les substances biologiques actives et à ses propriétés catalytiques intrinsèques. Ses propriétés
oxydoréductrices expliquent que les cupro-enzymes interviennent dans la chaîne respiratoire
(au niveau du cytochrome oxydase probablement).
Les aliments contiennent naturellement du cuivre en quantité suffisante aux besoins de l’être
humain.
L’eau potable peut contenir du cuivre; au dessus de 1,5 mg/l, certaines personnes
particulièrement sensibles peuvent constater un goût. A très faibles teneurs, les sels de cuivre
représentent une saveur désagréable très marquée rendant impossible l’ingestion involontaire
de quantités toxiques.
Si le cuivre joue un rôle bénéfique vis-à-vis des organismes supérieurs, son comportement est
totalement différent vis-à-vis des formes de vie inférieures; c’est le métal bactéricide le plus
actif: un gramme de cuivre peut détruire jusqu'à 5.000 grammes de dangereux micro-
organismes comme les colibacilles ou les staphylocoques dorés. L’emploi de matériaux
cuivreux dans les cliniques et dans tous les édifices publics améliorerait la prophylaxie des
infections».
Si les oligo-éléments par ingestion sont couramment utilisés et prescrits, il existe une certaine
réticence à comprendre leur action par ionisation.
Cependant les preuves sont là.
«C’est ainsi qu’au niveau chimique, le cuivre (et autres métaux d’ailleurs) est capable de
pénétrer dans l’organisme à travers la peau, à l’état ionique et d’agir alors comme un oligo-
élément que l’on aurait absorbé». (1)
«Il faut savoir que l’état ionique est un état sous lequel un atome est actif, peut se mouvoir,
s’associer à d’autres atomes ou molécules.» (2)
Pour saisir parfaitement «le jeu atomique» qui s’effectue à notre insu, intérieur et extérieur à
nous-mêmes, nous ne devons pas oublier que nous sommes constitués de milliards d’atomes
et que ceux-ci ont la particularité de vibrer, que tout dans l’univers vibre.
Comme l’écrit d’ailleurs le docteur J. Fontaine, «la vie, c’est l’équilibre dynamique des
cellules, l’harmonie des rayonnements multiples qui réagissent les uns sur les autres.»
Progressivement, il va nous être plus facile de comprendre l’action du bracelet de cuivre sur
les douleurs mais surtout le soulagement, la régression et l’arrêt du processus évolutif de
l’arthrose par exemple par l’utilisation du drap de cuivre de J.P.Creusot. Ceci dans nombre de
cas. Pour encore mieux appuyer cette thèse, nous devons faire appel, non plus à ce qui nous
est imposé, mais bien à notre jugement. Ce dernier peut être étayé par une réflexion
consultative éventuellement. Cependant, nous devons faire en sorte qu’intuitivement nous
soyons assurés du bien-fondé de son emploi. C’est ainsi que nous amplifierons et activerons
les effets par notre pensée. Ce qui est très important.
Nous ne le dirons jamais assez, combien la pensée peut modifier le cours de notre vie et des
difficultés que nous rencontrons.
Présentement, ce modeste livret a pour but de nous aider à saisir comment le cuivre opère sur
nous et ce que nous pouvons attendre de ses effets sur un état rhumatismal. Nous savons bien
que les souffrances nous entraînent vers des blocages, des réductions de notre vitalité.
Nous devons nous rendre à l’évidence, au nom de notre demande impérative de soulagement,
nous acceptons d’absorber sans réfléchir n’importe quel médicament analgésique éliminant
momentanément la douleur. La médecine, les laboratoires sont là pour répondre à nos besoins.
Seulement, ils ont leurs limites: celles de soigner les effets et non les causes.
Cessons de croire que la médecine, la science peuvent miraculeusement résoudre tous les
problèmes dus trop souvent à notre ignorance, voire même à un certain laxisme. Il faut se
rendre à l’évidence; au fur et à mesure que certaines difficultés s’aplanissent, d’autres sont
soulevées. Néanmoins, les connaissances s’appuient sur des expériences
multidimensionnelles, portant en elles, quelquefois, un aspect empirique. Celui-ci à la lumière