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L’annonce d’un diagnostic de maladie grave est un moment à haut risque de désorganisation qui
engendre un contexte de crise majeure et constitue, en soi, un événement de vie à fort potentiel
traumatique, générant de la souffrance. Accompagner, c'est ouvrir un espace de parole et être
présent afin que la communication ne se fige pas sur des positions défensives exacerbées. Sans cet
indispensable soin psychique, dès l’annonce du diagnostic, le malade risque d’être enfermé dans un non
dit mortifère.
Accompagner, pour les soignants, c'est entendre la souffrance dans tout ce qu’elle a de plus singulier,
de plus subjectif afin d’aménager une prise en charge globale incluant la dimension du soin psychique.
Comment entendre la dynamique du désespoir sous jacente à l’effraction traumatique ? Comment
comprendre les aménagements défensifs ? Comment contenir l’angoisse de mort et se situer entre
espoir et désespoir ? H. Brocq
Groupe 2 A
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Lors de douleurs chroniques, l’anamnèse met en évidence de nombreux facteurs, notamment des
éléments de la petite enfance, des évènements de vie traumatiques, des psychopathologies sous
jacentes, des conflits au niveau social, familial ou du couple… Que rechercher et comment évaluer les
différents facteurs de co-morbidité ? Quels impacts auront-ils sur la prise en charge, nécessité
d’abords spécifiques, aggravation du pronostic…
Les patients dont le bilan psychologique a été insuffisant sont souvent en échec thérapeutique,
comment sortir de l’impasse et relancer une dynamique de soins tenant compte des différents facteurs
étiologiques et des défenses du patient afin qu’il puisse accéder à la compréhension du rôle du
symptôme et s’investir activement dans la thérapie. Comment penser une consultation faisant sa place
à la dimension narrative ? M. Derzelle, M. Dousse, E. Ferragut
Groupe 3 A
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Apprendre la nécessité d’une intervention génère de fortes angoisses d’autant plus si cela intervient
immédiatement après l’annonce d’un diagnostic inquiétant. La perspective d’être anesthésié, nu sur
une table opératoire, d’avoir le corps ouvert, d’être en réanimation engendre de nombreux fantasmes
qui majorent le mal-être. Il est fondamental d’informer le sujet sur ce qu’il doit savoir et ce, tout en le
rassurant car l’on sait que trop d’anxiété augmente le risque de complications post-opératoires.
Comment préparer au mieux le patient avant une intervention difficile (amputation, greffe, dégâts
fonctionnels ou esthétiques) et repérer les sujets fragiles afin de mettre en place une prise en charge
préventive permettant d’améliorer la qualité des soins ainsi que le vécu des personnes ?
J. Dufour, E. Ferragut, M. Tarral