LE BIEN-ÊTRE
GRÂCE AU
CUIVRE TISSÉ
L’équilibre de l’homme
«Science sans conscience n’est que ruine de l’âme»
La sentence de Rabelais s’applique-t-elle inexorablement à la science d’aujourd’hui? Non!
Doucement mais sûrement, un mouvement contraire s’amorce et ouvre le monde à une
nouvelle conscience.
Certes il n’est pas question de rejeter systématiquement, aveuglément le progrès scientifique
ou médical mais seulement de le reconsidérer objectivement.
C’est ce que nous voulons faire ici en renouant avec des éléments, tel le cuivre.
En effet, si notre monde bascule dans les extrêmes, il nous faut, pour demeurer équilibrés,
saisir l’essentiel, s’y maintenir sans chercher à s’appuyer sur les grandes théories ou les
grandes expérimentations qui n’ont pas encore fait découvrir toutes leurs conséquences.
L’information de nos jours devant être soumise à une appréciation correctrice: la nôtre.
C’est en partent de nous même, de ce que nous ressentons, qu’il va nous falloir aborder nos
réactions.
La personne la plus importante quand il s’agit de la santé: c’est nous, individu unique au
métabolisme unique.
C’est la raison pour laquelle nous allons présentement faire un détour sur ce qui a été
découvert ou réactualisé concernant ce métal. Celui-ci est indispensable à notre organisme.
En retrouvant ses caractéristiques, nous allons pouvoir mieux comprendre ses possibilités
préventives vis-à-vis des maladies dégénératives tels rhumatisme, arthrose, douleurs
articulaires etc…
Qu’est-ce que le cuivre?
Quels sont ses rôles?
Nous apprenons par l’Encyclopediae Universalis que le cuivre existe comme l’or et l’argent à
l’état natif. Il est l’un des métaux les plus anciennement connus. Des objets de cuivre datant
du neuvième millénaire avant J.C. ont été mis au jour en Irak et on peut parler d’un âge du
cuivre antérieur à celui du bronze.
Puis, en se référant au livre sur les métaux (Editions Dangles) Georges Faure nous fait
découvrir certaines approches en ce qui concerne le cuivre.
Le cuivre est un métal de couleur rouge-brun donnant un cation monovalent Cu* et un cation
bivalent Cu**.
Cuivre et fer sont des métaux complémentaires qui se trouvent souvent associés dans
l’organisme, la présence de l’un étant indispensable à l’action de l’autre. Par exemple, dans le
sérum sanguin, la concentration du cuivre représente 4 % de celle du fer, mais le métabolisme
du fer de l’hémoglobine ne peut se faire sans lui.
Chez les anémiques, la concentration en cuivre augmente en même temps que celle en fer
diminue, ce qui proviendrait d’une déficience de fonctionnement du foie qui stocke le cuivre.
Le cuivre se trouve dans tous les tissus et c’est un oligo-élément essentiel.
De plus l’Encyclopediae Universalis nous précise qu’il est le coenzyme de nombreuses
métalloprotéines comme l’acide ascorbique oxydase et la tyrosinase. Mais son rôle principal
est la stimulation de la synthèse de l’hémoglobine.
Ce rôle biologique du cuivre est probablement dû à la solidité des chélates qu’il forme avec
les substances biologiques actives et à ses propriétés catalytiques intrinsèques. Ses propriétés
oxydoréductrices expliquent que les cupro-enzymes interviennent dans la chaîne respiratoire
(au niveau du cytochrome oxydase probablement).
Les aliments contiennent naturellement du cuivre en quantité suffisante aux besoins de l’être
humain.
L’eau potable peut contenir du cuivre; au dessus de 1,5 mg/l, certaines personnes
particulièrement sensibles peuvent constater un goût. A très faibles teneurs, les sels de cuivre
représentent une saveur désagréable très marquée rendant impossible l’ingestion involontaire
de quantités toxiques.
Si le cuivre joue un rôle bénéfique vis-à-vis des organismes supérieurs, son comportement est
totalement différent vis-à-vis des formes de vie inférieures; c’est le métal bactéricide le plus
actif: un gramme de cuivre peut détruire jusqu'à 5.000 grammes de dangereux micro-
organismes comme les colibacilles ou les staphylocoques dorés. L’emploi de matériaux
cuivreux dans les cliniques et dans tous les édifices publics améliorerait la prophylaxie des
infections».
Si les oligo-éléments par ingestion sont couramment utilisés et prescrits, il existe une certaine
réticence à comprendre leur action par ionisation.
Cependant les preuves sont là.
«C’est ainsi qu’au niveau chimique, le cuivre (et autres métaux d’ailleurs) est capable de
pénétrer dans l’organisme à travers la peau, à l’état ionique et d’agir alors comme un oligo-
élément que l’on aurait absorbé». (1)
«Il faut savoir que l’état ionique est un état sous lequel un atome est actif, peut se mouvoir,
s’associer à d’autres atomes ou molécules.» (2)
Pour saisir parfaitement «le jeu atomique» qui s’effectue à notre insu, intérieur et extérieur à
nous-mêmes, nous ne devons pas oublier que nous sommes constitués de milliards d’atomes
et que ceux-ci ont la particularité de vibrer, que tout dans l’univers vibre.
Comme l’écrit d’ailleurs le docteur J. Fontaine, «la vie, c’est l’équilibre dynamique des
cellules, l’harmonie des rayonnements multiples qui réagissent les uns sur les autres.»
Progressivement, il va nous être plus facile de comprendre l’action du bracelet de cuivre sur
les douleurs mais surtout le soulagement, la régression et l’arrêt du processus évolutif de
l’arthrose par exemple par l’utilisation du drap de cuivre de J.P.Creusot. Ceci dans nombre de
cas. Pour encore mieux appuyer cette thèse, nous devons faire appel, non plus à ce qui nous
est imposé, mais bien à notre jugement. Ce dernier peut être étayé par une réflexion
consultative éventuellement. Cependant, nous devons faire en sorte qu’intuitivement nous
soyons assurés du bien-fondé de son emploi. C’est ainsi que nous amplifierons et activerons
les effets par notre pensée. Ce qui est très important.
Nous ne le dirons jamais assez, combien la pensée peut modifier le cours de notre vie et des
difficultés que nous rencontrons.
Présentement, ce modeste livret a pour but de nous aider à saisir comment le cuivre opère sur
nous et ce que nous pouvons attendre de ses effets sur un état rhumatismal. Nous savons bien
que les souffrances nous entraînent vers des blocages, des réductions de notre vitalité.
Nous devons nous rendre à l’évidence, au nom de notre demande impérative de soulagement,
nous acceptons d’absorber sans réfléchir n’importe quel médicament analgésique éliminant
momentanément la douleur. La médecine, les laboratoires sont là pour répondre à nos besoins.
Seulement, ils ont leurs limites: celles de soigner les effets et non les causes.
Cessons de croire que la médecine, la science peuvent miraculeusement résoudre tous les
problèmes dus trop souvent à notre ignorance, voire même à un certain laxisme. Il faut se
rendre à l’évidence; au fur et à mesure que certaines difficultés s’aplanissent, d’autres sont
soulevées. Néanmoins, les connaissances s’appuient sur des expériences
multidimensionnelles, portant en elles, quelquefois, un aspect empirique. Celui-ci à la lumière
d’une approche actualisée, peut s’éclairer d’un jour nouveau et donner une toute autre valeur à
celles originelles.
N’est-ce pas ce qui se passe présentement pour les métaux et plus spécialement le cuivre?
«Pourtant, c’est par la découverte des oligo-éléments, ces métaux qui n’existent qu’à l’échelle
des traces (nous dit Georges Faure) que nous allons pouvoir revoir les possibilités des métaux.
Effectivement, l’oligothérapie a bouleversé et révolutionné toutes les conceptions antérieures
sur la notion de quantité. C’est
le règne des énergies subtiles de la nature, dans laquelle les métaux ont une large place.
Passé et avenir du cuivre:
Historique
Toujours dans son ouvrage, Georges Faure nous apprend que «6.000 ans avant J.C., les
prêtres chaldéens faisaient porter aux malades des plaques métalliques dont le choix n’était
pas laissé au hasard mais dépendait principalement de la relation présumée entre l’organe
malade et les planètes ainsi que du signe du zodiaque du malade.
Dans de nombreux pays, les métaux étaient utilisés sous diverses formes (petits miroirs,
colliers, bracelets …) pour protéger des maladies, éloigner les mauvaises influences.
Certaines de ces croyances ont traversé les siècles et sont toujours transmises par voie orale de
génération en génération.
Parmi les Anciens, Aristote, Galien, Paul d’Egine, Hippocrate, Avicenne attribuaient aux
métaux des propriétés particulières dans le traitement des affections les plus diverses. Mais
c’est à Paracelse que l’on peut attribuer la paternité de la métallothérapie au début du XVI
ème siècle.»
Mais abordons ensemble maintenant des expériences plus contemporaines pour aller vers une
plus grande compréhension de leurs utilisations vis-à-vis de la santé.
«Qu’est ce qu’un circuit oscillant?
Lorsque deux corps ont la même vibration, ils peuvent entrer en résonance, c’est-à-dire que
toute manifestation de l’un pourra être ressentie par l’autre, même à très grande distance.
C’est ainsi que lorsque vous réglez un poste récepteur de radio sur la fréquence d’un émetteur,
vous recevrez les émissions de cet émetteur et uniquement celles-ci.
Et comme nous dit si justement Georges Lakhovsky, ingénieur et chercheur «la vie est née de
vibrations, entretenue par des vibrations, et disparaît en cas de déséquilibre oscillatoire.
Un circuit oscillant est, en électronique, l’association d’un enroulement de fils conducteurs
(généralement de cuivre) que l’on appelle une self avec un condensateur électrique
(composant électronique constitué par deux surfaces conductrices qui sont isolées l’une par
rapport à l’autre).
La cellule vivante est un petit oscillateur et résonateur électrique… La cellule vivante peut
alors jouer le rôle d’un émetteur récepteur d’ondes radio électriques. La vibration du circuit
oscillant est entretenue par l’énergie rayonnante des ondes électromagnétiques, telluriques et
surtout cosmiques.
La particularité d’un circuit oscillant est sa fréquence de résonance qui dépend des valeurs des
deux composants électroniques. Lorsque vous tournez le bouton de recherche de stations de
votre poste récepteur, vous modifiez les valeurs d’un circuit oscillant, donc la fréquence de
réception.
Si l’on observe un bracelet de cuivre, on s’aperçoit que celui-ci peut être comparé à un circuit
oscillant: le bracelet par lui-même, c’est la self, ne comportant qu’une seule spire, et les deux
extrémités du bracelet isolées l’une de l’autre par l’air qui les sépare, c’est le condensateur.
Donc, ce bracelet sera capable, de par sa forme, de se comporter comme un récepteur.
La cellule émetteur-récepteur
Georges Lakhovsky compara certains éléments de la cellule à des circuits, en particulier les
chromosomes. Il pensait alors que chacun de ces mini récepteurs radio biologiques pouvait
recevoir des émetteurs cosmiques des messages radio essentiels à la vie.
Expérience du pélargonium
Georges Lakhovsky pensait qu’une cellule malade est une cellule ne recevant pas assez
d’énergie et qu’il était donc possible de la guérir en augmentant sa réceptivité. Afin de vérifier
ses théories, il démarra dans les laboratoires de l’hôpital de la Salpetrière.
Une série de géraniums inoculés avec le bacterium tumefaciens est disposée dans des pots
séparés. Au bout d’un mois une tumeur s’est développée sur chaque tige.
Une spire circulaire en cuivre de 2,2 mm2 de section et d’un diamètre de 30 cm est alors
disposée autour d’une tige, tenue par un bâton d’ébonite (isolant électrique).
Au bout de quinze jours, tous les géraniums inoculés étaient morts à l’exception de ceux ayant
la spire de cuivre, dont la tumeur avait disparu et qui, deux ans après, avait une taille double
de celle des géraniums non inoculés du même age.
A la suite de cette expérience, Georges Lakhovsky pensa que le même résultat pouvait être
obtenu sur les humains. Il réalisa des bracelets et des colliers répondant aux normes qu’il avait
définies, c'est-à-dire correspondant à un circuit ouvert». (3)
En récapitulant ces deux expériences: bracelet et plantes, il est possible de dégager l’incidence
du cuivre en tant que pièce expérimentale par le bracelet: émetteur-récepteur et guérison.
Avant de vous faire découvrir le drap de cuivre, il est nécessaire de vous faire connaître le
Docteur Jean-Pierre Maschi. En effet, d’une découverte à une autre, d’une expérience à une
autre, nous approchons du phénomène qui permit à Jean Paul Creusot de comprendre et
déduire ce qui allait lui donner l’impulsion pour créer taie et drap tissés en fil de cuivre.
«Parmi les propriétés que l’on prête aux bracelets, il nous reste à analyser celle du régulateur
des charges électriques du corps.
Qu’en est-il exactement?
Nous savons que chacune des cellules qui composent notre corps est le siège de phénomènes
électriques où les ions métalliques jouent un rôle important. Depuis fort longtemps, nous
savons mesurer ces micros courants électriques et les différences de potentiels de part et
d’autre de la membrane cellulaire.
Un médecin niçois, le Docteur Jean-Pierre Maschi, prit conscience dès 1964 d’une importante
pollution menaçant notre civilisation: la pollution électrique.
La théorie du Docteur Jean-Pierre Maschi est en fait très simple et évidente (lorsque un autre
l’a énoncée): l’homme est une immense machine électrique ou plus exactement un complexe
de milliards de machines électriques. Comme toute machine électrique, nos cellules sont
conçues pour fonctionner sous une certaine tension et ne peuvent supporter de grandes
différences de potentiel.» (5)
Là, nous sommes au cœur du problème de la disparité qui existe dans chaque individu vis-à-
vis de ses émissions et ses réceptions électriques dans l’environnement. La sensibilité de
chacun est liée à ce dernier. «Hélas, comme nous le dit le Docteur Maschi, notre civilisation
ne se préoccupe pas de certaines considérations. Tout contribue - et de nombreux savants sont
unanimes à le dire- à nous électrocuter lentement.
Le résultat? Des maladies «de civilisation» dues à cette électrocution lente: douleurs
articulaires, maux de tête, sclérose en plaques.
Si le Docteur Maschi, grâce à cette découverte, fut appelé le «Docteur Miracle», il fut
néanmoins radié de l’ordre des médecins.
C’était en 1968. Enfin! en 1990 le Président de la République, François Mitterrand, le
réhabilita».
Combien d’injustices font et défont l’histoire de la science, l’histoire de la médecine?
Hélas! si nous profitons de leurs réussites, nous subissons également leurs erreurs. Mais le
nombre des victimes reste inconnu.
L’être humain se dévoile
Homme qui est-tu?
Nous venons avec chercheurs et médecins d’explorer une dimension.
Nous allons maintenant en franchir une seconde: celle qui va nous faire nous «voir» avec un
microscope. C’est ainsi que nous pourrons enfin comprendre le phénomène que nous sommes
et, par contrecoup, saisir les raisons de nos déficiences.
En réalité, c’est bien en faisant ce trajet vers l’infiniment petit que nous pourrons mieux
percevoir l’être humain et sa constitution. Alors à ce moment-là, nous deviendrons «aptes» à
faire surgir de notre zone inconsciente, la lucidité sur les conséquences de nos excès. C’est
alors que nous saurons progressivement amener à notre conscience, nos responsabilités: soit
les causes et les effets de nos faiblesses.
Car enfin! N’avons-nous pas une tendance bien naturelle à oublier notre structure atomique?
Et pourtant, c’est en faisant un détour par l’atome que nous pourrons nous ouvrir à la
compréhension du monde infiniment petit et aux réactions chimico-physiques que nous
subissons.
Il nous dit que la structure de l’atome semblerait constituée d’un noyau et d’un cortège
d’électrons planétaires qui se meuvent autour. Dans ce noyau, il y a un certain nombre de
protons et de neutrons.
La matière dont nous faisons partie est constituée de trois particules stables qui s’appellent
électron, proton et neutron.
Les corps simples que nous connaissons possèdent un nombre d’électrons qui définit leur
nature. Ils peuvent s’associer et faire naître des corps composés.
C’est donc par le départ d’électrons quittant leur orbite que l’action de l’ionisation de la
matière qu’est le cuivre, dans le cas qui nous intéresse, pourra être interprétée. Déjà, il nous
faut savoir que la vie s’articule grâce à trois éléments de base: ion négatif, ion positif et
électron libre.
Comme l’écrit le Docteur Valnet «Tous les phénomènes physico-chimiques s’accompagnent
de transferts d’électrons. L’équilibre biologique est un phénomène de nature électrique. Dans
l’oxydation, la charge positive d’un ion augmente, c’est-à-dire que sa charge négative
diminue.
La nature humaine est soumise à des rythmes biologiques inéluctables, cadence de pouls,
fréquence respiratoire, rythmes menstruels,… réglant notre équilibre. Ces cadences sont de
nature vibratoire. Tous les chocs physiques ou psychiques engendrent des charges positives.
Le système nerveux a pour rôle d’adapter l’organisme à ces chocs… tant que l’agression ne
dépasse pas un certain seuil pour un individu donné.» (5)
Nous ne devons pas perdre de vue que nous sommes traversés en permanence –dussions nous
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