DIMANCHE 25 NOVEMBRE
16 h
« Y a-t-il juste moi qui a chaud ici? »
Dre Danièle Rousseau, gynécologue, affi liée à Opmedic
Laval, Procrea Cliniques, Hôpital Maisonneuve-
Rosemont (clinique de colposcopie)
Nommer les symptômes les plus fréquents de la
périménopause ;
Entreprendre un traitement approprié pour les femmes
symptomatiques (hormones bio-identiques, nouveautés
en ménopause) ;
Proposer des traitements de rechange à l’hormonothérapie
(produits naturels, médicaments d’ordonnance) ;
Arrêter le traitement hormonal en temps opportun.
17 h / Pause
17 h 10
Les médicaments en vente libre (MVL)
et quelques produits de santé naturels (PSN)
Alain Jalbert, pharmacien-chef,
Centre de santé Inuulitsivik, Puvirnituq, Nunavik
Connaître sommairement les lois fédérales et
provinciales qui régissent les MVL et les PSN ;
Connaître l’approche du pharmacien communautaire
visité en première ligne pour un MVL/PSN ;
Connaître certaines particularités qui touchent des MVL
communs, certains PSN demandés fréquemment.
18 h 10 / Pause
18 h 20
« Histoire d’un cœur brisé…! »
Dr Jacques Bédard, interniste, Sherbrooke
Préciser l’évolution naturelle de la dysfonction
systolique avec ses conséquences sur le traitement ;
Utiliser de façon optimale les modalités de traitement
non pharmacologique de la dysfonction systolique ;
Maîtriser l’initiation et la titration des outils
pharmacologiques de première ligne dans le
traitement de la dysfonction systolique : BB et IECA ;
Balancer l’utilisation judicieuse des diurétiques et
intégrer les concepts de l’utilisation des nouveaux
(Eplerenone)
Intégrer les concepts de l’approche non pharma-
cologique et pharmacologique dans la planifi cation
de la prise en charge globale d’un patient avec
dysfonction systolique.
LUNDI 26 NOVEMBRE
16 h
Les traumatismes du membre supérieur
chez l’enfant
Dr Serge Gouin, médecine d’urgence pédiatrique,
CHU Ste-Justine
Avoir une meilleure approche diagnostique pour les
traumatismes du membre supérieur chez l’enfant ;
Avoir une meilleure approche thérapeutique dans le
traitement de ces traumatismes ;
Être en mesure de mieux contrôler la douleur selon
l’évidence basée sur les faits.
17 h / Pause
17 h 10
Problèmes communs et moins communs
des nouveaux-nés
Dre Isabelle Leblanc, omnipraticienne, Centre hospitalier
de St. Mary
Différencier les variantes de la normale et les
pathologies dans l’examen cardio-respiratoire du
nouveau-né ;
Reconnaître les affections cutanées les plus
courantes du nouveau-né ;
Reconnaître les éléments de l’examen physique du
nouveau-né qui requièrent une intervention
immédiate.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Adolescence et santé mentale
Dr Yves Lambert, omnipraticien, professeur adjoint
de clinique, département de médecine familiale,
Université de Montréal
Appliquer un algorithme pour les guider dans le
diagnostic différentiel de « l’adolescent qui dérange »
qu’on leur aura amené en consultation ;
Poser un diagnostic de dépression à l’adolescence en
tenant compte des modes de présentations
particuliers de cette clientèle et des caractéristiques
différentielles de leur symptomatologie ;
Appliquer les meilleures connaissances pharma-
cologiques dans le traitement de première ligne de la
dépression à l’adolescence, en particulier quant aux
choix, aux dosages et au suivi de la prescription
médicamenteuse ;
Poser les bonnes questions dans l’évaluation du risque
suicidaire à l’adolescence.
(Comité organisateur)
DE
2 012
ÉDITION
24 novembre au
1er décembre 2012
Hôtel Barcelo Maya Colonial
Riviera Maya Mexique
Congrès annuel
FAMILIALE
MÉDECINE
en collaboration avec les docteurs
Geneviève Auclair, omnipraticienne
Judy Morris, urgentologue
Jean-Claude Richer, omnipraticien
(Comité scientifique)
MARDI 27 NOVEMBRE
16 h
L’ABC de l’IRC
Dre Geneviève Gonthier, interniste,
CSSS Alphonse-Desjardins, Centre hospitalier af lié
universitaire de Lévis
Défi nir l’insuffi sance rénale chronique ;
Connaître les étiologies de la maladie rénale
chronique ;
Identifier les populations à risque chez qui un
dépistage doit être effectué ;
Élaborer un plan d’investigation initial ;
Savoir quand référer le patient vers un spécialiste ;
Connaître les interventions reconnues pour ralentir la
progression de la maladie rénale chronique ;
Discuter des principales complications métaboliques
de l’insuffi sance rénale chronique et leur prise en
charge initiale.
17 h / Pause
17 h 10
La consultation pré-voyage pour le voyageur
pressé
Dre Marie-Hélène Boudreau, omnipraticienne, Québec
et Dr Daniel St-Arnaud, médecine d’urgence, Hôtel-
Dieu de Lévis
La vaccination ;
La diarrhée du voyageur ;
La prévention du paludisme ;
L’altitude.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Survivre à la garde!
Dr Stéphane P. Ahern et Dr François Marquis, internistes-
intensivistes, Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Comprendre et prendre en charge le patient avec un
compromis hémodynamique ;
Comprendre et prendre en charge le patient avec
une insuffi sance respiratoire ;
Évaluer le patient agité et faire le diagnostic
différentiel prompt en optimisant la prise en charge
sécuritaire ;
Évaluer le patient fébrile et établir un plan
thérapeutique adapté en fonction de son milieu de
pratique.
MERCREDI 28 NOVEMBRE
16 h
Le traitement optimal de la douleur aiguë
à l’urgence
Dr Raoul Daoust, département médecine d’urgence,
clinicien chercheur, Hôpital du Sacré-Cœur de
Montréal, professeur agrégé de clinique, Université
de Montréal
Connaître les composantes d’un soulagement
effi cace ;
Connaître les avantages et désavantages des
principaux analgésiques ;
Prescrire de façon optimale les analgésiques pour
soulager la douleur aiguë.
17 h / Pause
17 h 10
Les infections à l’ère des bactéries résistantes
Dr Christian Lavallée, microbiologiste-infectiologue,
Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Comprendre les principes généraux de la résistance
aux antibiotiques ;
Savoir quand suspecter une infection causée par une
bactérie résistante ;
Savoir comment traiter les infections courantes en
cette ère de résistance ;
Savoir comment prévenir l’émergence de résistance
en pratique courante.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Prise en charge du patient intoxiqué en milieu
hospitalier : du diagnostic au traitement des
intoxications les plus fréquentes
Dr Éric Piette, spécialiste en médecine d’urgence,
Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, Université de
Montréal
Reconnaître le patient intoxiqué ;
L’examen clinique du patient intoxiqué de même que
les différents toxidromes ;
L’évaluation paraclinique du patient intoxiqué
(le fameux bilan d’intox) ;
Le diagnostic et le traitement des intoxications les
plus communes.
Le diagnostic et le traitement des intoxications les
plus communes.
Le diagnostic et le traitement des intoxications les
JEUDI 29 NOVEMBRE
16 h
Urgences ORL : de la panique à la pratique
Dre Nathalie Audet, professeure clinique,
département ORL, Université Laval
Identifi er et traiter le site d’une épistaxis ;
Reconnaître et stabiliser une épiglottite ;
Orienter vers un traitement chirurgical un patient
nécessitant une réduction de fracture du nez ;
Reconnaître et instaurer le traitement d’une paralysie
de Bell ;
Reconnaître et instaurer le traitement d’une surdité
subite.
17 h / Pause
17 h 10
La face cachée du Plan Nord :
La santé des autochtones
Dre Geneviève Auclair, médecin-chef, omnipraticienne,
Centre de santé Inuulitsivik, Puvirnituq, Nunavik,
tuteur clinique, Université McGill
Nommer les déterminants de la santé chez les peuples
autochtones (Premières Nations, Métis et Inuit) ;
Identifi er les facteurs de risque pour la tuberculose ;
Utiliser et interpréter le test cutané tuberculinique de
façon judicieuse ;
Diagnostiquer et traiter l’infection latente de la
tuberculose ;
Diagnostiquer et initier le traitement de la tubercu-
lose pulmonaire active.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Initier un changement de comportement
en 3 minutes : «Brisez les barrières»
Dr Jacques Bédard, interniste, Sherbrooke
Objectifs : CanMEDS / Les professionnels de la santé qui
participent activement à ce programme font valoir qu’ils
sont davantage en mesure :
D’évaluer rapidement le degré de motivation au
changement (Érudits) ;
D’entreprendre une collaboration effi cace avec leurs
patients en vue de soutenir des changements de
comportement positifs (Collaborateurs) ;
D’aider les patients à accroître leur motivation et à
surmonter les barrières au changement en utilisant le
modèle « conviction confiance » qui favorise la
transition d’un stage à l’autre (Promoteurs de la santé) ;
Apprivoiser une nouvelle technique de communication
« interview motivationnel » (antithèse de l’approche
directive traditionnelle) (Communicateurs) ;
D’utiliser ces stratégies pratiques et effi caces, dans le
cadre d’entrevues de courte durée (3 minutes)
(Gestionnaires).
La Direction du Développement professionnel continu (DPC) de la faculté de médecine de l’Université de
Montréal est pleinement agréée par le Comité d’agrément de l’éducation médicale continue (CAÉMC) et par
le Collège des médecins du Québec (CMQ).
La Direction du DPC reconnaît, à la présente activité, 15 heures créditées de catégorie 1 pour les médecins
omnipraticiens (médecin de famille) présents. Pour les médecins spécialistes membres du Collège Royal
des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC), la Direction du DPC reconnaît 1 crédit de la section 1 par
heure de participation pour un total de 15 crédits pour l’activité globale conformément au programme du
maintien du certifi cat du CRMCC.
Pour tout autre professionnel participant, ce programme donne une attestation de participation de 15 heures.
Les participants doivent réclamer un nombre d’heures conforme à leur participation.
1 / 2 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !