GSK investit dans tous les domaines
thérapeutiques, à tous les niveaux de
la recherche, même les plus risqués :
stades précoces, nouveaux domaines,
maladies tropicales négligées, maladies
rares pour lesquelles il n’existe pas de
traitements disponibles.
Maladies rares et Pays en développement :
des axes de recherche importants
• Création en 2010 d’une unité dédiée à la
recherche sur les maladies rares, incluant la
génétique et des thérapies de pointe.
• Des recherches sur 200 maladies rares dans
quatre grands domaines thérapeutiques :
- Système nerveux central et troubles
musculaires ;
- Immuno-inflammation ;
- Tumeurs malignes et hématologie ;
- Troubles du métabolisme ;
• 3 médicaments en phase de développement
clinique.
• Création d’un “open lab” à Madrid, incubateur
de l’innovation scientifique pour les maladies
négligées des pays en développement, avec
une mise de fonds initiale de 8 millions de dollars
pour financer de nouvelles recherches :
- 13 500 composés pharmaceutiques
antipaludéens librement mis à
disposition à des fins de recherche ;
- De nouvelles collaborations pour
partager la propriété intellectuelle
concernant les maladies négligées des
pays en développement ;
• Une politique de prix adaptée pour favoriser
l’accès au traitement pour tous et partout dans
le monde.
Par ailleurs, GSK poursuit les études sur
ses médicaments bien après leur mise
sur le marché, en investissant notam-
ment de façon importante en pharmaco-
épidémiologie.
TOUS LES NIVEAUX DE
LA RECHERCHE EXPLORÉS
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