UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) SIMULATION I Nom : _________________________________________ Date : _____________________ Cet examen comprend trois parties : Ø Identification d’une erreur par phrase (30 %) : 30 minutes ___________ Ø Compréhension de texte (20 %) : 30 minutes ______________________ Ø Texte argumentatif de 360 à 400 mots (50 %) : 2 heures _____________ I. Encerclez l’erreur d’orthographe d’usage ou d’orthographe grammaticale dans chacune des phrases suivantes. Exemple : Quand ils se sont vus, ils se sont souris sans se parler. a) Les personnes que nous avons rencontré semblaient très intéressantes. b) Tous les exercises réalisés m’ont beaucoup aidé. c) « On est allé au cinéma hier soir. » ont affirmé Claire et Lucie. d) Nous avons été retardé par le mauvais temps qui sévit. e) Tout autre réponse m’aurait plu; je suis déçu. f) Elle avait les yeux bleus, les joues rose pâles et les lèvres rouges. g) Parti en retard, ils sont arrivés après le début du spectacle. h) Mêmes les enfants se sont ennuyés pendant la fête. i) Il faut vous mentionnez que tout le monde est maintenant heureux. j) Arrive plutôt pour que nous puissions discuter de tous ces problèmes. k) Y a-t’il une voiture garée à ma place ou est-ce que je vois mal? l) À cette manifestation, quelques deux cents personnes étaient présentes. m) Aucun frais supplémentaires ne seront ajoutés à votre facture. n) La plupart pense que cet énoncé ne présente aucun fait réel. o) Il faut que tu crois en ce projet d’une durée de plus de trois ans. p) Vous adorez tous les petits fruits telles que les framboises et les fraises. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 1 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) q) Marc et Luc ont finit les devoirs que tu leur avais proposés. r) Quoique Nora dise, personne ne veut la croire, et ce, peu importe le sujet. s) C’est toi qui a raison dans cette histoire dont le résultat est farfelu. t) Pierre n’a pas semblé très convainquant quand il a annoncé son départ. u) Ils se sont vus, se sont souris et se sont serré la main. v) Donnes-lui toute l’attention dont il a besoin pour qu’il soit heureux. w) Cette salle ne peut contenir trois cents cinquante personnes qui seront debout. x) La maison qu’ils se sont faite construire est située au nord de la ville. y) Cette ascenseur me fait peur quand il y a trop de personnes qui y montent. z) Plus d’un ont cru en cette terrible affaire survenue la semaine dernière. aa) Vous marchiez dans le froid nues-mains et tête nue. bb) Les écoles Franco-Ontariennes incluent tant des francophones que des immigrants. cc) Tu en as vus beaucoup, des événements dramatiques dans ta vie. dd) Ce sont des situations que nous avons déjà parlé et qui sont difficiles à décrire. II. Lisez le texte suivant et répondez aux questions à sa suite. Il n’y a qu’une réponse possible par question. Choisissez la meilleure. France Daigle : « Une langue, ça s’entretient »1 Ils baignent dans l’anglais et certains d’entre eux parlent une langue hybride, le chiac. Mais ce n’est pas une raison pour perdre leur français, affirme l’écrivaine acadienne France Daigle, qui dénonce le laisser-aller des jeunes. 28 mai 2013 par Julie Barlow Après la bataille du joual au Québec, voici la bataille du chiac au Nouveau-Brunswick. Et l’auteure acadienne France Daigle, lauréate du Prix du Gouverneur général 2012 pour son 1 Texte tiré du site de L’actualité : http://www.lactualite.com/culture/france-daigle-une-langueca-sentretient/. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 2 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) roman Pour sûr, se porte à la défense de Marie-Noëlle Ryan, professeure de philosophie à l’Université de Moncton. En février, celle-ci a dénoncé au Téléjournal Acadie la mauvaise grammaire, les fautes d’orthographe et la syntaxe douteuse de ses étudiants. Ses déclarations ont soulevé une grosse polémique et fait réagir la Fédération des étudiants de l’Université, qui a envoyé une lettre au Sénat académique dans laquelle elle accuserait la professeure de diffamation. « Le message de Marie-Noëlle Ryan est la vérité, et il faut que ces choses-là soient dites », explique France Daigle, dont l’appui peut paraître contradictoire. Son 10e roman, Pour sûr, fait la part belle au chiac, ce célèbre patois acadien qui mélange vieux français, français et anglais, avec ses quoisse (qu’est-ce), avont (ont), yinque (rien que) et autres cawler (appeler)! L’actualité a rencontré France Daigle entre deux trains, à la gare Bonaventure, à Montréal. Elle nous parle des forces et faiblesses du chiac ainsi que de l’avenir du français au NouveauBrunswick, où 300 000 Acadiens baignent dans l’anglais depuis plus de deux siècles. Pourquoi défendez-vous Marie-Noëlle Ryan? Je trouvais ridicule qu’on s’attaque à elle pour ses propos. Elle enseigne depuis 12 ans et sait de quoi elle parle. N’attaquez pas le messager ! Beaucoup de jeunes francophones de chez nous ont de la difficulté à s’exprimer correctement en français écrit. Mais vous-même, dans Pour sûr, vous détournez délibérément le français. Vous francisez des mots anglais, tordez la grammaire, déboîtez la syntaxe… Parce que c’est une expérience littéraire qui consiste à transposer le registre oral, le chiac, en langue écrite, un peu comme l’a fait Michel Tremblay pour le joual. Même si le livre a été bien reçu, beaucoup de gens remettent en question l’intérêt d’écrire en chiac. Et je les comprends ! Mais un écrivain travaille avec un matériau : la langue et sa palette de registres. Le chiac existe, je l’utilise et je m’en amuse, mais je ne le défends pas. C’est une langue hybride, mixte, à laquelle j’ai dû donner ses structures pour la rendre à l’écrit. Mais je ne veux pas que les gens me prennent en exemple et disent : « Le chiac est autorisé. On n’a plus besoin d’apprendre le français. » Alors pourquoi avoir choisi d’écrire en chiac? Par souci de vérité. Vers mon cinquième roman, je me suis rendu compte que je ne pouvais pas faire parler mes personnages avec réalisme sans recourir au chiac. Sinon, j’inventais une réalité qui n’existait pas. Je voulais que mes lecteurs entendent l’humour et la culture du NouveauBrunswick. Donc, il fallait écrire en chiac, comme Michel Tremblay a écrit en joual. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 3 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) Où tracez-vous la limite de l’usage du chiac? Le chiac, comme le joual, appartient au registre oral, qui n’est qu’un aspect de la langue. Ce n’est pas « une » langue et ce n’est pas « la » langue. Les francophones du NouveauBrunswick, y compris les jeunes, doivent être conscients que le chiac ne suffit pas si on veut avancer dans la vie. Il fait partie de nous, mais peu importe où tu travailleras, tu n’écriras pas en chiac. C’est toute l’Acadie qui a un problème si une masse critique d’Acadiens ne réussit pas à écrire et à s’exprimer correctement en français. C’est le sens de l’intervention de Marie-Noëlle et la raison de mon appui. D’après vous, les Acadiens devraient-ils apprendre le français normatif à l’école, comme au Québec ou en France? Oui et non. La question est de savoir quelle norme. Le français normatif du Québec n’est pas exactement celui de Paris. Mais je crois que pour sauvegarder le français au NouveauBrunswick, il ne faut pas non plus être trop rigide sur la norme. Je crois qu’on ne peut pas exclure une certaine présence de l’anglais dans le français d’ici, en raison de notre histoire. Car l’écart entre le français parlé et le français écrit est plus grand au Nouveau-Brunswick qu’au Québec. Est-ce pour cela que vous avez critiqué le français comme étant trop figé? Oui, et je me suis aperçue à quel point il l’était en écrivant mon dernier livre ! Il y a une tendance à voir le français comme un monument intouchable. Moi, je me suis amusée à créer des accents, à déformer les mots. C’est quand même notre langue, on peut la rendre malléable jusqu’à un certain point, on peut se l’approprier comme on veut! La forte présence de l’anglais explique-t-elle la mauvaise qualité du français des étudiants au Nouveau-Brunswick? Il faut vivre ici pour comprendre à quel point l’anglais envahit notre espace mental. Notre rapport avec cette langue est d’ailleurs doublement, voire triplement marqué. Dans le passé, nous avons été mis de côté par les Anglais. Ensuite, nous avons toujours vécu entourés d’anglophones. Mais en plus, l’anglais est devenu la langue prédominante dans le monde. Tout un défi! Nous avons certainement acquis quelques mauvaises habitudes liées à cet environnement. Mais je ne rejetterais pas toute la responsabilité là-dessus. Après tout, la situation n’est pas brillante non plus dans les écoles du Québec. La présence de l’anglais n’est donc pas seule en cause. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 4 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) Que proposeriez-vous pour lutter contre l’affaiblissement du français au NouveauBrunswick? Trois choses. D’abord, nous gagnerions à être plus ouverts à de nouvelles façons d’enseigner. Enseigner une langue en milieu minoritaire, ce n’est pas comme enseigner là où la majorité parle la même langue. Le chiac est très éloigné de la norme. Alors quand les enfants vont à l’école, ils ne peuvent pas simplement écrire comme ils parlent. Sinon, leurs travaux sont bourrés de fautes ! L’enseignement en milieu minoritaire doit donc faire appel à des mécanismes différents et à une pédagogie adaptée. Les recherches en pédagogie nous apporteront des solutions à ce problème, j’en suis convaincue. Ensuite, il faut avoir des enseignants convaincants. Que l’on donne aux enfants des matériaux intelligents, actuels, intéressants et de qualité en français. Quand j’étais en 10e année [4e secondaire], notre prof d’anglais nous a donné à étudier « The Sound of Silence », de Simon and Garfunkel, et « Suzanne », de Leonard Cohen. Tout le monde s’y est intéressé! Pourquoi ne peut-on pas faire la même chose aujourd’hui avec des chansons en français? Pour motiver les jeunes, il y a tellement de matière intéressante. Rien n’excuse que le français soit ennuyant! Enfin, puisque nous vivons en situation minoritaire, nous devons faire en sorte que le français standard s’enracine bien. Et pour cela, il faut responsabiliser les francophones afin qu’ils soient plus exigeants envers eux-mêmes et envers les autres à tous points de vue. Une nouvelle génération de leaders politiques est-elle nécessaire, comme celle de l’ancien premier ministre Louis Robichaud, qui a fondé l’Université de Moncton en 1963 et a déclaré la province officiellement bilingue en 1969? Certes, la politique a contribué à la survie du français au Nouveau-Brunswick. Mais il ne faut pas compter uniquement sur la politique, ou les politiciens, pour assurer notre avenir. Une langue, ça s’entretient. On ne peut pas la laisser aller, surtout pas chez nous! Il faut que les gens soient responsables. Le français est-il menacé au Nouveau-Brunswick? Non, loin de là. Pour vous donner une idée, je connais des gens dans le nord de la province qui ne parlent même pas l’anglais. Et j’ai espoir. Nous sommes certainement isolés du reste de la francophonie, mais nous l’avons toujours été. Depuis les années 1960, nous nous sommes donné des outils pour vivre en français plus que jamais. Et grâce aux nouvelles technologies, les livres, la musique, les magazines, les films sont plus accessibles que jamais. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 5 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) Le Québec devrait-il en faire davantage pour appuyer la sauvegarde de la langue française en Acadie? Si quelqu’un nous a abandonnés, c’est la France, ce n’est pas le Québec! Les Québécois, on les connaît, on les voit à la télévision. Ils font des choses intéressantes et il y a beaucoup d’échanges avec eux, mais nous ne vivons pas la même réalité. Les Acadiens ne se définissent pas par rapport aux Québécois. Le Québec, c’est autre chose, une autre entité. Nous avons toujours été là où nous sommes. Nous sommes des cousins, apparentés, mais vivant dans des foyers distincts. Qu’est-ce que le Nouveau-Brunswick apporte à la francophonie? Au risque de paraître prétentieuse, je dirais que mon roman Pour sûr contribue à montrer que nous sommes des citoyens du monde et que l’Acadie a son génie propre, avec un humour particulier. Dans un des chapitres, il y a deux types sur un terrain de golf. Le premier est tellement fier que le Nouveau-Brunswick ait 20 fois plus de terrains de golf que la France! L’autre réplique qu’il y a tellement de vignobles et de châteaux en France que les Français n’ont pas eu assez de terre pour faire des terrains de golf! Notre éloignement des grands centres de la francophonie, ce n’est pas une faiblesse, mais une force. Il nous donne de l’espace pour approfondir nos réflexions sur le monde dans lequel nous vivons et sur nous-mêmes. Mais il faut que nous soyons forts et déterminés pour continuer à vivre en français. Et c’est ce que je reproche à nos étudiants : pourquoi veulent-ils étudier en français sans adopter les outils nécessaires pour pouvoir lire et s’exprimer correctement par écrit? Car en faisant cela, ils s’excluent eux-mêmes de la culture francophone, qui est tellement grande, riche et intéressante. Encerclez la bonne réponse. 1. Que veut dire l’expression langue hybride que l’on retrouve dans le 1er paragraphe? a) Une langue française archaïque b) Une langue anglaise archaïque c) Une langue dont le français et l’anglais sont entremêlés 2. Pourquoi la Fédération étudiante de l’Université de Moncton a-t-elle accusé la professeure Marie-Noëlle Ryan de diffamation? a) La professeure affirmerait injustement que les étudiantes et étudiants font trop de fautes quand ils écrivent. b) La professeure croirait que les étudiants et étudiantes devraient suivre des cours de grammaire française. c) La professeure ferait des fautes lorsqu’elle écrit. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 6 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) 3. Combien d’Acadiens parlent anglais? a) 300 000 b) 200 000 c) On n’en fait pas mention dans le texte. 4. Par quoi ne pourriez-vous pas remplacer propos dans « Je trouvais ridicule qu’on s’attaque à elle pour ses propos »? a) Paroles b) Sens c) Mots 5. En quoi le joual et le chiac sont-ils similaires? a) Ce sont des langues parlées et non écrites. b) Ce sont des langues écrites et non parlées. c) Ce sont des langues écrites et parlées. 6. Dans quelles circonstances, France Daigle et Michel Tremblay utilisent-ils respectivement le chiac et le joual? a) Lorsqu’ils décrivent de beaux paysages. b) Lorsqu’ils font de la mise en scène. c) Lorsqu’ils font parler leurs personnages. 7. Pourquoi France Daigle appuie-t-elle la professeure? a) Comme la professeure, madame Daigle croit que le chiac ne doit être que parlé et que les jeunes doivent apprendre à bien écrire le français. b) Comme la professeure, madame Daigle croit qu’il faut qu’on enseigne le chiac aux universitaires. c) Comme la professeure, madame Daigle croit que les universitaires ne parlent pas assez bien le chiac. 8. Pour madame Daigle, au Nouveau-Brunswick, a) l’écart entre le français parlé et écrit est le même qu’au Québec. b) l’écart entre le français parlé et écrit est plus petit qu’au Québec. c) l’écart entre le français parlé et écrit est plus grand qu’au Québec. 9. Pourquoi l’auteure a-t-elle choisi d’écrire en chiac? a) Pour rendre les paroles des personnages réelles. b) Parce que c’est la seule langue écrite du Nouveau-Brunswick. c) Parce que les francophones du Nouveau-Brunswick ne comprennent pas le français. 10. Quel énoncé est vrai? a) Pour madame Daigle, pour qu’il subsiste, le français doit inclure l’anglais. b) Pour madame Daigle, pour qu’il ne meure pas, le français doit exclure l’anglais. c) Pour madame Daigle, il est impossible que le français subsiste d’ici 50 ans en Acadie. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 7 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) 11. Trouvez un synonyme de malléable dans « C’est quand même notre langue, on peut la rendre malléable jusqu’à un certain point, on peut se l’approprier comme on veut! » a) contournable b) inchangeable c) façonnable 12. Selon madame France Daigle, est-ce que la forte présence de l’anglais au NouveauBrunswick explique la mauvaise qualité du français? a) Entièrement b) En partie c) Pas du tout 13. Complétez la phrase suivante. Enseigner en milieu minoritaire est a) plus facile qu’en milieu majoritaire. b) semblable à enseigner dans un milieu majoritaire. c) différent d’enseigner dans un milieu majoritaire. 14. Pour l’écrivaine, le français est une matière a) ennuyante. b) intéressante. c) intelligente. 15. Que veut dire l’écrivaine quand elle indique que « Une langue, ça s’entretient. »? a) Il faut payer pour que la langue soit meilleure. b) Il faut que tout un chacun ne laisse pas aller la langue. c) Il faut que les francophones aiment leur langue. 16. Selon le texte, y a-t-il des francophones unilingues au Nouveau-Brunswick? a) Oui. b) Non. c) Cela n’est pas mentionné dans le texte. 17. Qu’est-ce qui peut aider à la sauvegarde du français? a) La lecture. b) Les films. c) Les nouvelles technologies. 18. Lequel des énoncés suivants est faux? a) Le Québec est différent de l’Acadie. b) Les Québécois et les Acadiens sont apparentés. c) Les Québécois et les Acadiens vivent la même réalité. UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 8 UNIVERSITÉ D’OTTAWA - Faculté d’éducation Formation à l’enseignement – 145, rue Jean-Jacques-Lussier Pavillon Lamoureux (LMX) 19. Quel mot serait le meilleur synonyme pour prétentieuse dans « Au risque de paraître prétentieuse, je dirais que mon roman Pour sûr contribue à …»? a) vaniteuse b) précieuse c) rigoureuse 20. Qu’est-ce que l’écrivaine reproche aux étudiants de l’Université de Moncton? a) De ne pas accorder assez d’importance à la façon dont ils écrivent. b) De ne pas vouloir lire et écrire en français. c) De trop accorder d’importance à la littérature anglophone. III. Rédigez un texte argumentatif qui compte entre 360 et 400 mots Ø Écrivez votre texte à double interligne. Ø Respectez le temps alloué : 120 minutes Ø Respectez la longueur du texte demandée : o Un mot est une entrée dans le dictionnaire. Par exemple : l’école comptent pour 2 mots, c’est-à-dire compte pour 1 mot. o Les nombres en chiffres ne comptent pas. o Puisque le nombre de mots est limité, vous pouvez utiliser le masculin qui englobe à la fois le masculin et le féminin. Ø Comptez et inscrivez le total des mots à la fin de chaque paragraphe. Sujets : Vous vous adressez aux étudiantes et étudiants de l’Université d’Ottawa. Choisissez l’un des sujets suivants : 1. La province de l’Ontario devrait être déclarée officiellement bilingue. Qu’en pensezvous? 2. Les formations en ligne de niveaux collégial ou universitaire sont moins valables que les formations en salles de classe. Qu’en pensez-vous? UNIVERSITÉ D’OTTAWA Page 9