ou sans parenthèses.
Écrire une expression numérique correspondant à une succession d’opérations.
Calcul littéral
22
Utiliser et produire une expression littérale.
Sur des exemples numériques et littéraux, utiliser dans les deux sens les égalités
k(a + b) = ka + kb et k(a – b) = ka – kb.
● Simplifier et réduire une expression littérale.
● Tester si une égalité est vraie pour des valeurs données.
●
●
3
Nombres en écriture fractionnaire : sens
●
●
●
●
4
31
Exprimer une proportion.
Reconnaître que deux quotients sont égaux. Simplifier une fraction.
Reconnaître si un nombre entier est multiple ou diviseur d’un autre nombre entier.
Effectuer la division d’un nombre par un nombre décimal.
Nombres en écriture fractionnaire : opérations
39
Additionner et soustraire deux nombres en écriture fractionnaire dans le cas où le dénominateur de l’un est un multiple
du dénominateur de l’autre.
● Effectuer le produit de deux nombres écrits sous forme fractionnaire.
●
5
Nombres relatifs : définition et comparaison
●
●
●
●
6
Connaître et utiliser les notations et le vocabulaire des nombres relatifs.
Repérer des nombres relatifs sur une droite graduée.
Comparer des nombres relatifs.
Repérer un point dans le plan.
Nombres relatifs : addition et soustraction
●
●
●
48
55
Calculer la somme, la différence de deux nombres relatifs.
Calculer la distance entre deux points sur une droite graduée.
Calculer, produire une expression algébrique.
Organisation et gestion de données
7
Proportionnalité
●
●
●
●
●
8
Représentation et traitement de données
●
●
●
●
●
64
Reconnaître si un tableau complet de nombres est ou non un tableau de proportionnalité.
Déterminer une quatrième proportionnelle.
Appliquer, calculer un pourcentage.
Comparer des proportions.
Calculer, utiliser l’échelle d’une carte ou d’un dessin.
74
Calculer des effectifs.
Calculer des fréquences.
Regrouper des données numériques en classes d’égale amplitude.
Lire et interpréter des informations à partir d’un tableau ou d’une représentation graphique.
Représenter des données sous la forme d’un tableau, d’un diagramme ou d’un histogramme.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
3
>
S o m m aire
a i re
Géométrie
9
Symétries
81
Construire par symétrie axiale le symétrique d’une droite.
Construire par symétrie centrale le symétrique d’un point, d’un segment, d’une droite, d’une demi-droite,
d’un cercle.
● Construire ou compléter la figure symétrique d’une figure donnée par rapport à un point.
●
●
10
Triangles : droites remarquables
●
●
●
●
●
11
Connaître et utiliser l’inégalité triangulaire.
Construire un triangle connaissant les longueurs de ses trois côtés.
Connaître et utiliser la définition et les propriétés de la médiatrice d’un segment.
Construire le cercle circonscrit à un triangle.
Connaître et utiliser la définition d’une médiane et d’une hauteur d’un triangle.
Triangles : angles
●
●
●
●
12
88
96
Connaître les propriétés des angles d’un triangle rectangle, isocèle ou équilatéral.
Connaître et utiliser la somme des angles d’un triangle.
Construire un triangle connaissant :
> la longueur d’un côté et les deux angles qui lui sont adjacents ;
> les longueurs de deux côtés et l’angle compris entre ces deux côtés.
Appliquer la somme des angles d’un triangle à un triangle équilatéral, rectangle ou isocèle.
Angles
104
Reproduire un angle. Maîtriser l’utilisation du rapporteur.
Connaître, utiliser le vocabulaire et les propriétés des angles adjacents, complémentaires, supplémentaires, opposés par
le sommet, alternes-internes, correspondants.
● Connaître et utiliser les propriétés relatives aux angles formés par deux parallèles et une sécante et leurs réciproques.
●
●
13
Parallélogramme
112
Connaître et utiliser une définition et les propriétés (relatives aux côtés, aux diagonales et aux angles)
du parallélogramme.
● Construire un parallélogramme donné en utilisant les propriétés.
●
14
Rectangle, losange, carré
121
Connaître et utiliser une définition et les propriétés (relatives aux côtés, aux diagonales, aux éléments
de symétrie) du rectangle, du losange, du carré.
● Construire un rectangle, un losange, un carré donné en utilisant les propriétés.
●
15
Prisme droit et cylindre de révolution
●
●
●
●
131
Fabriquer un prisme droit dont la base est un triangle ou un parallélogramme.
Fabriquer un cylindre de révolution dont le rayon du cercle de base est donné.
Dessiner à main levée une représentation en perspective cavalière de ces deux solides.
Interpréter une représentation en perspective cavalière d’un prisme droit.
Grandeurs et mesures
16
Longueurs, masses, durées
●
●
17
Calculer le périmètre d’une figure.
Calculer des durées, des horaires.
Aires et volumes
●
●
●
4
137
145
Calculer l’aire d’un parallélogramme, d’un triangle, d’une surface décomposable.
Calculer le volume d’un pavé droit, d’un prisme droit, d’un cylindre de révolution.
Effectuer pour des volumes des changements d’unités de mesure.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
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Préambul
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1. FINALITÉS ET OBJECTIFS
À l’école primaire, une proportion importante d’élèves
s’intéresse à la pratique des mathématiques et y trouve du
plaisir. Le maintien de cet intérêt pour les mathématiques
doit être une préoccupation du collège. Il est en effet possible de se livrer, à partir d’un nombre limité de connaissances, à une activité mathématique véritable, avec son lot
de questions ouvertes, de recherches pleines de surprises,
de conclusions dont on parvient à se convaincre. Une telle
activité, accessible aux élèves, a une valeur formatrice évidente et leur permet d’acquérir les savoirs et savoir-faire
qui leur seront nécessaires.
1.1. Les mathématiques comme discipline
de formation générale
Au collège, les mathématiques contribuent, avec
d’autres disciplines, à entraîner les élèves à la pratique
d’une démarche scientifique.
L’objectif est de développer conjointement et progressivement les capacités d’expérimentation et de raisonnement,
d’imagination et d’analyse critique. Elles contribuent ainsi
à la formation du futur citoyen.
À travers la résolution de problèmes, la modélisation
de quelques situations et l’apprentissage progressif de
la démonstration, les élèves prennent conscience petit à
petit de ce qu’est une véritable activité mathématique :
identifier et formuler un problème, conjecturer un résultat
en expérimentant sur des exemples, bâtir une argumentation, contrôler les résultats obtenus en évaluant leur pertinence en fonction du problème étudié, communiquer une
recherche, mettre en forme une solution.
1.2. L’outil mathématique
Les méthodes mathématiques s’appliquent à la résolution
de problèmes courants. Elles ont cependant leur autonomie propre et l’efficacité des concepts qu’elles étudient,
due à leur universalité, leur permet d’intervenir dans des
domaines aussi divers que les sciences physiques, les
sciences de la vie et de la Terre, la technologie, la géographie... Certaines de ces disciplines entretiennent des liens
très étroits avec la discipline mathématique qui leur
apporte l’efficacité de ses outils et, en retour, nourrit sa
réflexion des problèmes qu’elles lui soumettent.
L’enseignement tend à la fois à développer la prise de
conscience de cette autonomie par les élèves et à montrer
que l’éventail des utilisations est très largement ouvert. Au
collège, est visée la maîtrise de techniques mathématiques
élémentaires de traitement (organisation de données,
représentations, mises en équation) et de résolution
(calculs et équations bien sûr, mais aussi constructions).
Leur emploi dans la prévision et l’aide à la décision est
précieux dans de multiples circonstances, de la gestion
familiale à l’activité scientifique ou professionnelle.
1.3 Les mathématiques comme discipline
d’expression
Les mathématiques participent à l’enrichissement de l’emploi de la langue par les élèves, en particulier par la pratique
de l’argumentation. Avec d’autres disciplines, les mathématiques ont également en charge l’apprentissage de différentes formes d’expression autres que la langue usuelle
(nombres, symboles, figures, tableaux, schémas, graphiques) ;
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
elles participent ainsi à la construction de nouveaux langages. L’usage largement répandu des moyens actuels de
traitement de l’information et de communication exige une
bonne maîtrise de ces formes variées d’expression.
1.4. Les mathématiques et l’histoire des arts
L’enseignement des mathématiques contribue à sensibiliser l’élève à l’histoire des arts dans la continuité de l’enseignement assuré à l’école primaire. Situées dans une perspective historique, les œuvres appartiennent aux six
grands domaines artistiques définis dans le programme
d’histoire des arts. Ces œuvres permettent d’effectuer des
éclairages et des croisements en relation avec les autres
disciplines : au sein des « arts de l’espace », peuvent, par
exemple, être abordés certains principes géométriques
utilisés dans l’architecture et dans l’art des jardins (Vauban, Le Nôtre, etc.) ; « les arts du visuel » permettent, par
exemple, d’aborder la question de la perspective, les
constructions en pavages ; dans les « arts du langage » certains procédés de construction littéraire s’appuient sur des
principes mathématiques. Les thématiques proposées
dans l’enseignement de l’histoire des arts, par exemple
« Arts, espace, temps » ou « Arts et innovations techniques », permettent d’introduire quelques grands repères
dans l’histoire des sciences, des techniques et des arts.
2. LE SOCLE COMMUN
Le socle commun de connaissances et de compétences
recouvre en mathématiques la quasi totalité des champs
du programme, la différence entre le programme proprement dit et le socle commun résidant surtout dans le degré
d’approfondissement et dans l’expertise attendue. De plus,
pour la maîtrise de nombreux concepts, un temps d’appropriation plus important est laissé aux élèves.
Certes, quelques connaissances inscrites dans les programmes ne figurent pas dans les compétences du socle
(trigonométrie, équation, fonctions, …) mais c’est essentiellement au niveau des capacités attendues et des activités proposées que la différence entre les exigibles apparaît.
Elles sont identifiées dans les programmes par un recours
aux caractères italiques, signalé systématiquement.
Sur deux points importants, le socle commun se démarque
de façon importante du programme :
– dans le domaine du calcul littéral, les exigences du socle
ne portent que sur les expressions du premier degré à une
lettre et ne comportent pas les techniques de résolution
algébrique ou graphique de l’équation du premier degré à
une inconnue ;
– dans le domaine géométrique, les élèves doivent
apprendre à raisonner et à argumenter, mais l’écriture formalisée d’une démonstration de géométrie n’est pas un
exigible du socle.
De plus, il faut prendre en compte, à propos des connaissances et capacités relatives aux nombres en écriture fractionnaire, que le travail sur les quotients est exigeant et
doit être conduit sur les quatre années de collège. Au
niveau des exigibles du socle commun, toute technicité
est exclue, puisque – dans l’esprit général du socle – on se
limite à des problèmes simples, proches de la vie courante,
utilisant des nombres en écriture fractionnaire.
5
3. ORGANISATION DES CONTENUS
Les quatre parties des programmes des classes du collège
s’organisent autour des objectifs suivants :
organisation et gestion de données, fonctions
●
– maîtriser différents traitements en rapport avec la proportionnalité ;
– approcher la notion de fonction (exemples des fonctions linéaires et affines) ;
– s’initier à la lecture, à l’utilisation et à la production
de représentations, de graphiques et à l’utilisation d’un
tableur ;
– acquérir quelques notions fondamentales de statistique
descriptive et se familiariser avec les notions de chance et
de probabilité.
nombres et calcul
●
– acquérir différentes manières d’écrire des nombres (écriture décimale, écriture fractionnaire, radicaux) et les traitements correspondants ;
– se représenter la droite graduée complète, avec son zéro
séparant les valeurs positives et négatives et apprendre à y
localiser les nombres rencontrés ;
– poursuivre l’apprentissage du calcul sous toutes ses
formes : mental, posé, instrumenté ;
– assimiler progressivement le langage algébrique et son
emploi pour résoudre des problèmes (en particulier distinguer égalité, identité et équation).
géométrie
●
– passer de l’identification perceptive (la reconnaissance
par la vue) de figures et de configurations à leur caractérisation par des propriétés (passage du dessin à la figure) ;
– isoler dans une configuration les éléments à prendre en
compte pour répondre à une question ;
– être familiarisé avec des représentations de l’espace,
notamment avec l’utilisation de conventions usuelles
pour les traitements permis par ces représentations ;
– découvrir quelques transformations géométriques
simples : symétries : symétries axiales et centrales ;
– se constituer un premier répertoire de théorèmes et
apprendre à les utiliser.
grandeurs et mesure
●
– se familiariser avec l’usage des grandeurs les plus courantes (longueurs, angles, aires, volumes, durées) ;
– connaître et utiliser les périmètres, aires et volumes des
figures planes et des solides étudiés ;
– calculer avec les unités relatives aux grandeurs étudiées,
ainsi qu’avec les unités de quelques grandeurs quotients et
grandeurs produits.
Ces programmes sont construits de manière à permettre
une acquisition et un approfondissement progressifs
des notions sur toute la durée du collège. Leur mise en
œuvre est enrichie par l’emploi des instruments actuels
de calcul, de dessin et de traitement (calculatrices, ordinateurs).
4. ORGANISATION DES APPRENTISSAGES
ET DE L’ENSEIGNEMENT
Les enseignants ont le libre choix de l’organisation de leur
enseignement, dans le respect des programmes. Il importe
cependant d’éviter l’émiettement des savoirs et des
6
méthodes et de faciliter leur bonne structuration, en particulier en vue d’une initiation progressive au raisonnement déductif.
Une difficulté de l’enseignement au collège vient de la
double nécessité de traiter la totalité du programme et
d’assurer à tous les élèves la maîtrise des éléments du socle.
En mathématiques, c’est à travers une pédagogie différenciée basée sur la résolution de problèmes et la mise en
activité de la totalité des élèves que ce double objectif peut
être atteint.
Il est nécessaire d’entretenir les capacités développées dans
les classes antérieures, indispensables à la poursuite des
apprentissages et à la maîtrise du socle commun par tous
les élèves. Cet entretien doit être assuré non par des révisions systématiques mais par des activités appropriées,
notamment des résolutions de problèmes.
4.1. Une place centrale pour la résolution
de problèmes
La compréhension et l’appropriation des connaissances
mathématiques reposent sur l’activité de chaque élève qui
doit donc être privilégiée. Pour cela, et lorsque c’est possible, sont choisies des situations créant un problème dont
la solution fait intervenir des « outils », c’est-à-dire des
techniques ou des notions déjà acquises, afin d’aboutir à
la découverte ou à l’assimilation de notions nouvelles.
Lorsque celles-ci sont bien maîtrisées, elles fournissent à
leur tour de nouveaux « outils », qui permettent un cheminement vers une connaissance meilleure ou différente.
Ainsi, les connaissances peuvent prendre du sens pour
l’élève à partir des questions qu’il se pose et des problèmes
qu’il résout. Les situations choisies doivent :
– prendre en compte les objectifs visés et une analyse
préalable des savoirs en jeu, ainsi que les acquis et les
conceptions initiales des élèves ;
– permettre un démarrage possible pour tous les élèves, donc
ne reposer que sur des consignes simples et n’exiger, au
départ, que des connaissances solidement acquises par tous ;
– créer rapidement un problème assez riche pour provoquer des conjectures ;
– rendre possible la mise en jeu, puis la formulation des
notions ou des procédures dont l’apprentissage est visé ;
– fournir aux élèves, aussi souvent que possible, des occasions de contrôle de leurs résultats, tout en favorisant
un nouvel enrichissement ; on y parvient, par exemple, en
prévoyant divers cheminements qui permettent de fructueuses comparaisons.
Si la résolution de problèmes permet de déboucher sur
l’établissement de connaissances nouvelles, elle est également un moyen privilégié d’en élargir le sens et d’en
assurer la maîtrise. Pour cela, les situations plus ouvertes,
dans lesquelles les élèves doivent solliciter en autonomie
les connaissances acquises, jouent un rôle important. Leur
traitement nécessite initiative et imagination et peut être
réalisé en faisant appel à différentes stratégies qui doivent
être explicitées et confrontées, sans nécessairement que
soit privilégiée l’une d’entre elles.
L’utilisation d’outils logiciels est particulièrement importante et doit être privilégiée chaque fois qu’elle est une
aide à l’imagination, à la formulation de conjectures ou au
calcul. Cette utilisation se présente sous deux formes
indispensables, notamment dans le cadre des compétences du socle commun : l’usage d’un vidéoprojecteur en
classe et l’utilisation par les élèves d’ordinateurs « en fond
de classe » ou en salle informatique.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
4.2. Une prise en compte des connaissances
antérieures des élèves
L’enseignement prend en compte les connaissances antérieures des élèves : mise en valeur des points forts et repérage des difficultés de chaque élève à partir d’évaluations
diagnostiques. Ainsi l’enseignement peut-il être organisé au
plus près des besoins des élèves, en tenant compte du fait
que tout apprentissage s’inscrit nécessairement dans la
durée et s’appuie sur les échanges qui peuvent s’instaurer
dans la classe.
Il convient de faire fonctionner les notions et « outils »
mathématiques étudiés au cours des années précédentes
dans de nouvelles situations, autrement qu’en reprise
ayant un caractère de révision. En Sixième, particulièrement, les élèves doivent avoir conscience que leurs
connaissances évoluent par rapport à celles acquises à
l’école primaire.
4.3. L’importance des mises en cohérence
Pour être efficaces, les connaissances doivent être identifiées, nommées et progressivement détachées de leur
contexte d’apprentissage.
D’une part, toute activité (qui peut s’étendre sur plusieurs
séances) doit être complétée par une synthèse. Celle-ci
doit porter sur les quelques notions mises en évidence
(définitions, résultats, théorèmes et outils de base) que,
désormais, les élèves doivent connaître et peuvent utiliser.
Elle est aussi l’occasion de dégager les méthodes de résolution de problèmes qui mettent en œuvre ces notions. Il
convient, en effet, de préciser à chaque étape de l’apprentissage quelles connaissances sont désormais en place et
donc directement utilisables.
D’autre part, il est nécessaire de proposer des situations
d’étude dont le but est de coordonner des acquisitions
diverses. Dans cette optique, l’enseignant réalise, avec les
élèves, des synthèses plus globales, à l’issue d’une période
d’étude et propose des problèmes dont la résolution nécessite l’utilisation de plusieurs connaissances.
Le traitement de ces problèmes permet de souligner le
sens, l’intérêt, la portée des connaissances mathématiques, que ce soit dans d’autres disciplines ou dans la vie
quotidienne (pourcentages, échelles, représentations graphiques...). Certains problèmes peuvent prendre appui sur
des éléments empruntés à l’histoire des mathématiques.
Les moyens modernes de communication (informatique,
banques de données, audiovisuel…) sont également utilisés chaque fois que leur usage est justifié.
4.4. La nécessité des mémorisations et des réflexes
intellectuels
En mathématiques, les concepts, les connaissances et les
méthodes s’élaborent et s’organisent progressivement à
partir des savoirs antérieurs, pour former un ensemble
structuré et cohérent.
Ainsi l’activité mathématique, centrée sur la résolution
de problèmes, nécessite-t-elle de s’appuyer sur un corpus
de connaissances et de méthodes, parfaitement assimilées
et totalement disponibles.
En effet, pour être autonome dans la résolution d’un
problème et donc être en capacité de prendre des initiatives, d’imaginer des pistes de solution et de s’y engager
sans s’égarer, l’élève doit disposer d’automatismes qui facilitent le travail intellectuel en libérant l’esprit des soucis
de mise en œuvre technique tout en élargissant le champ
des démarches susceptibles d’être engagées.
Ces nécessaires réflexes intellectuels s’acquièrent dans la
durée sous la conduite du professeur. Ils se développent en
mémorisant et en automatisant progressivement certaines
procédures, certains raisonnements particulièrement utiles,
fréquemment rencontrés et qui ont valeur de méthode.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Toutefois un automatisme n’est pas un moyen pour
comprendre plus vite ; il permet simplement d’aller plus
vite lorsque l’on a compris. Si leur acquisition nécessite
des exercices d’entraînement et mémorisation, référés à
des tâches simples, ces exercices ne sauraient suffire. En
effet, pour être disponibles, les automatismes doivent être
entretenus et régulièrement sollicités dans des situations
où ils font sens.
4.5. Une initiation très progressive
à la démonstration
La question de la preuve occupe une place centrale en
mathématiques. La pratique de l’argumentation pour
convaincre autrui de la validité d’une réponse, d’une solution ou d’une proposition ou pour comprendre un « phénomène » mathématique a commencé dès l’école primaire
et se poursuit au collège pour faire accéder l’élève à cette
forme particulière de preuve qu’est la démonstration. Si,
pour cet objectif, le domaine géométrique occupe une
place particulière, la préoccupation de prouver et de
démontrer ne doit pas s’y cantonner. Le travail sur les
nombres, sur le calcul numérique, puis sur le calcul littéral
offre également des occasions de démontrer.
À cet égard, deux étapes doivent être clairement distinguées : la première, et la plus importante, est la recherche
et la production d’une preuve ; la seconde, consistant à
mettre en forme la preuve, ne doit pas donner lieu à un
formalisme prématuré En effet des préoccupations et des
exigences trop importantes de rédaction, risquent d’occulter le rôle essentiel du raisonnement dans la recherche et
la production d’une preuve. C’est pourquoi il est important de ménager une grande progressivité dans l’apprentissage de la démonstration et de faire une large part au
raisonnement, enjeu principal de la formation mathématique au collège. La rédaction et la mise en forme d’une
preuve gagnent à être travaillées collectivement avec l’aide
du professeur, et à être présentées comme une façon
convaincante de communiquer un raisonnement aussi
bien à l’oral que par écrit.
Dans le cadre du socle commun, qui doit être maîtrisé par
tous les élèves, c’est la première étape, « recherche et production d’une preuve » qui doit être privilégiée, notamment par une valorisation de l’argumentation orale. La
mise en forme écrite ne fait pas partie des exigibles.
La prise de conscience de ce que sont la recherche et la
mise en œuvre d’une démonstration est également facilitée par le fait que, en certaines occasions, l’enseignant se
livre à ce travail devant la classe, avec la participation des
élèves.
Cette initiation à la démonstration doit en particulier
permettre aux élèves de distinguer une propriété conjecturée et vérifiée sur des exemples d’une propriété démontrée. En particulier, l’enseignant doit préciser explicitement qu’un résultat mathématique qui n’est pas démontré
est admis.
4.6. Mathématiques et langages
En mathématiques, les élèves sont conduits à utiliser la
langue ordinaire en même temps qu’un langage spécialisé.
Dans le prolongement de l’école primaire, la place accordée à l’oral reste importante. En particulier, les compétences nécessaires pour la validation et la preuve (articuler
et formuler les différentes étapes d’un raisonnement,
communiquer, argumenter à propos de la validité d’une
solution) sont d’abord travaillées oralement en s’appuyant
sur les échanges qui s’instaurent dans la classe ou dans
un groupe, avant d’être sollicitées par écrit individuellement. Par ailleurs, certaines formulations orales peuvent
constituer une aide à la compréhension.
7
Par exemple il est plus facile, pour un élève, de concevoir
2
5
7
que plus égale en verbalisant sous la forme « deux
3
3
3
tiers plus cinq tiers est égal à sept tiers » plutôt qu’en oralisant l’écriture symbolique « 2 sur 3 plus 5 sur 3 égale 7
sur 3 ».
Dans le domaine de l’écrit, l’objectif est d’entraîner
les élèves à mieux lire et mieux comprendre un texte
mathématique, et aussi à produire des textes dont la
qualité est destinée à être l’objet d’une amélioration progressive.
Un moyen efficace pour faire admettre la nécessité d’un
langage précis, en évitant que cette exigence soit ressentie comme arbitraire par les élèves, est le passage du
« faire » au « faire faire ». C’est, lorsque l’élève écrit des
instructions pour l’exécution par autrui (par exemple,
décrire, pour la faire reproduire, une figure un peu
complexe) ou lorsqu’il utilise un ordinateur pour un traitement voulu, que l’obligation de précision lui apparaît
comme une nécessité. C’est également le cas lorsque,
dans un débat argumentatif, il doit se faire comprendre
des autres élèves.
Le vocabulaire et les notations ne doivent pas être fixés
d’emblée, mais introduits au cours du traitement d’une
question, en fonction de leur utilité : ils sont à considérer
comme des conquêtes de l’enseignement et non comme
des points de départ. Il convient, en particulier, d’être
attentif au langage et aux significations diverses d’un
même mot.
Les travaux mathématiques sont l’occasion de familiariser
les élèves avec l’emploi d’un nombre limité de notations
courantes qui n’ont pas à faire l’objet d’exercices systématiques (le langage doit rester au service de la pensée et de
son expression) :
● dans le domaine numérique : les symboles d’égalité et
d’inégalité, les symboles d’opérations (dont les notations
puissance et racine carrée au cycle central) et le symbole
de pourcentage ;
● dans le domaine géométrique : le symbole d’appartenance, la longueur AB d’un segment d’extrémités A et B,
lB, le segment [AB], la droite (AB), et la demil’angle AO
droite [AB), puis les notations trigonométriques.
4.7. Différents types d’écrits
Les élèves sont fréquemment placés en situation de production d’écrits. Il convient à cet égard de développer et
de bien distinguer trois types d’écrits dont les fonctions
sont différentes.
● Les écrits de type « recherche » (brouillon) qui correspondent au travail « privé » de l’élève : ils ne sont pas
destinés à être communiqués, ils peuvent comporter des
dessins, des schémas, des figures, des calculs. Ils sont un
support pour essayer, se rendre compte d’une erreur,
reprendre, rectifier, pour organiser sa recherche. Ils peuvent
également être utilisés comme mémoire transitoire en
cours de résolution du problème. Si l’enseignant est amené
à les consulter pour étudier le cheminement de l’élève, il
ne doit ni les critiquer, ni les corriger.
● Les écrits destinés à être communiqués et discutés : ils
peuvent prendre des formes diverses (affiche, transparent,
documents informatiques...) et doivent faire l’objet d’un
souci de présentation, de lisibilité, d’explicitation, tout en
sachant que, le plus souvent, ils seront l’objet d’un échange
entre élèves au cours duquel des explications complémentaires seront apportées.
● Les écrits de référence, élaborés en vue de constituer
une mémoire du travail de l’élève ou de la classe, et donc
destinés à être conservés.
8
4.8. Le travail personnel des élèves
En étude ou à la maison, ce type de travail est nécessaire
non seulement pour affermir les connaissances de base et les
réinvestir dans des exemples simples mais aussi pour en
élargir le champ de fonctionnement et susciter ainsi de l’intérêt pour l’activité mathématique. Il contribue aussi à habituer l’élève à l’indispensable régularité d’un travail autonome, complémentaire de celui réalisé avec le professeur.
Il peut prendre diverses formes :
● résolution d’exercices d’entraînement, combinée avec
l’étude de la leçon pour asseoir les connaissances ;
● travaux individuels de rédaction pour développer les
capacités d’expression écrite et la maîtrise de la langue ;
● résolution de problèmes variés (exercices de synthèse,
énigmes, jeux mathématiques…) pour mettre en œuvre
des démarches heuristiques en temps non limité ;
● construction
d’objets géométriques divers (frises,
pavages, solides,…) en utilisant ou non l’informatique
● lectures ou recherches documentaires, en particulier
sur l’histoire de la discipline ou plus généralement des
sciences pour enrichir les connaissances ;
● constitution de dossiers sur un thème donné.
Pour ces travaux en dehors de la classe, il convient de
favoriser l’accès des élèves aux ordinateurs de l’établissement qui doivent être munis des logiciels adéquats.
La correction individuelle du travail d’un élève est une
façon d’en apprécier la qualité et de permettre à son auteur
de l’améliorer, donc de progresser.
Le travail personnel proposé en classe aux élèves peut
prendre chacune des formes décrites ci-dessus, en tenant
compte, chaque fois, de la durée impartie. Il faut veiller à
un bon équilibre entre ces diverses activités.
Ces travaux doivent être différenciés en fonction du profil
et des besoins des élèves, ainsi que des objectifs du socle
commun.
Le travail en classe proprement dit doit être complété par
des séances régulières en salle informatique où l’élève utilise lui-même les logiciels au programme (tableur, grapheur, logiciel de géométrie).
Ces séances de travaux pratiques sur ordinateur doivent
toujours avoir pour objectif l’appropriation et la résolution d’un problème mathématique. Tout travail en salle
informatique doit aboutir à la production d’un écrit,
manuscrit ou imprimé.
4.9. L’évaluation
L’évaluation (qui ne se réduit pas au contrôle noté) n’est
pas un à-côté des apprentissages. Elle doit y être intégrée
et en être l’instrument de régulation, pour l’enseignant et
pour l’élève. Elle permet d’établir un constat relatif aux
acquis de l’élève, à ses difficultés. Dans cette optique, le
travail sur les erreurs constitue souvent un moyen efficace
de l’action pédagogique. L’évaluation ne doit pas se limiter à indiquer où en est l’élève ; elle doit aussi rendre
compte de l’évolution de ses connaissances, en particulier
de ses progrès.
L’évaluation de la maîtrise d’une capacité par les élèves
ne peut pas se limiter à la seule vérification de son fonctionnement dans des exercices techniques. Il faut aussi
s’assurer que les élèves sont capables de la mobiliser d’euxmêmes, en même temps que d’autres capacités, dans des
situations où leur usage n’est pas explicitement sollicité
dans la question posée.
L’évaluation sommative, en mathématiques, est réalisée
sous trois formes complémentaires :
– des interrogations écrites courtes dont le but est de vérifier qu’une notion ou une méthode sont correctement
assimilées ;
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
– des devoirs de contrôle courts et peu nombreux qui permettent de vérifier, de façon plus synthétique, la capacité
des élèves à utiliser leurs acquis, à la suite d’une phase
d’apprentissage ;
– certains devoirs de contrôle peuvent être remplacés par
un bilan trimestriel qui est l’occasion de faire le point sur
les acquis des élèves relatifs à une longue période d’étude.
4.10. Capacités et activités de formation
Le programme décrit, pour chaque contenu, les capacités
élaborées dans chacune des classes du collège. Les commentaires qui les accompagnent apportent un éclairage
supplémentaire sur les conditions de leur apprentissage.
La définition de ces capacités vise donc à clarifier les
attentes, à préciser les priorités et à fournir des repères
dans le but d’aider les enseignants dans leur travail de
programmation et dans la mise au point des évaluations
qui permettent d’en baliser la réalisation.
Il importe de bien garder à l’esprit que la liste des capacités, si elle fixe les objectifs à atteindre, ne détermine
pas pour autant les moyens pédagogiques à utiliser
pour cela.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
L’ordre d’exposé des capacités, pour chaque domaine, ne
correspond pas nécessairement à celui de leur apprentissage. D’autant plus que, dans la plupart des cas, ces capacités ne s’acquièrent ni isolément les unes des autres, ni en
une seule fois.
Pour prendre sens pour les élèves, les notions mathématiques et les capacités qui leur sont liées gagnent à être
mises en évidence et travaillées dans des situations riches,
à partir de problèmes à résoudre, avant d’être entraînées
pour elles-mêmes.
Il faut également prendre en compte le fait que tout
apprentissage se réalise dans la durée, dans des activités variées et que toute acquisition nouvelle doit être
reprise, consolidée et enrichie. Dans cette perspective,
la répétition d’exercices vides de sens pour l’élève à un
moment donné n’est pas la meilleure stratégie pour favoriser la maîtrise d’une capacité. Il convient d’envisager
que c’est parfois dans le cadre d’un travail ultérieur, en
travaillant sur d’autres aspects, de la notion en jeu ou sur
d’autres concepts, qu’une capacité non maîtrisée à un
certain moment pourra être consolidée.
9
>
Gr i l l e de réf
r éf érence
d e f i n de c yc l e c
central
entral (fi
(fin
n de
d e 4 e)
Connaissances et
capacités attendues en fin
de scolarité obligatoire
Éléments du socle exigibles en fin de quatrième
- Reconnaître si deux grandeurs sont ou non
proportionnelles et, dans l’affirmative :
• déterminer et utiliser un coefficient de
proportionnalité;
• utiliser les propriétés de linéarité;
• calculer une quatrième proportionnelle.
Reconnaître des situations
de proportionnalité, utiliser
des pourcentages, des
tableaux, des graphiques.
Exploiter des données
statistiques et aborder des
situations simples de
probabilité.
- Relier pourcentages et fractions.
- Appliquer un taux de pourcentage.
- Calculer un taux de pourcentage, une fréquence.
Les nombres en jeu sont entiers ou décimaux.
L’évaluation porte sur des cas simples.
Il s’agit de créer, analyser, utiliser une formule
comprenant des références relatives.
- Mobiliser des écritures différentes d’un même
nombre.
- Comparer des nombres.
- Choisir l’opération qui convient au traitement de
la situation étudiée.
Les nombres utilisés sont les nombres relatifs en
écriture décimale et les nombres positifs en
écriture fractionnaire.
- Maîtriser de manière automatisée les tables de
multiplication « dans un sens ou dans l’autre »
pour effectuer un calcul mental simple, un calcul
réfléchi, un calcul posé portant sur des nombres de
taille raisonnable.
Les opérations mobilisées sont :
- les quatre opérations sur les nombres relatifs
entiers, décimaux ;
- la multiplication de deux nombres positifs en
écriture fractionnaire
- l’addition et la soustraction de deux nombres
positifs de même dénominateur en écriture
fractionnaire.
La comparaison des nombres positifs en écriture
fractionnaire se limite au cas où le dénominateur
de l’un est multiple de l’autre.
- Mener à bien un calcul instrumenté (calculatrice, Les nombres en jeu sont de taille raisonnable, tout
tableur).
particulièrement pour la division.
S’agissant des puissances, l’exigence porte sur le
carré et le cube d’un entier relatif et sur les
puissances de 10.
- Conduire un calcul littéral simple.
Le calcul littéral porte sur :
- le calcul de la valeur d’une expression littérale
en donnant aux variables des valeurs numériques,
- la transformation d’une expression du premier
degré à une variable à coefficients entiers.
- Évaluer mentalement un ordre de grandeur du
résultat avant de se lancer dans un calcul.
- Contrôler un résultat à l’aide d’une calculatrice
ou d’un tableur.
10
L’utilisation de l’échelle d’une carte ou d’un
dessin se limite au calcul d’une distance.
Les données sont, autant que possible, recueillies
- Repérer un point sur une droite graduée, dans un à l’issue d’expériences ou d’enquêtes.
plan muni d’un repère orthogonal.
Le traitement de données intervient
essentiellement dans le cadre de la statistique.
- Lire, utiliser et interpréter des données
présentées sous forme de tableaux, de graphiques. L’utilisation du tableur-grapheur permet de passer
d’un mode de représentation à un autre.
- Effectuer, à la main ou avec un tableur-grapheur,
des traitements de données.
Les nombres en jeu sont des décimaux relatifs ou
des quotients simples.
- Utiliser un tableur-grapheur pour :
• présenter des données ;
• calculer des effectifs, des fréquences, des
moyennes ;
• créer un graphique ou un diagramme.
Connaître et utiliser les
nombres entiers, décimaux
et fractionnaires. Mener à
bien un calcul selon des
modalités adaptées : calcul
mental, à la main, à la
calculatrice, avec un
ordinateur.
Indications pour l'évaluation en situation
L’exigence porte sur l’ordre de grandeur d’une
somme, d’une différence, d’un produit de deux
nombres décimaux positifs.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Connaissances et
capacités attendues en fin
de scolarité obligatoire
Éléments du socle exigibles en fin de quatrième
Indications pour l'évaluation en situation
Les instruments sont la règle (graduée ou non),
l’équerre, le compas, le rapporteur.
Les tracés doivent pouvoir être réalisés sur papier
uni ou support informatique.
- Effectuer des constructions simples en utilisant :
• des outils (instruments de dessin, logiciels)
• des définitions, des propriétés (en acte et sans
nécessité d’indiquer ou de justifier la méthode
choisie).
Connaître et représenter des
figures géométriques et des
objets de l'espace.
Utiliser leurs propriétés dans
un cadre simple.
- Utiliser les propriétés d’une figure et les
théorèmes de géométrie pour traiter une situation
simple.
- Raisonner logiquement, pratiquer la déduction,
démontrer. (la démonstration ne doit pas faire
l’objet d’une formalisation écrite).
- Interpréter une représentation plane d’un objet
de l’espace, un patron.
Il s’agit de :
- construire une figure à partir de données
suffisantes sur des longueurs, des angles ;
- construire ou compléter la figure symétrique par
rapport à un axe ou à un centre d’une figure
donnée ;
- dessiner à main levée une représentation en
perspective cavalière d’un prisme droit ou d’un
cylindre de révolution.
Les supports sont des configurations
immédiatement lisibles ; les raisonnements ne font
pas l’objet d’une mise en forme écrite
L’exigence porte sur la capacité à mobiliser une
propriété pour élaborer une déduction simple.
L’évaluation s’effectue oralement ou en situation,
sans exigence particulière de formulation des
justifications.
Il s’agit de reconnaître et dessiner à main levée un
cylindre de révolution. Pour le prisme droit, seul
le dessin à main levée est exigible.
Les exigences concernant les données permettant
le calcul sont les mêmes que celles de la partie
« nombres et calcul ».
Réaliser des mesures
(longueurs, durées,….),
calculer des valeurs
(volumes, vitesses, …) en
utilisant différentes unités.
- Mesurer une longueur, un angle, une durée, un
volume, une masse, une température, une intensité
de courant électrique, une tension.
- Calculer une longueur, un angle, une aire, un
volume, une vitesse, une durée.
- Effectuer des conversions d’unités relatives aux
grandeurs étudiées.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Les exigences portent notamment sur :
- la mesure d’un volume avec une éprouvette
graduée, d’une masse avec une balance
électronique ;
- l’utilisation d’un thermomètre, d’un capteur pour
mesurer une température ;
- la mesure de l’intensité d’un courant électrique
et de la tension aux bornes d’un dipôle ;
- l’utilisation d’un rapporteur.
Les exigences relatives aux valeurs en jeu dans les
calculs sont les mêmes que celles de la partie
« nombres et calcul ».
Les changements d’unités portent sur les
longueurs, les masses, les durées, les aires, les
volumes, le lien entre volume et contenance.
11
>
Préambule pour la classe de Cinquième
Le préambule du programme concerne toutes les classes
du collège.
Pour chaque classe, il y a des préambules différents pour
chacun des 4 domaines.
Voici ceux de Cinquième.
1. ORGANISATION ET GESTION DE DONNÉES.
FONCTIONS
En classe de Cinquième, la proportionnalité occupe toujours une place centrale. Les méthodes de résolution des
problèmes de proportionnalité évoluent avec les connaissances des élèves, notamment avec une meilleure maîtrise
de la notion de quotient.
La partie relative au traitement et à la représentation de
données a pour objectif d’initier à la lecture, à l’interprétation, à la réalisation et à l’utilisation de diagrammes,
tableaux et graphiques et de mettre en évidence la relativité de l’information représentée. Les travaux correspondants sont conduits à partir d’exemples et en liaison,
chaque fois qu’il est possible, avec l’enseignement des
autres disciplines et l’étude des thèmes de convergence.
2. NOMBRES ET CALCULS
Les problèmes proposés associant à une situation donnée
une activité numérique, renforcent le sens des opérations
et des diverses écritures numériques et littérales. Ils sont
principalement issus de la vie courante, des autres disciplines ou des mathématiques. Il convient de ne pas mul-
12
tiplier les activités purement techniques. Tous les travaux
numériques fournissent des occasions de pratiquer le
calcul exact ou approché sous toutes ses formes, utilisées
en interaction : calcul mental, à la main ou instrumenté.
3. GÉOMÉTRIE
En classe de Cinquième, l’étude de la symétrie centrale
permet de réorganiser et de compléter les connaissances
sur les figures.
Les travaux de géométrie plane prennent toujours appui
sur des figures dessinées, suivant les cas, à main levée, à
l’aide des instruments de dessin et de mesure, ou dans un
environnement informatique. Ils sont conduits en liaison
étroite avec l’étude des autres rubriques. Les diverses activités de géométrie habituent les élèves à expérimenter et
à conjecturer, et permettent progressivement de s’entraîner à des justifications mettant en œuvre les outils du
programme et ceux déjà acquis en classe de Sixième.
4. GRANDEURS ET MESURES
Cette rubrique s’appuie notamment sur la résolution de
problèmes empruntés à la vie courante. Comme en classe
de Sixième, l’utilisation d’unités dans les calculs sur les
grandeurs est légitime. Elle est de nature à en faciliter le
contrôle et à en soutenir le sens. Les questions de changement d’unités sont reliées à l’utilisation de la proportionnalité de préférence au recours systématique à un tableau
de conversion.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
Je comprends les consignes
2 J’ANALYSE L’ÉNONCÉ D’UN EXERCICE
A 1)
Énoncé Ce que l’on nous
donne
Ce que l’on nous
demande
Justifier que les droites
On considère un
triangle ABC rectangle (d) et (AC) sont
parallèles.
en A. On note (d) la
droite perpendiculaire
à la droite (AB)
passant par le point B.
B
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3 J’ANALYSE LES DONNÉES D’UN ÉNONCÉ
1) a) Les données du texte sont : A, E, F alignés
A, B, C alignés
(BE)// (CF)
b) Les données de la figure sont : AB = BC
(AB) ⬜ (BE)
2) ! oui ; @ non ; # oui ; $ non ; % oui.
3) La consigne est : « démontrer que les droites (AC) et
(CF) sont perpendiculaires. »
4 JE JUSTIFIE À L’AIDE D’UNE DÉMONSTRATION
A 1) Les données sont : (d1) // (d2)
(d3) ⬜ (d4)
(d1) ⬜ (d4)
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) La consigne est : « Démontrer que les droites (d4) et (d2)
sont perpendiculaires. »
B 1) Les propriétés @ et # correspondent à la consigne.
2) a) La propriété #.
b) (d1) // (d2) et (d1) ⬜ (d4).
C On sait que : ● (d1) // (d2)
● (d ) ⬜ (d ).
1
4
Or, « si deux droites sont parallèles et si une troisième
droite est perpendiculaire à l’une, alors elle est aussi perpendiculaire à l’autre. »
Donc, (d4) ⬜ (d2).
Les droites (d4) et (d2) sont donc perpendiculaires.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
D Montrons que les droites (d1) et (d3) dont parallèles.
On sait que : (d1) ⬜ (d4)
(d3) ⬜ (d4).
Or, « si deux droites sont perpendiculaires à une même
droite, elles sont parallèles. »
Donc, (d1) // (d3).
Les droites (d1) et (d3) sont donc parallèles.
5 JE COMPRENDS LES PRÉFIXES
DES UNITÉS DE MESURES
A 1) 1 kg = 1 000 × 1 g = 1 000 g
1 hg = 100 × 1 g = 100 g
1 dam = 10 × 1 m = 10 m
1 ha = 100 × 1 a = 100 a
1 hL = 100 × 1 L = 100 L
2) 1 dg = 1 g : 10 = 0,1 g
1 cm = 1 m : 100 = 0,01 m
1 mL = 1 L : 1 000 = 0,001 L
1 ca = 1 a : 100 = 0,01 a
1 dL = 1 L : 10 = 0,1 L
3) a) ● 1 dam2 est l’aire d’un carré de 1 dam de côté.
Ainsi 1 dam2 = 1 dam × 1 dam.
● 1 dam2 est l’aire d’un carré de 100 m de côté.
Ainsi 1 dam2 = 100 m × 100 m = 10 000 m2.
b) 1 dam3 est le volume d’un cube de 1 dam de côté.
Ainsi 1 dam3 = 1 dam × 1 dam × 1 dam.
= 10 m × 10 m × 10 m
= 1 000 m3.
Donc 1 dam3 ⫽ 10 m3.
B 1) 3,5 km = 3,5 × 1 km = 3,5 × 1 000 m = 3 500 m.
2) a) 65,2 km = 65,2 × 1 km = 65,2 × 1 000 m = 65 200 m.
b) 4,8 dm = 4,8 × 1 dm = 4,8 × 0,1 m = 0,48 m.
c) 2 cm = 0,02 m.
d) 0,79 mm = 0,000 79 m
3) a) 0,045 m = 0,045 × 1 m = 0,045 × 100 cm = 4,5 cm.
b) 165,3 mm = 165,3 × 1 mm = 165,3 × 0,1 cm = 16,53 cm.
c) 15 635 dam = 15 635 × 1 dam = 15 635 × 10 m
= 156 350 m.
C 1) 5,7 kg = 5,7 × 1 kg = 5,7 × 1 000 g = 5 700 g.
2) a) 58 mg = 58 × 1 mg = 58 × 0,001 g = 0,058 g.
b) 350 mg = 350 × 1 mg = 350 × 0,001 g = 0,35 g.
c) 0,004 kg = 0,004 × 1 kg = 0,004 × 1 000 g = 4 g.
d) 0,89 dag = 0,89 × 1 dag = 0,89 × 10 g = 8,9 g.
3) a) 3,9 t = 3,9 × 1 t = 3,9 × 1 000 kg = 3 900 kg.
b) 0,58 q = 0,58 × 1 q = 0,58 × 100 kg = 580 kg.
c) 7 500 g = 7 500 × 1 g = 7 500 × 0,001 kg = 7,5 kg.
d) 61,56 dag = 61,56 × 1 dag = 61,56 × 0,01 kg = 0,615 6 kg.
13
Chapitre
1
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
Les problèmes proposés associant à une situation donnée une activité numérique, renforcent le sens des opérations et des
diverses écritures numériques et littérales. Ils sont principalement issus de la vie courante, des autres disciplines ou des
mathématiques. Il convient de ne pas multiplier les activités purement techniques. Tous les travaux numériques fournissent des occasions de pratiquer le calcul exact ou approché sous toutes ses formes, utilisées en interaction : calcul
mental, à la main ou instrumenté.
■ Commentaires
> CONNAISSANCES :
●
●
Nombres entiers et décimaux positifs
*Enchaînement d’opérations
CAPACITÉS
● Effectuer une succession d’opérations donnée sous
diverses formes (par calcul mental, à la main ou
instrumenté), uniquement sur des exemples numériques.
● Écrire une expression correspondant à une succession donnée d’opérations.
L’acquisition des priorités opératoires est un préalable au
calcul algébrique. Les questions posées à propos de résultats obtenus à l’aide de calculatrices peuvent offrir une
occasion de dégager les priorités opératoires usuelles.
La capacité visée dans le socle commun concerne uniquement un calcul isolé. Pour construire la capacité : « savoir
quand et comment utiliser les opérations élémentaires
pour résoudre un problème », la succession d’opérations,
si elle est nécessaire, se fait étape par étape.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Choisir l’opération qui convient au traitement de la
situation étudiée.
– Maîtriser de manière automatisée les tables de multiplication « dans un sens ou dans l’autre » pour effectuer un
calcul mental simple, un calcul réfléchi, un calcul posé
portant sur des nombres de taille raisonnable.
– Évaluer mentalement un ordre de grandeur du résultat
avant de se lancer dans un calcul.
Programme de la classe de Sixième
■ Commentaires
> CONNAISSANCES :
●
●
●
Techniques élémentaires de calcul
Ordre de grandeur
Sens des opérations
CAPACITÉS
Savoir effectuer ces opérations sous les diverses
formes de calcul : mental, à la main ou instrumenté.
● Connaître la signification du vocabulaire associé :
somme, différence, produit, terme, facteur, dividende,
diviseur, quotient, reste.
● Établir un ordre de grandeur d’une somme, *d’une
différence, d’un produit.
● Choisir les opérations qui conviennent au traitement de la situation étudiée.
●
La capacité à calculer mentalement est une priorité et fait
l’objet d’activités régulières.
La maîtrise des différents moyens de calcul doit devenir
suffisante pour ne pas faire obstacle à la résolution de problèmes. Concernant le calcul posé, les nombres doivent
rester de taille raisonnable et aucune virtuosité technique
n’est recherchée.
L’objectif est de sensibiliser les élèves à utiliser les ordres de
grandeur pour contrôler ou anticiper un résultat.
Pour les problèmes à étapes, la solution peut être donnée
à l’aide d’une suite de calculs, *ou à l’aide de calculs avec
parenthèses.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES : Enchaînement d’opérations
CAPACITÉS
Sur des exemples numériques, écrire en utilisant correctement des parenthèses, des programmes de calcul
●
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
portant sur des sommes ou des produits de nombres
relatifs.
● Organiser et effectuer à la main ou à la calculatrice
les séquences de calcul correspondantes.
Chap. 1 - Enchaînements d’opérations 15
■ Commentaires
gestion d’un programme de calcul utilisant des parenthèses. En
À la suite du travail entrepris en classe de Cinquième les
élèves sont familiarisés à l’usage des priorités ainsi qu’à la
particulier, la suppression des parenthèses dans une somme
algébrique est étudiée.
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Les priorités opératoires sont introduites en classe
de Cinquième. Leur acquisition est un préalable au
calcul algébrique.
Les élèves vont alors se rendre compte que certaines
parenthèses qu’ils utilisaient dans certains calculs
sont inutiles. Les règles de suppression des parenthèses seront étudiées en classe de Quatrième.
➜ Les techniques de calcul des quatre opérations
ont été revues en classe de Sixième et ne sont pas étu-
>
diées dans ce chapitre. Les nombres sont pour la plupart suffisamment simples pour que les calculs soient
effectués sans poser l’opération.
➜ Pour résoudre un « problème à étapes », l’élève
peut raisonner étape par étapes (socle commun) ou
écrire une expression numérique utilisant ou non des
parenthèses (hors socle commun).
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES : On peut effectuer des calculs avec
des grandeurs exprimées dans la même unité.
CORRIG É
2) a) On a pu répondre à la question précédente car les
puissances de calculs de ces ordinateurs étaient exprimées
dans la même unité : le téraflop.
b) Un téraflop correspond à 1 000 milliards de flops.
1) 1750 : 140 = 12,5
Il faudrait 12,5 ordinateurs Jade pour égaler la puissance
de calcul du Jaguar XT5.
1
J’UTILISE LE VOCABULAIRE ASSOCIÉ AUX OPÉRATIONS
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Revoir l’addition, la soustraction,
la multiplication et la division.
• Connaître le vocabulaire
des 4 opérations.
• Savoir effectuer les 4 opérations.
! Les quatre opérations
■ COM MENTAI RES :
Un problème concret simple permet de revoir les
quatre opérations. Seule la division décimale de 192
par 16 demande de poser l’opération ou d’utiliser une
calculatrice.
2
Déterminer un ordre de grandeur.
Prérequis
Déterminer un ordre de grandeur,
d’une somme, d’un produit.
Paragraphe
introduit
16
C ORRIGÉ
1) Étape 1 : 222 – 30 = 192
Le prix des 16 thuyas sans la livraison est 192 €.
Étape 2 : 192 : 16 = 12
Chaque thuya coûte 12 €.
Étape 3 : 6 × 12 = 72
6 thuyas sans la livraison coûtent 72 €.
Étape 4 : 72 + 30 = 102
6 thuyas avec la livraison coûtent 102 €.
2) a) On a calculé une somme lors de l’étape 4, les termes
de cette somme sont 72 et 30.
b) On a calculé une différence lors de l’étape 1, les termes
de cette différence sont 222 et 30.
c) On a calculé un produit lors de l’étape 3, les facteurs de
ce produit sont 6 et 12.
d) On a calculé un quotient lors de l’étape 2, le dividende
est 192 et le diviseur est 16.
J’ÉVALUE UN ORDRE DE GRANDEUR D’UN RÉSULTAT
Objectif
Point de repère (page 16)
JE REVOIS
JE REVOIS
■ C OM M E NTAIRE S : La notion d’ordre de grandeur fait
partie du socle commun.
Le calcul exact de la distance parcourue en 3 semaines est
étudié à l’activité 3.
Il peut être utile de faire un schéma :
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
CO RRI G É
1) a) 5 + 7 + 8 = 20
Noham parcourt environ 20 km chaque lundi.
b) 2 × 8 = 16
Noham parcourt environ 16 km chaque mercredi.
c) 20 × 4 + 16 = 80 + 16 = 96
Noham parcourt environ 96 km entre le lundi matin et le
vendredi soir.
3
J’UTILISE UNE EXPRESSION AVEC PARENTHESES
Objectif
Produire et calculer une expression
avec parenthèses.
Prérequis
Connaître le rôle des parenthèses dans
une expression numérique.
Paragraphe
introduit
@ Calcul d’une expression avec
parenthèses
■ C O MMENTAI RE S :
Cette activité reprend les données de l’activité précédente.
On peut remarquer que les résultats trouvés dans l’activité 3 correspondent aux ordres de grandeur trouvés dans
l’activité 2.
Toutefois, il n’est pas obligatoire d’avoir fait l’activité 2.
4
JE REVOIS
C ORRIGÉ
1) a) L’expression numérique (5,16 + 6,92 + 7,89) × 4
permet de calculer la distance totale parcourue par Noham
les lundi, mardi, jeudi et vendredi.
b) Les parenthèses indiquent qu’il faut commencer par
calculer la somme 5,16 + 6,92 + 7,89 avant de multiplier
par 4.
2) a) d = (7,89 × 2) + [(5,16 + 6,92 + 7,89) × 4]
b) d = (7,89 × 2) + [(5,16 + 6,92 + 7,89) × 4]
d = 15,78 + (19,97 × 4)
d = 15,78 + 79,88
d = 95,66
Noham parcourt 95,66 km entre le lundi matin et le vendredi soir.
3) 3 × d = 3 × 95,66 = 286,98
Noham parcourt 286,98 km durant 3 semaines lors de
ces trajets.
JE CALCULE DES ADDITIONS ET DES SOUSTRACTIONS SUCCESSIVES
Objectif
Comprendre comment calculer
un enchaînement d’additions
et de soustractions.
Prérequis
Paragraphe
introduit
–
# Calcul d’une expression sans
parenthèses
a) Enchaînement d’additions
et de soustractions
■ C O MMENTAI RE S :
La question 1) donne un résultat irréfutable. La calculatrice permet de trouver le même résultat.
L’élève doit alors analyser pourquoi Isabelle s’est trompée
en calculant l’expression A.
5
2) Un ordre de grandeur du produit de 3 par 96 est 300. Il
sera inférieur à 300.
Parmi les étiquettes, le seul résultat possible est 286,98.
La distance parcourue par Noham durant 3 semaines lors
de ces trajets est 286,98 km.
C ORRIGÉ
1) Nombre d’étudiants (en milliers) en 2005 : 2 283.
Nombre d’étudiants (en milliers) en 2006 :
2 283 – 29 = 2 254.
Nombre d’étudiants (en milliers) en 2007 :
2 254 – 26 = 2 228.
Nombre d’étudiants (en milliers) en 2008 :
2 228 + 4 = 2 232.
2) a) Le résultat affiché par la calculatrice est 2 232.
On retrouve le nombre d’étudiants (en milliers) en 2008.
b) Ainsi A = 2 232. Le résultat d’Isabelle est donc faux.
c) Pour ne pas se tromper, on effectue les calculs de
gauche à droite, en ne faisant qu’un seul calcul à la fois.
JE CONVIENS DES PRIORITÉS OPÉRATOIRES
Objectif
Découvrir que la multiplication
et la division sont prioritaires
sur l’addition et la soustraction.
Prérequis
Calcul mental.
Paragraphe
introduit
# Calcul d’une expression
sans parenthèses
c) Enchaînement d’opérations diverses
■ C O M M E NTAI R E S : *La partie A permet de se rendre
compte si la calculatrice de l’élève respecte les priorités
opératoires. Si ce n’est pas le cas, il vaut mieux conseiller
à l’élève de se procurer une autre calculatrice. Si l’élève
trouve un résultat autre que 28 ou 60, c’est qu’il s’est
trompé en tapant la séquence.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
*Ce n’est pas la calculatrice qui décide des priorités opératoires : ce sont les mathématiciens qui lui ont « appris » à
les respecter.
C ORRIGÉ
B 1) et 2) a) 5 + 6 × 7 = 47
b) 7 × 5 – 4 = 31
c) 24 – 3 × 6 = 6
d) 5 × 3 + 6 = 21
e) 2 + 3 × 8 – 4 = 22
3) a) Les trois opérations utilisées sont l’addition, la soustraction et la multiplication.
b) De ces opérations, la multiplication est prioritaire par
rapport aux deux autres.
Chap. 1 - Enchaînements d’opérations 17
C 1) et 2) a) 6 + 9 : 3 = 9
b) 12 : 4 – 2 = 1
c) 25 – 15 : 5 = 22
d) 36 : 6 + 3 = 9
e) 6 + 12 : 6 – 2 = 6
>
E x erc
er c ic
ice
es
1
1) 21 + 7 = 28
2) 21 – 7 = 14
3) 21 × 7 = 147
4) 21 : 7 = 3
1) 20,4 × 2 = 40,8
2) 20,4 – 2 = 18,4
3) 20,4 : 2 = 10,2
4) 20,4 + 2 = 22,4
2
3
1) 15 : 4 = 3,75
2) 99,8 + 3,7 = 103,5
3) 0,07 × 0,9 = 0,063
4) 34 – 6,3 = 27,7
1) 7 × 5 – (7 + 5) = 23
2) (8 + 4) × (8 : 4) = 24
4
a) Périmètre du carré : 4 × 11 cm = 44 cm.
Aire du carré : 11 cm × 11 cm = 121 cm2.
b) Périmètre du rectangle : 2 × (6,5 m + 4 m) = 21 m.
Aire du rectangle : 6,5 m × 4 m = 26 m2.
5
6
Côté du triangle : 3,2 + 5,8 = 9 cm.
h
Aire du triangle : c × = 9 cm × 4 cm : 2 = 18 cm2.
2
a) 7 × (4 + 5) = 63
b) (31 – 5) – (15 + 2) = 9
c) (16 + 8) : (8 – 5) = 8
d) 35 : (5 + 2) = 5
7
a) (5,1 + 3,4) × (3 – 1) = 17
b) (10 : 4) × (1 + 2) = 7,5
c) (2 + 3) × (10 – 2,9) = 35,5
d) 5 × [(0,9 : 3) + 1] = 6,5
8
9
a) Périmètre du carré proche de 24 m.
b) Périmètre du rectangle proche de 24 m.
c) Aire du rectangle proche de 45 m2.
Aire du triangle : c × h : 2.
Un ordre de grandeur de la longueur du côté est 7 cm.
Un ordre de grandeur de la longueur de la hauteur est
4 cm.
Un ordre de grandeur de l’aire est donc :
7 cm × 4 cm : 2 = 14 cm2.
L’aire de ce triangle est donc 14,62 cm2.
10
11
a) 5 + 3 – 4 + 1 = 5
b) 6 – 2,2 – 2,3 + 5,4 = 6,9
c) 7 – 3 – 4 + 5 + 3 – 4 + 3 – 2 = 5
d) 5,5 – 1,5 – 2,5 + 3,5 – 0,5 + 1,5 = 6
a) 12 : 4 × 2 : 3 = 2
b) 9 × 4 : 3 : 3 = 4
c) 8 × 6 : 12 : 4 = 1
d) 50 : 5 : 2 × 3 : 5 = 3
12
18
3) a) Les trois opérations utilisées sont l’addition, la soustraction et la division.
b) De ces opérations, la division est prioritaire par rapport
aux deux autres.
1) A = 17 – 5 × 3 + 1 = 3. Le troisième élève a juste.
2) Le premier élève n’a pas respecté les priorités ; il a calculé d’abord 17 – 5 et 3 + 1 avant de multiplier les deux
résultats.
La fille a calculé la soustraction 17 – 5 avant de multiplier son résultat par 3. C’est aussi une erreur dans les
priorités.
Le calcul prioritaire est ici la multiplication 5 × 3.
13
a) 8 – 2 × 3 = 2
b) 3 × 6 + 4 × 4 = 34
c) 5 + 3 × 4 – 2 × 5 = 7
d) 5 × 6 – 5 × 3 + 7 = 22
14
15
a) 15 + 16 : 4 = 19
b) 8 : 4 – 2 : 2 = 1
c) 7 + 36 : 9 – 15 : 5 = 8
d) 18 : 3 – 24 : 8 – 3 = 0
a) 7 + 3 × 8 = 31
b) (7 + 3) × 8 = 80
c) 18 – 12 : 6 = 16
d) (18 – 12) : 6 = 1
e) 4 × 5 + 3 × 2 = 26
f) 4 × (5 + 3) × 2 = 64
g) 5 × 8 – 4 : 2 = 38
h) 5 × (8 – 4) : 2 = 10
16
17
A=
(12 + 6) 18
=
=9
2
2
6
= 12 + 3 = 15
2
12 12
C=
=4
=
6
3
2
12
2
6
D=
= =1
2
2
B = 12 +
a) 5 × 9 – 6 = 39
b) 7 × 8 + 2 = 58
c) 3 + 9 × 5 = 48
d) 12 – 8 : 4 = 10
e) 36 : 6 + 3 = 9
f) 25 + 5 : 5 = 26
18
a) 2,5 + 3,2 × 6 = 21,7
b) 13,8 – 8,8 : 8 = 12,7
c) 5,2 × 4 – 3 × 1,8 = 15,4
d) 15,6 : 3 + 4 × 3,7 = 20
19
20
1) 92 – 15 – 3 – 1 est le nombre d’hôtels en Guadeloupe après 2007.
2) a) En Martinique : 109 – 10 + 21 – 31
En Guyane : 27 – 2 + 1
À la Réunion : 152 – 43 – 27 + 5
À Mayotte : 8 + 34 + 4 – 37
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
b) En Guadeloupe : 92 – 15 – 3 – 1 = 73
En Martinique : 109 – 10 + 21 – 31 = 89
En Guyane : 27 – 2 + 1 = 26
À la Réunion : 152 – 43 – 27 + 5 = 87
À Mayotte : 8 + 34 + 4 – 37 = 9
A = 3,5 + 1,5 × 5 + 1 = 12
B = (3 + 1,5) × (5 + 1) = 27
C = 18 – 15 : 6 – 2 = 13,5
D = (18 – 15) : (6 – 2) = 0,75
E = 2,4 : 3 + 5 × 1,4 = 7,8
F = 2,4 : (3 + 5) × 1,4 = 0,42
21
A = 6 × 6 – 3 × 2 – 5 × 4 + 4 × 2 = 18
B = 12 : 4 + 8 × 3 – 2 x (7 – 5) = 23
C = 60 : (4 + 2 × 3) – (6 – 3) × 2 = 0
D = [5 × (4 + 8 : 2) – 6 × 6] × 4 + 1 = 17
L’intrus est donc 2.
22
A = 65 – (18 + 63 : 9) + 7 × 3 = 61
B = (32 – 4 × 7) × 3 – 2 = 10
C = 17 – (19 – 11) + (3 + 8) × 4 + 1 = 54
D = 5 + 2 × (3 × 5 – 5 : 5) – 45 : (1 + 2 × 4) = 28
23
A = [4 : (2 + 4 : 2)] × 2 – 1 = 1
B = 4 : [(2 + 4) : 2 × 2 – 1] = 0,8
C = 10 – [4 : 4 + 2 × (5 – 5 : 2)] = 4
D = (10 – 4) : 4 + 2 × (5 – 5) : 2 = 1,5
24
a) 5 × (3 + 1) × 2 = 40
b) 4 + 5 : (4 + 1) = 5
c) 1 + (22 + 5) : (10 – 1) + 5 = 9
25
1) 3 × 2 + 5 × 0,5 + 7 × 0,2
6 + (5 × 0,5) + (7 × 0,2)
2) On calcule donc une de ces deux expressions et on
trouve 9,90 €.
26
27
1) A = 660 : 12 est la masse d’une tasse.
B = 800 – 660 est la masse des 5 sous-tasses.
2) a) La masse d’une sous-tasse se calcule par l’expression
(800 – 660) : 5.
b) En calculant l’expression ci-dessus, on obtient la masse
d’une sous-tasse 28 g.
3) Cette masse est égale à 28 g + (660 : 12)g = 83 g
1) a) 8,3 × 4,4 est l’aire du rectangle ABCD.
b) 8,3 – 4,8 est la longueur DE.
2) a) Le périmètre du rectangle orange est donné par
l’expression (4,8 + 4,4) × 2.
b) Ce périmètre est égal à 18,4 cm.
3) a) Aire du rectangle vert : 4,4 × (8,3 – 4,8).
b) Cette aire est égale à 15,4 cm2.
28
29
La taille de Karim est égale à :
(1,54 m + 1,4 8 m) : 2 = 1,51 m.
1) A = 8 × 9,5 = 76
2) B = 15,6 – 8,7 = 6,9
14,8
= 3,7
3) C =
4
4) D = 56,7 + 67,86 = 124,56
30
1) R = 12 × 7 + (12 – 7) = 89
(13 + 8)
= 4,2
2) T =
(13 – 8)
31
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1) a) 3,7 × 7,3 = 27,01
b) 2 × (3,7 + 7,3) = 22
2) Le premier calcul est l’aire de ce rectangle.
Le deuxième calcul est le périmètre de ce rectangle.
32
a) 12 × (9 + 4) = 156
b) (3 – 2) × (3 + 2) = 5
c) (3,4 + 2,6) : 4 = 1,5
d) (7 – 1,5) : (8,2 – 3,2) = 1,1
33
34
A = 15 – (9 + 3) = 3
B = 38 – [26 – (7 + 12)] = 31
C = 3,4 – (7 – 4,8) = 1,2
D = 45 – [15 – (12 -3,4)] = 38,6
35
1) A = V ; B = T ; C = R ; D = W ; E = S ; F = U
2) A = V = 19,2
B=T=5
C = R = 1,6
D = W = 4,45
E = S = 14
F = U = 2,4
a) 7 × (8 – 5) = 21
b) (12 + 3) × (9 – 7) = 30
c) 40 – (15 + 15) = 10
d) (27 – 2) : (8 – 3) = 5
36
37
1)
a
b
c
a–b+c
a – (b + c)
a–b–c
8
5
2
5
1
1
13
5
4
12
4
4
17
8
9
18
0
0
3,5
1,2
2,2
4,5
0,1
0,1
5
1,6
2,7
6,1
0,7
0,7
2) On remarque que les deux dernières colonnes sont
égales.
38
a) 12 – 7 + 5 = 10
b) 7,8 – 4,9 – 1,4 = 1,5
c) 15 + 8 – 7 – 6 + 3 = 13
d) 9,7 – 5 – 3,9 + 2 = 2,8
39
A = 17 – 8 + 3 – 5 + 4 – 5 + 6 = 12
B = 7,3 + 2,8 – 5,4 – 1,8 + 3,8 – 1,9 = 4,8
a) 3 × 2 × 5 × 6 = 180
b) 12 × 4 : 6 : 2 = 4
c) 5 × 6 : 4 : 10 = 0,75
d) 18 : 2 × 5 : 3 = 15
40
41
a
b
c
a+b×c
(a + b) × c
3
2
5
13
25
9
11
0
9
0
5,2
3,8
10
43,2
90
1,4
2,5
8
21,4
31,2
a) 8 – 3,5 × 2 = 1
b) 1,1 × 8 + 7 × 1,2 = 17,2
c) 18 + 2 × 1,7 – 0,7 = 20,7
d) 12 – 2 × 3 + 7 × 5 = 41
42
Chap. 1 - Enchaînements d’opérations 19
43
49
a) 16 – 6 : 3 = 14
b) 18 : 2 + 1 : 2 + 3 = 12,5
c) 7 + 36 : 9 – 15 : 5 = 8
d) 18 : 3 – 24 : 8 – 3 = 0
1) A = U ; B = W ; C = V ; D = T ; E = R ; F = S
2) A = U = 8
B=W=4
C = V = 0,5
D=T=8
E = R = 20
F = S = 5,75
a) 3 + 2 × 3 = 9
b) (3 + 2) × 3 = 15
c) 7 × 4 – 2 × 6 = 16
d) 7 × (4 – 2) × 6 = 84
e) 9 : 3 + 3 × 4 = 15
f) 9 : (3 + 3) × 4 = 6
g) 6 × 4 – 2 : 4 = 23,5
h) 6 × (4 – 2) : 4 = 3
44
(8,4 + 5,2)
= 3,4
(5,5 – 1,5)
(3 + 5 × 1,4)
B=
= 2,5
(7,2 – 1,6 × 2)
18,6
3
= 1,55
C=
4
(5,2 – 1,8 × 2)
D=
= 0,32
12
3
50
a) 1 + 7 × (8 – 3) = 36
b) 33 – (12 + 5) = 16
c) 12 : (4 + 2) + 3 = 5
d) (18 – 6) : (5 – 1) = 3
e) 2 + 24 : (3 × 2) = 6
f) 5 × (8 – 4) – 2 = 18
45
51
1) La somme d’argent qu’il reste à Thierry est donnée par l’expression : 10 – (3 × 0,85 + 1,2 × 1,85)
2) Il reste donc à Thierry 5,23 €.
46
1) Ordre de grandeur de A :
3 × 5 – (4 – 6 : 2) = 14.
2) a) A = 13,7782
b) En effet 13,7782 est proche de 14.
52
1) Ordre de grandeur de B : [2 × (8 – 1) + 2] : 2 = 8.
2) a) B = 7,91
b) En effet 7,91 est proche de 8.
47
48
1) Ordre de grandeur de l’aire du triangle :
8 × 4 : 2 = 16.
2) Aire du triangle :
c × h : 2 = (5,8 m + 2,17 m) × 4,35 m : 2 = 17,33475 m2.
>
Je f
fai
ai s l e p o int
53
Les exercices 54 à 63 sont corrigés à la page 285 du manuel élève.
b) Le nombre de régions de 8 départements est donc
de 3.
2) Le nom de ces régions : Île-de-France, Rhône-Alpes,
Midi-Pyrénées.
Il existe plusieurs réponses possibles.
a) 3 × 3 + 2 × 3 = 15
b) (1 + 2) × (2 + 3) = 15
65
A = 138
B = 181
C = 1,5
D=2
69
66
b
c
a–b¥c
(a – b) ¥ c
a¥b–a¥c
48
8
6
0
240
96
7,5
2,5
2
2,5
10
3,75
8
3,4
1,3
3,58
5,98
16,8
7,7
3,9
0
7,7
0
30,03
a
b
c
a
b
(a + b)
c
20
5
5
4
5
21
15
1
4
15
4
15,25
7
14
7
0,5
3
9
2,2
2
4
1,1
1,05
2,7
a+
b
c
1) a) Le nombre de régions de 8 départements est
donné par l’expression :
(101 – 5 × 1 – 4 × 2 – 3 × 3 – 7 × 4 – 3 × 5 – 2 × 6) : 8.
20
1) a) Rose a dans son porte-monnaie :
(5 + 3 × 2 + 5 × 0,50) €.
b) Ce qui fait une somme de 13,50 €.
2) a) Un ordre de grandeur du montant de ses achats :
9 €.
b) Montant total de ses achats :
4 × 0,85 + 0,8 × 1,40 + 2 × 1,95.
c) Le montant de ses achats s’élève à 8,42 €.
3) Il reste à Rose : 13,50 € – 8,42 € = 5,08 €.
70
67
68
1) a) 6 630 + 855 + 1 023 + 121 + 105
b) En 1990, il y avait 8 734 bateaux de pêche en France.
2) a) Il faudrait soustraire le nombre des autres bateaux
et non en additionner certains comme fait dans ce calcul.
b) Ce nombre est donné par l’expression :
5 815 – (4 302 + 816 + 90 + 68) = 539.
3) Ce nombre de bateaux est égal à :
4 979 – 416 – 578 – 67 – 56 = 3 862.
Le nombre de scaroles est donné par l’expression
suivante : 91 – 5 × 8 – 7 × 5 = 16.
64
a
A=
1) Aire de ce quadrilatère :
3,4 × 2,8 + 1,3 × 2,8 : 2.
2) Cette aire est égale à 11,34 cm2.
71
1) Aire du drapeau :
180 × (45 + 30 + 45) = 21 600 cm2.
2) Aire de la surface blanche :
21 600 – 4 × 75 × 45 = 8 100 cm2.
3) Aire de la surface rouge : 4 × 75 × 45 = 13 500 cm2.
72
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
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73
1) L’expression A permet de calculer le prix total
du parquet.
L’expression B permet de calculer le prix de la colle pour
1 m2.
L’expression C permet de calculer le prix de 2 pots de colle.
L’expression D permet de calculer le prix de 1 litre de
vernis.
2) a) Lili doit acheter 2 pots de colle.
b) Lili doit acheter 4 pots de vernis
c) Lili doit acheter 3 pots de durcisseur.
3) a) Le montant de ses achats est donné par l’expression :
12,85 × 32 + 18,20 × 2 + 12,70 × 4 + 38,40 × 3.
b) Le montant s’élève à 613,60 €.
2) Aire de ce triangle :
(1,5 cm + 2,7 cm) × 3,6 cm : 2 = 7,56 cm2.
(18 – 5,4 × 3) 1,8
= 0,225
=
A=
10
(2,5 × 4 – 2)
48
12 4
B=
= =1
4
4
48 48
= 16
C=
=
12
3
4
84
B = 2,7 × 3,9 – 5,4 : 12 = 10,08
C = 2,4 : 48 × 3,7 + 8,4 × 3,2 : 15 = 1,977
D = 12,4 × 7,3 – 5,8 : 25 – 5,4 × 0,3 = 88,668
85
Le nombre de boîtes de 6 œufs est donné par
l’expression : (266 – 14 × 12 – 2) : 6.
Ce qui fait 16 boîtes.
S = 38 × (157 + 48 × 9) – 897 = 21 485
T = (8 × 3,5 + 7) × (25 – 58 : 8) = 621,25
U = (3,9 – 7 : 4) × (3,8 × 9 – 12) = 47,73
a) 36 : 6 × 4 = 24
b) 18 – 8 × 2 = 2
c) 3 × 15 – 5 : 5 = 44
d) 3 + 4 + 2 – 3 – 5 = 1
1) [12 × (6 + 20 : 5)] : 4 = [12 × (6 + 4)] : 4
= [12 × 10] : 4 = 120 : 4
= 30
Un ordre de grandeur de Z est 30.
2) Z = [11,98 × (5,9 + 19,86 : 5)] : 4 = 29,56664
Ce résultat est cohérent avec l’ordre de grandeur de la
question 1).
74
75
On a 100 ⬍ 180 ⬍ 250.
Virginie va payer 2,22 € de forfait.
180 : 10 = 18.
Elle va aussi payer 18 × 0,05 €.
Virginie va payer :
2,22 € + 18 × 0,05 € = 2,22 € + 0,90 € = 3,12 €.
76
86
87
88
78
1) a) b) c) A = 24 + 25 = 49
En France en 1997, 49 jeunes de 15 à 24 ans sont morts
d’une maladie infectieuse.
2) ● B = 1 015 – 679 = 336
336 filles de 15 à 24 ans sont mortes d’autre maladie.
● C = 3 557 – (25 + 241 + 679 + 1 465 + 613) = 534
534 garçons de 15 à 24 ans sont morts de suicide.
● D = 167 + 534 = 701
701 jeunes de 15 à 24 ans sont morts de suicide.
● E = 24 + 154 + 336 + 377 + 167 + 182 = 1 240
1 240 filles de 15 à 24 ans sont mortes de mort violente en
France en 1997.
● F = 1 240 + 3 557 = 4 797
4 797 jeunes de 15 à 24 ans sont morts de mort violente en
France en 1997.
3) La première cause de mortalité est les accidents de la
route.
4) Pour chaque cause de mort violente, le nombre de victimes féminines est inférieur au nombre de victimes masculines. Cet écart est d’autant plus important concernant
les suicides et les accidents de la route.
79
80
1) Concernant les piétons, il y a le plus de victimes pour les personnes de 15 à 19 ans.
2) Pour les conducteurs ou passagers de voitures, il y a le
plus de victimes ayant entre 20 et 24 ans.
3) Pour les adolescents de 15 à 19 ans, il y a le plus de
victimes chez les cyclomotoristes.
77
On cherche par essais successifs.
Pour une lettre de 100 g :
1,35 € + 10 × 0,11 € = 2,45 €
● Pour une lettre de 250 g :
2,22 € + 25 × 0,11 € = 4,97 €
● Pour une lettre de 500 g :
3,02 € + 50 × 0,11 € = 8,52 €
● On remarque que :
4,97 € ⬍ 6,32 € ⬍ 8,52 €
La masse de la lettre est comprise entre 250 g et 500 g.
● On continue les essais et on trouve que pour une lettre
de 300 g,
3,02 € + 30 × 0,11 € = 6,02 €
La masse maximale de la lettre est 300 g.
●
a) 6,5 × (7 – 2) = 32,5
b) 18 – 13,5 – 3,5 = 1
c) 18 : 9 × 2 = 4
d) 5,5 + 3,5 × 4 = 19,5
2 × 7 + 12 : 2 = 20
1) Le périmètre du rectangle RSTU est donné par :
(10,5 + 6) × 2.
Le périmètre du rectangle SXYZ est donné par :
(10,5 – 7 + 2,5) × 2.
L’aire du rectangle RSTU est donnée par 6 × 10,5.
L’aire du rectangle SXYZ est donnée par (10,5 – 7) × 2,5.
2) L’aire du polygone bleu est donnée par :
aire du rectangle RSTU – aire du rectangle SXYZ
6 × 10,5 – (10,5 – 7) × 2,5 = 54,25 cm2.
A = 7 – 2 × 1,4 + 0,6 : 3 – 1 = 3,4 ;
B = 5 × (12 – 2 × 4) + 6 – 4 : (5 – 1) = 25 ;
C = 18 – 6 : 2 : (2 + 1) – 7 × 2 : 4 = 13,5.
81
82
83
L’âge de Karen : 2 × (11 + 7) = 39 ans.
1) Périmètre du triangle rose :
1,5 cm + 2,7 cm + 4,5 cm + 3,9 cm = 12 cm.
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89
90
1) a) b) Pour la case verte :
480 + 1 050 + 1 280 + 1 320 + 840 = 4 970.
Pour les piétons, il y a eu 4 970 victimes (tués ou blessés)
parmi les jeunes en France en 2007.
2) ● Pour la case bleue :
1 050 + 250 + 0 + 0 + 820 = 2 120.
Il y a eu 2 120 victimes d’accidents de la route âgées de 5 à
9 ans en France en 2007.
● Pour la case rose :
3 380 – (1 280 + 670 + 120 + 840) = 470.
470 cyclistes âgés de 10 à 14 ans ont été victimes d’accidents de la route en France en 2007.
● Pour la case violette :
16340 – (840 + 450 + 2 730 + 8 860) = 3 460.
3 460 motocyclistes âgés de 20 à 24 ans ont été victimes
d’accidents de la route en France en 2007.
Chap. 1 - Enchaînements d’opérations 21
Chapitre
2
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Expressions littérales
CAPACITÉS
●
●
Utiliser une expression littérale.
Produire une expression littérale.
■ Commentaires
De nombreux thèmes du programme, notamment dans le
domaine grandeurs et mesures, conduisent à utiliser des
expressions littérales (formules).
> CONNAISSANCES : Distributivité de la multiplication
par rapport à l’addition
CAPACITÉS
● Sur des exemples numériques, utiliser les égalités
k(a + b) = ka + kb et k(a – b) = ka – kb dans les deux sens.
● *Sur des exemples littéraux, utiliser les égalités
k(a + b) = ka + kb et k(a – b) = ka – kb dans les deux sens.
■ Commentaires
Dans le cadre du socle commun il convient de privilégier l’exploitation de cette propriété sur des exemples
numériques.
L’intégration des lettres dans ce type d’égalités est une difficulté
qu’il faut prendre en compte. Elle s’appuie sur des situations
empruntées aux cadres numérique ou géométrique.
> CONNAISSANCES : Initiation à la notion d’équation
CAPACITÉS
*Tester si une égalité comportant un ou deux nombres
indéterminés est vraie lorsqu’on leur attribue des
valeurs numériques.
■ Commentaires
Une attention particulière est apportée à l’introduction
d’une lettre pour désigner un nombre inconnu dans des
situations où le problème ne peut pas être facilement
résolu par un raisonnement arithmétique.
Les programmes du collège prévoient une initiation progressive
à la résolution d’équations, de manière à éviter la mise en
œuvre d’algorithmes dépourvus de véritable sens.
*La classe de Cinquième correspond à une étape importante
avec le travail sur des égalités vues comme des assertions dont
la vérité est à examiner.
La notion d’équation ne fait pas partie du socle commun.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Conduire un calcul littéral simple.
Indications pour l’évaluation en situation
Le calcul littéral porte sur :
– le calcul de la valeur d’une expression littérale en donnant aux variables des valeurs numériques ;
– la transformation d’une expression du premier degré à
une variable à coefficients entiers.
Programme de la classe de Sixième
Le calcul littéral est introduit en classe de Cinquième.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
●
●
Calcul littéral
Développement
CAPACITÉS
Calculer la valeur d’une expression littérale en donnant aux variables des valeurs numériques.
22
■ Commentaires
L’apprentissage du calcul littéral est conduit très progressivement à partir de situations qui permettent aux élèves de
donner du sens à ce type de calcul.
Le travail proposé s’articule autour de trois axes :
– utilisation d’expressions littérales donnant lieu à des
calculs numériques ;
– utilisation du calcul littéral pour la mise en équation et la
résolution de problèmes divers ;
– utilisation du calcul littéral pour prouver un résultat général
(en particulier en arithmétique).
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
CAPACITÉS
> CONNAISSANCES :
Réduire une expression littérale à une variable, du
type : 3x – (4x – 2) ; 2x2 – 3x + x2…
Résolution de problèmes conduisant à une équation du premier
degré à une inconnue.
■ Commentaires
CAPACITÉS
Les situations proposées doivent exclure tout type de virtuosité et viser un objectif précis (résolution d’une équation, gestion
d’un calcul numérique, établissement d’un résultat général).
Mettre en équation et résoudre un problème conduisant
à une équation du premier degré à une inconnue.
■ Commentaires
CAPACITÉS
Développer une expression de la forme (a + b) (c + d).
■ Commentaires
L’objectif reste de développer pas à pas puis de réduire l’expression obtenue. Les identités remarquables ne sont pas au programme.
Les activités de factorisation se limitent aux cas où le facteur
commun est du type a, ax ou x2.
Les problèmes issus d’autres parties du programme et d’autres
disciplines conduisent à l’introduction d’équations et à leur
résolution. À chaque fois sont dégagées les différentes étapes du
travail : mise en équation, résolution de l’équation et interprétation du résultat.
Les élèves, dans le cadre du socle commun, peuvent être
amenés à résoudre des problèmes se ramenant à une équation du premier degré sans que la méthode experte soit
exigible.
Comm en tai res d
Commentaires
des
e s au
auteurs
teu rs
➜ En Sixième, on a parfois utilisé des lettres pour
remplacer des nombres notamment dans les formules pour calculer un périmètre, une aire, un volume.
Aucun calcul avec ces lettres n’était demandé.
Les élèves découvrent le calcul littéral en classe de
Cinquième.
La simplification d’écriture d’une expression littérale
est étudiée. Pour faciliter l’écriture de certaines formules utilisées en Cinquième, les notations a2 et a3
sont introduites dans ce chapitre.
➜ La propriété de distributivité de la multiplication
sur l’addition et la soustraction doit être étudiée dans
les deux sens : développement et factorisation.
>
Il est demandé, dans les programmes, d’appliquer ces
propriétés dans des cas numériques (socle commun)
et dans des cas littéraux (hors socle commun).
➜ Les élèves utilisent des égalités depuis le primaire.
Les égalités alors utilisées sont toujours vraies. Pour
introduire la notion d’équation (programme de Quatrième), on fait tester des égalités par des nombres
donnés. Ainsi, ces égalités sont parfois vraies, parfois
fausses.
Il n’est pas demandé aux élèves de Cinquième de
déterminer de façon experte les nombres pour lesquels l’égalité est vraie. Dans certains exercices, ils
pourront en trouver par essais successifs.
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C O MMENTAI RE S
Cette activité permet d’utiliser le calcul littéral et de « tester si une égalité est vraie » dans un cas concret.
2 × 17 + 29 = 34 + 29 = 63
Donc les dimensions de ces escaliers satisfont les conditions de F. Blondel.
●
CO RRI G É
●
●
24 < 29 < 32
17 < 18
1
JE RECONNAIS ET JE SIMPLIFIE DES EXPRESSIONS
Objectif
Introduire le vocabulaire
et les simplifications d’écriture.
Prérequis
Périmètre et aire du carré
et du rectangle.
Paragraphe
introduit
! Expression littérale
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
C ORRIGÉ
A 1) a) Le produit 4 × c permet de calculer le périmètre
du carré bleu.
b) Dans cette expression, la lettre c représente la longueur
du côté du carré.
2) a) Une expression littérale qui permet de calculer l’aire
de ce carré est c × c.
Chap. 2 - Calcul littéral 23
b) Dans cette expression littérale, les deux lettres c représentent la longueur du côté du carré.
B 1) a) L’expression littérale 2 × L + 2 × ᐉ permet de calculer le périmètre du rectangle orange.
2
JE CALCULE DES EXPRESSIONS NUMÉRIQUES
Objectif
Établir la distributivité dans le cas
d’expressions numériques.
Prérequis
Paragraphe
introduit
–
@ Développement d’un produit
CORRIG É
1) L’expression 0,85 × 19 permet de calculer le prix du
premier saumon.
L’expression 0,85 × 19 + 1,15 × 19 permet de calculer le
prix des deux saumons.
3
Établir la règle de distributivité
(addition).
Prérequis
Aire d’un rectangle.
Paragraphe
introduit
@ Développement d’un produit
Établir la règle de distributivité
(soustraction).
Prérequis
Aire d’un rectangle.
Paragraphe
introduit
@ Développement d’un produit
CORRIG É
1) Ꮽ (ABCD) = Ꮽ (AEFD) – Ꮽ (EBCF)
Ꮽ (ABCD) = k × a – k × b
C ORRIGÉ
1) a) Ꮽ (ABCD) = ᐉ × L = k × (a + b)
b) Ꮽ (ABCD) = Ꮽ (AEFD) + Ꮽ (EBCF)
Ꮽ (ABCD) = k × a + k × b
2) k × (a + b) = k × a + k × b
L’expression littérale k × a – k × b permet de calculer l’aire
du rectangle ABCD.
2) AB = AE – BE = a – b.
Ꮽ (ABCD) = ᐉ × L = k × (a – b)
L’expression littérale k × (a – b) permet de calculer l’aire du
rectangle ABCD.
3) Les deux expressions littérales k × a – k × b et k × (a – b)
permettent, toutes les deux, de calculer l’aire du rectangle
ABCD. Elles sont donc égales.
k × a – k × b = k × (a – b)
JE FACTORISE, JE RÉDUIS UNE EXPRESSION
Objectif
Factoriser, réduire.
Prérequis
Propriété de distributivité.
Paragraphe
introduit
# Factorisation d’une expression
littérale
■ COM MENTAI RES : La première partie permet d’introduire la définition de « factoriser » une expression et de
l’utiliser pour calculer mentalement.
Dans la deuxième partie, on factorise une expression littérale pour la réduire.
24
L’expression 0,85 + 1,15 permet de calculer la masse des
deux saumons.
L’expression (0,85 + 1,15) × 19 permet de calculer le prix
des deux saumons.
2) a) Les expressions 0,85 × 19 + 1,15 × 19 et
(0,85 + 1,15) × 19 permettent toutes les deux de calculer
le prix des deux saumons. Ces deux expressions sont donc
égales.
0,85 × 19 + 1,15 × 19 = (0,85 + 1,15) × 19
b) 0,85 × 19 + 1,15 × 19 = 16,15 + 21,85 = 38
(0,85 + 1,15) × 19 = 2 × 19 = 38
C’est l’expression (0,85 + 1,15) × 19 qui est la plus facile à
calculer.
J’ÉTABLIS LA PROPRIÉTÉ DE DISTRIBUTIVITÉ POUR LA SOUSTRACTION
Objectif
5
JE REVOIS
J’EXPRIME DE DEUX FAÇONS UNE EXPRESSION
Objectif
4
b) La lettre L représente la longueur du rectangle et la
lettre ᐉ sa largeur.
2) a) 2 × L + 2 × ᐉ
b) L’écriture simplifiée de 2 × L + 2 × ᐉ est 2L + 2ᐉ.
C ORRIGÉ
A 1) 7,3 × 3,259 – 7,3 × 1,259 = 7,3 × (3,259 – 1,259).
2) 7,3 × 3,259 – 7,3 × 1,259 = 7,3 × (3,259 – 1,259)
= 7,3 × 2 = 14,6.
B 1) Cette somme comporte 3 termes : 3 × x puis 4 × x et
enfin 2 × 4,5.
2) a) L’écriture simplifiée est 3x + 4x + 2 × 4,5.
b) x est le facteur commun aux termes 3x et 4x.
c) 3x + 4x = (3 + 4)x.
3) 3x + 4x + 2 × 4,5 = 7x + 9.
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6
JE TESTE SI UNE ÉGALITÉ EST VRAIE
Objectif
Tester si une égalité est vraie.
Prérequis
Simplification d’écriture.
Paragraphe
introduit
$ Notion d’égalité
■ C O M M E NTAI R E S : Les élèves remarquent que l’égalité
3m = m + 4 n’est pas vraie pour n’importe quelle valeur
de m, mais lorsque m vaut 25. Jusqu’ici, pour un élève, une
égalité était toujours vraie. Ils voient pour la première fois
qu’une égalité (comportant des lettres) n’est pas toujours
vraie.
>
1)
Masse m
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
(en g)
Masse sur
le plateau A 15 30 45 60 75 90 105 120 135 150
(en g)
Masse sur
le plateau B 55 60 65 70 75 80 85 90 95 100
(en g)
2) a) L’expression littérale 3m permet de calculer la masse
sur le plateau A.
b) L’expression littérale m + 50 permet de calculer la masse
sur le plateau B.
c) L’égalité 3m = m + 50 traduit que la balance est en
équilibre.
3) On considère l’égalité écrite à la question précédente.
a) D’après le tableau, lorsque m = 40, la masse sur le plateau A est 120 g, celle sur le plateau B est 90 g. L’égalité
n’est donc pas vraie.
b) D’après le tableau, lorsque m = 25, les masses sur les plateaux A et B sont égales, donc l’égalité est vraie pour m = 25.
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
a) 2a
a
b)
2
c) 3a
a
1
d)
=
a
3
3
2
e) a
f) a3
()
2
a) x + 3
b) 7x
c) x(x + 9)
3
C ORRIGÉ
a) 3n
b) 12n
c) 2n
d) 2n + 1
4
a) Périmètre du rectangle : 2(ᐉ + 5).
Périmètre du cercle : 2πR.
b) Aire du rectangle : 5ᐉ.
Aire du disque : πR2.
5
a) 3x
b) xy
c) 3 × 4
d) 7b
e) 7ab
f) 3a + 4 × 6
6
a) a au carré
b) x au cube plus cinq
c) y + y = 2y
d) a au carré plus a
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a) 8 × 3 + 3 = 27
b) 24 – 7 × 3 = 3
c) 5(3 + 8) = 55
d) 3(14 – 2 × 3) = 24
e) 32 = 9
f) 33 = 27
7
a) 3 × 1 + 2 × 2 = 7
b) 3 × 2 + 2 × 1 = 8
c) 3 × 3 + 2 × 7 = 23
d) 3 × 8 + 2 × 0 = 24
8
1) a) 28 × 101 = 28 × (100 + 1)
= 28 × 100 + 28 × 1 = 28 × 100 + 28
b) 28 × 101 = 28 × 100 + 28 = 2 800 + 28 = 2 828
2) 28 × 99 = 28 × 100 – 28 = 2 800 – 28 = 2 772
9
a) 56 × 101 = 56 × 100 + 56 × 1 = 5 600 + 56
= 5 656
b) 56 × 99 = 56 × 100 – 56 × 1 = 5 600 – 56 = 5 544
c) 5,6 × 101 = 5,6 × 100 + 5,6 × 1 = 560 + 5,6 = 565,6
d) 5,6 × 1 002 = 5,6 × 1 000 + 5,6 × 2 = 5 600 + 11,2
= 5 611,2
10
a) 7 × (a + b) = 7a + 7b
b) 2 × (x – y) = 2x – 2y
c) (4 + x) × 3 = 12 + 3x
d) c × (3 – b) = 3c – cb
11
12
a) 3(x + 5) = 3x + 15
b) 7(6 – y) = 42 – 7y
c) 7(a + 4) = 7a + 28
d) m(m – 3) = m2 – 3m
Chap. 2 - Calcul littéral 25
a) 8,1 × 6 + 8,1 × 4 = 8,1(6 + 4) = 8,1 × 10 = 81
b) 7,248 × 87 + 7,248 × 13 = 7,248(87 + 13) = 7,248 × 100
= 724,8
c) 1,125 × 96 – 0,125 × 96 = (1,125 – 0,125) × 96 = 1 × 96 = 96
13
14
a) 2(x + y)
b) 7(m – 4)
c) b(5 + a)
d) a(5 – 3) = a × 2 = 2a
15
a) 5(x + y)
b) d(14 – 5) = 9d
c) 18(x – 3)
d) 13(1 + a)
16
25
a) 5x
a) 5 × 4 + 5 × 6 = 20 + 30 = 50
ou
5 × 4 + 5 × 6 = 5(4 + 6 ) = 5 × 10 = 50
b) 7 × 8 – 6 × 8 = 56 – 48 = 8
ou
7 × 8 – 6 × 8 = 8(7 – 6) = 8 × 1 = 8
c) 7 × 4 – 7 × 3 = 28 – 21 = 7
ou
7 × 4 – 7 × 3 = 7(4 – 3 ) = 7 × 1 = 7
d) 9 × 11 – 9 × 9 = 99 – 81 = 18
ou
9 × 11 – 9 × 9 = 9(11 – 9) = 9 × 2 = 18
26
17
a) 11x + 7
b) 21y + 6
c) 2a
d) 8b – 8
a) 4 × 0 + 7 = 7. Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse
pour x = 0.
b) 4 × 1 + 7 = 11. Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse pour
x = 1.
c) 4 × 1,5 + 7 = 13. L’égalité de l’énoncé est vraie pour
x = 1,5.
d) 4 × 2 + 7 = 15. Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse pour
x = 2.
18
19
a) Calculons d’une part x + y = 3 + 5 = 8.
Calculons d’autre part, 11 – x = 11 – 3 = 8 .
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 3 et y = 5.
b) Calculons d’une part x + y = 6 + 1 = 7
Calculons d’autre part, 11 – x = 11 – 6 = 5
Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse pour x = 6 et y = 1.
a) 5 × (9 + 12) = 5 × 21 = 105
ou
5 × (9 + 12) = 5 × 9 + 5 × 12 = 45 + 60 = 105
b) 9 × (7 – 4) = 9 × 3 = 27
ou
9 × (7 – 4) = 9 × 7 – 9 × 4 = 63 – 36 = 27
c) 2 × (10 – 3) = 2 × 7 = 14
ou
2 × (10 – 3) = 2 × 10 – 2 × 3 = 20 – 6 = 14
d) (15 + 9) × 6 = 24 × 6 = 144
ou
(15 + 9) × 6 = 15 × 6 + 9 × 6 = 90 + 54 = 144
20
a) 87 × 101 = 87 × (100 + 1) = 87 × 100 + 87 × 1
= 8 700 + 87 = 8 787
b) 999 × 32 = (1 000 – 1) × 32 = 1 000 × 32 – 1 × 32
= 32 000 – 32 = 31 968
c) 12 × 15,3 = (10 + 2) × 15,3 = 10 × 15,3 + 2 × 15,3
= 153 + 30,6 = 183,6
d) 98 × 2,4 = (100 – 2) × 2,4 = 100 × 2,4 – 2 × 2,4
= 240 – 4,8 = 235,2
21
23
1) 1,3 × 2,10 + 1,3 × 1,80
2) 1,3 × 2,10 + 1,3 × 1,80 = 2,73 + 2,34 = 5,07
ou 1,3 × (2,10 + 1,80) = 1,3 × 3,90 = 5,07
27
a) 5 × 82 + 5 × 18 = 5(82 + 18) = 5 × 100 = 500
b) 12 × 17 + 3 × 12 = 12(17 + 3) = 12 × 20 = 240
c) 142 × 4,25 – 42 × 4,25 = 4,25(142 – 42) = 4,25 × 100 = 425
28
a) 17 × (72 + 28) = 17 × 100 = 1 700
b) 4,6 × (11,5 – 1,5) = 4,6 × 10 = 46
c) 4,01 × (121 – 21) = 4,01 × 100 = 401
d) 8,5 × (1,005 + 3,995) = 8,5 × 5 = 42,5
29
30
a) 12(x + y)
b) x(7 – 4) = 3x
c) 7(a + b)
d) m(12 – 5) = 7m
31
a) 7(x + y)
b) x(5 – 3) = 2x
c) n(a + b)
d) m(12 – x)
a) Calculons 6x – 3 = 6 × 3 – 3 = 15.
Cette égalité est vraie pour x = 3.
b) Calculons 6x – 3 = 6 × 2 – 3 = 9.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 2.
32
a) Calculons 31 – 4m = 31 – 4 × 4 = 31 – 16 = 15.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour m = 4.
b) Calculons 31 – 4m = 31 – 4 × 3 = 31 – 12 = 19.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour m = 3.
33
a) Calculons d’une part : 10y +7 = 10 × 0,5 + 7 = 12.
Calculons d’autre part : 13 – 2y = 13 – 2 × 0,5 = 12.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour y = 0,5.
b) Calculons d’une part : 10y +7 = 10 × 1 + 7 = 17.
Calculons d’autre part : 13 – 2y = 13 – 2 × 1 = 11.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour y = 1.
34
9(7 + x)
•
• 63 – 9x
7(x – 9)
•
• 7x + 63
(x + 9)7
•
• 63 + 9x
(7 – x)9
•
• 7x – 63
a) 8(6 + x) = 48 + 8x
b) 7(5 – a) = 35 – 7a
26
24
a) 12(x +18) = 12x +216
L’expression n’est pas égale à 12(x + 18).
b) 3(4x + 6) = 12x + 18
L’expression est égale à 12(x + 18).
c) 6(2x + 3) = 12x + 18
L’expression est égale à 12(x + 18).
d) (3x + 2) × 6 = 18x + 12
L’expression n’est pas égale à 12(x + 18).
a) 7(m + 8) = 7m + 56
b) 9(x – 8) = 9x – 72
c) (15 + b) × a = 15a + ba
d) n(n – 16) = n2 – 16n
b) 8y
c) 11b
d) 9a
22
c) x(12 – y) = 12x – xy
d) (15 + b)a = 15a + ba
35
a) Calculons d’une part :
3(x – 2) + 5 = 3(3 – 2) + 5 = 8.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Calculons d’autre part : 9 – x = 9 – 3 = 6.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 3.
b) Calculons d’une part : 3(x – 2) + 5 = 3(2,5 – 2) + 5 = 6,5.
Calculons d’autre part : 9 – x = 9 – 2,5 = 6,5.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 2,5.
36
1) a) 4x est le périmètre du carré.
b) x + 6 est le périmètre du triangle isocèle.
c) 3x + 6 est le périmètre total de la figure.
2) a) Calculons d’une part : 4x = 4 × 3 = 12.
Calculons d’autre part : x + 6 = 3 + 6 = 9.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 3.
b) Calculons d’une part : 4x = 4 × 2 = 8.
Calculons d’autre part : x + 6 = 2 + 6 = 8.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 2.
c) Calculons d’une part : 4x = 4x 1 = 4.
Calculons d’autre part : x + 6 = 1 + 6 = 7.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 1.
37
1) a) 8x – 15
b) 3x + 5
2) a) Calculons d’une part : 8x – 15 = 8 × 5 – 15 = 25.
Calculons d’autre part : 3x + 5 = 3 × 5 + 5 = 20.
Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse pour x = 5.
b) Calculons d’une part : 8x – 15 = 8 × 4,5 – 15 = 21.
Calculons d’autre part : 3x + 5 = 3 × 4,5 + 5 = 18,5.
Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse pour x = 4,5.
c) Calculons d’une part : 8x – 15 = 8 × 4 – 15 = 17.
Calculons d’autre part : 3x + 5 = 3 × 4 + 5 = 17.
Donc, l’égalité de l’énoncé est fausse pour x = 4.
3) Antoine et Élise obtiennent le même résultat pour
x = 4.
a) Calculons d’une part : 3x + 8 = 3 × 3 + 8 = 17.
Calculons d’autre part : 2y – 1 = 2 × 9 – 1 = 17.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 3 et y = 9.
b) Calculons d’une part : 3x + 8 = 3 × 1 + 8 = 11.
Calculons d’autre part : 2y – 1 = 2 × 6 – 1 = 11.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 1 et y = 6.
38
a) Calculons d’une part : 3a – 2b = 3 × 3 – 2 × 2 = 5.
Calculons d’autre part : a + b = 3 + 2 = 5.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour a = 3 et b = 2.
b) Calculons d’une part : 3a – 2b = 3 × 2 – 2 × 3 = 0.
Calculons d’autre part : a + b = 2 + 3 = 5.
L’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour a = 2 et b = 3.
39
40
a) Calculons d’une part : 3(n + p) = 3(1,5 + 2) = 10,5.
Calculons d’autre part : 4p – n = 4 × 2 – 1,5 = 6,5.
L’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour n = 1,5 et p = 2.
b) Calculons d’une part : 3(n + p) = 3(6 + 1,5) = 22,5.
Calculons d’autre part : 4p – n = 4 × 1,5 – 6 = 0.
L’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour n = 6 et p = 1,5.
41
Aire du losange : (7,6 cm × 3 cm) : 2 = 11,4 cm2.
42
Aire du trapèze :
(3,6 cm + 5,1 cm) × 2,8 cm : 2 = 12,18 cm2.
44
a) 3x
b) 15x
c) 4xy
d) 7a2
e) 0
f) 4x 3
45
a) 28a
b) 12x + 5
c) 8m + m2
d) 3n + 28
e) 2x + 7y
f) a3 + 8
46
a) 36 – 2x
b) 13xy
c) 9(a – 7)
d) (3 – 8a)(b + 5)
47
a) 8x
b) 5 + m2
c) 12 – a3
48
Âge de Clément : x + 2.
Âge de Coline : x – 3.
49
a) La somme de x et de 16.
b) La différence entre 7 et x.
c) Le produit de 12 par x.
d) Le produit de 5 par la somme x et de 21.
50
Programme 1
2x + 3
Programme 2
2(x + 3)
Programme 3
3(x + 3)
Programme 4
2x + 3x
1) a) (0 + 12) × 3 = 36
b) (1 + 12) × 3 = 39
c) (7 + 12) × 3 = 57
d) (23 + 12) × 3 = 105
e) (2,5 + 12) × 3 = 43,5
2) a) 3(x + 12)
b) 3(0 + 12) = 36
3(1 + 12) = 39
On retrouve bien les résultats de la question 1).
51
52
1) La somme du produit de 7 par x et de 13.
2) Le produit de 7 par la somme de x et de 13.
a) 102 × 38 = (100 + 2) × 38 = 100 × 38 + 2 × 38
= 3 800 + 76 = 3 876
b) 21 × 35 = (20 + 1) × 35 = 20 × 35 + 1 × 35 = 700 + 35
= 735
c) 99 × 75 = (100 – 1) × 75 = 100 × 75 – 1 × 75 = 7 500 – 75
= 7 425
d) 98 × 2,5 = (100 – 2) × 2,5 = 100 × 2,5 – 2 × 2,5 = 250 – 5
= 245
53
54
43
a) 5a
b) 7y
c) ab
d) 16 × 4
e) 1x = x
f) 4(8 – y)
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1) Jacke a oublié le produit de 2 par 3.
Emma s’est trompée dans le produit de 2 par 3.
2) 2(x + 3) = 2x + 2 × 3 = 2x + 6
55
a) 2,5(8 + m) = 20 + 2,5 m
b) 3(5x + 2) = 15x + 5
c) x(12 – x) = 12x – x2
Chap. 2 - Calcul littéral 27
d) Pas de développement possible.
e) Pas de développement possible.
f) (6,1 + 4a) × 2 = 12,2 + 8a
63
a) 15x + 6
b) 6m + 3
c) 16a + 9
d) 4m + 5
a) 19(43,5 + 56,5) = 19 × 100 = 1 900
b) 69(16,7 – 6,7) = 69 × 10 = 690
c) 13(5,4 + 8,1 – 3,5) = 13 × 10 = 130
56
64
a) Pas de réduction possible.
b) 17x
c) 10a
d) Pas de réduction possible.
e) a
f) Pas de réduction possible.
a) 32(42 + 58) = 32 × 100 = 3 200
b) 17,5(1 002 – 2) = 17,5 × 1 000 = 17 500
c) 9,2(199 + 1) = 9,2 × 200 = 1 840
d) 0,78(101 – 1) = 0,78 × 100 = 78
57
65
58
a) 3(a + b)
b) a(5 – 3) = 2a
c) 5(6 + x)
d) 12(m – p)
59
a) 19(x + y)
b) a(28 – 9) = 19a
c) a(2b + c)
d) x(y – 4)
6
11x – 10
1
12
23
34
45
56
x(x + 4)
5
12
21
32
45
60
1)
4x +1
0
1
1
5
2
9
3 4 5 6 7 8 9 10
13 17 21 25 29 33 37 41
y
3y + 7
0
7
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
10 13 16 19 22 25 28 31 34 37
67
Les exercices 68 à 77 sont corrigés à la page 286 du manuel
a) ᐉ × L permet de calculer l’aire du rectangle
ABCD.
b) 2(ᐉ + L) permet de calculer le périmètre du rectangle
ABCD.
c) c2 permet de calculer l’aire du carré BGFE.
d) 4c permet de calculer le périmètre du carré BGFE.
e) L – c permet de calculer la longueur AE.
f) Lᐉ – c2 permet de calculer l’aire de la figure jaune.
79
5
1) 2m + 20 = m + 80
2) On teste pour diverses valeurs de m : m = 50 ; m = 60...
Prenons m = 60.
Calculons d’une part : 2m + 20 = 2 × 60 + 20 = 140.
Calculons d’autre part : m + 80 = 60 + 80 = 140.
3) La masse d’un croissant est de 140 g.
a) 6a
a) 2(x + 3) + 5 = 2x + 6 + 5 = 2x + 11
b) 13 + 5(3 – x) = 13 + 15 – 5x = 28 – 5x
c) 7y + 9(y – 2) = 7y + 9y – 18 = 16y – 18
d) 6(a + 1) + 8(3 + a) = 6a + 6 + 24 + 8a = 14a + 30
4
3) Cette égalité est vraie pour x = 3 et y = 2.
Cette égalité est vraie pour x = 6 et y = 6.
Cette égalité est vraie pour x = 9 et y = 10.
b) 13b
c) 6x
d) 14y
78
3
2)
a) 6x
J e f ai s l
le
e p o int
2
x
b) 9y
c) 7m
d) 20a
>
1
66
a) 5x + 30
b) 5(m + p)
c) 2a – 2b
d) 4(a – b)
62
x
2) Cette égalité est vraie pour x = 2 et x = 5.
60
61
1)
d) m – 2m2 = m(1 – 2m)
e) 6y2 + 6y = 6y(y + 1)
1) Pour Thaïs : 52 + 2 × 5 = 35
Pour Capucine : (5 + 2) × 5 = 35
2) Si on choisit le nombre 10, pour Thaïs :
102 + 2 × 10 = 120 ;
pour Capucine : (10 + 2) × 10 = 120.
3) Prenons x le nombre de départ des deux enfants.
Le calcul de Capucine devient (x + 2)x que nous développons : x2 + 2x.
Cette dernière expression est le calcul de Thaïs.
82
83
84
2(x + y) = 2x + 2y
80
On cherche un contre-exemple.
(2 + 3) 2 = 52 = 25
22 + 32 = 4 + 9 = 13
Donc, (x + y)2 ⫽ x2 + y2.
81
Formule de l’an ll : ᐂ 艐 0,32 m3.
Formule de Dez : ᐂ 艐 0,315 m3.
Formule de Kepler : ᐂ 艐 0,32332 m3.
a) 7x + 14 = 7(x + 2)
b) 9y – 27 = 9(y – 3)
c) x2 – 2x = x(x – 2)
d) 35 + 5ab = 5(7 + ab)
a) 8x + 8 = 8(x + 1)
b) 27a + 9 = 9(3a + 1)
c) 35 – 7x = 7(5 – x)
28
85
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
86
1) a) et 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1) b) a2 = 42 = 16
b2 + c2 = 32 + 22 = 13
Cette égalité n’est pas vraie dans ce cas.
2) b) a2 = 52 = 25
b2 + c2 = 42 + 32 = 25
Cette égalité est vraie dans ce cas.
c) Ce triangle semble être rectangle.
1) a) Pour x = 1, A = 5x + 2x = 5 × 1 + 2 × 1 = 7
Pour x = 1, B = 6x + x = 6 × 1 + 1 = 7
Pour x = 2, A = 5x + 2x = 5 × 2 + 2 × 2 = 14
Pour x = 2, B = 6x + x = 6 × 2 + 2 = 14
b) Dans ces deux cas, A = B.
c) A = 5x + 2x = 7x
B = 6x + x = 7x
2) a) Pour x = 1, C = x(x – 1) = 1(1 – 1) = 0
Pour x = 1, D = 2x – 2 = 2 × 1 – 2 = 0
Pour x = 2, C = x(x – 1) = 2(2 – 1) = 2
Pour x = 2, D = 2x – 2 = 2 × 2 – 2 = 2
b) Dans ces deux cas, C = D.
c) Prenons x = 3 :
C = x(x – 1) = 3(3 – 1) = 6
D = 2x – 2 = 2 × 3 – 2 = 4
Donc C ⫽ D.
87
88
a) Périmètre du grand demi-cercle :
πR = π × 4 cm = 4π cm.
Somme des périmètres des deux petits demi-cercle :
2πR = 2π × 2 cm = 4π cm.
Périmètre de la figure orange : 8π cm.
b) Calculer l’aire de la figure orange revient à calculer
l’aire du demi-disque de rayon 4 cm :
πR2 π × (4 cm)2 16π cm2
=
=
= 8π cm2.
2
2
2
89
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
90
1) Longueur de la clôture :
2(L + ᐉ) = 2(20 m + 13 m) = 66 m.
2) a) Longueur de la clôture :
2(L + ᐉ) = 2(12 + 2x + 5 + 2x) = 2(17 + 4x).
b) Longueur de la clôture pour x = 4 :
2(17 + 4x) = 2(17 + 4 × 4) = 2 × 33 = 66.
91
1) Nombre de sommets : 6
Nombre de faces : 5
Nombre d’arêtes : 9
2) Nombre de sommets : 8
Nombre de faces : 6
Nombre d’arêtes : 12
3) a) Nombre de sommets : 2n
b) Nombre de faces : n + 2
c) Nombre d’arêtes : 3n
92
1) Calcul de l’augmentation du prix :
8
48,5 ×
= 3,88.
100
Calcul du nouveau prix :
48,5 + 3,88 = 52,38 €.
Calcul de 48,5 × 1,08 :
48,5 × 1,08 = 52,38.
On trouve effectivement le nouveau prix du téléphone.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
6
.
2) Augmentation du prix : 48,5 ×
100
Nouveau prix :
6
6
= 48,5 × (1 +
) = 48,5 × 1,06.
48,5 + 48,5 ×
100
100
Pour calculer le prix de ce téléphone dans le magasin FIAC,
on peut calculer :
48,5 × 1,06 = 51,41 €.
93
1) On développe ce produit :
(n + 1) × (n + 3) = (n + 1) × n + (n + 1) × 3
2) (n + 1) × n + (n + 1) × 3 = n × n + 1 × n + n × 3 + 1 × 3
Ainsi, (n + 1) × (n + 3) = n² + n + 3 n + 3.
(n + 1) × (n + 3) = n² + 4 n + 3.
94
1)
Dessin disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1
1
1
2) a + (b – a) = a + × b – × a.
2
2
2
1
1
1
a + (b – a) = 1 × a – × a + × b
2
2
2
1
1
1
a + (b – a) = (1 – ) × a + × b
2
2
2
1
1
1
a + (b – a) = × a + × b
2
2
2
1
1
a + (b – a) = × (a + b)
2
2
3) Le schéma correspond à a ⬍ b.
Le point C est le milieu du segment [AB].
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
95
a) 3a + 8
c) 4x + 8
b) πD
d) 9b
a) 7,25 × 102 = 7,25 × (100 + 2)
= 7,25 × 100 + 7,25 × 2 = 725 + 14,5
= 739,5
b) 16,8 × 12 – 2 × 16,8 = 16,8(12 – 2) = 16,8 × 10 = 168
c) (1,5 + 5) × 26 = 1,5 × 26 + 5 × 26 = 39 + 130 = 169
d) 7,9 × 16,3 + 7,9 × 83,7 = 7,9(16,3 + 83,7) = 7,9 × 100 = 790
96
97
1) a) 5x + 40
2) a) 26(y + p)
b) 7a – a2
b) b(c – 8)
1) a) Calculons d’une part : 9x – 3 = 9 × 1 – 3 = 6.
Calculons d’autre part : 7x = 7 × 1 = 7.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 1.
b) Calculons d’une part : 9x – 3 = 9 × 1,5 – 3 = 10,5.
Calculons d’autre part : 7x = 7 × 1,5 = 10,5.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 1,5.
c) Calculons d’une part : 9x – 3 = 9 × 2 – 3 = 15.
Calculons d’autre part : 7x = 7 × 2 = 14.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 2.
2) a) Calculons d’une part : 3x – y = 3 × 2 – 3 = 3.
Calculons d’autre part : 2x + 5 = 2 × 2 + 5 = 9.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = 2 et
y = 3.
b) Calculons d’une part : 3x – y = 3 × 6 – 1 = 17.
Calculons d’autre part : 2x + 5 = 2 × 6 + 5 = 17.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 6 et y = 1.
98
99
1) a) 7x + 63
b) 4m – m2
2) a) 3(5y + 1)
b) a(9a – 1)
Chap. 2 - Calcul littéral 29
3) a) 3b
b) 3x + 13
100
1) a) Calculons d’une part :
10x – 2x = 10 × 1 – 2 × 1 = 8.
Calculons d’autre part : 2 × 4x = 2 × 4 × 1 = 8.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 1.
b) Calculons d’une part : 10x – 2x = 10 × 5,6 – 2 × 5,6 = 44,8.
Calculons d’autre part : 2 × 4x = 2 × 4 × 5,6 = 44,8.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 5,6.
c) Calculons d’une part : 10x – 2x = 10 × 124 – 2 × 124 = 992.
Calculons d’autre part : 2 × 4x = 2 × 4 × 124 = 992.
L’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 124.
2) Cette égalité semble toujours vraie.
En effet, 10x – 2x = 8x et 2 × 4x = 8x et 10x – 2x = 2 × 4x.
1) (12 – 7) × 3 = 5 × 3 = 15
2) 3(x – 7) = 3x – 21
3) a) 3x – 21 = 24
b) Pour x = 10, 3x – 21 = 9
Pour x = 11,
3x – 21 = 12
Pour x = 12,
3x – 21 = 15
Pour x = 13,
3x – 21 = 18
Pour x = 14,
3x – 21 = 21
Pour x = 15,
3x – 21 = 24
Pour x = 16,
3x – 21 = 27
Pour x = 17,
3x – 21 = 30
Pour x = 18,
3x – 21 = 33
Pour x = 19,
3x – 21 = 36
Pour x = 20,
3x – 21 = 39
c) Ainsi, pour x = 15, on obtient 24.
101
30
102
C L’égalité 17x + 29 = 250 est vérifiée par le
nombre entier 13.
103
2) L’égalité 19x – 13 = 500 est vérifiée par le
nombre entier 27.
104
2) L’égalité 8x + 130 = 17x + 22 est vérifiée par le
nombre entier 12.
105
1)
DER = 13,707 × 78 + 492,3 × 1,74 – 6,673 × 32 + 77,607
= 1 789,819 kcal.
2) DER = 9,740 × 59 + 172,9 × 1,68 – 4,737 × 28 + 667, 051
= 1 399,547 kcal.
106
1)
DER = 13,707 × 85 + 492,3 × 1,88 – 6,673 × 22 + 77, 607
= 2 021,42 kcal.
BE = DER × 1,55 = 2 021,42 × 1,55 = 3 133,201 kcal.
2) DER = 9,740 × 52 + 172,9 × 1,56 – 4,737 × 88 + 667, 051
= 1 026,399 kcal.
BE = DER × 1,375 = 1 026,399 × 1,375 ≈ 1 411,3 kcal.
108
1) 280 + 220 + 190 = 690
Cet adolescent français a mangé un pain au raisin, un
verre de lait chocolaté et un croissant.
2) 2 × 60 + 70 + 80 + 120 + 120 = 510
Cette jeune anglaise a mangé deux œufs, du bacon, un verre
de lait écrémé, du jus d’orange et une tartine beurrée.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Chapitre
3
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Nombres positifs en écriture fractionnaire : sens
CAPACITÉS
● Utiliser l’écriture fractionnaire comme expression
d’une proportion, d’une fréquence.
● Utiliser sur des exemples numériques des égalités
ac a
= .
du type
bc b
■ Commentaires
La classe de Cinquième s’inscrit, pour le travail sur les
écritures fractionnaires, dans un processus prévu sur toute
la durée du collège. En classe de Sixième, l’écriture fractionnaire a deux significations :
3
1
– le « partage » ( , c’est 3 fois ) ;
5
5
3
– le quotient : désigne le cinquième de 3 (le nombre dont
5
le produit par 5 est égal à 3).
L’utilisation d’une écriture fractionnaire pour exprimer
une proportion, une fréquence est à relier à la notion de
quotient.
Dans le traitement mathématique des problèmes de la vie
courante, les fractions interviennent rarement en tant que
nombre. L’utilisation des nombres décimaux est souvent
suffisante et doit être privilégiée tout particulièrement
dans le cadre du socle commun.
ac
a
● L’égalité
=
fait l’objet d’une justification à l’aide
bc
b
d’un exemple générique.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Mobiliser des écritures différentes d’un même nombre.
– Comparer des nombres.
– Choisir l’opération qui convient au traitement de la
situation étudiée.
– Maîtriser de manière automatisée les tables de multiplication « dans un sens ou dans l’autre » pour effectuer un
calcul mental simple, un calcul réfléchi, un calcul posé
portant sur des nombres de taille raisonnable.
– Mener à bien un calcul instrumenté (calculatrice,
tableur).
Indications pour l’évaluation
Les nombres utilisés sont les nombres relatifs en écriture
décimale ou fractionnaire. La comparaison des nombres
●
en écriture fractionnaire se limite au cas de deux nombres
positifs ; la mise au même dénominateur doit pouvoir se
faire par simple calcul mental.
● Les opérations mobilisées sont :
– les quatre opérations sur les nombres relatifs entiers,
décimaux ;
– la multiplication des nombres relatifs en écriture fractionnaire ;
– l’addition, la soustraction des nombres relatifs en écriture fractionnaire, dans le cas où la mise au même dénominateur peut se faire par calcul mental.
Pour la division décimale posée, les nombres décimaux
comportent au maximum deux chiffres après la virgule et
le diviseur est un entier inférieur à 10.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : Multiples et diviseurs
> CONNAISSANCES :
●
CAPACITÉS
● Connaître et utiliser les critères de divisibilité par 2,
5 et 10.
● *Connaître et utiliser les critères de divisibilité par 3,
4 et 9.
■ Commentaires
La notion de multiple, introduite à l’école primaire, est
rappelée sur des exemples numériques, en même temps
qu’est introduite celle de diviseur. Les différentes significations de ce dernier terme doivent être explicitées.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
●
Écriture fractionnaire
*Quotient exact
CAPACITÉS
a
comme quotient de l’entier a par
b
l’entier b, c’est-à-dire comme le nombre qui multiplié
par b donne a.
● *Placer le quotient de deux entiers sur une demidroite graduée dans des cas simples.
● Prendre une fraction d’une quantité.
● *Il s’agit de faire comprendre la modélisation de ce
type de problème par une multiplication.
●
*Interpréter
Chap. 3 - Nombres en écriture fractionnaire : sens 31
■ Commentaires
> CONNAISSANCES :
À l’école élémentaire, l’écriture fractionnaire est introduite en référence au partage d’une unité. Par exemple
7
est 7 fois un tiers.
3
● Le vocabulaire relatif aux écritures fractionnaires est utilisé : numérateur, dénominateur.
*Le programme de la classe de Sixième a pour objectif d’in7
terpréter aussi comme :
3
– le tiers de 7 ;
– le nombre qui multiplié par 3 donne 7 ;
– un nombre dont une valeur approchée est 2,33 ;
– l’utilisation de quotients, sous forme fractionnaire, permet
de gérer plus facilement les raisonnements et de repousser la
recherche d’une valeur approchée décimale à la fin de la résolution.
Écriture fractionnaire
*Un quotient ne change pas quand on multiplie son
numérateur et son dénominateur par un même nombre.
●
●
●
CAPACITÉS
*Reconnaître dans des cas simples que deux écritures fractionnaires différentes sont celles d’un même
nombre.
■ Commentaires
La connaissance des tables de multiplication est notamment
exploitée à cette occasion.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
■ Commentaires
Calcul numérique
● Opérations (+, – , × , :) sur les nombres relatifs en écriture
décimale
*Un travail est mené sur la notion d’inverse d’un nombre non
1
nul ; les notations et x–1 sont utilisées, ainsi que les touches
●
x
correspondantes de la calculatrice.
CAPACITÉS
Déterminer une valeur approchée du quotient de
deux nombres décimaux (positifs ou négatifs).
> CONNAISSANCES :
●
●
> CONNAISSANCES :
• Calcul numérique
• Division de deux nombres relatifs en écriture fractionnaire.
Calcul littéral
Comparaison de deux nombres relatifs
CAPACITÉS
Comparer deux nombres relatifs en écriture décimale ou fractionnaire, en particulier connaître et
utiliser :
a c
l’équivalence entre =
et ad = bc (b et d étant non
b d
nuls).
CAPACITÉS
Diviser des nombres relatifs en écriture fractionnaire.
a
1
● Connaître et utiliser l’égalité
=a .
b
b
●
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Comme en classe de Sixième, l’écriture fractionnaire est vue comme « un partage », « un quotient ».
Une nouvelle approche de l’écriture fractionnaire est
introduite dans ce chapitre : la proportion.
➜ L’égalité ac = a , déjà vue en Sixième et utilisée
bc
b
pour simplifier des fractions, est démontrée en Cinquième dans le cas d’un exemple générique.
● Cette propriété permet de calculer le quotient de
deux nombres décimaux.
>
Cette propriété sera utilisée dans le chapitre 4 pour
écrire des fractions au même dénominateur (addition
et soustraction de fractions).
➜ La comparaison des nombres en écriture fractionnaire n’est plus au programme en tant que telle. Seule
la comparaison de proportions comme application
de la proportionnalité est au programme.
●
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES : Cette activité permet de revoir l’écriture fractionnaire de certains nombres.
CORRIG É
Une écriture fractionnaire de 0,25 % est :
32
1
.
Une écriture fractionnaire de un vingtième est :
20
2
Une écriture fractionnaire de deux tiers est : .
3
0,25
.
100
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1
JE REPRÉSENTE UNE PROPORTION
Objectif
Découvrir la notion de proportion.
Prérequis
●
●
Paragraphe
introduit
Notion de partage en parts égales.
Représentation d’une proportion.
! Signification d’une écriture
fractionnaire
a) Proportion
■ C OMMENTAI RE S : À l’aide d’une situation simple, cette
activité permet de donner du sens à la notion de proportion. La deuxième question permet aussi de faire la distinction entre proportion et nombre.
2
JE REVOIS
C ORRIGÉ
1) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3
.
4
2) a) Le disque entier représente l’ensemble des élèves de
Cinquième A.
b) On ne connaît pas le nombre d’élèves de Cinquième A
qui étudient le latin. On ne peut pas répondre à cette
question.
c) La proportion d’élèves de Cinquième A qui n’étudient
1
pas le latin est : .
4
d) On ne connaît pas le nombre d’élèves de Cinquième A.
On ne peut pas répondre à cette question.
b) La fraction du disque coloriée en rouge est :
JE FAIS LE LIEN ENTRE FRACTION ET QUOTIENT
Objectifs
●
Prérequis
●
Paragraphe
introduit
Revoir le lien entre fraction
et quotient.
● Revoir la définition du quotient
de a par b.
Lire l’abscisse d’un point
sur une droite graduée.
● Placer des points sur une demi-droite
graduée.
● Multiplier un nombre
par une fraction.
! Signification d’une écriture
fractionnaire
b) Quotient
■ C OMMENTAI RE S :
La définition du quotient de a par b pose problème à de
nombreux élèves. Cette activité permet de :
– visualiser que si l’on reporte 5 fois « quatre cinquièmes »
on obtient 4 ;
4
– justifier que : 5 × = 4 ;
5
– rappeler la définition du quotient de a par b.
b) On place le point M sur la quatrième graduation.
4
Donc, l’abscisse du point M est égale à .
5
c) L’écriture décimale de l’abscisse du point M est 0,8.
3) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b)
1
3
0
5
2
0
2,
4
c) Le quotient de cette division représente l’abscisse du
point N.
B 1) L’abscisse du point P semble être égale à 4.
2) a)
Justification
de Julie
5×
4 20
=
= 20 : 5 = 4
5
5
Justification
de Noëlle
5×
4
= 5 × 0,8 = 4
5
Justification de Marco
4
4
= 4, car
est le nombre qui
5 ×
5
5
multiplié par 5 donne 4.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) a) On a partagé le segment [OA] en 5 parties égales.
On place le point B sur la première graduation. Donc,
1
l’abscisse du point B est égale à .
5
2,
0
CO RRI G É
A 1)
JE REVOIS
b) La justification qui utilise la définition du quotient de
a par b est celle de Marco.
Définition du quotient de a par b : le quotient de a par b
est le nombre qui, multiplié par b, donne a.
JE DÉCOUVRE DES ÉGALITÉS DE QUOTIENTS
Objectifs
Prérequis
ac a
= .
bc b
● Démontrer cette égalité sur un
exemple générique.
●
●
●
Paragraphe
introduit
Rappeler l’égalité
Notion de proportion.
Définition du quotient de a par b.
@ Égalité de quotients
a) Propriété des quotients égaux
■ C OMMENTAI RE S : Cette activité, à partir d’un exemple
générique, permet de démontrer l’égalité des quotients
égaux.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
C ORRIGÉ
A 1) Le rectangle 1 (de longueur 7 cm et de largeur 3 cm)
est partagé en 42 parties égales, dont 7 sont coloriées.
7
du rectangle 1 est colorié. Ce qui représente
D’où
42
14 petits carreaux.
Le rectangle 2 (de longueur 7 cm et de largeur 3 cm) est
partagé en 21 parts égales dont 3,5 sont coloriées.
3,5
D’où
du rectangle 2 est colorié. Ce qui représente aussi
21
14 petits carreaux.
7
3,5
Donc,
=
.
42 21
Chap. 3 - Nombres en écriture fractionnaire : sens 33
2) a) et b)
On a partagé ce rectangle en six parts égales. On en a
colorié une.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1
du rectangle a été colorié. Ce qui représente
6
14 petits carreaux.
7
3,5 1
Donc,
=
= .
42 21 6
3,5 3,5 × 2
7
7:7
1
3)
=
=
= .
=
21 21 × 2 42 42 : 7 6
a
= q. Le
B 1) On considère le nombre q tel que :
b
nombre q est le quotient de a par b. Par définition, c’est le
nombre qui, multiplié par b donne a. Donc, a = b × q.
D’où,
4
2) a)
On a :
a = b × q.
D’où :
7×a=7×b×q
Ce qui revient à :
7 × a = (7 × b) × q.
D’après la définition du quotient :
7×a
=q
7×b
a
a 7×a
= q. On a donc, =
.
b
b 7×b
3) Cette démonstration est encore valable si l’on remplace 7 par un autre nombre non nul. Ainsi, on ne change
pas un quotient lorsqu’on multiplie son numérateur et
son dénominateur par un même nombre non nul.
b) Or,
JE DÉCOUVRE LA DIVISION DE DEUX NOMBRES DÉCIMAUX
Objectif
Diviser deux nombres décimaux.
Prérequis
L’égalité
Paragraphe
introduit
b)
5,
# Division de deux nombres
décimaux
La division par un nombre décimal est étudiée et démontrée en utilisant la propriété du quotient vue dans l’activité précédente.
1) a) On doit effectuer 5,58 : 4,5 pour calculer le prix
d’un litre d’essence.
b)
c)
d)
e)
f)
g)
h)
a)
a)
8
est le quotient de 8 par 9.
9
2
1
=
12 6
5
b)
1
34
8
0
8
1
8
4
5
1,
2
4
0
0
c) Le prix d’un litre d’essence est donc égal à 1,24 €.
a) 6
4
a)
10
12
1)
5
8
8
12
1
c)
2
b)
5
1
40
1
3)
5
2)
6
a) 24 est un multiple de 3.
b) 4 est un diviseur de 8.
c) 15 et 9 sont divisibles par 3.
d) 15 et 70 sont divisibles par 5.
7
4
1
=
12 3
6
1
=
c)
12 2
3
5,
1) a) Un nombre est divisible par deux s’il se termine par 0 ; 2 ; 4 ; 6 ; 8.
b) Un nombre est divisible par 5 s’il se termine par 0 ou 5.
2) a) 25 875 n’est pas divisible par 2 car il ne se termine
pas par 0 ; 2 ; 4 ; 6 ; 8.
b) 25 875 est divisible par 5 car il se termine par 5.
b)
c) 1
5
E x erc
er c ic
ice
es
5
est le nombre qui multiplié par 3 donne 5.
3
6
est le quotient de 6 par 5.
5
15
est le nombre qui multiplié par 4 donne 15.
4
9
5× =9
5
7
=7:8
8
4
7× =4
7
11
11 : 5 =
5
2
4,
On ne sait pas effectuer cette opération, car on ne sait pas
diviser par 4,5 (un nombre décimal).
5,58 55,8
=
= 55,8 : 45.
2) a) 5,58 : 4,5 =
4,5
45
CORRIG É
1
8
ac a
= .
bc b
■ COM MENTAI RES :
>
5
b) 1,5
8
1) a) Un nombre est divisible par 3 si la somme
de ses chiffres est divisible par 3.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
b) Un nombre est divisible par 9 si la somme de ses chiffres est divisible par 9.
2) a) 23 319 est divisible par 3 car 2 + 3 + 3 + 1 + 9 = 18 et
18 est divisible par 3.
b) 23 319 est divisible par 9 car 2 + 3 + 3 + 1 + 9 = 18 et 18
est divisible par 9.
9
a) 61 656 et 126 450 sont divisibles par 2.
b) 61 656 et 126 450 sont divisibles par 3.
c) 61 656 est divisible par 4.
d) 1 235 et 126 450 sont divisibles par 5.
e) 126 450 est divisible par 9.
f) 126 450 est divisible par 10.
10
d)
a)
12 24
=
14 28
20 4
e)
=
35 7
a)
3
9
=
8 24
9 54
d)
=
4 24
12 4
=
18 6
30 3
=
60 6
81 9
d)
=
54 6
13,8 138
=
18,7 187
8
800
c)
=
2,45 245
a)
27
=
45
49 7 × 7
c)
=
=
35 7 × 5
14
a)
c)
7 56
=
3 24
35 5
=
42 6
13
7 56
=
9 72
63 7
f)
=
45 5
b)
5 20
=
6 24
12
c)
2
4
=
5 10
12 4
=
15 5
11
c)
a)
9×3 3
=
9×5 5
7
5
b)
b)
47,08 470,8
=
10,3
103
0,5
50
d)
=
0,03
3
b)
21 7 × 3 7
=
=
15 5 × 3 5
27 3 × 9 3
d)
=
=
36 4 × 9 4
b)
16
63
7
=
99 11
76
19
c)
=
120 30
17
a)
20 5
=
28 7
75
15
c)
=
110 22
18
a)
48
8
=
78 13
54 6 3
c)
= =
72 8 4
45 15
=
84 28
125 25
=
d)
135 27
b)
12
4
=
39 13
153 17
=
d)
90
10
b)
90
=
108
162
d)
=
186
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
315 7
=
360 8
20 10 40
=
=
14
7
28
15 30 1
c)
=
=
45 90 3
23
a)
324
=
540
720
d)
=
936
b)
3
5
10
13
72 6 12 36
= =
=
48 4
8
24
40 5 20 15
d)
= =
=
64 8 32 24
b)
24
10,24 € : 1,6 kg = 6,40 €
Le prix d’un kilogramme de fraises est 6,40 €.
25
44,28 € : 4,5 L = 9,84 €
Le prix d’un litre d’huile d’olive est de 9,48 €.
26
28,91 € : 1,180 kg = 24,50 €
Le prix d’un kilogramme de daurade est 24,50 €.
27
18,9 m2 : 2,25 L = 8,4 m2
L’aire de la surface que l’on peut peindre avec 1 L est de
8,4 m2.
28
9,96 L : 124,5 km = 0,08 L
Le volume de carburant consommé pour parcourir un
kilomètre est 0,08 L.
1) Aire du rectangle = L × ᐉ
27 = 1,2 L
27
2) ᐉ =
1,2
3) ᐉ= 22,5
29
32
27 3
b)
=
63 7
24 8
d)
=
15 5
b)
c)
198 11
=
72
4
31
1) Ces deux élèves ont fait des calculs justes.
27 3
12 3
et
=
=
2)
36 4
16 4
a)
a)
215,68 € : 3,37 € = 64
Le volume d’eau consommé par cette famille est de
64 m3.
19
20
22
50
2
=
175 7
612
51
=
d)
1 080 90
b)
30
a)
15 3
=
a)
40 8
22 11
c)
=
26 13
a)
1) On divise 438 € par 18,25 qui est le coefficient
de proportionnalité.
2) Le résultat est de 24 manuels.
132 4 × 33 33 3 × 11 11
=
=
=
=
108 4 × 27 27
9
3×9
234 2 × 117 117 9 × 13 13
=
=
b)
=
=
90
45
5
2 × 45
9×5
540 9 × 60 60 5 × 12 12
=
c)
=
=
=
765 9 × 85 85 5 × 17 17
540 5 × 108 108 9 × 12 12
=
=
d)
=
=
765 5 × 153 153 9 × 17 17
15
24 2
=
84 7
208 26
=
c)
248 31
21
45
54
27
31
22,50 € : 0,25 € = 90
Antoine a téléphoné pendant 90 minutes.
33
1)
3
5
3) Tomate
2
5
2)
34
Masse de glucides et de lipides : 81 g.
Masse de chocolat ne contenant ni glucides ni lipides : 19 g.
Proportion de ce chocolat ne contenant ni glucides ni
19
.
lipides :
100
35
1)
3 1
=
6 2
2
1
=
18 9
7
3)
18
2)
36
c)
1) a)
8
29
4
29
6
29
11
d)
29
b)
Chap. 3 - Nombres en écriture fractionnaire : sens 35
18
29
3) Proportion des élèves de la classe ayant une note
14
supérieure à 11,5 :
.
29
Proportion des élèves de la classe ayant une note inférieure
14
.
à 11,5 :
29
Ces deux proportions sont égales.
2)
11
1)
4
2) 2,75
37
10
1)
7
2) 1,429
38
39
a) 7,5
40
a) 1,1575
41
b) 9,5
c) 4,8
c) 0,34
42
a) 360 ; 10 et 0 sont divisibles par 2.
b) 360 ; 255 ; 1 245 et 0 sont divisibles par 3.
c) 360 et 0 sont divisibles par 4.
d) 360 ; 10 ; 255 ; 1 245 et 0 sont divisibles par 5.
e) 360 et 0 sont divisibles par 9.
f) 60 ; 10 et 0 sont divisibles par 10.
a) 4,8 =
53
a)
54
3 18
=
2 12
2)
b)
c)
2
3
4
5
9
10
210
oui
oui
non
oui
non
oui
864
oui
oui
oui
non
oui
non
5 840
oui
non
oui
oui
non
oui
2 869
non non non non non non
44
1) 15 ; 30 ; 150
2) 1 ; 3 ; 5 ; 15
45
59
4
b)
8
7
d)
c)
9
7
d)
5 10
=
6 12
13
12
56
1)
16 2
=
24 3
4 2
=
6 3
2,6 26 2 × 13 2
=
=
=
3,9 39 3 × 13 3
30 2
=
45 3
a) 5
b) 1,8
c) 4,5
a) 44,7
b) 2,5
c) 131,9
d) 6,2
L × ᐉ = 16
L × 2,5 = 16
L = 16 : 2,5
L = 6,4
La longueur est de 6,4 cm.
24 6 × 4 4
=
=
18 6 × 3 3
40 4 × 10 4
=
=
30 3 × 10 3
0,4 4 : 10 4
=
=
0,3 3 : 10 3
46
60
5,22 km = 5 220 m
5 220 m : 1,45 m = 3 600
Le nombre de tours de roues est de 3 600.
47
a)
5
7
b)
7
5
c)
7
6
d)
6
7
48
a)
5
6
b)
5
3
c)
3
7
d)
4
9
22,80 € : 0,95 € = 24
Caroline a acheté 24 crayons.
49
a)
1
2
b)
1
3
c)
1
4
d)
1
4
50
a)
58
100
b)
52
100
c)
40
100
d)
24
100
L × ᐉ × h = 44,1
10,5 × 3,5 × h = 44,1
36,75 × h = 44,1
h = 44,1 : 36,75 = 1,2
La hauteur d’eau dans cette piscine est de 1,2 m.
36
3
7
0,42 42
6
7×6
=
=
= 0,6
=
0,7
70 7 × 10 10
3,6 36 4 × 9 4
a)
=
=
= =4
0,9
9
1×9 1
56
5,6
2
2 × 28
=
=
: 0,08
=
70 700 25 × 28 25
3,5 35
=
=5
0,7
7
0,48
48
1
1 × 48
=
=
= 0,02
=
24
2 400 50 × 48 50
57
58
59
1) 18 ; 36 ; 360
2) 1 ; 2 ; 3 ; 6 ; 9 ; 18
4
7
7 28
=
3 12
55
43
15
2
48 24
=
10
5
52 26
b) 5,2 =
=
10
5
125 5
c) 1,25 =
=
100 4
5
1
d) 0,05 =
=
100 20
52
c) 2,5
b) 10,74
... est divisible
par ...
a) 7,5 =
d) 40
b) 3,55
a) 705,17
75 5 × 15
=
=
10
5×2
38 2 × 19 19
=
b) 3,8 =
=
10
5
2×5
124 4 × 31 31
=
c) 1,24 =
=
100 4 × 25 25
1 475 25 × 59
=
d) 14,75 =
=
100
25 × 4
51
61
62
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
Je fais
fai s l e po
p o int
Les exercices 63 à 72 sont corrigés à la page 286 du manuel élève.
73
1) 19 admet exactement 2 diviseurs : 1 et 19.
2) 25 admet exactement 3 diviseurs : 1 ; 5 et 25.
3) 21 admet exactement 4 diviseurs : 1 ; 3 ; 7 et 21.
74
1) Ce nombre est 60.
2) 60 admet en effet 12 diviseurs : 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 10 ; 12 ;
15 ; 20 ; 30 et 60.
75
1) 280,915 mL : 9,5 fl.Oz = 29,57 mL
1 fluid Ounce correspond à 29,57 mL.
2) 9,5 fl.Oz : 280,915mL 艐 0,034 fl.Oz
1 mL correspond à 0,034 fl.Oz environ.
76
1) 1 tonne correspond à 7,33 barils.
1 000 kg correspondent à 7,33 barils.
1 000 kg : 7,33 barils 艐 136,43 kg
1 baril correspond à 136,43 kg environ.
2) 100 L correspondent à 0,63 baril.
100 L : 0,63 baril 艐 158,73
1 baril correspond à 158,73 L environ.
77
1) Volume total de cet iceberg :
900 m3 + 6 300 m3 = 7 200 m3.
900
9
1
=
= .
2) Proportion de la partie émergée :
7 200 72 8
3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
78
Proportion d’élèves ayant cité le football :
Proportion d’élèves ayant cité le rugby :
12 1
= .
60 5
20 1
= .
60 3
18
3
Proportion d’élèves ayant cité la gymnastique :
=
.
60 10
10 1
Proportion d’élèves ayant cité l’athlétisme :
= .
60 6
2) a) Proportion de fourmis non ailées :
b) Proportion de moustiques :
11
.
220
10
d) Proportion de fourmis ailées :
.
220
55
e) Proportion de mouches :
.
220
44
1
3)
=
220 5
20
1
=
220 11
11
1
=
220 20
10
1
=
220 22
55
1
=
220 4
4) a) Les insectes ailés sont les moustiques, les abeilles,
les fourmis ailées, les mouches et les autres insectes ailés.
Leur nombre est de 130.
130 13
La proportion de ces insectes ailés est de
=
.
220 22
b) Proportion des fourmis ailées parmi les insectes ailés :
10
1
=
.
130 13
c) Les insectes non ailés sont au nombre de 90.
Proportion des fourmis parmi les insectes non ailés :
44 22
=
.
90 45
c) Proportion d’abeilles :
83
269 : 19 est le quotient de 269 par 19, c’est-à-dire,
c’est le nombre qui, multiplié par 19, donne 269.
Or, si l’on pose la multiplication, on a :
1
×
79
Surface totale des océans :
180 + 90 + 75 + 20 + 15 = 380 (en millions de km2).
Proportion de la surface de l’Océan Pacifique :
180 18
9
=
=
.
380 38 19
90
9
Proportion de la surface de l’Océan Atlantique :
=
.
380 38
75
15
Proportion de la surface de l’Océan Indien :
=
.
380 76
Proportion de la surface de l’Océan Antarctique :
20
2
1
=
=
.
380 38 19
15
3
Proportion de la surface de l’Océan Arctique :
=
.
380 76
80
23
.
30
2)
81
1) Proportion de la lave produite dans les océans :
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
82
1) a) Nombre total d’insectes : 220.
b) 220 : 10 = 22
Le nombre d’élèves en Cinquième F est 22.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
20
.
220
44
.
220
4,
1
5
7
8
9
4
7
4
1
9
6
.
6
Le résultat de cette multiplication doit être égal à 269.
Or, ici le dernier chiffre trouvé est 6.
84
1) Dans la figure 1 :
– l’aire du carré rose est égale à (2R)2 = 4R 2 ;
– l’aire du disque est égale πR 2.
Ainsi, la proportion du carré qui est colorée en rose est :
πR 2
πR 2 π
=
= .
2
(2R)
4R 2 4
2) Dans la figure 2 :
– l’aire du disque est égale πR 2.
Cherchons l’aire du carré.
L’aire du carré est égale à 4 fois l’aire du triangle rectangle
isocèle.
L’aire du carré est égale à : (4 × R 2 ) : 2 = 2 × R 2.
La proportion du disque qui est colorée en vert est :
2R 2 2
= .
πR 2 π
2
π
3) On veut donc comparer et .
π
4
2
π
艐 0,64 au centième près. 艐 0,79 au centième près.
π
4
2
π
Donc, ⬍ .
π
4
Chap. 3 - Nombres en écriture fractionnaire : sens 37
85
a) Proportion des billes rouges :
15 1
= .
60 4
5
1
=
.
60 12
28
7
=
.
c) Proportion des billes jaunes :
60 15
12 1
d) Proportion des billes bleues :
= .
60 5
b) Proportion des billes vertes :
86
1) Proportion des cartes rouges :
2) Proportion des cartes « AS » :
1
.
2
4
1
= .
32 8
45
5
=
108 12
104 26
=
b)
140 35
150 15 5
c)
=
=
210 21 7
87
a)
88
Le quotient de 28,7 par 1,4 est égal à 20,5.
3 825 m
= 150 m
25,5 min
Ronald a parcouru 150 m en 1 minute.
89
90
Masse totale des aliments du renard (en grammes) :
2 500.
200 20 4
=
= .
Proportion de mammifères :
250 25 5
20
2
=
Proportion d’oiseaux :
.
250 25
17,5
175
7
=
=
.
Proportion de fruits :
250 2 500 100
12,5
125
1
=
=
Proportion d’insectes :
.
250 2 500 20
91
a)
48 6 2
= =
72 9 3
56
8
=
77 11
648
9
=
c)
720 10
b)
1) 58 € : 86,42 $ 艐 0,67 €
La valeur d’un dollar, à cette date, était de 0,67 euro environ.
2) 12,60 $ : 4,5 kg = 2,80 $
Le prix d’un kilogramme d’oranges est de 2,80 $.
92
38
93
a) 0,36 : 1,5 = 0,24
b) 1256 : 0,29 艐 4 331,03
c) 13,25 : 0,6 艐 22,08
d) 1,56 : 0,3 = 5,2
58
2
=
203 7
324 12
=
c)
189
7
94
a)
248 8
=
155 5
3 835 65
=
d)
3 717 63
b)
95
1) a) Sur les 425 atolls que possède notre planète,
85 sont situés en Polynésie française. D’où, la proportion des atolls de la planète situés en Polynésie française :
85
.
425
1
b) La fraction simplifiée est : .
5
c) Cela signifie que 1 atoll sur 5 de notre planète est situé
en Polynésie française.
2) 77 des atolls de Polynésie sont localisés dans l’archipel
des Tuamotu.
Parmi les atolls de Polynésie française, la proportion de
77
ceux situés dans l’Archipel des Tuamotu est égal à :
.
85
96
1) et 2) Je représente par un rectangle de 1 cm de
long les atolls présentant plusieurs passes.
Je représente par un rectangle de 4,5 cm de long, ceux qui
n’ont aucune passe.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
97
1) Un gramme d’une perle de culture de Tahiti
vaut 952 F CFP. Or, un euro est égal à environ
119,33 F CFP. Donc, un gramme d’une perle de culture de
Tahiti
952
vaut en euros :
.
119,33
On pose la division et on obtient environ 8 €.
2) Prix en euros d’une perle de culture de Tahiti :
952
1 561,28
1,64 ×
=
= 13,08
119,33
119,33
Une perle de culture coûte en moyenne 13,08 €.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Chapitre
4
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES :
●
●
> CONNAISSANCES :
Nombres positifs en écriture fractionnaire : calculs
Addition et soustraction
●
●
Nombres positifs en écriture fractionnaire : calculs
*Multiplication
CAPACITÉS
CAPACITÉS
Additionner et soustraire deux nombres en écriture
fractionnaire dans le cas où les dénominateurs sont
les mêmes *et dans le cas où le dénominateur de l’un
est un multiple du dénominateur de l’autre.
*Effectuer le produit de deux nombres écrits sous
forme fractionnaire ou décimale, le cas d’entiers étant
inclus.
■ Commentaires
Des oralisations du type « 3 quarts plus 5 quarts » permettent d’effectuer directement des opérations sans mobiliser explicitement le statut de nombre.
■ Commentaires
Le travail porte à la fois sur les situations dont le traitement fait
intervenir le produit de deux nombres en écritures fractionnaires
(en relation avec différentes significations de ces écritures) et sur
la justification du procédé de calcul.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Mobiliser des écritures différentes d’un même nombre.
– Comparer des nombres.
– Choisir l’opération qui convient au traitement de la
situation étudiée.
– Maîtriser de manière automatisée les tables de multiplication « dans un sens ou dans l’autre » pour effectuer un
calcul mental simple, un calcul réfléchi, un calcul posé
portant sur des nombres de taille raisonnable.
– Mener à bien un calcul instrumenté (calculatrice,
tableur).
Indications pour l’évaluation
– Les nombres utilisés sont les nombres relatifs en écriture
décimale ou fractionnaire. La comparaison des nombres
en écriture fractionnaire se limite au cas de deux nombres
positifs ; la mise au même dénominateur doit pouvoir se
faire par simple calcul mental.
– Les opérations mobilisées sont :
● les quatre opérations sur les nombres relatifs entiers,
décimaux ;
● la multiplication des nombres relatifs en écriture fractionnaire ;
● l’addition, la soustraction des nombres relatifs en écriture fractionnaire, dans le cas où la mise au même dénominateur peut se faire par calcul mental.
Pour la division décimale posée, les nombres décimaux
comportent au maximum deux chiffres après la virgule et
le diviseur est un entier inférieur à 10.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : Multiples et diviseurs
> CONNAISSANCES :
●
CAPACITÉS
● Connaître et utiliser les critères de divisibilité par 2,
5 et 10.
● Connaître et utiliser les critères de divisibilité par 3,
4 et 9.
■ Commentaires
La notion de multiple, introduite à l’école primaire, est
rappelée sur des exemples numériques, en même temps
qu’est introduite celle de diviseur. Les différentes significations de ce dernier terme doivent être explicitées.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
●
Écriture fractionnaire
*Quotient exact
CAPACITÉS
a
comme quotient de l’entier a par
b
l’entier b, c’est-à-dire comme le nombre qui multiplié
par b donne a.
● *Placer le quotient de deux entiers sur une demi
droite graduée dans des cas simples.
● Prendre une fraction d’une quantité.
●
*Interpréter
Chap. 4 - Nombres en écriture fractionnaire : opérations 39
*Il s’agit de faire comprendre la modélisation de ce
type de problème par une multiplication.
■ Commentaires
À l’école élémentaire, l’écriture fractionnaire est intro
7
duite en référence au partage d’une unité. Par exemple
3
est 7 fois un tiers.
Le vocabulaire relatif aux écritures fractionnaires est utilisé : numérateur, dénominateur.
*Le programme de la classe de 6e a pour objectif d’interpréter
7
aussi comme :
3
– le tiers de 7 ;
– le nombre qui multiplié par 3 donne 7 ;
– un nombre dont une valeur approchée est 2,33.
L’utilisation de quotients, sous forme fractionnaire, permet
de gérer plus facilement les raisonnements et de repousser la
recherche d’une valeur approchée décimale à la fin de la résolution.
> CONNAISSANCES :
Écriture fractionnaire
*Un quotient ne change pas quand on multiplie son numérateur et son dénominateur par un même nombre.
●
●
CAPACITÉS
*Reconnaître dans des cas simples que deux écritures fractionnaires différentes sont celles d’un même
nombre.
■ Commentaires
La connaissance des tables de multiplication est notamment
exploitée à cette occasion.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
Calcul numérique
*Opérations (+, –, ×) sur les nombres relatifs en écriture
fractionnaire (non nécessairement simplifiée)
●
●
ou fractionnaire deviennent des capacités exigibles dans
le cadre du socle commun.
> CONNAISSANCES :
●
●
CAPACITÉS
*Multiplier, additionner et soustraire des nombres
relatifs en écriture fractionnaire.
CAPACITÉS
● Diviser des nombres relatifs en écriture fractionnaire.
a
1
● Connaître et utiliser l’égalité :
=a¥ .
b
b
■ Commentaires
*L’addition de deux nombres relatifs en écriture fractionnaire
demande un travail sur la recherche de multiples communs à
deux ou plusieurs nombres entiers dans des cas où un calcul
mental est possible.
Savoir additionner et soustraire des entiers relatifs et multiplier deux nombres positifs écrits sous forme décimale
Calcul numérique
Division de deux nombres relatifs en écriture fractionnaire
■ Commentaires
*Un travail est mené sur la notion d’inverse d’un nombre non
1
nul ; les notations et x–1 sont utilisées, ainsi que les touches
x
correspondantes de la calculatrice.
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Les élèves ont déjà vu l’addition de fractions de
même dénominateur au CM2.
Ce chapitre établit les règles d’addition et de soustraction dans le cas où les dénominateurs sont égaux.
Dans le cas où les dénominateurs ne sont pas égaux,
l’addition et la soustraction de deux fractions ne sont
étudiées que lorsqu’un dénominateur est multiple de
l’autre.
>
Le cas général ne sera étudié qu’en classe de Quatrième.
➜ La multiplication d’un nombre par une fraction
a été traitée en Sixième. La multiplication de deux
fractions est étudiée en Cinquième.
➜ La division par une fraction ne sera étudiée qu’à
partir de la classe de Quatrième.
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES : Cette activité permet de retrouver la
durée d’une croche et d’une noire pointée dans une mesure
de musique.
La musique permet de « calculer des durées » avec des
fractions simples (de dénominateur des puissances
de 2).
C ORRIGÉ
1) La mesure dure 4 temps. Or, une noire dure 1 temps.
u durent 1 temps.
1
On en déduit qu’une croche S dure temps.
2
Donc, deux croches
2) Cette mesure dure 4 temps. Or, une blanche dure
1
temps. Ainsi, la noire poin2
3
tée dure 1 temps et demi. Soit temps.
2
2 temps et une croche dure
40
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1
J’ADDITIONNE, JE SOUSTRAIS DES FRACTIONS DE MÊME DÉNOMINATEUR
Objectifs
Énoncer la règle qui permet d’ajouter
des nombres en écriture fractionnaire.
● Énoncer la règle qui permet de
soustraire des nombres en écriture
fractionnaire.
●
Prérequis
Paragraphe
introduit
–
! Addition et soustraction
a) Les dénominateurs sont égaux
■ C O M M E NTAI R E S : À partir d’oralisations du type
« 3 quarts plus 5 quarts », l’élève peut effectuer directement des opérations sans mobiliser explicitement le statut
de nombre.
On s’est limité dans cette activité aux fractions. Mais les
règles énoncées dans le cours concernent les nombres en
écriture fractionnaire.
CO RRI G É
JE REVOIS
6
3
9
+
=
.
10 10 10
2) « 7 quinzièmes plus 4 quinzièmes est égal à 11 quinzièmes. »
7
4
11
+
=
.
On a :
15 15 15
3) Pour ajouter deux fractions de même dénominateur,
on ajoute les numérateurs et on garde le dénominateur
commun.
B 1) a) « 13 dixièmes moins 6 dixièmes est égal à
7 dixièmes. »
13
6
7
b) On a :
–
=
.
10 10 10
2) « 15 septièmes moins 3 septièmes est égal à 12 septièmes. »
15 3 12
– =
.
On a :
7
7
7
3) Pour soustraire deux fractions de même dénominateur,
on soustrait les numérateurs et on garde le dénominateur
commun.
b) On a :
A 1) a) « 6 dixièmes plus 3 dixièmes est égal à
9 dixièmes. »
2
J’ADDITIONNE CERTAINES FRACTIONS
Objectif
Prérequis
Ajouter deux fractions
de dénominateurs différents, l’un des
dénominateurs est multiple de l’autre.
●
●
Paragraphe
introduit
Représenter des proportions.
Propriété des quotients égaux.
! Addition et soustraction
b) Un dénominateur est multiple
de l’autre
■ C OMMENTAI RE S :
1
5
+
. Elle comporte
Cette activité permet de calculer
3
24
deux parties :
– la première permet de visualiser à l’aide d’un schéma
cette somme ;
– la seconde utilise la propriété des quotients égaux pour
pouvoir calculer cette somme.
3
C ORRIGÉ
A 1) 2) 3) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
13
du
b) Au total, 13 parties sur 24 sont coloriées. Donc,
24
rectangle est colorié.
1
5
13
=
.
4) On a alors : +
3 24 24
B 1) a) 1 = 1 × 8 = 8 .
3 3 × 8 24
1
b) On a pu trouver une fraction égale à de dénomina3
teur 24, car 24 est un multiple de 3.
1
5
5
8
5
= 1×8 +
=
+
.»
2) « +
3 24 3 × 8 24 24 24
1
5
13
=
.
3) Donc, +
3 24 24
JE CALCULE UNE FRACTION D’UN NOMBRE
Objectif
Revoir la méthode de calcul du produit
d’une fraction par un nombre.
Prérequis
Prendre une fraction d’un nombre.
Paragraphe
introduit
@ Prendre une fraction d’un nombre
■ C OMMENTAI RE S : Cette activité permet, d’une part, de
a
» et d’autre part de revoir les trois
b
méthodes de calcul de ce produit.
a
L’élève remarque que lorsque n’est pas un nombre décib
mal, la méthode qui consiste à, d’abord, effectuer le quotient de a par b, ne donne pas de valeur exacte.
revoir le sens de « k ×
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
JE REVOIS
CORRIGÉ
2
1) Quand on effectue le produit de par 1200, on calcule
3
le nombre de places réservées.
2) a) Kévin n’obtient pas le bon résultat. En effet, il calcule d’abord le quotient de 2 par 3 qui n’est pas un
nombre décimal. Il se sert d’une valeur approchée de ce
quotient : il ne peut donc pas obtenir un résultat exact.
b) Maxime a calculé le tiers de 1 200, puis le double du
résultat obtenu.
c) Nadia a calculé le double de 1200, puis le tiers du résultat obtenu.
Chap. 4 - Nombres en écriture fractionnaire : opérations 41
4
JE MULTIPLIE DEUX FRACTIONS
Objectif
Apprendre à multiplier deux fractions.
Prérequis
Notion de proportion.
Paragraphe
introduit
# Multiplication
■ C O M M E NTAI R E S : Cette activité met en évidence la
règle de multiplication de deux fractions, mais ne la
démontre en aucun cas.
CORRIG É
1) a) b) c)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
>
1
d)
d)
3
E x erc
er c ic
ice
es
a)
7
5
b)
a)
5
3
b)
35
2
2
18
7
a)
14
11
47
e)
5
21
5
50
e)
13
9
=3
3
c)
25
6
c)
23
12
b)
10
=2
5
1) C’est la fille qui a raison.
En effet, il faut mettre le nombre 1 au dénominateur
5
5:1= .
5
Le calcul s’effectue alors de la manière suivante :
1 5 1 6
1+ = + =
5 5 5 5
1 9 1 10
2) a) 1 + = + =
9 9 9
9
1
13
1
14
b) 1 +
=
+
=
13 13 13 13
5 7 5 12
c) 1 + = + =
7 7 7
7
7 4 7 11
d) 1 + = + =
4 4 4
4
5
11
5
16
e) 1 +
=
+
=
11 11 11 11
7 6 7 13
f) 2 + = + =
3 3 3
3
1 5
= –
5 5
1
13
1
c) 1 –
=
–
=
13 13 13
3
11
3
e) 1 –
=
–
=
11 11 11
a) 1 –
1 4
=
5 5
12
13
8
11
3 6
=
2 4
3 1 6 1 7
Donc, + = + = .
2 4 4 4 4
6
42
4 16
=
3 12
4
5
16
5
11
Donc, –
=
–
=
.
3 12 12 12 12
7
1 9 1 8
= – =
9 9 9 9
5 7 5 2
d) 1 – = – =
7 7 7 7
5 6 5 1
f) 2 – = – =
3 3 3 3
b) 1 –
1
1
1
2
3
+ =
+
=
10 5 10 10 10
4 5 8 5 13
+ = + =
3 6 6 6
6
7 7 21 7 28
+ =
+ =
3 9
9
9
9
2
5
4
5
9
+
=
+
=
7 14 14 14 14
3
7
3
28 31
+ =
+
=
20 5 20 20 20
4
5
24
5
29
+
=
+
=
3 18 18 18 18
8
b)
4
5
d) 35 timbres sont collés sur cette page.
La proportion de timbres français sur cette page est égale
12
.
à
35
2) La proportion de timbres français placés sur cette page
3
4
3 4
est de , c’est-à-dire × .
7
5
7 5
3 4 12
On a donc, « × =
».
7 5 35
3) a) Le numérateur du résultat est obtenu en multipliant
les numérateurs.
b) Le dénominateur du résultat est obtenu en multipliant
les dénominateurs.
c) Pour calculer le produit de deux fractions, on multiplie
les numérateurs entre eux et les dénominateurs entre
eux.
c)
d)
e)
f)
7 3 14 3 11
– =
– =
2 4
4
4
4
9
7
18
7
11
–
=
–
=
5 10 10 10 10
4 11 16 11
5
–
=
–
=
3 12 12 12 12
25 10 25 20
5
–
=
–
=
14 7
14 14 14
10
7
40
7
33
–
=
–
=
5 20 20 20 20
5
5
30
5
25
–
=
–
=
3 18 18 18 18
9
b)
c)
d)
e)
f)
a)
10
a)
2
× 33 cL = 22 cL
3
2
× 1,5 kg = 1 kg
3
2
× 12 m = 8 m
3
11
b)
a)
7
× 60 min = 42 min
10
2
× 60 min = 40 min
3
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
5
× 60 min = 50 min
6
3
× 120 min = 90 min
d)
4
6
b)
a)
35
63
e)
d)
40
c)
12
13
d)
a)
7
8
b)
a)
12
5
b)
2
15
14
d) 1
15
1)
1
3
–
4 20
1
3
×
3)
4 20
2)
16
32
33
77
60
c)
12
7
5
e)
7
c)
10
49
49
e)
16
45
28
4
11
11
5
2
f)
5
c)
1
3
5
3
8
2
+
=
+
=
=
4 20 20 20 20 5
5
3
2
1
=
–
=
=
20 20 20 10
3
=
80
A=
11
7
A=
93
100
63
1 000
103
1 000
A=
3
1
9
1
10 2
+
=
+
=
=
5 15 15 15 15 3
25 2,5 25 5 30 15
B=
+
=
+ =
=
8
8
4
8
8
4
21 1 21 3 18
– =
– =
=2
C=
3
9
9
9
9
25 64 100 64 36
–
D=
–
=
=
=3
12 12 12
3 12
24
A=
3 26
9
26 35 5
+
=
+
=
=
7 21 21 21 21 3
1
1
1
2
3
1
B=
+ =
+
=
=
12 6 12 12 12 4
21 2 21 12
9
1
C=
– =
–
=
=
18 3 18 18 18 2
57
9
57 27 30 2
D=
–
=
–
=
=
45 15 45 45 45 3
8,2
12
9,7
1,7
0,3
C=
1,6
13
D=
0,8
A=
26
B=
18
A=
5 3 5 6 11
+ = + =
8 4 8 8
8
7 2 21 2 23
B= + =
+ =
3 9
9
9
9
6
3
12
3
9
C= –
=
–
=
5 10 10 10 10
22 4 22 20
2
– =
–
=
D=
15 3 15 15 15
23
25
19
11
3
C=
5
11
D=
9
B=
17
63
30
63
3
=
+
=
+
10 100 100 100
23
4
23
40
+
=
+
=
B=
1 000 100 1 000 1 000
61 301 610 301 309
=
–
=
C=
–
10 100 100 100 100
33
227
330
227
–
=
–
=
D=
100 1 000 1 000 1 000
22
A=
18
=2
9
32
=8
4
20 4
C=
=
15 3
4 2
D= =
6 3
+
4
3
11
6
7
12
1
3
5
3
13
6
11
12
5
6
13
6
16
6
17
12
B=
19
A=
27
45
77
38
C=
21
21
D=
100
42
=2
21
5
1
=
15 3
21 3
C=
=
35 5
7
1
D=
=
21 3
28
2,6 13,4 16
=
+
1,9
1,9
1,9
31,7 10,7 21
–
=
d)
1,7
1,7
1,7
7 8 7 15
= + =
8 8 8
8
5 18 5 23
d) 2 + =
+ =
9
9
9
9
20 21 20 41
f) 3 +
=
+
=
7
7
7
7
7 8 7 1
= – =
8 8 8 8
5 18 5 13
e) 2 – =
– =
9
9
9
9
20 21 20 1
g) 3 –
=
–
=
7
7
7
7
a)
a) 1 +
A=
200
39
51
C=
110
40
D=
93
32
63
B=
9
14 23
+
=
17 17 17
24
9
15
c)
–
=
23 23 23
21
33
46
B=
B=
20
A=
b)
b) 1 –
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
29
A=
44
15
108
C=
7,7
4,4
D=
3,6
9
10
B=
Chap. 4 - Nombres en écriture fractionnaire : opérations 43
30
1) a) 6 ×
3 6 3 18
= × =
7 1 7
7
3 6 × 3 18
=
=
7
7
7
1) b) Le garçon met le nombre 1 au dénominateur,
6
6:1= .
1
a
La fille applique la méthode du cours : k × = k × a
b
b
48
2) A =
5
340
B=
7
4
C=
5,9
31,2
D=
17
6×
31
M=
2
5
K=
1
6
E=
13
11
5
N=
6
4
P=
9
28
Q=
81
32
1
R=
2
S=4
33
1
F=
3
1
G=
2
H=1
a)
La proportion des frontières maritimes par rapport
16
.
à la totalité des frontières est
31
1)
1
1
2 15
3
1
10
1
–
– =
–
–
–
=
5 15 3 15 15 15 15 15
La proportion d’eau utilisée pour le lavage de la voiture
1
est de
.
15
1–
5
3
13
+
=
7 14 14
9
6
51
+
=
c)
4 20 20
42
a)
7
2
9
4
11
8
5
4
19
4
14 7
=
2
4
21
8
3
8
31
8
21
8
14 7
=
4
8
–
5
6
49
24
1
12
25
12
15 5
=
12 4
1
24
24
=2
12
13
6
8 4
=
6 3
3
1
=
24 8
25
12
36
12
7
5
9
1
–
=
7 14 14
9 7 13
d) – =
4 6 12
b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2
2
AB = × 72 mm = 16 mm
9
9
3
3
b) AN = AB = × 72 mm = 27 mm
8
8
7
7
c) BP =
AB =
× 72 mm = 14 mm
36
36
5
5
AB =
× 72 mm = 30 mm
d) BR =
12
12
a) AM =
35
37
)
39
41
4 5
× =1
5 4
6
11
c)
×
=1
11
6
1
A=
3
)
1
1
2
1
3
L+ L= L+ L= L
2
4
4
4
4
3
Cette casserole contient de litre de liquide.
4
5
3
2
1
L– L= L= L
2)
4
4
4
2
1
Julia peut encore verser litre de lait.
2
b)
44
A=
(
40
7 3 21
7 3
× =
d’où × = 1
3 7 21
3 7
+
(
10
5
1
1
–
–
=
36 36 36
36
17
11
4
10 5
–
–
=
=
B=
12 12 12
12 6
11 4 1 8 4
– + = =
C=
6 6 6 3
6
23 6 4 13
D=
– – =
8 8
8
8
38
43
34
B=
20
=4
5
5
D=
8
C=
44
c)
a)
4
× 210 g = 120 g
7
15
× 24 m = 90 m
4
3
× 560 cL = 210 cL
8
14
d)
× 150 m2 = 700 m2
3
b)
3
× 120 g = 72 g
5
Ce morceau de viande contient 72 g d’eau.
17
2)
× 150 g = 127,5 g
20
Ce morceau de fromage contient 127,5 g d’eau.
45
1)
46
×
7
5
49
15
14
9
6
7
6
5
14
5
4
3
15
8
21
8
49
8
35
12
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
47
A=
1
2
15
C=
2
D=6
C=2
23
D=
6
1
13
B=
54
2 3
6
1
× =
=
3 4 12 2
En effet, Kérian a mangé la moitié du paquet de gâteaux.
3 4 12
× =
7 5 35
La proportion des filles qui ont déjà pratiqué ce sport est
12
de
.
35
49
5 3 15
× =
7 4 28
15
La proportion des filles qui étudient l’anglais est de
.
28
1 5
×
2) Le calcul
permet de calculer la proportion des
4 7
garçons qui étudient l’anglais.
1 5
5
× =
4 7 28
1)
(
)
51
a
b
a+b
a–b
a×b
11
9
7
9
18
=2
9
4
9
77
81
3
4
3
16
15
16
9
16
9
64
1
4
×
représente la proportion des nouvelles
4
7
lues par Myrkah.
1
4
b)
× 1–
représente la proportion des nouvelles que
4
7
Myrkah n’a pas lues.
1
1
×
représente la proportion des bandes dessinées
c)
8
2
lues par Myrkah.
1 1
+
d) 1 –
représente la proportion des romans dans
4 8
cette bibliothèque.
52
53
B=
a)
(
)
(
)
A=
1
6
>
68
9
14
Je fais
fai s l e po
p o int
A=
11
4
3
C= +
6
8
D= +
2
8 4
=
6 3
4
11
5
C=
8
19
D=
18
1 2 7
+ =
9 3 9
5
1
3
1
b) p – m =
– =
=
18 9 18 6
2
5
5
c) np = ×
=
3 18 27
53
3 11
1
+
–
=
a) p – (m + n) =
24 4
8
12
11 53 119
+
=
b) 2n + p = 2 ×
24
8
24
55
Les exercices 58 à 67 sont corrigés à la page 287 du manuel élève.
A=
1 1 1
× =
4 2 8
3 1 3
× =
4)
4 2 8
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
8
3
8
3
1 5 6
+ = =1
6 6 6
64
=
21
24
=
=8
3
20 10 10
–
=
3
3
3
1 20
B=7– =
3
3
1 7 3 21
3
C= × × =
=
7 5 2 70 10
71
2)
)
2
5
a) Calculons x + lorsque x =
3
6
5 2 9 3
+ = =
6 3 6 2
5
Donc, cette égalité est vraie lorsque x = .
6
3
5
b) Calculons x lorsque x =
5
6
3 5 3 1
× = =
5 6 6 2
5
Donc, cette égalité est vraie lorsque x = .
6
5
c) Calculons d’une part 6x lorsque x = :
6
5
6× =5
6
1
5
Calculons d’autre part x + lorsque x =
2
6
5 1 8
+ =
6 2 6
5
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie lorsque x =
6
1
5
d) Calculons d’une part x – lorsque x = :
3
6
5 1 3 1
– = =
6 3 6 2
1
1
5
Calculons d’autre part x + lorsque x =
5
3
6
1 5 1 1 1 3 1
× + = + = =
5 6 3 6 3 6 2
5
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie lorsque x =
6
8
+
21
32
C=
–
3
5 8 4
= =
6 6 3
8 24
=
=6
4
4
1 1 1
× =
2 3 6
1 1
1
3)
× =
3 4 12
(
57
B=
1)
a) m + n =
56
70
B=
69
13
9
B=
48
50
A=
A=
Chap. 4 - Nombres en écriture fractionnaire : opérations 45
4
× 430 000 km3 = 40 000 km3
43
Le volume d’eau retombée sur les continents est de
40 000 km3.
b) 430 000 km3 – 40 000 km3 = 390 000 km3
Le volume d’eau retombée sur les océans est de
390 000 km3.
72
a)
7
3 5
7
15 22 11
+ × =
+
=
=
16 8 2 16 16 16
8
5 2 7 20 14 6
–
= =1
b) 4 × – × =
6 3 2
6
6
6
8 4
7
1
20 27
c)
+
–
×
=3
×
=
9 3
5 20
9
20
73
(
a)
) (
c)
d)
e)
)
a) 2 temps +
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
77
1) La surface du globe est recouverte de terres à
5
.
une proportion de
17
67
67
5
×
=
75 17 255
67
L’ensemble des terres habitées représente
de la surface
255
du globe.
12
2) a)
× 510 000 000 km2 = 360 000 000 km2
17
La superficie des océans et des mers est de 360 millions
de km2.
5
× 510 000 000 km2 = 150 000 000 km2
b)
17
La superficie des terres est de 150 millions de km2.
67
× 510 000 000 km2 = 134 000 000 km2
c)
255
La superficie des terres habitées est de 134 millions
de km2.
78
1) Proportion de la surface pour les légumes :
7
4 1
× = .
12 7 3
Proportion de la surface pour la pelouse :
5
1
3
1
1–
– =
= .
12 3 12 4
2) 4 × 400 m2 = 1 600 m2
Le jardin de madame Botanic a une superficie de
1 600 m2.
79
1) Proportion des passagers français :
Proportion des passagers non français :
46
4
.
13
1
1
1
1
6
3
2
1
+
+
+
=
+
+
+
n 2n 3n 6n 6n 6n 6n 6n
12 2
=
6n n
2 1
1
1
1
2)
= +
+
+
7 7 14 21 42
=
12 3
9
× =
.
13 4 13
1)
1
Au bout d’une heure, la bouteille contient de
4
3
jus de pamplemousse et de jus d’orange.
4
1
Au bout de deux heures, elle boit de ce mélange. Il lui
4
3
1
reste donc de ce mélange auquel elle rajoute de jus de
4
4
pamplemousse.
Proportion de jus de pamplemousse dans le nouveau
mélange :
3 1 1
3
4
7
+
=
.
× + =
4 4 4 16 16 16
1
Au bout de trois heures, elle boit de ce mélange. Il lui
4
3
1
reste donc de ce mélange auquel elle rajoute de jus de
4
4
pamplemousse.
Proportion de jus de pamplemousse dans le mélange au
bout de trois heures :
3
7
1 21 16 37
+ =
=
.
×
+
4 16 4 64 64 64
● À chaque heure, Camille ne rajoute que du jus de pamplemousse. Il suffit donc de calculer la proportion de jus
d’orange qu’il reste dans le mélange au bout de 3 heures.
3
Au bout d’une heure, la bouteille contient
de jus
4
d’orange.
1
Au bout de deux heures, elle boit de ce mélange. Il lui
4
3
1
reste donc de ce mélange auquel elle rajoute de jus de
4
4
pamplemousse.
3
3
9
La bouteille contient alors de de jus d’orange. Soit :
4
4
16
de jus d’orange.
1
Au bout de trois heures, elle boit de ce mélange. Il lui
4
3
1
reste donc de ce mélange auquel elle rajoute de jus de
4
4
pamplemousse.
3
9
La bouteille contient alors de
de jus d’orange.
4
16
27
Soit :
de jus d’orange.
64
Finalement la proportion de jus de pamplemousse est
37
27
égale à
=1–
.
64
64
82
a) 2 temps + 1 temps = 3 temps
1
3
1 temps + temps = temps
2
2
1
1
3
temps + temps = temps
2
4
4
1
1
3
temps + temps = temps
4
8
8
3
1
4
temps + temps = temps = 1 temps
4
4
4
76
1)
a a a × 2 a 2a + a 3a
+ =
=
+ =
2 4 2×2 4
4
4
a a a
– =
2) a)
2 4 4
a
a
3a
b)
–
=
3 12 12
75
b)
80
81
1
5
temps = temps
2
2
1
1
b)
temps + 1 temps + temps = 2 temps
2
2
1
1
9
c)
temps + 4 temps + temps = temps
4
4
2
1
1
3
d)
temps + temps = temps
4
2
4
74
4
× 260 = 80
13
Cet avion transporte 80 passagers non français.
2)
●
(
)
83
5 3 1 1 1 1 1
= + + = + +
9 9 9 9 3 9 9
84
5 10
1
3
6
1
1 1
=
=
+
+
=
+ +
9 18 18 18 18 18 6 3
85
2 3 2 × 7 3 × 3 14
9
23
+ =
+
=
+
=
3 7 3 × 7 7 × 3 21 21 21
6 4 10
+ =
7 7
7
6 4 24
c)
× =
7 7 49
86
a)
b)
6 4 2
– =
7 7 7
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
5 10 45 15
+
=
=
3 21 21
7
5 10 50
×
=
c)
3 21 63
87
a)
88
a)
c)
1 3 7
+ =
4 2 4
b)
5 10 25
–
=
3 21 21
b)
5 4 11
– =
3 9
9
3
× 280 = 210
4
2
3
7
=
Proportion du livre lu : +
5 10 10
3
Donia doit encore lire
de ce livre.
10
89
90
1)
2 3 2
× =
3 7 7
2
de ce livre mardi.
7
2 4 6
2)
+ =
7 7 7
6
Paul a lu du livre le lundi et le mardi.
7
1
Il lui reste du livre à lire.
7
Paul a lu
1 7 8
+ = =4
2 2 2
4 7 14
B= × =
2 3
3
20 10 10
C=
–
=
9
9
9
5 2 10
D= × =
9 3 27
91
A=
3 10
5
×
=
8
9
12
1 2 5
B= + =
6 3 6
7
5
7
C= ×
=
5 10 10
21 1 31
+ =
D=
50 5 50
92
A=
3
1
3 1
6
4
3
13
L + L + ( × )L = L + L + L =
L
4
2
4 2
8
8
8
8
13
Jeanne a préparé
litres de boissons.
8
93
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
94
Proportion des forêts tropicales brésiliennes :
17
8
8
×
=
35 17 35
Proportion des forêts tropicales qui ne sont pas au Brésil :
27
35
95
1) Proportion des gaz rares contenue dans l’air :
39 1
1
– =
1–
50 5 50
1
9
18
2)
×
× 200 cL =
cL = 3,6 cL
50 10
5
Le volume d’argon contenu dans 2 litres d’air est de
3,6 cL.
3
11 58
+
=
;
25
5
25
51 13 86
–
=
;
c)
12 84 21
96
a)
3
75 1
×
= ;
25 36 4
55 100 20
c)
=
×
;
99
25
9
97
13 9 67
+ =
;
42 7 42
51 10 5 41
d)
–
+ =
.
6 36
36 9
b)
18 21 2
×
= ;
49 27 7
64 72 28 256
.
d)
×
×
=
81 56 63 567
b)
a)
1 1 1
1
1
1
+ + +
+
+
2 4 8 16 32 64
1
= 1 × 32 + 1 × 16 + 1 × 8 + 1 × 4 + 1 × 2 +
2 × 32 4 × 16 8 × 8 16 × 4 32 × 2 64
1 1 1
1
1
1
32 16
8
4
2
1
+ + +
+
+
=
+
+
+
+
+
2 4 8 16 32 64 64 64 64 64 64 64
1 1 1
1
1
1
63
+ + +
+
+
=
2 4 8 16 32 64 64
2) Il manque un soixante quatrième pour obtenir un.
98
1)
5
4
1
1
1
=
+
= +
16 16 16 4 16
7 4 2 1 1 1 1
= + + = + +
b)
8 8 8 8 2 4 8
27 16
8
2
1
1 1
1
1
c)
=
+
+
+
= + +
+
32 32 32 32 32 2 4 16 32
99
a)
(
)
69
7
16
69 23 46
–
+
–
=
=
69 69 69
69 69 69
16
2)
de la hauteur de la pyramide représente 8 mètres.
69
1
de la hauteur de la pyramide représente 0,5 mètre.
69
69
de la hauteur de la pyramide représente 34,5 mètres.
69
100
1)
Chap. 4 - Nombres en écriture fractionnaire : opérations 47
Chapitre
5
>
P r o gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
Activités graphiques
Repérage sur une droite graduée
L’utilisation d’un tableur permet d’enrichir ce travail en le
prolongeant à des situations plus complexes que celles qui
peuvent être traitées « à la main ».
CAPACITÉS
> CONNAISSANCES :
> CONNAISSANCES :
●
●
Sur une droite graduée :
– lire l’abscisse d’un point donné ;
– placer un point d’abscisse donnée (exactement ou
approximativement, en fonction du contexte).
●
●
CAPACITÉS
Dans le plan muni d’un repère orthogonal :
– lire les coordonnées d’un point donné ;
– placer un point de coordonnées données.
● Connaître et utiliser le vocabulaire : origine, coordonnées, abscisse, ordonnée.
●
■ Commentaires
Les nombres utilisés dans ces activités peuvent être des
entiers, des décimaux ou des quotients simples.
Les activités graphiques conduisent :
– à établir la correspondance entre nombres et points
d’une droite graduée (une même droite peut être graduée
de plusieurs façons) ;
– à interpréter l’abscisse d’un point d’une droite graduée
en termes de distance et de position par rapport à l’origine ;
– à choisir l’échelle permettant de placer une série de nombres
sur une portion de droite graduée.
> CONNAISSANCES :
Représentation et traitement de données
● Tableau de données, représentations graphiques de données.
● [Thèmes de convergence]
●
CAPACITÉS
Lire et interpréter des informations à partir d’un
tableau ou d’une représentation graphique (diagrammes divers, histogramme).
● Présenter des données sous la forme d’un tableau,
les représenter sous la forme d’un diagramme ou
d’un histogramme (dans ce cas les classes sont toujours de même amplitude).
●
■ Commentaires
Le choix de la représentation est lié à la nature de la situation étudiée.
48
Activités graphiques
Repérage dans le plan
■ Commentaires
Le repérage est à relier avec des situations de la vie quotidienne, le vocabulaire n’est pas un objet d’apprentissage
pour lui-même.
Des activités dans lesquelles les élèves ont eux mêmes à graduer
une droite ou à produire un graphique sont proposées.
> CONNAISSANCES :
●
●
●
Nombres relatifs entiers et décimaux : sens et calculs
Notion de nombre relatif
*Ordre
CAPACITÉS
Utiliser la notion d’opposé.
*Ranger des nombres relatifs courants en écriture
décimale.
●
●
■ Commentaires
La notion de nombre relatif est introduite à partir d’un
problème qui en montre la nécessité (par exemple pour
rendre la soustraction toujours possible).
Une relation est faite avec la possibilité de graduer entièrement la droite, puis de repérer le plan. Les nombres utilisés
sont aussi bien entiers que décimaux.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Mobiliser des écritures différentes d’un même nombre.
– Comparer des nombres.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES :
●
●
> CONNAISSANCES :
Nombres entiers et décimaux
Ordre
●
●
Nombres entiers et décimaux
*Valeur approchée décimale
CAPACITÉS
CAPACITÉS
*Donner une valeur approchée décimale (par excès
ou par défaut) d’un décimal à l’unité, au dixième, au
centième près.
● Repérage sur un axe.
● Lire et compléter une graduation sur une demidroite graduée, à l’aide d’entiers naturels, de déci1 1 1 1
, , *ou de quotients
maux, de fractions simples ,
2 10 4 5
(placement exact ou approché).
Comparer deux nombres entiers ou décimaux, ranger une liste de nombres.
● Encadrer un nombre, intercaler un nombre entre
deux autres.
● Placer un nombre sur une demi-droite graduée.
● Lire l’abscisse d’un point ou en donner un encadrement.
●
●
■ Commentaires
Les procédures utilisées pour comparer, encadrer, intercaler des nombres sont justifiées en s’appuyant sur la signification des écritures décimales ou le placement des points
sur une demi-droite graduée.
■ Commentaires
Ce travail doit être l’occasion de manier les instruments de
tracé et de mesure.
Programme de la classe de Quatrième
Écrire des encadrements résultant de la troncature
ou de l’arrondi à un rang donné d’un nombre positif en
écriture décimale ou provenant de l’affichage d’un
résultat sur une calculatrice (quotient...).
●
> CONNAISSANCES :
●
●
Calcul littéral
Comparaison de deux nombres relatifs
CAPACITÉS
Comparer deux nombres relatifs en écriture décimale
ou fractionnaire, en particulier connaître et utiliser :
a c
– l’équivalence entre = et ad = bc (b et d étant non
b d
nuls) ;
– l’équivalence entre a = b et a – b = 0 ;
– l’équivalence entre a > b et a – b > 0.
● Utiliser le fait que des nombres relatifs de l’une des
deux formes suivantes sont rangés dans le même
ordre, que a et b : a + c et b + c ; a – c et b – c.
● Utiliser le fait que des nombres relatifs de la forme ac
et bc sont dans le même ordre (respectivement l’ordre
inverse) que a et b si c est strictement positif (respectivement négatif).
●
■ Commentaires
La première équivalence est notamment utile pour justifier la
propriété dite « d’égalité des produits en croix », relative aux
suites de nombres proportionnelles.
Le fait que x est strictement positif (respectivement x strictement négatif) se traduit par x ⬎ 0 (respectivement x ⬍ 0 ) est
mis en évidence.
Le fait que « comparer deux nombres est équivalent à chercher
le signe de leur différence », intéressant notamment dans le
calcul littéral, est dégagé.
Ces propriétés sont l’occasion de réaliser des démonstrations
dans le registre littéral.
Commen taires des auteurs
Commentaires
➜ Les nombres relatifs sont introduits à partir de
la classe de Cinquième. Ils sont abordés lors d’un
exemple concret qui en montre la nécessité : lecture
de température sur un thermomètre.
➜ Pour comparer deux nombres relatifs, on utilise
au choix :
– la droite graduée ;
– la comparaison des distances à zéro.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
La comparaison des nombres relatifs en écriture fractionnaire est étudiée en classe de Quatrième.
➜ L’addition et la soustraction des nombres relatifs
sont traitées dans le chapitre 6.
La multiplication et la division de nombres relatifs
seront étudiées en classe de Quatrième.
Chap. 5 - Les nombres relatifs : définition et comparaison 49
>
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES : Cette activité permet d’aborder les
nombres relatifs à partir d’un exemple concret.
2) Ces trois nombres désignent des profondeurs, c’està-dire des altitudes de lieus situés en dessous du niveau
de la mer.
CORRIG É
1) Les trois nombres écrits dans le texte comportent des
signes –.
1
J’UTILISE DES NOMBRES NÉGATIFS
Objectif
Introduire la notion de nombres
relatifs.
Prérequis
Lecture d’un thermomètre.
Paragraphe
introduit
! Les nombres relatifs
■ C O M M E NTAI R E S : Dans cette activité, la notion de
nombre négatif est introduite à partir d’un exemple
concret : la lecture de températures.
CORRIG É
A 1) Le liquide vert se trouve au niveau du nombre 10
noir.
2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) Le liquide vert se trouve au niveau du nombre 0.
3) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
b) Le liquide vert se trouve au niveau du nombre 10
rouge.
4) Sur ce thermomètre, les températures positives correspondent aux nombres marqués en noir ou placés audessus de 0 et les températures négatives aux nombres
marqués en rouge ou placés en dessous de 0.
5) a) La température relevée le 5 janvier à 12 h était positive : 10 °C.
b) La température relevée le 6 janvier à 5 h était négative :
– 10 °C.
c) La température relevée le 5 janvier à 18 h était positive
et négative : 0 °C.
B a) En histoire, les nombres relatifs sont utilisés pour les
frises chronologiques. Le 0 désigne la naissance de J.-C.
b) En géographie, les nombres relatifs sont utilisés pour
désigner des altitudes. Le 0 désigne le niveau de la mer.
c) Dans la vie courante, les nombres relatifs sont, par
exemple, utilisés pour exprimer des crédits ou des débits.
Le 0 signifie que l’on a ni dette, ni crédit.
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2
JE REPERE DES POINTS SUR UNE DROITE GRADUÉE
Objectif
Introduire la notion de droite graduée.
Prérequis
●
●
Paragraphe
introduit
Repérage sur une demi-droite graduée.
Symétrie centrale.
@ Repérage sur une droite graduée
■ C O M M E NTAI R E S : La droite graduée est construite à
partir d’une demi-droite graduée.
CORRIG É
3) b) Les points A et A’ sont symétriques par rapport au
point O. Donc, les points A, O et A’ sont alignés. Donc, le
point A’ appartient à la droite (OA).
4) b) L’abscisse du point O est 0.
c) L’abscisse du point A est 2. Comme les points A et A’
sont distincts, ils ne peuvent pas avoir la même abscisse.
Donc, l’abscisse du point A’ n’est pas 2.
L’abscisse du point A’ est – 2.
5) a) OA = 2 cm et OA’ = 2 cm.
b) 1 et – 1 sont des nombres opposés.
3,5 et – 3,5 sont des nombres opposés.
1) 2) 3) a) 4) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3
JE COMPARE DES NOMBRES RELATIFS
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
50
Comparer des nombres relatifs.
—
# Comparaison des nombres relatifs
C ORRIGÉ
1) Le 25e étage est noté 25.
Le 12e étage est noté 12.
Le 1er sous-sol est noté – 1.
Le 5e sous-sol est noté – 5.
Le rez-de-chaussée est noté 0.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) a) L’appartement d’Agnès est plus haut que le bureau
de Paul.
b) 25 ⬎ 12.
25 est le plus éloigné de 0.
3) a) Le centre commercial est plus haut que la station de
métro.
b) – 1 ⬎ – 5.
4
JE REPERE DES POINTS DANS LE PLAN
Objectif
Repérer un point dans le plan.
Prérequis
Graphique cartésien.
Paragraphe
introduit
$ Repérage dans le plan
C ORRIGÉ
■ C OMMENTAI RE S : Le repérage dans le plan est introduit
à partir d’un graphique cartésien que les élèves ont déjà
utilisé en classe de Sixième.
>
1
2
a) Le signe – signifie « avant J.-C. ».
b) Le signe – signifie « en dessous de 0 °C ».
c) Le signe – signifie « en dessous du niveau de la mer ».
d) Le signe – signifie que l’on doit de l’argent à la banque.
3
a) Les points de la figure dont l’abscisse est un
nombre positif sont : O ; D ; A ; H et G.
b) Les points de la figure dont l’abscisse est un nombre
négatif sont : O ; F ; C ; B et E.
4
L’abscisse du point A est 2.
L’abscisse du point B est – 3.
L’abscisse du point C est – 1,5.
L’abscisse du point D est 0,5.
L’abscisse du point E est – 3,5.
L’abscisse du point F est – 1.
L’abscisse du point G est 3.
L’abscisse du point H est 2,5.
L’abscisse du point O est 0.
|
– 5,7
|
2,1
|
–8
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
b) –2 783,75 ⬍ 0,1
d) – 1,7 ⬎ – 1,8
Dijon ; Strasbourg ; Lyon ; Bordeaux ; Perpignan.
– 2,5 ⬍ – 2,3 ⬍ – 2,2 ⬍ – 2,1 ⬍ 2,2 ⬍ 2,4 ⬍ 2,6
A (2 ; 1) ; B (– 1 ; 3) ; C (– 2 ; 2) ; D (– 3,5 ; – 1,5) ;
E (3,5 ; 0) ; F (– 1,5 ; – 1,5) ; G (– 3,5 ; 1) ; H (2 ; – 2,5) ; I (0 ; – 2).
12
1) Les points A et H ont la même abscisse : 2.
2) Les points A et G ont la même ordonnée : 1.
3) a) Non.
b) Oui : le point G.
a) 34 ⬍ 43
c) – 34 ⬎ – 43
b) – 34 ⬍ 43
d) 34 ⬎ – 43
a) 1,2 ⬍ 1,10
c) 10,4 ⬎ – 10,7
e) – 7,51 ⬍ 0
b) – 4,5 ⬍ – 3,4
d) – 8,6 ⬎ – 8,06
f) 4,02 ⬎ 0
a) – 2,06 ⬍ 2,06
c) – 2,6 = – 2,60
e) 0 ⬍ 0,01
b) – 2,06 ⬎ – 2,60
d) – 2,06 ⬎ – 20,6
f) 0 ⬎ – 0,001
a) 8,7 ⬎ 7,8
c) – 2,01 ⬎ – 3,02
e) – 14,1 ⬍ – 14,01
b) – 3,5 ⬍ 3,5
d) – 5,14 ⬍ – 5,13
f) – 10 000 ⬍ 0,0001
a) – 0,001 ⬎ – 0,01
c) – 31,10 = – 31,1
e) – 21,88 ⬎ – 22,888
b) 1,05 ⬍ 1,49
d) 6,47 ⬎ – 3,14
f) – 7,0101 ⬎ – 7,01101
13
17
18
1) Les nombres négatifs sont – 5 ; 0 ; – 9 et – 1.
– 9 ⬍ – 5 ⬍ – 1 ⬍ 0.
2) Les nombres positifs sont 0 ; 3 ; 5 et 2.
0 ⬍ 2 ⬍ 3 ⬍ 5.
3) – 9 ⬍ – 5 ⬍ – 1 ⬍ 0 ⬍ 2 ⬍ 3 ⬍ 5.
a) Le plus grand nombre est 3.
b) Le plus petit nombre est – 3,5.
c) Le plus grand nombre positif est 3.
d) Le plus grand nombre négatif est – 1.
e) Le plus petit nombre positif est 0,5.
f) Le plus petit nombre négatif est – 3,5.
7,8
9
10
11
16
6
|
8
15
1) Les points B et G ont des abscisses opposées.
a) L’opposé de l’abscisse du point A est – 2.
L’opposé de l’abscisse du point E est 3,5.
L’opposé de l’abscisse du point C est 1,5.
a) Le point qui a pour abscisse l’opposé de 3 est B.
Le point qui a pour abscisse l’opposé de – 2,5 est H.
–2
a) 4,7 ⬎ 4,68
c) – 2 ⬎ – 3
14
5
7
1) a) Le point A indique que, à 1 km d’altitude, la température est 8 °C.
b) L’abscisse du point A est 1.
L’ordonnée du point A est 8.
2) a) Le point B indique que, à 4 km d’altitude, la température est – 13 °C.
b) B (4 ; – 13).
3) C (– 3 ; 2) ; D (– 4 ; 0) ; E (0 ; 15) ; F (3 ; – 6).
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
a) Les nombres positifs sont 6,4 ; 0 ; 15 et 2,7.
b) Les nombres négatifs sont – 3 ; – 2,5 ; 0 et – 1,4.
c) Les nombres relatifs sont – 3 ; – 2,5 ; 6,4 ; 0 ; – 1,4 ; 15
et 2,7.
d) Les entiers négatifs sont – 3 et 0.
e) Les entiers relatifs sont – 3 ; 0 et 15.
2)
b)
c)
3)
b)
c) De deux nombres négatifs, le plus grand est celui qui
est le plus près de 0.
4) a) Le bureau de Paul est plus haut que le centre commercial.
b) 12 ⬎ – 1.
c) Un nombre positif est plus grand qu’un nombre négatif.
|
0
|
0,1
19
20
– 12 ⬍ – 9 ⬍ – 8 ⬍ – 7 ⬍ – 2 ⬍ 4 ⬍ 5
4,2 ⬎ 4,1 ⬎ 3,7 ⬎ – 1,2 ⬎ – 2,4 ⬎ – 3,7 ⬎ – 5,2
Chap. 5 - Les nombres relatifs : définition et comparaison 51
21
22
L’abscisse du point E est – 0,6.
L’abscisse du point F est 0,2.
4,2 ⬎ 4,12 ⬎ 4,02 ⬎ 0 ⬎ – 4,02 ⬎ – 4,2 ⬎ – 4,21
1) – 1,11 ⬍ – 1,1 ⬍ – 1,01 ⬍ 0 ⬍ 1,03 ⬍ 1,111
2) – 1,111 ⬍ – 1,03 ⬍ – 1,02 ⬍ 1,01 ⬍ 1,11 ⬍ 1,13
3) – 1,111 ⬍ – 1,11 ⬍ – 1,1 ⬍ – 1,03 ⬍ – 1,02 ⬍ – 1,01 ⬍ 0
⬍ 1,01 ⬍ 1,03 ⬍ 1,11 ⬍ 1,111 ⬍ 1,13
23
1) A (– 2 ; 3).
2) B (2 ; 1) ; C (– 2 ; – 2) ; D (4 ; – 3) ; E (0 ; 3) ; F (– 1 ; 0) ;
G (1,5 ; 2) ; H (– 3 ; – 3,5) ; I (– 2,5 ; 1,5) ; J (2,5 ; – 0,5) ;
K (3,5 ; 0) ; L (0,5 ; – 0,5).
24
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
25
A (0,5 ; 2) ; B (0,75 ; – 1) ; C (– 0,75 ; 2,5) ;
D (– 1,75 ; –3) ; E (1,75 ; 0) ; F (– 0,75 ; – 1,5) ; G (– 1,75 ; 2).
26
et
28
a) À 6 h, la température était de – 3 °C. À midi,
il faisait + 10 °C.
b) L’empereur Auguste est né en – 63 et est mort en 14.
c) Le Kilimandjaro s’élève à + 3 962 m tandis que la Mer
Caspienne se trouve à – 28 m.
29
1) Les nombres positifs sont + 29,24 et + 25. Les
nombres négatifs sont – 9,90 ; – 15 et – 29,85.
2) Le signe – d’un nombre marqué en bleu indique une
dépense.
Le signe + d’un nombre marqué en bleu indique une
recette.
3) Le signe + d’un nombre marqué en vert indique qu’Hector possède de l’argent.
Le signe – d’un nombre marqué en vert indique qu’Hector
a dépensé plus d’argent qu’il n’en avait.
4) Hector n’aura pas assez d’argent pour effectuer tous ses
achats, car, dans ses prévisions, le solde après les achats est
négatif.
– 8 | + 17 | – 5,7 | – 0,01 | + 64,7 | 0 | + 5,99
L’abscisse du point A est 3.
L’abscisse du point B est – 2.
L’abscisse du point C est – 3,5.
L’abscisse du point D est 1,5.
L’abscisse du point E est – 0,5.
L’abscisse du point F est 2,5.
32
L’abscisse du point A est – 2.
L’abscisse du point B est 0,5.
L’abscisse du point C est – 0,25.
L’abscisse du point D est 1,5.
L’abscisse du point E est – 1,75.
L’abscisse du point F est – 0,75.
33
L’abscisse du point A est 0,4.
L’abscisse du point B est 0,6.
L’abscisse du point C est – 0,3.
L’abscisse du point D est – 0,1.
>
52
Je f
fai
ai s l e p o int
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) Les points C et D ont des abscisses opposées car 1,5
et – 1,5 ont la même distance à zéro et n’ont pas le même
signe.
35
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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L’abscisse du point J est 1,25.
36
à
38
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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27
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
30
31
34
39
Fer ; eau ; dibrome ; ammoniac ; dichlore ; dioxy-
gène.
40
1) a) + 130,7 représente une augmentation de
130 700 chômeurs en un an.
b) – 20,3 représente une diminution de 20 300 chômeurs
en un an.
2) Les années pendant lesquelles le chômage a augmenté
en France sont : 2001 ; 2002 ; 2003 ; 2008 ; 2009.
3) 2000 ; 2006 ; 2007 ; 2005 ; 2004 ; 2001 ; 2002 ; 2003 ;
2008 ; 2009.
41
2003 ; 2006 ; 2004 ; 2008 ; 2002 ; 2005 ; 1999 ; 2000 ;
1996 ; 2007 ; 1995 ; 1997 ; 2001 ; 1998.
42
1) 2) 4) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) a) Le triangle ABD semble rectangle en A.
c) C (3 ; 1).
4) b) E (– 3 ; – 2) et F (– 4 ; 0).
43
1) 2) 3) a) 4) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) M (0 ; 1).
4) b) N (– 3 ; 0) et P (0 ; 3).
44
1) 2) 3) a) 4) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) B (3 ; 2).
c) Les points A et B ont la même abscisse et ont des ordonnées opposées.
4) b) D (– 3 ; – 2).
c) Les points A et D ont la même ordonnée et ont des
abscisses opposées.
5) b) Les points A et C ont des abscisses opposées et ont
des ordonnées opposées.
6) Le quadrilatère ABCD semble être un rectangle.
Les exercices 45 à 54 sont corrigés à la page 287 du manuel élève.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
55
1) La dernière colonne du tableau correspond à la
différence entre le nombre de buts marqués et le nombre
de buts encaissés.
2) Metz ; Le Havre ; Issy-les-Moulineaux ; Dijon ; Nîmes ;
Besançon.
3) Metz ; Le Havre ; Dijon ; Issy-les-Moulineaux ; Besançon ; Nîmes ; Mios-Biganos ; Fleury-les-Aubrais ; Angoulême ; Bègles ; Mérignac ; Vesoul.
56
1) a) + 3 est l’abscisse du point A. La distance OA
est égale à 3. Donc, la distance à zéro de + 3 est 3.
b) – 2 est l’abscisse du point B. La distance OB est égale
à 2. Donc, la distance à zéro de – 2 est 2.
2) a) L’abscisse du point C est + 1,5. Sa distance à zéro
est 1,5.
b) L’abscisse du point D est – 1,5. Sa distance à zéro
est 1,5.
c) Les points C et D sont symétriques par rapport au
point O. Les abscisses des points C et D sont opposées.
57
b)
c)
d)
e)
2)
b)
c)
d)
e)
1) a) La distance à zéro de – 2 est 2.
La distance à zéro de + 3,5 est 3,5.
La distance à zéro de – 0,5 est 0,5.
La distance à zéro de 2,5 est 2,5.
La distance à zéro de 0 est 0.
a) 4 et – 4 ont pour distance à zéro 4.
6,5 et – 6,5 ont pour distance à zéro 6,5.
0 a pour distance à zéro 0.
1,27 et – 1,27 ont pour distance à zéro 1,27.
Aucun nombre n’a pour distance à zéro – 3.
1) 0 ⬍ a ⬍ 1 ;
–1 ⬍ b ⬍ 0;
– 2 ⬍ c ⬍ – 1.
2) 0,1 ⬍ a ⬍ 0,2 ;
– 0,5 ⬍ b ⬍ – 0,4 ;
– 1,2 ⬍ c ⬍ – 1,1.
58
b) – 6 ⬍ – 5,3 ⬍ – 5 ;
d) – 1 ⬍ – 0,987 ⬍ 0.
a) 4,7 ⬍ 4,73 ⬍ 4,8 ;
c) 0,1 ⬍ 0,14 ⬍ 0,2 ;
b) – 7,3 ⬍– 7,21 ⬍ – 7,2 ;
d) – 10 ⬍ – 9,99 ⬍ – 9,9.
a) 4,1 ⬍ 5 ⬍ 7,5 ;
c) – 3,7 ⬍ – 3 ⬍ – 2,2 ;
e) – 2,5 ⬍ – 2,45 ⬍ – 2,4 ;
b) – 1 ⬍ 0 ⬍ 2 ;
d) – 4 ⬍ – 3,5 ⬍ – 3 ;
f) – 0,1 ⬍ – 0,05 ⬍ 0.
60
61
a) – 24,2 ⬍ – 24 ⬍ – 23 ⬍ – 22 ⬍ – 21,5 ;
b) – 2,4 ⬍ – 2 ⬍ – 1 ⬍ 0 ⬍ 3,7.
62
63
a) – 4 ; – 3 ; – 2 ;
b) – 3 ; – 2 ; – 1 ; 0 ; 1 ; 2.
64
65
66
68
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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69
– 1,3.
70
a) Faux : l’opposé de – 2 est 2.
b) Vrai : a est un nombre. L’opposé de a est – a. L’opposé
de – a est – (– a), soit a.
c) Faux : L’opposé de – 2 est 2 et – 2 ⬍ 2.
d) Faux : 3 ⬎ 2 et – 3 ⬍ – 2.
71
a) La température est 3 °C en dessous de 0 °C.
b) La fosse des Tonga est située à 10 882 m en dessous du
niveau de la mer.
c) Le titulaire du compte doit 5,78 € à la banque.
d) L’indice a baissé de 2 %.
72
a) 8 ⬍ 8,75 ⬍ 9 ;
c) 99 ⬍ 99,1 ⬍ 100 ;
59
67
1) a) Pour 1 000 habitants en 2006, on a compté
en Irlande 24,6 habitants de plus en 2007.
b) Pour 1 000 habitants en 2006, on a compté en Bulgarie
5,1 habitants de moins en 2007.
c) Un nombre négatif de la deuxième colonne représente
une diminution de population.
Un nombre positif de la deuxième colonne représente une
augmentation de population.
d) Irlande ; Italie ; Danemark ; France ; Finlande ; Pologne ;
Allemagne ; Bulgarie.
3) a) Un nombre négatif de la quatrième colonne représente une température en dessous de 0 °C.
b) Italie ; Irlande ; France ; Danemark ; Allemagne ; Bulgarie ; Pologne ; Finlande.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
1) 2) 3) 4) 5) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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5) b) L’abscisse du point E est – 6 ; l’abscisse du point D
est 2.
6) B ; D et E ; C ; A.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1) L’abscisse du point O est 0.
L’abscisse du point E est 1.
L’abscisse du point I est – 1.
L’abscisse du point H est 0,5.
L’abscisse du point B est – 1,75.
2) L’abscisse du point R peut être – 1,5.
L’abscisse du point C peut être – 0,5.
73
1) a) b)
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2)
b)
c)
3)
4)
a) Le point qui a la plus grande abscisse est E.
Le point qui a la plus petite ordonnée est G.
Les points G et L ont des abscisses opposées.
RIGOLE
GLOIRE
74
1) a) Les pharaons possibles sont Akhenaton et
Toutankhamon.
b) – 1 338 ⬍ – 1 334 ⬍ – 1 327. Néfertiti était l’épouse
d’Akhenaton.
2) Les trois pharaons les plus anciens sont : Kheops,
Khephren et Mykérinos.
Les pyramides de Gizeh portent les noms de ces trois
pharaons.
3) Ramsès II ; Toutankhamon ; Akhenaton ; Mykérinos ;
Khephren ; Kheops.
75
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) a) D (7 ; – 3).
Chap. 5 - Les nombres relatifs : définition et comparaison 53
b) L’abscisse du point I est comprise entre – 1 et 0.
L’ordonnée du point I est comprise entre 1 et 2.
76
b) C (– 2 ; 1) et D (1 ; 0).
3) b) E (3 ; 6) et F (0 ; 7).
1) 2) a) b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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c) D (– 4 ; 2).
3) c) A’ (5 ; – 2) ; B’ (2 ; 1) ; C’ (5 ; 3) et D’ (8 ; 0).
b) Le point C a pour abscisse 1 et le point C’ a pour
abscisse 5.
c) Les points C et C’ ont la même ordonnée.
79
1) + 7,5 : l’épaisseur du glacier a augmenté de
7,5 m.
– 10 : l’épaisseur du glacier a diminué de 10 m.
2) Le plus petit nombre du tableau est – 20. Donc, le
glacier a le plus diminué pendant la décennie 1940-1950.
3) 1940-1950 ; 1990-2000 ; 1930-1940 ; 1980-1990 ; 19201930 ; 1950-1960 ; 1970-1980 ; 1960-1970 ; 1910-1920.
80
54
1) 2) a)
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1) 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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77
78
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Chapitre
6
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES :
●
●
CAPACITÉS
*Calculer la somme ou la différence de deux nombres
relatifs.
● Calculer, sur des exemples numériques, une expression dans laquelle interviennent uniquement les
signes +, – et éventuellement des parenthèses.
● Sur des exemples numériques, écrire en utilisant
correctement des parenthèses, un programme de calcul
portant sur des sommes ou des différences de nombres
relatifs.
Activités graphiques
Repérage sur une droite graduée
●
CAPACITÉS
Sur une droite graduée :
– déterminer la distance de deux points d’abscisses
données.
> CONNAISSANCES :
●
●
●
Nombres relatifs entiers et décimaux : sens et calculs
*Addition et soustraction de nombres relatifs
[Thèmes de convergence]
■ Commentaires
Les règles de suppression de parenthèses à l’intérieur d’une
somme algébrique sont étudiées en classe de Quatrième.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Choisir l’opération qui convient au traitement de la
situation étudiée.
– Mener à bien un calcul instrumenté (calculatrice,
tableur).
– Conduire un calcul littéral simple.
– Évaluer mentalement un ordre de grandeur du résultat
avant de se lancer dans un calcul.
– Contrôler un résultat à l’aide d’une calculatrice ou d’un
tableur.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES :
●
●
Opérations
Addition, soustraction, multiplication et division
■ Commentaires
Pour les problèmes à étapes, la solution peut être donnée
à l’aide d’une suite de calculs, *ou à l’aide de calculs avec
parenthèses.
CAPACITÉS
Connaître les tables d’addition et les résultats qui en
dérivent.
> CONNAISSANCES :
●
●
■ Commentaires
La maîtrise des tables est consolidée par une pratique régulière du calcul mental sur des entiers et des décimaux
simples.
> CONNAISSANCES :
●
●
Opérations
Sens des opérations
CAPACITÉS
Choisir les opérations qui conviennent au traitement
de la situation étudiée.
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Opérations
Techniques élémentaires de calcul
CAPACITÉS :
● Savoir effectuer ces opérations sous les diverses
formes de calcul : mental, à la main ou instrumenté.
● Connaître la signification du vocabulaire associé :
somme, différence, terme.
■ Commentaires
La capacité à calculer mentalement est une priorité et fait
l’objet d’activités régulières.
La maîtrise des différents moyens de calcul doit devenir
suffisante pour ne pas faire obstacle à la résolution de problèmes.
Chap. 6 - Les nombres relatifs : addition et soustraction 55
Concernant le calcul posé, les nombres doivent rester de
taille raisonnable et aucune virtuosité technique n’est
recherchée.
●
Établir un ordre de grandeur d’une somme, *d’une
différence.
■ Commentaires
> CONNAISSANCES :
●
CAPACITÉS
Opérations
Ordre de grandeur
L’objectif est de sensibiliser les élèves à utiliser les ordres de
grandeur pour contrôler ou anticiper un résultat.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
Calcul numérique
● Opérations (+, –, ×, :) sur les nombres relatifs en écriture
décimale
●
> CONNAISSANCES :
●
●
Calcul numérique
Division de deux nombres relatifs en écriture fractionnaire
CAPACITÉS
CAPACITÉS
●
Calculer le produit de nombres relatifs simples.
● Déterminer une valeur approchée du quotient de
deux nombres décimaux (positifs ou négatifs).
●
■ Commentaires
Les élèves ont une pratique de la multiplication des
nombres positifs en écriture décimale ou fractionnaire. Les
calculs relevant de ces opérations sont étendus au cas
des nombres relatifs.
> CONNAISSANCES :
Calcul numérique
● *Opérations (+, – , ×) sur les nombres relatifs en écriture
fractionnaire (non nécessairement simplifiée).
●
■ Commentaires
*Un travail est mené sur la notion d’inverse d’un nombre non
1
nul ; les notations et x –1 sont utilisées, ainsi que les touches
●
x
correspondantes de la calculatrice.
> CONNAISSANCES :
●
●
●
Calcul numérique
Enchaînement d’opérations
CAPACITÉS
Sur des exemples numériques, écrire en utilisant correctement des parenthèses, des programmes de calcul
portant sur des sommes ou des produits de nombres
relatifs.
● Organiser et effectuer à la main ou à la calculatrice
les séquences de calcul correspondantes.
●
CAPACITÉS
● *Multiplier, additionner et soustraire des nombres
relatifs en écriture fractionnaire.
■ Commentaires
*L’addition de deux nombres relatifs en écriture fractionnaire
demande un travail sur la recherche de multiples communs à
deux ou plusieurs nombres entiers dans des cas où un calcul
mental est possible.
Savoir additionner et soustraire des entiers relatifs et multiplier deux nombres positifs écrits sous forme décimale
ou fractionnaire deviennent des capacités exigibles dans
le cadre du socle commun.
Diviser des nombres relatifs en écriture fractionnaire.
a
1
Connaître et utiliser l’égalité : = a ¥
b
b
■ Commentaires
À la suite du travail entrepris en classe de Cinquième les
élèves sont familiarisés à l’usage des priorités ainsi qu’à la
gestion d’un programme de calcul utilisant des parenthèses. En
particulier, la suppression des parenthèses dans une somme
algébrique est étudiée.
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Les nombres relatifs ont été introduits dans le chapitre 5.
➜ L’addition et la soustraction des nombres relatifs
en écriture décimale sont étudiées en classe de Cinquième. Cette partie du programme sera un prérequis
pour toutes les compétences de calcul ultérieures. Il
est donc nécessaire de poser régulièrement des calculs
de ce type.
56
➜ La multiplication et la division des nombres relatifs en écriture décimale sont étudiées en classe de
Quatrième.
Les quatre opérations sont alors étendues aux
nombres relatifs en écriture fractionnaire.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C O MMENTAI RE S :
C ORRIGÉ
Cette activité permet une première approche de l’addition
de deux nombres relatifs à partir d’un exemple concret.
1) 2,5 – 1,2 = 1,3
Entre le 9 et le 12 janvier, le niveau du Rhône est descendu
de 1,3 m.
2) (– 2,5) + (+ 1,2) = – 1,3
1
JE CALCULE LA SOMME DE DEUX NOMBRES RELATIFS
Objectif
Introduire la somme de deux relatifs.
Prérequis
Nombres relatifs.
Paragraphe
introduit
! Somme de deux nombres relatifs
■ C O MMENTAI RE S :
L’objectif est de conjecturer à partir d’une situation
concrète les règles d’addition de deux nombres relatifs.
CO RRI G É
1) a) + 20 peut représenter l’expression « hausse de 20 ».
– 40 peut représenter l’expression « baisse de 40 ».
2
Matin Aprèsmidi
Lundi
Mardi
Mercredi
Jeudi
Vendredi
+ 20
– 40
+ 17
+ 34
– 25
+ 30
– 15
– 17
– 21
+ 13
Bilan
de la
journée
Égalité
+ 50
– 55
0
+ 13
– 12
(+ 20) + (+ 30) = + 50
(– 40) + (– 15) = – 55
(+ 17) + (– 17) = 0
(+ 34) + (– 21) = + 13
(– 25) + (+ 13) = – 12
2) a) Le lundi soir, le niveau d’eau est monté de 50 cm.
On peut écrire + 50 dans la colonne Bilan de la journée.
4) a) Pour additionner deux nombres relatifs de même
signe :
– on garde le signe commun ;
– on ajoute les distances à zéro.
b) Pour additionner deux nombres relatifs qui n’ont pas
le même signe :
– on garde le signe du nombre qui a la plus grande distance à zéro ;
– on soustrait les distances à zéro.
JE CALCULE LA DIFFÉRENCE DE DEUX NOMBRES RELATIFS
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Introduire la soustraction
de deux nombres relatifs.
Addition de deux nombres relatifs.
@ Différence de deux nombres relatifs
■ C O MMENTAI RE S :
L’objectif est de conjecturer à partir d’une situation
concrète la règle de soustraction de deux nombres relatifs.
CO RRI G É
1) a) À Bastia, entre 6 h et 20 h, la température a augmenté de 7 °C.
b) (+ 11) – (+ 4) = + 7
c) (+ 11) + (– 4) = + 7
On obtient le même résultat qu’à la question b).
2) a) À Lamballe, entre 6 h et 20 h, la température a
diminué de 4 °C.
3
b)
b) (– 3) – (+ 1) = – 4
c) (– 3) + (– 1) = – 4
On obtient le même résultat qu’à la question b).
3)
Villes
Évolution de Différence
température
Bastia
+7
(+ 1) – (+ 4)
= +7
Lamballe
–4
(– 3) – (+ 1)
= –4
Toulon
+5
(+ 4) – (– 1)
=+5
Strasbourg
–6
(– 12) – (– 6)
= –6
Somme
(+ 11) + (– 4)
=+7
(– 3) + (– 1)
= –4
(+ 4) + (+ 1)
= +5
(– 12) + (+ 6)
= –6
4) « Soustraire un nombre relatif revient à ajouter son
opposé. »
JE CALCULE UNE DISTANCE SUR UNE DROITE GRADUÉE
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Calculer une distance
sur une droite graduée.
Addition et soustraction
de nombres relatifs.
● Repérage sur une droite graduée.
●
@ Différence de deux nombres relatifs
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
C ORRIGÉ
1) a) AB = 2
b) 2 – 4 = – 2
c) 4 – 2 = 2
d) AB est égale à la différence entre l’abscisse du point B
et l’abscisse du point A.
2) a) AD = 3.
Chap. 6 - Les nombres relatifs : addition et soustraction 57
b) 2 – (– 1) = 2 + 1 = 3
c) – 1 – 2 = – 3
d) AD est égale à la différence entre l’abscisse du point A
et l’abscisse du point D.
4
JE CALCULE UNE EXPRESSION ALGÉBRIQUE
Objectif
Calculer une expression algébrique.
Prérequis
Addition et soustraction
de deux nombres relatifs.
Paragraphe
introduit
# Expression algébrique
a) Calcul d’une expression algébrique
■ COM MENTAI RES :
L’activité propose de calculer une même expression algébrique de deux façons.
CORRIG É
1) a) Chacun des calculs écrits entre crochets correspond
au bilan du mois.
5
Simplifier une expression algébrique.
Prérequis
Addition et soustraction
de deux nombres relatifs.
Paragraphe
introduit
# Expression algébrique
b) Simplification d’une expression
algébrique
>
1
b) (– 8) + (– 6) = – 14
d) (– 4) + (+ 9) = + 5
f) (– 4) + (– 4) = – 8
2
b) (+ 7) + (+ 8) = + 15
d) (– 2) + (– 8) = – 10
f) (+ 9) + (– 9) = 0
a) (– 4) + (+ 1) = – 3
c) (– 1) + (+ 7) = + 6
e) (+ 6) + (– 9) = – 3
3
a) (+ 1,2) + (+ 2,8) = + 4 b) (– 1,2) + (– 2,8) = – 4
c) (– 1,2) + (+ 2,8) = + 1,6
d) (+ 1,2) + (– 2,8) = – 1,6
e) (– 2,8) + 0 = – 2,8
f) 0 + (– 1,2) = – 1,2
4
a) (– 58) + (– 15) = – 73
c) (+ 83) + (– 35) = + 48
e) (– 72) + (– 27) = – 99
b) (– 94) + (+ 17) = – 77
d) (+ 67) + (+ 43) = + 110
f) (– 39) + (+ 88) = + 49
5
a) (+ 6) + (+ 4) = + 10
b) Pas possible : la somme de deux négatifs est un négatif.
c) (+ 11) + (– 1) = + 10.
a) Pas possible : la somme de deux positifs est un
positif.
b) (– 4) + (– 3) = – 7
c) (– 9) + (+ 2) = – 7
Dole : 0 ; Lons-le-Saunier : – 1 ; Saint-Amour : + 1 ;
Morbier : – 1.
58
C ORRIGÉ
1) I = (+ 4) – (– 8) + (+ 7) – (+ 3) + (– 2) = 4 – (– 8) + 7 – 3 + (– 2)
2) a) Pour soustraire, on ajoute l’opposé.
Donc, 3 – (+ 5) = 3 + (– 5). On en déduit : 3 + (– 5) = 3 – (+ 5).
3 + (– 5) = 3 – (+ 5) = 3 – 5
b) 6 – (– 9) = 6 + (+ 9) = 6 + 9
c) E = 3 + (– 5) + 6 – (– 9) – 4 = 3 – 5 + 6 + 9 – 4
d) I = 4 – (– 8) + 7 – 3 + (– 2) = 4 + 8 + 7 – 3 – 2
E x erc
er c ic
ice
es
a) (+ 5) + (+ 3) = + 8
c) (– 7) + (+ 3) = – 4
e) (– 6) + (+ 6) = 0
7
On peut modifier l’ordre des termes d’une somme, puis les
regrouper sans que cela change le résultat.
b) A = [(+ 16) + (– 7)] + [(+ 9) + (– 11)] + [(+ 14) + (– 19)]
A = (+ 9) + (– 2) + (– 5)
A = (+ 9) + (– 7)
A = +2
2) a) Le premier crochet correspond à la somme des
recettes, le deuxième crochet correspond à la somme des
dépenses.
On peut modifier l’ordre des termes d’une somme, puis les
regrouper sans que cela change le résultat.
b) A = [(+ 16) + (+ 9) + (+ 14)] + [(– 7) + (– 11) + (– 19)]
A = (+ 39) + (– 37)
A = +2
JE SIMPLIFIE L’ÉCRITURE D’UNE EXPRESSION ALGÉBRIQUE
Objectif
6
3) a) CD est égale à la différence entre l’abscisse du point
D et l’abscisse du point C.
b) CD = – 1 – (– 4,5) = – 1 + 4,5 = 3,5
8
1) Soustraire un nombre relatif revient à ajouter
son opposé.
2) a) (+ 5) – (+ 3) = (+ 5) + (– 3) = + 2
b) (– 8) – (– 6) = (– 8) + (+ 6) = – 2
c) (– 7) – (+ 3) = (– 7) + (– 3) = – 10
d) (– 4) – (+ 9) = (– 4) + (– 9) = – 13
e) (– 6) – (+ 6) = (– 6) + (– 6) = – 12
f) (– 4) – (– 4) = (– 4 ) + (+ 4) = 0.
9
a) (– 4) – (+ 1) = (– 4) + (– 1) = – 5
b) (+ 7) – (+ 8) = (+ 7) + (– 8) = – 1
c) (– 1) – (+ 7) = (– 1) + (– 7) = – 8
d) (– 2) – (– 8) = (– 2) + (+ 8) = + 6
e) (+ 6) – (– 9) = (+ 6) + (+ 9) = + 15
f) (+ 9) – (– 9) = (+ 9) + (+ 9) = + 18
10
a) AD = 3 – 1 = 2
b) AB = 3 – (– 4) = 3 + 4 = 7
c) CD = 1 – (– 1,5) = 1 + 1,5 = 2,5
d) BC = – 1,5 – (– 4) = – 1,5 + 4 = 2,5
11
a) (– 214) + (– 1,5) + (+ 214) + (– 2,5) = – 4
b) (+ 2,75) + (– 2,3) + (– 0,75) + (+ 1,3) = + 1
c) (–10,5) + (– 3,5) + (– 3,5) + (+ 10,5) = – 7
d) (+ 78) + (– 22) + (– 38) + (+ 22) + (+ 30) = + 70
12
a) – 3 + 5 = 2
c) 10 – 15 = – 5
e) 9 – 24 = – 15
b) – 2 – 6 = – 8
d) – 12 – 15 = – 27
f) – 24 + 36 = 12
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13
b) – 8 + 9 – 5 + 8 = 4
d) 1 – 2 + 3 – 4 + 5 – 6 = – 3
14
b) (+ 2) + (– 10) = – 8
d) (– 2) + (– 6) = – 8
15
b) (+ 2) – (+ 10) = – 8
d) (– 2) – (+ 6) = – 8
16
b) (– 2) + (– 7) = – 9
d) (+ 8) + (– 5) = + 3
f) (+ 7) + (– 7) = 0
a) – 7 + 3 – 4 = – 8
c) 12 – 5 + 7 – 9 + 3 = 8
a) (+ 2) + (+ 6) = + 8
c) (– 2) + (+ 10) = + 8
a) (+ 2) – (– 6) = + 8
c) (– 2) – (– 10) = + 8
a) (+ 2) + (+ 7) = + 9
c) (– 9) + (+ 6) = – 3
e) (– 3) + 0 = – 3
17
a) (– 12) + (+ 7) = – 5
c) (+ 12) + (+ 7) = + 19
e) (– 12) + (+ 12) = 0
b) (+ 12) + (– 7) = + 5
d) (– 12) + (– 7) = – 19
f) (– 7) + (– 7) = – 14
18
a) (– 2,4) + (– 3,5) = – 5,9
b) (+ 4,7) + (– 5,9) = – 1,2
c) (– 8,3) + (+ 8,3) = 0
d) (+ 2,7) + (– 6,8) = – 4,1
e) (+ 2,6) + (– 0,4) = 2,2
f) 0 + (– 5,7) = – 5,7
19
a) (+ 5,7) + (+ 8,4) = + 14,1
b) (– 4,8) + (+ 5,2) = + 0,4
c) (– 2,7) + (– 7,5) = – 10,2
d) (+ 7,8) + (– 9,7) = – 1,9
e) (– 7,8) + (+ 8,7) = + 0,9
f) (+ 0,7) + (– 9,6) = – 8,9
20
a)
–7
+7
– 14
+9
–2
+4
+5
b)
–5
2,7
3,3
1,4
– 2,3
– 1,2 + 2,6 – 0,8 – 1,5
21
a) (+ 4) – (+ 6) = (+ 4) + (– 6) = – 2
b) (+ 5) – (– 1) = (+ 5) + (+ 1) = + 6
c) (– 7) – (– 2) = (– 7) + (+ 2) = – 5
d) (– 1) – (+ 7) = (– 1) + (– 7) = – 8
e) (– 4) – (– 4) = (– 4) + (+ 4) = 0
f) (+ 6) – (– 6) = (+ 6) + (+ 6) = + 12
22
b)
c)
d)
e)
26
a) (– 25) + (+ 25) = 0
b) (– 25) – (+ 25) = (– 25) + (– 25) = – 50
c) (– 25) + (– 25) = – 50
d) (– 25) – (– 25) = (– 25) + (+ 25) = 0
27
a) (– 2,75) + (– 3,15) = – 5,9
b) (– 2,75) – (– 3,15) = (– 2,75) + (+ 3,15) = + 0,4
c) (+ 2,75) – (– 3,15) = (+ 2,75) + (+ 3,15) = + 5,9
d) (+ 2,75) + (– 3,15) = – 0,4
28
A = (+ 12) + (– 5) – (+ 4) = (+ 12) + (– 5) + (– 4)
= (+ 12) + (– 9) = + 3
B = (– 7) + (+ 6) – (– 9) = (– 7) + (+ 6) + (+ 9)
= (+ 15) + (– 7) = + 8
C = (+ 5) – (+ 8) – (– 2) = (+ 5) + (– 8) + (+ 2) = (+ 7) + (– 8) = – 1
29
A = (+ 8) + (– 4) – (+ 5) – (– 7)
= (+ 8) + (– 4) + (– 5) + (+ 7) = (+ 15) + (– 9) = + 6
B = (– 14) – (– 23) + (+ 9) – (+ 21)
= (– 14) + (+ 23) + (+ 9) + (– 21) = (+ 32) + (– 35) = – 3
C = (– 8) – (+ 7) – (– 18) – (+ 3)
= (– 8) + (– 7) + (+ 18) + (– 3) = (+ 18) + (– 18) = 0
A = (– 1,7) + (+ 3,5) – (– 2,3)
= (– 1,7) + (+ 3,5) + (+ 2,3) = (+ 5,8) + (– 1,7) = + 4,1
B = (– 7,8) – (– 11,4) – (+ 4,5) = (– 7,8) + (+ 11,4) + (– 4,5)
= (+ 11,4) + (– 12,3) = – 0,9
C = (+ 5,6) + (– 8,4) – (+ 3,8) – (– 4,2)
= (+ 5,6) + (– 8,4) + (– 3,8) + (+ 4,2) = (+ 9,8) + (– 12,2) = – 2,4
31
– 0,5
1,8
25
a) (– 24) + (+ 18) = – 6
b) (+ 18) + (– 24) = – 6
c) (– 24) – (+ 18) = (– 24) + (– 18) = – 42
d) (+ 18) – (+ 24) = (+ 18) + (– 24) = – 6
30
– 12
–7
e) (– 8,9) – (+ 8,9) = (– 8,9) + (– 8,9) = – 17,8
f) (+ 3,7) – (– 6,8) = (+ 3,7) + (+ 6,8) = + 10,5
a) (– 15) – (+ 9) = (– 15) + (– 9) = – 24
(+ 15) – (– 9) = (+ 15) + (+ 9) = + 24
(+ 15) – (+ 9) = (+ 15) + (– 9) = + 6
(– 15) – (– 9) = (– 15) + (+ 9) = – 6
(– 15) – 0 = – 15
f) 0 – (– 9) = 0 + (+ 9) = + 9
23
a) (– 22) – (– 35) = (– 22) + (+ 35) = + 13
b) (+ 28) – (– 29) = (+ 28) + (+ 29) = + 57
c) (– 65) – (+ 65) = (– 65) + (– 65) = – 130
d) (+ 47) – (– 53) = (+ 47) + (+ 53) = + 100
e) (– 82) – (– 73) = (– 82) + (+ 73) = – 9
f) (+ 58) – (+ 58) = (+ 58) + (– 58) = 0
24
a) (+ 4,8) – (+ 6,7) = (+ 4,8) + (– 6,7) = – 1,9
b) (– 8,3) – (+ 2,7) = (– 8,3) + (– 2,7) = – 11
c) (– 6,4) – (– 9,1) = (– 6,4) + (+ 9,1) = + 2,7
d) (+ 1,9) – (– 14,8) = (+ 1,9) + (+ 14,8) = + 16,7
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
A = (+ 2,2) – (+ 3,3) + (– 4,4) – (– 5,5)
= (+ 2,2) + (– 3,3) + (– 4,4) + (+ 5,5)
= (+7,7) + (– 7,7) = 0
B = (– 3,25) + (– 2,75) – (– 4,25) + (– 2,5)
= (– 3,25) + (– 2,75) + (+ 4,25) + (– 2,5)
= (+ 4,25) + (– 8,5) = – 4,25
C = (– 10,4) – (+ 9,3) – (– 27) – (+ 6,1)
= (– 10,4) + (– 9,3) + (+ 27) + (– 6,1)
= (+ 27) + (– 25,8) = + 1,2
32
A = (– 8) + (+ 6) + (+ 8) + (– 7) + (– 2)
= (+ 6) + (– 7) + (– 2) = (+ 6) + (– 9) = – 3
B = (+ 4) – (+ 5) + (– 6) + (+ 5) – (– 8)
= (+ 4) + (– 5) + (– 6) + (+ 5) + (+ 8) = (+ 12) + (– 6) = + 6
C = (– 7) + (– 1,5) – (+ 7) + (+ 1,5) + (– 6)
= (– 7) + (– 1,5) + (– 7) + (+ 1,5) + (– 6) = – 20
D = (– 1,25) + (– 2,75) – (– 1,25) – (+ 0,25)
= (– 1,25) + (– 2,75) + (+ 1,25) + (– 0,25) = – 3
33
A=2–3+4=6–3=3
B=3+5–9=8–9=–1
C = –1 – 3 + 5 = 5 – 4 = 1
D = – 5 – 7 – 2 = – 14
34
A = – 5 + 7 – 13 + 9 = 16 – 18 = – 2
B = 3 – 6 + 9 – 7 = 12 – 13 = – 1
C = 11 – 12 – 14 + 17 = 28 – 26 = 2
D = – 12 + 21 – 12 – 12 = 21 – 36 = – 15
35
A = – 4 + 7 – 3 + 4 – 8 = 11 – 15 = – 4
B = 2 – 7 + 12 – 25 + 38 – 45 = 52 – 77 = – 25
Chap. 6 - Les nombres relatifs : addition et soustraction 59
C = – 13 + 24 – 17 – 19 + 21 – 3 = 45 – 52 = – 7
D = 150 + 210 – 140 + 240 – 210 = 390 – 140 = 250
45
a) x – 4 = 5 – 4 = 1 et y – x = 6 – 5 = 1
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = 5 et y = 6.
b) x – 4 = – 3 – 4 = – 7 et y – x = 6 – (– 3) = 6 + 3 = 9
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = – 3 et
y = 6.
c) x – 4 = – 1,5 – 4 = – 5,5 et y – x = – 7 – (– 1,5) = – 7 + 1,5 = – 5,5
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = – 1,5 et y = – 7.
36
A = – 1,7 + 2,3 – 3,4 + 0,5 = 2,8 – 5,1 = – 2,3
B = 6,7 – 8,4 – 4,7 + 2,3 = 9 – 13,1 = – 4,1
C = – 4,5 + 8,6 + 4,1 – 7,3 = 12,7 – 11,8 = 0,9
D = 1,8 – 5,2 + 4,3 – 5,4 = 6,1 – 10,6 = – 4,5
37
1) E = 150 + 50 – 75 + 60 – 80
2) E = 150 + 50 – 75 + 60 – 80 = 260 – 155 = 105.
L’altitude de l’arrivée est 105 m.
46
1)
Températures
(en °C)
Ville
38
en janvier en juillet
Évolution de
température
a
b
c
a+b
b+c
c+a
Auckland
(Nouvelle-Zélande)
+4
–3
–2
+1
–5
+2
Budapest (Hongrie)
–1
21
+ 22
–7
–6
+5
– 13
–1
–2
– 2,7
0
+ 5,1
– 2,7
+ 5,1
+ 2,4
Le Cap
(Afrique du Sud)
26
17
–9
– 11
+ 14
– 16
+3
–2
– 27
Montréal (Canada)
– 10
21
+ 31
Quito (Équateur)
14
14
0
Tokyo (Japon)
4
25
+21
Ushuaia
(Argentine)
14
4
–10
39
a) (+ 3) + (+ 4) = + 7
c) (+ 5) + (– 5) = 0
e) (– 3) + (+ 10) = + 7
g) (+ 5) + (– 7) = – 2
b) (– 1) + (– 2) = – 3
d) (– 7) + (+ 4) = – 3
f) (– 1) + (+ 4) = + 3
h) (+ 4) + (– 5) = – 1
20
11
–9
40
2) a) Les villes dont l’évolution de température est positive sont : Budapest, Montréal, Quito, Tokyo.
À part Quito, elles sont situées dans l’hémisphère nord.
b) Les villes dont l’évolution de température est négative
sont Auckland ; Le Cap ; Quito ; Ushuaia.
Elles sont situées dans l’hémisphère sud.
c) L’évolution de température pour Quito est nulle : cette
ville est située très près de l’équateur.
41
1) L’abscisse du point A est – 1,5.
L’abscisse du point B est 0,5.
L’abscisse du point C est – 0,75.
L’abscisse du point D est 1,25.
2) BD = 1,25 – 0,5 = 0,75
BC = 0,5 – (– 0,75) = 0,5 + 0,75 = 1,25
AC = – 0,75 – (– 1,5) = – 0,75 + 1,5 = 0,75
a) x + (+ 5) = – 4 + (+ 5) = + 1. Donc, l’égalité de
l’énoncé est vraie pour x = – 4.
b) (+ 2) + x = (+ 2) + (– 4) = – 2 ⫽ + 6. Donc, l’égalité de
l’énoncé n’est pas vraie pour x = – 4.
c) (–1) + x = (– 1) + (– 4) = – 5 ⫽ – 3. Donc, l’égalité de
l’énoncé n’est pas vraie pour x = – 4.
d) x + (+ 3) = (– 4) + (+ 3) = – 1. Donc, l’égalité de l’énoncé
est vraie pour x = – 4.
a) x + (+ 1) = (+ 3) + (+ 1) = + 4 et y + (+ 3)
= (– 2) + (+ 3) = + 1.
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = + 3 et
y = – 2.
b) (– 5) + x = (– 5) + (+ 3) = – 2 et y = – 2.
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = + 3 et y = – 2.
c) x + (– 3) = (+ 3) + (– 3) = 0 et (+ 2) + y = (+ 2) + (– 2) = 0.
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = + 3 et y = – 2.
d) (+ 2) + (– x) = (+ 2) + (– 3) = – 1
et y + (+ 1) = (– 2) + (+ 1) = – 1.
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = + 3 et y = – 2.
42
a
b
c
a–b
b–c
c–a
–3
–2
+7
–1
–6
–7
–6
+5
–1
– 11
+ 12
– 2,7
0
+ 5,1
– 2,7
– 5,1
+ 7,8
– 11
+ 14
– 16
– 25
+ 30
–5
a) (+ 7) – (+ 4) = + 3
c) (+ 5) – (0) = + 5
e) (– 6) – (– 15) = + 9
g) (+ 5) – (+ 10) = – 5
44
b) (+ 3) – (+ 10) = – 7
d) (– 4) – (+ 1) = – 5
f) (+ 4) – (– 4) = + 8
h) (– 4) – (– 3) = – 1
a) x – (– 4) = (– 3) – (– 4) = (– 3) + (+ 4) = + 1
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = – 3.
b) (+ 1) – x = (+ 1) – (– 3) = (+ 1) + (+ 3) = – 4 ⫽ – 2
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = – 3.
c) (–1) – x = (– 1) – (– 3) = (– 1) + (+ 3) = + 2
Donc, l’égalité de l’énoncé est vraie pour x = – 3.
d) x – (+ 3) = (– 3) – (+ 3) = (– 3) + (– 3) = – 6 ⫽ 0
Donc, l’égalité de l’énoncé n’est pas vraie pour x = – 3.
60
48
1) AB = – 322 – (– 384) = – 322 + 384 = 62
EF = – 192 – (– 284) = – 192 + 284 = 92
ND = – 348 – (– 428) = – 348 + 428 = 80
2) Ératosthène a vécu le plus longtemps.
49
+4
43
47
A = (+ 1) + (– 2) + (+ 3) + (– 4) = (+ 4) + (–6) = – 2
B = (– 5) + (+ 2) + (+ 6) + (– 7) + (+ 3) = (+ 11) + (– 12) = – 1
C = (– 256) + (+ 164) + (+ 481) + (– 144) = (+ 645) + (– 400)
= + 245
D = (+ 7,5) + (– 1,48) + (+ 2,5) + (– 7,52) = (+ 10) + (– 9) = + 1
50
A = (–10,78) + (2,75) + (– 1,75) + (+ 10,78)
= (2,75) + (– 1,75) + (+ 10,78) + (–10,78) = (+ 1) + 0
= +1
B = (+ 4,7) + (– 3,2) + (– 2,8) + (– 5,7)
= (+ 4,7) + (– 5,7) + (– 3,2) + (– 2,8) = (– 1) + (– 6) = – 7
C = (+ 740) + (– 120) + (– 30) + (– 440)
= (+ 740) + (– 440) + (– 120) + (– 30) = (+ 300) + (– 150) = + 150
D = (– 2,514) + (+ 1,587) + (– 0,487) + (+ 1,414)
= (– 2,514) + (+ 1,414) + (+ 1,587) + (– 0,487)
= (– 1,1) + (+ 1,1) = 0
51
1) E = 44,19 + 60 – 84,28 + 50 – 28,26 – 19,99
2) E = 44,19 + 60 + 50 – 84,28 – 28,26 – 19,99
E = 154,19 – 132,53
E = 21,66
Basile possède 21,66 € le 31 janvier.
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La photocopie non autorisée est un délit.
52
58
A = (– 17) + (+ 12) = – 17 + 12 = – 5
B = (+ 8,5) – (+ 2,7) = 8,5 – 2,7 = 5,8
C = (+ 6,3) – (– 3,7) = 6,3 + 3,7 = 10
D = (– 7) + (– 6) = – 7 – 6 = – 13
A = (+ 4) – (+ 3) – (– 2) + (– 1) = 4 – 3 + 2 – 1
=4+2–3–1=6–4=2
B = (– 2) – (– 7) + (– 6) – (+ 4) = – 2 + 7 – 6 – 4 = 7 – 2 – 6 – 4
= 7 – 12 = – 5
C = (– 25) + (– 8) – (– 25) – (+ 8) + (– 50)
= – 25 – 8 + 25 – 8 – 50 = – 66
53
A = (+ 3) + (– 8) = 3 – 8 = – 5
B = (– 7,1) – (– 4,3) = – 7,1 + 4,3 = – 2,8
C = (+ 102) + (+ 57) = 102 + 57 = 159
D = (– 1,2) – (+ 0,9) = – 1,2 – 0,9 = – 2,1
59
A = 5 – (– 7) + 2 – 9 = 5 + 7 + 2 – 9 = 14 – 9 = 5
B = – 15 + 8 – (– 6) – 4 + 6 = – 15 + 8 + 6 – 4 + 6
= 8 + 6 + 6 – 15 – 4 = 20 – 19 = 1
C = – 6 + 4 – (– 3) – 6 = – 6 + 4 + 3 – 6 = 4 + 3 – 6 – 6 = 7 – 12
= –5
54
a) – 3 + 9 = 6
b) – 5 + (– 8) = – 13
c) – 1 + 4 = 3
d) 7 + (– 2) = 5
e) 0 + (– 5) = – 5
f) 1 + (– 1) = 0
60
a) – 3 + 2 – 5 = – 6 ; – 4 – 2 + 0 = – 6 ; 1 – 6 – 1 = – 6 ;
–3 – 4 + 1 = –6 ; 2 – 2 – 6 = –6 ;
– 5 + 0 – 1 = – 6 ; – 3 – 2 – 1 = – 6 ; 1 – 2 – 5 = – 6.
La somme des nombres de chaque ligne, de chaque
colonne et de chaque diagonale est égale à – 6. Donc, le
carré est magique.
b) – 2 + 4 – 5 = – 3 et 4 + 0 – 4 = 0. Donc, le carré n’est pas
magique.
55
a) – 18 + 9 = – 9
b) – 3,5 + 4,5 = 1
c) 14 + (– 3) = 11
d) – 5,6 + (– 2,7) = – 8,3
e) – 6,8 + 6,8 = 0
f) – 2,15 + (– 2,15) = – 4,3
61
56
a) – 5 – 4 = – 9
b) – 2 – (– 3) = – 2 + 3 = 1
c) – 2 – 6 = – 8
d) 10 – (– 7) = 10 + 7 = 17
e) 0 – (– 3) = 0 + 3 = 3
f) – 4 – (– 4) = – 4 + 4 = 0
57
73
–5
3
–8
b)
–5
–7
–8
5
4
1
75
1
3
–4
7
0
5
2
–7
–2
–8
–1
4
3
1)
2006
2008
Évolution entre
2006 et 2008
Citroën
258
289
+ 31
Ford
96
112
+ 16
Opel
99
90
–9
Peugeot
357
344
– 13
Renault
472
449
– 23
Constructeur
2
–3
74
2
7
–5
3) a) 14 – (– 63) = 14 + 63 = 77
b) Ce résultat ne correspond pas à l’âge d’Auguste à sa
mort car il n’y a pas d’année 0.
On passe de l’année – 1 à l’année 1.
4) 37 – (– 42) – 1= 37 + 42 – 1 = 78
Tibère est mort à 78 ans.
1
–1
–3
Les exercices 63 à 72 sont corrigés à la page 288 du manuel élève.
–5
–6
–6
A = 8 – (– 5 + 2) – 9 = 8 – (– 3) – 9 = 8 + 3 – 9 = 11 – 9
=2
B = (– 3 + 4) – (– 7 + 6) + (– 8 – 2) = 1 – (– 1) + (– 10)
= 1 + 1 – 10 = 2 – 10 = – 8
C = (2,7 – 5,4) – (1– 2,5) + (– 4 + 6,3) = – 2,7 – (– 1,5) + 2,3
= – 2,7 + 1,5 + 2,3 = 3,8 – 2,7 = 1,1
Je fais
fai s l e po
p o int
a)
1
62
a) – 23 – 7 = – 30
b) – 7,1 – 5,8 = – 12,9
c) 12 – (– 8) = 12 + 8 = 20
d) – 6,2 – (– 0,5) = – 6,2 + 0,5 = – 5,7
e) – 3,7 – 3,7 = – 7,4
f) 4,25 – (– 4,25) = 4,25 + 4,25 = 8,5
>
6
–2
1) a) – 44 – (– 100) = 56. Jules César est mort à
56 ans.
b) – 30 – 53 = – 83. Marc Antoine est né en – 83.
2) a) 12 + 29 = 41. Caligula est mort en 41.
b) 68 – (37 + 17) = 14. Le règne de Néron a duré 14 ans.
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La photocopie non autorisée est un délit.
Toyota
Volkswagen
97
94
–3
141
144
+3
2) 31 + 16 – 9 – 13 – 23 – 3 + 3 = 47 – 45 = 2
Le nombre d’immatriculations a augmenté de 2 milliers
entre 2006 et 2008.
Chap. 6 - Les nombres relatifs : addition et soustraction 61
2)
76
2004
2008
Évolution
5
12
– 11
–4
3
11
–7
–5
2
4
–8
–6
1
8
10
Total
Or
Total
Or
Total
Or
Allemagne
49
13
41
10
–8
–3
Chine
63
32
100
51
+ 37
+ 19
–2
0
7
9
–9
France
33
11
41
7
+8
–4
–1
6
13
– 10
–3
Russie
92
31
72
27
– 20
–4
102
36
110
36
+8
0
USA
77
1) – 295 + 16 = – 279
Philippe Bertochio était descendu à une profondeur de
– 279 m en 2002.
2) – 295 + 23 = – 272
La profondeur atteinte par Frédéric Poggia lors de son
record était – 272 m.
78
1) 2)
87
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) PN = 2,5 – (– 6) = 2,5 + 6 = 8,5
AT = – 0,5 – (– 1) = – 0,5 + 1 = 0,5
LO = 0 – (– 3,5) = 3,5
79
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
80
a) 4 + (– 2 – 3) = 4 + (– 5) = – 1
b) [5 + (–2)] – [(– 6) + (– 1)] = 3 – (–7) = 3 + 7 = 10
c) (– 7 – 8) + (– 11) = – 15 – 11 = – 26
81
1) 127,5 + 42,1 – 57,1 + 2,7 – 49,2 = 66.
Une livre de café coûtait 66 cents fin 2000.
2) 116,6 + 18 – 15,3 + 0 – 17,8 – 29 – 7,6 – 17,1 = 47,8.
Une livre de café coûtait 47,8 cents début 2002.
3) 47,8 – 66 = – 18,2.
L’évolution du prix d’une livre de café pendant l’année
2001 était – 18,2 cents.
82
A = x + y + z = 2,5 + (– 4,2) + (– 3,5) = 2,5 – 7,7 = – 5,2
B = x – y + z = 2,5 – (– 4,2) + (– 3,5) = 2,5 + 4,2 – 3,5
= 6,7 – 3,5 = 3,2
C = x – y – z = 2,5 – (– 4,2) – (– 3,5) = 2,5 + 4,2 + 3,5 = 10,2
D = – x – y + z = – 2,5 – (– 4,2) + (– 3,5) = – 2,5 + 4,2 – 3,5
= 4,2 – 6 = – 1,8
E = x + (y – z) = 2,5 + [(– 4,2) – (– 3,5)] = 2,5 + (– 4,2 + 3,5)
= 2,5 + (– 0,7) = 1,8
F = x – (y – z) = 2,5 – [(– 4,2) – (– 3,5)] = 2,5 – (– 4,2 + 3,5)
= 2,5 – (– 0,7) = 2,5 + 0,7 = 3,2
83
a) E = 4 – 6 + (–3) = 4 – 6 – 3 = 4 – 9 = – 5
b) E = – 2,7 – 3,2 + 1,4 = 1,4 – 5,9 = – 4,5
84
a) – 1 + 2 – 3 – 4 + 5 – 7 = – 8
b) + 8 – 9 + 10 + 11 – 12 – 13 = – 5
85
1) La somme des nombres relatifs compris entre
– 11 et 13 correspond à la somme des 25 nombres du
carré.
– 11 + (– 10) + (– 9) + (– 8) + (– 7) + (– 6) + (– 5) + (– 4) + (– 3)
+ (– 2) + (– 1) + 0 + 1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 + 8 + 9 + 10
+ 11 + 12 + 13 = 12 + 13 = 25.
On en déduit que la somme des nombres d’une ligne,
d’une colonne ou d’une diagonale est égale à 5.
62
86
1) a) (– 29,80) + (+ 200) = 170,2
Le solde du compte d’Alix est 170,20 € le 19 mars.
b) (– 78) + (– 83) = – 161
Le spéléologue se trouve à –161 m au bout de deux jours.
2) a) (– 4) + (– 5) = – 9
Ce matin, il faisait – 9 °C.
b) (– 125) + (+ 416) = + 291.
Le dénivelé de son parcours est 291 m.
Bayonne : 4 – (– 1) = 4 + 1 = 5. L’amplitude thermique de la journée est 5 °C.
Brest : 6 – 0 = 6. L’amplitude thermique de la journée
est 6 °C.
Colmar : – 1 – (– 5) = – 1 + 5 = 4. L’amplitude thermique
de la journée est 4 °C.
Nice : 12 – 5 = 7. L’amplitude thermique de la journée
est 7 °C.
88
A = (– 7) + (+ 4) + (+ 9) + (– 5) + (– 1)
A = (+ 4) + (+ 9) + (– 7) + (– 5) + (– 1)
A = (+ 13) + (– 13)
A=0
B = (– 1,4) + (+ 3,5) + (– 6,7) – (+ 1,7) – (– 4)
B = (– 1,4) + (+ 3,5) + (– 6,7) + (– 1,7) + (+ 4)
B = (+ 3,5) + (+ 4) + (– 6,7) + (– 1,7) + (– 1,4)
B = (+ 7,5) + (– 9,8)
B = – 2,3
C = – 5 + 2,7 + 3,8 – 5,2 – 2,7 + 9,1 – 4,3
C = 2,7 + 3,8 + 9,1 – 5,2 – 2,7 – 4,3 – 5
C = 15,6 – 17,2
C = – 1,6
D = (– 12 + 18) + (– 13 – 9) – (7 – 16)
D = 6 + (– 22) – (– 9)
D = 6 – 22 + 9
D = 15 – 22
D = –7
89
Points
Différence de buts
Bordeaux
Équipe
43
+ 20
Paris SG
29
+ 13
Monaco
27
–2
Toulouse
25
+3
Le Mans
16
– 11
Grenoble
7
– 23
90
a) – 257 + (– 54) = – 311
b) + 657 – (+ 578) = + 79
c) – 58,785 + (+ 69,254) = + 10,469
d) – 987,54 – (– 658,36) = – 329,18
91
a) – 4 567 – 2 587 + (– 3 887) = – 11 041
b) 3,587 + (– 4,87) – 2,98 = – 4,263
c) – 9 780 – (– 5 735) + (– 3 089) = – 7 134
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
92
a) 14 – 6 = 8. Gaston lit 8 h sur sa montre.
b) 14 + 3 = 17. Raymond lit 17 h sur sa pendule.
c) 23 – 14 = 9. Tatiana se trouve à Nouméa.
93
a) Papeete : – 11
b) Mamandzou : + 2
c) Saint-Pierre : – 4.
94
a) 9 + 11,5 = 20,5. L’heure de Paris est 20 h 30.
b) 20,5 – 5 = 15,5. L’heure de Cayenne est 15 h 30.
c) 20,5 + 2 = 22,5. L’heure de Saint-Denis est 22 h 30.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
95
1) a) Le décalage horaire en été entre Taiohoe et
Mende est + 11,5.
b) 11,5 – 6 = 5,5. Le décalage horaire en été entre Taiohoe
et Fort-de-France est + 5,5.
c) 11,5 – 12 = – 0,5. Le décalage horaire en été entre Taiohoe et Papeete est – 0,5.
d) 11,5 + 10 = 21,5. Le décalage horaire en été entre Taiohoe et Mata-Utu est + 21,5.
2) On remarque que la ligne de changement de date passe
à l’ouest de Wallis-et-Futuna et à l’est de Tahiti et des îles
Marquises.
Chap. 6 - Les nombres relatifs : addition et soustraction 63
Chapitre
7
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
En classe de Cinquième, la proportionnalité occupe toujours une place centrale. Les méthodes de résolution des problèmes
de proportionnalité évoluent avec les connaissances des élèves, notamment avec une meilleure maîtrise de la notion de
quotient.
La résolution de problèmes a pour objectifs d’affermir la maîtrise des principaux raisonnements qui permettent de traiter les
situations de proportionnalité
> CONNAISSANCES :
●
●
●
Propriété de linéarité
Tableau de proportionnalité
Passage à l’unité ou « règle de trois »
CAPACITÉS
Compléter un tableau de nombres représentant
une relation de proportionnalité, en particulier déterminer une quatrième proportionnelle.
● Reconnaître si un tableau complet de nombres est
ou non un tableau de proportionnalité.
Pour les coefficients de proportionnalité ou les rapports
de linéarité exprimés sous forme de quotient, on choisira
des nombres qui évitent des difficultés techniques inutiles. En particulier les quotients de nombres décimaux ne
sont pas exigibles.
> CONNAISSANCES :
●
■ Commentaires
Le travail sur des tableaux de nombres sans lien avec
un contexte doit occuper une place limitée. Les activités
numériques et graphiques font le plus souvent appel à des
situations mettant en relation deux grandeurs.
Il est possible d’envisager, dans une formule, des variations d’une grandeur en fonction d’une autre grandeur
mais toute définition de la notion de fonction est exclue.
Les procédures utilisées pour traiter une situation de proportionnalité sont de même nature qu’en classe de
Sixième. L’usage du « produit en croix » est exclu en classe
de Cinquième.
●
●
Pourcentage
Échelle [Thèmes de convergence]
CAPACITÉS
Mettre en œuvre la proportionnalité dans les cas
suivants :
– comparer des proportions ;
– utiliser un pourcentage ;
– *calculer un pourcentage ;
– *utiliser l’échelle d’une carte ou d’un dessin ;
– calculer l’échelle d’une carte ou d’un dessin.
■ Commentaires
Un travail doit être conduit sur la comparaison relative
d’effectifs dans des populations différentes ou de proportions dans un mélange. Il s’articule avec l’utilisation de
l’écriture fractionnaire pour exprimer une proportion.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Compléter un tableau de proportionnalité.
– Reconnaître un tableau de proportionnalité.
– Comparer des proportions.
– Appliquer un taux de pourcentage.
Programme de la classe de Sixième
La résolution de problèmes de proportionnalité est déjà travaillée à l’école primaire. Elle se poursuit en Sixième, avec des
outils nouveaux. La proportionnalité fait l’objet d’un apprentissage continu et progressif sur les quatre années du collège
et permet de comprendre et de traiter de nombreuses notions du programme.
La résolution de problèmes a pour objectifs de mettre en place les principaux raisonnements qui permettent de reconnaître
et traiter les situations de proportionnalité.
> CONNAISSANCES :
●
●
Propriété de linéarité
Tableau de proportionnalité
CAPACITÉS
Reconnaître les situations qui relèvent de la proportionnalité et les traiter en choisissant un moyen
adapté :
64
– utilisation d’un rapport de linéarité, entier ou
décimal ;
– utilisation du coefficient de proportionnalité,
entier ou décimal ;
– passage par l’image de l’unité (ou « règle de trois ») ;
– *utilisation d’un rapport de linéarité, d’un coefficient de proportionnalité exprimé sous forme de
quotient.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
■ Commentaires
> CONNAISSANCES : Pourcentages
Les problèmes à proposer (qui relèvent aussi bien de la
proportionnalité que de la non proportionnalité) se situent
dans le cadre des grandeurs (quantités, mesures). Ils doivent relever de domaines familiers des élèves et rester
d’une complexité modérée, en particulier au niveau des
nombres mis en œuvre. Les rapports utilisés sont, soit des
rapports entiers ou décimaux simples *soit des rapports
exprimés sous forme de quotient.
CAPACITÉS
Appliquer un taux de pourcentage.
■ Commentaires
Les élèves doivent connaître le sens de l’expression « ... %
de » et savoir l’utiliser dans des cas simples où aucune
technique n’est nécessaire.
Programme de la classe de Quatrième
La résolution de problèmes a pour objectifs de consolider et d’enrichir les raisonnements pour traiter des situations de proportionnalité…
> CONNAISSANCES :
● Utilisation de la proportionnalité :
– quatrième proportionnelle ;
– calculs faisant intervenir des pourcentages [Thèmes de
convergence]
permettent de mettre en œuvre un coefficient de proportionnalité exprimé sous forme de pourcentage. Dans le cadre du socle
commun, utiliser l’échelle d’une carte pour calculer une
distance, calculer un pourcentage deviennent exigibles.
> CONNAISSANCES : *Représentations
graphiques
[Thèmes de convergence]
CAPACITÉS
Déterminer une quatrième proportionnelle.
Déterminer le pourcentage relatif à un caractère d’un
groupe constitué de la réunion de deux groupes dont les
effectifs et les pourcentages relatifs à ce caractère sont
connus.
●
CAPACITÉS
●
*Utiliser dans le plan muni d’un repère, la caractérisation de la proportionnalité par l’alignement de points
avec l’origine.
■ Commentaires
■ Commentaires
Aux diverses procédures déjà étudiées s’ajoute le « produit
en croix » qui doit être justifié.
Des situations issues de la vie courante ou des autres disciplines
Cette propriété caractéristique de la proportionnalité prépare
l’association, en classe de Troisième, de la proportionnalité à la
fonction linéaire.
Comm e ntaires d
Commentaires
des
e s auteurs
➜ La notion de proportionnalité a été travaillée dès le
primaire : propriété de linéarité, passage à l’unité, règle
de trois. La notion de coefficient de proportionnalité
est abordée en classe de Sixième. Il est à nouveau utilisé en Cinquième y compris sous forme de quotient.
Reconnaître une situation de proportionnalité est
abordé en Sixième : les propriétés de linéarités sont
ou non vérifiées. Les élèves de Cinquième doivent
reconnaître un tableau de proportionnalité.
➜ Appliquer un taux de pourcentage est vu en Sixième.
Le calcul d’un pourcentage est vu en Cinquième.
➜ Depuis le primaire, les élèves savent que, sur un
« plan à l’échelle », les longueurs sont proportion-
>
nelles aux longueurs réelles. Ils utilisent des tableaux
de proportionnalité.
En Cinquième, la notion d’échelle d’un plan est définie. Les élèves apprennent à appliquer et à calculer
une échelle. Il faut faire attention quand l’échelle est
fractionnaire car les élèves ne savent pas diviser par
une fraction ; ils l’apprennent en Quatrième.
➜ La comparaison des fractions n’étant plus au programme de Cinquième, on utilise la proportionnalité
ou les pourcentages pour comparer des proportions.
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
CO RRI G É
En 2009, les coureurs ont effectué 32 tours sur 56. 75 % des
56 tours correspondent à :
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
75
= 42 tours.
100
Les coureurs n’ayant pas effectué 75 % de la course, Button
n’a obtenu que la moitié des 10 points donc 5 points.
56 ×
Chap. 7 - Proportionnalité 65
1
JE RECONNAIS UN TABLEAU DE PROPORTIONNALITÉ
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Reconnaître une situation
de proportionnalité.
● Coefficient de proportionnalité.
●
! Grandeurs proportionnelles
a) Reconnaître un tableau de
proportionnalité
■ COM MENTAI RE : En Sixième, les élèves reconnaissent
une situation de proportionnalité en utilisant la propriété
de linéarité (additivité et multiplicativité). En classe de
Cinquième, ils peuvent calculer les quotients correspondants au coefficient de proportionnalité du tableau.
CORRIG É
A 1)
Masse des mandarines (en kg)
0,74
1,02
1,48
Prix payé (en e)
2,59
3,57
5,18
2
J’UTILISE LE COEFFICIENT DE PROPORTIONNALITÉ
Objectifs
Prérequis
Compléter un tableau
de proportionnalité.
● Utiliser le coefficient
de proportionnalité.
●
●
●
Paragraphe
introduit
Aire du rectangle.
Coefficient de proportionnalité.
! Grandeurs proportionnelles
b) Calculer une quatrième
proportionnelle
■ COM MENTAI RE : La notion de coefficient de proportionnalité a été vue en Sixième.
La règle de trois est vue en primaire en organisant les
nombres dans un tableau.
3
Comparer des proportions.
Prérequis
●
Paragraphe
introduit
Règle de trois.
● Compléter un tableau
de proportionnalité.
Point de repère du § 3
■ COMMENTAIRE : La comparaison des fractions a disparu
du programme de Cinquième. On doit donc être capable
de comparer des proportions par d’autres méthodes.
1)
Longueur L (en cm)
Aire (en cm )
2
4
8
20
10
20
50
5
3,7
3,8
12,5 9,25
9,5
2) C’est une situation de proportionnalité ; le coefficient
de proportionnalité est 2,5.
3) a) L’aire du rectangle bleu est calculée en multipliant
L par 2,5 cm.
b) Si L = 3,7 cm, l’aire est :
3,7 cm × 2,5 cm = 9,25 cm2.
4) a) Si l’aire est donnée, on calcule la longueur L en
divisant cette aire par 2,5 cm.
b) 9,5 : 2,5 = 3,8
Si l’aire est 9,5 cm2, la longueur L est 3,8 cm.
C ORRIGÉ
1)
Cocktail de Michaël (en dL)
25
30
Jus de mangue utilisé (en dL)
7
30 ¥ 7 = 8,4
25
2) Non, Michaël n’a pas mis plus de jus de mangue en
proportion que Nora puisque, pour 30 dL de cocktail, il
aurait mis 8,4 dL de mangue alors que Nora en a mis
9 dL.
JE CALCULE UN POURCENTAGE
Objectif
Calculer un pourcentage.
Prérequis
Compléter un tableau de
proportionnalité.
Paragraphe
introduit
@ Pourcentage
66
C ORRIGÉ
JE COMPARE DES PROPORTIONS
Objectif
4
2,59
3,57
5,18
= 3,5 ;
= 3,5 ;
= 3,5.
0,74
1,02
1,48
b) Tous les quotients sont égaux.
3) a) Chaque nombre de la première ligne est multiplié
par 3,5 pour trouver le nombre correspondant de la
deuxième ligne.
b) Ce nombre correspond au prix du kilogramme de mandarines.
B 2,59 = 0,37 ; 3,57 = 0,357 ; 5,18 艐 0,39.
7
10
13
Ces quotients ne sont pas égaux.
C 1) a) Oui.
b) 3,5 correspond au coefficient de proportionnalité.
2) Le prix des mandarines n’est pas proportionnel à leur
nombre car les mandarines n’ont pas toutes la même
masse et les mandarines se vendent au « poids ».
3) On peut reconnaître un tableau de proportionnalité
en effectuant chacun des quotients d’un nombre de la
deuxième ligne du tableau par le nombre correspondant
de la première ligne. Si tous ces quotients sont égaux, on
a bien un tableau de proportionnalité. Sinon, non.
2) a)
Reconnaître un tableau
de proportionnalité.
■ C OM M E NTAIRE : On a choisi un exemple où il était très
utile de calculer un pourcentage.
C ORRIGÉ
1) On ne peut pas facilement comparer car on ne connaît
pas son taux de réussite en mathématiques.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) Cela signifie que sa réussite en français est telle que si
elle avait eu 100 questions, elle en aurait réussi 65.
3) a)
Nombre total de questions de mathématiques
40
100
Nombre de questions réussies en mathématiques 28
70
5
b) Le nombre correspond au nombre de questions réussies en mathématiques, si on avait proposé 100 questions ;
donc au pourcentage de réussite en mathématiques.
4) Lola a mieux réussi en mathématiques puisque 70 %
est mieux que 65 %.
J’UTILISE ET JE CALCULE UNE ÉCHELLE
Objectif
Utiliser et calculer une échelle.
Prérequis
Plan à l’échelle (primaire)
Coefficient de proportionnalité.
Paragraphe
introduit
2)
Distance réelle (en cm)
100 380 250
Distance sur le plan (en cm)
# Échelle d’une figure.
4
15,2
10
×
4
100
4
.
100
4
1
1e
=
b)
. Le plan d’Elliot est au
.
100 25
25
3) a) L’échelle du plan d’Elliot est
CO RRI G É
1) Un plan est à l’échelle quand les longueurs sur le plan
sont proportionnelles aux longueurs dans la réalité.
>
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
1) Il est impossible de prévoir la taille de ce bébé
dans les mois suivants.
2) La taille d’un enfant n’est pas proportionnelle à son
âge.
2
a) Deux baguettes coûtent 1,80 €.
b) Trois baguettes coûtent 2,70 €.
c) Quatre baguettes coûtent 3,60 €.
d) Cinq baguettes coûtent 4,50 €.
2) Le prix des baguettes de pain est proportionnel au
nombre de baguettes achetées.
3
Ce tableau est un tableau de proportionnalité car
18 36 54
=
=
= 6.
3
6
9
Le nombre 6 est le coefficient de proportionnalité.
30
40
55
= 5;
= 5;
= 5,5
6
8
10
Donc, ce tableau n’est pas un tableau de proportionnalité.
4
4
6
艐 1,33 ;
= 1,2
3
5
Donc, ce tableau n’est pas un tableau de proportionnalité.
5
1,5 2 2,5
= =
= 0,5.
4
3
5
Donc, ce tableau est un tableau de proportionnalité. Le
coefficient de proportionnalité est 0,5.
6
7
Grandeur A
15
20
Grandeur B
45
20 × 45 : 15 = 60
8
Grandeur C
1,8
5,5
Grandeur D
1,8 ¥ 11 : 5,5 = 3,6
11
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
9
Grandeur E
4
4 ¥ 27 : 36 = 3
Grandeur F
36
27
10
Grandeur G
1 ¥ 1,5 : 6 = 0,25
1,5
Grandeur H
1
6
11
Grandeur I
3
3 ¥ 4 : 5 = 2,4
Grandeur J
5
4
12
Grandeur K
1,6
4
Grandeur L
6 ¥ 7 : 4 = 10,5
7
13
a) 300 €
b) 10 cm
c) 45,2 mm
d) 3 L
e) 80 m
f) 0 g
g) 3 875 téléspectateurs
50
= 10 personnes
100
Cette chorale comprend 10 sopranos.
25
= 5 personnes
b) 20 personnes ×
100
Cette chorale comprend 5 basses.
10
= 2 personnes
c) 20 personnes ×
100
Cette chorale comprend 2 solistes.
14
a) 20 personnes ×
15
a) 3 centièmes correspondent à 3 %.
b) Un dixième correspond à 10 %.
Chap. 7 - Proportionnalité 67
c) Un demi correspond à 50 %.
d) Un millième correspond à 0,1 %.
e) Un quart correspond à 25 %.
f) Trois quarts correspondent à 75 %.
22
16
Nombre de
pulls
20
Pourcentages 100
a)
b)
c)
d)
10
10 × 100
: 20 = 50
5
2
3
5 × 100
2 × 100
15
: 20 = 25 : 20 = 10
Le pourcentage de pulls en laine est de 50 %.
Le pourcentage de pulls en acrylique est de 25 %.
Le pourcentage de pulls en coton est de 10 %.
Le pourcentage de pulls en soie est de 15 %.
1)
Euros
185
74
Pourcentages
100
74 × 100 : 185 = 40
Le pourcentage de réduction est de 40 %.
2) Le prix soldé du manteau est alors de :
185 € – 74 € = 111 €.
23
1) Le montant de la remise est :
32,50 € – 23,40 € = 9,10 €.
2)
Euros
Pourcentages
32,50
9,1
100
9,1 × 100 : 32,50 = 28
Le pourcentage de réduction est de 28 %.
17
Trois tirs sur quatre réussis correspondent à un
pourcentage de réussite de 75 %.
C’est donc Chan qui a un meilleur pourcentage de réussite.
a) 1 cm × 2 000 = 2 000 cm
La longueur réelle est alors de 2000 cm ou 20 m.
b) 1 mm × 2 000 = 2 000 mm
La longueur réelle est alors de 2000 mm ou 2 m.
c) 3 mm × 2 000 = 6 000 mm
La longueur réelle est alors de 6 000 mm ou 6 m.
d) 10 cm × 2 000 = 20 000 cm
La longueur réelle est alors de 20 000 cm ou 200 m.
18
19
a) La longueur réelle de 1 m est représentée par
1 cm ou 0,01 m.
0,01
1
=
.
L’échelle de ce plan est alors :
1
100
b) La longueur réelle de 1 m est représentée par 1 mm ou
0,001 m.
0,001
1
=
.
L’échelle de ce plan est alors :
1
1 000
c) La longueur réelle de 1 m est représentée par 2 cm ou
0,02 m.
0,02
1
=
.
L’échelle de ce plan est alors :
1
50
d) La longueur réelle de 1 m est représentée par 5 cm ou
0,05 m.
0,05
1
=
.
L’échelle de ce plan est alors :
1
20
20
a) La longueur réelle de 1 mm est représentée par
1 cm ou 10 mm.
10
= 10.
L’échelle de ce plan est alors :
1
b) La longueur réelle de 1 mm est représentée par 1 mm.
1
L’échelle de ce plan est alors : = 1.
1
c) La longueur réelle de 1 mm est représentée par 2 cm ou
20 mm.
20
= 20.
L’échelle de ce plan est alors :
1
d) La longueur réelle de 1 mm est représentée par
0,5 mm.
0,05
1
=
.
L’échelle de ce plan est alors :
1
20
21
1)
Euros
12
3,60
Pourcentages
100
3,60 × 100 : 12 = 30
Le pourcentage de réduction est de 30 %.
2) Le prix soldé de la pochette est alors de :
12 € – 3,60 € = 8,40 €.
68
24
132 € – 99 € = 33 €
La réduction est de 33 €.
Euros
132
33
Pourcentages
100
33 × 100 : 132 = 25
Le pourcentage de réduction est de 25 %.
25
Euros
34
2,38
Pourcentages
100
2,38 × 100 : 34 = 7
Le pourcentage d’augmentation est de 7 %.
26
1) 18,75 € – 15 € = 3,75 €
L’augmentation est de 3,75 €.
Euros
15
3,75
Pourcentages
100
3,75 × 100 : 15 = 25
Le pourcentage d’augmentation est de 25 %.
2) La baisse du prix est de 3,75 €.
Euros
Pourcentages
18,75
3,75
100
3,75 × 100 : 18,75 = 20
Le pourcentage de réduction est de 20 %.
3) On remarque que les deux pourcentages sont différents. En effet, on calcule le pourcentage de 3,75 sur deux
valeurs différentes : d’une part 15, d’autre part 18,75.
27
1)
Euros
17
7
Pourcentages
100
7 × 100 : 17
Le pourcentage de filles parmi les demi-pensionnaires est
d’environ 41,2 %.
2) On compte 9 filles externes dans cette classe.
Euros
30
9
Pourcentages
100
9 × 100 : 30 = 30
Le pourcentage de filles externes dans cette classe est de
30 %.
3) On compte 14 garçons dans cette classe.
Euros
30
14
Pourcentages
100
14 × 100 : 30
Le pourcentage de garçons parmi les élèves de cette classe
est d’environ 46,7 %.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
28
36
Candidats
Pourcentages
2 425
100
1 552
776
97
1 552 × 100 776 × 100
: 2 425
: 2 425
97 × 100
: 2 425
37
Le pourcentage de candidats reçus est 64 %.
Le pourcentage de candidats ajournés est 32 %.
Le pourcentage de candidats absents est 4 %.
29
Longueur sur le plan
(en cm)
Longueur réelle (en cm)
5
1
600
1 × 600 : 5 = 120
1
.
L’échelle de ce plan est
120
38
5
1
1 × 51 000 : 5 = 10 200
Longueur réelle (en cm) 51 000
1
.
10 200
L’échelle de ce plan est
31
Largueur réelle (en cm)
3
1
1,2
1 × 1,2 : 3 = 0,4
1
= 2,5.
L’échelle de ce plan est
0,4
2)
Longueur sur le plan
(en cm)
Longueur réelle (en cm)
1
5 × 0,4 : 1 = 2
0,4
32
1
Longueur réelle (en cm)
2,8
1 000 000 38 000 000
1) 38 000 000 × 1 : 1 000 000 = 38
380 km en réalité sont représentés par 38 cm sur ce plan.
2) 2,8 × 1 000 000 : 1 = 2 800 000
2,8 cm sur le plan représentent 28 km en réalité.
1)
41
1)
Euros
27
34
30,24
38,08
2) 30,24 : 27 = 38,08 : 34 = 1,12
Ceci prouve que ce tableau est un tableau de proportionnalité.
Le coefficient est 1,12 qui correspond au prix en euros
d’un litre de gasoil.
42
Potiron (en kg)
0,8
3
Prix (en €)
1,44
3 ¥ 1,44 : 0,8 = 5,4
3 kg de potiron coûtent 5,40 €.
43
33
Carottes (en kg)
Longueurs de
la maquette ( en cm)
1
Longueurs réelles
(en cm)
12
37,3
19,6
9,1
37,3 × 12 19,6 × 12 9,1 × 12
:1
:1
:1
La longueur réelle de la Ferrari est 447,6 cm = 4,476 m.
La largeur réelle de la Ferrari est 235,2 cm = 2,352 m.
La hauteur réelle de la Ferrari est 109,2 cm = 1,092 m.
34
40
Gasoil (en litres)
5
La longueur réelle de la puce est 2 cm.
Longueur sur le plan
(en cm)
39
17,1 : 3 = 39,9 : 7 = 62,7 : 11 = 5,7
Ce tableau est un tableau de proportionnalité et son coefficient est 5,7.
480 160 120 40 4
=
=
=
=
360 120 90
30 3
Ce tableau est donc un tableau de proportionnalité.
4
2) Le coefficient de proportionnalité est .
3
1)
Largueur sur le plan
(en cm)
1) a) On multiplie le nombre de battements par 4
puisqu’il y a 4 × 15 secondes dans une minute.
b) On considère que le nombre de battements de cœur est
proportionnel aux secondes (en tout cas pendant une
minute).
2) Contrairement à la question précédente, on ne peut
pas considérer qu’il y a proportionnalité entre le rythme
cardiaque et la durée pendant une journée car il y a des
moments de repos et d’autres de dépenses physiques.
48 : 4 = 12 ; 84 : 7 = 12 ; 142 : 12 艐 11,8
Donc, ce tableau n’est pas un tableau de proportionnalité.
30
Longueur sur le plan
(en cm)
1) La masse d’oranges n’est pas proportionnelle au
nombre d’oranges car elles ne sont pas toutes identiques.
2) La masse des pièces est proportionnelle à leur nombre
car elles sont toutes identiques.
1) L’échelle de cette photographie est donc :
1
= 50.
0,02
2) 5,5 cm : 50 = 0,11 cm = 1,1 mm
La longueur réelle de cette cellule est 1,1 mm et la largeur
0,2 mm.
35
La masse d’une personne n’est proportionnelle ni
à son âge ni à sa taille.
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La photocopie non autorisée est un délit.
Prix (en €)
1,3
2,5
1,3 ¥ 3 : 2,5 = 1,56
3
1,3 kg de carottes coûtent 1,56 €.
44
Poivrons (en kg)
Prix (en €)
3
3 ¥ 5,1 : 7,2 = 2,125
7,2
5,1
2,125 kg de poivrons coûtent 5,10 €.
45
Distance
(en km)
200
160
7 ¥ 200
: 14 = 100
9,1 ¥ 200
: 14 = 130
Essence
(en L)
14
160 ¥ 14
: 200 = 11,2
7
9,1
Chap. 7 - Proportionnalité 69
La proportion de calories est la plus élevée dans le vin
rouge.
46
Nombres de tours
Distance (en km)
77,602 ¥ 56 : 310,408 = 14
77,602
33
33 ¥ 310,408 : 56 = 182,919
232,806 ¥ 56 : 310,408 = 42
232,806
56
310,408
47
a) Il s’agit de diviser par 10.
b) Il s’agit de diviser par 100.
c) Il s’agit de diviser par 2.
d) Il s’agit de diviser par 4.
90
× 86 500 km2 = 77 850 km2
100
La forêt occupe 77 850 km2 de la Guyane.
48
16 4
= .
1) Proportion de réussite de Guénolé :
28 7
12 4
Proportion de réussite de Lillian :
= .
21 7
2) Les deux joueurs ont réussi leurs tirs avec le même taux
de réussite.
56
75
× 6 kg = 4,5 kg
a)
100
On compte 4,5 kg d’eau dans le corps de ce bébé.
65
b)
× 70 kg = 45,5 kg
100
On compte 45,5 kg d’eau dans le corps de cet adulte.
49
57
50
Longueurs sur la carte
(en m)
Longueurs réelles
(en m)
Nombre de tirs réussis : 113.
116
113
Pourcentages
100
113 × 100 : 116
Le pourcentage de tirs réussis est d’environ 97,4 % ; donc
supérieur à 97 %.
Effectif total du club : 125 sportifs.
Sportifs
125
Pourcentages
100
a)
b)
c)
d)
28
42
35
20
Pourcentage de poussins : 28 × 100 : 125 = 22,4 %.
Pourcentage de benjamins : 42 × 100 : 125 = 33,6 %.
Pourcentage de minimes : 35 × 100 : 125 = 28 %.
Pourcentage de cadets : 20 × 100 : 125 = 16 %.
53
1) Nombre total de véhicules au départ : 362.
Nombre de véhicules
362
Pourcentages
100
134
151
25
52
Pourcentage de voitures : 134 × 100 : 362 艐 37 %.
Pourcentage de motos : 151 × 100 : 362 艐 41,7 %.
Pourcentage de quads : 25 × 100 : 362 艐 6,9 %.
Pourcentage de camions : 52 × 100 : 362 艐 14,4 %.
2)
Distances (en km)
684
251
Pourcentages
100
251 × 100 : 684
Le pourcentage de « spéciale » sur cette étape est d’environ
36,7 %.
54
Proportion de calories dans le vin rouge :
74
艐 0,72.
103
146
Proportion de calories dans la bière :
艐 0,41.
355
70
1
0,016
1 × 25 000 : 0,016
= 1 526 500
25 000
1
.
1 526 500
2) a) La distance sur la carte entre Saint-Paul et SaintDenis est de 1,6 cm, ce qui représente 25 km dans la réalité.
b) La distance sur la carte entre Saint-Paul et Saint-Pierre
est de 3,2 cm (1,6 cm × 2), ce qui représente 25 km × 2 dans
la réalité : 50 km.
3) Utilisons pour cette question l’échelle obtenue à la
question 1)
L’échelle de cette carte est de
Nombre de tirs
52
1) On remarque sur la carte que 1,6 cm représente
25 km.
2,8
× 4 500 € = 126 €
1)
100
Les intérêts annuels s’élèvent à 126 €.
2) 4 500 € + 126 € = 4 626 €
On dispose donc de 4 626 € au bout d’un an.
51
12
.
1) Proportion des filles en 5e A :
20
16
e
Proportion des filles en 5 B :
.
25
2) On met ces deux fractions au dénominateur 100 ; ce
qui va en faire des pourcentages :
60
proportion des filles en 5e A : 12 × 5 =
.
20 × 5 100
64
proportion des filles en 5e B : 16 × 4 =
.
100
25 × 4
e
C’est donc en 5 B que la proportion des filles est la plus
élevée.
3) Conséquence directe : c’est en 5e A que la proportion
des garçons est la plus élevée.
55
Longueurs sur
la carte (en m)
Longueurs réelles
(en m)
1
1 × 700 000 : 1 526 500
1 526 500
700 000
Cette distance serait représentée par 0,46 m environ
(46 cm).
58
a) On remarque que la longueur de cette phalange
est de 0,8 cm sur la photographie.
Longueurs sur la photographie
(en cm)
Longueurs réelles (en cm)
1
0,8
1 × 2,4 : 0,8 = 3
2,4
1
.
3
b) Diamètre de la bague sur la photographie : 0,8 cm
comme la phalange du pouce.
Donc, le diamètre réel de cette bague est 2,4 cm comme la
phalange du pouce.
c) Longueur de l’auriculaire sur la photographie : 4,4 cm
environ.
1
Puisque l’échelle est de , il reste à multiplier cette lon3
gueur par 3 pour obtenir la longueur réelle :
4,4 cm × 3 = 13,2 cm
(Cette longueur est la longueur de l’os qui correspond à
l’auriculaire.)
L’échelle de cette photographie est de
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
Je fais
fai s l e po
p o int
Les exercices 59 à 68 sont corrigés à la page 288 du manuel élève.
36 : 23 艐 1,565 2 et 39 : 25 = 1,56
Ce tableau n’est donc pas un tableau de proportionnalité.
69
6
× 300 personnes = 2 personnes
100
Deux personnes ont le pied carré.
2) a) Proportion des personnes qui ont le pied égyptien :
183
.
300
61
On simplifie cette fraction par 3 et on obtient :
.
100
Le pourcentage de personnes qui ont le pied égyptien est
donc de 61 %.
b) 100 % – 6 % – 61 % = 33 %
33 % des personnes ont le pied grec.
70
1)
71
1) Longueur de ce pied sur le dessin : 6,4 cm.
Largeur de ce pied sur le dessin : 2,2 cm.
1
Puisque l’échelle de ce pied est de , il suffit de multiplier
5
les mesures par 5 pour obtenir les dimensions réelles :
longueur réelle du pied : 6,4 cm × 5 = 32 cm
largeur réelle de ce pied : 2,2 cm × 5 = 11 cm.
2)
Longueur sur le dessin (en cm)
Longueur réelle (en cm)
1
6,4
1 × 24 : 6,4 = 3,75
24
Mesures sur le dessin (en cm) 6,4
2,2
2,2 × 20 : 6,4 = 6,875
20
La largeur réelle de ce pied serait alors de 6,875 cm.
72
Masse des 50 ml d’huile : 58 g – 12 g = 46 g
Masse de l’huile (en g)
46
1 000 × 46 : 50 = 920
Quantité de l’huile (en mL)
50
1 000
La masse d’un litre d’huile est de 920 g.
73
1)
Nombre de coccinelles
Nombre de pucerons
1
5
150
750
15
25
2 250 3 750
2) a) Longueur de la coccinelle sur la photographie :
environ 2,5 cm
Longueur sur la photographie
(en mm)
25
1
Longueur réelle (en mm)
2
1 × 2 : 25 = 0,08
1
= 12,5.
0,08
b) Longueur de la coccinelle sur la photographie : environ 2,5 cm.
Échelle de cette photographie :
Longueur sur la photographie
(en mm)
25
1
Longueur réelle (en mm)
12
1 × 12 : 25 = 0,48
Échelle de cette photographie :
Mesures de cette
maquette (en cm)
Mesures réelles
(en cm)
1
40
1
.
0,48
74
1) 24 m : 3,20 m = 7,5
Un immeuble de la même hauteur que l’Airbus A380 aurait
7,5 étages.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
7 300 × 40 36,5 ¥ 2400
: 7 300
: 8 000
1 × 8000
8 000
: 40
7 300
2 400
1
.
200
Longueur de la maquette : 36,5 cm.
Hauteur de la maquette : 12 cm.
Échelle de cette maquette :
75
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
76
1) Longueur sur la photographie de la tête au coccyx : environ 3,9 cm.
La longueur réelle étant de 1,6 cm.
Longueur sur la photographie
(en cm)
Longueur réelle (en cm)
1
.
L’échelle de ce dessin est alors de
3,75
3)
Mesures réelles (en cm)
1
, on divise alors chacune
2) Connaissant l’échelle de
43
des dimensions par 43.
Envergure de la maquette, 80 m : 43 艐 1,86 m.
Longueur de la maquette, 73 m : 43 艐 1,7 m.
Hauteur de la maquette, 24 m : 43 艐 0,56 m.
3) On réalise un tableau unique pour toute cette
question.
1
3,9
1 × 1,6 : 3,9
1,6
1
.
L’échelle de cette photographie est d’environ
0,41
2) La taille d’un fœtus n’est pas proportionnelle à son
âge.
77
1) a) La largeur sur la photographie est de 3,1 cm ;
soit presque la moitié de la largeur réelle.
1
L’échelle de cette photographie est donc proche de
2
b) La hauteur réelle de l’oignon est donc proche du
double de la hauteur sur la photographie.
3,4 cm × 2 = 6,8 cm.
2) a) La largeur sur la photographie reste à 3,1 cm ; soit
presque le triple de la largeur réelle.
L’échelle de cette photographie est alors proche de 3.
b) La hauteur réelle est donc proche du tiers de la hauteur
sur la photographie.
3,4 cm : 3 艐 1,13 cm.
78
1) Puisque 1 cm sur la photographie représente
1
= 5.
0,02 cm en réalité, alors l’échelle est de
0,02
2) a) b) Diamètre du noyau sur la photographie :
0,5 cm.
Longueurs sur le dessin (en cm)
Longueurs sur la photographie (en cm)
1
6
4,8
0,5
Diamètre du noyau sur le dessin : 6 × 0,5 : 4,8 = 0,625 cm.
Échelle du dessin par rapport à la photographie :
1
= 1,25.
0,8
c) L’échelle du dessin par rapport à la cellule réelle est
donc obtenue en multipliant les deux échelles :
5 × 1,25 = 6,25.
79
Le dessin étant à l’échelle, je peux mesurer sur
la photo la distance Terre-Lune (15,2 cm) et en déduire
la distance réelle, à condition de connaître l’échelle de la
Chap. 7 - Proportionnalité 71
photo. On me donne la circonférence réelle de la Terre, je
peux donc calculer son diamètre réel.
ᏼ : π × D donc D = ᏼ : π
D = 40 000 : π
donc D 艐 12 732 km.
Je peux mesurer le diamètre de la Terre sur le dessin :
0,5 cm. Connaissant pour une même longueur la longueur
réelle et la longueur sur le dessin, je peux utiliser un tableau
de proportionnalité.
Longueur réelle (en km)
12 732
387 052
0,5
15,2
Longueur sur le dessin (en cm)
La distance Terre-Lune est donc approximativement
387 052 km. Je vérifie sur Internet la distance réelle TerreLune = 384 402 km, ce qui est proche de mon résultat.
80
1) Notons x le salaire avant négociations.
La première négociation augmente le salaire de départ x de
5 %. La deuxième négociation augmente le nouveau salaire
de 5 %. Elle augmente donc (x + 5 %x) de 5 %.
Elle augmente donc non seulement de nouveau de 5 %
le salaire x de départ, mais elle augmente aussi de 5 % la
première augmentation.
Quand on fait deux augmentations successives de 5 %, on
augmente donc de 10 % le salaire de départ et on ajoute
5 % de (5 % de x).
Cette augmentation est donc préférable à une seule augmentation de 10 %.
2) Notons x le salaire de départ.
Une première augmentation de 10 % augmente le salaire
10
× x.
de 10 % de x soit
100
La deuxième augmentation de 10 % porte sur le nouveau
10
.
salaire soit x + x ×
100
La deuxième augmentation de salaire est donc :
10
x × 10 ) = 1 × (x + x ) = 1 × 11x
× (x +
100
10
10 10
100
10
La nouvelle augmentation est donc 11x soit 11 % de x.
100
Au total, on a donc :
10 % de x + 11 % de x = 21 % de x.
Deux augmentations successives de 10 % correspondent
donc à une augmentation de 21 %.
81
1) 2,3 : 0,01 = 230 ; 3 : 0,02 = 150
Donc, la masse d’une pièce n’est pas proportionnelle à sa
valeur en euro.
2) La hauteur de la pile est proportionnelle au nombre de
pièces puisqu’on a empilé des pièces identiques.
82
1) a) Puisque toutes les pièces sont identiques, il
y a proportionnalité entre la masse des pièces et leur valeur.
Il suffit alors de diviser par la masse d’une de ces pièces
pour obtenir le nombre de pièces identiques.
b)
Nombre de pièces de 1 €
4 173 ¥ 5000 :
19 500 = 1 070
5 000
Masse de pièces de 1 € (en g) 19500
2)
Longueur sur l’image (en cm)
Longueur réelle (en cm)
4 173
1
1,7
1 ¥ 2,3 : 1,7
2,3
1
.
L’échelle de l’image est donc environ
1,35
20
× 175 = 35
100
Marina a récolté 35 pièces de 20 centimes, ce qui fait
7 euros.
Marina a récolté 8,40 euros en pièces de 10 centimes.
83
72
175 – 35 – 84 = 56
Marina a récolté 56 pièces de 50 centimes, ce qui fait
28 euros.
7 € + 8,40 € + 28 € = 43,40 €
Marina a récolté 43,40 euros.
84
1) a) b)
5
5 × 150
: 250
3 × 1000
: 150
250
150
1 000
Nombre de cuillères
Lait reconstitué (en ml)
Il faut 3 cuillères pour 150 mL de lait reconstitué.
Il faut 20 cuillères pour 1 L de lait reconstitué.
2)
Masse (en grammes)
25
0,2
Pourcentages
100
0,2 × 100 : 25 = 0,8
Le pourcentage de lipides dans ce lait est de 0,8 %.
3) Calculons le pourcentage de glucides dans ce lait :
Masse (en grammes)
25
13
Pourcentages
100
13 × 100 : 25 = 52
Le pourcentage de glucides dans ce lait est de 52 %.
Le pourcentage de protides dans ce lait est de 36 % d’après
l’énoncé.
85
On constate que 150 km sont représentés par 3 cm
sur cette carte.
On construit alors un même tableau pour les trois
questions.
Longueurs sur la carte
(en m)
0,03
1
0,055
Longueurs réelles (en m) 150 000
516 000
1) Échelle de cette carte : 1/5 000 000.
2) Distance réelle entre Lille et Metz : 275 km.
3) Distance sur la carte entre Brest et Bordeaux :
10,32 cm.
86
C a) Au prix TTC du savon.
b) = B2 + B3
88
b)
a) 1 h = 3 600 s et 45 km = 45 000 m.
Durée (en s)
Distance parcourue (en m)
3 600
2
45 000
25
c) 25 m.
89
Vitesse (en km/h)
45
50
90
110
130
Distance de réaction
(en m)
25
28
50
61
72
13
16
艐 0,288
= 0,32
45
50
Les quotients sont différents.
Le tableau n’est pas un tableau de proportionnalité.
2)
90
1)
Vitesse (en km/h)
45
50
90
110
130
Distance de freinage
(en m) sur route sèche
13
16
52
78
109
Augmentation
de 40 % (en m)
5,2 6,4 20,8 31,2 43,6
Distance sur route
mouillée (en m)
18,2 24,4 72,8 109,2 152,6
× 0,4
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
91
1) Distance d’arrêt par temps sec :
a) à 45 km/h, DA = DR + DF = 25 m + 13 m = 38 m
b) à 130 km/h, DA = 72 m + 109 m = 181 m
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) a) « Quand on passe de 45 km/h à 130 km/h, la distance d’arrêt passe de 38 m à 181 m. »
b) De 45 km/h à 130 km/h, la distance d’arrêt est environ
multipliée par 5.
38 m × 5 = 190 m.
Chap. 7 - Proportionnalité 73
Chapitre
8
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES :
●
●
●
●
> CONNAISSANCES :
Représentation et traitement de données
Effectifs
*Fréquences
Classes
●
●
●
Représentation et traitement de données
Tableau de données, représentations graphiques de données.
[Thèmes de convergence]
CAPACITÉS
CAPACITÉS
● Lire et interpréter des informations à partir d’un
tableau ou d’une représentation graphique (diagrammes divers, histogramme).
● Présenter des données sous la forme d’un tableau,
les représenter sous la forme d’un diagramme ou
d’un histogramme (dans ce cas les classes sont toujours de même amplitude).
Calculer des effectifs,
● *Calculer des fréquences.
● Regrouper des données en classes d’égale amplitude.
●
■ Commentaires
Les élèves sont entraînés à lire, interpréter et représenter
des données en utilisant un vocabulaire adéquat dans des
contextes qui leur sont familiers.
Le calcul d’effectifs cumulés n’est pas un attendu.
*Les écritures 4/10, 2/5, 0,4, 40 % sont utilisées pour désigner
une fréquence : elles permettent d’insister sur les diverses représentations d’un même nombre.
■ Commentaires
Le choix de la représentation est lié à la nature de la situation étudiée.
L’utilisation d’un tableur permet d’enrichir ce travail en
le prolongeant à des situations plus complexes que celles
qui peuvent être traitées « à la main ».
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Extraire d’un document papier, d’un fait observé, les
informations utiles.
– Utiliser un tableur.
– Faire un tableau, faire un graphique.
– Proposer une représentation adaptée (schéma, graphique, tableau, figure…).
– Lire, utiliser, interpréter des données présentées sous
forme de tableaux, de graphiques.
– Effectuer, à la main ou avec un tableur-grapheur, des
traitements de données.
– Utiliser un tableur-grapheur pour :
● présenter des données ;
● calculer des effectifs, des fréquences, des moyennes ;
● créer un graphique ou un diagramme.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES :
●
●
■ Commentaires
Organisation et représentation de données
Représentations usuelles : tableaux
Il s’agit d’un premier pas vers la capacité à recueillir des
données et à les présenter sous forme de tableau.
CAPACITÉS
> CONNAISSANCES :
Lire, utiliser et interpréter des données à partir d’un
tableau.
● Lire, interpréter et compléter un tableau à double
entrée.
● *Organiser des données en choisissant un mode de
présentation adapté :
– tableaux en deux ou plusieurs colonnes ;
– tableaux à double entrée.
●
74
Organisation et représentation de données
Représentations usuelles :
– diagrammes en bâtons,
– *diagrammes circulaires ou demi-circulaires,
– graphiques cartésiens.
●
●
CAPACITÉS
Lire, utiliser et interpréter des informations à partir
d’une représentation graphique simple.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
■ Commentaires
La capacité visée concerne l’aptitude à faire une interprétation globale et qualitative de la représentation étudiée
(évolution d’une grandeur en fonction d’une autre).
Dès la classe de Sixième, l’utilisation de calculatrices et
de logiciels permet de familiariser les élèves avec le passage
d’un type d’organisation, d’un type de présentation à un
autre.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
●
●
●
Traitement des données
Moyennes pondérées
[Thèmes de convergence]
CAPACITÉS
Calculer la moyenne d’une série de données.
Créer, modifier une feuille de calcul, insérer une
formule.
● Créer un graphique à partir des données d’une
feuille de calcul.
●
●
■ Commentaires
Les élèves sont confrontés à des situations familières où
deux procédés de calcul différents de la moyenne sont mis
en œuvre :
– somme des n données divisée par n ;
– moyenne pondérée des valeurs par leurs effectifs.
Les élèves doivent savoir calculer, pour de petits effectifs,
une moyenne par la procédure de leur choix. Pour des
effectifs plus grands, cette procédure est basée sur l’usage
du tableur ou de la calculatrice.
Commen taires des auteurs
Commentaires
➜ Dans les classes antérieures, les élèves ont appris
à lire et interpréter des données représentées sous
différentes formes.
En ce qui concerne la représentation des données, ils
ont appris en Sixième à construire des tableaux.
➜ En Cinquième, l’élève doit apprendre à représenter des données (quantitatives ou qualitatives) à l’aide
de diagrammes ou de graphiques.
>
➜ La répartition en classe doit être étudiée dans le
cas où le nombre de données est très grand.
➜ La notion de fréquence est définie et permet de
comparer, par exemple, un même caractère dans deux
populations différentes.
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C O M M E NTAI R E S : Cette activité permet de revoir la
C ORRIGÉ
lecture et l’interprétation d’un diagramme. On peut remarquer que l’énergie hydraulique est une énergie renouvelable.
1) Ce diagramme est un diagramme circulaire.
2) Les éoliennes font partie des énergies renouvelables.
3) L’électricité produite en 2004 provient en grande partie
2
des énergies fossiles ( environ).
3
La part des énergies renouvelables non hydrauliques est
encore faible.
1
JE CALCULE DES EFFECTIFS ET DES FRÉQUENCES
Objectifs
●
●
Étudier une série de nombres.
Introduire le vocabulaire.
Prérequis
Tableau à double entrée.
Paragraphe
introduit
! Étude d’une série de nombres
■ C O M M E NTAI R E S : Dans cette activité, le vocabulaire
des statistiques est introduit à partir d’un cas quantitatif
discret.
CORRI G É
1) Cette série statistique comporte 25 données.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5.
3) 7 élèves de la classe ont un seul frère ou sœur.
4)
Nombre de
frères ou sœurs
0
1
2
3
4
5
Effectif
4
7
6
5
2
1
Fréquence
16 % 28 % 24 % 20 % 8 %
4%
5) 4 + 7 + 6 + 5 + 2 + 1 = 25. On retrouve l’effectif total.
7
= 0,28
6) a)
25
28
= 28 %. La fréquence de la valeur 1 est
b) 0,28 =
100
28 %.
Chap. 8 - Représentation et traitement de données 75
2
JE RÉPARTIS DES DONNÉES EN CLASSES
2) a)
Objectif
Étudier une répartition en classes.
Prérequis
Diagramme en bâtons.
Paragraphe
introduit
Temps de jeu
0 et 12
12 et 24
24 et 36
en min entre (12 exclu) (24 exclu) (36 exclu)
@ Répartition en classes d’une série
de nombres
Effectif
■ COM MENTAI RES : Dans cette activité, la nécessité de
répartir en classes apparaît à cause du nombre important
de valeurs prises par le caractère.
CORRIG É
5
4
7
36
et 48
4
b) 24 – 12 = 12 ; 36 – 24 = 12 ; 48 – 36 = 12.
Toutes les classes ont la même amplitude.
c) 5 joueurs ont eu un temps de jeu compris entre 0 min
et 12 min (12 min exclu).
d) 24 minutes appartient à la classe « 24 et 36 (36
exclu) ».
1) Les valeurs prises par le caractère sont trop nombreuses : un diagramme en bâtons serait peu interprétable.
3
JE CONSTRUIS UN DIAGRAMME EN TUYAUX D’ORGUE
Objectif
Représenter plusieurs séries statistiques
par un diagramme en tuyaux d’orgue.
Prérequis
Paragraphe
introduit
–
# Étude d’une série non numérique
■ COM MENTAI RES :
Dans cette activité, on étudie un cas qualitatif.
C ORRIGÉ
1) a) La hauteur du premier rectangle bleu correspond
aux 360 milliers de voitures particulières vendues par
Peugeot en 2006.
b) La hauteur du rectangle rouge correspond aux 350 milliers de voitures particulières vendues par Peugeot en 2007.
c) La hauteur du rectangle vert correspond aux 340 milliers
de voitures particulières vendues par Peugeot en 2008.
d) La hauteur du deuxième rectangle bleu correspond aux
260 milliers de voitures particulières vendues par Citroën
en 2006.
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
2)
www.phare-prof.hachette-education.com
4
JE CONSTRUIS UN DIAGRAMME CIRCULAIRE
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Représenter une série statistique
par un diagramme circulaire.
–
# Étude d’une série non numérique
■ COM MENTAI RES : Dans cette activité, on étudie un cas
qualitatif.
C ORRIGÉ
1) a)
Langue
Anglais Allemand Espagnol Italien Total
Effectif
30
22
83
15
150
Angle (en °)
72
52,8
199,2
36
360
b) On doit marquer 360 dans la colonne total, car la
mesure d’un angle plein est 360°.
30
× 360 = 72. La mesure de l’angle du secteur bleu
c)
150
est 72°.
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
3)
www.phare-prof.hachette-education.com
>
1
E x erc
er c ic
ice
es
1) a) la population étudiée : les élèves d’une
classe de Cinquième.
b) L’effectif total : 25.
2) a) le caractère étudié : le temps qu’ils consacrent au
petit déjeuner lors des jours de classe.
b) Il y a 5 valeurs pour ce caractère.
3) 23 élèves déjeunent le matin.
4) 17 élèves (12 + 4 + 1 = 17) de cette classe consacrent
au moins 10 minutes à leur petit déjeuner. Donc, plus
de la moitié des élèves de cette classe consacre au moins
10 minutes à leur petit déjeuner.
76
2
1) a) La fréquence en pourcentage de la valeur 0 :
8
2
= 0,08.
=
25 100
b) 8 % des élèves de cette classe ne prennent pas de petit
déjeuner.
2) a) La fréquence en pourcentage de la valeur 10 :
48
12
= 0,48.
=
25 100
b) Presque la moitié de la classe (48 %) prend son petit
déjeuner en 10 minutes.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
3
1) Ce document est un diagramme en tuyaux
d’orgue.
2) Effectif total : 23. Il correspond au nombre d’élèves
qui prennent un petit déjeuner.
3) La plupart des élèves prennent leur petit déjeuner seul
devant la télé.
Plus de la moitié des élèves qui déjeunent le font seul.
4
1) a) Ce document est un histogramme.
b) L’amplitude de chaque classe : 30 minutes.
2) 12 élèves sur 23 déjeunent entre 7 h et 7 h 30. Donc,
plus de la moitié des élèves qui déjeunent le font entre 7 h
et 7 h 30.
3) Très peu d’élèves déjeunent avant 6 h 30 et après 7 h 30.
La plupart des élèves déjeunent entre 6 h 30 et 7 h 30.
5
1) a) Le document 1 est un diagramme circulaire.
b) Le document 2 est un diagramme en bandes.
2) Il est vrai que plus de la moitié des boissons bues sont
à base de lait : le secteur bleu représente plus de la moitié
du disque.
3) Les boissons les plus bues sont à base de lait. Celles à
base de fruits représentent un quart environ des boissons
bues. Les céréales et les tartines sont les aliments les plus
consommés : ils représentent à eux deux plus des trois
quarts des aliments consommés pendant le petit déjeuner.
6
Pour les angles :
Bovins : 18 906 × 360° : 42 405 = 161°
Porcins : 15 005 × 360° : 42 405 = 127°
Ovins : 8 494 × 360° : 42 405 = 72°
2)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
12
Sorties culturelles
Pourcentage
Angle
Musée / Exposition
26 %
94°
Concert /Spectacle musical
37 %
133°
Théâtre / Café-théâtre
14 %
50°
Autre (cirque, son et lumière...)
23 %
83°
Total
100 %
360°
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
13
Âges
Tableau d’effectifs qui représente cette série statis-
tique.
Chiffre lu
Effectif
7
1
4
2
8
3
6
4
2
5
12
6
16
35
30-40 ans (40 exclu)
29
40-50 ans (50 exclu)
17
50-60 ans (60 exclu)
10
60-70 ans (70 exclu)
9
Total
Total
48
100
Histogramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Tableau d’effectifs qui représente cette série statis-
tique.
Véhicules observés
Effectif
voiture
13
vélo
9
bus
6
moto Total
6
34
8
Tableau d’effectifs et de fréquences qui représente
cette série statistique.
Âges
Effectif
Fréquence
12
7
0,28
13
13
0,52
14
4
0,16
15
1
0,04
Total
25
1
9
Tableau d’effectifs de ces masses regroupées en
classes d’amplitude 10 kg.
Masses
(en kg)
Effectif
70-80
(80
exclu)
2
80-90
(90
exclu)
2
90-100 100-110
(100
(110
exclu)
exclu)
9
4
Total
17
10
Battements
(par min)
Effectif
Fréquence
11
Effectifs
20-30 ans (30 exclu)
70
à 79
11
0,275
80
à 89
10
0,25
90
à 99
10
0,25
100
à 109
9
0,225
Total
40
1
1)
Bovins
Porcins
Ovins
Total
Effectif
(en milliers de têtes)
18 906
15 005
8 494
42 405
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Angle
(en degrés)
161°
127°
72°
360°
14
1)
DOM
Population
Longueur
Guadeloupe
405 500
3,3 cm
Guyane
221 500
1,8 cm
Martinique
402 000
3,3 cm
Réunion
802 000
6,6 cm
1 831 000
15 cm
Total
2)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
15
1) a) En 2004, la production de céréales a été la
plus importante.
b) 71 millions de tonnes de céréales ont été produites.
2) a) En 2003, la production de céréales a été la plus basse.
b) 55 millions de tonnes de céréales ont été produites.
3) Évolution de la production de céréales en France de
2001 à 2006 : elle est passée de 61 millions de tonnes à
63 millions de tonnes avec deux « pics », l’un en 2002 et
l’autre en 2004.
16
1) Les entreprises artisanales dont le nombre est
422 143 n’ont pas de salariés. L’artisan est seul.
2) En France, en 2007, nombre d’entreprises artisanales :
a) de 1 salarié : 127 393
b) d’au moins 16 salariés :
8 591 + 14 736 = 23 327.
c) d’au plus 10 salariés :
422 143 + 127 393 + 149 881 + 74 276 + 76 330 = 850 023
3) En France, en 2007, il y avait 896 477 entreprises artisanales au total.
Chap. 8 - Représentation et traitement de données 77
2)
17
Pointure
Effectif
Fréquence
37
6
0,15
38
8
0,2
39
20
0,5
40
4
0,1
41
2
0,05
Total
40
1
18
Nombre
(en milliers)
23
2) Le nombre de films long métrage de production française est plus important que celui de production étrangère.
Ce nombre a presque doublé de 1990 à 2008. Il a subi une
légère baisse en 1994.
Le nombre de films long métrage de production étrangère
est de l’ordre d’une trentaine et varie peu.
Fréquence
( en %)
897 516
26,8
Afrique
274 068
8,2
Amérique
656 918
19,6
1 497 254
44,6
Océanie
Total
27 011
0,8
3 352 767
100
19
Nombre
de grands
prix disputés
1
à
50
51
à
100
101
à
150
151
à
200
201
à
250
251
à
300
Total
Effectif
12
3
3
3
2
1
24
21
24
1)
Sans étoile
>
38
Effectif en milliers
1 étoile
1,4
2 étoiles
9,3
3 étoiles
3,9
4 étoiles et luxe
0,9
Total
17,5
Je f
fai
ai s l e p o int
25
26
Pays
Nombre
Angle
Chine
51
63°
États-Unis
36
45°
Russie
23
29°
Royaume-Uni
19
23°
Allemagne
16
20°
Total
145
180°
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
27
2
et
Diagrammes disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Histogramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
22
1)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Europe
Asie
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Lors d’une activité physique, le débit sanguin augmente fortement dans les muscles. Il reste inchangé dans
le cerveau et augmente légèrement dans le cœur et au
niveau de la peau. Par contre, il diminue dans les autres
organes et au niveau des reins.
Les exercices 28 à 37 sont corrigés à la page 289 du manuel élève.
1)
40
1)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) 20 % de ces emplois ne concernent pas la fabrication.
En effet, 20 % de 50 500 est égal à 10 100.
2) Presque la moitié des sites classés ont une superficie de
moins de 10 ha. Un quart des sites ont une superficie de
plus de 50 ha.
39
1)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) La plupart des déchets dangereux ont pour origine
l’industrie et la construction (plus des trois quarts des
déchets produits).
78
41
1)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) La production d’éthanol est restée sensiblement la
même de 2005 à 2008 en Espagne.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Elle a sensiblement augmenté dans cette même période
en Allemagne.
Elle a beaucoup augmenté en France : elle est passé d’environ 140 millions de litres à 950 millions de litres.
42
et
43
Diagrammes disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
44
Superficie
Forêts
14 881
Surfaces boisées hors forêts
2 104
Total
16 985
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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45
1)
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Cette affirmation de Teihotu est fausse. En effet c’est le
nombre de communes où ont été vus les loups qui a augmenté et non le nombre de loups.
46
47
49
• En supposant qu’un quart représente 84 élèves,
on a alors :
84 × 4 = 336.
336 élèves ont été interrogés.
• En supposant qu’un quart représente 132 élèves, on a
alors :
132 × 4 = 528.
528 élèves ont été interrogés.
• En supposant qu’un quart ne représente ni les
132 élèves, ni les 84. On a alors :
132 + 84 = 216.
3
216 élèves représentent les des élèves interrogés.
4
216 × 4 = 864 et 864 : 3 = 288.
288 élèves ont été interrogés.
50
1) a) La population étudiée est un groupe de
nouveau-nés.
b) Le caractère étudié est la taille des nouveau-nés.
c) Les valeurs prises par le caractère sont : 47 ; 48 ; 49 ; 50 ;
51 ; 52 ; 53.
d) Cette série comporte 20 données.
2)
Taille
(en cm)
47
48
49
50
51
52
53
Effectif
1
3
2
6
4
3
1
0,1
0,3
0,2
Fréquence
Solution rédigée sur le site élève
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3)
0,05 0,15
0,15 0,05
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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1) a) b)
Diagrammes disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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c) L’eau potable vient pour environ 40 % des eaux souterraines, alors que les eaux utilisées dans l’industrie proviennent pour environ 40 % des eaux superficielles.
2) a) b)
Diagrammes disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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c) Commenter ces deux diagrammes : plus de la moitié
des eaux superficielles est utilisée comme eau potable. Plus
des trois quarts des eaux souterraines sont utilisés comme
eau potable.
3) a) Un peu plus de 75 % des eaux souterraines sont
utilisées comme eau potable. Plus des trois quarts de la
deuxième bande sont coloriés en bleu.
3 633 : (3 633 + 1 123) est environ égal à 0,76.
b) Environ 61 % des eaux utilisées dans l’industrie proviennent des eaux superficielles.
1 738 : (1 738 + 1 123) est environ égale à 0,61.
48
Mesure de l’angle du secteur violet :
(40 × 360) : 100 = 144.
L’angle violet mesure environ 144°.
Mesure de l’angle du secteur bleu ou du secteur jaune :
360° – (90° + 144°) = 126°
126° : 2 = 63°.
Mesure des secteurs
63°
63°
144°
90°
360°
Nombre d’élèves
42
42
96
60
240
240 élèves ont participé au sondage.
42 élèves préfèrent lire des nouvelles ou du théâtre.
96 élèves préfèrent les romans.
60 élèves préfèrent les bandes dessinées.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
51
Établissement
Nombre
(en milliers)
Angle (en °)
École primaire
6 644
162
Collège
3 089
75
Lycée
2 377
58
436
11
Centres de formation
des apprentis
Enseignement supérieur
2 232
54
Total
14 778
360
Diagramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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52
1) a) La population étudiée est un groupe garçons âgés de 10 ans.
b) Le caractère étudié est la performance de chacun d’eux
en centimètre.
c) Les valeurs prises par le caractère sont : 251 ; 260 ; 285 ;
300 ; 322 ; 323 ; 325 ; 332 ; 352 ; 358 ; 360 ; 368 ; 372 ; 373 ;
380 ; 402 ; 405 et 408.
d) L’effectif total est 20.
2) a) On regroupe ces données en classe car les valeurs
prises par le caractère sont trop nombreuses.
b)
Performance
(en cm)
Effectif
Fréquence
220-260 260-300 300-340 340-380 380-420
(260
(300
(340
(380
(420
exclu) exclu) exclu) exclu) exclu)
1
3
5
7
4
0,05
0,15
0,25
0,35
0,2
Chap. 8 - Représentation et traitement de données 79
3) a) 35 % des garçons ont sauté entre 3,40 m et 3,79 m.
45
.
b) 0,05 + 0,15 + 0,25 = 0,45 =
100
45 % des garçons ont sauté moins de 3,40 m.
4) a)
Histogramme disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) La classe qui a le plus grand effectif est la classe 340 –
380, 380 exclu.
53
4) a) Le département le plus peuplé est le Rhône.
On trouve 28 % des habitants de la région dans ce département.
b) Le département le moins peuplé est l’Ardèche.
On trouve 5 % des habitants de la région dans ce département.
54
2) a) Le nombre d’habitants du Rhône est plus
du double du nombre d’habitants de la Loire.
b) Environ 20 % des habitants de la région habitent en
Savoie et Haute-Savoie.
55
1) Le diagramme représenté est un diagramme en
bâtons.
2) Pour les piétons, la catégorie d’âge qui compte le plus
de victimes est 11 ans.
80
3) a) À l’âge de 13 ans, les catégories d’usagers rangées
dans l’ordre croissant du nombre de leurs victimes : cyclomotoristes, cyclistes et piétons.
b) Ce classement n’est pas identique à l’âge de 14 ans.
Car, à 14 ans la principale cause d’accidents est le cyclomoteur. C’est l’âge auquel un adolescent peut prétendre
en conduire.
4) a) Le nombre de victimes parmi les cyclomotoristes
est quasi inexistant jusqu’à l’âge de 13 ans. Il augmente
fortement jusqu’à 17 ans, puis diminue.
b) 24 ans, 23 ans, 22 ans, 14 ans, 21 ans, 19 ans, 15 ans,
18 ans, 16 ans, 17 ans.
56
1) 2)
Diagrammes disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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3) À 13 ans, la proportion de victimes chez les piétons est
la plus importante suivie de la proportion de cyclistes et
d’usagers de voitures.
À 18 ans, la proportion de victimes chez les cyclomotoristes est la plus importante suivie de la proportion d’usagers
de voitures.
Très peu de cyclistes sont victimes à cet âge-là.
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Chapitre
9
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Symétrie axiale [Reprise du programme de 6e]
Construire le symétrique, d’une demi-droite.
Construire ou compléter à l’aide des instruments
usuels la figure symétrique d’une figure donnée.
●
●
CAPACITÉS
■ Commentaires
Construire le symétrique d’une droite.
● Le rôle de la médiatrice comme axe de symétrie
d’un segment est mis en évidence.
Comme en classe de Sixième, un travail expérimental permet d’obtenir un inventaire abondant de figures simples.
Les propriétés invariantes dans une symétrie centrale sont
ainsi progressivement dégagées et comparées avec les propriétés invariantes dans une symétrie axiale.
Ces travaux conduisent à :
– l’énoncé et l’utilisation de propriétés caractéristiques du
parallélogramme ;
– la caractérisation angulaire du parallélisme et son utilisation.
●
> CONNAISSANCES : Symétrie centrale
CAPACITÉS
Construire le symétrique d’un point, d’un segment,
d’une droite, d’un cercle.
●
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des constructions simples en utilisant :
● des outils (instruments de dessin, logiciels) ;
● des définitions, des propriétés (en acte et sans nécessité
d’indiquer ou de justifier la méthode choisie).
– Utiliser les propriétés d’une figure et les théorèmes de
géométrie pour traiter une situation simple.
– Raisonner logiquement, pratiquer la déduction,
démontrer.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : Symétrie orthogonale par rapport
■ Commentaires
à une droite (symétrie axiale)
L’élève peut utiliser la méthode de son choix.
Dans la continuité du travail entrepris à l’école élémentaire, les activités s’appuient encore sur un travail expérimental (pliage, papier calque) permettant d’obtenir un
inventaire abondant de figures simples, à partir desquelles
sont dégagées les propriétés de « conservation » de la
symétrie axiale (conservation des distances, de l’alignement, des angles et des aires).
CAPACITÉS
Construire le symétrique d’un point, d’une droite,
d’un segment, d’un cercle (que l’axe de symétrie
coupe ou non la figure).
● Construire ou compléter la figure symétrique
d’une figure donnée ou de figures possédant un axe
de symétrie à l’aide de la règle (graduée ou non), de
l’équerre, du compas, *du rapporteur.
● Effectuer les tracés de l’image d’une figure par
symétrie axiale à l’aide des instruments usuels (règle,
équerre, compas).
●
> CONNAISSANCES : *Médiatrice d’un segment
CAPACITÉS
*Connaître et utiliser la définition de la médiatrice.
Utiliser différentes méthodes pour tracer la médiatrice d’un segment.
●
●
Programme de la classe de Quatrième
La symétrie axiale et la symétrie centrale sont considérées comme des acquis des classes précédentes.
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La photocopie non autorisée est un délit.
Chap. 9 - Symétries 81
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Ce chapitre permet, d’une part, de revoir la définition
et les propriétés de la symétrie axiale et, d’autre part, de
définir la symétrie centrale et découvrir ses propriétés.
La symétrie centrale est présentée comme la transformation qui réalise un demi-tour autour d’un point
donné.
➜ Chaque propriété de conservation de la symétrie
centrale est mise en évidence et est l’occasion de rappeler une des propriétés de conservation de la symétrie axiale. On insiste sur le fait que « le symétrique
>
d’une droite est une droite parallèle » n’est vraie que
pour la symétrie centrale.
➜ Les élèves, dès le primaire, savent déterminer
les axes de symétrie d’une figure. On définit dans ce
chapitre le centre de symétrie. Son unicité n’est pas
prouvée.
➜ Dans notre progression, ce chapitre est le premier
chapitre de géométrie. Les propriétés de la symétrie
centrale seront utilisées pour démontrer des propriétés d’autres chapitres.
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES :
C ORRIGÉ
Cette activité permet de découvrir la composée de deux
symétries axiales d’axes perpendiculaires. À l’aide d’un
papier-calque et d’un compas, on amène à faire découvrir
à l’élève que les deux figures se superposent par demi-tour
autour du point O.
1) 2)
1
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) En faisant tourner le papier-calque d’un demi-tour
autour du point O, on remarque que la figure tracée sur
papier-calque et la figure initiale se superposent.
JE CONSTRUIS LE SYMÉTRIQUE D’UNE DROITE
PAR RAPPORT À UNE DROITE
Objectif
Prérequis
Paragraphes
introduits
Construire le symétrique d’une droite
par rapport à une droite.
Construire le symétrique d’un point
par rapport à une droite.
● Conservation de l’alignement dans
une symétrie axiale.
●
! Symétrie axiale
# Propriétés de la symétrie centrale
b) Symétrique d’une droite, d’une
demi-droite
■ COM MENTAI RES : Le symétrique d’une droite par rapport à une droite est une reprise du programme de Sixième.
Cette compétence fait partie alors du socle commun des
compétences. Cette activité non seulement rappelle que le
symétrique d’une droite est une droite en général non
parallèle, mais aussi amène l’élève à construire le symétrique de points par rapport à une droite.
JE REVOIS
C ORRIGÉ
1) 2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4) Le symétrique du point A par rapport à la droite (d) est
le point E.
Le symétrique du point B par rapport à la droite (d) est le
point F.
Le symétrique de la droite (AB) par rapport à la droite (d)
est la droite qui passe par les symétriques des points A et B
par rapport à la droite (d).
C’est donc la droite (EF).
5) Le point O est le point d’intersection des droites (AB)
et (d). Or, le symétrique d’un point de la droite (d) par
rapport à la droite (d) est confondu avec lui-même. Donc,
le symétrique du point O par rapport à la droite (d) est le
point O.
Donc, le point O appartient à la droite (EF).
6) a) b) c) Les droites (Δ) et (Δ’) semblent parallèles.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2
J’OBSERVE LE SYMÉTRIQUE D’UNE FIGURE PAR RAPPORT À UN POINT
Objectifs
Prérequis
Paragraphe
introduit
82
Définition de deux figures
symétriques par rapport à un point.
● Établir la propriété « Le symétrique
d’un point M par rapport à un point O
est le point M’ tel que O est le milieu
du segment [MM’].
●
■ C OM M E NTAIRE S :
Nous avons choisi de définir ce que sont deux figures
symétriques par rapport à un point. De là, découle la propriété pour la construction du symétrique d’un point en
faisant intervenir le milieu et les diverses propriétés de
conservation.
–
# Propriétés de la symétrie centrale
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
CO RRI G É
1) 2) 3) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3
J’ÉTUDIE LE SYMÉTRIQUE D’UNE DROITE PAR RAPPORT À UN POINT
Objectif
Conjecturer que :
– le symétrique d’une droite par
rapport à un point est une droite ;
– si deux droites sont symétriques par
rapport à un point, alors elles sont
parallèles.
Prérequis
Utilisation du logiciel Geogebra.
Paragraphe
introduit
# Propriétés de la symétrie centrale
b) Symétrique d’une droite, d’une
demi-droite
4
b) On fait tourner le papier-calque d’un demi-tour autour
m
du point O, d’où AO
A’ = 180°. On déduit que les points A,
O et A’ sont alignés.
De plus, AO = A’O. Donc, le point O est le milieu du segment [AA’].
4) On peut vérifier que le point O est aussi le milieu de
[BB’], [CC’] et [II’].
■ C OM M E NTAIRE S :
Cette activité permet de conjecturer d’une part que le
symétrique d’une droite par rapport à un point est une
droite et que, d’autre part, si deux droites sont symétriques
par rapport à un point alors elles sont parallèles. Le logiciel
Geogebra permet de faire ces conjectures.
C ORRIGÉ
A 3) b) Lorsque le point D se déplace sur la droite (AB),
son symétrique D’ se déplace sur une droite.
c) Le symétrique de la droite (AB) par rapport au point C
semble être une droite.
B 4) « Si deux droites sont symétriques par rapport à un
point, alors elles sont parallèles. »
JE DÉCOUVRE LE CENTRE DE SYMÉTRIE D’UNE FIGURE
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Donner la définition du centre de
symétrie d’une figure.
Axe de symétrie.
Symétrique d’un segment par
rapport à un point.
●
C ORRIGÉ
●
1) 2) a) b) c)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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$ Centre de symétrie d’une figure
■ C O MMENTAI RE S :
Cette activité permet de revoir ce qu’est un axe de symétrie d’une figure. Elle amène l’élève à découvrir le centre
>
de symétrie d’une figure, sans pour autant démontrer son
unicité.
Le symétrique de cette figure bleue par rapport au point
I est la figure bleue elle-même. Le point I est un centre de
symétrie de la figure bleue.
3) Les lettres H, I, N, O, S et Z ont un centre de symétrie.
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
a) Les figures vertes ne sont pas symétriques par
rapport à la droite (Δ).
b) Les figures vertes sont symétriques par rapport à la
droite (Δ).
c) Les figures vertes sont symétriques par rapport à la
droite (Δ).
d) Les figures vertes ne sont pas symétriques par rapport
à la droite (Δ).
2
a) Les figures violettes sont symétriques par
rapport au point A.
b) Les figures violettes ne sont pas symétriques par
rapport au point A.
c) Les figures violettes ne sont pas symétriques par
rapport au point A.
d) Les figures violettes sont symétriques par rapport au
point A.
3
a) Les droites rouges sont symétriques par rapport
à la droite (Δ).
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
b) Les droites rouges sont symétriques par rapport à la
droite (Δ).
c) Les droites rouges ne sont pas symétriques par rapport
à la droite (Δ).
d) Les droites rouges sont symétriques par rapport à la
droite (Δ).
4
« Le symétrique du point A par rapport au point O
est le point F. »
« Les points B et E sont symétriques par rapport au point O. »
« Le point O est le milieu des segments [AF], [CG] et
[BE]. »
5
a) Le symétrique par rapport au point O du segment [AC] est le segment [GF].
lC
b) Le symétrique par rapport au point O de l’angle BA
l
est l’angle EF
G.
c) Le symétrique par rapport au point O de la demi-droite
[CB) est la demi-droite [GE).
d) Le symétrique par rapport au point O de la droite (AG)
est la droite (CF).
Chap. 9 - Symétries 83
6
1) a) Le symétrique du point F par rapport au
point D est E.
b) Le symétrique du point F par rapport au point H est T.
c) Le symétrique du point F par rapport au point F est F.
d) Le symétrique du point F par rapport au point C est R.
e) Le symétrique du point F par rapport au point I est P.
2) a) Le symétrique par rapport au point D de J est A.
b) Le symétrique par rapport au point D de F est E.
c) Le symétrique par rapport au point D de G est B.
d) Le symétrique par rapport au point D de D est D.
e) Le symétrique par rapport au point D de P est H.
7
Les points M et I sont symétriques par rapport au
point F.
8
1) Le symétrique de la droite (AB) par rapport à la
droite (EF) est la droite (HJ).
2) Le symétrique de la droite (AB) par rapport au point D
est la droite (GJ).
9
à
16
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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17
a) Les segments [BC] et [EG] sont symétriques par
rapport au point M.
Or, le symétrique d’un segment par rapport à un point est
un segment de même longueur.
Donc, BC = EG = 5 cm.
l
lC sont symétriques par rapport au
b) Les angles EF
G et BA
point M.
Or, deux angles symétriques par rapport à un point sont
égaux.
l
lC = 90°.
Donc, EF
G = BA
22
Les points S et C sont symétriques par rapport au
point H. Donc, le point H est le milieu du segment [SC].
Donc, SC = 2SH = 9 cm.
23
Le segment [MU] est le rayon du cercle de centre M.
Les deux cercles sont symétriques par rapport au point H.
Or, deux cercles symétriques par rapport à un point ont le
même rayon.
Donc, le cercle de centre M a pour rayon 3 cm. Donc,
MU = 3 cm.
24
1) Les polygones RSTU et ABCD sont symétriques
par rapport au point H.
Or, le symétrique d’un polygone est un polygone de même
périmètre et de même aire.
Donc, le périmètre du polygone RSTU est égal au périmètre du polygone ABCD, soit 16,6 cm.
2) Les segments [RS] et [DC] sont symétriques par rapport
au point H.
Or, deux segments symétriques par rapport à un point
sont parallèles et de même mesure.
Donc RS = DC = 16,6 cm – 3,5 cm – 3 cm – 4,7 cm
= 5,4 cm.
25
lR et BA
lD sont symétriques
1) 2) Les angles TU
par rapport au point H.
lT et BC
lD sont symétriques par rapport au
Les angles RS
point H.
Or, le symétrique d’un angle par rapport à un point est un
angle de même mesure.
lD = TU
lR = 115° ;
Donc, BA
lD = RS
lT = 65°.
BC
26
à
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18
Les segments [PC] et [GU] sont symétriques par
rapport au point O.
Les segments [RC] et [GE] sont symétriques par rapport au
point O.
Les segments [AP] et [LU] sont symétriques par rapport au
point O.
Or, le symétrique d’un segment par rapport à un point est
un segment de même longueur.
Donc, RC = GE = 6 cm ;
AP = UL = 3 cm ;
PC = UG = 5 cm.
39
1) 2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4) Le point H semble représenter un centre de symétrie
pour le segment [EP].
40
1) 2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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19
Les points P et U sont symétriques par rapport au
point O. Donc, O est le milieu du segment [PU].
20
lL et AP
lC sont symétriques par rapLes angles GU
port au point O.
lL et AR
lC sont symétriques par rapport au
Les angles GE
point O.
Or, deux angles symétriques par rapport à un point sont
égaux.
lL = AP
lC = 90° ;
Donc, GU
l
l
GE L = ARC = 30°.
21
Les droites (RA) et (LE) sont symétriques par rapport au point O.
Or, le symétrique d’une droite par rapport à un point est
une droite parallèle.
Donc, les droites (RA) et (LE) sont parallèles.
84
38
4) Le point P semble être le symétrique du point R par
rapport au point K.
Le point P semble être le symétrique du point O par rapport au point J.
41
à
43
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44
1) 2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4) Les droites (d) et (d2) sont symétriques par rapport au
point A.
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La photocopie non autorisée est un délit.
Or, deux droites symétriques par symétrie centrale sont
parallèles.
Donc, les droites (d) et (d2) sont parallèles.
45
à
la droite portée par ce segment et la médiatrice de ce
segment.
49
47
à
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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48
51
1) 2) a) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) b) Les axes de symétrie d’un segment sont au nombre
de deux :
>
62
Je fais
fai s l e po
p o int
a) La croix basque ne possède pas d’axe de
symétrie.
La croix occitane possède quatre axes de symétrie.
b) Ces deux croix possèdent chacune un centre de
symétrie.
Les exercices 52 à 61 sont corrigés à la page 289 du manuel élève.
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) a) Les points A, B et I sont alignés puisque le point I
est le milieu du segment [AB].
Or, le symétrique d’un segment par symétrie centrale est
un segment.
Donc, les images des points A, B et I sont également alignées.
Donc, les points A’, B’ et I’ sont alignés.
b) Le point I est le milieu du segment [AB], donc AI = IB.
Or, l’image d’un segment par la symétrie centrale est un
segment parallèle et de même mesure.
Donc, AI = A’I’ et IB = I’B’.
Donc, A’I’ = I’B’.
c) On a démontré à la question a) que les points A’,B’ et I’
sont alignés.
On a démontré à la question b) que A’I’ = I’B’.
Ceci prouve bien que le point I’ est le milieu du segment
[A’B’].
d) Nous venons de démontrer que l’image du milieu d’un
segment par la symétrie centrale est le milieu du segment
symétrique du premier.
63
50
1) 2)
Donc, le symétrique du segment [AB] est le segment [CD]
et le symétrique du segment [AC] est le segment [BD].
De plus, les segments [AB] et [AC] mesurent tous les deux
4 cm.
Or, le symétrique d’un segment par la symétrie centrale est
un segment de la même mesure.
Donc, AB = BD = DC = CA = 4 cm.
Un quadrilatère qui a ses quatre côtés de la même mesure
est un losange.
Donc, ABDC est un losange.
65
1) 2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4) Le triangle vert est le symétrique du triangle ABC par
symétrie axiale.
Le triangle rouge est le symétrique du triangle ABC par
symétrie centrale.
Or, l’image d’un polygone par une symétrie centrale ou
axiale est un polygone de même aire.
Donc, les deux triangles rouge et vert sont de même aire
que le triangle ABC ; ils ont donc la même aire.
66
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) La figure orange est composée de la figure de départ
faite sur l’énoncé et de son image par la symétrie de
centre C.
Nous utilisons la propriété suivante : le symétrique d’un
polygone par la symétrie centrale est un polygone de
même périmètre. Donc, la figure de départ et son image
sont de même périmètre. De plus, le symétrique d’un segment par la symétrie centrale est un segment de même
mesure.
Ainsi, on peut affirmer que la figure orange est composée
de huit segments de 3 cm de long chacun.
Donc, la figure orange a un périmètre de 24 cm.
2) Les segments [AB] et [CD] se coupent en leur milieu O
sont de la même mesure puisque ce sont des diamètres.
Or, un quadrilatère dont les diagonales se coupent en leur
milieu et qui ont la même mesure est un rectangle. Donc,
ACBD est un rectangle.
De plus, les côtés opposés d’un rectangle sont parallèles et
de même mesure.
Donc, les droites (AC) et (BD) sont parallèles.
3) Puisque le point O est le milieu des segments [AB] et
lB
[CD] ; on peut affirmer que le symétrique de l’angle CO
lA.
est l’angle DO
Or, le symétrique d’un angle par symétrie centrale est un
angle de la même mesure.
lB = DO
lA.
Donc, CO
64
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) Par la symétrie centrale de centre I, le point A a pour
image le point D et les points B et C sont symétriques
puisque I est le milieu du segment [BC].
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
67
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Chap. 9 - Symétries 85
3) Les deux figures bleues sont symétriques par la symétrie centrale de centre P.
Or, deux figures symétriques ont la même aire.
Donc, la figure bleue est bien composée de deux figures
ayant la même aire.
Calculons alors l’aire de la figure de l’énoncé. Son aire est
égale à l’aire d’un demi-disque de rayon 4 cm. Son symétrique ayant la même aire on peut alors considérer que
l’aire de toute la figure bleue est égale à l’aire d’un disque
de rayon 4 cm.
Aire de ce disque = π × rayon × rayon = π × 4 cm × 4 cm
= 16π cm2
68
a) b) Huit de cœur : un axe de symétrie vertical et
un centre de symétrie.
As de trèfle : ni axe de symétrie, ni centre de symétrie.
Neuf de cœur : ni axe de symétrie, ni centre de symétrie.
Huit de carreau : ni axe de symétrie, ni centre de symétrie.
Valet de trèfle : pas d’axe de symétrie mais un centre de
symétrie.
Neuf de carreau : ni axe de symétrie, ni centre de symétrie.
69
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1) 2) 3)
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4) Le point H est sur la droite (MP).
Or, l’image d’une droite par la symétrie centrale est une
droite.
Donc, le symétrique du point H par la symétrie de centre
O est sur l’image de la droite (MP) par cette même symétrie ; la droite (RN).
De plus, le symétrique du point H par rapport au point O
est sur la droite (HO).
Ainsi, l’image du point H par la symétrie de centre O est
l’intersection des droites (RN) et (HJ) ; c’est le point J.
m
5) Le symétrique de l’angle M
HO par la symétrie de
l
centre O est l’angle NJO.
Or, le symétrique d’un angle par la symétrie centrale est
un angle de la même mesure.
l
m
Donc, NJ
O=M
HO = 90°.
6) Les droites (MP) et (NR) sont toutes les deux perpendiculaires à la droite (JH).
Or, deux droites perpendiculaires à une même troisième
droite sont parallèles entre elles.
Donc, les droites (MP) et (NR) sont bien parallèles.
72
76
77
1) 2) a) « Voie à sens unique. »
Un axe de symétrie vertical mais pas de centre de symétrie.
b) « Cédez le passage ! »
Trois axes de symétrie (les médiatrices des côtés du triangle
blanc) mais pas de centre de symétrie.
c) « Interdiction de stationner. »
Deux axes de symétrie et un centre de symétrie.
d) « Voie prioritaire. »
Quatre axes de symétrie et un centre de symétrie.
e) « Fin de voie prioritaire. »
Deux axes de symétrie et un centre de symétrie.
f) « Sens interdit »
Deux axes de symétrie (horizontal et vertical) et un centre
de symétrie.
78
1) 2) 3) a)
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b) Par la symétrie de centre A, le point B a pour image
le point D et le point C a pour image le point E. Ainsi le
point A est le milieu des segments [EC] et [BD].
De plus, le triangle ABC est isocèle en A.
Donc, AB = AC = AD = AE = 4 cm.
On peut en conclure que le cercle de centre A et de rayon
AB passe aussi par les points C, D et E.
lE et BA
lC sont symétriques par rapport
4) Les angles DA
au point A.
Or, deux angles symétriques par la symétrie centrale sont
égaux.
lE = BA
lC = 130°.
Donc, DA
79
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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80
A 2) b) Le point E semble se situer à l’intersection des deux diagonales du rectangle ABCD.
B 4) Le logiciel trace le symétrique du rectangle ABCD
par rapport au point E sur lui-même.
Donc, le point d’intersection des diagonales d’un rectangle est son centre de symétrie.
81
A 2) b) Le point E semble se situer à l’intersection des deux diagonales du losange ABCD.
B 4) Le logiciel trace le symétrique du losange ABCD par
rapport au point E sur lui-même.
Donc, le point d’intersection des diagonales d’un losange
est son centre de symétrie.
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Le point I est le milieu du segment [AD].
D’où, le symétrique du point A par rapport à I est le point
D.
Le symétrique de la droite (AB) est la droite passant par D
et parallèle à (AB). C’est donc la droite (CD).
Le symétrique du point B par rapport à I est le point B’. Il
appartient à la droite (BI) et à la droite (CD).
De même, le symétrique du point C est le point C’. Il
appartient à la droite (CI) et à la droite (AB).
86
à
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
70
71
73
82
A 2) b) Le point E semble se situer à l’intersection des deux diagonales du carré ABCD.
B 4) Le logiciel trace le symétrique du carré ABCD par
rapport au point E sur lui-même.
Donc, le point d’intersection des diagonales d’un carré est
son centre de symétrie.
83
4) Il n’existe pas de position du point E pour que
le polygone marron se superpose au polygone rouge.
Un polygone quelconque ne possède pas de centre de
symétrie.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
84
1) Ce napperon admet deux axes de symétrie qui
sont perpendiculaires.
2) Il admet un centre de symétrie : le point d’intersection
de ses deux axes de symétrie.
88
1) a) Le symétrique de la ville de Lille par rapport
à la ville de Calais est situé en Angleterre.
b) Le symétrique de la ville de Calais par rapport à la ville
de Lille est situé en Belgique.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
2)
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La photocopie non autorisée est un délit.
Chap. 9 - Symétries 87
Chapitre
10
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Construction de triangles et inégalité triangulaire
Utiliser différentes méthodes pour tracer la médiatrice d’un segment.
●
■ Commentaires
CAPACITÉS
Connaître et utiliser l’inégalité triangulaire.
● Construire un triangle connaissant :
– la longueur d’un côté et les deux angles qui lui sont
adjacents ;
– les longueurs de deux côtés et l’angle compris entre
ces deux côtés ;
– les longueurs des trois côtés.
●
Au niveau des exigibles du socle, il suffit de connaître une
méthode de construction.
> CONNAISSANCES : Cercle circonscrit à un triangle
CAPACITÉS
Construire le cercle circonscrit à un triangle.
■ Commentaires
■ Commentaires
Dans chaque cas où la construction est possible, les élèves
sont invités à remarquer que lorsqu’un côté est tracé, on
peut construire plusieurs triangles, deux à deux symétriques par rapport à ce côté, à sa médiatrice et à son
milieu.
L’inégalité triangulaire est mise en évidence à cette occasion et son énoncé est admis.
Le cas de l’égalité AB + BC = AC est reconnu comme caractéristique de l’appartenance du point B au segment [AC].
La construction doit être justifiée.
> CONNAISSANCES : Médiatrice d’un segment [Reprise
du programme de 6e]
CAPACITÉS
> CONNAISSANCES : Médianes et hauteurs d’un triangle
CAPACITÉS
Connaître et utiliser la définition d’une médiane et
d’une hauteur d’un triangle.
■ Commentaires
Ces notions sont à relier au travail sur l’aire d’un triangle. La
démonstration des propriétés de concours n’est pas envisageable en classe de Cinquième.
La notion de hauteur d’un triangle ne fait pas partie du
socle.
● Connaître et utiliser la définition de la médiatrice
ainsi que la caractérisation de ses points par la propriété d’équidistance.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des constructions simples en utilisant :
● des outils (instruments de dessin, logiciels) ;
● des définitions, des propriétés (en acte et sans nécessité
d’indiquer ou de justifier la méthode choisie).
Indications pour l’évaluation en situation
Les instruments sont la règle (graduée ou non), l’équerre,
le compas, le rapporteur.
Les tracés doivent pouvoir être réalisés sur papier uni ou
support informatique.
Il s’agit de construire une figure à partir de données suffisantes sur des longueurs, des angles.
88
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Utiliser les propriétés d’une figure et les théorèmes de
géométrie pour traiter une situation simple.
– Raisonner logiquement, pratiquer la déduction, démontrer (la démonstration ne doit pas faire l’objet d’une formalisation écrite).
Indications pour l’évaluation en situation
Les supports sont des configurations immédiatement
lisibles ; les raisonnements ne font pas l’objet d’une mise
en forme écrite.
L’exigence porte sur la capacité à mobiliser une propriété
pour élaborer une déduction simple.
L’évaluation s’effectue oralement ou en situation, sans
exigence particulière de formulation des justifications.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Programme de la classe de Sixième
■ Commentaires
CAPACITÉS
●
●
Reporter une longueur
*Reproduire un angle
Capacité déjà travaillée au cycle 3.
> CONNAISSANCES : *Médiatrice d’un segment
■ Commentaires
* Le rapporteur est, pour les élèves de 6e, un nouvel instrument
de mesure dont l’utilisation doit faire l’objet d’un apprentissage
spécifique.
CAPACITÉS
*Connaître et utiliser la définition de la médiatrice
ainsi que la caractérisation de ses points par la propriété d’équidistance.
● Utiliser différentes méthodes pour tracer la médiatrice d’un segment.
●
CAPACITÉS
Construire, à la règle et au compas, un triangle
connaissant les longueurs de ses côtés.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES : Triangle : milieux et parallèles
CAPACITÉS
Connaître et utiliser les théorèmes relatifs aux milieux
de deux côtés d’un triangle.
■ Commentaires
Ces théorèmes sont démontrés en utilisant la symétrie
centrale et les propriétés caractéristiques du parallélogramme ou les aires.
Dans le cadre du socle commun, seules les propriétés directes de la droite des milieux sont exigibles.
Comm e ntaires d
Commentaires
des
e s auteurs
➜ La construction d’un triangle connaissant les longueurs de ses côtés est une compétence de CM2 et de
Sixième. On découvre dans ce chapitre une condition
sur les longueurs des côtés pour que le triangle existe.
➜ Lorsque trois points sont alignés, ils ne sont pas les
sommets d’un triangle : dans le nouveau programme, un
« triangle aplati » n’est pas considéré comme un triangle.
➜ Les élèves connaissent (classe de Sixième) la définition de la médiatrice d’un segment, ses propriétés
caractéristiques et sa construction au compas.
Il connaissent aussi (classe de CM2) la définition d’une
hauteur d’un triangle.
>
Les médianes d’un triangle sont introduites en classe
de Cinquième. Une propriété des médianes (partage
d’un triangle en deux triangles de même aire) sera étudiée au chapitre 17 « Aires et volumes ».
➜ Seule la démonstration du point de concours des
médiatrices d’un triangle est au programme de Cinquième. La propriété du point de concours des hauteurs d’un triangle est conjecturée (en utilisant un
dessin ou un logiciel de géométrie dynamique). Il en
est de même du point de concours des médianes d’un
triangle.
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C OMMENTAI RE S : En profiter pour préciser que la droite
(AM) est la médiane issue du point A.
CORRI G É
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) La droite (AM) n’est pas un axe de symétrie du triangle
ABC.
3) Dans la réalité, le triangle ABC est isocèle en A.
Dans ce cas, la droite (AM) est un axe de symétrie du
triangle ABC.
Chap. 10 - Triangles : droites remarquables 89
1
JE TRACE UN TRIANGLE CONNAISSANT LES LONGUEURS DE SES CÔTÉS
Objectif
Aborder l’inégalité triangulaire.
Prérequis
Construire un triangle connaissant ses
longueurs de côtés.
Paragraphe
introduit
! Inégalité triangulaire
b) Condition d’existence d’un triangle
■ COM MENTAI RES : Préciser que lorsque les points sont
alignés, le triangle n’existe pas.
2
JE REVOIS
C ORRIGÉ
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) On peut tracer un triangle EFG dans les cas a) et f).
3) Le triangle EFG existe lorsque la somme de la longueur
bleue et de la longueur verte est supérieure à la longueur
rouge.
J’ÉTUDIE UN CAS PARTICULIER
Objectif
Étudier le cas d’égalité.
Prérequis
Résultat de l’activité 1.
Paragraphe
introduit
! Inégalité triangulaire
c) Cas d’égalité de longueurs
■ COM MENTAI RES : On ne démontre pas cette propriété.
CORRIG É
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) Le point C semble se situer sur le segment [AB].
B 1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Le logiciel affirme que le point C appartient au segment [AB].
A 1) Il n’existe pas de triangle ABC car AB n’est pas supérieur à CA + CB.
3
JE CONSTRUIS LES HAUTEURS D’UN TRIANGLE
Objectif
Découvrir le point de concours des
hauteurs d’un triangle.
Prérequis
Construire une hauteur d’un triangle.
Paragraphe
introduit
# Droites remarquables d’un triangle
a) Hauteurs
■ COM MENTAI RES : La construction d’une hauteur d’un
triangle est une compétence de CM2.
On conjecture (figure papier et ordinateur) que les hauteurs d’un triangle sont concourantes.
Une conjecture plus précise à l’aide de l’ordinateur est
aussi proposée exercice 75 page 175.
4
Prérequis
Paragraphe
introduit
Découvrir le point de concours des
médiatrices d’un triangle.
Construire la médiatrice d’un
segment.
● Connaître sa propriété
caractéristique.
●
# Droites remarquables d’un triangle
b) Médiatrices et cercle circonscrit
d’un triangle
■ COM MENTAI RES : On peut préciser que les droites (d)
et (d’) sont sécantes lorsque les points K, L et M ne sont pas
alignés.
CORRIG É
A 1) 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) « Cette droite est la hauteur du triangle ABC issue du
point A. »
4) Les trois hauteurs du triangle ABC semblent être
concourantes.
B 1) 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) Les trois hauteurs du triangle ABC semblent toujours
être concourantes (sauf quand les points A, B et C sont
alignés).
Or si un point appartient à la médiatrice d’un segment,
alors il est équidistant de ses extrémités.
Donc OK = OL.
De même, le point O appartenant à la médiatrice du segment [LM], on en déduit que OL = OM.
b) Comme OK = OL et OL = OM, on en déduit que
OK = OM.
Or, si un point est équidistant des extrémités d’un
segment, alors ce point appartient à la médiatrice de ce
segment.
Donc le point O appartient à la médiatrice du segment
[KM].
3) « Les médiatrices des trois côtés d’un triangle sont
concourantes. »
B 1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) a) Le point O appartient à la médiatrice du segment [KL].
90
C ORRIGÉ
JE DÉMONTRE UNE PROPRIÉTÉ DES MÉDIATRICES
Objectif
A 1)
JE REVOIS
2) Le cercle passant par le point K, son rayon est OK.
Or, on a vu à la partie A que OK = OL = OM.
Les points L et M appartiennent donc au cercle tracé.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
5
JE DÉFINIS LES MÉDIANES D’UN TRIANGLE
Objectifs
●
●
Prérequis
Paragraphe
introduit
Définir les médianes d’un triangle.
Découvrir leur point de concours.
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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–
# Droites remarquables d’un triangle
c) Médianes
■ C OMMENTAI RE S : On conjecture (figure papier) que les
hauteurs d’un triangle sont concourantes.
Une conjecture à l’aide de l’ordinateur est aussi proposée
exercice 74 page 175.
>
C ORRIGÉ
2) a) Pour ce triangle, le côté opposé au sommet O est le
côté [TP].
3) b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4) Les trois médianes du triangle TOP semblent être
concourantes.
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
Le chemin le plus court pour aller du point A au
point S est le chemin bleu car il est en ligne droite,
2
a) Le segment le plus long mesure 15 cm.
4 cm + 12 cm = 16 cm
De plus, 116 cm ⬎ 15 cm.
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il existe un triangle avec trois côtés ayant ces
mesures.
b) Le segment le plus long mesure 17 m.
5 m + 11 m = 16 m
Or, 16 m ⬍ 17 m
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il n’existe pas de triangle avec trois côtés ayant
ces mesures.
c) Le segment le plus long mesure 9 cm.
4,7 cm + 5cm = 9,7 cm
De plus, 9,7 cm ⬎ 9 cm.
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il existe un triangle avec trois côtés ayant ces
mesures.
d) Le segment le plus long mesure 5,8 km.
3,5 km + 2,2 km = 5,7 km
Or, 5,7 km ⬍ 5,8 km
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il n’existe pas de triangle avec trois côtés ayant
ces mesures.
3
La longueur AK peut être égale à 8 cm, 10 cm et
4
La longueur OT peut être égale à 7 cm, 16,3 cm et
16 cm.
5,3 cm.
c) MP + NP = 6,7 cm + 4,5 cm = 11,2 cm ⬎ MN
Donc, les points M, N et P ne sont pas alignés : ils forment
un triangle d’après l’inégalité triangulaire.
d) MN + MP = 5,5 cm + 5,7 cm = 11,2 cm = NP
Donc, les points M, N et P sont alignés.
8
Le point I n’est pas nécessairement le milieu du
segment [RS]. Le point I est un point de la médiatrice du
segment [RS].
9
Ces six triangles sont : GHK, GHJ, GHI, JHK, IHK
et IJH.
10
La droite rouge est la hauteur issue du point B.
La droite violette est la hauteur issue du point A.
La droite bleue est la médiane issue du point B.
La droite marron est la médiatrice du segment [AC].
11
Le cercle circonscrit au triangle EFG est vert.
12
1) La droite rouge est la médiane issue du point R.
La droite violette est la médiatrice du segment [RT].
La droite bleue est la médiatrice du segment [ST].
La droite marron est la hauteur issue du point S.
2) La droite bleue et la droite violette sont deux médiatrices dans le triangle RST.
Ces deux droites se coupent au point C.
Or, dans un triangle, les trois médiatrices sont concourantes en un point qui est le centre du cercle circonscrit.
Donc, le point C est le centre du cercle circonscrit au
triangle RST.
13
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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5
Son troisième côté mesure 8,5 cm et non 4,2 cm.
En effet, ce cas est exclu car :
4,2 cm + 4,2 cm = 8,4 cm ⬍ 8,5 cm.
Dans ce cas, le triangle n’existerait pas.
6
Le troisième côté peut mesurer soit 9,6 cm soit
5,9 cm.
Dans ces deux cas, l’inégalité triangulaire est vérifiée.
7
a) MN + NP = 9 cm + 8 cm = 17 cm = MP.
Donc, les points M, N et P sont alignés.
b) MP + NP = 5 cm + 3 cm = 8 cm ⬎ MN
Donc, les points M, N et P ne sont pas alignés : ils forment
un triangle d’après l’inégalité triangulaire.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) La droite (Δ) est la hauteur issue du point I dans
le triangle PIC car cette droite passe par un sommet du
triangle et coupe perpendiculairement le côté opposé.
14
1)
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2) Les droites (d) et (Δ) sont perpendiculaires au côté
[AF].
Or, deux droites perpendiculaires à un même segment
sont parallèles.
Donc, les droites (d) et (Δ) sont parallèles.
Chap. 10 - Triangles : droites remarquables 91
15
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) La droite (d) est une hauteur dans le triangle MOD
puisqu’elle passe par un sommet D et qu’elle est perpendiculaire au côté [MO]. En effet, cette droite est parallèle à la
droite (Δ) qui est la médiatrice du côté [MO] et qui est
donc perpendiculaire à ce segment [MO].
16
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) a) Le point d’intersection des droites (d2) et (d3) est le
milieu du segment [AN].
b) Le point d’intersection des droites (d1) et (d3) est le
point V.
3) Les droites (d1) et (d2) sont toutes les deux perpendiculaires au côté [AN].
Or, deux droites perpendiculaires à un même segment
sont parallèles.
Donc, les droites (dl) et (d2) sont parallèles.
17
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Dans un triangle, les trois médiatrices sont concourantes
en un point qui est le centre du cercle circonscrit. Donc, le
cercle de centre O et qui passe par le point P est le cercle
circonscrit au triangle TAP.
18
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Dans un triangle, les trois hauteurs sont concourantes.
Or, les deux hauteurs (AS) et (AI) se coupent en A qui est
donc le point de concours des trois hauteurs. Ainsi, la
droite (AX) passe par un sommet X et le point de concours
des hauteurs A ; c’est donc la troisième hauteur dans ce
triangle.
19
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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20
a) Le segment le plus long mesure 13,8 cm.
6,5 cm + 7,4 cm = 13,9 cm
De plus, 13,9 cm ⬎ 13,8 cm
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il existe un triangle avec trois côtés ayant ces
mesures.
b) Le segment le plus long mesure 130 m.
Or, 99 m + 31 m = 130 m
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il n’existe pas de triangle avec trois côtés ayant
ces mesures. Par contre, on peut placer trois points vérifiant ces conditions.
c) Le segment le plus long mesure 5,5 km.
3,8 km + 1,6 km = 5,4 km.
Or, 5,4 km ⬍ 5,5 km.
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il n’existe pas de triangle avec trois côtés ayant
ces mesures.
21
a) On convertit ces trois longueurs dans la même
unité : 70 cm, 170 cm et 110 cm.
92
Le segment le plus long mesure 170 cm.
70 cm + 110 cm = 180 cm.
De plus, 180 cm ⬎ 170 cm.
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il existe un triangle avec trois côtés ayant ces
mesures.
b) On convertit ces trois longueurs dans la même unité :
560 m, 430 m et 1 000 m.
Le segment le plus long mesure 1 000 m.
560 m + 430 m = 990 km.
Or, 990 m ⬍ 1 000 m.
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il n’existe pas de triangle avec trois côtés ayant
ces mesures.
22
La longueur SJ peut être égale à 4 cm car :
9,7 cm + 4 cm = 13,7 cm ⬎ JU = 13,6 cm
La longueur SJ peut être égale à 17,9 cm car :
13,6 cm + 9,7 cm = 23,3 cm ⬎ SJ = 17,9 cm
La longueur SJ peut être égale à 23,2 cm car :
13,6 cm + 9,7 cm = 23,3 cm ⬎ SJ = 23,2 cm
23
a) RS + ST = 7,5 cm + 9,8 cm = 17,3 cm > RT.
Donc, les points R, S et T ne sont pas alignés : ils forment
un triangle d’après la propriété de l’inégalité triangulaire.
b) On convertit ces trois longueurs dans la même unité :
2,6 hm, 3,6 hm et 1 hm.
RS + ST = 2,6 hm + l hm = 3,6 hm = RT.
Donc, les points M, N et P sont alignés.
24
a) OP = OM + PM = 9,6 cm + 13,8 cm = 24,4 cm
b) OP = PM – OM = 11,5 m – 7,8 m = 3,7 m
c) OP = OM – PM = 3 m – 9 dm = 2,1 m
25
Le point C se situe sur le segment [AB] sinon la
deuxième souris aurait parcouru une plus grande distance
que la première souris.
26
1) 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) Le point I est le milieu du segment [TC] puisque la
médiatrice d’un segment est la droite qui coupe ce segment perpendiculairement en son milieu.
27
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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28
1) Le point T est bien sur la médiatrice du segment
[SR] puisqu’il est à la même distance des points S et R.
2) Le point R appartient à la médiatrice du segment [TU]
puisqu’il est à égale distance des points T et U.
29
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Il s’agit des châteaux d’Amboise et de Loches.
30
et
31
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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32
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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a) Il s’agit de Vitré.
b) Il s’agit de Morlaix.
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La photocopie non autorisée est un délit.
33
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Dans un triangle, les trois médianes sont concourantes. Or, les deux médianes (ZS) et (ZG) se coupent en Z
qui est donc le point de concours des trois médianes.
Ainsi, la droite (ZU) passe par un sommet U et le point de
concours des médianes Z ; c’est donc la troisième médiane
dans ce triangle.
34
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Dans un triangle, les trois médiatrices sont concourantes en un point qui est le centre du cercle circonscrit.
>
49
Je fais
fai s l e po
p o int
35
et
36
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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37
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) Le centre du cercle circonscrit à ce triangle semble être
le milieu de l’hypoténuse.
38
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Les exercices 39 à 48 sont corrigés à la page 290 du manuel élève.
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) OM ⬍ ON, donc le chemin rouge est plus court que le
chemin bleu.
50
Donc, le cercle de centre O et qui passe par le point A est
le cercle circonscrit au triangle ABC.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Le chemin rouge est bien le plus court puisque la longueur
OR est la longueur du chemin rouge.
51
1) La plus petite longueur possible du troisième
côté est 57 cm car dans ce cas :
57 cm + 68 cm = 125 cm.
D’après l’inégalité triangulaire, la somme des longueurs
de deux côtés d’un triangle doit être supérieure strictement à la longueur du troisième côté.
Ici, on a bien 125 cm ⬎ 124 cm.
2) La plus grande longueur possible du troisième côté est
191 cm car dans ce cas :
124 cm + 68 cm = 192 cm et 192 cm ⬎ 191 cm.
22 cm ⬍ L ⬍ 174 cm
Dans le cas de 22 cm, on a : 22 cm + 76 cm = 98 cm.
Dans le cas de 174 cm, on a : 76 cm + 98 cm = 174 cm,
d’après l’inégalité triangulaire.
b) ● 4,6 × 2 = 9,2 cm
9,2 cm ⬎ 9 cm
Donc, cas impossible.
● 9 – 4,6 = 4,4 cm
et 4,4 : 2 = 2,2 cm
Donc, le triangle peut mesurer :
2,2 cm ; 2,2 cm ; 4,6 cm.
55
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Il y a deux possibilités pour le point F, comme l’indique le
schéma.
Pour le point F1 :
DF1 = DE – EF1 – 145 cm – 87 cm = 58 cm.
Pour le point F2 :
DF2 = DE + EF2 = 145 cm + 87 cm = 233 cm.
56
57
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
TV = TU + UV = 2x +5 + 5x + 7 = 7x +12
58
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
52
4 ⬍ L ⬍ 21 + 4
On doit avoir : L + ⬎ + 4 ; donc, L ⬎ 4
On doit avoir également : + 4 + ⬎ L ; donc, 2 + 4 ⬎ L.
D’après l’inégalité triangulaire.
53
54
a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4,6 × 2 = 9,2 cm et 18 – 9,2 = 8,8 cm
18 – 9,2 = 8,8 cm.
Donc, le triangle peut mesurer :
4,6 cm ; 4,6 cm ; 8,8 cm.
● 18 – 4,6 = 13,4 cm
et 13,4 : 2 = 6,7 cm
Donc, le triangle peut mesurer :
6,7 cm ; 6,7 cm ; 4,6 cm.
●
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
59
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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3) Le point C est situé sur la médiatrice du segment [AB] ;
donc le point C est à égale distance des points A et B :
AC = BC.
De plus, le point C est sur le cercle de centre A et de rayon
AB ; donc AC = AB.
Ainsi, nous venons de montrer que AC = BC – AB. Ce qui
prouve bien que ABC est un triangle équilatéral.
60
61
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Chap. 10 - Triangles : droites remarquables 93
2) Le point R est situé, entre autre, sur la médiatrice du
segment [PN]. Il est donc à égale distance des extrémités
de ce segment. Donc, RP = RN.
62
67
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Les deux autres hauteurs de ce triangle sont les côtés
[OF] et [LF].
3) Le point de concours des trois hauteurs est donc le
point F.
63
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) Puisque O est le centre du cercle circonscrit au triangle
ABC, alors :
OA = OB = OC.
Puisque EFG est le triangle symétrique du triangle ABC par
la symétrie centrale de centre O, alors :
OA = OE
OB = OF
OC = OG.
Ainsi, OA = OB = OC = OE = OF = OG. Ceci prouve bien
que le cercle circonscrit au triangle ABC est également
circonscrit au triangle EFG.
64
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Puisque le triangle LAC est isocèle en A, on peut affirmer que le point A est à égale distance des points L et C.
Ceci prouve que le point A appartient à la médiatrice (d)
du segment [LC].
3) a) La médiane issue du point A passe par le milieu du
côté [LC]. Or, la médiatrice du segment [LC] passe également par le point A et le milieu du côté [LC]. Donc, la
médiane issue du point A est la droite (d).
b) La hauteur issue du point A coupe perpendiculairement le côté [LC]. Or, la médiatrice du segment [LC] passe
également par le point A et coupe perpendiculairement
le côté [LCJ. Donc, la hauteur issue du point A est la
droite (d).
65
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) Le point O est sur la médiatrice du segment [EM] et sur
la médiatrice du segment [EG]. Donc, le point O est à égale
distance des points E, M et G. Entre autre, le point O est
à la même distance des points G et M.
Le point O’ est sur la médiatrice du segment [FM] et sur la
médiatrice du segment [FG]. Donc, le point O’ est à égale
distance des points F, M et G. Entre autre, le point O’ est
à la même distance des points G et M.
Ainsi, les points O et O’ sont à égale distance des points G
et M. Ils sont donc situés sur la médiatrice du segment
[GM]. On peut donc nommer (OO’) la médiatrice du segment [GM].
66
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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La rivière devant être obligatoirement franchie perpendiculairement, on commence par la supprimer, par exemple
par pliage (figures 1 et 2).
94
On trace ensuite le plus court chemin entre les points A
et B, on déplie, puis on trace le pont (figures 2 et 3).
On convertit d’abord toutes les longueurs dans la
même unité :
2 800 m, 3 300 m et 458 m
Le côté le plus long mesure 3 300 m.
2 800 m + 458 m = 3 258 m
Or, 3 258 m ⬍ 3 300 m
D’après la propriété de l’inégalité triangulaire, on peut
affirmer qu’il n’existe pas de triangle avec trois côtés ayant
ces mesures.
68
On convertit ces trois longueurs dans la même
unité :
PI = 9,6 cm ; IC = 8 cm et PC = 1,6 cm.
IC + PC = 8 cm + 1,6 cm = 9,6 cm = PI
Donc, les points P, I et C sont alignés.
69
et
70
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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25 cm ⬍ L ⬍ 159 cm
Dans le cas de 25 cm, on a : 25 cm + 67 cm = 92 cm.
Dans le cas de 159 cm, on a : 67 cm + 92 cm = 159 cm ;
d’après l’inégalité triangulaire.
71
72
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) La hauteur (d) issue du point I est perpendiculaire au
côté [LP].
La médiatrice (Δ) du côté [LP] lui est perpendiculaire.
Or, deux droites perpendiculaires à un même segment
sont parallèles. Donc, les droites (d) et (Δ) sont parallèles.
73
1) 2) a) et 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) Par la symétrie d’axe (OR), l’image du point R est R
lui-même.
Par la symétrie d’axe (OR), le point T a pour image T’ ; ce qui
signifie que la droite (OR) est la médiatrice du segment [TT’].
Donc, le point O est à égale distance des points T et T’.
De la même manière, on montrerait que le point O est à la
même distance des points E et E’.
De plus, le point O est le centre du cercle circonscrit au
triangle TER ; donc le point O est à la même distance des
points T, E et R.
Nous venons donc de montrer que le point O est à égale
distance des points T, E, R, T’ et E’. Ce qui prouve que
les points T’ et E’ sont sur le cercle circonscrit au triangle
TER.
74
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) b) La droite (BI) est la médiane issue du point B pour
le triangle ABC.
3) b) Le logiciel affirme que le point G appartient à la
médiane issue du point A.
c) Cette conjecture reste vraie lorsque l’on déplace les
points A, B et C.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
75
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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2) b) Cette droite est la hauteur du triangle ABC issue du
point B.
3) b) Le logiciel affirme que le point H appartient à la
hauteur issue du point A.
c) Cette conjecture reste vraie lorsque l’on déplace les
points A, B et C.
76
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
5) b) Le logiciel affirme que le point G appartient à la
droite (HO).
c) Cette conjecture reste vraie lorsque l’on déplace les
points A, B et C.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
77
1) 2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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4) Le triangle ABS semble être un triangle équilatéral.
78
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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La ville de Sartène appartient à cette médiane.
79
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Les villes de Sartène et de Solenzara appartiennent à cette
hauteur.
De ces deux villes, seule la ville de Solenzara est à égale
distance de Calvi et de Bastia.
Chap. 10 - Triangles : droites remarquables 95
Chapitre
11
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Construction de triangles et inéga-
CAPACITÉS
lité triangulaire
Connaître les propriétés relatives aux angles des
triangles suivants : triangle isocèle, triangle équilatéral, triangle rectangle.
CAPACITÉS
• Construire un triangle connaissant :
– la longueur d’un côté et les deux angles qui lui sont
adjacents ;
– les longueurs de deux côtés et l’angle compris entre
ces deux côtés,
– les longueurs des trois côtés.
• Sur papier uni, reproduire un angle au compas.
■ Commentaires
La connaissance ainsi développée des figures ci-contre
conduit à les situer les unes par rapport aux autres en mettant en évidence leurs propriétés communes et des propriétés différentes.
> CONNAISSANCES : Triangle, somme des angles d’un
triangle
■ Commentaires
Dans chaque cas où la construction est possible, les élèves
sont invités à remarquer que lorsqu’un côté est tracé, on
peut construire plusieurs triangles, deux à deux symétriques par rapport à ce côté, à sa médiatrice et à son
milieu.
> CONNAISSANCES : Propriétés des triangles usuels
[Reprise du programme de 6e]
CAPACITÉS
Connaître et utiliser, dans une situation donnée, le
résultat sur la somme des angles d’un triangle.
■ Commentaires
Savoir l’appliquer aux cas particuliers du triangle équilatéral, d’un triangle rectangle, d’un triangle isocèle.
La symétrie centrale ou la caractérisation angulaire du parallélisme qui en découle permettent de démontrer que la somme des
angles d’un triangle est égale à 180 degrés.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des constructions simples en utilisant :
• des outils (instruments de dessin, logiciels)
• des définitions, des propriétés (en acte et sans nécessité
d’indiquer ou de justifier la méthode choisie).
Indications pour l’évaluation en situation
Les instruments sont la règle (graduée ou non), l’équerre,
le compas, le rapporteur.
Les tracés doivent pouvoir être réalisés sur papier uni ou
support informatique.
Il s’agit de construire une figure à partir de données suffisantes sur des longueurs, des angles.
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Utiliser les propriétés d’une figure et les théorèmes de
géométrie pour traiter une situation simple.
– Raisonner logiquement, pratiquer la déduction, démontrer (la démonstration ne doit pas faire l’objet d’une formalisation écrite).
Indications pour l’évaluation en situation
Les supports sont des configurations immédiatement
lisibles ; les raisonnements ne font pas l’objet d’une mise
en forme écrite.
L’exigence porte sur la capacité à mobiliser une propriété
pour élaborer une déduction simple.
L’évaluation s’effectue oralement ou en situation, sans
exigence particulière de formulation des justifications.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : Propriétés et construction des
triangles usuels
CAPACITÉS
• Utiliser ces propriétés pour reproduire ou
construire des figures simples.
• Construire une figure simple à l’aide d’un logiciel
de géométrie dynamique.
• Connaître les propriétés relatives aux côtés et
aux *angles des triangles suivants : triangle isocèle,
triangle équilatéral, triangle rectangle.
96
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
• *Utiliser un rapporteur pour :
– déterminer la mesure en degré d’un angle ;
– construire un angle de mesure donnée en degré.
■ Commentaires
On travaillera à la fois les constructions sur papier par les
outils de dessin traditionnels et les constructions sur écran
à l’aide d’un logiciel de géométrie.
> CONNAISSANCES : Angles
CAPACITÉS
■ Commentaires
*Le rapporteur est un nouvel instrument de mesure qu’il
convient d’introduire à l’occasion de la construction et de l’étude
des figures.
• Comparer des angles sans avoir recours à leur
mesure.
Programme de la classe de Quatrième
• Caractériser les points d’un cercle de diamètre donné
par la propriété de l’angle droit.
> CONNAISSANCES : Triangle rectangle : cercle circonscrit
CAPACITÉS
■ Commentaires
• Caractériser le triangle rectangle par son inscription
dans un demi-cercle dont le diamètre est un côté du
triangle.
Le cas où le demi-cercle n’est pas apparent (la longueur d’une
médiane d’un triangle est la moitié de celle du côté correspondant) est étudié.
Comm en tai res d
Commentaires
des
e s au
auteurs
teu rs
➜ En classe de Sixième, les élèves ont appris à
construire un triangle connaissant :
– la longueur d’un côté et les mesures des deux angles
adjacents à ce côté ;
– les longueurs de deux côtés et la mesure de l’angle
adjacent à ces côtés.
En classe de Cinquième, la propriété de la somme des
angles d’un triangle permet notamment de calculer
>
la mesure d’un angle nécessaire à la construction du
triangle.
➜ Les propriétés caractéristiques des triangles
particuliers (rectangle, isocèle, équilatéral) sont
établies. La propriété « Si un triangle possède deux
angles de même mesure, alors il est isocèle » n’est pas
démontrée.
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C OMMENTAI RE S : Cette activité permet de conjecturer
C ORRIGÉ
que la somme des mesures des angles d’un triangle est
égale à 180°.
1) 2) Selon les élèves.
3) Les sommes trouvées doivent être proches de 180°.
Trouver les erreurs pour ceux qui trouvent moins de 175°
ou plus de 185°.
On peut faire un tableau récapitulatif des sommes trouvées (par exemple entre 175° et 185°).
1
JE CONJECTURE UNE PROPRIÉTÉ DES ANGLES D’UN TRIANGLE
Objectif
Conjecturer la somme des mesures
des angles d’un triangle.
Prérequis
Savoir qu’un angle plat mesure 180°.
Paragraphe
introduit
@ Somme des mesures des angles
d’un triangle
■ C OMMENTAI RE S : Pour cette activité, il est nécessaire
d’avoir des ciseaux et de la colle.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
C ORRIGÉ
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) a) L’angle obtenu semble être plat.
b) On peut le vérifier en utilisant une règle ou un rapporteur.
c) La somme des mesures des angles d’un triangle semble
être égale à 180°.
Chap. 11 - Triangles : angles 97
2
JE DÉMONTRE UNE PROPRIÉTÉ DES ANGLES D’UN TRIANGLE
Objectif
Prérequis
Démontrer que la somme des mesures
des angles d’un triangle égale 180°.
●
●
Paragraphe
introduit
Propriétés de la symétrie centrale.
Propriétés des droites parallèles.
@ Somme des mesures des angles
d’un triangle
■ C O M M E NTAI R E S : On démontre la propriété conjecturée à l’activité 1.
Cette démonstration étant difficile (notamment le 3) c)),
il est conseillé de faire cette activité avec les élèves.
CORRIG É
1) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
lI et CB
lI sont symétriques par rapport au
b) Les angles RA
point I.
Or une symétrie centrale conserve les mesures d’angles.
lI = CB
lI.
Donc RA
2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
lS et JC
lB sont symétriques par rapport au
b) Les angles JA
point I.
3
J’ÉTUDIE DES PROPRIÉTÉS DES TRIANGLES ISOCELES
Objectif
Revoir les propriétés des angles
des triangles isocèles.
Prérequis
Connaître l’axe de symétrie
d’un triangle isocèle.
Paragraphe
introduit
$ Angles d’un triangle isocèle
■ COM MENTAI RES : On revoit les propriétés des angles
des triangles isocèles en utilisant le vocabulaire des droites
remarquables d’un triangle.
CORRIG É
1) a) b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
c) Le point A est équidistant des points B et C, donc le
point A appartient à la médiatrice du segment [BC], c’està-dire la droite (Δ).
>
1
JE REVOIS
2) a) La médiatrice du segment [BC] est perpendiculaire
au côté [BC] et passe par le point A, c’est donc la hauteur
du triangle ABC issue de A.
b) La médiatrice du segment [BC] passe par le milieu
du côté [BC] et par le point A, c’est donc la médiane du
triangle ABC issue de A.
3) a) Le point A appartient à la droite (Δ), son symétrique
par rapport à la droite (Δ) est donc le point A.
La droite (Δ) est la médiatrice du segment [BC], le symétrique du point B par rapport à la droite (Δ) est donc le
point C.
Ainsi, la droite (Δ) est un axe de symétrie du triangle ABC.
b) La droite (Δ) est un axe de symétrie du triangle ABC et
la symétrie axiale conserve les mesures d’angles, donc les
lC et AC
lB ont la même mesure.
angles AB
lI et CA
lI étant symétriques
4) a) De même, les angles BA
lI et CA
lI ont la
par rapport à la droite (Δ), les angles BA
même mesure.
b) La demi-droite [AI) est donc la bissectrice de l’angle
lC.
BA
E x erc
er c ic
ice
es
À la règle graduée, tracer un segment [UN] de 6 cm
de longueur. À l’aide du rapporteur, tracer un angle de
sommet U qui mesure 92°. À l’aide du rapporteur, tracer
du même côté du segment [UN] un angle de sommet N qui
mesure 36°. Les deux demi-droites ainsi tracées se coupent
en un point F. Fiona, tu obtiens ainsi le triangle FUN. Tu
lN mesure
peux vérifier à l’aide du rapporteur que l’angle UF
bien 52°.
98
Or une symétrie centrale conserve les mesures d’angles.
lS = JC
lB.
Donc JA
3) a) Les droites (AR) et (BC) sont symétriques par rapport au point I.
Or le symétrique d’une droite par rapport à un point est
une droite parallèle.
Donc, les droites (AR) et (BC) sont parallèles.
b) De même, les droites (AS) et (BC) sont symétriques par
rapport au point J.
Donc, les droites (AS) et (BC) sont parallèles.
c) Les droites (AR) et (BC) sont parallèles ainsi que les
droites (AS) et (BC).
Donc les droites (AR) et (AS) sont parallèles avec le point
A en commun.
Ces deux droites sont donc confondues.
Ainsi, les points A, R et S sont alignés.
lI + IA
lJ + JA
lS = RA
lS.
d) On a RA
lS mesure
Or, les points A, R et S étant alignés, l’angle RA
180°.
lI + IA
lJ + JA
lS = 180°
Donc RA
lI = CB
lI et JA
lS = JC
lB
4) On a vu que RA
l
l
l
l
l
lB.
Ainsi, RAI + IAJ + JAS = CBI + IAJ + JC
l
l
l
On a démontré que RAI + IAJ + JAS = 180°.
lI + IA
lJ + JC
lB = 180°.
On en conclut que CB
2
Trace un segment [TG] de longueur 5 cm.
lG
À l’aide du rapporteur, place le point O tel que l’angle OT
mesure 94° et tel que le segment [OT] mesure 3 cm.
Trace alors le triangle TOG.
Trace enfin la médiatrice du segment [OG] à l’aide de
l’équerre ou du compas.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
3
Dans les quatre cas suivants, on utilise la propriété : « Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180°. »
lD = 180° – (36° + 64°) = 80°
a) AK
lK = 180° – (60° + 70°) = 50°
b) AD
lD = 180° – (112° + 43°) = 25°
c) KA
lD = 180° – (64,5° + 44,5°) = 71°
d) KA
4
● On se place dans le triangle TOR.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lO = 180° – (OT
lR + TO
lR)
Donc, TR
l
TRO = 180° – (60° + 80°)
lO = 40°.
TR
● On se place dans le triangle FTR.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lT = 180° – (FR
lT + FT
lR) = 180° – (40° + 103°) = 37°.
Donc, RF
5
a) Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180°.
lT = 180° – (TO
lD + DT
lO) = 180° – (37° + 53°) = 90°.
Donc, OD
l
Puisque l’angle ODT = 90°, le triangle DOT est un triangle
rectangle.
b) Le triangle DOT a trois côtés de même mesure ; c’est
donc un triangle équilatéral et non rectangle.
lD = 90° ; alors le triangle TO
lD est
c) Puisque l’angle OT
rectangle en T.
d) Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lD = 180° – (OD
lT + DO
lT) = 180° – (51,5° + 39,5°)
Donc, OT
= 89°.
Aucun des trois angles de ce triangle ne mesure 90° ; ce
n’est donc pas un triangle rectangle.
e) Aucun angle de ce triangle ne peut mesurer 90°. En
effet, dans un triangle, la somme des mesures des angles
lT = 102°.
est égale à 180°. Or, OD
La somme des deux autres angles est donc égale à
180° – 102° = 78°. Cette somme est inférieure à 90°.
6
Dans un triangle rectangle, la somme des mesures
des deux angles aigus est de 90°.
Or, un de ces angles mesure 28°.
Donc, l’autre angle aigu mesure : 90° – 28° = 62°.
lG = 180° – (XE
lG + EG
lX) = 180° – (40° + 65°) = 75°
Donc, EX
Les trois angles de ce triangle ont des mesures différentes.
Il s’agit donc d’un triangle quelconque.
d) Calculons la mesure du troisième angle.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lX = 180° – (GX
lE + EG
lX) = 180° – (55° + 70°) = 55°
Donc, GE
lX et GX
lE sont de la même mesure ;
Puisque les angles GE
alors c’est un triangle isocèle en G.
e) Les trois côtés de ce triangle ont des longueurs différentes, c’est donc un triangle quelconque.
9
Puisque le triangle JKL est un triangle rectangle en
l
J, alors l’angle LJ
K mesure 90°.
Puisque ce triangle est isocèle en J, alors les angles à la base
l
lL.
ont la même mesure : JL
K = JK
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
l
lL = (180° – 90°) : 2 = 45°.
Donc, JL
K = JK
10
lY est un angle à
Première possibilité : l’angle MA
la base.
Dans ce cas, l’autre angle à la base mesure 70°.
Le troisième angle s’obtient en utilisant la propriété : dans
un triangle, la somme des mesures des angles est égale à
180°.
Donc, 180° – (70° + 70°) = 40°. Le troisième angle mesure
donc 40°.
lY est l’angle principal.
● Deuxième possibilité : l’angle MA
Dans ce cas, puisque les deux autres angles sont les angles
à la base, ils sont de même mesure.
De plus, dans un triangle, la somme des mesures des angles
est égale à 180°.
Donc, chacun des deux autres angles mesure :
(180° – 70°) : 2 = 55°.
11
Dans un triangle, la somme des mesures des angles
est égale à 180°.
lS = 180° – (RS
lT + TR
lS) = 180° – (60° + 60°) = 60°.
Donc, RT
Dans ce triangle, les trois angles ont la même mesure ; ce
qui prouve que c’est un triangle équilatéral.
12
à
14
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
7
Dans cet exercice, nous utiliserons les deux propriétés suivantes :
« Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°. »
« Si un triangle est isocèle, alors ses deux angles à la base
ont la même mesure. »
lB = CA
lB = 73°
a) AC
l
lC + BC
lA) = 180° – (73° + 73°) = 34°
ABC = 180° – (BA
l
l
lF = 180° – 50° = 130°
b) FE
G + EF
G = 180° – EG
l
l
Donc, FE
G = EF
G = 130° : 2 = 65°.
l
l
lR = 180° – 32° = 148°
c) RT
U + TR
U = 180° – TU
l
l
Donc, RTU = TRU = 148° : 2 = 74°.
lR = 180° – (ST
lR + SR
lT) = 180° + (50° – 50°)
Par ailleurs, TS
= 80°.
●
15
1) Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180°.
lU = 180° – XR
lU – XU
lR = 180° – 40° – 38° = 102°.
Donc, RX
2)
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16
1) Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180°.
lL = 180° – KJ
lL – JL
l
Donc, JK
K = 180° – 58° – 68° = 54°.
2)
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8
a) Deux angles de ce triangle ont la même mesure.
Or, si un triangle a deux angles de même mesure, c’est un
triangle isocèle. Donc, le triangle GEX est isocèle en X.
b) Deux côtés de ce triangle ont la même longueur ; ce qui
signifie que ce triangle GEX est isocèle en G.
c) Calculons la mesure du troisième angle.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
17
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Pour construire ce triangle, calculons la mesure de l’angle
lP.
MN
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
Chap. 11 - Triangles : angles 99
lP = 180° – NM
lP – MP
lN
Donc, MN
= 180° – 92° – 51° = 37°.
Il est alors possible de tracer le triangle.
18
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Pour construire ce triangle, calculons la mesure de l’angle
lO.
CR
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lO = 180° – RC
lO – RO
lC = 180° – 90° – 35° = 55°.
Donc, CR
Il est alors possible de tracer le triangle.
19
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Pour construire ce triangle, calculons la mesure de l’angle
lY.
AD
Dans un triangle isocèle, les deux angles à la base ont la
même mesure.
lD = AD
lY = 46°.
Donc, AY
Il est alors possible de tracer le triangle.
20
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Pour construire ce triangle, calculons la mesure de l’angle
lV.
XZ
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lV = 180° – VX
lZ – ZV
lX = 180° – 49° – 41° = 90°.
Donc, XZ
Il est alors possible de tracer le triangle.
lV mesure 90°. Le triangle VX
lZ est donc un
2) L’angle XZ
triangle rectangle en Z.
lC ; on en
La droite (AD) est la bissectrice de l’angle BA
l
l
déduit que BAC = 2 × DAC = 2 × 28° = 56°.
De plus, dans un triangle, la somme des mesures des angles
est égale à 180°.
lC = 180° – BA
lC – BC
lA = 180° – 56° – 39° = 85°.
Donc, AB
28
1)
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l
Pour construire ce triangle, on calcule l’angle TE
M.
l
l
lE = 180° – 59° – 42° = 79°.
TE
M = 180 – ET
M – TM
On représente 1 km par 1 cm. On trace alors le triangle
ETM tel que TE = 2,5 cm.
2) a) TM = 3,7 cm.
b) Une valeur approchée de la distance entre la tour et le
moulin est donc de 3,7 km.
29
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Pour construire ce triangle, calculons la mesure de l’angle
l
IQ
M.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
l
l
lQ = 180° – 98° – 41° = 41°.
Donc, IQ
M = 180° – QI
M – IM
Il est alors possible de tracer le triangle.
lI et IQ
l
2) Les deux angles QM
M ont la même mesure. Le
triangle MIQ est donc isocèle en I.
1) Dans un triangle rectangle, la somme des
mesures des deux angles aigus est égale à 90°.
lB = 90° – AB
lC = 180° – 25° = 65°.
Donc, AC
30
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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31
21
à
23
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24
1)
www.phare-prof.hachette-education.com
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2) a) EF = 3,8 cm
b) Une valeur approchée de la distance entre Christian et
le bateau est donc de 380 m.
25
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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26
a) Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180°.
lC = 180° – AB
lC – AC
lB = 180° – 78,6° – 54,4° = 47°.
Donc, BA
b) Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
l
lI – GH
lI = 180° – 47° – 76,8° = 56,2°.
Donc, HI
G = 180° – HG
27
On se place dans le triangle ACD.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lC = 180° – AC
lD – DA
lC = 180° – 39° – 28° = 113°.
Donc, AD
On se place dans le triangle ABC.
100
1) Dans un triangle rectangle, la somme des
mesures des deux angles aigus est égale à 90°.
lP = 90° – PO
lG = 90° – 68° = 22°.
Donc, OG
lG = 90° puisque le triangle POG est rectangle
De plus, OP
en P.
2)
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32
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Pour construire ce triangle, calculons la mesure de l’angle
l
SI
G.
Dans un triangle rectangle, la somme des mesures des
angles aigus est égale à 90°.
l
lI = 90° – 27° = 63°.
Donc, SI
G = 90° – SG
Il est alors possible de tracer le triangle.
33
1) a) On se place dans le triangle TMR.
Dans un triangle rectangle, la somme des mesures des
angles aigus est égale à 90°.
lR = 90° – TR
l
Donc, TM
M = 90° – 54° = 36°.
b)
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2) On se place dans le triangle MTH.
Dans un triangle rectangle, la somme des mesures des
angles aigus est égale à 90°.
lH = 90° – TM
lH = 90° – 36° = 54°.
Donc, MT
lH et HT
lR sont complémentaires.
Les angles MT
lR = 90° – MT
lH = 90° – 54° = 36°.
Donc, HT
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La photocopie non autorisée est un délit.
34
1)
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2) Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lO = 180° – PO
lC – CP
lO = 180° – 43° – 48° = 89°.
Donc, PC
Ce triangle n’est pas rectangle puisque aucun de ses angles
ne mesure 90°.
Pour construire ce triangle, on calcule la mesure des angles
l
lO.
DO
M et DM
Ce sont deux angles à la base dans un triangle isocèle ; ils
sont donc de même mesure.
l
lO = (180° – MD
lO) : 2
Donc, DO
M = DM
= (180° – 98°) : 2 = 41°.
Il est alors possible de construire ce triangle.
39
1)
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35
53° et 37° car 53° + 37° = 90°
31,5° et 90°
48,5° et 41,5° car 48,5° + 41,5° = 90°
42,5° et 47,5° car 42,5° + 47,5° = 90°
Il reste 31,5° et 90°, mais 90° est un angle droit.
36
lB et AB
lC sont les angles à la base
a) Les angles AC
d’un triangle isocèle. Ils sont donc de même mesure.
lB = AB
lC = 55,8°.
Donc, AC
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lC = 180° – AC
lB – AB
lC
Donc, BA
= 180° – 55,8° – 55,8° = 68,4°.
b) Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lF + DF
lE = 180° – ED
lF = 180° – 42,6° = 137,4°.
Donc, DE
lF et DF
lE sont les angles à la base d’un
Or, les angles DE
triangle isocèle. Ils sont donc de même mesure.
lF = DF
lE = 137,5° : 2 = 68,75°.
Donc, DE
37
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lF.
Pour construire ce triangle, il faut calculer l’angle NA
lF = 180 – 2 × 73 = 180° – 146° = 34°
NA
On trace un segment [AN] de longueur 6 cm.
lF = 73°
Le point F est tel que AF = 6 cm (compas) et AN
(rapporteur).
38
>
52
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Je fais
fai s l e po
p o int
lR.
2) Calculons la mesure de l’angle AC
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lR = 180° – AR
lC – CA
lR = 180° – 42° – 96° = 42°.
Donc, AC
l
l
Puisque les angles ACR et ARC sont de la même mesure, le
triangle RAC est isocèle en A.
40
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lO.
2) Calculons la mesure de l’angle BX
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lO = 180° – BO
lX – XB
lO = 180° – 68° – 54° = 58°.
BX
Ce triangle est un triangle quelconque puisqu’il a trois
angles de mesures différentes.
41
1) Si un triangle a deux angles qui mesurent 60°,
alors ce triangle est équilatéral.
En effet, la mesure du troisième angle est :
180° – 60° – 60° = 60°.
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Une valeur approchée de la hauteur de cette pyramide est
de 5,2 m.
Les exercices 42 à 51 sont corrigés à la page 290 du manuel élève.
2)
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
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2) a) On compte deux points d’intersection.
b) Les deux triangles tracés ne sont pas superposables.
53
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Il n’y a pas de triangle qui vérifie les dimensions de
l’énoncé.
54
1) a) La symétrie d’axe (AB).
b) La symétrie d’axe la médiatrice du segment [AB].
c) La symétrie de centre le milieu du segment [AB].
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La photocopie non autorisée est un délit.
55
1)
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2) Les triangles 1 et 2 sont symétriques par la symétrie
d’axe (EF).
Les triangles 3 et 4 sont symétriques par la symétrie d’axe
(EF).
Les triangles 1 et 3 sont symétriques par la symétrie de
centre le milieu du segment [EF].
Les triangles 2 et 4 sont symétriques par la symétrie de
centre le milieu du segment [EF].
Les triangles 1 et 4 sont symétriques par la symétrie d’axe
la médiatrice du segment [EF].
Les triangles 2 et 3 sont symétriques par la symétrie d’axe
la médiatrice du segment [EF].
Chap. 11 - Triangles : angles 101
56
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lG = 180° – 77° – 46° = 57°.
On calcule FE
On construit le traingle EFH puis le triangle FGH.
57
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) • Première méthode
On se place dans le triangle TON.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lN = 180° – TN
lO – NT
lO = 180° – 90° – 58° = 32°.
Donc, TO
l
l
Or, les angles TON et NOG sont complémentaires.
lG = 90° – TO
lN = 90° – 32° = 58°.
Donc, NO
• Deuxième méthode
On se place dans le triangle TOG.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lO = 180° – TO
lG – OT
lG = 180° – 90° – 58° = 32°.
Donc, TG
On se place alors dans le triangle NOG.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lG = 180° – NG
lO – ON
lG = 180° – 32° – 90° = 58°.
Donc, NO
58
1) La droite (CE) est une hauteur dans le triangle
lB puisque
ABC. Mais c’est aussi la bissectrice de l’angle AC
le triangle ABC est équilatéral.
Or, un triangle équilatéral a trois angles de 60° chacun.
lE = AC
lB : 2 = 60° : 2 = 30°.
Donc, AC
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Une valeur approchée de la longueur de chaque côté du
triangle ABC est 45 cm.
59
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
63
1) Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180.
Donc, x + 2x + 3x = 180.
Cette égalité peut se simplifier en : 6x = 180.
2) x est donc égal à 30 car 6 × 30 = 180
2x = 60
3x = 90
Les mesures des angles de ce triangle sont donc 30°, 60° et 90°.
64
1) Dans un triangle rectangle, la somme des deux
angles aigus est égale à 90°.
Donc, x + 3x = 90 ou 4x = 90.
2) On en déduit que x = 90° : 4 = 22,5.
Donc, 3x = 67,5.
La mesure de chacun des angles aigus de ce triangle est
22,5° et 67,5°.
65
On étudie deux possibilités.
L’angle de mesure double se situe au sommet principal.
Chaque angle de base mesure x et l’angle au sommet principal mesure 2x.
La somme des angles du triangle mesure 180°.
x + x + 2x = 180.
D’où 4x = 180.
On a donc x = 180 : 4 = 45.
On reconnaît un triangle isocèle et rectangle.
● L’angle de mesure double se situe à la base.
L’angle au sommet principal mesure y et chaque angle de
base mesure 2y.
La somme des angles du triangle mesure 180°.
y + 2y + 2y = 180.
D’où 5y = 180.
On a donc y = 180 : 5 = 36.
Ce triangle isocèle a donc un angle au sommet principal
de mesure 36° et deux angles de base de mesure 72°.
●
66
On test des triplets de multiples de 10 consécutifs
dont la somme égale 180.
On trouve 50 + 60 + 70 = 180.
Les angles de ce triangle mesurent 50°, 60° et 70°.
67
60
On se place dans le triangle ADE.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lE = 180° – DA
lE – DE
lA = 180° – 90° – 56° = 34°.
Donc, AD
lE et ED
lC sont complémentaires.
Les angles AD
lC = 90° – AD
lE = 90° – 34° = 56°.
Donc, ED
On se place alors dans le triangle CDE.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lD = 180° – ED
lC – EC
lD = 180° – 56° – 34° = 90°.
Donc, CE
lD. Ce qui
Ainsi, le triangle CDE possède un angle droit CE
prouve qu’il s’agit d’un triangle rectangle en E.
61
On se place dans le triangle ABC isocèle en A.
lB et AB
l
Les angles à la base AC
C sont donc égaux :
lB = AB
l
AC
C = 38°.
On se place dans le triangle CBD.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lB = 180° – BC
lD – CB
lD
Donc, CD
= 180° – 38° – 2 × 38° = 66°.
62
1) L’autre angle aigu mesure 90 – x.
2) L’autre angle à la base mesure x et le troisième angle
mesure : 180 – 2x.
102
On test des triplets de carrés parfaits dont la somme
égale 180.
102 = 100 ; 82 = 64 et 42 = 16.
On a bien 100 + 64 + 16 = 180.
Les angles de ce triangle mesurent 100°, 64° et 16°.
68
Un quadrilatère peut être partagé (selon une de ses
diagonales) en deux triangles.
La somme des angles d’un quadrilatère est donc le double
de celle d’un triangle.
Ainsi, la somme des angles d’un quadrilatère est égale à 360°.
Si de plus, les quatre angles ont la même mesure, chacun
mesure le quart de 360°.
360° : 4 = 90°.
Ainsi les quatre angles sont droits.
Le quadrilatère étudié est donc un rectangle.
69
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
70
1) Dans un triangle rectangle, la somme des deux
angles aigus est égale à 90°.
l
l
Donc, AB
C = 90° – BA
C = 90° – 7° = 83°.
2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) Une valeur approchée de d est 1,7 m.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
71
a) Dans un triangle, la somme des mesures des
angles est égale à 180°.
lU = 180° – BU
lH – UB
lH = 180° – 53,5° – 73° = 53,5°.
Donc, BH
l
l
Les angles BHU et BUH étant de la même mesure, le
triangle BHU est donc isocèle en B.
b) Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lH = 180° – HU
lB – BH
lU
Donc, UB
= 180° – 43,4° – 46,6° = 90°.
Le triangle BHU est donc rectangle en B.
c) Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lU = 180° – BU
lH – UB
lH = 180° – 60° – 60° = 60°.
Donc, BH
Puisque les trois angles ont la même mesure, le triangle
BHU est équilatéral.
72
1) On se place dans le triangle ACE.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
l
lE – CA
lE = 180° – 22° – 68° = 90°.
Donc, AE
C = 180° – AC
l
Puisque l’angle AE
C mesure 90°, la droite (CE) est bien une
hauteur du triangle ABC.
2) On se place dans le triangle BDF.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lF = 180° – BF
lD – FB
lD = 180° – 63° – 27° = 90°.
Donc, BD
Ainsi, la droite (FD) coupe perpendiculairement le segment [AB] en son milieu D.
Ceci prouve que la droite (FD) est la médiatrice du segment [AB].
3) Les droites (FD) et (CE) sont toutes les deux perpendiculaires à la droite (AB).
Or si deux droites perpendiculaires à une même droite,
alors elles sont parallèles.
Donc, les droites (FD) et (CE) sont parallèles.
73
Premier cas : l’angle de 60° est un angle à la base.
Dans un triangle isocèle, les deux angles à la base sont de
la même mesure.
Dans ce cas, l’autre angle à la base de ce triangle isocèle
mesure également 60°.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
Donc, le troisième angle mesure : 180° – 60° – 60° = 60°.
Les trois angles ont la même mesure (60°) ; il s’agit bien
d’un triangle équilatéral.
● Deuxième cas : l’angle de 60° n’est pas un angle à la
base.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
Donc, la somme des deux angles à la base est égale à
180° – 60° = 120°.
Or, dans un triangle isocèle, les deux angles à la base sont
de la même mesure.
Donc, chacun des angles à la base mesure : 120° : 2 = 60°.
Les trois angles ont la même mesure (60°) ; il s’agit bien
d’un triangle équilatéral.
●
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
74
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) On se place dans le triangle BIL.
Dans un triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lL + BL
lI = 180° – IB
l
Donc, BI
L = 180° – 38° = 142°.
Or, le triangle BIL est isocèle en B et ses deux angles à la
lL et BL
lI sont donc de même mesure.
base BI
lI = BI
lL = 142° : 2 = 71°.
Donc, BL
On se place dans le triangle VIL isocèle en L.
Dans un triangle isocèle, les deux angles à la base ont la
même mesure.
l
lI = 38°.
Donc, LI
V = LV
De plus, dans un triangle, la somme des mesures des angles
est égale à 180°.
l
l
lI = 180° – 38° – 38° = 104°.
Donc, IL
V = 180° – LI
V – LV
l
Calculons la mesure de l’angle BL
V:
l
lI + IL
l
BL
V = BL
V = 71° + 104° = 175°.
l
Donc, l’angle BL
V n’est pas un angle plat. Les points B, L
et V ne sont pas alignés.
75
4) c) Le triangle ABC semble rectangle en C.
l
l
BAC + AB
C = 32° + 58° = 90°.
Si la somme des mesures de 2 angles d’un triangle est égale
à 90°, alors ce triangle est rectangle.
Le triangle ABC est donc rectangle en C.
78
2) La citadelle de Lille a la forme d’un pentagone
régulier.
79
1) Dans le triangle DEC, la somme des mesures
des trois angles roses est égale à 180°.
Dans le triangle ECA, la somme des mesures des trois
angles bleus est égale à 180°.
Dans le triangle ABC, la somme des mesures des trois
angles orange est égale à 180°.
Ainsi la somme des mesures des angles colorés du pentagone ABCDE est égale à 3 × 180°, c’est-à-dire à 540°.
2) Le pentagone régulier à 5 angles de même mesure et
leur somme égale 540°.
Ainsi chacun mesure 540° : 5°, c’est-à-dire à 108°.
80
1) Le triangle CAB est isocèle en B, d’où
l
lB.
BA
C = AC
La somme des mesures de ses angles est égale à 180° avec
l
AB
C = 108°.
l
lB = 180° – 108° = 72° = 36°.
Ainsi BA
C = AC
2
2
2) On a de même dans le triangle DAE isocèle en E :
lE = AD
lE = 36°.
DA
lC = BA
lE – DA
lE – BA
l
3) DA
C = 108° – 36° – 36° = 72° – 36°
lC = 36°.
DA
lD = DA
lC = CA
lB = 36°.
On remarque donc que EA
Chap. 11 - Triangles : angles 103
Chapitre
12
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Angles [Reprise du programme de 6e]
CAPACITÉS
●
●
●
Reproduire un angle.
Maîtriser l’utilisation du rapporteur.
Sur papier uni, reproduire un angle au compas.
■ Commentaires
La connaissance ainsi développée des figures ci-contre
conduit à les situer les unes par rapport aux autres en
mettant en évidence leurs propriétés communes et des
propriétés différentes.
> CONNAISSANCES : Caractérisation angulaire du parallélisme
■ Commentaires
Pour la reproduction d’un angle : usage d’un gabarit ou du
rapporteur. L’usage du rapporteur doit faire l’objet d’un
approfondissement.
> CONNAISSANCES : Propriétés des triangles usuels
[Reprise du programme de 6e]
CAPACITÉS
Connaître les propriétés relatives aux angles des
triangles suivants : triangle isocèle, triangle équilatéral, triangle rectangle.
CAPACITÉS
Connaître et utiliser les propriétés relatives aux angles
formés par deux parallèles et une sécante et leurs réciproques.
■ Commentaires
À cette occasion, le vocabulaire suivant est également utilisé :
angles opposés par le sommet, angles alternes internes, angles
correspondants, angles adjacents, angles complémentaires,
angles supplémentaires. Les propriétés sont formulées et utilisées dans les deux sens (direct et réciproque), mais certaines réciproques peuvent être déclarées admises sans démonstration.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigible en fin de Quatrième
– Reproduire un angle : usage d’un gabarit, du rapporteur
ou du compas.
– Connaître les propriétés relatives aux angles des triangles suivants : triangle isocèle, triangle équilatéral, triangle
rectangle.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : *Bissectrice d’un angle
> CONNAISSANCES : Angles
CAPACITÉS
CAPACITÉS
• *Connaître et utiliser la définition de la bissectrice.
• Utiliser différentes méthodes pour tracer la bissectrice d’un angle.
•
•
•
–
–
■ Commentaires
*La bissectrice d’un angle est définie en Sixième comme la
demi-droite qui partage l’angle en deux angles adjacents de
même mesure. La justification de la construction de la bissectrice à la règle et au compas est reliée à la symétrie axiale.
104
Reproduire un angle.
Comparer des angles sans avoir recours à leur mesure.
*Utiliser un rapporteur pour :
déterminer la mesure en degré d’un angle ;
construire un angle de mesure donnée en degré.
■ Commentaires
*Le rapporteur est un nouvel instrument de mesure qu’il
convient d’introduire à l’occasion de la construction et de l’étude
des figures.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES : Triangle rectangle : cosinus d’un
CAPACITÉS
angle
•
•
–
–
CAPACITÉS
• Utiliser dans un triangle rectangle la relation entre
le cosinus d’un angle aigu et les longueurs des côtés
adjacents.
• Utiliser la calculatrice pour déterminer une valeur
approchée :
– du cosinus d’un angle aigu donné ;
– de l’angle aigu dont le cosinus est donné.
> CONNAISSANCES : Triangle rectangle : cercle circonscrit
Connaître et utiliser la définition de la bissectrice.
Utiliser différentes méthodes pour tracer :
la médiatrice d’un segment ;
la bissectrice d’un angle.
■ Commentaires
La bissectrice d’un angle est définie comme la demi-droite
qui partage l’angle en deux angles adjacents de même
mesure.
La justification de la construction de la bissectrice à la
règle et au compas est reliée à la symétrie axiale. Cette
construction n’est pas exigible dans le cadre du socle
commun.
> CONNAISSANCES : Bissectrices et cercle inscrit
CAPACITÉS
• Caractériser le triangle rectangle par son inscription
dans un demi-cercle dont le diamètre est un côté du
triangle.
• Caractériser les points d’un cercle de diamètre donné
par la propriété de l’angle droit.
■ Commentaires
Le cas où le demi-cercle n’est pas apparent (la longueur d’une
médiane d’un triangle est la moitié de celle du côté correspondant) est étudié.
> CONNAISSANCES : Bissectrice d’un angle [Reprise des
programmes antérieurs]
CAPACITÉS
• Caractériser les points de la bissectrice d’un angle
donné par la propriété d’équidistance aux deux côtés
de l’angle.
• Construire le cercle inscrit dans un triangle.
■ Commentaires
Cette caractérisation permet de démontrer que les trois bissectrices d’un triangle sont concourantes et justifie la construction
du cercle inscrit. L’analogie est faite avec le résultat concernant
les médiatrices des trois côtés du triangle vu en classe de Cinquième.
Comm en tai res d
Commentaires
des
e s au
auteurs
teu rs
➜ Les élèves ont appris à mesurer et à construire des
angles en classe de Sixième. La maîtrise du rapporteur
est visée en classe de Cinquième. La compétence de
« reporter un angle au compas » est revue dans ce chapitre en exercice.
➜ Les angles adjacents ont déjà été vus en Sixième
lors de la définition de la bissectrice. Le vocabulaire
concernant les angles complémentaires, supplémentaires, opposés par le sommet, alternes-internes, cor-
>
respondants est mis en place en Cinquième ; des activités permettent de donner du sens à certains de ces
mots.
➜ Les angles alternes-internes sont définis même si
les droites ne sont pas parallèles : ils n’ont donc pas
toujours la même mesure. Il en est de même pour les
angles correspondants. Les propriétés directes ont été
démontrées ; les propriétés réciproques sont admises
et conjecturées grâce à des logiciels.
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C OMMENTAI RE S : Cette activité est l’occasion de découvrir un peintre français Raoul Dufy à travers une œuvre
moins connue que celles que l’on présente habituellement
pour aborder ce peintre. On découvre également l’utilisation cachée de la géométrie dans l’art avec la composition
des tableaux, thème que l’on retrouvera à la dernière page
du chapitre avec Léonard de Vinci.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
C ORRIGÉ
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Chap. 12 - Angles 105
1
JE RECONNAIS DES ANGLES ADJACENTS
Objectif
Trouver une définition de deux angles
adjacents.
Prérequis
Demi-droites ; angles.
Paragraphe
introduit
! Paires d’angles
a) Angles adjacents
■ C O M M E NTAI R E S : On peut remarquer que si deux
angles ont un côté commun, ils ont forcément leur sommet en commun. On a choisi de citer quand même dans
la définition la condition « un sommet commun » pour
insister auprès des élèves.
2
C ORRIGÉ
1) Les figures pour lesquelles l’angle jaune et l’angle
rose ont un sommet commun sont les figures 1, 2, 4, 5.
2) a) Deux demi-droites sont confondues si elles ont tous
leurs points en commun donc, en particulier, la même
origine.
b) L’angle jaune et l’angle rose ont un côté commun pour
les figures 1, 2, 4.
3) Deux angles adjacents sont situés de part et d’autre de
leur côté commun.
4) Deux angles adjacents sont deux angles qui ont un
côté commun, un sommet commun et sont situés de part
et d’autre de ce côté commun.
JE DÉMONTRE UNE PROPRIÉTÉ DES ANGLES OPPOSÉS PAR LE SOMMET
Objectifs
Prérequis
Définir deux angles opposés par le
sommet.
● Démontrer la propriété des angles
opposés par le sommet.
●
●
●
Paragraphe
introduit
Angles adjacents.
Propriétés de la symétrie axiale.
! Paires d’angles
c) Angles opposés par le sommet
CORRIG É
A 1) 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
lC, CO
lE et EO
lB correspondent respectiveb) Les angles AO
ment aux parties 2, 3 et 4 de la figure.
lE n’est pas adjacent à l’angle AO
lB.
c) Seul l’angle CO
3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
B 1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) a) Le point A’ est le symétrique du point A par rapport
au point O. Les point A, O et A’ sont donc alignés. Comme
A et O appartiennent à la droite (d), on a :
(AO) = (d) et donc A’ Z (d).
b) On démontre de même que le point B’ appartient à la
droite (d’).
lB et A’O
m
c) Les angles AO
B’ sont formés par deux droites
sécantes (d) et (d’) et ne sont pas adjacents car ils n’ont pas
de côtés communs ; ils sont donc opposés par le sommet.
lB et A’O
mB’ sont symétriques par rapport
d) Les angles AO
au point O.
Comme la symétrie centrale conserve les angles, ils ont
donc la même mesure.
www.phare-prof.hachette-education.com
3
JE RECONNAIS DES ANGLES ALTERNES-INTERNES, DES ANGLES CORRESPONDANTS
Objectif
Prérequis
Paragraphes
introduits
Définir les angles alternes-internes
et les angles correspondants.
—
! Paires d’angles
d) Angles alternes-internes
e) Angles correspondants
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) a) Deux angles alternes-internes sont situés de part
et d’autre de la droite (Δ).
106
www.phare-prof.hachette-education.com
B 1) 2) 3) a) et c)
CORRIG É
A 1)
b) Deux angles alternes-internes sont situés entre les
droites (d) et (d’).
c) Le mot alterne signifie d’un côté et de l’autre. Le mot
interne signifie entre les droites, c’est-à-dire à l’intérieur de
la partie de plan située entre les deux droites.
d)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) Deux angles correspondants sont situés du même côté
de la droite (Δ).
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
4
JE DÉMONTRE QUE DES ANGLES SONT ÉGAUX
Objectif
Démonstration des propriétés directes
sur droites parallèles et angles :
– les angles alternes-internes
ont la même mesure ;
– les angles correspondants
ont la même mesure.
Prérequis
Propriétés des angles opposés
par le sommet.
Paragraphe
introduit
@ Droites parallèles et angles
a) Propriétés directes
CO RRI G É
lI et IB
lF sont alternes-internes.
1) Les angles CA
2) a) Les points A et B sont symétriques par rapport au
point I car I est le milieu du segment [AB] d’après
l’énoncé.
b) Le symétrique d’une droite par rapport à un point est
une droite parallèle.
c) Le symétrique de la droite (d) par rapport au point I est
une droite parallèle à (d) qui contient en particulier l’image
>
du point A (donc le point B). C’est donc la droite (d’)
puisque cette droite répond à la question et que, d’après
l’axiome d’Euclide : « Étant donné un point B et une droite
(d), il existe une droite et une seule passant par le point B
et parallèle à la droite (d). »
lI par rapport au point I est
d) Le symétrique de l’angle CA
lI donc l’angle IB
lF.
l’angle FB
e) La symétrie centrale conserve les angles, donc les angles
lI et IB
lF ont la même mesure.
CA
f) « Si deux droites sont parallèles et forment avec une
même sécante des angles alternes-internes, alors ces
angles alternes-internes ont la même mesure. »
lE et IB
lF sont correspondants. Les
3) a) Les angles PA
lE et CA
lI sont opposés par le sommet.
angles PA
b) On sait que deux angles opposés par le sommet ont la
même mesure.
lE = CA
lI.
Donc PA
lI et IB
lF ont la
De plus d’après la question 2) les angles CA
même mesure.
lE et IB
lF ont la même mesure.
Donc, les angles PA
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
a) Non, car ils n’ont pas le même sommet.
b) En effet, ils ont le même sommet, un côté commun et
ils sont situés de part et d’autre de ce côté commun.
2
a) Non, car ils ne sont pas de part et d’autre d’un
côté commun.
b) En effet, ils ont le même sommet, un côté commun et
ils sont situés de part et d’autre de ce côté commun.
3
1) a) Le sommet est O.
lB sont les demi-droites [OA) et
b) Les côtés de l’angle AO
[OB).
lC sont les demi-droites [OB) et
Les côtés de l’angle BO
[OC).
2) On ne peut pas affirmer que ces angles sont adjacents
même s’ils ont le même sommet O et un côté commun
[OB). On ne sait pas s’ils sont situés de part et d’autre de ce
côté commun.
4
a) b) Figure 1 : 68° + 22° = 90°. Les deux angles
sont donc complémentaires.
Figure 2 : 57° + 23° = 80°. Les deux angles ne sont donc ni
complémentaires ni supplémentaires.
Figure 3 : les deux angles sont supplémentaires ; leur
somme est bien égale à 180°.
Figure 4 : 132° + 58° = 190°. Les deux angles ne sont donc
ni complémentaires ni supplémentaires.
5
lP = 90° – AB
lC = 90° – 58° = 32°
a) CO
lP = 180° – AB
lC = 180° – 58° = 122°
SU
lP = 90° – AB
l
b) CO
C = 90° – 21° = 69°
lP = 180° – AB
lC = 180° – 21° = 159°
SU
lP = 90° – AB
l
c) CO
C = 90° – 15° = 75°
l
l
SUP = 180° – ABC = 180° – 15° = 165°
lP = 90° – AB
l
d) CO
C = 90° – 45° = 45°
lP = 180° – AB
lC = 180° – 45° = 135°
SU
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La photocopie non autorisée est un délit.
lP = 90° – AB
lC = 90° – 30,5° = 59,5°
e) CO
l
l
SUP = 180° – ABC = 180° – 30,5° = 149,5°
lP = 90° – AB
l
f) CO
C = 90° – 90° = 0°
lP = 180° – AB
lC = 180° – 90° = 90°
SU
6
a) Ils ne sont pas opposés par le sommet car leurs
côtés ne sont pas dans le prolongement l’un de l’autre.
b) En effet, ces deux angles sont opposés par le sommet ;
ils ont le même sommet et leurs côtés sont dans le prolongement l’un de l’autre.
c) Ils ne sont pas opposés par le sommet car leurs côtés ne
sont pas dans le prolongement l’un de l’autre.
d) En effet, ces deux angles sont opposés par le sommet ;
ils ont le même sommet et leurs côtés sont dans le prolongement l’un de l’autre.
7
a) Correspondants.
b) Alternes-internes.
c) Ni l’un ni l’autre.
d) Ni l’un ni l’autre.
e) Ni l’un ni l’autre ; ils sont opposés par le sommet.
f) Correspondants.
g) Ni l’un ni l’autre.
h) Ni l’un ni l’autre.
8
a) 4 et 6 ; 3 et 5
b) 1 et 5 ; 4 et 8 ; 2 et 6 ; 3 et 7
9
Les angles 1 et 5 sont correspondants donc égaux
dans le cas où les droites (d) et (d’) sont parallèles.
10
L’angle noir et l’angle vert sont correspondants et
de même mesure. Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
11
1) L’angle rose et l’angle jaune sont alternesinternes. De plus, les droites (AB) et (DE) sont parallèles.
Donc, l’angle rose et l’angle jaune sont égaux. L’angle rose
mesure donc 25°.
Chap. 12 - Angles 107
lD et AE
lF sont supplémentaires.
2) Les angles AE
l
Donc, AEF = 180° – 25° = 155°.
12
lE et AB
l
1) Les angles CB
E sont supplémentaires.
l
Donc, CBE = 180° – 87° = 93°.
lE et l’angle FE
lT sont correspondants. De
2) L’angle CB
plus, les droites (AB) et (DE) sont parallèles. Donc, l’angle
lE et l’angle FE
lT sont égaux. L’angle FE
lT mesure donc
CB
93°.
13
l
lC sont opposés par le som1) Les angles AB
E et GB
lC = 78°.
met donc égaux. Donc, GB
lT et l’angle AB
lE sont correspondants. De
2) L’angle DE
plus, les droites (AB) et (DE) sont parallèles. Donc, l’angle
lT et l’angle AB
lE sont égaux. L’angle DE
lT mesure donc
DE
78°.
lT et BE
lF sont opposés par le sommet donc
3) Les angles DE
l
égaux. Donc, BEF = 78°.
14
lE et l’angle BE
lF sont alternes-internes.
L’angle AB
De plus, les droites (AB) et (DE) sont parallèles. Donc,
lE et l’angle BE
lF sont égaux. L’angle BE
lF mesure
l’angle AB
donc 73°.
lF et BE
lD sont supplémentaires.
Les angles BE
lD = 180° – BE
lF = 180° – 73° = 107°.
Donc, BE
24
lB et KA
lB sont supplémentaires.
Les angles RA
lB = 180° – KA
lB = 180° – 17° = 163°
a) RA
lB = 180° – KA
lB = 180° – 63° = 117°
b) RA
lB = 180° – KA
lB = 180° – 81° = 99°
c) RA
lB = 180° – KA
lB = 180° – 58° = 122°
d) RA
25
lR et KA
lB ; EA
lK et BA
lC
a) EA
lA et CR
lI ; ER
lC et AR
lI
b) ER
26
lA et CR
lI
1) ER
l
l
2) CAK et GB I
3) Deux angles opposés par le sommet sont de même
mesure.
27
lB et GB
lA ; IB
lA et KA
lB
a) CA
l
l
l
l
l
lF ; CB
lA et IB
lF
b) IBA et RAE ; GBA et KAE ; KAB et GB
28
lI et OI
lR
a) AR
l
l
b) BIR et ARE
29
lA et RA
lB
a) ER
l
l
b) ERA et EAK
30
15
a) Les angles jaunes sont correspondants et de
même mesure. Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
b) L’angle rose et l’angle bleu sont alternes-internes et de
même mesure. Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
16
lY et AT
l
Les angles IA
E sont correspondants et de
même mesure. Donc, les droites (MY) et (OE) sont parallèles.
17
lN et NU
mY sont supplémentaires.
Les angles GU
m
l
Donc, NUY = 180° – GU N = 180° – 49° = 131°.
mY et ANU sont alternes-internes et
De plus, les angles NU
de même mesure. Donc, les droites (GY) et (AE) sont parallèles.
18
lK et KA
lB.
1) EA
l
l
l
lG ; FB
lG et GB
lA.
2) ABI et IBF ; IBF et FB
lB et IB
lF
a) CI
l
l
b) CIB et ABG
31
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
32
mE et AM
mI sont opposés par le
1) Les angles YM
mI = 29°.
sommet, donc égaux. Donc, AM
m
mI sont supplémentaires.
2) Les angles TA
M et MA
mI = 180° – TA
m
Donc, MA
M = 180° – 119° = 61°.
3) Dans un triangle, la somme des angles est égale à
180°.
m
mI – AM
mI = 180° – 61° – 29° = 90°.
Donc, AI
M = 180° – MA
Donc, le triangle AMI est rectangle en I.
33
L’angle rose et l’angle bleu sont alternes-internes
et de même mesure. Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
19
lB et EA
lR.
1) KA
2) Non, car ils ne sont pas de part et d’autre du côté commun [IC).
34
L’angle orange et l’angle vert sont correspondants
et de même mesure. Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
20
lR et CI
l
1) Les angles CI
O sont adjacents et leurs
valeurs sont connues.
lR = OI
l
lR = 90° + 22° = 112°.
Donc, OI
C + CI
l
l
2) Les angles RI
B et RI
O sont supplémentaires.
l
l
Donc, RIB = 180° – RIO = 180° – 112° = 68°.
21
lI et IB
lF ; IB
lF et FB
lG ; FB
lG et GB
lA ; GB
lA et AB
lI.
AB
22
lC et AR
lI
a) ER
l
l
b) RAB ; EAK
23
lB est un angle droit.
1) CI
l
l
Les angles CIR et RI
B sont complémentaires et adjacents.
2) CRI est un triangle rectangle.
lI et RI
l
Les angles RC
C sont complémentaires et non
adjacents.
3) Le triangle EAR est un triangle rectangle en R. Donc, les
lR et AE
lR sont complémentaires.
angles EA
108
35
lA et AB
lE sont supplémentaires.
Les angles FB
lE = 180° – FB
lA = 180° – 148° = 32°
Donc, AB
lE et CA
lU sont correspondants et de même
Les angles AB
mesure (32°).
Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
36
lI et RA
lF sont opposés par le sommet
Les angles GA
donc de même mesure.
lF = 156°.
Donc, RA
lF et OR
lC sont correspondants et de même
Les angles RA
mesure.
Donc, les droites (d) et (d’) sont parallèles.
37
Les droites (UT) et (JI) sont parallèles.
lS et IJ
l
De plus, les angles TU
U sont correspondants.
lS = IJ
l
Donc, TU
U = 48°.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
38
a) Dans un triangle, la somme des angles est égale
à 180°.
Donc, l
SI J = 180° – l
SJ I – l
IS J = 180° – 48° – 78° = 54°.
b) Les droites (UT) et (JI) sont parallèles.
lI et l
De plus, les angles ET
SI J sont alternes-internes.
lI = l
Donc, ET
SI J = 54°.
lI et ET
lI sont supplémentaires.
c) Les angles UT
l
l
Donc, UT I = 180° – ET I = 180° – 54° = 126°.
39
l
Les angles l
JIE et EI
C sont supplémentaires.
l
Donc, EI
C = 180° – l
JIE = 180° – 132° = 48°.
l
lI sont correspondants et de même
Les angles EI
C et UJ
mesure. Donc, les droites (JS) et (EI) sont parallèles.
>
Je fais
fai s l e po
p o int
lR et AI
lT sont opposés par le
1) Les angles EI
sommet donc de même mesure.
lT = EI
lR = 48°.
Donc, AI
lG et OI
lS sont opposés par le
De même, les angles NI
sommet donc de même mesure.
lG = OI
lS = 19°.
Donc, NI
lS et GI
lE sont opposés par le
De même, les angles TI
sommet donc de même mesure.
lS = GI
lE = 19°.
Donc, TI
Ainsi, il est possible de faire la somme des angles suivants :
lT + TI
lS + SI
l
l
l
l
AI
O + RI
E + EI
G + GI
N = 2 × 48° + 4 × 19°
= 172°
La somme de tous les angles adjacents qui font le tour du
point I est de 360°.
l
l
Donc, il reste à faire la somme des angles AI
N et RI
O:
l
l
AI
N + RI
O = 360° – 172° = 188°.
Or, ces deux angles sont opposés par le sommet, donc de
même mesure.
l
Donc, AI
N = 188° : 2 = 94°.
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
55
lA et AC
lD sont complémen1) a) Les angles FC
taires.
lA = 90° – AC
lD = 90° – x.
Donc, FC
lA ;
b) Puisque la droite (CF) est la bissectrice de l’angle BC
lF = FC
lA = 90° – x.
alors BC
lA et AC
lD sont supplémentaires.
c) Les angles EC
lA = 180° – AC
lD = 180° – x.
Donc, EC
2) a) Puisque la droite (CF) est la bissectrice de l’angle
lA, alors BC
lA = 2 × BC
lF = 2(90° – x).
BC
lA = 2(90° – x) = 2(90° – 25°) = 130°.
b) Si x = 25°, BC
lA = 2(90° – x) = 2(90° – 60°) = 60°.
Si x = 60°, BC
56
1) L’angle jaune et l’angle bleu sont alternesinternes avec les droites (d) et (d’) parallèles.
Donc, ces deux angles sont de même mesure : 3x = 135.
2) a) Lorsque x = 26 ; 3 × 26 = 78 ⫽ 135.
b) Lorsque x = 74 ; 3 × 74 = 222 ⫽ 135.
c) Lorsque x = 45 ; 3 × 45 = 135.
lC sont supplémen1) L’angle jaune et l’angle AB
taires.
lC = 180° – EB
lA = 180° – 2x.
Donc, AB
l
lF sont correspondants avec
De plus, les angles AB C et GA
les droites (d) et (d’) parallèles. Donc, ces angles sont de
même mesure.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1) 2)
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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3) a) Ces deux triangles sont superposables.
mG = AN
lG = 115°
b) A’O
c) Ce programme de construction permet de reproduire
un angle de même mesure qu’un angle donné sans rapporteur, uniquement au compas et à la règle.
41
à
43
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Les exercices 44 à 53 sont corrigés à la page 291 du manuel élève.
54
57
40
180 – 2x = 32
2) a) Lorsque x = 26 ; 180 – 2 × 26 = 128 ⫽ 32.
b) Lorsque x = 74 ; 180 – 2 × 74 = 32.
c) Lorsque x = 45 ; 180 – 2 × 45 = 90 ⫽ 32.
58
L’angle vert et l’angle rouge sont des angles correspondants pour les droites (WN) et (SG) coupées par la
sécante (SI).
Si les droites (WN) et (SG) étaient parallèles, l’angle vert et
l’angle rouge auraient la même valeur.
Or, l’angle vert et l’angle rouge n’ont pas la même valeur,
donc les droites (WN) et (SG) ne sont pas parallèles.
59
L’angle bleu et l’angle rouge sont alternesinternes, mais n’ont pas la même valeur.
Donc, les droites (d) et (d1) ne sont pas parallèles.
60
a) L’angle bleu et l’angle rose sont correspondants
avec les droites (d) et (d1) qui ne sont pas parallèles.
Donc, l’angle bleu et l’angle rose ne sont pas de même
mesure.
b) L’angle bleu et l’angle jaune sont opposés par le sommet donc de même mesure.
61
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lG et AB
lC sont opposés par le sommet
2) Les angles TB
donc de même mesure.
lC = 47°.
Donc, AB
lC et HA
lV sont correspondants et de
De plus, les angles AB
même mesure.
Donc, les droites (d) et (d1) sont parallèles.
62
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
l
lC sont supplémentaires.
2) Les angles CB
G et AB
lC = 180° – CB
l
Donc, AB
G = 180° – 151° = 29°.
lC et HA
l
De plus, les angles AB
M sont correspondants, mais
pas de même mesure.
Donc, les droites (d) et (d1) ne sont pas parallèles.
63
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
Chap. 12 - Angles 109
64
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) On se place dans le triangle MIN pour calculer la valeur
lN.
de l’angle IM
Dans un triangle, la somme des valeurs des angles est toujours égale à 180°.
lN = 180° – 53° – 99° = 28°.
Donc, IM
lN et NU
lO sont alternes-internes pour les
Les angles IM
droites (MI) et (OU) coupées par la sécante (MU). De plus,
ces angles sont de la même valeur ; donc les droites (MI) et
(OU) sont parallèles.
65
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Les droites (AH) et (KO) sont perpendiculaires au segment [CB]. Or, deux droites perpendiculaires à un même
segment sont parallèles entre elles. Donc, les droites (AH)
et (KO) sont parallèles.
lK et OK
lB sont correspondants avec
De plus, les angles HA
les droites (AH) et (KO) coupées par la sécante (AB).
lK et OK
lB sont de même valeur.
Donc, les angles HA
66
lJ et l
1) a) Les angles BI
IJC sont alternes-internes
et les droites (AB) et (CD) sont parallèles. Donc, les angles
lJ et l
BI
IJC sont de même mesure.
lR = BI
lJ, puisque BI
lJ = IJ
l
b) Puisque AI
C et puisque
l
l
l
l
l
lT sont de la
IJC = TJ D, alors les angles RIA, BI J, IJC et DJ
même mesure.
lB et CJ
lD sont des angles plats.
2) a) Les angles AI
lJ = 180° – AI
lR – BI
lJ = 180° – 2 × AI
lR
RI
l
l
l
l
lR
IJ T = 180° – IJC – TJ D = 180° – 2 × TJ
D = 180° – 2 × AI
lJ et l
Ainsi, les angles RI
IJ T sont de même mesure.
lJ et l
b) Les angles RI
IJ T sont alternes-internes avec les
droites (SI) et (JT) coupées par la sécante (IJ). De plus, ces
angles sont de la même valeur. Donc, les droites (SI) et (JT)
sont parallèles.
67
a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Je donne des noms aux points utiles. Je prolonge la droite
(AB) pour utiliser le fait que les droites sont parallèles
d’après l’énoncé. Je pourrais ainsi utiliser les propriétés
directes sur « droites parallèles et angles ».
lC mesure 35° car il est alterne-interne avec
L’angle AE
lB pour les droites parallèles (d) et (d’) coupées
l’angle FA
lC et FA
lB ont donc la
par la sécante (AB). Les angles AE
même mesure.
lE est supplémentaire avec l’angle AB
lC car les
L’angle CB
lE = 180° – 45° = 135°.
points A, B, E sont alignés. Donc CB
Dans le triangle BCE, la somme des angles fait 180°.
lE = 180° – (135° + 35°) = 180° – 170° = 10°.
Donc BC
L’angle rose mesure donc 10°.
b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Je donne des noms aux points utiles. Je prolonge la droite
(AB) pour utiliser le fait que les droites sont parallèles
d’après l’énoncé. Je pourrais ainsi utiliser les propriétés
directes sur « droites parallèles et angles ».
lF mesure 145° car il est alterne-interne avec
L’angle BE
l
l’angle GA B pour les droites parallèles (d) et (d’) coupées
lF et GA
lB ont donc la
par la sécante (AB). Les angles BE
même mesure.
110
Les points C, E, F sont alignés.
lF = 180° et CE
lB = 180° – 145° = 35°.
Donc CE
Les points A, B, E sont alignés.
lE = 180° – 68° = 112°.
Donc CB
Dans le triangle CBE, la somme des angles fait 180°.
lB = 180° – (112° + 35°) = 180° – 147° = 33°.
Donc EC
L’angle rose mesure donc 33°.
68
1) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) Le point B n’appartient pas au petit arc de cercle AC. Le
segment [AC] n’est pas un diamètre.
Le point I est le milieu du segment [AC] ; donc IA = IC.
Les points A et C appartiennent à un cercle de centre O.
Donc OA = OC.
Les points O et I sont deux points équidistants des points
A et C. La droite (OI) est donc la médiatrice du segment
[AC]. Elle est donc perpendiculaire au segment [AC].
La droite (BH) est la hauteur issue de B dans le triangle
ABC. La droite (BH) est donc perpendiculaire au segment
[AC].
Les droites (OI) et (BH) sont toutes les deux perpendiculaires
à la même droite, la droite (AC). Elles sont donc parallèles
d’après le théorème : « Si deux droites sont perpendiculaires
à une même troisième droite, alors elles sont parallèles. »
lI et BI
l
Les angles HB
O sont alternes-internes pour les
droites (BH) et (OI) coupées par la sécante (BI). Comme les
droites (BH) et (OI) sont parallèles, les angles sont égaux.
2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) Le point B appartient au petit arc de cercle AC.
Comme au 1) on démontre que les droites (BH) et (OI)
sont parallèles.
lI et BI
l
Les angles HB
M sont alternes-internes pour les droites (BH) et (OI) coupées par la sécante (BI). Comme les
droites (BH) et (OI) sont parallèles, les angles alternesinternes sont égaux.
l
lB
Les point O, I, M sont alignés donc les angles BI
M et OI
sont supplémentaires.
lI et BI
l
Par conséquent, les angles HB
O le sont également.
69
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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l
lR
2) a) TI
C et TI
lI et IR
l
b) TR
U
c) Tous les angles adjacents sont supplémentaires ou
complémentaires.
l
l
3) a) TI
C et RI
U
lI et RU
lI
b) TR
70
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lD et DB
lC sont adjacents et complé2) a) Les angles AB
mentaires.
b) D’après la question précédente, on peut calculer la
lC :
mesure de l’angle DB
lC = 90° – AB
lD = 90° – 33° = 57°.
DB
lD et BD
lC sont alternes-internes avec les
3) Les angles AB
lC = AB
lD = 33°.
droites (AB) et (DC) parallèles. Donc, BD
l
l
4) Les angles BOC et AOD sont opposés par le sommet
lD = BO
lC.
donc de même mesure. Donc, AO
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
71
1) 2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) L’angle rouge et l’angle vert sont alternes-internes et
les droites (RE) et (CT) sont parallèles. Donc, ces deux
angles sont de même mesure.
3) Ces deux angles sont correspondants pour les droites
(RE) et (ET) coupées par la sécante (RC).
Or, les droites (RE) et (ET) ne sont pas parallèles (puisque
sécantes en E) ; donc ces angles correspondants ne sont pas
de même mesure.
72
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lK et AO
lC sont opposés par le sommet
2) Les angles RO
lK = AO
lC = 105°.
donc de même mesure. Donc, RO
3) Dans le triangle AOC, calculons la mesure de l’angle
lO.
AC
Dans tout triangle, la somme des mesures des angles est
égale à 180°.
lO = 180° – CA
lO – AO
lC = 180° – 52° – 105°
Donc, AC
= 23°
lO et KR
lO sont alternes-internes avec
De plus, les angles AC
les droites (RK) et (AC) coupées par la sécante (RC). Comme
ces deux angles sont de même mesure, on peut en conclure
que les droites (RK) et (AC) sont parallèles.
73
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
lC et AC
lB sont alternes-internes avec (EA)
2) Les angles EA
lC = AC
lB.
et (CB) droites parallèles. Donc, EA
l
l
3) Les angles EAF et CBA sont correspondants avec les
lF = AB
lC.
droites (EA) et (CB) parallèles. Donc, EA
l
4) a) FAB est un angle plat puisque A appartient au segment [FB].
lB = 180°.
Donc, FA
lE + EA
lC + CA
lB = FA
lB = 180°
b) FA
l
l
lC = BC
lA, alors :
c) Puisque FAE = CBA et puisque EA
lC + AC
lB + CA
lB = 180°
AB
Nous venons de redémontrer la propriété suivante :
« Dans tout triangle, la somme des valeurs des trois angles
est toujours égale à 180°. »
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
74
4) Le logiciel affirme que les droites sont parallèles.
5) Les droites (AB) et (A’C) restent parallèles.
75
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Commentaires : Comme à la première page du
chapitre, on s’intéresse à la composition d’un tableau avec cette
fois Léonard de Vinci. La géométrie est à nouveau présente dans
l’art de façon cachée.
1) Le personnage central est Jésus-Christ.
2) 3)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
76
www.phare-prof.hachette-education.com
lC et OF
lD sont correspondants pour
4) a) Les angles GE
les droites (BC) et (AD) coupées par la sécante (EF). Les
droites (BC) et (AD) sont parallèles car ABCD est un carré.
Or : « Si deux droites sont parallèles et forment avec une
même sécante des angles correspondants, alors ces angles
correspondants ont la même mesure.
lC et EF
lD ont la même mesure. »
Donc, les angles GE
l
l
b) Les angles BA C et AC D sont alternes-internes pour
les droites (AB) et (DC) coupées par la sécante (AC). Les
droites (AB) et (DC) sont parallèles car ABCD est un carré.
Or : « Si deux droites sont parallèles et forment avec une
même sécante des angles alternes-internes, alors ces angles
alternes-internes ont la même mesure.
lC et AC
lD ont la même mesure. »
Donc, les angles BA
77
lC et AS
lB sont deux angles aigus opposés
1) a) ES
par le sommet.
lA et AS
lB sont adjacents.
b) ES
l
l
c) ES C et CSB sont supplémentaires.
lS et SB
lC sont alternes-internes pour
2) a) Les angles AE
les droites (EA) et (CB) coupées par la sécante (EB). Comme
les droites (EA) et (CB) sont parallèles, les angles alternesinternes sont égaux.
lS et AS
lB sont correspondants pour les
b) Les angles AE
droites (EA) et (AS) coupées par la sécante (EB). Les droites
(EA) et (AS) ne sont pas parallèles puisqu’elles ont le point
lS et AS
lB ne sont donc pas
A en commun. Les angles AE
égaux puisque s’ils l’étaient, les droites seraient parallèles
d’après la propriété : « Si deux droites coupées par une
sécante forment des angles correspondants de même
mesure, alors ces droites sont parallèles. »
Chap. 12 - Angles 111
Chapitre
13
>
P r ogramme
o gramme
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italiques. Si la
phrase en italiques est précédée d’un astérisque l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
tés, notamment pour la reconnaissance d’un parallélogramme, d’un rectangle, d’un losange ou pour leur
tracé.
> CONNAISSANCES :
• Figures planes
• Parallélogramme
CAPACITÉS
CAPACITÉS
Connaître et utiliser une définition et les propriétés
(relatives aux côtés, aux diagonales et aux angles) du
parallélogramme.
Construire, sur papier uni, un parallélogramme
donné (et notamment dans les cas particuliers du
carré, du rectangle, du losange) en utilisant ses propriétés.
■ Commentaires
Le travail entrepris sur la symétrie centrale permet de justifier des propriétés caractéristiques du parallélogramme
que les élèves doivent connaître.
Dans le cadre du socle commun il est seulement attendu
des élèves qu’ils sachent utiliser en situation ces proprié-
■ Commentaires
Les connaissances relatives aux quadrilatères usuels sont
sollicitées dans des problèmes de construction et permettent de justifier les procédures utilisées pour construire
ces quadrilatères.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des constructions simples en utilisant :
• des outils (instruments de dessin, logiciels) ;
• des définitions, des propriétés (en acte et sans nécessité
d’indiquer ou de justifier la méthode choisie).
– Utiliser les propriétés d’une figure et les théorèmes de
géométrie pour traiter une situation simple.
– Raisonner logiquement, pratiquer la déduction, démontrer. (La démonstration ne doit pas faire l’objet d’une formalisation écrite.)
Programme de la classe de Quatrième
Les propriétés établies en classe de Cinquième sont utilisées dans le programme de Quatrième.
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Le parallélogramme n’est étudié qu’à partir de la
classe de Cinquième.
Il est défini à partir de ses côtés opposés parallèles.
➜ La présence d’un centre de symétrie permet de
démontrer les propriétés des diagonales, des côtés et
des angles du parallélogramme.
112
On a distingué les propriétés directes que possède
un parallélogramme, des propriétés réciproques qui
permettent de reconnaître un parallélogramme.
➜ L’étude des parallélogrammes particuliers (rectangle, losange, carré) est traitée dans le chapitre 14.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
A cti
Ac
tiv
v ités
i tés
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C OMMENTAI RE S : Cette activité permet d’observer un
nouveau quadrilatère (parallélogramme) dans un univers
non mathématique.
1
C ORRIGÉ
1) Les côtés opposés de ce quadrilatère sont parallèles.
2) Ce quadrilatère ne possède pas d’angle droit : ce n’est
pas un rectangle.
Les quatre côtés n’ont pas la même longueur : ce n’est pas
un losange.
JE DÉCOUVRE UN NOUVEAU QUADRILATERE
Objectif
Découvrir le parallélogramme.
Prérequis
Utiliser un logiciel de géométrie
dynamique.
Paragraphe
introduit
! Parallélogramme
a) Définition et centre de symétrie
C ORRIGÉ
1) à 4)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
5) Un parallélogramme est un quadrilatère dont les côtés
opposés sont parallèles.
■ C OMMENTAI RE S : Cette activité permet de découvrir le
parallélogramme et met en place un programme de
construction.
2
JE CHERCHE LE CENTRE DE SYMÉTRIE D’UN PARALLÉLOGRAMME
Objectifs
●
Conjecturer la présence d’un centre
de symétrie d’un parallélogramme.
● Démontrer que le centre de symétrie
d’un parallélogramme est le point
d’intersection de ses diagonales.
Prérequis
●
Paragraphe
introduit
! Parallélogramme
a) Définition et centre de symétrie
Construction d’un parallélogramme
à l’aide d’un logiciel de géométrie
dynamique.
● Symétrie centrale.
■ C OMMENTAI RE S : L’activité est construite en deux parties : conjecture et démonstration.
La partie conjecture peut suffire à introduire la propriété.
CORRI G É
A 1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) Le point E est un centre de symétrie du parallélogramme ABCD.
Le point E semble se situer à l’intersection des diagonales
du parallélogramme.
B 1) a) La droite (Δ) est le symétrique de la droite (AB)
par rapport au point O.
Or, le symétrique d’une droite par rapport à un point est
une droite parallèle.
Donc, les droites (Δ) et (AB) sont parallèles.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
b) Le point O est le milieu du segment [AC]. Donc, les
points A et C sont symétriques par rapport au point O.
Donc, la droite (Δ), symétrique de la droite (AB) par rapport au point O, passe par le symétrique du point A par
rapport au point O, c’est-à-dire, le point C.
c) ABCD est un parallélogramme. Donc, les droites (AB) et
(CD) sont parallèles.
La droite (CD) est donc la droite qui passe par le point C
et qui est parallèle à la droite (AB).
On en déduit que la droite (CD) est la droite (Δ). Donc, le
point D appartient à la droite (Δ).
2) ABCD est un parallélogramme. Donc, les droites (AD)
et (BC) sont parallèles.
Le symétrique de la droite (AD) par rapport au point O,
passe par le symétrique du point A par rapport au point O,
c’est-à-dire, le point C.
Or, le symétrique d’une droite par rapport à un point est
une droite parallèle.
Le symétrique de la droite (AD) est donc la droite qui passe
par le point C et qui est parallèle à la droite (AD). On en
déduit que le symétrique de la droite (AD) par rapport au
point O est la droite (BC).
3) Le symétrique du point B par rapport au point O est le
point D.
4) Dans la symétrie de centre O, le point A a pour symétrique le point C et le point B a pour symétrique le point
D. Donc, le parallélogramme ABCD a pour symétrique luimême.
On peut dire que le parallélogramme admet pour centre de
symétrie le point O, c’est-à-dire le point d’intersection de
ses diagonales.
Chap.13 - Parallélogramme 113
3
JE DÉMONTRE DES PROPRIÉTÉS DES DIAGONALES ET DES CÔTÉS D’UN PARALLÉLOGRAMME
Objectifs
Démontrer une propriété des
diagonales d’un parallélogramme.
● Démontrer une propriété des côtés
d’un parallélogramme.
●
Prérequis
Centre de symétrie d’un
parallélogramme.
Paragraphe
introduit
! Parallélogramme
b) Propriétés
CORRIG É
1) a) ABCD est un parallélogramme de centre O. Donc, le
point O est le centre de symétrie du parallélogramme
ABCD. Donc, le symétrique du point A par rapport au
point O est le point C. Donc, le point O est le milieu du
segment [AC].
4
JE DÉMONTRE DES PROPRIÉTÉS DES ANGLES D’UN PARALLÉLOGRAMME
Objectifs
●
Prérequis
●
Paragraphe
introduit
! Parallélogramme
b) Propriétés
Démontrer une propriété des angles
opposés d’un parallélogramme.
● Démontrer une propriété des angles
consécutifs d’un parallélogramme.
Centre de symétrie d’un
parallélogramme.
● Symétrie centrale.
● Angles alternes-internes.
CORRIG É
lB par rapport au
A 1) a) Le symétrique de l’angle DA
lD.
point O est l’angle BC
b) Or, le symétrique d’un angle par rapport à un point est
un angle de même mesure.
lB et BC
lD ont la même mesure.
Donc, les angles DA
5
lC et CB
lA sont symétriques par rapport au
2) Les angles AD
point O. Donc, ils ont la même mesure.
3) « Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
angles opposés ont la même mesure. »
lI sont alternes-internes pour
B 1) a) Les angles l
JI L et ML
les droites (KL) et (IJ) coupées par la sécante (IL).
b) IJKL est un parallélogramme.
Donc, les droites (IJ) et (KL) sont parallèles.
Or, si deux droites sont parallèles, alors toute sécante
commune forme des angles alternes-internes de même
mesure.
lI ont la même mesure.
Donc, les angles l
JI L et ML
2) a) Les points M, L et K sont alignés.
lI + IL
l
Donc, ML
K = 180°.
l
lI, on obtient : l
l
b) Comme JI L = ML
JI L + IL
K = 180°.
3) Or, deux angles dont la somme égale 180° sont supplémentaires.
l
Donc, les angles l
JI L et IL
K sont supplémentaires.
JE RECONNAIS UN PARALLÉLOGRAMME
Objectif
Démontrer une propriété réciproque
du parallélogramme.
Prérequis
Symétrie centrale.
Paragraphe
introduit
@ Reconnaître un parallélogramme
b) À partir des diagonales
CORRIG É
2) Les diagonales du quadrilatère MRNS se coupent en
leur milieu.
3) a) Le symétrique du point M par rapport au point I est
le point N.
b) Le symétrique du point R par rapport au point I est le
point S.
114
b) Le symétrique du point B par rapport au point O est le
point D. Donc, le point O est le milieu du segment [BD].
c) « Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu. »
2) a) Le symétrique du segment [AB] par rapport au point
O est le segment [CD].
Or, le symétrique d’un segment par rapport à un point est
un segment de même longueur.
Donc, AB = CD.
b) Le symétrique du segment [AD] par rapport au point O
est le segment [BC].
Or, le symétrique d’un segment par rapport à un point est
un segment de même longueur.
Donc, AD = BC.
c) « Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur. »
c) Le symétrique de la droite (MR) par rapport au point I
est la droite (SN).
d) Or, le symétrique d’une droite par rapport à un point
est une droite parallèle.
Donc, les droites (MR) et (SN) sont parallèles.
4) Le symétrique de la droite (MS) par rapport au point I
est la droite (RN).
Or, le symétrique d’une droite par rapport à un point est
une droite parallèle.
Donc, les droites (MS) et (RN) sont parallèles.
5) Les côtés opposés du quadrilatère MRNS sont parallèles. Donc, le quadrilatère MRNS est un parallélogramme.
6) « Si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme. »
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
a) b) d) e) et g) semblent être des parallélogrammes.
2
ABCD est un parallélogramme. Donc, les droites
(AB) et (CD) sont parallèles.
Donc la droite qui passe par le point C et qui est parallèle
à la droite (AB) est la droite (CD).
3
ABCD est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, BC = AD = 4 cm.
4
ABCD est un parallélogramme de centre O.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point O est le milieu du segment [BD].
Donc, BD = 2 × OD = 2 × 3,5 cm = 7 cm.
Le périmètre du parallélogramme ABCD est :
= AB + BC + CD + AD.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, BC = AD = 4 cm et CD = AB = 5 cm.
Donc, = 5 + 4 + 5 + 4 = 18. Le périmètre du parallélogramme ABCD est 18 cm.
5
6
ABCD est un parallélogramme de centre O.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point O est le milieu du segment [AC].
Ainsi, dans le triangle ABC, la droite (BO) passe par le sommet B et par le milieu du côté [AC] : la droite (BO) est donc
une médiane du triangle ABC.
7
RSTV est un parallélogramme de centre I.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point I est le milieu du segment [VS].
VS 8,6
Donc, IS =
=
= 4,3 cm.
2
2
8
RSTV est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
lT = 180° – VR
lS = 180° – 57° = 123°.
Donc : RS
9
RSTV est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
angles opposés ont la même mesure.
lV = SR
lV = 57°.
Donc, ST
12
Dans le quadrilatère PAUL, les côtés [PA] et [UL]
ont la même longueur.
De plus, les droites (PA) et (UL) sont perpendiculaires à la
même droite.
Or, si deux droites sont perpendiculaires à la même droite,
alors elles sont parallèles.
Donc les droites (PA) et (UL) sont parallèles.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, PAUL est un parallélogramme.
13
Dans le quadrilatère JACK :
l
l
KJ A + JA C = 127° + 63° = 190°.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
Donc le quadrilatère JACK n’est pas un parallélogramme.
14
à
27
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
28
Dans le quadrilatère PUCE, les diagonales se
coupent en leur milieu.
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, PUCE est un parallélogramme.
29
On a (PU) // (CE) et (UC) // (PE).
Or, si les côtés opposés d’un quadrilatère sont parallèles,
alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, PUCE est un parallélogramme.
30
Dans le quadrilatère PUCE, on a PU = CE et
UC = PE.
Or, si les côtés opposés d’un quadrilatère non croisé ont la
même longueur, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, PUCE est un parallélogramme.
31
Dans le quadrilatère PUCE, on a PU = CE et
(PU) // (CE).
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, PUCE est un parallélogramme.
32
10
Dans le quadrilatère non croisé VITE, on a VE = IT
et IV = TE.
Or, si les côtés opposés d’un quadrilatère non croisé ont la
même longueur, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, VITE est un parallélogramme.
11
Dans le quadrilatère SEUL, les diagonales se
coupent en leur milieu.
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, SEUL est un parallélogramme.
Dans le quadrilatère PAUL, les côtés opposés ont la
même longueur.
Or, si les côtés opposés d’un quadrilatère non croisé ont
la même longueur, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, PAUL est un parallélogramme.
Dans le quadrilatère PAUL, les diagonales se coupent en leur milieu.
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, PAUL est un parallélogramme.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
33
Chap.13 - Parallélogramme 115
34
43
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Dans le quadrilatère ABCD, le point O est le milieu du
segment [BD].
D’autre part, les points A et C sont symétriques par rapport au point O. Donc, le point O est aussi le milieu du
segment [AC].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, ABCD est un parallélogramme.
35
1) ABCD est un parallélogramme. Donc, les
droites (AB) et (CD) sont parallèles.
Comme E appartient à (AB) et F appartient à (CD), on en
déduit que (EB) est parallèle à (DF).
2) De plus, on a EB = DF.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, EBFD est un parallélogramme.
36
BCFE ; BDGE ; CDGF ; ADFC ; ADHE ; CFHE ;
CDFE.
37
1) Le quadrilatère GRAS est un quadrilatère croisé.
Donc, GRAS n’est pas un parallélogramme.
2) ARSG ; RSGA ; SGAR ; GSRA.
38
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1) Le quadrilatère MNOP est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
lP = 180° – MN
lO = 180° – 65° = 115°.
Donc : NM
2) Le quadrilatère MNOP est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
angles opposés ont la même mesure.
lO = MN
lO = 65° et NO
lP = NM
lP = 115°.
Donc, MP
44
Le quadrilatère IJKL est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
Donc, l
IJK = 180° – l
LI J = 180° – 112° = 68°.
De plus, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors
ses angles opposés ont la même mesure.
lJ = l
l
Donc, LK
LI J = 112° et IL
K=l
IJK = 68°.
45
1) Le quadrilatère RSTV est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
lT = 180° – VR
lS = 180° – 120° = 60°.
Donc, RS
lT = RS
lT – RS
lV = 60° – 35° = 25°.
2) VS
46
lR et OR
lU et sont alternes-internes
1) Les angles PO
pour les droites (PO) et (RU) coupées par la sécante (OR).
2) Le quadrilatère POUR est un parallélogramme. Donc,
les droites (PO) et (RU) sont parallèles.
Or, si deux droites sont parallèles, alors toute sécante commune forme des angles alternes-internes de même mesure.
lU = PO
lR = 47°.
Donc, OR
47
et
48
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) EACB ; AFCB ; ABGC.
39
1) Le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, BC = AD = 5 cm et CD = AB = 8 cm.
2) = AB + BC + CD + AD = 8 + 5 + 8 + 5 = 26.
Le périmètre du parallélogramme ABCD est 26 cm.
40
Le quadrilatère PION est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, IO = PN = 4,2 cm et ON = PI = 6,5 cm.
= PI + IO + ON + PN = 6,5 + 4,2 + 6,5 + 4,2 = 21,4.
Le périmètre du parallélogramme PION est 21,4 cm.
49
1) Le quadrilatère LPER est un parallélogramme
de centre S.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point S est le milieu du segment [RP].
RP 8
= = 4.
Donc : SR =
2
2
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
50
à
41
Le quadrilatère JOEL est un parallélogramme de
centre N.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point N est le milieu des segments [JE] et [LO].
Donc, JE = JN × 2 = 4,8 cm × 2 = 9,6 cm
et LO = NO × 2 = 3,2 cm × 2 = 6,4 cm.
42
Le quadrilatère EFGH est un parallélogramme de
centre I.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point I est le milieu des segments [EG] et [FH].
EG 6
Donc, EI =
= =3
2
2
FH 9
et FI =
= = 4,5.
2
2
EF + EI + FI = 7 + 3 + 4,5 = 14,5.
Le périmètre du triangle EFI est 14,5 cm.
116
54
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
55
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Dans le quadrilatère ABEF, les points E et F sont les
symétriques respectifs des points A et B par rapport au
point C. Donc, le point C est le milieu des segments [AE]
et [BF].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, ABEF est un parallélogramme.
56
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
2) Le quadrilatère ABCD est un parallélogramme. Donc,
les droites (AB) et (CD) sont parallèles.
De plus, le point E est le symétrique du point D par
rapport au point C.
Donc, le point E appartient à la droite (CD).
On en déduit que les droites (AB) et (CE) sont parallèles.
D’autre part, le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, AB = CD.
De plus, le point E est le symétrique du point D par rapport
au point C. Donc, CE = CD.
On en déduit que AB = CE.
Ainsi, dans le quadrilatère ABEC, (AB) // (CD) et AB = CE.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, ABEC est un parallélogramme.
57
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Par construction, les droites (IH) et (JL) sont parallèles.
D’autre part, le quadrilatère IJKL est un parallélogramme.
Donc, les droites (IJ) et (KL) sont parallèles.
>
70
Je fais
fai s l e po
p o int
et
71
72
1) Les quadrilatères ABCD et DCEF sont des parallélogrammes.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, AB = DC = x + 1 ; BC = AD = x ; FE = DC = x + 1 ;
CE = DF = x.
Périmètre du parallélogramme ABCD :
1 = AD + AB + BC + CD = x + x + 1 + x + x + 1 = 4x + 2.
2) a) Périmètre du polygone ABCEFD :
2 = AB + BC + CE + EF + FD + DA
2 = x + 1 + x + x + x + 1 + x + x = 6x + 2.
b) Le périmètre du polygone est 20 cm. Donc, on a :
6x + 2 = 20.
Pour x = 2
6x + 2 = 6 × 2 + 2 = 14.
6x + 2 = 6 × 3 + 2 = 20.
Pour x = 3
6x + 2 = 6 × 4 + 2 = 26.
Pour x = 4
L’égalité est vraie pour x = 3. Donc x peut être égal à 3.
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
lD et BD
lC sont alternes-internes pour les
2) Les angles AB
droites (AB) et (CD) coupées par la sécante (BD). De plus,
ABCD est un parallélogramme. Donc, les droites (AB) et
(CD) sont parallèles.
Or, si deux droites sont parallèles, alors toute sécante
commune forme des angles alternes-internes de même
lC = AB
lD = 44°.
mesure. Donc, BD
l
l
l
D’où, ADC = ADB + BDC = 53° + 44° = 97°.
D’autre part, si un quadrilatère est un parallélogramme,
alors deux angles consécutifs sont supplémentaires.
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La photocopie non autorisée est un délit.
58
Le segment [AB] est un diamètre du cercle () de
centre 0.
Donc, le point O est le milieu du segment [AB].
Le segment [ED] est un diamètre du cercle (’) de
centre 0.
Donc, le point O est aussi le milieu du segment [ED].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, AEBD est un parallélogramme.
59
Le quadrilatère ABCD est un parallélogramme de
centre O.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point O est le milieu du segment [BD].
D’autre part, les points E, O et F sont alignés et EO = OF.
Donc, le point O est aussi le milieu du segment [EF].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, EBFD est un parallélogramme.
Les exercices 60 à 69 sont corrigés à la page 291 du manuel élève.
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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73
Comme le point H appartient à la droite (LK), les droites
(IJ) et (LH) sont parallèles.
Ainsi, les côtés opposés du quadrilatère IJLH sont parallèles.
Donc, le quadrilatère IJLH est un parallélogramme.
lD = 180° – AD
lC = 180° – 97° = 83°.
Donc, BA
Enfin, un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
angles opposés ont la même mesure.
l
lC = 97° et BC
lD = BA
lD = 83°.
Donc, AB
C = AD
74
Le triangle JLK est isocèle en J.
Or, les angles à la base d’un triangle isocèle ont la même
mesure.
lL = JL
l
Donc, JK
K.
D’autre part, les sommes des mesures des trois angles d’un
triangle est égale à 180°.
l
lL + LJ
l
Donc, JL
K + JK
K = 180°
l
2 × JL
K + 70° = 180°
l
2 × JL
K = 180° – 70°
l
2 × JL
K = 110°
l
JL
K = 55°.
Les points M, L et K sont alignés dans cet ordre. Donc,
lJ + JL
l
ML
K = 180°.
lJ = 180° – JL
l
On en déduit : ML
K = 180° – 55° = 125°.
De plus, le quadrilatère IJLM est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
lJ = 180° – 125° = 55°.
Donc, l
IJL = 180° – ML
75
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76
Le quadrilatère PUGR est un parallélogramme.
Donc, les droites (PR) et (UG) sont parallèles.
Le quadrilatère GUIX est un parallélogramme. Donc, les
droites (UG) et (IX) sont parallèles.
Or, si deux droites sont parallèles à une même droite, alors
elles sont parallèles.
Donc, les droites (PR) et (IX) sont parallèles.
Chap.13 - Parallélogramme 117
D’autre part, si un quadrilatère est un parallélogramme,
alors ses côtés opposés ont la même longueur.
Donc on a, PR = UG et UG = IX. On en déduit : PR = IX.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, PIXR est un parallélogramme.
77
b) Le quadrilatère ABCD est croisé. Donc, ce n’est pas un
parallélogramme.
c) On considère le quadrilatère non croisé ABED.
Le point E appartient au cercle de centre D et de rayon
5 cm. Donc, ED = 5 cm.
Le point E appartient au cercle de centre B et de rayon
4 cm. Donc, EB = 4 cm.
Or, on sait que AB = 5 cm et AD = 4 cm. Donc, on a,
AB = ED et AD = EB.
Or, si les côtés opposés d’un quadrilatère non croisé ont la
même longueur, alors ce quadrilatère est un parallélogramme. Donc, ABED est un parallélogramme.
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) a) Dans le quadrilatère ACED, le point O est le milieu
du segment [CD].
D’autre part, les points A et E sont symétriques par rapport
au point O.
Donc, le point O est aussi le milieu du segment [AE].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, ACED est un parallélogramme.
b) ACED est un parallélogramme. Donc, les droites (AD)
et (CE) sont parallèles.
ABCD est un parallélogramme. Donc, les droites (AD) et
(BC) sont parallèles.
Or, si deux droites sont parallèles à une même droite, alors
elles sont parallèles.
Donc, les droites (CE) et (BC) sont parallèles, et donc
confondues car elles ont le point B en commun.
On en déduit que les points B, C et E sont alignés.
D’autre part, si un quadrilatère est un parallélogramme,
alors ses côtés opposés ont la même longueur.
Donc, AD = BC et AD = CE. On en déduit que BC = CE.
Comme les points B, C et E sont alignés avec BC = CE,
on peut affirmer que le point C est le milieu du segment [BE].
79
80
Solution rédigée sur le site élève
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Le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, les diagonales [AC] et [BD] ont le même milieu. On
nomme O ce milieu. O est donc le centre du parallélogramme ABCD.
Le quadrilatère AGCE est un parallélogramme.
Donc, ses diagonales [AC] et [GE] ont le même milieu.
Comme le point O est le milieu du segment [AC], le point
O est aussi le milieu du segment [GE]. O est donc le centre
du parallélogramme AGCE.
Le quadrilatère EFGH est un parallélogramme.
118
81
1)
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1) 2) a)
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78
Donc, ses diagonales [EG] et [FH] ont le même milieu.
Comme le point O est le milieu du segment [EG], le point
O est aussi le milieu du segment [FH]. O est donc le centre
du parallélogramme EFGH.
Donc, les trois parallélogrammes ABCD, AGCE et EFGH
ont le même centre O.
2) Le quadrilatère BLEU est un parallélogramme de
centre O.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point O est le milieu du segment [LU].
Ainsi, dans le triangle BLU, la droite (BE) passe par le sommet B et par le milieu O du côté [LU] : la droite (BE) est
donc une médiane du triangle BLU.
D’autre part, la droite (UI) passe par le sommet U et par le
milieu I du côté [BL] : la droite (UI) est donc une autre
médiane du triangle BLU.
Les deux médianes (BE) et (UI) se coupent au point S. Or,
les trois médianes d’un triangle sont concourantes. On en
déduit que la troisième médiane du triangle BLU est la
droite (LS). Par définition, la médiane (LS) coupe le côté
[BU] en son milieu.
82
1)
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2) Dans le quadrilatère AICK, le point J est le milieu du
segment [AC].
D’autre part, les points I et K sont symétriques par rapport
au point J.
Donc, le point J est aussi le milieu du segment [IK].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, AICK est un parallélogramme.
On en déduit que les droites (AI) et (KC) sont parallèles.
Comme les points A, I et B sont alignés, on peut dire que
les droites (IB) et (KC) sont parallèles.
Le quadrilatère AICK est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, AI = KC. Comme le point I est le milieu du segment
[AC], AI = IB. On en déduit que IB = KC.
Ainsi, dans le quadrilatère IKCB, on a : (IB) // (KC) et IB = KC.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, IKCB est un parallélogramme.
83
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Par construction, les droites (LT) et (AI) sont perpendiculaires à la droite (HU).
Or, si deux droites sont perpendiculaires à la même droite,
alors elles sont parallèles.
Donc, les droites (LT) et (AI) sont parallèles.
D’autre part, HAUT est un parallélogramme. Donc, les
droites (HA) et (UT) sont parallèles. Comme le point L
appartient à la droite (HA) et le point I appartient à la
droite (UT), on peut dire que les droites (LA) et (TI) sont
parallèles.
Ainsi, dans le quadrilatère LAIT, on a : (LT) // (AI) et
(LA) // (TI).
Donc, LAIT est un parallélogramme.
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La photocopie non autorisée est un délit.
84
1)
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2) Les points A et E sont symétriques par rapport à la
droite (BC). Donc la droite (AE) est perpendiculaire à la
droite (BC).
Les points D et F sont symétriques par rapport à la droite
(BC). Donc la droite (DF) est perpendiculaire à la droite
(BC). Comme le point H appartient à la droite (DF), on peut
dire que la droite (DH) est perpendiculaire à la droite (BC).
Or, si deux droites sont perpendiculaires à la même droite,
alors elles sont parallèles.
Donc, les droites (AE) et (DH) sont parallèles.
Par construction, les droites (AC) et (EH) sont parallèles.
Comme le point D appartient à la droite (AC), on peut dire
que les droites (AD) et (EH) sont parallèles.
Ainsi, les côtés opposés du quadrilatère ADHE sont parallèles. Donc, ADHE est un parallélogramme.
3) Le quadrilatère ADHE est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, AD = EH.
D’autre part, les segments [AD] et [FE] sont symétriques
par rapport à la droite (BC).
Or, la symétrie axiale conserve les longueurs. Donc, AD = FE.
On en déduit que EH = FE. Donc, le triangle EFH est isocèle
en E.
85
a) Les deux angles jaunes sont alternes-internes
pour les droites (AB) et (CD) coupées par la sécante (BD).
De plus, ces deux angles ont la même mesure.
Or, si deux droites coupées par une sécante forment deux
angles alternes-internes de même mesure, alors ces deux
droites sont parallèles.
Donc, les droites (AB) et (CD) sont parallèles.
De même, les deux angles violets sont alternes-internes
pour les droites (AD) et (BC) coupées par la sécante (BD).
De plus, ces deux angles ont la même mesure.
Donc, les droites (AD) et (BC) sont parallèles.
Ainsi, les côtés opposés du quadrilatère ABCD sont parallèles : ABCD est un parallélogramme.
b) ABCD n’est pas un parallélogramme.
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86
1) 2)
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3) Les droites (AC) et (BD) sont perpendiculaires à la
même droite : elles sont donc parallèles.
Les droites (AD) et (BC) sont perpendiculaires à la même
droite : elles sont donc parallèles.
Le quadrilatère ACBD a donc les côtés opposés parallèles :
ACBD est donc un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, le point d’intersection des diagonales [AB] et [BD]
est leur milieu, c’est-à-dire le point I cherché.
87
1)
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2) Le quadrilatère RSTV est un parallélogramme de centre O.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
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La photocopie non autorisée est un délit.
Donc, le point O est le milieu du segment [SV].
Donc, SV = SO × 2 = 3,6 cm × 2 = 7,2 cm.
88
1)
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2) Le quadrilatère MNOP est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Donc, NO = MP = 4,5 cm et OP = MN = 6 cm.
= MN + NO + OP + PM = 6 + 4,5 + 6 + 4,5 = 21.
Le périmètre du parallélogramme MNOP est 21 cm.
89
1)
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2) Dans le quadrilatère ABCD, le point I est le milieu du
segment [BD].
D’autre part, les points A et C sont symétriques par rapport
au point I. Donc, le point I est aussi le milieu du segment
[AC].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, ABCD est un parallélogramme.
lD = 55°.
3) On sait que BA
Le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors deux
angles consécutifs sont supplémentaires.
l
lD = 180° – 55° = 125°.
Donc, AB
C = 180° – BA
De plus, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors
ses angles opposés ont la même mesure.
lD = BA
lD = 55° et AD
lC = AB
l
Donc, BC
C = 125°.
90
On sait que le point M est le milieu du segment
[JK] et que le point K est le milieu du segment [MN].
On en déduit que les points J, M, K et N sont alignés et que
JK = MN.
Le quadrilatère IJKL est un parallélogramme. Donc, les
droites (IL) et (JK) sont parallèles.
Comme J, M, K et N sont alignés, on peut dire que les
droites (IL) et (MN) sont parallèles.
D’autre part, si un quadrilatère est un parallélogramme,
alors ses côtés opposés ont la même longueur.
Donc, IL = JK. On en déduit que IL = MN.
Ainsi, dans le quadrilatère IMNL : (IL) // (MN) et IL = MN.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, IMNL est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Donc, les diagonales [IN] et [LM] se coupent en leur
milieu.
Or, les droites (IN) et (LM) se coupent au point O.
Donc, O est le milieu du segment [IN].
91
lO.
1) Calcul de la mesure de l’angle TH
HOT est un triangle. Or, la somme des mesures des trois
angles d’un triangle est égale à 180°.
lO + HO
lT + HT
lO = 180°
Donc, TH
lO + 38° + 110° = 180°
TH
lO + 148° = 180°
TH
lO = 180° – 148°
TH
lO = 32°
TH
2)
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Chap.13 - Parallélogramme 119
3) a) Les points I et J sont symétriques par rapport au
point U. Donc, le point U est le milieu du segment [IJ]. D’autre
part, les points O et G sont symétriques par rapport au point
U. Donc, le point U est aussi le milieu du segment [OG].
Or, si les diagonales d’un quadrilatère se coupent en leur
milieu, alors ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, OJGI est un parallélogramme.
b) Le quadrilatère HOUX est un parallélogramme. Donc,
les droites (HO) et (UX) sont parallèles.
On sait que le point I appartient à la droite (UX) et que les
points I et J sont symétriques par rapport au point U.
Donc, le point J appartient aussi à la droite (UX). On peut
donc affirmer que les droites (HO) et (IJ) sont parallèles.
D’autre part, si un quadrilatère est un parallélogramme,
alors ses côtés opposés ont la même longueur.
Donc, HO = UX.
Le point I est le milieu du côté [UX] et le point U est le
milieu du segment [IJ].
On a donc : XI = IU = UJ. On en déduit IJ = XU = HO.
Ainsi, dans le quadrilatère OJIH, on a (HO) // (IJ) et HO = IJ.
Or, si un quadrilatère non croisé possède deux côtés parallèles et de même longueur, alors ce quadrilatère est un
parallélogramme.
Donc, OJIH est un parallélogramme.
c) Le quadrilatère OJGI est un parallélogramme.
Donc, (OJ) // (IG) et OJ = IG.
Le quadrilatère OJIH est un parallélogramme.
Donc, (OJ) // (HI) et OJ = HI.
On en déduit que les droites (HI) et (IG) sont parallèles et
donc confondues : les points H, I et G sont donc alignés.
On en déduit également que HI = IG.
Le point I est donc le point du segment [HG] équidistant des
points H et G : le point I est donc le milieu du segment [HG].
92
93
2) Les côtés [AB] et [CD] ont la même longueur.
Les côtés [AB] et [CE] ont la même longueur.
1) 2) 3)
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4) a) Le logiciel affirme que le point E appartient à la
droite (CD).
On peut conjecturer que les points C, D et E sont alignés.
b) Le logiciel affirme que les segments ont la même
longueur.
On peut conjecturer que CD = CE.
c) Le point C semble être le milieu du segment [CD].
94
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95
21 parallélogrammes sont présents sur cette figure.
96
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La commune la plus proche du point A est GevreyChambertin.
97
1)
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120
3) Le quadrilatère ABCE est croisé. Donc, ABCE n’est pas
un parallélogramme.
4) b) Le logiciel affirme que les droites sont parallèles.
c) Le logiciel affirme que les droites sont parallèles.
d) Le quadrilatère semble être un parallélogramme.
5) Un quadrilatère qui possède deux côtés opposés parallèles et de même longueur n’est pas toujours un parallélogramme.
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Les localités C et D sont Recey-sur-Ource et Beaune.
98
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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La photocopie non autorisée est un délit.
Chapitre
14
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES :
●
●
> CONNAISSANCES :
3.1 Figures planes
Parallélogramme
3.1 Figures planes
Figures simples ayant un centre de symétrie ou des axes
de symétrie.
●
●
CAPACITÉS
CAPACITÉS
Construire, sur papier uni, un parallélogramme
donné (et notamment dans les cas particuliers du
carré, du rectangle, du losange) en utilisant ses propriétés.
Connaître et utiliser une définition et les propriétés
(relatives aux côtés, aux diagonales, aux éléments de
symétrie) du carré, du rectangle, du losange.
■ Commentaires
■ Commentaires
Les connaissances relatives aux quadrilatères usuels sont
sollicitées dans des problèmes de construction et permettent de justifier les procédures utilisées pour construire
ces quadrilatères.
Un travail de synthèse est réalisé, faisant apparaître chacune de ces figures (rectangle, losange, carré) comme un
parallélogramme doté de propriétés particulières, notamment en ce qui concerne les diagonales.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des constructions simples en utilisant :
● des outils (instruments de dessin, logiciels) ;
● des définitions, des propriétés (en acte et sans nécessité
d’indiquer ou de justifier la méthode choisie).
Indications pour l’évaluation en situation
Les instruments sont la règle (graduée ou non), l’équerre,
le compas, le rapporteur.
Les tracés doivent pouvoir être réalisés sur papier uni ou
support informatique.
Il s’agit de :
– construire une figure à partir de données suffisantes sur
des longueurs, des angles ;
– construire ou compléter la figure symétrique par rapport
à un axe ou à un centre d’une figure donnée ;
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Utiliser les propriétés d’une figure et les théorèmes de
géométrie pour traiter une situation simple.
– Raisonner logiquement, pratiquer la déduction, démontrer (la démonstration ne doit pas faire l’objet d’une formalisation écrite).
Indications pour l’évaluation en situation
Les supports sont des configurations immédiatement
lisibles ; les raisonnements ne font pas l’objet d’une mise
en forme écrite.
L’exigence porte sur la capacité à mobiliser une propriété
pour élaborer une déduction simple.
L’évaluation s’effectue oralement ou en situation, sans
exigence particulière de formulation des justifications
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES :
●
●
3.1. Figures planes
Propriétés des quadrilatères usuels
CAPACITÉS
Connaître les propriétés relatives aux côtés, aux
angles, aux diagonales pour le rectangle, le carré et le
losange.
■ Commentaires
*La symétrie axiale est mise en jeu pour mettre en évidence
certaines propriétés.
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La photocopie non autorisée est un délit.
> CONNAISSANCES :
●
●
3.1. Figures planes
Constructions géométriques
CAPACITÉS
Reproduire, construire une figure complexe.
■ Commentaires
Ces situations nécessitent de reconnaître des figures
simples dans une figure complexe et demandent un travail
d’analyse utile aux apprentissages ultérieurs.
Chap. 14 - Rectangle, losange, carré 121
Programme de la classe de Quatrième
Aucune compétence supplémentaire sur les quadrilatères particuliers n’est étudiée en classe de Quatrième.
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ L’étude du rectangle, du losange et du carré, commencée en Sixième, est reprise en classe de Cinquième,
ces quadrilatères étant étudiés comme des parallélogrammes particuliers. Leurs propriétés réciproques
sont établies et démontrées.
>
➜ En classe de Quatrième, les propriétés des parallélogrammes, des rectangles, des losanges, et des carrés
seront utilisées pour démontrer de nouveaux théorèmes (par exemple, le théorème des milieux…).
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ C O M M E NTAI R E S : Cette activité permet de revoir les
différents quadrilatères (rectangle, losange et carré).
1
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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J’ÉTUDIE LES PROPRIÉTÉS DU RECTANGLE
Objectifs
●
●
Revoir la définition d’un rectangle.
Démontrer ses propriétés.
Prérequis
Définition et propriétés
du parallélogramme.
Paragraphe
introduit
! Rectangle
a) Définition et propriétés
■ COM MENTAI RES : Les propriétés du rectangle vues en
Sixième sont démontrées.
CORRIG É
1) Un rectangle est un quadrilatère dont les quatre angles
sont droits.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lD et AD
lC sont droits.
2) a) Les angles BA
Donc : (AB) ⊥ (AD) et (DC) ⊥ (AD).
Or, si deux droites sont perpendiculaires à la même droite
alors elles sont parallèles.
Donc (AB) // (DC).
b) De même, les droites (AD) et (BC) sont toutes les deux
perpendiculaires à la même droite (DC), elles sont donc
parallèles.
On a alors : (AB) // (DC) et (AD) // (BC).
2
C ORRIGÉ
JE REVOIS
Or, si un quadrilatère a ses côtés opposés parallèles, alors
c’est un parallélogramme.
Donc, le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
3) a) Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés ont la même longueur.
Le rectangle ABCD étant un parallélogramme, ses côtés
opposés ont la même longueur :
AB = DC et AD = BC.
b) Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Le rectangle ABCD étant un parallélogramme, ses diagonales [AC] et [BD] se coupent en leur milieu.
4) a) Un parallélogramme admet un centre de symétrie
qui est le point d’intersection de ses diagonales.
Le rectangle ABCD étant un parallélogramme, le point
d’intersection O des diagonales [AC] et [BD] est le centre
de symétrie du rectangle.
c) La médiatrice (d) du côté [AB] est un axe de symétrie du
rectangle ABCD. Elle est aussi la médiatrice du côté [CD].
Le symétrique du point A par rapport à la droite (d) est
le point B.
Le symétrique du point C par rapport à la droite (d) est le
point D.
Ainsi, le symétrique du segment [AC] par rapport à la
droite (d) est le segment [BD].
Or, la symétrie axiale conserve les longueurs.
Donc, AC = BD.
JE RECONNAIS UN RECTANGLE PAR SES ANGLES
Objectif
Démontrer deux propriétés.
■ C OM M E NTAIRE S :
Prérequis
Propriété sur les angles consécutifs
d’un parallélogramme.
Paragraphe
introduit
! Rectangle
b) Comment prouver qu’un
quadrilatère est un rectangle
Il s’agit de démontrer qu’un quadrilatère qui possède trois
angles droits est un rectangle et qu’un parallélogramme
qui possède un angle droit est un rectangle.
122
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
CO RRI G É
lC et BC
lD sont droits.
A 1) a) Les angles AB
Donc : (AB) ⊥ (BC) et (DC) ⊥ (BC).
Or, si deux droites sont perpendiculaires à la même droite
alors elles sont parallèles.
Donc (AB) // (DC).
b) On a : (AB) // (DC) et (AD) ⊥ (AB).
Or, si deux droites sont parallèles, toute perpendiculaire à
l’une est perpendiculaire à l’autre.
Donc (AD) ⊥ (DC).
2) Le quadrilatère ABCD possède quatre angles droits,
c’est donc un rectangle.
3
JE RECONNAIS UN RECTANGLE PAR SES DIAGONALES
Objectif
Conjecturer une propriété.
Prérequis
Paragraphe
introduit
–
! Rectangle
b) Comment prouver qu’un
quadrilatère est un rectangle
■ C OMMENTAI RE S : La propriété « si les diagonales d’un
parallélogramme sont de même longueur, alors c’est un
rectangle » est conjecturée à l’aide d’un logiciel de géométrie dynamique.
La démonstration de cette propriété est proposée à l’exercice 71 page 235.
CO RRI G É
2) a) Le point D est le point d’intersection de la droite
(AB) et du cercle de centre A.
Donc le segment [BD] est un diamètre du cercle de centre A.
4
B 1) Le quadrilatère EFGH est un parallélogramme.
Or, les angles opposés d’un parallélogramme sont de même
mesure.
lF = FG
l
Donc HE
H.
lF est droit, FG
lH est aussi un angle droit.
Comme HE
De plus, deux angles consécutifs d’un parallélogramme
sont supplémentaires.
lF + EF
lG = 180°
Donc HE
l
lF = 180° – 90° = 90°
D’où, EF
G = 180° – HE
lF, EF
lG et FG
lH du parallélogramme
2) Les trois angles HE
EFGH sont droits.
Or, si un quadrilatère possède trois angles droits alors c’est
un rectangle.
Donc le quadrilatère EFGH est un rectangle.
J’ÉTUDIE LES PROPRIÉTÉS DU LOSANGE
Objectifs
●
●
Revoir la définition d’un losange.
Démontrer ses propriétés.
Définition et propriétés
du parallélogramme.
Prérequis
●
Paragraphe
introduit
@ Losange
a) Définition et propriétés
CO RRI G É
1) Un losange est un quadrilatère dont les quatre côtés
sont de même longueur.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Les côtés opposés [AB] et [DC] sont de même longueur
ainsi que les côtés opposés [BC] et [AD].
Or, si un quadrilatère a ses côtés opposés de la même longueur alors c’est un parallélogramme.
Donc ABCD est un parallélogramme.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
De même, le point E est le point d’intersection de la droite
(AC) et du cercle de centre A.
Donc le segment [CE] est un diamètre du cercle de
centre A.
Les segments [BD] et [CE] sont deux diamètres du même
cercle, donc BD = CE.
b) Les diagonales [BD] et [CE] du quadrilatère BCDE ont
le même milieu A.
Or, si un quadrilatère a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu alors c’est un parallélogramme.
Donc le quadrilatère BCDE est un parallélogramme.
3) b) Le logiciel affirme que les droites (BE) et (BC) sont
perpendiculaires.
Cette conjecture reste vraie lorsqu’on déplace les points B
et C.
lC du parallélogramme BCDE
4) Il semble que l’angle EB
soit droit.
Le parallélogramme BCDE semble donc être un rectangle.
JE REVOIS
3) a) Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés sont parallèles.
Le losange ABCD étant un parallélogramme, ses côtés
opposés sont parallèles :
(AB) // (DC) et (AD) // (BC).
b) Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
diagonales se coupent en leur milieu.
Le losange ABCD étant un parallélogramme, ses diagonales [AC] et [BD] se coupent en leur milieu.
4) a) Un parallélogramme admet un centre de symétrie
qui est le point d’intersection de ses diagonales.
Le losange ABCD étant un parallélogramme, le point d’intersection O des diagonales [AC] et [BD] est le centre de
symétrie du losange.
c) La droite (BD) est un axe de symétrie du losange
ABCD.
Donc, le point C est le symétrique du point A par rapport
à la droite (BD).
Ainsi la droite (AC) et la droite (BD) sont perpendiculaires.
Chap. 14 - Rectangle, losange, carré 123
5
JE RECONNAIS UN LOSANGE
Objectif
Prouver deux propriétés.
Prérequis
●
Propriétés du parallélogramme.
Propriété d’équidistance
de la médiatrice d’un segment.
●
Paragraphe
introduit
@ Losange
b) Comment prouver
qu’un quadrilatère est un rectangle
■ COM MENTAI RES :
Il s’agit de démontrer qu’un parallélogramme ayant deux
côtés consécutifs de même longueur est un losange (partie A) et qu’un parallélogramme ayant des diagonales perpendiculaires est un losange (partie B).
CORRIG É
A 1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
Or, si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses
côtés opposés sont de même longueur.
6
JE RECONNAIS UN CARRÉ
Objectif
Énoncer des propriétés permettant
de prouver qu’un parallélogramme
est un carré.
Prérequis
Propriétés du rectangle et du losange.
Paragraphes
introduits
# Carré
$ Synthèse
CORRIG É
Si un parallélogramme possède un angle droit, alors
c’est un rectangle.
Si un parallélogramme possède deux côtés consécutifs
de même longueur, alors c’est un losange.
>
a) C’est un rectangle.
b) C’est un rectangle.
c) C’est un quadrilatère quelconque.
d) C’est un quadrilatère quelconque.
2
a) Dans un rectangle, les côtés opposés sont de la
même longueur. Donc, FU = ER = 3 cm.
b) Pour la même raison, UR = FE = 4 cm.
c) FR = 2 FO = 5 cm.
d) Les diagonales d’un rectangle se coupent en leur milieu
et sont de la même mesure. Donc, OU = FO = 2,5 cm.
e) Pour la même raison, UE = FR = 5 cm.
a) Aucune indication ne prouve que ABCD soit
un rectangle.
b) ABCD est un rectangle car il possède 3 angles droits.
c) ABCD a ses diagonales qui se coupent en leur milieu ;
c’est donc un parallélogramme. Il a, de plus, un angle
droit. C’est donc un rectangle.
124
Si un parallélogramme possède des diagonales perpendiculaires, alors c’est un losange.
Si un parallélogramme possède des diagonales de même
longueur, alors c’est un rectangle.
Si un rectangle possède deux côtés consécutifs de même
longueur, alors c’est un carré.
Si un rectangle possède des diagonales perpendiculaires, alors c’est un carré.
Si un losange possède un angle droit, alors c’est un
carré.
Si un losange possède des diagonales de même longueur,
alors c’est un carré.
E x erc
er c ic
ice
es
1
3
Donc AB = CD et BC = AD.
Or, AB = BC.
On a donc : AB = CD = BC = AD.
Le quadrilatère ABCD a ses quatre côtés de même longueur, c’est donc un losange.
3) Si un parallélogramme possède deux côtés consécutifs
de même longueur alors c’est un parallélogramme.
B 1) a) Le quadrilatère IJKL est un parallélogramme.
Or, les diagonales d’un parallélogramme se coupent en
leur milieu.
Donc le point O est le milieu du segment [LJ].
La droite (IK) est perpendiculaire au segment [LJ] en son
milieu.
Par définition, la droite (IK) est la médiatrice du segment
[LJ].
b) Le point I appartient à la médiatrice du segment [LJ].
Or, si un point appartient à la médiatrice d’un segment,
alors il est équidistant des extrémités de ce segment.
Donc IL = IJ.
3) Le parallélogramme IJKL possède deux côtés consécutifs [IL] et [IJ] de même longueur.
D’après la propriété démontrée en partie A, on en conclut
que le parallélogramme IJKL est un losange.
d) Un quadrilatère avec un angle droit n’est pas obligatoirement un rectangle.
e) ABCD a ses diagonales qui se coupent en leur milieu et
qui sont de la même longueur. Il s’agit bien d’un rectangle.
f) ABCD est un quadrilatère qui a ses côtés opposés de la
même mesure. C’est donc un parallélogramme. De plus, il
a ses diagonales de la même longueur. C’est donc un rectangle.
4
a) C’est un quadrilatère quelconque.
b) C’est un losange.
5
a) Un losange a ses 4 côtés de la même mesure.
Donc, AP = AD = 5 cm.
b) Pour la même raison, PI = 5 cm.
c) Les diagonales d’un losange se coupent en leur milieu ;
donc DP = 2 DS = 6 cm.
d) Impossible.
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La photocopie non autorisée est un délit.
6
a) Aucune indication ne prouve que EFGH soit un
losange.
b) Les diagonales qui se coupent perpendiculairement ne
suffisent pas pour conclure que EFGH est un losange.
c) Les diagonales du quadrilatère EFGH se coupent en leur
milieu ; c’est donc un parallélogramme. De plus, il possède
2 côtés consécutifs de la même mesure. C’est donc un
losange.
d) Un quadrilatère qui a 3 côtés de la même longueur
n’est pas nécessairement un losange.
e) EFGH est un quadrilatère dont les diagonales se coupent
perpendiculairement en leur milieu. Il s’agit bien d’un
losange.
f) Le quadrilatère EFGH a 2 côtés opposés parallèles et de
même mesure : [HE] et [GF]. C’est donc un parallélogramme. Il possède, de plus, 2 côtés consécutifs de la
même longueur. C’est donc un losange.
7
a) Rien.
b) C’est un parallélogramme.
c) Rien.
d) C’est un losange.
e) C’est un rectangle.
f) Rien.
g) C’est un carré.
1) a) Le quadrilatère MNPO a ses diagonales qui
se coupent en leur milieu et qui sont de la même longueur.
C’est donc un rectangle.
b) Le quadrilatère MNPO a ses diagonales qui se coupent
en leur milieu et qui sont perpendiculaires. C’est donc un
losange.
2) Dans le premier cas, il faudrait que les diagonales soient
perpendiculaires.
Dans le deuxième cas, il faudrait que les diagonales aient
la même longueur.
8
9
1) Les côtés opposés sont parallèles.
Or, si un quadrilatère a ses côtés opposés parallèles, alors
ce quadrilatère est un parallélogramme.
Donc, le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
2) Le parallélogramme ABCD possède un angle droit.
Or, si un parallélogramme possède un angle droit, alors
c’est un rectangle.
Donc, le parallélogramme ABCD est un rectangle.
10
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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lR, FU
lE et FR
lE sont des angles droits.
2) Les angles UF
Or, si un quadrilatère possède trois angles droits, alors c’est
un rectangle.
Donc, le quadrilatère FUER est un rectangle.
11
1) Les côtés [OR] et [FE] sont parallèles et de même
mesure.
Or, si un quadrilatère a deux côtés opposés parallèles et de
même mesure, alors c’est un parallélogramme.
Donc, le quadrilatère FORE est un parallélogramme.
2) Deux côtés consécutifs [FO] et [RO] sont de même
mesure.
Or, si un parallélogramme possède deux côtés consécutifs
de la même longueur, alors c’est un losange.
Donc, le quadrilatère FORE est un losange.
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La photocopie non autorisée est un délit.
12
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) a) Les diagonales [MB] et [UE] se coupent en leur
milieu R centre de la symétrie centrale.
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
Donc, MUBE est un parallélogramme.
b) Les diagonales [MB] et [UE] sont perpendiculaires.
Or, si un parallélogramme a ses diagonales perpendiculaires, alors c’est un losange.
Donc, MUBE est un losange.
13
Le rectangle ABCD a 2 côtés consécutifs de la
même longueur.
Or, si un rectangle a deux côtés consécutifs de la même
mesure, alors c’est un carré.
Donc, le quadrilatère ABCD est un carré.
14
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) Les segments [ED], [DF], [GE] et [GF] sont de la même
longueur.
Or, si un quadrilatère a ses 4 côtés de la même mesure,
alors c’est un losange.
lF.
De plus, ce losange possède un angle droit ED
Or, si un losange possède un angle droit, alors c’est un
carré.
Donc, le quadrilatère DEGF est un carré.
15
a) AFED est un rectangle. Or, les côtés opposés
d’un rectangle sont de la même mesure.
Donc, EF = AD = 4,2 cm.
b) Les diagonales d’un rectangle sont de la même longueur. Donc, DF = AE = 7 cm.
c) Les diagonales d’un rectangle se coupent en leur milieu.
1
Donc, AO = AE = 3,5 cm.
2
16
a) Puisque le quadrilatère ABCD est un rectangle,
lD est un angle droit.
alors l’angle BA
lC et CA
lD sont complémentaires.
Donc, les angles BA
lD = 90° – 32° = 58°.
Ainsi, CA
lB
b) Par la symétrie centrale de centre O, les angles CA
lD sont symétriques.
et AC
Or, deux angles symétriques par la symétrie centrale sont
égaux.
lD = CA
lB = 32°.
Donc, AC
17
a) Le rectangle PAGE a ses diagonales qui se
coupent en leur milieu et qui sont de la même longueur.
Donc, les segments [AS] et [PS] sont de la même mesure et
le triangle PAS est isocèle en S.
Dans un triangle isocèle, les deux angles à la base sont
égaux.
lG = PA
lE = 25°.
Ainsi, AP
b) Dans tout triangle, la somme des trois angles est égale
à 180°.
l
lS = 25°.
Dans le triangle PSA, on sait que SP
A = PA
lA = 180° – 2 × 25° = 130°.
Donc, PS
18
à
23
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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Chap. 14 - Rectangle, losange, carré 125
24
a) Les quatre côtés d’un losange ont la même longueur ; donc MI = ME = 6 cm.
b) Les diagonales d’un losange se coupent en leur milieu,
1
donc : EK = EI = 7,2 cm : 2 = 3,6 cm.
2
c) Les diagonales d’un losange sont perpendiculaires,
lE = 90°.
donc : MK
25
1) Les quatre côtés d’un losange sont de la même
longueur. En particulier, EP = ER.
Donc, le triangle EPR est isocèle en E.
2) Les diagonales d’un losange se coupent en leur milieu.
Donc, le point T est le milieu du segment [PR]. Donc, la
droite (ET) est une médiane dans le triangle EPR.
Les diagonales d’un losange se coupent perpendiculairement. Donc, la droite (ET) est perpendiculaire au segment [PR]. Donc, la droite (ET) est une hauteur dans le
triangle EPR.
Comme démontré précédemment, la droite (ET) est perpendiculaire au segment [PR] en passant par son milieu T.
Ceci prouve que la droite (ET) est la médiatrice du côté
[PR] dans le triangle EPR.
Les triangles EPT et ERT sont superposables. Donc, les
lR et TE
lP sont égaux. Ceci prouve que la droite
angles TE
lR.
(ET) est la bissectrice de l’angle PE
26
à
31
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32
a) Le quadrilatère TEMA est un carré.
Or, un carré a ses diagonales qui sont perpendiculaires.
l
Donc, EI
M = 90°.
b) Les diagonales d’un carré se coupent en leur milieu,
sont de la même longueur et sont perpendiculaires.
Donc, le triangle EIM est un triangle isocèle rectangle en I.
(180° – 90°)
l
Donc, IE
M=
= 45°.
2
33
et
34
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35
1) 2)
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3) Le quadrilatère AMIE est un carré de centre B.
Or, les diagonales du carré sont de la même longueur et se
coupent en leur milieu.
Donc, ME = MI = 2AB = 3 cm.
36
à
38
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39
1)
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2) Les segments [RE] et [IN] sont deux diamètres d’un
même cercle. Ils ont donc la même longueur et le même
milieu qui est le centre du cercle.
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu et qui sont de la même mesure est un rectangle.
Donc, RIEN est un rectangle.
126
40
1)
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2) Puisque le point R est l’image du point M par la symétrie centrale de centre I et puisque le point O est l’image
du point A par la même symétrie centrale ; alors les diagonales [AO] et [MR] ont le même milieu I.
Or, un quadrilatère qui a les diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
De plus, puisque le triangle MOI est isocèle en I, alors les
longueurs MI, OI, AI et RI sont égales.
Or, un parallélogramme qui a ses diagonales de la même
mesure est un rectangle.
Donc, le quadrilatère MORA est un rectangle.
41
1)
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2) Dans le triangle COL isocèle en L, la médiane issue du
sommet L est aussi une médiatrice du côté [CO].
Or, la médiatrice d’un segment est l’ensemble des points
situés à la même distance des extrémités de ce segment.
Donc, le point U qui est situé sur la médiatrice du segment
[CO] est équidistant des points C et O.
Ainsi, LO = LC = UC = OU.
Or, un quadrilatère qui a ses quatre côtés de la même longueur est un losange.
Donc, CLOU est un losange.
42
Les diagonales [LN] et [MO] sont de la même
mesure, ont le même milieu et sont perpendiculaires.
Le quadrilatère LMNO est donc à la fois un parallélogramme, un rectangle et un losange ; c’est donc un carré.
43
1)
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2) Le point I est le milieu des segments [BC] et [AE].
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
Donc, ABEC est un parallélogramme.
lC est un angle droit.
De plus, l’angle BA
Or, un parallélogramme qui a un angle droit est un rectangle.
Donc, ABEC est un rectangle.
44
1)
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2) Le point I est le milieu des segments [BC] et [AE].
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
Donc, ABEC est un parallélogramme.
De plus, les longueurs AB et AC sont égales.
Or, un parallélogramme qui a deux côtés consécutifs de la
même mesure est un losange.
Donc, ABEC est un losange.
45
1)
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2) Le point I est le milieu des segments [BC] et [AE].
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
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Donc, ABEC est un parallélogramme.
lC est un angle droit.
De plus, l’angle BA
Or, un parallélogramme qui a un angle droit est un rectangle.
Donc, ABEC est un rectangle.
De plus, les longueurs AB et AC sont égales.
>
56
Je fais
fai s l e po
p o int
à
Les exercices 46 à 55 sont corrigés à la page 292 du manuel élève.
57
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58
1)
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2) Dans le quadrilatère LIJK, les côtés [IJ] et [LK] sont
parallèles, les côtés [LI] et [JK] sont également parallèles.
Or, un quadrilatère qui a ses côtés opposés parallèles est un
parallélogramme.
De plus, puisque LIJ est un triangle isocèle en I, alors
IL = IJ.
Or, un parallélogramme qui a deux côtés consécutifs de la
même mesure est un losange.
Donc, LIJK est un losange.
59
1)
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2) Par la symétrie centrale de centre B, on peut affirmer
que le point B est le milieu des segments [AE] et [FC].
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
De plus, ces diagonales se coupent perpendiculairement
puisque ABCD est un rectangle.
Or, un parallélogramme qui a ses diagonales qui se coupent
perpendiculairement est un losange.
Donc, ACEF est un losange.
60
1)
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2) Par la symétrie centrale de centre S, on peut affirmer
que le point S est le milieu des segments [OF] et [TR].
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
De plus, les longueurs OS et TS sont égales puisque le
triangle TOS est équilatéral.
Donc, les longueurs OF et TR sont égales.
Or, un parallélogramme qui a ses diagonales de même
mesure est un rectangle.
Donc, OTFR est un rectangle.
61
Le quadrilatère RSTU est un rectangle de centre A.
Or, un rectangle a ses diagonales qui se coupent en leur
milieu et qui sont de la même longueur.
Donc, AR = AS = AT = AU.
On peut ainsi tracer le cercle de centre A et de rayon AR
qui va passer par chacun des points R, S, T et U. C’est le
cercle circonscrit au rectangle RSTU.
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La photocopie non autorisée est un délit.
Or, un parallélogramme qui a deux côtés consécutifs de la
même mesure est un losange.
Donc, ABEC est un losange.
Puisque le quadrilatère ABEC est à la fois un rectangle et
un losange, alors c’est un carré.
62
lB et CO
lD sont opposés par le somLes angles AO
lD = 48°.
met, donc égaux. Donc, CO
lD isocèle en O, la somme des angles est
Dans le triangle CO
égale à 180°.
lD = (180° – 48°) : 2 = 66°.
Donc, OC
lB est un angle droit, alors AC
lB = 90° – 66° = 24°.
Puisque DC
63
Puisque les diagonales du rectangle MNPR se
coupent en leur milieu et sont de la même longueur, alors
le triangle MOR est isocèle en O.
Or, dans tout triangle, la somme des trois angles est égale
à 180°.
lR = 180° – 2 × 68° = 44°.
Donc, MO
lR et MO
lN sont supplémentaires ;
De plus, les angles MO
donc leur somme est égale à 180°.
lN = 180° – 44° = 136°.
Ainsi, MO
64
Puisque les côtés du losange IJKL sont de la même
mesure, alors le triangle LIJ est isocèle en I.
kL = IL
kJ = 32°.
Donc, IJ
De plus, dans tout triangle, la somme des angles est égale
à 180°.
kJ = 180° – 2 × 32° = 116°.
Donc, LI
Dans un losange comme dans un parallélogramme, les
angles opposés sont égaux.
kJ = LK
kJ = 116°.
Donc, LI
Enfin, dans un losange, la diagonale est aussi bissectrice.
kI = LK
kJ : 2 = 58°.
Donc, LK
65
1)
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2) Les segments [AE], [EB], [BF] et [FA] sont des rayons qui
mesurent tous les quatre 4 cm.
Donc, le quadrilatère AEBF a ses quatre côtés de la même
longueur : c’est un losange.
De plus, un losange a ses côtés opposés parallèles.
Donc, les droites (AE) et (BF) sont parallèles.
66
ABCD est un carré.
Or, un quadrilatère a ses diagonales qui se coupent en leur
milieu, qui sont de la même mesure et qui sont perpendiculaires.
Donc, le triangle AOB est un triangle rectangle isocèle en O.
Par la symétrie d’axe (AB), le triangle AIB est aussi un
triangle rectangle isocèle en I tel que IA = IB = BO = OA.
Le quadrilatère AIBO est donc un losange puisque ses
quatre côtés sont de la même mesure.
lB est un angle droit.
De plus, l’angle AO
Or, un losange qui a un angle droit est un carré.
Donc, AIBO est un carré.
67
1)
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Chap. 14 - Rectangle, losange, carré 127
2) Le point O est à la même distance des points A et B
puisque c’est le centre du cercle.
Donc, les longueurs AO et BO sont égales.
Par la symétrie d’axe (AB), on obtient donc l’égalité des
longueurs AO, OB, BC et CA.
Un quadrilatère qui a ses quatre côtés de la même mesure
est un losange.
Donc, AOBC est un losange.
68
2) Dans le quadrilatère, CDOE, les côtés [CD] et [EO] sont
parallèles ainsi que les côtés [CE] et [OD].
Or, un quadrilatère qui a ses côtés opposés parallèles est un
parallélogramme.
Donc, CDOE est un parallélogramme.
lD est un angle droit.
De plus, l’angle EO
Or, un parallélogramme qui a un angle droit est un rectangle.
Donc, CDOE est un rectangle.
Or, les diagonales d’un rectangle sont de même mesure.
Donc, DE = OC = 5 cm.
Solution rédigée sur le site élève
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70
1) a) Le quadrilatère AMBN a ses quatre côtés de
la même longueur ; c’est donc un losange.
b) Dans un losange, les diagonales se coupent en leur
milieu et sont perpendiculaires.
Donc, la droite (MN) est la médiatrice du segment [AB] ; ce
qui démontre que l’image du point A par la symétrie axiale
d’axe (d) est le point B.
2)
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71
1) Puisque EFGH est un parallélogramme, alors
ses diagonales se coupent en leur milieu.
De plus, d’après la consigne, on sait que EG = FH, ce qui
signifie que ces diagonales ont la même longueur.
Donc, si les diagonales sont de la même mesure et se
coupent en leur milieu, alors, on a bien
OE = OF = OG = OH.
2) a) Nous venons de démontrer que les mesures OE et
OF sont égales.
Ceci prouve que le triangle OEF est isocèle en O.
l
lO sont égaux.
Donc, les angles à la base EF
O et FE
b) D’après la question 1), nous pouvons affirmer que
lO est isocèle.
OE = OH et donc que le triangle EH
l
l
Ainsi, les angles OEH et EHO sont égaux.
lO = EF
lO et puisque OE
lH = EH
lO, alors
c) Puisque FE
lO + OE
lH = EF
lO + EH
lO.
FE
3) a) Considérons le triangle EFH pour citer la propriété
suivante :
« La somme des angles dans tout triangle est égale à 180°. »
lH + FE
l
lO = 180°.
Donc, OE
H + EF
l
l
l
Or, FEH = FEO + OEH.
lE + FE
lO + OE
lH + EF
lO = 180°.
Donc, OH
lO = EH
lO.
De plus, on a montré à la question 2) b) que HE
lO + FE
lO + OE
lH + EH
lO = 180°.
Donc, EF
b) La question 2) a) nous a permis de montrer que
l
lO, alors l’égalité de la question 3) a) peut s’écrire :
EF
O = FE
lO + FE
lO + OE
lH + OE
lH = 180°
FE
l
lH = 180°
2FE
O + 2OE
lO + OE
lH) = 180° en utilisant la formule de la distribu2(FE
tivité
lO + OE
lH = 90°
FE
128
72
1)
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69
l
lH = FE
l
c) FE
O + OE
H = 90°.
lF est un angle droit.
Ceci prouve que l’angle HE
4) En suivant la même démarche, on montrerait égalel
lH, et GH
lE sont des angles
ment que les angles EF
G, FG
droits. On montrerait ainsi que le parallélogramme EFGH
possède quatre angles droits ; ce qui en fait un rectangle.
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(d1) et (d2) sont deux axes de symétrie perpendiculaires du quadrilatère ABCD.
1er cas : ABCD est un losange.
2e cas : ABCD est un rectangle.
3e cas : ABCD est un carré.
4e cas : ABCD est un carré.
73
Étape 1 : Prouver que EFGH est un parallélogramme
● Le quadrilatère ABCD est losange.
Or, un losange étant un parallélogramme, ses côtés opposés sont parallèles.
Ainsi, les droites (AB) et (DC) sont parallèles.
La droite (d1) est la médiatrice du segment [AB].
Donc les droites (AB) et (d1) sont perpendiculaires.
On a (AB) // (DC) et (AB) ⊥ (d1).
Si deux droites sont parallèles, alors toute perpendiculaire
à l’une est perpendiculaire à l’autre.
Donc les droites (d1) et (DC) sont perpendiculaires.
La droite (d3) est la médiatrice du segment [DC].
Donc les droites (DC) et (d3) sont perpendiculaires.
● On a donc (d ) ⊥ (DC) et (DC) ⊥ (d )
1
3
Or si deux droites sont perpendiculaires à la même droite
alors elles sont parallèles.
Donc (d1) // (d3).
Donc (HE) // (GF).
● De la même manière on démontre que (HG) // (EF).
● On a donc (HE) // (GF) et (HG) // (EF)
Or, si un quadrilatère a ses côtés opposés parallèles, alors
c’est un parallélogramme.
Donc le quadrilatère EFGH est un parallélogramme.
Étape 2 : Prouver que le point E appartient à (BD)
Le point E appartient à la droite (d1) médiatrice du segment [AB].
Or, si un point appartient à la médiatrice d’un segment,
alors il est équidistant des extrémités de ce segment.
Donc AE = BE.
Le point E appartient aussi à la droite (d2) médiatrice du
segment [BC].
Donc BE = EC.
On conclut alors que AE = EC.
Or, si un point est équidistant des extrémités d’un segment, alors il appartient à la médiatrice de ce segment.
Donc, le point E appartient à la médiatrice du segment
[AC].
Comme ABCD est un losange, ses diagonales sont des axes
de symétrie du losange.
La droite (BD) est la médiatrice du segment [AC].
Le point E appartient donc à la droite (BD).
● On montre de même que le point G appartient à la
droite (BD) et que les points F et H appartiennent à la
droite (AC).
●
Étape 3 : Prouver que le quadrilatère EFGH est un
losange
● Le quadrilatère ABCD est losange.
Or, les diagonales d’un losange sont perpendiculaires.
Donc les droites (AC) et (BD) sont perpendiculaires.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
● Les points E et G appartiennent à la droite (BD) et les
points F et H appartiennent à la droite (AC).
Donc les droites (EG) et (AC) sont perpendiculaires.
● Le quadrilatère EFGH est un parallélogramme avec ses
diagonales (AC) et (BD) perpendiculaires.
Or, un parallélogramme qui possède des diagonales perpendiculaires est un losange.
Donc le quadrilatère EFGH est un losange.
74
75
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1)
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2) Un rectangle a ses diagonales qui se coupent en leur
milieu et qui sont de la même longueur.
Donc, OB = OA = 4 cm.
lO et OA
lB sont complémentaires.
3) Les angles DA
l
Donc, OA B = 90° – 35° = 55°
lB est isocèle en O.
Puisque OA = OB, alors le triangle OA
lB et OB
lA sont égaux.
Donc, les angles OA
lD = OA
lB = 55°.
Donc, AB
76
1)
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2) a) Le quadrilatère LIRE est un losange.
Or, un losange est constitué de 4 triangles rectangles superposables.
l
kI = 30°
Donc, EI
R = LE
b) Nommons O le point d’intersection des diagonales
dans ce triangle.
On peut donc affirmer que les triangles LOE et LOI sont
l
lO = 30°
superposables et ainsi que LI
O = LE
De plus, le triangle LIO est rectangle en O puisque les diagonales du losange sont perpendiculaires.
Or, dans tout triangle, la somme des trois angles est égale
à 180°.
l
lI – LI
l
Donc, IL
O = 180° – LO
O
l
ILO = 180° – 90° – 30°
l
IL
O = 60°
l
l
IL
O = IL
R = 60°.
77
78
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1)
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2) IJKL est un parallélogramme dont les diagonales se
coupent perpendiculairement.
C’est donc un losange.
79
RSTU est un parallélogramme qui a deux côtés
consécutifs de la même mesure : [RS] et [ST].
Or, un parallélogramme qui a deux côtés consécutifs de la
même longueur est un losange.
RSTU est donc un losange.
lT.
De plus, la parallélogramme RSTU a un angle droit RS
Or, un parallélogramme qui a un angle droit est un rectangle.
RSTU est un rectangle.
Or, un quadrilatère qui est à la fois un parallélogramme,
un rectangle et un losange est un carré.
Donc, RSTU est un carré.
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La photocopie non autorisée est un délit.
80
1) 2) a)
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b) Le point I est le milieu des segments [AB] et [CD] (symétrie centrale de centre I).
Ainsi, le quadrilatère ACBD a ses diagonales qui se coupent
en leur milieu.
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
Donc, ACBD est un parallélogramme.
lB est un angle droit puisque le triangle
De plus, l’angle AC
ABC est rectangle en C.
Donc, le parallélogramme ACBD a un angle droit.
Or, un parallélogramme qui possède un angle droit est un
rectangle.
Donc, ACBD est un rectangle.
3) a) b) Voir figure.
c) Puisque le point C est le centre de la symétrie qui a
permis de placer les points E et F, on peut affirmer que les
segments [AE] et [BF] ont le même milieu C.
Or, un quadrilatère qui a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu est un parallélogramme.
Donc, ABEF est un parallélogramme.
lB est un angle droit puisque le triangle
De plus, l’angle AC
ABC est rectangle en C.
Or, un parallélogramme qui a ses diagonales perpendiculaires est un losange.
Donc, ABEF est un losange.
82
1) 2) a) b)
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c) ● Le quadrilatère ABCD est un rectangle de centre E.
Or, les diagonales d’un rectangle se coupent en leur milieu
et sont de même longueur.
Par rapport à la droite (AB), le symétrique du point E est
point E’, donc le symétrique du segment [AE] est le segment [AE’] et celui du segment [BE] est [BE’].
La symétrie axiale conserve les longueurs.
Donc AE = AE’ et BE = BE’.
● On a : AE = BE, AE = AE’ et BE = BE’.
On en déduit que les quatre côtés du quadrilatère AEBE’
sont de même longueur.
Donc AEBE’ est un losange.
3) b) (ABCD) = 2 × (AEBE’).
d) L’aire du rectangle ABCD est le double de celle du
losange AEBE’.
4) Les points I, J, K et L sont les milieux respectifs des
côtés [AB], [BC], [CD] et [DA] du rectangle ABCD.
Les droites (IK) et (LJ) sont donc les axes de symétrie de ce
rectangle.
Ainsi les huit triangles ALE, AIE, BIE, BJE, CJE, CKE, DKE
et DLE ont tous la même aire a.
Les droites (AB) et (EE’) sont les axes de symétrie du losange
AEBE’.
Donc les quatre triangles AIE, BIE, AIE’ et BIE’ ont la même
aires.
Le rectangle ABCD est composé de huit triangles d’aire a.
Le losange AEBE’ est composé de quatre triangles d’aire a.
L’aire du rectangle ABCD est bien le double de celle du
losange AEBE’.
83
2) Le quadrilatère central semble être un carré.
4) On sait que (AF) // (CH) et (DE) // (BG).
Or, si un quadrilatère possède des côtés opposés parallèles,
alors c’est un parallélogramme.
Donc le quadrilatère central est un paralllélogramme.
Chap. 14 - Rectangle, losange, carré 129
On sait de plus que (AF) ⬜ (BG).
Ainsi le parallélogramme central possède un angle droit.
Or, si un parallélogramme possède un angle droit, alors
c’est un rectangle.
Donc le quadrilatère central est un rectangle.
84
Le blason de Régusse comporte 36 losanges.
(23 petits + 10 moyens + 3 grands).
85
1) 2) a)
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b) Les trois autres sommets du losange sont Gap, Clermont
et Marmande.
86
1) Les droites (AC) et (BD) sont sécantes en O.
Par symétrie, on a : OA = OB = OC = OD.
Donc, le point O est le milieu des segments [AC] et [BD].
Or, si un quadrilatère a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu alors c’est un parallélogramme.
Donc le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
Le parallélogramme ABCD est tel que (AC) ⊥ (BD) et
AC = BD.
130
Or, si un parallélogramme a ses diagonales perpendiculaires et de même longueur alors c’est un carré.
Donc le quadrilatère ABCD est un carré.
2) La symétrie axiale conserve les longueurs et la mesure
des angles.
Donc, par symétrie d’axe (AC), on a OE = OF et
lE = BO
lF.
DO
lF = BO
lG.
Et par symétrie d’axe (BD), on a OF = OG et BO
l
l
On en conclut que OE = OG ainsi que DOE = BOG.
Les droites (AC) et (BD) sont perpendiculaires, donc :
lB = AO
lD = 90° et les angles DO
lE et EO
lA sont compléAO
mentaires.
lG = EO
lA + AO
lB + BO
lG = EO
lA + AO
lB + DO
lE
Ainsi : EO
l
l
l
l
EOG = AOB + (EOA + DOE) = 90° + 90° = 180°.
Les points E, O et G sont alignés et OE = OG.
Donc le point O est le milieu du segment [EG].
De la même façon, on montre que le point O est le milieu
du segment [HF].
Le quadrilatère EFGH a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu et qui sont de même longueur.
Or, si un quadrilatère a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu et qui sont de même longueur alors, c’est un
rectangle.
Donc le quadrilatère EFGH est un rectangle.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Chapitre
15
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES : Prismes droits, cylindres de révolution
longueur, les angles droits, les arêtes, les faces parallèles ou perpendiculaires.
■ Commentaires
CAPACITÉS
Fabriquer un prisme droit dont la base est un
triangle ou un parallélogramme et dont les dimensions
sont données, en particulier à partir d’un patron.
● Fabriquer un cylindre de révolution dont le rayon du
cercle de base est donné.
● Dessiner à main levée une représentation en perspective cavalière de ces deux solides.
● Reconnaître dans une représentation en perspective cavalière d’un prisme droit les arêtes de même
●
Comme en classe de Sixième, l’objectif est d’entretenir et
d’approfondir les acquis : représenter, décrire et construire des
solides de l’espace, en particulier à l’aide de patrons. Passer de
l’objet à ses représentations (et inversement) constitue encore
l’essentiel du travail.
L’observation et la manipulation d’objets usuels sont des points
d’appui indispensables.
L’usage d’outils informatiques (logiciels de géométrie dans
l’espace) peut se révéler utile pour une meilleure découverte de ces solides.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des constructions simples en utilisant :
● des outils (instruments de dessin, logiciels) ;
● des définitions, des propriétés (en acte et sans nécessité
d’indiquer ou de justifier la méthode choisie).
Indications pour l’évaluation en situation
Les instruments sont la règle (graduée ou non), l’équerre,
le compas, le rapporteur.
Les tracés doivent pouvoir être réalisés sur papier uni ou
support informatique.
Il s’agit de dessiner à main levée une représentation en
perspective cavalière d’un prisme droit ou d’un cylindre
de révolution.
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Interpréter une représentation plane d’un objet de l’espace, un patron.
Indications pour l’évaluation en situation
Il s’agit de reconnaître et dessiner à main levée un cylindre
de révolution. Pour le prisme droit, seul le dessin à main
levée est exigible.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : Parallélépipède rectangle : patrons,
représentation en perspective
Dessiner ou compléter un patron d’un parallélépipède rectangle.
●
■ Commentaires
CAPACITÉS
Fabriquer un parallélépipède rectangle de dimensions données, à partir de la donnée du dessin de l’un
de ses patrons.
● Reconnaître un parallélépipède rectangle de dimensions données à partir :
– du dessin d’un de ses patrons ;
– d’un dessin le représentant en perspective cavalière.
● Reconnaître dans une représentation en perspective cavalière du parallélépipède rectangle les arêtes
de même longueur, les angles droits, les arêtes, les
faces parallèles ou perpendiculaires.
●
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
À l’école élémentaire, les élèves ont déjà travaillé sur des
solides droits de l’espace (description, construction,
patron). Cette étude est poursuivie en 6e en mettant l’accent sur un aspect nouveau : la représentation en perspective cavalière, dont certaines caractéristiques sont précisées
aux élèves.
L’usage d’outils informatiques permet une visualisation de
différentes représentations d’un même objet de l’espace.
Même si les compétences attendues ne concernent que le
parallélépipède rectangle, les travaux portent sur différents objets de l’espace et s’appuient sur l’étude de solides
amenant à passer de l’objet à ses représentations et inversement.
Chap. 15 - Prisme droit et cylindre de révolution 131
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
●
●
Configurations dans l’espace
Pyramide et cône de révolution
CAPACITÉS
Réaliser le patron d’une pyramide de dimensions
données.
complétées par l’observation et la manipulation d’images
dynamiques données par des logiciels de géométrie.
Les activités sur les pyramides exploitent des situations
simples. L’objectif est toujours d’apprendre à voir dans l’espace,
ce qui implique un large usage des représentations en perspective et la réalisation de patrons. Ces travaux permettent de
consolider les images mentales relatives à des situations d’orthogonalité.
■ Commentaires
L’observation et la manipulation d’objets constituent des
points d’appui indispensables. Ces activités doivent être
Commen tai res des au
Commentaires
auteurs
teurs
➜ Les parallélépipèdes rectangles ont été vus au
cycle 3 et en Sixième.
➜ Les prismes droits ont été abordés en CM2, leurs
bases étant des triangles.
En Cinquième, les bases des prismes droits étudiés
sont essentiellement des triangles ou des parallélogrammes.
➜ Les cylindres de révolution et leurs patrons ont été
vus en CM2 et sont revus en Cinquième.
>
➜ En plus de savoir lire (CM2) et interpréter (6e)
une représentation en perspective, les élèves de
Cinquième doivent savoir dessiner à main levée un
prisme droit ou un cylindre de révolution en perspective cavalière.
➜ En Quatrième, l’étude des solides se poursuit avec
les pyramides et les cônes de révolution.
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES : Cette activité permet de revoir dif-
C ORRIGÉ
férents solides déjà rencontrés au primaire. Dans ce chapitre, on s’intéressera aux prismes droits et aux cylindres
de révolution.
a)
b)
c)
d)
1
JE DÉCRIS UN PRISME DROIT
Objectif
Décrire un prisme droit.
Prérequis
Paragraphe
introduit
–
! Prisme droit
■ COM MENTAI RES : Cette activité permet de décrire un
prisme droit. On peut après la question 4) b) introduire la
hauteur du prisme.
CORRIG É
1)
a)
b)
c)
132
Ce prisme droit possède :
6 sommets ;
9 arêtes ;
5 faces.
Les piliers rappellent des cylindres de révolution.
Le solide soutenant la girouette rappelle une sphère.
Le toit rappelle une pyramide.
Le corps du bâtiment rappelle un prisme droit.
JE REVOIS
2) b) Lorsqu’on ne voit que la face ABC, la face DEF se
trouve exactement derrière la face ABC.
Ces deux faces sont superposables. Elles sont les bases du
prisme droit.
3) a) La face ABED est un rectangle.
b) La face BCFE est un rectangle.
c) La face ACFD est un rectangle.
d) Les faces latérales de ce prisme sont des rectangles.
lD est
4) a) La face ABED étant un rectangle, l’angle BA
droit.
b) Les côtés opposés d’un rectangle ont la même longueur.
ABED étant un rectangle, on a donc AD = BE.
De même, BCFE étant un rectangle, BE = CF.
Les segments [AD], [BE] et [CF] ont donc la même longueur.
Cette longueur commune aux arêtes latérales du prisme
droit est la hauteur du prisme droit.
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La photocopie non autorisée est un délit.
2
JE CONSTRUIS UN PATRON DE PRISME DROIT
Objectif
Construire un patron d’un prisme
droit à base triangulaire.
Prérequis
Description du prisme droit.
Paragraphe
introduit
! Prisme droit
■ C OMMENTAI RE S :
Les élèves complètent un patron de prisme droit. Il y a
plusieurs possibilités pour placer la face manquante.
3
1) a) La face verte, la face bleue, la face jaune sont des
rectangles. Ce sont donc des faces latérales du prisme
droit. La face rouge est un triangle, ce n’est pas une face
latérale, c’est donc une base.
b) Les bases du prisme droit sont des triangles.
2) 3) a) La face manquante à ce patron est une base.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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b) La face manquante peut être accolée à chaque face
latérale. Il faut alors faire attention à la façon dont on la
place.
JE DÉCRIS UN CYLINDRE DE RÉVOLUTION
Objectif
Prérequis
Paragraphe
introduit
Visualiser un cylindre de révolution.
–
@ Cylindre de révolution
CO RRI G É
2) b) Les segments [AD] et [BC] semblent décrire des disques de centres respectifs A et B.
4
C ORRIGÉ
3) b) Le segment [CD] semble décrire la surface latérale
d’un cylindre de révolution.
4) b) Le rectangle ABCD semble décrire un cylindre de
révolution.
Les surfaces décrites à la question 2) représentent les bases
de ce solide.
Celle décrite à la question 3) représente la surface latérale
du solide.
J’ÉTUDIE UN PATRON DE CYLINDRE DE RÉVOLUTION
Objectif
Observer un patron de cylindre
de révolution.
Prérequis
Description du cylindre de révolution.
Paragraphe
introduit
@ Cylindre de révolution
>
C ORRIGÉ
2) b) Le quadrilatère obtenu est un rectangle.
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
a) Prisme droit à base rectangulaire.
b) Ce n’est pas un prisme droit. C’est une pyramide.
c) Prisme droit à base hexagonale.
d) Prisme droit à base triangulaire.
e) Prisme droit à base carré : c’est un cube.
f) Prisme droit à base circulaire : c’est un cylindre.
2
a) Prisme droit à base hexagonale.
Six faces latérales.
b) Prisme droit à base rectangulaire.
Quatre faces latérales.
c) Prisme droit à base triangulaire.
Trois faces latérales.
d) Prisme droit à base triangulaire.
Trois faces latérales.
e) Prisme droit à base carré : cube.
Quatre faces latérales.
f) Prisme droit ayant pour bases deux parallélogrammes.
Quatre faces latérales.
3
a) C’est bien le patron d’un prisme droit.
b) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit. Le triangle en
dessous n’est pas positionné dans le bon sens.
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La photocopie non autorisée est un délit.
c) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit. Les triangles
ne sont pas positionnés dans le bon sens.
d) C’est bien le patron d’un prisme droit.
e) C’est bien le patron d’un prisme droit.
f) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit. Il doit y
avoir un triangle en dessous du rectangle et l’autre audessus.
g) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit. Il doit y
avoir un triangle en dessous du rectangle et l’autre audessus.
4
a donne 2 ; b donne 3 ; c donne 1 ; d donne 4.
5
a) C’est bien le patron d’un cylindre.
b) Ce n’est pas le patron d’un cylindre. Il doit y avoir un
disque au-dessus du rectangle et un autre en dessous.
c) Ce n’est pas le patron d’un cylindre. La longueur du
rectangle n’est pas suffisante.
d) Ce n’est pas le patron d’un cylindre. Il doit y avoir un
disque au-dessus du rectangle et un autre en dessous.
e) C’est bien le patron d’un cylindre.
f) Ce n’est pas le patron d’un cylindre. Les figures bleues
doivent être des disques.
Chap. 15 - Prisme droit et cylindre de révolution 133
6
a) Arêtes parallèles : [ES], [GI], [OH], [RC], [FT].
b) Quelques arêtes perpendiculaires : [RF] et [FT], [ES] et
[SI], [RC] et [RO].
c) Quelques arêtes de même longueur : [RO] et [CH], [HI]
et [OG], [FE] et [TS].
d) Des faces parallèles : ROGEF et CHIST.
e) Quelques faces perpendiculaires : ROGEF et ROCH,
ROGEF et GISE, CHIST et GIHO, CHIST et FRCT.
lO, OH
lI, IG
lE, EF
lT, TC
lR.
f) Quelques angles droits : CR
7
à
15
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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16
1) Pour tracer le patron d’un cylindre, on doit
calculer le périmètre du cercle de base qui est égal à la
longueur du rectangle : 2πr = 2 × π × 0,75 cm 艐 4,71 cm.
Ce qui prouve que la longueur du rectangle proposé n’est
pas suffisante. Ce calcul permet de tracer le patron de ce
cylindre.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
2)
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17
Pour tracer le patron d’un cylindre, on doit calculer le périmètre du cercle de base qui est égal à la longueur
du rectangle : 2πr = 2 × π × 1,5 cm 艐 9,42 cm.
b) Ceci n’est pas le patron d’un prisme droit à base triangulaire car la hauteur doit avoir la même longueur sur
chaque face latérale.
c) C’est bien le patron d’un prisme droit à base triangulaire.
24
a) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit car les
parallélogrammes ne sont pas « orientés » de la même
manière.
b) Ceci est bien le patron d’un prisme droit.
c) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit car il ne doit
y avoir que deux bases : les parallélogrammes.
d) Ce n’est pas le patron d’un prisme droit car les rectangles ne sont pas « placés dans le bon ordre ».
25
1) Pour tracer le patron d’un cylindre, on doit
calculer le périmètre du cercle de base qui est égal à la
longueur du rectangle : 2πr = 2 × π × 2 cm 艐 12,56 cm.
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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19
1) Pour tracer le patron d’un cylindre, on doit
calculer le périmètre du cercle de base qui est égal à la
longueur du rectangle : 2πr = 2 × π × 3 cm 艐 18,84 cm.
2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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20
1) Les bases de ce prisme droit sont les triangles
ABC et DEF.
2) La face ACFD est un rectangle puisque c’est une face
latérale d’un prisme droit.
3) La hauteur de ce prisme droit est [FC] ou [AD] ou [BE].
Elle mesure 5 cm.
21
1) a) La face MNOP est un parallélogramme.
b) Cette face est une des bases de ce prisme droit.
2) La face MRUP est alors un rectangle puisque c’est une
face latérale de ce prisme droit.
22
1) a) La face ANT est un triangle ; c’est une des
deux bases de ce prisme droit.
b) La face VONA est un rectangle puisque c’est une face
latérale de ce prisme droit.
2) a) OL = 4 cm car la face LONT est un rectangle qui a
ses côtés opposés de même longueur.
b) LT = 6 cm car le segment [LT] est une hauteur de ce
prisme droit comme le segment [AV].
23
a) C’est bien le patron d’un prisme droit à base
triangulaire.
134
27
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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28
a) Prisme 2
b) Prisme 3
c) Prisme 1
29
à
32
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18
à
33
1) Deux faces parallèles : APE et ROS.
2) Deux faces perpendiculaires : PARO et ROS par
exemple.
3) Trois arêtes parallèles : [AR], [PO] et [ES].
4) Deux arêtes perpendiculaires : [PO] et [PE] par
exemple.
34
1) a) ABCD et EFGH sont des faces parallèles car
ce sont les bases de ce prisme droit.
b) ABFE et CGHD ne sont pas parallèles.
2) a) ABCD et ABFE sont des faces perpendiculaires.
b) BCGF et EFGH sont des faces perpendiculaires.
35
1) a) (AB) et (EF) sont parallèles car ABFE est un
rectangle.
b) (AB) et (CD) ne sont pas parallèles car dans une figure
en perspective cavalière, les arêtes parallèles dans la réalité
sont dessinées parallèles.
c) (AD) et (BC) sont parallèles car ce sont deux droites
perpendiculaires à une même troisième droite (AB).
d) (EH) et (FG) sont parallèles car ce sont deux droites
perpendiculaires à une même troisième droite (EF).
2) a) (AB) et (AE) sont perpendiculaires car ABFE est un
rectangle.
b) (CD) et (DH) sont perpendiculaires car CDHG est un
rectangle.
c) (EH) et (HG) ne sont pas perpendiculaires car EFGH
n’est pas un rectangle.
d) (AE) et (CG) ne sont pas perpendiculaires. Elles sont
parallèles.
36
1) a) Les bases de ce prisme droit sont représentées par des ovales.
b) Il s’agit en réalité de disques.
2) a) ABCD est représenté par un parallélogramme.
b) Il s’agit en réalité d’un rectangle.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
>
Je fais
fai s l e po
p o int
Les exercices 37 à 46 sont corrigés à la page 292 du manuel élève.
47
1) a) Pour le pavé droit : 8 sommets.
Pour l’autre prisme droit : 6 sommets.
b) Pour le pavé droit : 6 faces.
Pour l’autre prisme droit : 5 faces.
c) Pour le pavé droit : 12 arêtes.
Pour l’autre prisme droit : 9 arêtes.
2) a) Ce solide a 10 sommets.
b) Ce solide a 7 faces.
c) Ce solide a 15 arêtes.
d) Ce solide a 5 faces latérales.
e) Ce solide a 5 arêtes latérales.
48
1) a) Ces deux solides sont des prismes droits à
base triangulaires.
b) Les bases sont des triangles rectangles.
2)
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49
à
53
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54
1) Ses bases sont des demi-disques.
2) Le demi-cylindre possède deux faces latérales qui sont
des rectangles.
3) On doit calculer la longueur du demi-cercle :
πR = π × 1,5 cm 艐 4,71 cm.
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55
Cette surface latérale est un rectangle dont nous
allons calculer l’aire :
Longueur × largeur = π × diamètre × hauteur
= π × 8 cm × 8,5 cm = 68π cm2.
56
57
Solution rédigée sur le site élève
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1)
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3) Les bases de ce prisme droit sont des hexagones.
4)
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58
a) Périmètre d’une base :
a + 1 + 2a + a + 1 + 2a = 6a + 2.
b) En réalité, il y a deux faces latérales différentes qui ont
chacune pour périmètre :
a + a + 1 + a + a + 1 = 4a + 2, pour l’une ;
a + 2a + a + 2a = 6a, pour l’autre.
c) Somme totale des longueurs des arêtes du prisme
droit :
4a + 4(2a) + 4(a + 1) = 4a + 8a + 4a + 4 = 16a + 4
59
1) vue de face
2) vue arrière
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La photocopie non autorisée est un délit.
3)
4)
5)
6)
vue de gauche
vue de dessus
vue de droite
vue de dessous
60
61
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Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
On appelle a une des dimensions.
Les trois autres sont a + 1 ; a + 2 et a + 3.
1er cas : a est la hauteur du prisme droit.
La somme S des longueurs de toutes ses arêtes est :
S = 3 × a + 2 × (a + 1) + 2 × (a + 2) + 2 × (a + 3)
S = 3a + 2a + 2 + 2a + 4 + 2a + 6
S = 9a + 12
9a + 12 est égal à 131.
Donc 9a est égal à 131 – 12 = 119.
Et a = 119 : 9 艐 13,2.
a n’est pas un nombre entier.
Donc a ne peut pas être la hauteur du prisme droit.
Donc a est la longueur d’un côté d’une base.
2e cas : a + 1 est la hauteur du prisme droit.
S = 3 × (a + 1) + 2 × a + 2 × (a + 2) + 2 × (a + 3)
S = 3a + 3 + 2a + 2a + 4 + 2a + 6
S = 9a + 13
9a + 13 est égal à 131.
Donc 9a est égal à 131-13 = 118.
Et a = 118 : 9 ≈ 13,1.
a n’est pas un nombre entier.
Donc a + 1 ne peut pas être la hauteur du prisme droit.
3e cas : a + 2 est la hauteur du prisme droit.
S = 3 × (a + 2) + 2 × a + 2 × (a + 1) + 2 × (a + 3)
S = 3a + 6 + 2a + 2a + 2 + 2a + 6
S = 9a + 14
9a + 14 est égal à 131.
Donc 9a est égal à 131–14 = 117
Et a = 117 : 9 = 13.
a est un nombre entier.
Donc la hauteur du prisme droit est 15 cm.
Les dimensions d’un triangle de base sont alors 13 cm,
14 cm et 16 cm.
4e cas : a + 3 est la hauteur du prisme droit.
S = 3 × (a + 3) + 2 × a + 2 × (a + 1) + 2 × (a + 2)
S = 3a + 9 + 2a + 2a + 2 + 2a + 4
S = 9a + 15
9a + 15 est égal à 131.
Donc 9a est égal à 131 – 15 = 116.
Et a = 116 : 9 艐 12,8.
a n’est pas un nombre entier.
Donc a + 3 ne peut pas être la hauteur du prisme droit.
62
1) Les faces latérales sont ABFE, BCGF, CDHG et
DHEA. Ce sont des rectangles.
2) a) 8 sommets.
b) 12 arêtes.
c) 4 arêtes latérales.
3) La hauteur de ce prisme droit est [AE] ou [BF] ou [CG]
ou [DH]. Ce sont les arêtes latérales.
Chap. 15 - Prisme droit et cylindre de révoution 135
63
et
64
Figures disponibles à partir de septembre 2010 sur le site
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65
1) La face latérale est un rectangle de largeur 4 cm
et de longueur :
2πr = 2 × π × 1,5 cm = 3π cm = 9,42 cm.
2)
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66
et
67
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69
1) Le solide semble être un parallélépipède rectangle.
2) La face ABCD est un parallélogramme.
Le solide est donc un prisme droit dont les bases sont des
parallélogrammes.
72
1) h = 42 m – 17 m
h = 25 m
2) Le toit cylindrique est un rectangle de dimensions
54 m et l.
l = (π × D) : 2 = (π × 34 m) : 2
l 艐 53,4 m.
3) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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68
1) Le solide est un prisme droit dont les bases sont
des triangles.
136
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Chapitre
16
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
Grandeurs et mesures
Cette rubrique s’appuie notamment sur la résolution de problèmes empruntés à la vie courante. Comme en classe de
Sixième, l’utilisation d’unités dans les calculs sur les grandeurs est légitime. Elle est de nature à en faciliter le contrôle et à
en soutenir le sens. Les questions de changement d’unités sont reliées à l’utilisation de la proportionnalité de préférence
au recours systématique à un tableau de conversion.
La résolution de problèmes a pour objectifs de compléter les connaissances relatives aux longueurs, aux angles, aux masses
et aux durées, de calculer les aires ou volumes attachés aux figures planes ou solides usuels, de poursuivre l’étude du système d’unités de mesure des volumes, d’apprendre à choisir les unités adaptées et à effectuer des changements d’unité.
> CONNAISSANCES : Longueurs, masses
> CONNAISSANCES : Durées
CAPACITÉS
CAPACITÉS
Calculer le périmètre d’une figure.
Calculer des durées, des horaires.
■ Commentaires
■ Commentaires
Pour les polygones (dont le parallélogramme), la compréhension de la notion de périmètre suffit à la détermination
de procédés de calcul (les formules sont donc inutiles).
Le calcul sur des durées ou des horaires, à l’aide de procédures raisonnées, se poursuit.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Calculer le périmètre d’une figure.
– Calculer des durées, des horaires par différentes
méthodes.
Programme de la classe de Sixième
La résolution de problèmes a pour objectifs :
– de compléter les connaissances relatives aux longueurs, aires, masses et durées ;
– de savoir choisir une unité appropriée et effectuer des changements d’unités ;
– de consolider la notion d’angle, d’assurer la maîtrise des notions d’aire et de périmètre.
> CONNAISSANCES : Longueurs, masses
CAPACITÉS
● Effectuer, pour les longueurs et les masses, des
changements d’unités de mesure.
● Comparer géométriquement des périmètres.
● Calculer le périmètre d’un polygone.
● Connaître et utiliser la formule donnant la longueur d’un cercle.
ments de mesure, en s’appuyant sur les équivalences
entre les différentes unités.
La comparaison de périmètres sans avoir recours aux
formules est particulièrement importante pour affermir le
sens de cette notion.
Le travail sur les périmètres permet aussi une initiation
aux écritures littérales.
> CONNAISSANCES : Durées
■ Commentaires
Il s’agit d’entretenir les connaissances acquises à l’école
élémentaire, de compléter et consolider l’usage d’instru-
CAPACITÉS
Calculer des durées, calculer des horaires.
Programme de la classe de Quatrième
Grandeurs et mesures
Cette rubrique s’appuie notamment sur la résolution de problèmes empruntés à la vie courante et aux autres disciplines.
Les notions de mouvement uniforme et de vitesse ont été travaillées en classe de Cinquième dans le cadre de la proportionnalité.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Chap. 16 - Longueurs, masses, durées 137
La notion de vitesse en tant que grandeur quotient est abordée pour la première fois en classe de Quatrième.
Comme dans les classes précédentes, l’utilisation d’unités dans les calculs sur les grandeurs est légitime. Elle est de nature
à en faciliter le contrôle et à en soutenir le sens.
La résolution de problèmes a pour objectifs :
– d’initier les élèves à des grandeurs quotient ;
– de compléter les connaissances et consolider les raisonnements permettant de calculer les grandeurs travaillées antérieurement (longueurs, angles, aires, volumes) ;
– de savoir choisir les unités adaptées et d’effectuer les changements d’unités.
> CONNAISSANCES : Grandeurs quotients courantes :
■ Commentaires
vitesse moyenne
La notion de vitesse moyenne est définie. Le vocabulaire
« kilomètre par heure » et la notation km/h, issus de la vie
courante, sont à mettre en relation avec la notation km.h-1
Les compétences exigibles ne concernent que les vitesses
mais d’autres situations de changement d’unités méritent
d’être envisagées : problème de change monétaire, débit,
consommation de carburant en litres pour 100 kilomètres
ou en kilomètres parcourus par litre.
CAPACITÉS
*Calculer des distances parcourues, des vitesses
moyennes et des durées de parcours en utilisant l’égalité d = vt.
● *Changer d’unités de vitesse (mètre par seconde et
kilomètre par heure).
●
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Les notions de longueurs, masses et durées ont
déjà été étudiées au primaire et en classe de Sixième
et ne sont pas redéfinies dans ce chapitre.
➜ On a rappelé la formule du périmètre du disque
vue au CM2.
➜ Les masses interviennent dans les exercices et
sont évoquées dans le cours pour illustrer l’utilité de
convertir dans la même unité pour effectuer certains
calculs. Des exercices de conversion de longueurs et de
masse permettent aux élèves de s’entraîner utilement.
➜ Au début du manuel, une page complète
(page 12) est consacrée aux préfixes dans les unités de
>
mesures et aux conversions des unités de longueurs
et de masses.
➜ Pour calculer une durée ou un horaire, on savait
utiliser un schéma ou raisonner par complément. Dans
ce chapitre, on apprend à poser une opération sur les
durées : addition et soustraction.
On a profité de ce chapitre pour convertir les durées
en heures, minutes, secondes. Il est important de distinguer l’écriture sexagésimale 2 h 15 min de l’écriture
décimale 2,25 h. En classe de Quatrième, les durées
seront obligatoirement converties en écriture décimale pour calculer des vitesses.
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
■ COM MENTAI RES : Cette activité est l’occasion de rap-
C ORRIGÉ
peler un événement majeur dans l’histoire de l’humanité :
les premiers pas de l’homme sur la lune. Le cinquantenaire
de cet événement a été fêté en 2009.
1) a) Les instants sont : 21 juillet 1969 à 2 h 56 min.
b) Les durées sont : 2 h 31 min 40 s et 40 ans.
c) Les longueurs sont : 250 m.
2) « Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité. »
1
JE CALCULE UN HORAIRE EN EFFECTUANT UNE ADDITION
Objectifs
●
Calculer un horaire en effectuant
une addition.
● Exprimer une durée en heures,
minutes, secondes.
Prérequis
●
Conversion des durées.
Calcul d’une durée en utilisant un
schéma.
●
Paragraphe
introduit
138
■ C O M M E NTAI R E S : Poser les opérations pour calculer
des durées est une nouveauté de la classe de Cinquième.
Dans tout ce chapitre on utilisera la périphrase « Exprimer
une durée en heures, minutes, secondes » pour signifier
« exprimer une durée en utilisant des nombres entiers, le
nombre de minutes et celui des secondes étant inférieurs
à 60. »
@ Durée
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
CO RRI G É
1) a)
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Les astronautes se sont rejoints à 3 h 11 min.
b) T = 2 h 56 min + 15 min
T = 2 h + (56 min + 15 min)
T = 2 h + 71 min
T = 2 h + 60 min + 11 min
T = 2 h + 1 h + 11 min
T = 3 h + 11 min
Les astronautes se sont rejoints à 3 h 11 min.
2
2) a) Non.
b) Sa réponse n’est pas satisfaisante. Usuellement, on
n’écrit pas 87 min dans un horaire.
Le nombre de minutes doit être inférieur à 60.
c) 4 h 87 min 40 s = 4 h + 60 min + 27 min + 40 s
= 5 h 27 min 40 s.
Armstrong est remonté dans le LEM à 5 h 27 min 40 s.
JE CALCULE UNE DURÉE EN EFFECTUANT UNE SOUSTRACTION
Objectif
Calculer une durée en effectuant une
soustraction.
Prérequis
Conversion des durées.
Paragraphe
introduit
@ Durée
b) 12 h 30 min = 11 h + 1 h + 30 min
= 11 h + 60 min + 30 min.
Donc 12 h 30 min = 11 h 90 min.
3) a)
11 h 90 min
–
CO RRI G É
1) Une soustraction.
2) a) Non
>
30 min
8h
45 min
3h
45 min
b) La durée de la course de Fred est 3 h 45 min.
Ex e rc ic
Exe
i ces
es
1
b)
c)
d)
e)
12 h
a) une fourmi
une mouche
une souris
la longueur d’un vélo pour enfant
la longueur d’un lit
2
a) 1 cm3 d’eau
b) un petit lapin
c) un kangourou de taille moyenne
d) une vache
3
a) environ 30 cm
b) environ 2 cm
c) environ 0,1 mm
d) environ 0,8 kg
4
a) 135 cm = 1,35 m
b) 7,25 hm = 725 m
c) 268 mm = 0,268 m
d) 35,6 dm = 3,56 m
e) 0,157 km = 157 m
f) 3,62 dam = 36,2 m
g) 6 000 cm = 60 m
h) 4 300 km = 4 300 000 m
i) 70 mm = 0,07 m
5
a) 4,8 hg = 480 g
b) 0,1 dag = 1 g
c) 6 500 cg = 65 g
d) 0,045 dag = 0,45 g
e) 11,38 q = 1 138 000 g
f) 3,4 kg = 3 400 g
g) 0,125 kg = 125 g
h) 43 dg = 4,3 g
i) 0,079 t = 79 000 g
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6
a) 42 mm + 20 mm + 8 mm + 34 mm = 104 mm
b) 2 × 3 cm + 6 × 2 cm = 18 cm
c) 3 × 5,3 cm = 15,9 cm
d) 2 × 5,5 cm + 2 × 3,5 cm = 18 cm
a) 4 × 2,5 cm = 10 cm
b) 4 × 3,2 cm = 12,8 cm
c) 2(7 m + 4 m) = 22 m
d) 2(2,3 hm + 4 hm) = 12,6 hm
7
1) a) Valeur approchée de π au centième : 3,14.
b) Valeur approchée de π au dixième : 3,1.
c) Valeur approchée de π à l’unité : 3.
2) a) La valeur exacte de π est π.
b) Le nombre π n’est pas un nombre décimal ; on ne peut
pas l’écrire à l’aide d’une virgule.
8
9
1) a) Périmètre du cercle :
2πR = 2 × π × 5 m = 10π m.
b) Périmètre du cercle : π × diamètre = 3π cm.
2) Valeur approchée de a) : 31,42 m.
Valeur approchée de b) : 9,425 cm.
10
a) 1 min = 60 s
5 min = 300 s
1 min 29 s = 89 s
4 min 20 s = 260 s
1 h = 3 600 s
1
h = 1 800 s
f)
2
b)
c)
d)
e)
11
1) a) 1 min
b) 1 min
c) 1 min
Chap. 16 - Longueurs, masses, durées 139
d) 2 min
e) 3 min
f) 10 min
2) a) 70 s = 1 min 10 s
b) 65 s = 1 min 5 s
c) 100 s = 1 min 40 s
d) 120 s = 2 min
e) 200 s = 3 min 20 s
f) 600 s = 10 min
12
a) 1 h = 60 min
b) 2 h = 120 min
c) 5 h = 300 min
d) 1 h 17 min = 77 min
e) 1 heure un quart = 75 min
f) 1 heure et demie = 90 min
g) 60 s = 1 min
h) 360 s = 6 min
i) 3 600 s = 60 min
13
a) 1 j 1h = 25 h
b) 1 j 8 h = 32 h
c) 2 j = 48 h
d) 1,5 j = 36 h
e) 60 min = 1 h
f) 120 min = 2 h
g) 600 min = 10 h
h) 3 600 s = 1 h
14
a) 87 min = 1 h 27 min 0 s
b) 4 h 61 min = 5 h 1 min 0 s
c) 1 h 70 min 13 s = 2 h 10 min 13 s
d) 100 min 15 s = 1 h 40 min 15 s
15
a) 1 h 30 min + 30 min = 2 h
b) 2 h 15 min + 8 h 26 min = 10 h 41 min
c) 3 h 25 min + 1 h 55 min = 5 h 20 min
d) 40 min 30 s + 30 min 40 s = 1 h 11 min 10 s
16
b)
c)
d)
e)
a) 4 min 40 s – 2 min 30 s = 2 min 10 s
3 h 25 min 40 s – 1 h 10 min 20 s = 2 h 15 min 20 s
1 min – 15 sec = 45 s
4 min 30 s – 2 min 40 s = 1 min 50 s
1 min 20 s – 22 s = 58 s
17
Périmètre :
54 cm + 41 cm + 67 cm + 15 cm = 177 cm.
18
Périmètre : 2 × 5,3 cm + 3,3 cm = 13,9 cm.
19
Périmètre : 4 × 3,1 cm = 12,4 cm.
20
Périmètre :
2 × 2,4 dm + 2 × 1,5 dm = 7,8 dm = 780 mm.
21
Périmètre = 2πR = π × D = 5,3π cm.
22
Périmètre : 2πR = 2 × π × 6 mm = 12π mm.
a) Périmètre : π × D = 6,4π cm.
Valeur approchée au dixième : 20,1 cm.
b) Périmètre : 2πR = 2 × π × 12,5 m = 25π m.
Valeur approchée au dixième : 78,5 m.
23
Longueur du demi-cercle : π × R = 42,5π mm.
Périmètre de la figure : 42,5π mm + 85 mm.
Valeur approchée au millimètre : 219 mm.
24
140
πR
= 1,2π cm.
2
Périmètre de la figure : 1,2π cm + 4,8 cm.
Valeur approchée au millimètre : 8,6 cm.
25
Longueur du quart de cercle :
Longueur du demi-cercle : π × R = 1,75π cm.
Périmètre de la figure : 1,75π cm + 4,6 cm.
Valeur approchée au millimètre : 10,1 cm.
26
πR
= 1,25π cm.
2
Périmètre de la figure : 1,25π cm + 10 cm.
Valeur approchée au millimètre : 13,9 cm.
27
Longueur du quart de cercle :
28
a) 21 h 41 min
b) 19 h 84 min = 20 h 24 min
c) 80 min 90 s = 81 min 30 s = 1 h 21 min 30 s
d) 26 h 88 min 40 s = 27 h 28 min 40 s
= 1 j 3 h 28 min 40 s
29
a) 12 h 41 min + 9 h 38 min = 21 h 79 min
= 22 h 19 min
b) 7 min 29 s + 54 min 51 s = 61 min 80 s = 62 min 20 s
= 1 h 2 min 20 s
c) 19 h 26 min + 1 h 46 min = 20 h 72 min = 21 h 12 min
d) 14 h 45 min 39 s + 11 h 51 min 38 s
= 25 h 96 min 77 s = 1 j 2 h 37 min 17s
30
Pour résoudre ce problème, on réalise l’opération
suivante :
9 h 45 min + 6 h 27 min + 1 h 58 min = 16 h 130 min
= 18 h 10 min
On arrivera à 18 h 10 min.
31
Pour résoudre ce problème, on effectue l’opération
suivante :
18 h 53 min + 7 h 51 min + 41 min + 18 min + 26 min
= 25 h 189 min = 28 h 9 min
Lou arrive à 4 h 9 min.
32
a) 6 h 21 min
b) 8 h 59 min
c) 31 min 50 s
d) 2 h 27 min 46 s
33
a) 14 h 42 min – 8 h 38 min = 6 h 4 min
b) 15 h 27 min – 9 h 27 min = 6 h
c) 18 min 25 s – 11 min 46 s = 6 min 39 s
d) 16 h 56 min 29 s – 13 h 4 min 51 s = 3 h 51 min 38 s
34
Pour résoudre ce problème, on effectue l’opération
suivante :
20 h 35 min – 2 h 15 min = 18 h 20 min
La séance de cinéma a commencé à 18 h 20 min.
35
Pour résoudre ce problème, on réalise l’opération
suivante :
19 h 17 min – 1 h 45 min = 17 h 32 min
Rémi doit partir faire les courses avant 17 h 32 min.
36
a) Pour résoudre cette question, on effectue l’opération :
23 h 13 min – 19 h 38 min = 3 h 35 min
Cet avion a volé pendant 3 h 35 min.
b) On peut considérer que cet avion vole jusqu’à minuit :
soit 4 h 22 min.
On rajoute ensuite 6 h 27 min.
4 h 22 min + 6 h 27 min = 10 h 49 min
Cet avion a volé durant 10 h 49 min.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
37
a) 14 cm = 0,14 m
b) 14 m = 1 400 cm
c) 3,9 km = 3 900 m
d) 351 m = 0,351 km
e) 21,5 m = 2,15 dam
f) 21,5 m = 215 dm
38
On convertit dans la même unité les deux grandeurs proposées.
a) 8,32 m > 0,963 m
b) 530 cm > 53,1 cm
c) 406 m < 910 m
d) 82,7 dam < 813 dam
39
On convertit toutes les longueurs en mètres dans
un premier temps.
a) 5,6 m + 0,8 m + 0,063 m = 6,463 m
b) 5 320 m + 740 m + 0,4 m = 6 060,4 m
c) 7 000 m + 90 m + 0,03 m = 7 090,03 m
40
On convertit toutes les longueurs dans la même
unité avant d’additionner.
a) 3 421 mm + 3258 mm + 673 mm = 7 352 mm = 735,2 cm
= 73,52 dm = 7,352 m
b) 63,2 km + 71,44 km + 0,4 km = 135,04 km
c) 350 m + 19 m + 5,2 m = 374,2 m
41
a) 35 g = 0,035 kg
b) 43,5 cg = 0,000435 kg
c) 5,61 q = 561 kg
d) 13,7 hg = 1,37 kg
e) 35 t = 35 000 kg
f) 0,54 t = 540 kg
g) 822 000 cg = 8,22 kg
h) 8,3 dg = 0,00083 kg
i) 13 000 mg = 0,013 kg
j) 75 000 dag = 750 kg
k) 320 q = 32 000 kg
42
a) 53 g = 0,053 kg
b) 53 kg = 53 000 g
c) 18,5 kg = 0,0185 t
d) 8,85 t = 8 850 kg
e) 5,27 kg = 0,0527 q
f) 3,5 q = 350 kg
43
Écrivons toutes ces masses en kg :
Léna a 730 kg ; Bob a 733 kg ; Max a 720 kg ; Luce a 73,3 kg
et Nadia a 732 kg
Ainsi : 73,3 kg ⬍ 720 kg ⬍ 730 kg ⬍ 732 kg ⬍ 733 kg
44
Dans un premier temps, on convertit toutes les
masses dans la même unité.
a) 3 500 g + 325 g + 187 g = 4 012 g = 401,2 dag = 40,12 hg
= 4,012 kg
b) 4 300 kg + 2 150 kg + 8 700 kg = 15 150 kg = 151,5 q
= 15,15 t
c) 3 100 g + 3,8 g + 0,07 g + 700 g = 3 803,87 g
45
Pour résoudre ce problème, on effectue l’opération
suivante (après conversion en kg de toutes les données) :
8 540 kg + 75,5 kg + 103 kg = 8 718,5 kg
La masse totale du camion est alors de :
8 718,5 kg = 87,185 q = 8,7185 t.
46
Margot pèse 39,5 kg et mesure 1,52 m. La voiture
de son père a une masse de 1,5 tonne et une longueur de
4,25 m.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
47
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Ainsi, le périmètre de la figure 2 est le plus grand.
48
Les périmètres des figures bleues et jaunes sont les
mêmes. En effet, ils sont composés de deux longueurs du
rectangle, d’une largeur et d’un demi-cercle.
Quant au périmètre de la figure rose, il est plus grand car
il est composé de deux longueurs et de deux demi-cercles.
La longueur d’un demi-cercle étant plus importante que la
largeur.
1) a) Périmètre : π × D = 10π cm.
Périmètre : π × D = 8,4π m.
Périmètre : 2πR = 8π cm.
Périmètre : 2πR = 7,2π m.
a) Valeur approchée au centième : 31,42 cm.
Valeur approchée au centième : 26,39 m.
Valeur approchée au centième : 25,13 cm.
Valeur approchée au centième : 22,62 m.
49
b)
c)
d)
2)
b)
c)
d)
50
1) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) Longueur du demi-cercle : πR = 2,5π cm.
2) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) Il faut ajouter ici la longueur du diamètre, soit 5 cm.
Périmètre du demi-disque : 2,5π cm + 5 cm.
π×D
= 2,25π m.
2
Il faut ajouter la longueur du diamètre qui ferme le demicercle, soit 4,5 m.
Périmètre du demi-disque : 2,25π m + 4,5 m.
Une valeur approchée possible : 11,57 m.
π×R
b) Longueur du quart de cercle :
= 4,2π m.
2
Il faut ajouter la longueur des deux rayons qui ferment le
quart de cercle, soit 16,8 m.
Périmètre du quart de disque : 4,2π m + 16,8 m.
Une valeur approchée possible : 30 m.
51
a) Longueur du demi-cercle :
52
1)
Durée (en h)
Durée (en min)
1
1,3
6,4
60
78
384
2) a) 1 h = 60 min
b) 1,3 h = 1,3 × 1 h = 1,3 × 60 min = 78 min
1
h
3) a) 1 h = 60 min, donc 1 min =
60
384
1
b) 384 min = 384 × 1 min = 384 ×
h=
h
60
60
384 min = 384 : 60 h = 6,4 h
53
b)
c)
d)
e)
2)
b)
c)
d)
1) a) 1,5 h = 90 min
0,3 h = 18 min
quatre dixièmes d’heure = 24 min
0,8 h = 48 min
1,7 h = 102 min
a) 180 min = 3 h
30 min = 0,5 h
48 min = 0,8 h
315 min = 5,25 h
Chap. 16 - Longueurs, masses, durées 141
b) 9 h 38 min 47 s + 6 h 43 min 51 s = 15 h 81 min 98 s
= 16 h 22 min 38 s
54
1) a) 5 min = 300 s
b) 10,8 min = 648 s
c) 0,4 min = 24 s
d) 6,5 min = 390 s
2) a) 360 s = 6 min
b) 15 s = 0,25 min
c) 30 s = 0,5 min
d) 468 s = 7,8 min
60
a) 13 h 11 min 52 s – 5 h 44 min 30 s
= 7 h 27 min 22 s
b) 15 h 40 min 29 s – 4 h 13 min 40 s = 11 h 26 min 49 s
61
a) 5 j 18 h 33 min + 2 j 9 h 27 min
= 7 j 27 h 60 min = 8 j 4 h
b) 9 h 38 min 23 s – 6 h 43 min 55 s = 2 h 54 min 28 s
c) 15 h 35 s – 51 min 42 s = 14 h 8 min 53 s
55
a) 3 600 s = 1 h
b) 900 s = 0,25 h
c) 720 s = 0,2 h
d) 2,5 j = 60 h
62
1)
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1) 1,4 h = 1 h + 0,4 h = 1 h + 0,4 × 60 min
1,4 h = 1 h + 24 min = 1 h 24 min
2) a) 1,5 h = 1 h 30 min
b) 2,55 h = 2 h 33 min
c) 3,95 h = 3 h 57 min
d) 2,75 h = 2 h 45 min
56
2) Durée du vol : 25 min + 2 h + 15 min = 2 h 40 min.
63
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Durée du vol : 3 h – 20 min = 2 h 40 min.
57
b)
c)
2)
b)
c)
1) a) 9,3 min = 9 min 18 s
22,2 min = 22 min 12 s
4,25 min = 4 min 15 s
a) 1,37 h = 1 h 22 min 12 s
9,13 h = 9 h 7 min 48 s
23,59 h = 23 h 35 min 24 s
64
La durée du vol se calcule en posant l’opération :
22 h 15 min – 19 h 35 min.
Le vol a duré 2 h 40 min.
65
1) a) 907 = 15 × 60 + 7
907 s = 15 min 7 s
a) 752 s = 12 min 32 s
1987 s = 33 min 7 s
321 min = 5 h 21 min
1500 min = 25 h
58
b)
2)
b)
c)
d)
66
59
Je f
fai
ai s l e p o int
Les exercices 67 à 76 sont corrigés à la page 293 du manuel élève.
Pour résoudre ce problème, on convertit toutes les
longueurs en km :
132,65 km ; 131,1 km ; 168,4 km ; 149,25 km ; 7,6 km.
Chaque participant a parcouru une distance totale de
589 km.
a) Le périmètre de la figure 1 est plus grand car la
longueur d’un demi-cercle est plus grande que la largeur
du rectangle.
b) Périmètre de la figure 1 :
périmètre d’un cercle + deux longueurs du rectangle
= 2πR + 2 × longueurs
= 7,1π cm + 28,4 cm
艐 50,7 cm (valeur approchée au dixième)
Périmètre de la figure 2 : 2(longueur + largeur)
= 2(14,2 cm + 7,1 cm)
= 42,6 cm
πD
= 1,55π cm.
Longueur du demi-cercle :
2
Périmètre de cette figure :
= 2 × 2,8 cm + 2 × 1,2 cm + 1,55π cm
= 8 cm +1,55π cm.
79
142
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Durée de la traversée :
11 h 35 min – 8 h 25 min = 3 h 10 min.
77
78
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Durée de la traversée :
19 h 30 min – 11 h 50 min = 7 h 40 min.
a) 15 h 12 min 29 s + 4 h 43 min 40 s
= 19 h 55 min 69 s = 19 h 56 min 9 s
>
1)
πD
= 3,25π m.
Longueur du demi-cercle :
2
πR
= 2,1π m.
Longueur du quart de cercle :
2
Périmètre de cette figure :
80
= 3,25π m + 2,1π m + 4,2 m + 6,5 m.
= 5,35π m + 10,7 m.
Longueur du demi-cercle : πR = 2,1π cm.
Longueur des deux demi-cercles : πD = 2,3π cm.
Périmètre de cette figure :
= 2,1π cm + 2,3π cm + 4,2 cm
= 4,4π cm + 4,2 cm.
81
82
1) Circonférence de Mercure :
πD = 4878π km 艐 15325 km (valeur approchée au km).
Circonférence de Vénus arrondie au km : 38026 km.
Circonférence de la Terre arrondie au km : 40074 km.
Circonférence de Mars arrondie au km : 21300 km.
Circonférence de Jupiter arrondie au km : 449197 km.
Circonférence de Saturne arrondie au km : 378675 km.
Circonférence d’Uranus arrondie au km : 160 km.
Circonférence de Neptune arrondie au km : 153 km.
2) a) Par ordre croissant des masses : Mercure ; Mars ;
Vénus ; Terre ; Uranus ; Neptune ; Saturne ; Jupiter.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
b) Par ordre croissant des rayons : Neptune ; Uranus ; Mercure ; Mars ; Vénus ; Terre ; Saturne ; Jupiter.
c) L’ordre croissant des circonférences est évidemment le
même que celui des rayons.
3) Les rangements sont différents ; ce qui prouve que la
masse de ces planètes ne dépend pas que de leurs rayons
respectifs. La matière dont chacune est constituée joue un
rôle très important dans leur masse.
83
Durée de rotation de Mercure : 58 j 15 h 21 min 36 s.
Durée de rotation de Vénus : 243 j 0 h 28 min 48 s.
Durée de rotation de La Terre : 1 j.
Durée de rotation de Mars : 1 j 0 h 43 min 12 s.
Durée de rotation de Jupiter : 9 h 50 min 24 s.
Durée de rotation de Saturne : 10 h 19 min 12 s.
Durée de rotation d’Uranus : 17 h 16 min 48 s.
Durée de rotation de Neptune : 16 h 4 min 48 s.
91
b) Périmètre du parallélogramme :
x + 2 + 3x + 1 + x + 2 + 3x + 1 = 8x + 6.
92
1) Je calcule pour chacune des premières cases du
jeu d’échecs le nombre de secondes de sursis correspondant. Le sursis du prisonnier double à chaque case du jeu
d’échecs.
Numéro de case
85
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
86
1) 30 000 h = 3 ans 155 jours (en considérant que
les trois années comptent 365 jours).
2) Pour savoir combien de jours on peut utiliser cette
ampoule, on divise 30 000 heures par 4 heures :
30 000 h
= 7 500.
4h
On pourra utiliser cette ampoule 7 500 jours, soit plus de
20 ans.
87
1) Pour avoir l’heure de Paris au moment de l’atterrissage, on rajoute 4 heures à l’heure de Cayenne, soit
un atterrissage à 19 h37 min (heure de Paris).
La durée de vol se calcule en effectuant l’opération :
19 h 37 min – 10 h 45 min = 8 h 52 min.
La durée du vol est de 8 h 52 min.
2) Pour la même raison que la question précédente, on
enlève 4 heures à l’heure d’atterrissage à Paris (décalage
horaire) : atterrissage à 4 h 10 min (heure de Cayenne).
La durée du trajet s’obtient en effectuant l’opération :
4 h 10 min – 12 h 35 min = 28 h 10 min – 12 h 35 min
= 15 h 35 min
Le trajet retour s’effectue en 15 h 35 min.
88
On décide par exemple de convertir toutes les
unités en cm.
πR
= 1,5π cm.
Longueur du petit quart de cercle :
2
πR
Longueur du grand quart de cercle :
= 2,8π cm.
2
πR
Longueur du demi-cercle :
= 2,2π cm.
2
Périmètre de la figure bleue :
1,5π cm + 2,8π cm + 2,2π cm + 11,6 cm
= 6,5π cm + 11,6 cm ≈ 32 cm.
89
Schéma disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
90
a) Périmètre du carré : 12x cm.
b) Périmètre du carré : 4(x + 7) cm.
c) Périmètre du triangle équilatéral : 3(2x + 5) cm.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1 2 3 4
5
6
7
8
9
Nombre de secondes
1 2 4 8 16 32 64 128 256
de sursis
10
11
512
84
1) 1001 j = 2 ans 271 j
2) Pour résoudre ce problème, notons qu’une nuit dure
8 h 30 min, soit 510 min.
Le récit a duré 1 001 nuits, soit 1 001 nuits × 510 min
= 510 510 min.
510 510 min = 354 j 12 h 30 min.
Le récit a duré 354 j 12 h 30 min.
a) Périmètre du parallélogramme :
x + 1 + x + x + 1 + x = 4 × + 2.
12
13
14
15
16
17
1 024 2 048 4 096 8 192 16 384 32 768 65 536
18
19
20
21
22
131 072
262 144
524 288
1 048 576
2 097 152
23
24
25
26
4 194 304
8 388 608
16 777 216
33 554 432
a) À la septième case, le sursis dépasse la minute et devient
64 s.
b) À la treizième case, le sursis passe de 2 048 s à 4 096 s.
Il dépasse 3 600 s donc l’heure.
c) Dans un jour il y a 24 × 3 600 s = 86 400 s.
À la dix-huitième case, le sursis passe de 65 536 s à
131 072 s. Il dépasse donc le jour à cette case.
2) Dans une année, il y a 365 × 86 400 s = 31 536 000 s
À la 26e case, le sursis passe à 33 554 432 s. Il dépasse
31 536 000 s donc l’année.
À la 26e case le sursis dépasse 1 an. Sur un jeu d’échec, il y
a 64 cases.
Je veux limiter mes calculs, je n’ai pas besoin de valeurs
exactes. En utilisant le premier tableau, je déduis que
7 cases plus loin son sursis dépassera 128 ans donc il est
sauvé.
93
Le contour de la figure orange est constitué d’un
demi-cercle de diamètre 12 cm, d’un demi-cercle de diamètre 6 cm et de deux demi-cercles de diamètre 3 cm.
Le périmètre est donc :
(12 cm × π) : 2 + (6 cm × π) : 2 + (3 cm × π) 艐 37,70 cm.
Ce périmètre est égal au périmètre du (grand) disque de
diamètre 12 cm.
12 cm × π 艐 37,70 cm.
94
1) ● On effectue l’opération :
8 h 45 min + 6 h 54 min.
On obtient 14 h 99 min, soit 15 h 39 min.
Ce train arrive à 15 h 39 min.
● De 8 h 45 min à 9 h, il y a 15 minutes.
On enlève ces 15 minutes à la durée du trajet qui passe
alors à 6 h 39 min.
On rajoute enfin 6 h 39 min à 9 h pour obtenir l’heure
d’arrivée : 15 h 39 min.
2) ● On effectue l’opération :
7 h 20 min – 5 h 29 min = 1 h 51 min.
La durée du voyage en train est de 1 h 51 min.
● De 5 h 29 min à 6 h, il y a 31 min.
De 6 h à 7 h, il y a 1 h.
Enfin, de 7 h à 7 h 20 min, il y a 20 min.
On additionne alors ces trois durées :
31 min + 1 h + 20 min = 1 h 51 min.
La durée du trajet est donc de 1 h 51 min.
Chap. 16 - Longueurs, masses, durées 143
95
a) On convertit toutes les unités en m :
126,5 m + 12,8 m + 500 m + 4 120 m
= 4 759,3 m = 475,93 dam = 47,593 hm = 4,759 3 km
b) On convertit toutes les unités en kg :
3 500 kg + 56,5 kg + 31 kg + 0,65 kg
= 3 588,15 kg = 35,881 5 q = 3,588 15 t
96
1) Périmètre du cercle entier :
πD = 68π m 艐 213,63 m (arrondi au cm).
Longueur totale du circuit :
2 × 105 m + 213,63 m 艐 423,63 m.
2) Roger a parcouru 7 tours :
7 tours × 423,63 m 艐 2965,41 m.
Isa a parcouru 15 km : 15000 m.
Christine a parcouru 10,5 tours :
10,5 tours × 423,63 m 艐 4448,115 m.
3
Christophe a parcouru 11 tours :
4
3
(11 + ) × 423,6 m 艐 4977,6525 m.
4
Cette équipe a parcouru environ 27391,1775 m, soit un
peu plus de 27 km.
97
a) 18 h 48 min 52 s + 5 h 36 min 29 s
= 23 h 84 min 81 s = 24 h 25 min 21 s
b) 12 h 35 min 32 s – 4 h 45 min 50 s = 7 h 49 min 42 s
98
1) On effectue le calcul suivant :
21 h 50 min + 10 h 15 min = 31 h 65 min
= 32 h 5 min
= 8 h 5 min
Souraya peut se lever à partir de 8 h 05 min.
2) Le réveil à 7 h 25 min est précisément 40 min avant le
réveil de la question 1) : 8 h 05 min.
Le coucher doit donc être avancé de 40 min également ;
soit 21 h 10 min.
1) 27,3217 jours 艐 27 j 7 h 43 min 15 s
2) On calcule le périmètre du cercle arrondi à l’unité :
2πR = 3 468,8π km 艐 10 898 km
La longueur de l’équateur de la Lune est d’environ
10 898 km
99
1
du fromage et donc de
1) Le client a acheté
4
1
sa masse : × 2,8 kg = 0,7 kg.
4
2) On calcule ici la longueur du trois quarts de cercle
de diamètre 36 cm :
3
πD = 27π cm
4
100
101
A) a) Le périmètre du disque.
b) La longueur du demi-cercle de diamètre d.
c) Le périmètre du demi disque.
144
B) 5) c) La formule = C2 + A2 permet de calculer le périmètre du demi-disque puisqu’on ajoute la longueur du
diamètre de la case A2 à la longueur du demi-cercle calculée case C2.
C) Non, le tableau permet seulement de calculer une valeur
approchée de ce diamètre car la valeur 4 n’apparaît pas dans
la colonne D. Comme 4 cm est compris entre 3,86 cm et
4,11 cm, on peut déduire que le diamètre du demi-disque
de périmètre 4 cm est compris entre 1,5 cm et 1,6 cm.
102
1) La différence de masse entre ces deux satellites
est :
1,6 t – 42 kg = 1 600 kg – 42 kg = 1558 kg.
2) Entre le 26 novembre 1965 et le 24 décembre 1965, il
s’est écoulé 28 jours.
Entre le 24 décembre 1965 et le 24 décembre 1979, il s’est
écoulé 14 ans dont 3 années bissextiles.
Entre ces deux lancements de satellites, il s’est donc écoulé
14 années de 365 jours et 31 jours.
103
1) Longueur du cercle décrit par un point situé sur
l’équateur :
6 350 km × 2 × π 艐 39 898 km.
2) 35 750 km + 6 350 km = 42 100 km
42 100 km × 2 × π 艐 264 522 km.
La longueur du cercle décrit par un satellite géostationnaire est environ 264 522 km.
104
1) La ville de Kourou a été choisie pour le décollage des fusées parce qu’elle se situe près de l’équateur. Les
fusées peuvent utiliser au maximum la vitesse de rotation
de la terre lors du lancement. De plus, cette ville s’ouvre
sur l’océan vers l’est et cela limite les risques en cas d’incidents techniques.
2) b) Sur la carte, le triangle formé par les villes de
Cayenne, Mana et Camopi a environ pour périmètre :
2,4 cm + 4,3 cm + 2,6 cm = 9,3 cm.
En utilisant l’échelle de la carte (1,6 cm représente
100 km), on obtient le périmètre réel approché de ce polygone, soit environ 581 km.
(100 × 9,3) : 1,6 = 581,25 km
105
1) De 18 h 10 à 24 h il s’écoule 50 min + 5 h ;
de 00 h à 5 h 40, il s’écoule 5 h 40.
Au solstice d’été, la nuit dure :
5 h 50 min + 5 h 40 min = 10 h 90 min = 11 h 30 min.
De 17 h 43 à 24 h il s’écoule 17 min + 6 h ;
de 00 h à 5 h 58, il s’écoule 5 h 58.
Au solstice d’hiver, la nuit dure :
6 h 17 min + 5 h 58 min = 11 h 75 min = 12 h 15 min.
2) 12 h 15 min – 11 h 30 min = 45 min.
La différence entre la nuit la plus longue de l’année et la
nuit la plus courte est très faible dans cette région proche
de l’équateur.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Chapitre
17
>
P ro gra
gr amm
mme
e
Programme de la classe de Cinquième
Les points du programme (connaissances, capacités et exemples) qui ne sont pas exigibles pour le socle sont écrits en italique. Si la
phrase en italique est précédée d’un astérisque, l’item sera exigible pour le socle dans une année ultérieure.
> CONNAISSANCES :
• 4.3 Aires
• Parallélogramme, triangle, disque
Les élèves peuvent calculer l’aire latérale d’un prisme droit
ou d’un cylindre de révolution à partir du périmètre de
leur base et de leur hauteur.
> CONNAISSANCES :
CAPACITÉS
• Calculer l’aire d’un parallélogramme.
• Calculer l’aire d’un triangle connaissant un côté et
la hauteur associée.
• Calculer l’aire d’une surface plane ou celle d’un
solide, par décomposition en surfaces dont les aires
sont facilement calculables.
■ Commentaires
La formule de l’aire du parallélogramme est déduite de celle de
l’aire du rectangle.
Le fait que chaque médiane d’un triangle le partage en
deux triangles de même aire est justifié.
Dans le cadre du socle les élèves peuvent calculer ainsi
l’aire d’un parallélogramme.
• 4.4 Volumes
• Prisme, cylindre de révolution.
CAPACITÉS
• Calculer le volume d’un parallélépipède rectangle.
• Calculer le volume d’un prisme droit, d’un
cylindre de révolution.
• Effectuer pour des volumes des changements
d’unités de mesure.
■ Commentaires
Une relation est établie entre les calculs de volume du prisme
droit et du cylindre : dans les deux cas, l’aire de la surface de
base du solide est multipliée par sa hauteur.
On travaillera les changements d’unités de volume dans
des situations de la vie courante.
Socle commun des connaissances
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Calculer une aire, un volume.
Indications pour l’évaluation en situation
• Les exigences concernant les données permettant le
calcul sont les mêmes que celles de la partie « nombres
et calcul ».
• Les exigences portent notamment sur :
– la mesure d’un volume avec une éprouvette graduée,
d’une masse avec une balance électronique ;
• l’utilisation d’un rapporteur.
Éléments du socle exigibles en fin de Quatrième
– Effectuer des conversions d’unités relatives aux grandeurs étudiées.
Indications pour l’évaluation en situation
• Les exigences relatives aux valeurs en jeu dans les calculs
sont les mêmes que celles de la partie « nombres et
calcul ».
• Les changements d’unités portent sur les aires, les
volumes, le lien entre volume et contenance.
Programme de la classe de Sixième
> CONNAISSANCES : 4.3 Aires : mesure, comparaison et
calcul d’aires
CAPACITÉS
• Comparer géométriquement des aires.
• Déterminer l’aire d’une surface à partir d’un pavage
simple.
• Différencier périmètre et aire.
• Calculer l’aire d’un rectangle dont les dimensions
sont données.
• Connaître et utiliser la formule donnant l’aire d’un
rectangle.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
• Calculer l’aire d’un triangle rectangle, *d’un
triangle quelconque dont une hauteur est tracée.
• Connaître et utiliser la formule donnant l’aire d’un
disque.
• Effectuer pour les aires des changements d’unités
de mesure.
■ Commentaires
Poursuivre le travail effectué à l’école élémentaire, en
confrontant les élèves à des problèmes.
La comparaison d’aires sans avoir recours à des formules
est particulièrement importante pour affermir le sens de
cette notion.
Chap. 17 - Aires et volumes 145
Certaines activités proposées conduisent les élèves à
comprendre notamment que périmètre et aire ne varient
pas toujours dans le même sens.
Une démarche expérimentale permet de vérifier la formule de l’aire du disque.
> CONNAISSANCES : 4.4 Volumes
CAPACITÉS
• Déterminer le volume d’un parallélépipède rectangle en se rapportant à un dénombrement d’unités,
*en utilisant une formule.
• Connaître et utiliser les unités de volume et les
relier aux unités de contenance.
• Savoir que 1 L = 1 dm3.
• Effectuer pour les volumes des changements d’unités
de mesure.
■ Commentaires
Comme pour les longueurs et les aires, l’utilisation des
équivalences entre diverses unités est préférée à celle systématique d’un tableau de conversion.
Programme de la classe de Quatrième
> CONNAISSANCES :
■ Commentaires
• 4.1 Aires
• Volumes
• Calculs d’aires et volumes
L’objectif est, d’une part, d’entretenir les acquis des classes
antérieures et, d’autre part, de manipuler de nouvelles
formules, en liaison avec la pratique du calcul littéral.
CAPACITÉS
• Calculer le volume d’une pyramide et d’un cône de
1
révolution à l’aide de la formule = Bh.
3
Commen taire s des au
Commentaires
auteurs
teu rs
➜ Les élèves revoient le calcul de l’aire d’un triangle
et celui de l’aire d’un disque et découvrent comment
calculer l’aire d’un parallélogramme.
L’aire latérale et l’aire totale d’un prisme droit ou d’un
cylindre de révolution sont définies et calculées.
Les changements d’unités d’aire ont été vus dans les
classes précédentes.
➜ Le calcul du volume d’un parallélépipède rectangle à partir de la formule, qui n’était pas au socle
>
en Sixième, l’est désormais en Cinquième. Les élèves
doivent également connaître les formules permettant
de calculer le volume d’un prisme droit et celui d’un
cylindre de révolution.
Les changements d’unités de volume sont revus dans
ce chapitre.
➜ Contrairement aux classes précédentes, certains
calculs d’aire utilisent la lettre π (réinvestissement du
calcul littéral chapitre 2).
A c tiv
ti v ités
ité s
ACTIVITÉ D’OUVERTURE
CORRIG É
1) On peut observer sur ce tableau trois triangles, un
disque, un carré et un rectangle (le tableau lui-même).
2) La formule permettant de calculer l’aire :
– d’un triangle de base b et de hauteur relative h est :
= (b × h) : 2
1
JE CALCULE L’AIRE D’UN PARALLÉLOGRAMME
Objectif
Découvrir la formule de l’aire
d’un parallélogramme.
Prérequis
Aire d’un rectangle.
Paragraphe
introduit
! Aire de figures usuelles
a) Parallélogramme
146
– d’un disque de rayon R est :
= π × R2
– d’un carré de longueur de côté c est :
= c × c = c2
– d’un rectangle de longueur L et largeur est :
=L×
■ C OM M E NTAIRE S : Cette activité permet d’établir la formule permettant de calculer l’aire d’un parallélogramme,
mais aussi de définir la hauteur relative à un côté d’un
parallélogramme.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
CO RRI G É
1) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
b) ABCD est un parallélogramme.
Or, les côtés opposés d’un parallélogramme sont parallèles.
Donc (AB) // (DC).
On sait que : (AB) // (DC) et (AH) ⊥ (DC).
Or, si deux droites sont parallèles, toute perpendiculaire à
l’une est perpendiculaire à l’autre.
Donc (AH) ⊥ (AB).
On en conclut que la longueur AH est aussi la hauteur
relative au côté [AB].
2) b) En utilisant du papier-calque, on constate que les
triangles ADH et BCK sont superposables. Ils ont donc la
même aire.
c) On en déduit que l’aire du rectangle ABKH est la même
que celle du parallélogramme ABCD.
2
www.phare-prof.hachette-education.com
b) La droite (AI) est la hauteur relative au côté [BC], elle
est aussi la hauteur relative au côté [AD].
Ainsi le quadrilatère AIJD possède trois angles droits.
Or, un quadrilatère qui possède trois angles droits est un
rectangle.
Donc AIJD est un rectangle.
Les deux triangles DCJ et AIB sont superposables, ils ont
alors la même aire.
L’aire du parallélogramme ABCD est la même que celle du
rectangle AIJD.
Donc (ABCD) = (AIJD) = AD × AI = BC × h.
J’EXPRIME L’AIRE D’UN TRIANGLE
Objectif
Aire d’un triangle.
Prérequis
●
●
Paragraphe
introduit
Propriétés et aire du parallélogramme.
Symétrie centrale.
! Aire de figures usuelles
b) Triangle
■ C OMMENTAI RE S :
La formule pour calculer l’aire d’un triangle est connue
des élèves. Elle est redémontrée ici dans le cas où le
triangle possède un angle obtus et en utilisant l’aire du
parallélogramme.
CO RRI G É
1) 2) a) b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3
d) (ABCD) = (ABKH) = AB × AH.
Comme ABCD est un parallélogramme, ses côtés opposés
sont de même longueur. Donc AB = DC = 7 cm.
Ainsi, (ABCD) = 7 cm × 5 cm = 35 cm2.
L’aire du parallélogramme ABCD est 35 cm2.
3) a)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
JE REVOIS
c) Le point I est le milieu du segment [AC].
Le point D est le symétrique du point B par rapport au
point I. Donc le point I est le milieu du segment [BD].
Ainsi, le quadrilatère ABCD a ses diagonales qui se coupent
en leur milieu.
Or, si un quadrilatère a ses diagonales qui se coupent en
leur milieu, c’est un parallélogramme.
Donc ABCD est un parallélogramme.
3) a) Par la symétrie de centre I :
– le symétrique du point A est le point C ;
– le symétrique du point B est le point D ;
– le symétrique du point C est le point A.
Ainsi, le symétrique du triangle ABC est le triangle ADC.
Or, la symétrie centrale conserve les aires.
Donc, les triangles ABC et ADC ont la même aire.
b) D’après 3) a), (ABC) = (ABCD) : 2.
Or, (ABCD) = AH × BC.
Donc (ABC) = (AH × BC) : 2.
JE DÉCOUVRE UNE PROPRIÉTÉ DES TRIANGLES
Objectif
Prérequis
Établir une propriété de la médiane
d’un triangle.
Aire d’un triangle.
Définition d’une médiane d’un
triangle.
●
●
Paragraphe
introduit
! Aire de figures usuelles
b) Triangle
■ C OMMENTAI RE S :
Cette activité permet de démontrer qu’une médiane d’un
triangle le partage en deux triangles de même aire.
CO RRI G É
1) a) b)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Donc, la droite (AI) est la médiane relative au côté [BC] du
triangle ABC.
c) La droite (AH) est la hauteur relative au côté [BI] du
triangle ABI.
La droite (AH) est la hauteur relative au côté [IC] du
triangle ACI.
2) a) La droite (AH) étant la hauteur relative au côté [BI]
du triangle ABI, l’expression (BI × AH) : 2 permet de calculer l’aire du triangle ABI.
b) La droite (AH) étant la hauteur relative au côté [IC] du
triangle ACI, l’expression (CI × AH) : 2 permet de calculer
l’aire du triangle ACI.
c) Le point I est le milieu du segment [BC], donc BI = IC.
Ainsi, (BI × AH) : 2 = (CI × AH) : 2.
On en déduit donc que l’aire du triangle ABI est égale à
celle du triangle ACI.
3) Une médiane d’un triangle le partage en deux triangles
de même aire.
La droite (AI) passe par un sommet du triangle ABC et le
milieu I du côté opposé [BC].
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Chap. 17 - Aires et volumes 147
4
JE DÉTERMINE L’AIRE LATÉRALE D’UN PRISME DROIT
Objectif
Aire latérale d’un prisme droit.
Prérequis
●
●
Paragraphe
introduit
Aire d’un rectangle.
Calcul littéral et factorisation.
@ Aire d’un solide
CORRIG É
1) a) La hauteur de ce prisme droit est h. Ce prisme droit
possède trois faces latérales qui sont des rectangles.
5
JE CALCULE L’AIRE LATÉRALE D’UN CYLINDRE DE RÉVOLUTION
Objectif
Prérequis
Aire latérale d’un cylindre
de révolution.
●
●
Paragraphe
introduit
CORRIG É
1)
6
Périmètre d’un cercle.
Aire d’un rectangle.
@ Aire d’un solide
JE DÉTERMINE LE VOLUME D’UN PRISME DROIT
Volume d’un prisme droit.
Prérequis
●
Paragraphe
introduit
Aire d’un triangle,
d’un parallélogramme.
● Tableau de proportionnalité.
# Volume d’un solide
CORRIG É
1) = 6 cm × 4 cm × 5 cm = 120 cm3.
Le volume du parallélépipède rectangle initial est
120 cm3.
2) Les solides ! et @ sont des prismes droits dont les
bases sont des triangles.
Le solide # est un prisme droit dont les bases sont des
parallélogrammes.
1
3) a) Le solide ! représente
du parallélépipède rec4
tangle initial.
1
1
b) 1 = × = × 120 cm3 = 30 cm3
4
4
Le volume du solide ! est 30 cm3.
1
4) Le solide @ représente du parallélépipède rectangle
4
initial.
>
1
1
× = × 120 cm3 = 30 cm3
4
4
Le volume du solide @ est 30 cm3.
1
du parallélépipède rectangle
Le solide # représente
2
initial.
1
1
3 = × = × 120 cm3 = 60 cm3
2
2
Le volume du solide # est 60 cm3.
5) a)
2 =
Solide
!
@
#
Aire d’une base (en cm )
6
6
12
Volume (en cm )
30
30
60
2
3
30
30
60
= 5;
= 5;
=5
6
6
12
Ce tableau est un tableau de proportionnalité.
Le volume d’un prisme droit est proportionnel à l’aire
d’une de ses bases.
c) Le coefficient de proportionnalité est 5.
Il correspond à la hauteur du prisme droit.
b)
E x erc
er c ic
ice
es
a) côté × hauteur = 3 cm × 1 cm = 3 cm2
b) côté × hauteur = 2 cm × 2,5 cm = 5 cm2
c) longueur × largeur = 3 cm × 1,5 cm = 4,5 cm2
d) On découpe ce losange en deux triangles identiques :
2 × (côté × hauteur : 2) = côté × hauteur = 4 cm × 1 cm
= 4 cm2.
148
Le patron de ce cylindre de révolution est constitué de
deux disques de rayon 2 cm et d’un rectangle de dimensions 5 cm et 2 × π × 2 艐 12,6 cm.
2) a) La largeur de ce rectangle correspond à la hauteur
du cylindre de révolution.
b) La longueur du rectangle correspond au périmètre
d’une base du cylindre de révolution.
3) L × = 2 × π × 2 × 5 = 2 × 2 × 5 × π = 20 × π
L’aire latérale de ce prisme droit est égale à 20π cm2.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
Objectif
1
b) Les aires de chaque face latérale sont : b × h, c × h et a × h.
c) L’aire latérale de ce prisme droit est donc : a × h + b × h
+ c × h.
2) h est un facteur commun à chaque terme de la somme.
On peut donc factoriser par h.
a × h + b × h + c × h = (a + b + c ) × h
Le périmètre d’une base de ce prisme droit est a + b + c.
Donc, l’aire latérale du prisme droit est le produit du périmètre d’une base par sa hauteur.
2
Ces trois triangles ont la même aire car ils ont un
côté commun et les hauteurs relatives à ce côté sont de la
même mesure pour les trois triangles : 2,5 cm.
3
1) a) (MB)
b) (CR)
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
c) (AE)
2) Aire du triangle MER :
ER × MB : 2 = ME × CR : 2 = MR × AE : 2
a) c × h : 2 = 3 cm × 4 cm : 2 = 6 cm2
b) c × h : 2 = 6 m × 4 m : 2 = 12 m2
c) c × h : 2 = 6 cm × 2,5 cm : 2 = 7,5 cm2
4
a) AC × AB : 2 = 3 cm × 1,5 cm : 2 = 2,25 cm2
b) c × h : 2 = BC × h : 2 = 2,5 cm × 2 cm : 2 = 2,5 cm2
5
6
Une médiane est une droite qui partage un triangle
en deux triangles qui ont la même aire.
Calculons l’aire du triangle ABC et on en déduira l’aire du
triangle ABI comme étant sa moitié.
Aire du triangle ABC :
c × h : 2 = BC × h : 2 = 3 cm × 1,5 cm : 2 = 2,25 cm2.
Aire du triangle ABI :
Aire du triangle ABC : 2 = 2,25 cm2 : 2 = 1,125 cm2.
7
a) Aire latérale du prisme 1 :
périmètre de base × hauteur
= (2 cm + 2,5 cm + 1,5 cm) × 3 cm
= 18 cm2.
Aire latérale du prisme 2 :
périmètre de base × hauteur
= (5 × 3 m) × 2 m
= 30 m2.
Aire latérale du prisme 3 :
périmètre de base × hauteur
= (30 mm + 20 mm + 30 mm + 20 mm) × 10 mm
= 1 000 mm2 .
b) Aire totale du prisme 1 :
aire latérale du prisme 1 + double de l’aire de base
= 18 cm2 + 2 × (2 cm × 1,5 cm : 2)
= 18 cm2 + 3 cm2
= 21 cm2.
Aire totale du prisme 2 : aire latérale du prisme 2 + double
de l’aire de base
30 m2 + 2 × 15 m2
= 30 m2 + 30 m2
= 60 m2.
Aire totale du prisme 3 :
aire latérale du prisme 3 + double de l’aire de base
= 1 000 mm2 + 2 × (30 mm × 15 mm)
= 1 000 mm2 + 900 mm2
= 1 900 mm2.
8
Volume du prisme 1 :
aire de base × hauteur
= (2 cm × 1,5 cm : 2) × 3 cm
= 4,5 cm3.
Volume du prisme 2 :
aire de base × hauteur
= 15 m2 × 2 m
= 30 m3.
Volume du prisme 3 :
aire de base × hauteur
= (30 mm × 15 mm) × 10 mm
= 4 500 mm3.
9
Volume du verre 1 :
πR2 × h = π × (1 cm)2 × 8 cm = 8π cm3.
Volume du verre 2 :
πR2 × h = π × (3 cm)2 × 14 cm = 126π cm3.
Volume du verre 3 :
πR2 × h = π × (4 cm)2 × 8 cm = 128π cm3.
10
Aire du triangle BCD :
BC × CD : 2 = 4 cm × 4 cm : 2 = 8 cm2.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Aire du triangle ABD :
AD × hauteur : 2 = 3 cm × 5,5 cm : 2 = 8,25 cm2.
Aire du quadrilatère ABCD :
8 cm2 + 8,25 cm2 = 16,25 cm2.
11
Aire du parallélogramme EFMH :
EH × hauteur = 3,9 cm × 4,2 cm = 16,38 cm2.
Aire du triangle MGH :
MG × hauteur : 2 = 3,5 cm × 4,2 cm : 2 = 7,35 cm2.
Aire du quadrilatère EFGH :
6,38 cm2 + 7,35 cm2 = 23,73 cm2.
Aire du disque : πR2 = π × (2 cm)2 = 4π cm2.
Aire du losange : c × h = 4 cm × 3 cm = 12 cm2.
Aire de cette figure : 4π cm2 + 12 cm2 艐 24,6 cm2.
12
Aire du carré : c × c = (8 cm)2 = 64 cm2.
Aire du disque : πR2 = π × (2 cm)2 = 4π cm2.
Aire de la figure jaune : 64 cm2 – 4π cm2 艐 51,4 cm2.
13
14
1) « sens interdit »
2) Aire du disque : πR2 = π × (33 cm)2 = 1 089π cm2.
Aire du rectangle : L × = 46 cm × 10 cm = 460 cm2.
Aire de la surface rouge : 1 089π cm2 – 460 cm2 艐 2 961,2 cm2.
15
1) « circulation interdite »
2) Aire du grand disque : πR2 = π × (33 cm)2 = 1 089π cm2.
Aire du disque blanc : πR2 = π × (24 cm)2 = 576π cm2.
Aire de la surface rouge :
1 089π cm2 – 576πcm2 艐 1 611,6 cm2.
16
17
18
L × × h = 5 cm × 4,5 cm × 3 cm = 67,5 cm3
19
aire de base × hauteur = (6 cm × 4 cm : 2) × 8 cm
= 96 cm3
20
aire de base × hauteur = (6 cm × 3,5 cm) × 5 cm
= 105 cm3
c × c × c = (4 cm)3 = 64 cm3
aire de base × hauteur = (3 cm × 4 cm : 2) × 6 cm
= 36 cm3
21
Volume de la boîte :
πR2 × h = π × (3,5 cm)2 × 12 cm 艐 461,8 cm3.
22
Volume de la boîte :
πR × h = π × (6,5 cm)2 × 4 cm 艐 530,9 cm3.
2
23
Volume du pavé droit :
L × × h = 60 cm × 34 cm × 175 cm = 357 000 cm3.
Volume du cylindre :
πR2 × h = π × (30 cm)2 × 180 cm 艐 508 938 cm3.
Le récupérateur de forme cylindrique a le plus gros
volume.
24
1) 2)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
3) Aire du parallélogramme vert :
côté × hauteur = AD × hauteur = 3 cm × 2 cm = 6 cm2.
Aire du parallélogramme rouge :
côté × hauteur = AB × hauteur = 2,5 cm × 1,5 cm = 3,75 cm2.
1) Périmètre : (5,4 cm + 4 cm) × 2 = 18,8 cm.
2) Aire :
côté × hauteur = IL × hauteur = 5,4 cm × 3,2 cm = 17,28 cm2.
25
Chap. 17 - Aires et volumes 149
26
Aire :
côté × hauteur = SA × hauteur = 6 cm × 3 cm = 18 cm2.
Aire :
côté × hauteur = BS × hauteur = 4 cm × 4,5 cm = 18 cm2.
Périmètre : 4 × côté = 4 × 38 mm = 152 mm.
Aire du losange :
côté × hauteur = PL × hauteur = 38 mm × 21 mm = 868 mm2.
27
28
Périmètre : 3,6 m + 6 m + 4,8 m = 14,4 m.
Aire :
côté × hauteur : 2 = BC × AB : 2 = 4,8 m × 3,6 m : 2 = 8,64 m2.
29
Périmètre : 2,6 cm + 4 cm + 4,2 cm = 10,8 cm.
Aire : côté × hauteur : 2 = BC × hauteur 2
= 4,2 cm × 2,4 cm : 2 = 5,04 cm2.
30
Périmètre : 26 dm + 16,5 dm + 12,5 dm = 55 dm.
Aire : côté × hauteur : 2 = AB × CH : 2
= 16,5 dm × 10 dm : 2 = 82,5 dm2.
31
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 2 cm × 1,5 cm : 2 = 1,5 cm2.
32
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 3,5 cm × 1,5 cm : 2 = 2,625 cm2.
33
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 2,5 cm × 3 cm : 2 = 3,75 cm2.
34
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 1,5 cm × 2,5 cm : 2 = 1,875 cm2.
35
a) Aire de la surface plantée de primevères :
L × : 2 = 4,6 m × 1,8 m : 2 = 4,14 m2.
b) Aire de la surface plantée de tulipes :
côté × hauteur : 2 = 1,8 m × 1,25 m : 2 = 1,125 m2.
c) Aire de la surface plantée de jonquilles :
(aire du rectangle) – (aire des deux autres surfaces)
= (4,6 m × 1,8 m) – 4,14 m2 – 1,125 m2
= 3,015 m2.
36
38
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) La droite (AI) est une médiane dans le triangle ABC ;
elle partage donc ce triangle en deux triangles de même
aire.
Donc, l’aire du triangle AIB est la moitié de l’aire du
triangle ABC.
La droite (AM) est une médiane dans le triangle ABI ; elle
partage donc ce triangle en deux triangles de même aire.
Donc, l’aire du triangle AMI est la moitié de l’aire du
triangle ABI.
Ainsi, l’aire du triangle AMI est le quart de l’aire du
triangle ABC.
39
Le triangle ABC a une aire qui est la moitié de l’aire
du rectangle ABCD.
Donc, l’aire du triangle ABC est de 9 cm2.
Dans ce triangle ABC, la droite (BO) est une médiane
puisque les diagonales d’un rectangle se coupent en leur
milieu O. (O milieu du segment [AC].)
Or, une médiane est une droite qui partage un triangle en
deux triangles de même aire.
Donc, l’aire du triangle ABO est la moitié de l’aire du
triangle ABC.
Aire du triangle ABO = 9 cm2 : 2 = 4,5 cm2.
40
1) Aire latérale du prisme :
périmètre de base × hauteur
= (12,5 cm + 7,5 cm + 10 cm) × 15 cm
= 450 cm2.
2) Aire totale :
aire latérale + 2 × aire de la base
= 450 cm2 + 2 × (12,5 cm × 6 cm : 2)
= 525 cm2.
41
Aire latérale du prisme :
périmètre de base × hauteur
= (6 cm + 7 cm + 2 cm + 5 cm + 2 cm + 5 cm + 2 cm + 7 cm)
× 2 cm
= 72 cm2.
42
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) La droite (AI) est une médiane dans le triangle VIE. Elle
partage donc le triangle en deux triangles de même aire.
Calculons donc l’aire du triangle VIE et on obtiendra l’aire
du triangle AIE en prenant la moitié.
Aire du triangle VIE :
côté × hauteur : 2
= IE × VI : 2
= 6,4 cm × 2,5 cm : 2
= 8 cm2.
Aire du triangle AIE = 8 cm2 : 2 = 4 cm2.
Aire latérale du prisme :
périmètre de base × hauteur
= 2πR × hauteur
= 2π × 2 m × 3 m
艐 37,7 m2.
43
a) 0,25 dm2 = 25 cm2
b) 65 000 cm2 = 6,5 m2
c) 350 mm2 = 0,035 dm2
d) 5,6 hm2 = 56 000 m2
e) 0,05 dam2 = 5 m2
f) 500 cm2 = 5 dm2
44
37
La droite (FH) est une médiane dans le triangle
EFG. Elle partage donc le triangle en deux triangles de
même aire.
Calculons donc l’aire du triangle EFG et on obtiendra
l’aire du triangle EFH en prenant la moitié.
Aire du triangle EFG : côté × hauteur : 2
= FG × hauteur : 2
= 3,5 cm × 2 cm : 2
= 3,5 cm2.
Aire du triangle EFH = 3,5 cm2 : 2 = 1,75 cm2.
150
1)
Aire
Terrain de foot
108 000 000 cm2 = 10 800 m2
Porte
0,016932 dam2 = 169,32 dm2
Feuille A4
62 370 mm2 = 623,7 cm2
Timbre
0,000542 m2 = 542 mm2
45
a) 28,7 m2
b) 28,27 m2
c) 27,4428 m2
d) 35 000 m2
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
46
48
a) 1 m3 = 1 000 dm3
b) 1 dm3 = 0,001 m3
c) 1 dm3 = 1 000 cm3
d) 1 cm3 = 0,00 1 dm3
e) 1 cm3 = 1 000 mm3
f) 1 mm3 = 0,001 cm3
a) 1 L = 1 dm3
b) 1 cm3 = 0,001 dm3 = 0,001 L = 1 mL
c) 0,5 dL = 0,05 L
d) 25 cL = 0,25 L
49
a) 0,025 mL
b) 250 cm3 = 25 cL
c) 2,5 L
d) 250 L
47
a) 0,68 dm3 = 680 dm3
b) 56,3 dm3 = 0,0563 dm3
c) 2,05 mm3 = 2 050 mm3
d) 18 dm3 = 18 000 cm3
>
Je fais
fai s l e po
p o int
Les exercices 50 à 59 sont corrigés à la page 293 du manuel élève.
Aire du parallélogramme : côté × hauteur.
Donc, hauteur = aire du parallélogramme : côté.
HK = 1 470 mm2 : 42 mm = 35 mm
60
1) Aire du parallélogramme : côté × hauteur
= GH × hauteur
= 4,5 cm × 2,8 cm
= 12,6 cm2
2) Longueur EH : aire du parallélogramme : hauteur
= 12,6 cm2 : 2,1 cm
= 6 cm
3) Périmètre du parallélogramme : (EH + HG) × 2
= (6 cm + 4,5 cm) × 2
= 21 cm
61
62
63
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) Aire du disque : πR2 = π × (5 cm)2 = 25π cm2.
Aire du triangle MNP :
côté × hauteur : 2 = NP × MO : 2 = 10 cm × 5 cm : 2 = 25 cm2.
Aire de la figure bleue : 25π cm2 – 25 cm2.
66
1) Aire latérale du prisme ! :
périmètre de base × hauteur
= (6,3 cm + 5,2 cm + 2,5 cm) × 4 cm
= 56 cm2.
2) Aire latérale du prisme @ :
périmètre de base × hauteur
= (5 cm + 2,5 cm + 5 cm + 2,5 cm) × 4 cm
= 60 cm2.
3) Aire latérale du nouveau prisme :
périmètre de base × hauteur
= (5 cm + 2,5 cm + 5 cm + 5,2 cm + 6,3 cm) × 4 cm
= 96 cm2.
67
1)
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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2) La droite (MO) est une médiane dans le triangle POI car
le point M est le milieu du segment [PI]. Ainsi, la droite
(MO) partage le triangle POI en deux triangles de même
aire. Donc, l’aire du triangle MOI est la moitié de l’aire du
triangle POI.
La droite (TI) est une médiane dans le triangle POI car le
point T est le milieu du segment [OP]. Ainsi, la droite (TI)
partage le triangle POI en deux triangles de même aire.
Donc, l’aire du triangle TOI est la moitié de l’aire du
triangle POI.
Les deux triangles MOI et TOI ont leurs aires qui sont, à
chacun, la moitié de l’aire du triangle POI. Leurs aires sont
donc égales.
64
Aire du demi-disque :
πR2 : 2 = π × (4,5 cm)2 : 2 艐 31,81 cm2.
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 9 cm × 5,5 cm : 2 = 24,75 cm2.
Aire de la figure rose 艐 56,56 cm2
65
1) D’après le codage de la figure, on a : MN = MP.
Or, la médiatrice d’un segment est l’ensemble des points
situés à égale distance des extrémités de ce segment.
Donc, le point M est un point de la médiatrice du segment
[MP].
Donc, la droite (MO) est la médiatrice du segment [NP].
Ce qui prouve que la droite (MO) est perpendiculaire au
côté [NP].
Ainsi, dans le triangle MNP, la droite (MO) qui passe par le
sommet M est la hauteur issue de ce point M.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1) Aire du rectangle :
L × = 2,80 m × 2,10 m = 5,88 m2.
2) Volume du pavé :
L × × h = 2,80 m × 2,10 m × 1,50 m = 8,82 m3.
Volume du prisme à base triangulaire :
aire de base × hauteur
= (2,10 m × 1,10 m : 2) × 2,80 m
= 3,234 m3
Volume de la serre = 8,82 m2 + 3,234 m2 = 12,054 m2.
68
Volume du cylindre :
πR2 × h = π × (2,5 cm)2 × 2 cm 艐 39 cm3.
Volume du prisme à base triangulaire :
aire de base × hauteur
= (3 cm × 2 cm : 2) × 5 cm
= 15 cm3.
Volume du solide 艐 39 cm3 + 15 cm3 艐 54 cm3.
Volume du cube : c × c × c = (10 cm)3 = 1 000 cm3.
Volume du cylindre :
πR2 × h = π × (10 cm)2 × 10 cm 艐 3 142 cm3.
Volume du quart de cylindre 艐 3 142 cm3 : 4 艐 786 cm3.
Volume de bois enlevé au cube 艐 1 000 cm3 – 786 cm3
艐 214 cm3.
69
70
Solution rédigée sur le site élève
www.phare.hachette-education.com
71
Volume d’une brique de soupe :
L × × h = 170 mm × 60 mm × 95 mm
= 969 000 mm3 = 969 cm3.
Volume de deux briques de soupe :
2 × 969 cm3 = 1 938 cm3.
Chap. 17 - Aires et volumes 151
Volume du cylindre :
πR2 × h = π × (9 cm)2 × 9 cm 艐 2 290 cm3.
Ainsi, la casserole choisie par Antoine convient.
Aire du disque : πR2 = π × (6 cm)2 = 36π cm2.
En traçant les diagonales du carré blanc, on obtient
4 triangles rectangles isocèles superposables. En effet, les
diagonales d’un carré se coupent en leur milieu, perpendiculairement et ont la même longueur.
Calculons l’aire d’un de ces triangles isocèles rectangles :
côté × hauteur : 2 = 3 cm × 3 cm : 2 = 4,5 cm2.
Aire du carré blanc = 4 × 4,5 cm2 = 18 cm2.
Aire de la partie verte = 36π cm2 – 18 cm2.
72
73
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
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Aire latérale : périmètre de base × hauteur
Donc, périmètre de base :
aire latérale : hauteur = 168 cm2 : 7 cm = 24 cm.
Puisque la base est un carré de périmètre 24 cm, la lon24 cm
= 6 cm.
gueur du côté du carré est égale à :
4
Calculons alors le volume de ce prisme :
Aire de base × hauteur = c × c × h = 6 cm × 6 cm × 7 cm
= 252 cm3.
74
75
1) Aire latérale du prisme :
périmètre de base × hauteur
= (3a cm + 2a cm + 3a cm + 2a cm) × a cm
= 10a cm × a cm
= 10a2 cm2.
2) Volume du prisme : aire de base × hauteur
= (3a cm × (a + 1) cm) × a cm
= 3a2(a +1) cm3.
76
● Somme de l’aire du demi-disque de diamètre
[AB] et de l’aire du demi-disque de diamètre [AC].
1 = (π × 32) : 2 + (π × 42) : 2
1 = (π × 9) : 2 + (π × 16) : 2
1 艐 14,14 + 24,13
1 艐 39,27 cm2
● Aire du triangle ABC :
Le triangle ABC est rectangle en A donc :
2 = (ABC) = (AB × AC) : 2 = (6 cm × 8 cm) : 2
2 = 48 cm2 : 2 = 24 cm2.
● Aire du demi-disque de diamètre [BC]
3 = (π × 52) : 2
3 = (π × 25) : 2
3 艐 39,27 cm2
● Aire totale des lunules
= (1 + 2) – 3
艐 (39,27 + 24) – 39,27
艐 24 cm2
L’aire totale des lunules est égale environ à 24 cm2.
Volume du pavé : L × × h
= 9,5 cm × 5,6 cm × 12 cm = 638,4 cm3 = 0,6384 dm3
= 0,6384 L = 63,84 cL
77
78
Périmètre du triangle :
4 m + 5,28 m + 8,32 m = 17,6 m.
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 5,28 m × 3,2 m : 2 = 8,448 m2.
Périmètre du parallélogramme :
(5,8 cm + 3 cm) × 2 = 17,6 cm.
Aire du parallélogramme :
côté × hauteur = 5,8 cm × 2,1 cm = 12,18 cm2.
152
79
a) Périmètre du cercle :
2πR = 2 × π × 3,4 cm 艐 21,4 cm.
b) Aire du disque : πR2 = π × (1,7 cm)2 艐 9,1 cm2.
80
Aire du parallélogramme :
côté × hauteur = 3,5 cm × 2 cm = 7 cm2.
Aire du triangle :
côté × hauteur : 2 = 3,5 cm × 1,5 cm : 2 = 2,625 cm2.
Aire de la figure verte : 7 cm2 + 2,625 cm2 = 9,625 cm2.
81
Volume du prisme dont les bases sont des parallélogrammes :
aire de base × hauteur
= 4,8 cm × 3,5 cm × 5,7 cm
= 95,76 cm3.
Volume du prisme dont les bases sont des triangles :
aire de base × hauteur
= (2,9 cm × 3,5 cm : 2) × 5,7 cm
= 28,9275 cm3.
Volume total : 95,76 cm3 + 28,9275 cm3 = 124,6875 cm3.
82
a) Aire latérale du prisme :
périmètre de base × hauteur
= 2πR × hauteur
= 2π × 3,2 cm × 4,6 cm
艐 92,5 cm2.
b) Volume du cylindre :
πR2 × h = π × (3,2 cm)2 × 4,6 cm 艐 148 cm3
83
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
2) b) Les deux triangles semblent avoir la même aire.
3) c) On sait que : (AD) // (BC) et (AH) ⊥ (BC).
Or, si deux droites sont parallèles, toute perpendiculaire
à l’une est perpendiculaire à l’autre.
Donc, (AH) ⊥ (AD).
Le quadrilatère AHKD possède trois angles droits.
C’est donc un rectangle.
d) Or, les côtés opposés d’un rectangle sont de même
longueur.
Donc, AH = DK.
e) (ABC) = (AH × BC) : 2
(BCD) = (DK × BC) : 2
Or, d’après d) AH = DK.
Donc (ABC) = (BCD).
Les triangles ABC et BCD ont la même aire.
84
2) b) c)
Aire 1 du
triangle ABC
34,92 41,71 97,52 14,35 18,55 21,24
Aire 2 du
triangle AEF
7,36
5,21
12,19
1,79
2,32
2,66
8
8
8
8
8
8
1
2
d) L’aire du triangle AEF semble être égale au huitième de
celle du triangle ABC.
3) On sait qu’une médiane d’un triangle le partage en
deux triangles de même aire.
● Le point D est le milieu du segment [BC]. Donc la droite
(AD) est une médiane du triangle ABC. Donc, les triangles
ABD et ACD ont la même aire et l’aire du triangle ACD est
la moitié de celle du triangle ABC.
1
C’est-à-dire : (ACD) = × (ABC).
2
● Le point E est le milieu du segment [AD]. Donc, la droite
(CE) est une médiane du triangle ACD.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
1
1 1
1
Ainsi, (ACE) = × (ACD) = × × (ABC) = × (ABC) ;
2
2 2
4
1
(ACE) = × (ABC).
4
● Le point F est le milieu du segment [EC]. Donc, la droite
(AF) est une médiane du triangle AEC.
1
1 1
1
Ainsi, (AEF) = × (ACE) = × × (ABC) = × (ABC).
2
2 4
8
1
(AEF) = × (ABC).
8
L’aire du triangle AEF est égale au huitième de celle du
triangle ABC.
= π × R2 × h avec R = 13,20 : 2 = 6,6 m et
h = 37,6 m
= π × 6,62 × 37,6
= π × 43,56 × 37,6
= π × 1 637,856
艐 5 145 m3
Le phare de Kéréon a un volume d’environ 5 145 m3.
85
86
Volume du parallélépipède rectangle :
1 = L × × h
1 = 15 m × 15 m × 8 m
1 = 1 800 m3
Volume du cylindre de révolution :
2 = π × R2 × h
2 = π × 3,52 × 28
2 = π × 343
2 艐 1 078 m3
● Volume du phare :
3 = 1 + 2
3 艐 1 800 m3 + 1 078 m3
3 艐 2 878 m3
Le phare de l’île de Batz a un volume d’environ 2 878 m3.
87
La façade est composée d’un rectangle de dimensions 6 m et 10 m et d’un triangle de base 6 m et de hauteur 15 m – 10 m = 5 m.
© Hachette Livre 2010, Mathématiques 5e, collection PHARE, livre du professeur.
La photocopie non autorisée est un délit.
Aire de la façade :
= 6 m × 10 m + (6 m × 5 m) : 2
= 60 m2 + 15 m2
= 75 m2
Volume du bâtiment :
= 75 m2 × 6 m
= 450 m3
Le volume du bâtiment du premier phare de Bodic était de
450 m3.
88
Le mur de façade du nouveau phare peut se décomposer en trois rectangles et trois triangles.
Figure disponible à partir de septembre 2010 sur le site
www.phare-prof.hachette-education.com
1 = 22 m × 4 m
1 = 88 m2
● = 13 m × (7,6 m + 5,2 m)
2
2 = 13 m × 12,8 m
2 = 166,4 m2
● = 9,6 m × 3,4 m
3
3 = 32,64 m2
● La hauteur du triangle no 4 est :
23 – (3,4 + 7,6 + 5,2 + 4) = 2,8 m
4 = (9,6 m × 2,8 m) : 2
4 = 26,88 m2 : 2
4 = 13,44 m2
● = (4,5 m × 5,2 m) : 2
5
5 = 23,4 m2 : 2
5 = 11,7 m2
● = [(22 m – 4,5 m – 13 m) × 5,2 m] : 2
6
6 = (4,5 m × 5,2 m) : 2
6 = 11,7 m2
● Aire de la façade :
= 1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6
= 88 m2 + 166,4 m2 + 32,64 m2 + 13,44 m2 + 11,7 m2
+ 11,7 m2
= 323,88 m2
L’aire du mur de façade est 323,88 m2.
●
Chap. 17 - Aires et volumes 153
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