5/
a) Le nombre de cellules viables est calculé à partir de la souche non transformée, N=
(350+300)/2 x 10
4
x10= 3,25 x 10
7
UFC/ml. Nombre de transformants = 2.7 x 10
6
UFC/ml.
b) Efficacité de transformation est le nombre de transformants/ µg d’ADN.
C/C : L’ADN double brin est nécessaire à la transformation car c’est l’énergie de
dégradation de l’un des brins qui maintient l’état de compétence et le transport du brin non
dégradé vers le cytoplasme.Le plasmide linéaire a une efficacité de transformation très
faible ou nulle. Ceci est dû à la présence chez E. coli de l’exonuclése V qui dégrade
l’ADN ds linéaire. Pour inactiver l’exo, on peut travailler dansune souche recB recC.
6/
a) Marqueur de sélection : leu+, marqueur de contre-sélection : Streptomycine.
b) Le génotype des colonies roses sur MacKonkey est mal
+
, car les bactéries qui sont
capables de fermenter le maltose vont acidifier le milieu et provoquer une
précipitation des sels biliaires qui se trouvent dans le milieu. Les colonies blanches
n’ont pas pu fermenter le maltose (mal
-
).
Les colonies bleues sur X-gal, sont lac
+
, les blanches sont lac-.
c) ordre des gènes : leu, mal, pro, lac (faire les calcul en %).
7/
a) ration F-/Hfr : 4x10
8
/2x10
7
= 20. Si on inverse le ratio, on provoque une agrégation des
cellules et la lyse.
b) Streptomycine.
c) (leu, thr)
d) ordre : (leu, thr), ten, lac, gal,(mal,xyl).
8/
On introduit F’ Lac dans une souche E. coli Lac
-
. On effectue ensuite une culture à la
température permessive de 30°C dans un milieu minimum contenant le lactose comme source
de carbone. On fait un schift à haute température. F’Lac ne peut se répliquer de manière
autonome. Pour survivre, les bactéries doivent intégrer F’ le plus probable au niveau de la
région lac. Si la souche a une délétion au niveau de la région d’homologie, F’ s’intègre au
hasard (présence de séquence IS).
9/
a) moi=0.1 pour éviter que chaque bactérie ne soit infecter simultanément par deux
phages. Le trisodium citrate est un chélateur des ions Ca2+, nécessaires à l’adsorption
du phage sur la bactérie, on évite ainsi une réinfection des bactéries par les phages
libérés.
b) fréquence de cotransduction hupA
-
, mal
+
: 13/50 (0.26)
Fréquence de cotransduction hupA-, leu
+
: 23/50 (0.46).
c) L’ordre des gènes est hupA-leu-mal car la fréquence de cotransduction de mal est
inferieure à celle de leu donc mal est le plus distal des gènes. Si la fréquence est égale
ex : leu (0.46), mal (0.48), ça veut dire que le gène hupA est flanqué de part et d’autre
par leu et mal (mal-hupA-leu).
10/