Topoi
H. Humbach et S. Ziegler,
Ptolemy, Geography, Book 6. Middle
East, Central and North Asia, China
. Part 1 : Text and
English/German translations by S. Ziegler, 1998 ; M.G. Schmidt,
Die
Nebenüberlieferung des 6 Buchs der Geographie des Ptolemaios.
Griechische, lateinische, syrische, armenische und arabische Texte
,
1999
Paul Bernard
Citer ce document / Cite this document :
Bernard Paul. H. Humbach et S. Ziegler,
Ptolemy, Geography, Book 6. Middle East, Central and North Asia, China
. Part 1 :
Text and English/German translations by S. Ziegler, 1998 ; M.G. Schmidt,
Die Nebenüberlieferung des 6 Buchs der
Geographie des Ptolemaios. Griechische, lateinische, syrische, armenische und arabische Texte
, 1999. In: Topoi, volume 9/1,
1999. pp. 275-290;
https://www.persee.fr/doc/topoi_1161-9473_1999_num_9_1_1825
Fichier pdf généré le 28/03/2018
Compte
rendu
H.
HUMBACH
et
S.
ZIEGLER,
Ptolemy,
Geography,
Book
6.
Middle
East,
Central
and
North
Asia,
China.
Part
1
:
Text
and
English/German
translations
by
Susanne
Ziegler,
Wiesbaden
(1998),
X,
260
p.
M.G.
SCHMIDT,
Die
Nebenüberlieferung
des
6
Buchs
der
Geographie
des
Ptolemaios.
Griechische,
lateinische,
syrische,
armenische
und
arabische
Texte,
Wiesbaden
(1999),
X,
291
p.
;
une
carte
en
dépliant,
5
fig.
non
numérotées
dans
le
texte.
Avec
ces
deux
ouvrages
les
historiens
et
archéologues
de
l'Orient
ancien
disposent
désormais
de
l'arsenal
philologique
nécessaire
pour
utiliser
le
livre
VI
de
Ptolémée
qui
couvre
la
plus
grande
partie
de
l'Orient.
La
seule
édition
complète
des
huit
livres
de
la
Géographie
demeure
à
ce
jour
celle
de
C.
F.
Nobbe,
qui
remonte
aux
années
1843-45
(réimpression
1966
avec
une
introduction
en
latin
d'A.
Diller),
mais
ne
s'appuie
que
sur
un
petit
nombre
de
manuscrits
;
elle
présente
toutefois
l'avantage
d'offrir
un
double
index
(noms
propres
et
langue).
Le
livre
VI
fut
le
dernier,
en
1845,
de
l'édition
de
G.
Wilberg
dont
la
publication
de
l'ouvrage
de
Ptolémée
s'arrêta
là.
Quoique
celui-ci
eût
utilisé
un
nombre
de
manuscrits
plus
important,
le
collationnement
était
loin
d'être
complet.
Il
fallut
attendre
1971
pour
que
I.
Ronca
profitant
des
recherches
philologiques
accumulées
autour
de
Ptolémée
par
des
éditions
partielles
comme
celles
de
Ch.
Müller
(1883),
Ο.
Cuntz
(1923),
L.
Renou
(1925),
Fischer
(1932),
et
des
études
cartographiques
comme
celles
de
P.
Schnabel
(1930,
1939)
donnât
une
véritable
édition
critique
de
ce
livre
VI,
prenant
en
compte
les
46
manuscrits
connus.
Cette
édition
comporte
trois
traductions,
allemande,
anglaise
et
latine
(celle
de
J.
Angelus,
1410).
La
publication
d'I.
Ronca
ne
commençait
cependant
qu'au
chapitre
9,
laissant
ainsi
de
côté
pratiquement
tout
l'Iran
occidental
avec
la
Parthie,
la
Mèdie,
la
Perside,
la
Susiane,
la
Carmanie,
ainsi
que
l'Assyrie,
c'est-à-dire
la
rive
gauche
de
la
vallée
du
Tigre,
jusqu'à
la
Babylonie
non
comprise
et
l'Arabie
Heureuse.
La
nouvelle
édition
de
S.
Ziegler,
qui
englobe
ces
provinces,
comble
une
lacune
gênante
pour
ceux
dont
l'intérêt
ne
se
limite
pas
à
l'Asie
Centrale
et
à
l'Extrême-Orient.
Elle
couvre
ainsi
l'ensemble
de
l'Orient
depuis
le
rebord
occidental
du
plateau
iranien
avec,
de
ce
côté,
trois
excroissances
proche-orientales
(Mésopotamie
non
babylonienne,
Susiane,
Arabie
Heureuse),
jusqu'à
l'actuel
Turkestan
chinois
et
à
la
Chine
du
Nord-Ouest
(Sèrikè).
Le
reste
de
l'Orient
est,
comme
on
sait,
réparti
entre
le
livre
VII
pour
la
Chine
des
Sines,
au
Sud
de
la
Sérique,
avec
la
capitale
Thinai,
l'Inde
et
Ceylan-Taprobane,
et
le
livre
V
pour
le
Proche-Orient
proprement
dit
:
Babylonie,
Mésopotamie,
Arabie
Pétrée
et
Arabie
Déserte,
Topoi
9
(1999),
fascicule
1
p.
275-290
276
P.
BERNARD
Syrie,
Palestine,
pays
du
Caucase
(les
deux
Arménies,
la
Colchide,
l'Ibérie,
l'Albanie)
et
Sarmatie
asiatique,
à
l'Est
du
Palus
Meotis.
C'est
dans
ce
même
livre
V
qu'est
traitée
l'Asie
Mineure.
Disciple,
comme
I.
Ronca,
de
H.
Humbach
(Université
J.
Gutenberg
de
May
enee),
qui
fut
l'inspirateur
de
ce
projet
d'une
nouvelle
édition
critique
et
commentée
du
livre
VI
de
Ptolémée
l,
S.
Ziegler,
plutôt
que
de
se
limiter
aux
huit
premiers
chapitres
qui
manquaient
dans
l'édition
de
Ronca,
a
choisi
de
reprendre
l'ensemble
du
livre
VI
:
on
lui
saura
gré
d'avoir
facilité
la
tâche
du
lecteur
qui
n'aura
qu'un
livre
à
consulter
au
lieu
de
deux.
La
collation
qu'elle
a
faite
des
manuscrits
a
validé
pour
l'essentiel
celle
de
son
prédécesseur.
Comme
lui,
sur
les
46
manuscrits
connus
dont
aucun
n'est
antérieur
au
XIIIe
siècle,
elle
en
a
retenu
12
qui
sont
vraiment
significatifs
et
qui
se
répartissent
en
trois
familles
:
X
,
W
et
v-A-Z
dont
les
liens
avec
les
deux
précédents
ne
peuvent
être
clairement
définis.
Elle
a
également
tenu
compte
des
leçons
offertes
par
les
cartes
qui
accompagnent
certains
manuscrits,
ainsi
que
de
la
tradition
secondaire.
La
traduction
anglaise,
imprimée
en
face
du
texte
grec,
suit
étroitement
le
texte
proposé
dans
l'édition
;
la
traduction
allemande
a
été
faite
d'après
la
seule
famille
v-A-Z,
dans
le
but
de
donner
une
image
cohérente
d'une
famille,
à
la
fois
dans
son
texte
et
avec
ses
coordonnées
géographiques,
et
pour
faire
toucher
du
doigt
les
problèmes
de
la
transmission
textuelle
2.
L'auteur
annonce
1
.
Cette
entreprise
prend
place
dans
le
projet
plus
large
d'une
Collection
des
sources
pour
l'histoire
de
l'Asie
Centrale
pré-islamique
conçue
par
le
professeur
J.
Harmatta
de
Budapest
et
que
dirige
actuellement
Ph.
Gignoux.
H.
Humbacch
a
donné
sous
forme
d'articles
plusieurs
études
sur
la
géographie
historique
du
livre
VI,
dont
on
trouvera
la
liste
dans
la
bibliographie
donnée
par
M.G.
Schmidt.
2.
L'auteur
fait
justement
remarquer
(p.
12)
que
le
texte
de
l'ensemble
des
manuscrits
place
Kyreschata
sur
le
fleuve
Iaxarte,
l'actuel
Amou-darya
(παρά
μεν
τον
Ίαξάρτην
:
VI,
12,
5),
alors
que
seule
la
famille
v-A-Z
donne
des
coordonnées
géographiques
compatibles
avec
une
telle
situation.
En
fait,
il
semble
y
avoir
eu
confusion
avec
l'emplacement
d'Alexandrie
Eschatè
qui,
elle,
se
trouvait
bel
et
bien
au
bord
du
fleuve
(c'est
l'actuelle
Khodjend
:
P.
Bernard,
«
La
città
fondate
da
Alessandro
in
Asia
Centrale
»,
dans
Alessandro
Magno.
Storia
e
mito,
Rome
[1995],
p.
100-101)
;
id.,
Abstracta
Iranica
10
[1987],
nos
176,
203
:
comptes
rendus
des
articles
de
T.V.
Beljaeva,
G.A.
Pugacenkova
et
L.I.
Rempel),
alors
que
Ptolémée
la
situe
parmi
les
villes
«
entre
les
deux
fleuves
(l'Oxus
et
l'Iaxarthe),
à
quelque
distance
de
ceux-ci
»
:
μεταξύ
δε
και
άποτέρω
των
ποταμών
(VI,
12,
6).
Ór,
Kyreschata
n'a
jamais
été
au
bord
de
l'Iaxarte
:
si
tel
avait
été
le
cas,
Arrien,
dans
la
description
très
détaillée
qu'il
donne
du
siège
de
la
ville
(IV,
2-3),
n'aurait
pas
manqué
de
le
signaler
;
la
seule
rivière
qu'il
mentionne
est
le
lit
d'un
torrent,
à
sec
à
cette
époque
de
l'année,
qui
traversait
la
ville
et
par
Alexandre
s'introduisit
avec
quelques
hommes
à
l'intérieur
des
remparts.
Le
site
a
été
identifié
de
façon
très
plausible
avec
l'actuelle
Ura-Tiube
à
une
soixantaine
de
km
au
Sud-Ouest
de
Khodjend
-
Alexandrie
Eschatè
:
pour
les
études
des
spécialistes
russes
qui
ont
traité
de
la
question,
voir
P.
Bernard,
«
Alexandre
et
l'Asie
Centrale
:
réflexions
à
propos
d'un
ouvrage
de
F.L.
Holt
»,
Studia
Iranica
19
(1990),
p.
28-29.
Κυρέσχατα
représente
la
transcription
grecque
d'une
forme
perse
*Kuru(s)-Kada
(avec
une
COMPTE
RENDU
277
un
volume
consacré
aux
cartes
dont
le
texte
écrit
devait
permettre
l'exécution
et
dont
certaines
accompagnent
effectivement
quelques
manuscrits.
Il
y
sera
traité
des
problèmes
posés
par
ces
cartes
notamment
quand
elles
semblent
renvoyer
à
une
autre
tradition
du
texte.
Espérons
que
ce
complément
indispensable
ne
se
fera
pas
trop
attendre.
En
attendant
on
utilisera
les
trois
cartes
dessinées
par
I.
Ronca
dans
son
édition
et
qui
sont
le
commentaire
visuel
des
chapitres
relatifs
à
l'Asie
Centrale
du
livre
VI.
Pour
celles
concernant
le
Proche-Orient,
on
se
reportera
aux
planches
de
l'édition
des
cinq
premiers
livres
de
la
Géographie
par
Ch.
Müller
(1901)
3.
Dans
l'introduction
de
son
étude
sur
la
tradition
secondaire,
M.G.
Schmidt
donne
une
présentation
de
la
tradition
manuscrite
qu'elle
illustre
de
stemmata
correspondants
;
elle
fait
de
même
pour
les
cartes
de
l'Asie
qui
accompagnent
certains
manuscrits
du
livre
VI.
Le
principe
suivi
dans
la
présentation
de
la
tradition
secondaire,
représentée
par
Ammien
Marcellin
(A),
Marcien
d'Héraclée
(B),
Etienne
de
Byzance
(C),
Jacques
d'Édesse
(D),
Ananias
de
Siracène
(E)
et
Al-Khwârizmi
(F),
est
de
donner
pour
chaque
auteur
la
liste
des
noms
ou
phrases
de
caractère
géographique
(avec
leurs
différentes
leçons)
en
renvoyant
aux
passages
correspondants
de
la
Géographie
de
Ptolémée,
avec,
dans
les
notes,
une
bibliographie
succincte
et
une
identification
toponymique
quand
celle-ci
a
pu
être
proposée.
A)
Le
livre
XXIII
des
Res
Gestae
d'Ammien
Marcellin,
composé
autour
de
390
de
n.
è.,
et
qui
est
le
premier
des
trois
à
rendre
compte
de
la
catastrophique
expédition
militaire
de
Julien
en
363
de
n.
è.
contre
l'Empire
sassanide,
comporte
une
digression
géographique
sur
la
Perse
et
l'Orient.
Cette
dernière
est
une
réélaboration
très
libre
et
fortement
abrégée
du
livre
VI
de
Ptolémée,
faisant
également
appel
de
façon
intermittente
à
d'autres
sources
plus
anciennes
(Strabon,
Pline),
et
complétée
de
renseignements
historiques
et
culturels,
ainsi
que
de
descriptions
géographiques.
On
débat
pour
savoir
si
Ammien
avait
utilisé
Ptolémée
directement
ou
à
travers
une
source
intermédiaire.
M.G.
Schmidt
donne
(p.
40)
une
liste
de
noms
qui
se
trouvent
dans
les
manuscrits
M
et
V
des
terminaison
signifiant
«
les
fondations
pour
une
construction
»),
qui
s'est
conservée
dans
le
nom
de
la
bourgade
de
Kurkat
entre
Ura-Tiube
et
Khodjend
:
E.
Benveniste,
«
La
ville
de
Cyreschata
»,
JA
244
(1943-1945),
p.
163-166.
Cette
Kurkat
est
déjà
mentionnée
au
Xe
siècle
dans
le
Hudüd
al-'Âlam,
p.
115.
On
notera
que
le
qualificatif
α'έσχάτη,
qui
flanque
le
nom
de
l'Alexandrie
de
l'Iaxarte
et
qui
correspondait
parfaitement
à
sa
position
extrême
sur
la
frontière
orientale
de
l'Empire
d'Alexandre,
recouvre
en
fait
une
adaptation
au
grec
de
la
finale
du
nom
perse
*kuru(s)Ka6a,
grec
Κυρέσχατα,
ce
qui
a
pu
faciliter
la
confusion
entre
les
positions
respectives
des
deux
villes,
confusion
que
l'on
trouve
déjà
chez
Strabon
(Τα
Κυρα,
εσχατον
öv
Κΰρου
κτίσμα
έπί
τω
Ίαξάρτη
ποταμφ
κείμενον
:
XI,
11,
4
)
et
qui
remonte
certainement
à
l'une
de
ses
sources.
Claudii
Ptolemaei
Geographia.
Tabulae
XXXVI,
Paris
(1901).
278
P.
BERNARD
Res
Gestae
datés
du
IXe
siècle
et
qui,
deux
ou
trois
siècles
avant
les
manuscrits
les
plus
anciens
de
Ptolémée,
donnent
des
leçons
conformes
à
la
tradition
la
plus
sûre
de
la
Géographie.
Mais
cette
constatation
n'est
pas
nécessairement
un
argument
à
sens
unique
en
faveur
des
tenants
de
la
théorie
de
l'utilisation
directe.
B)
Le
Périple
de
la
mer
extérieure,
c'est-à-dire
de
l'Océan
Indien
et
de
l'Océan
Atlantique,
de
Marcien
d'Héraclée
(IVe-
Ve
s.
de
n.
è.),
dont
la
seule
édition
demeure
à
ce
jour
celle
de
C.
Müller
dans
les
GGM,
décrit
au
livre
I
les
côtes
depuis
la
Mer
Rouge
jusqu'à
la
Chine
avec
les
estuaires
des
fleuves,
les
montagnes
et
les
villes
côtières.
Si
les
distances
sont
empruntées
à
un
certain
Protagoras,
tout
le
reste
démarque
étroitement
l'œuvre
du
«
très
divin
et
très
savant
»
Claude
Ptolémée.
Les
manuscrits
du
Périple
(XIP-XVIe)
ne
sont
malheureusement
pas
plus
anciens
que
ceux
de
Ptolémée.
C)
Les
Ethnika
du
grammairien
Etienne
de
Byzance
(VIe
siècle
de
n.
è.),
répertoire
de
noms
de
peuples
et
de
villes,
dont
les
cinquante
livres
ne
nous
sont
parvenus
que
sous
forme
d'un
abrégé,
utilise
la
tradition
secondaire
de
la
Géographie
(Ammien
Marcellin
et
surtout
Marcien
dont
les
emprunts
sont
signalés
dans
les
chapitres
correspondants).
M.
G.
Schmidt
signale,
cependant,
deux
emprunts
au
Canon
des
poleis
épisèmoi
(voir
ci-après),
Arsakia
de
Mèdie
et
Suse.
D)
Dans
l'un
des
traités
en
langue
syriaque,
rassemblés
dans
son
Examéron,
Jacques
d'Édesse
(633-708)
donne
une
description
sommaire
du
monde
qui,
après
un
développement
sur
l'étendue
des
terres
habitées,
se
réduit
à
une
courte
liste
de
quelques
éléments
géographiques
majeurs
:
mers
(pour
l'Orient,
seule
apparaît
la
Caspienne),
fleuves
(Oxus,
Iaxarte,
=
Volga),
montagnes
mentionnées
par
pays
selon
un
ordre
qui
est
celui
dans
lequel
ces
derniers
sont
décrits
dans
le
livre
VI
de
Ptolémée
(Mèdie,
Arabie
Heureuse,
Carmanie,
les
deux
Scythies
en-deçà
et
au-delà
de
l'Imaon,
la
Sérique,
l'Arie,
la
Gédrosie),
enfin
une
liste
des
pays
eux-mêmes
qui
complète
l'énumération
précédente.
M.G.
Schmidt
utilise
l'édition
d'A.
Hjelt
(1892)
et
sa
traduction
latine
;
elle
donne
également
en
transcription
les
noms
syriaques
qu'elle
replace,
quand
c'est
nécessaire,
dans
le
contexte
général
de
la
phrase.
Bien
que
le
mode
de
présentation
soit
différent,
la
Géographie
de
Ptolémée
est
à
la
base
de
cet
opuscule.
La
transcription
des
noms
grecs
en
syriaque
est
dans
l'ensemble
remarquablement
fidèle
dans
la
mesure
le
permet
la
phonétique
du
syriaque
qui
n'a
point
de
voyelle
brève
au
point,
par
exemple,
que
le
nom
de
l'Assyrie
est
donné
d'abord
d'après
la
forme
directement
transposée
du
grec,
'Swry'
=
Άσσυρία,
puis
glosé
par
la
forme
proprement
syriaque
Αθυρ.
L'ancienneté
du
manuscrit
Lugdunensis
daté
du
IXe
siècle,
auquel
remonte
le
texte
syriaque,
autorise
à
tenir
compte
de
quelques-unes
de
ses
formes
pour
l'établissement
du
texte
de
la
Géographie
de
Ptolémée.
E) La
Géographie
en
langue
arménienne
dont
l'historien
Moise
de
Khorène
fut
longtemps
considéré
comme
l'auteur
et
dont
la
réattribution
au
grand
mathé-
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