Guide technique
sur le mesurage
de la turbidité
dans les réseaux d’assainissement
Onema, LEESU et IFSTTAR/LEE - Guide technique sur le mesurage de la turbidité dans les réseaux d’assainissement - Avril 2015
2
Onema, LEESU et IFSTTAR/LEE - Guide technique sur le mesurage de la turbidité dans les réseaux d’assainissement - Avril 2015
1
Guide technique
sur le mesurage
de la turbidité
dans les réseaux d’assainissement
Pierre-Antoine VERSINI, Claude JOANNIS, Ghassan CHEBBO.
Onema, LEESU et IFSTTAR/LEE - Guide technique sur le mesurage de la turbidité dans les réseaux d’assainissement - Avril 2015
2
Auteurs et contributeurs
Auteurs
Contributeurs
Remerciements
Pierre-Antoine VERSINI, chercheur (LEESU-ENPC), [email protected]
Claude JOANNIS, chef du Laboratoire Eau et Environnement (LEE-IFSTTAR), claude.joannis@ifsttar.fr
Ghassan CHEBBO, directeur de Recherche (LEESU-ENPC), [email protected]
Christian ROUX, chef de l’unité Etude (DE, Conseil Général des Hauts-de-Seine), [email protected]r
Frédérick VANDELANNOOTE, ingénieur chargé d’étude (DEA, Conseil Général de Seine-Saint-Denis), [email protected]
Fabien DESETABLES, technicien chargé de la conception du parc, de la validation et de l’exploitation des mesures hydrauliques et
pluviométriques (DEA, Conseil Général de Seine-Saint-Denis), [email protected]
Alain RABIER, chef de service adjoint (DSEA, Conseil Général du Val-de-Marne), [email protected]
Nathalie VERNIN, chef de service (DSEA, Conseil Général du Val-de-Marne) Nathalie.V[email protected]
Jean-Luc BERTRAND-KRAJEWSKI, professeur (INSA Lyon), [email protected]
Gwénaël RUBAN, ingénieur (LEE-IFSTTAR), [email protected]
Ali HANNOUCHE, chercheur (ENPC-LEESU), [email protected]
Céline LACOUR, chargée de mission (Onema) sur l’eau et les aménagements urbains, [email protected]
Les auteurs tiennent aussi à remercier les personnes suivantes pour leur aimable contribution :
S. Le Hir (Agglomération de Thau), P. Branchu (Cerema), C. Favre (Chambéry Métropole), M. Perrier (Chambéry Métropole),
A. Queinec (DEA93), H. Dubus (DSEA94), X. France (GEMCEA), N. Walcker (GRAIE), D. Mabilais (IFSTTAR), A. Mosset (IFSTTAR),
P. Dubois (LEESU-ENPC), M. Saad (LEESU-ENPC), J. Nemery (LTHE), G. Andréa (Lyonnaise des Eaux), G. Binet (Lyonnaise des
Eaux), G. Dhennin (Lyonnaise des Eaux), D. Laplace (Lyonnaise des Eaux), R. Lauret (Lyonnaise des Eaux), V. Le Balier (Lyonnaise
des Eaux), C. Roulet (Lyonnaise des Eaux), A. Ventura (Lyonnaise des Eaux), S. Lyard (Rhea), J.-P. Tabuchi (SIAAP), B. Barillon (Suez),
T. Bersinger (Université de Pau), F. Béthouart (Ville de Paris), S. Amirat (Ville de Paris), J. Malandrin (VEOLIA), L. Monier (VEOLIA)
Onema, LEESU et IFSTTAR/LEE - Guide technique sur le mesurage de la turbidité dans les réseaux d’assainissement - Avril 2015
3
Partenaires
LEESU (ENPC) - Le laboratoire eau, environnement et systèmes urbains est un laboratoire commun de l’École
des Ponts ParisTech, l’Université Paris-Est Créteil et AgroParisTech. Il a pour objet de recherche l’eau urbaine, sous
différents points de vue :
a
physique et hydrologique avec l’étude du cycle des eaux pluviales : précipitations, ruissellement, écoulements ;
a
biogéochimique avec l’étude des sources et devenir des contaminants chimiques et microbiologiques sur les bassins
versants urbains et leur impact sur le milieu récepteur ; c’est dans ce cadre que se positionne l’Observatoire des
polluants urbains en Île-de-France (OPUR) ;
a
socio-technique avec l’étude des politiques et des usages de l’eau et de leurs évolutions en milieux urbain.
Les travaux de recherche du LEESU sont ainsi en prise avec des questions sociétales, majoritairement en liaison
aujourd’hui avec la mise en place de politiques de développement durable et leurs déclinaisons dans le secteur de
l’eau. Ses activités sont ancrées au sein de partenariats opérationnels étroits et de longue durée avec les collectivités
territoriales de la région parisienne et avec des grands industriels du monde de l’eau.
LEE (IFSTTAR) - Au sein de département géotechnique, environnement, risques naturels et sciences de la terre de
l’IFSTTAR, les travaux menés par le laboratoire eau et environnement visent quatre grands défis sociétaux :
a
la gestion sobre des ressources ;
a
l’adaptation aux changements globaux ;
a
la réduction des risques environnementaux ;
a
l’intégration du cycle de l’eau dans un aménagement urbain durable.
Ils sont structurés autour de trois objets de recherche : les bassins versants urbains et péri-urbains, les réseaux
hydrographiques naturels et artificiels et les sols urbains et matériaux recyclés.
Ses travaux s’appuient sur les observations en vraie grandeur réalisées par le LEE dans le cadre de l’ONEVU (observatoire
de terrain en environnement urbain, composante de l’institut de recherches en sciences et techniques de la ville et de
l’Observatoire des sciences de l’univers de Nantes Atlantique) ainsi que sur les retours d’expérience réalisés dans le
cadre de l’Observatoire hydrométéorologique Cévennes Vivarais (OHMCV). Elles bénéficient en outre des capacités
analytiques et expérimentales de son laboratoire de chimie environnementale et d’hydrodynamique des sols.
URBIS - Le système d’observation et d’expérimentation SOERE (système d’observation et d’experimentation sur le
long terme pour la recherche en environnement) URBIS (http://www.graie.org/urbis-soere) a été labélisé par Allenvi en
2010. Il a pour objectif d’asseoir et de pérenniser un réseau d’observatoires en hydrologie urbaine en : (i) renforçant les
thématiques transverses, (ii) coordonnant les efforts d’observations de manière à les rendre comparables ou complé-
mentaires, et (iii) développant les projets de recherche collaboratifs.
Ce système repose sur trois observatoires français en hydrologie urbaine :
OPUR (Région parisienne, http://leesu.univ-paris-est.fr/opur/), OTHU (Grand Lyon, http://www.graie.org/othu/index.htm)
et ONEVU (Nantes Métropole, http://www.irstv.fr/fr/observatoire-nantais-des-environnements-urbains).
URBIS met un accent particulier sur la combinaison de différentes stratégies d’observation (points pérennes et suivis
ciblés à des échelles spatiales allant de l’ouvrage à la ville toute entière) dans une perspective de construction de
modèles intégrables, en particulier pour la production et le transfert des flux polluants.
1 / 82 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !