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Spécifique – Séquence 1 Rayonnements dans l’UniversSéquence 1 Rayonnements dans l’Univers
b. Lorsqu’un signal sonore est émis, les diodes initia-
lement éteintes s’illuminent sur l’écran de l’ordinateur
auquel est relié la webcam. L’observation directe de
l’émetteur ne permet pas de voir ce phénomène.
3. a. Un rayonnement est monochromatique quand
sa longueur d’onde ne prend qu’une seule valeur. La
courbe de la figure 2 montre un pic marqué, ce qui cor-
respond à un rayonnement quasi monochromatique.
b. Le pic est centré sur une longueur d’onde de valeur
900 nm.
4. a. La longueur d’onde d’émission des diodes n’ap-
partient pas au domaine de sensibilité du luxmètre.
Cet instrument ne sera donc pas sensible à ce rayon-
nement.
b. L’expérience confirme la réponse précédente.
5. a. Un capteur ne peut pas détecter tous les rayonne-
ments. Il n’est sensible qu’à un intervalle donné de lon-
gueur d’onde appelé : « intervalle de sensibilité spec-
trale ».
b. Le choix d’un capteur est essentiel lors de la détec-
tion des rayonnements. Il est nécessaire de choisir un
capteur, donc l’intervalle de sensibilité correspond aux
types de rayonnement à observer.
ACTIVITÉ 4
Lunettes de soleil p. 17
En utilisant une lampe à vapeur de mercure dont le
spectre présente une raie d’émission à 404 nm (UV
proche). On obtient les spectres suivants :
Fig. A Fig. B
Fig. C
b. La longueur d’onde, notée l, est la distance sépa-
rant deux positions identiques (cf. figure ci-dessus).
2. a. Les noms des différents domaines sont : radio,
infrarouge, visible, ultraviolet, X et gamma.
b.
a : gamma ;
b : X ;
c : ultraviolet ;
d : visible ;
e :
infrarouge ;
f : radio.
3. L’œil humain est sensible aux rayonnements visibles,
ce qui correspond à une très faible portion du spectre
électromagnétique. La majeure partie de ces rayonne-
ments n’est donc pas détectée par notre œil.
4. a. Ces zones sont le cœur de la galaxie et des étoiles
réparties en spirale autour, dont les contours sont cachés
par les nuages de poussières.
b. Sur la galaxie Andromède, les zones les plus chaudes
sont situées au centre de la galaxie et en certains points
dans le plan de la galaxie.
5. La « lumière invisible » est le nom donné aux rayon-
nements du spectre électromagnétique auxquels l’œil
n’est pas sensible.
ACTIVITÉ 2
Les sources de rayonnements p. 15
1. a.
1
: X ;
2
: ultraviolet ;
3
: visible ;
4
: infrarouge ;
5 : radio.
b. Dans le spectre représenté figure 1, un pic, noté
b,
apparaît dans le domaine visible. Cet astre peut donc
être observé.
2.
a
: rayonnement de freinage – interactions élec-
trons/ions.
c : rayonnement thermique – température élevée.
d : rayonnement synchrotron – interaction électrons/
champ magnétique.
3. a. La courbe
a
est située aux faibles longueurs
d’onde. L’astre est donc entouré d’un nuage de par-
ticules de haute densité. La courbe
c est située dans
une zone de longueur d’onde intermédiaire. L’astre a
une température importante. La courbe
d est située
dans le domaine radio, la vitesse des électrons émis par
l’astre et son champ magnétique sont importants.
b. Le mot « supernova » est utilisé pour qualifier l’ex-
plosion d’une vieille étoile qui éjecte brutalement de
la matière. Sa luminosité augmente alors brutalement.
ACTIVITÉ 3
Casque sans fil p. 16
1. D’après les données techniques, la sensibilité de la
webcam s’étend jusqu’à 1 050 nm, soit dans le domaine
infrarouge. Cet instrument pourra donc détecter les
rayonnements envoyés par l’émetteur.
2. a. Il suffit de placer la webcam en face de l’émetteur
infrarouge et d’observer les diodes en façade.
04732977_.indb 7 27/07/12 10:49