Description :
• La Tortue luth est la plus grosse tortue vivante.
• On la nomme aussi Tortue-cuir parce que sa carapace,
formée de centaines de plaques osseuses irrégulières, est
recouverte d’une peau tannée et caoutchouteuse qui lui
donne l’aspect du cuir
• Elle peut atteindre une longueur de 2 m du nez à la
queue.
• Elle pèse jusqu’à 600 kg.
• Il s’agit d’une espèce migratoire.
• Les individus nidifient sur les plages tropicales et
subtropicales (p. ex. la Floride et Puerto Rico).
• Une fois
Habitat :
• Il s’agit d’une espèce migratoire.
• Les individus nidifient sur les plages tropicales et
subtropicales (p. ex. la Floride et Puerto Rico).
• Une fois la reproduction terminée, ils se dispersent
dans les eaux tempérées à la recherche de nourriture,
de juin à octobre.
• Sur la côte Est de l’Amérique du Nord, on les a aperçus
au nord jusqu’à la baie de Fundy, la côte atlantique de
la Nouvelle-Écosse, le détroit de Northumberland du
Nouveau-Brunswick et la côte Est de Terre-Neuve.
• Au N.-B., les pêcheurs les rencontrent parfois au large.
• On les retrouve presque partout sur le globe, de lAlaska au
nord, jusqu’à Cape of Good Hope (en Afrique).
Biologie :
• Les individus nidifient de novembre à avril.
• Chacun peut nicher de 4 à 10 fois par saison.
• La femelle peut pondre de 50 à 70 œufs la période
d’incubation est de 53 à 74 jours.
• La Tortue luth se nourrit principalement de méduses.
• Parmi ses prédateursà, on compte les requins et les
épaulards.
• Elles migre entre les eaux tempérées et les eaux
tropicales.
Menaces :
• Perturbations sur les plages elle nidifie
• Plages de nidification cédées à l’aménagement
commercial
• Les humains qui ramassent les oeufs
• Enchevêtrements accidentels dans les attirails de pêche
• La pollution des berges et des océans
• L’ingestion de plastiques et autres déchets
Efforts de rétablissement :
• Les Tortues luth sont sous la protection de la
Convention sur le commerce international des espèces
de faune et de flore sauvages menacées d’extinction
(CITES). ______Il est contre la loi de faire le
commerce des Tortues luth ou d’en importer.
• Elles sont protégées par les lois de plusieurs pays.
• Plusieurs sites de nidification sont protégés localement
par les lois sur la conservation des pays elles
nichent.
• Au Canada, elles sont sous la surveillance constante de
Pêches et Océans (le ministère du gouvernement
fédéral canadien).
• On s’efforce de renseigner la population des
collectivités côtières au sujet de la Tortue luth.
Que peut-on faire pour protéger la Tortue luth?
• Ne pas jeter de plastiques ou de déchets sur les plages
et dans les eaux côtières ; appuyer les travaux de
nettoyage des plages.
• Appuyer les programmes de remise en liberté des
espèces marines enchevêtrées.
Espèces semblables ou apparentées :
• Les tortues marines : la Tortue caouanne et la Tortue
bâtarde
Tortue luth de l’Atlantique
Renseignements sur la Tortue luth de l’Atlantique
Répartition de
l’espèce au N.-B.
Dermochelys coriacea
Situation actuelle au N.-B. En voie de disparition
Situation actuelle selon le COSEPAC (2001) En voie de disparition
Groupe d’ espèces Reptile
Photo : Groupe de travail sur la Tortue luth de l’Atlantique de la N.-É.
Description :
• Le Pygargue à tête blanche est un gros oiseau de proie
dont les ailes atteignent souvent les 2 m d’envergure.
• Le Pygargue adulte a la tête, le cou et la queue
recouverts de plumes blanches.
• Le Pygargue immature est d’un brun foncé uniforme
jusqu’à sa deuxième année de vie, les plumes blanches
commencent alors à pousser.
• Après quatre ou cinq ans, il est entièrement recouvert
de son plumage adulte.
• Ils a le bec et les pattes jaunes et de puissantes serres.
Habitat :
• Le Pygargues à tête blanche vit et se reproduit presque
partout au Canada et aux États-Unis.
• Il nidifie près des eaux libres (lacs, rivières, baies et
littoral marin).
• Les nids sont très grands (jusqu’à 2 m de large), garnis
d’herbe et généralement construits de bouts de
branches au sommet de gros arbres anciens.
• Les nids peuvent servir plusieurs années avant d’être
abandonnés.
• Au N.-B., la plus grande concentration de nids se situe
dans la partie sud-ouest de la province et en aval du
fleuve Saint-Jean.
• En hiver, beaucoup de Pygargues à tête blanches du
N.-B. se rapprochent de la côte sud-est de la province
ou plus encore plus loin vers le sud, aux É.-U., la
nourriture est généralement plus abondante étant
donné l’accès à la mer libre.
Biologie :
• Au N.-B., il y a deux sous-espèces de Pygargues à tête
blanche; la sous-espèce « du nord » se reproduit et
passe l’hiver au N.-B. ou dans les régions avoisinantes;
la sous-espèce « du sud » migre ici chaque été, depuis
le sud-est des É.-U. mais ne se reproduit pas ici.
• Les Pygargues à tête blanche se reproduisent d’ordinaire
au début du printemps (avril ou mai) et la femelle
pond d’habitude 2 (et parfois 3) œufs.
• À la saison des amours, le pygargue peut défendre un
territoire de nidification atteignant 2 km2.
• Le pygargue est en mesure d’attraper des poissons
vivants, mais ils peut aussi manger des poissons morts
sur l’eau ou sur le rivage.
• Ils peut également manger de petits mammifères et de
la sauvagine.
Menaces :
• Actuellement, il existe peu de menaces majeures pour
les pygargues de la province, quoique les pesticides et
autres polluants, les limitations alimentaires et l’accès
aux arbres convenant à la nidification, constituent de
moindres dangers.
• La persécution pose problème. On abattait jadis les
aigles et autres oiseaux de proie à tort et à travers,
comme espèces nuisibles ou pour les empêcher de
chasser d’autres espèces (poisson, petits oiseaux). De
nos jours, on entend parfois parler d’aigles abattus.
• Les aigles partout en Amérique du Nord ont subi
autrefois les effets polluants des pesticides.
Efforts de rétablissement :
• On effectue des évaluations afin de trouver de
nouveaux emplacements de nids; de plus, on contrôle
sur une base annuelle plusieurs emplacements de nids
actuels.
Que peut-on faire pour protéger le Pygargue à tête
blanche?
• Lui laisser de la place ne pas trop s’approcher de
l’oiseau nicheur; conserver les arbres anciens puisqu’ils
servent souvent à la nidification ou comme perchoir
habituel.
• Protéger les emplacements de nids et respecter les
interdictions de chasser les rapaces.
Espèce semblable ou apparentée :
• Le balbuzard pêcheur (aigle pêcheur)
Pygargue à tête blanche
Haliaeetus leucephalus
Situation actuelle au N.-B. En voie de disparition
Situation actuelle selon le COSEPAC Non en péril
Groupe d’ espèces Oiseau
Renseignements sur le Pygargue à tête blanche
Répartition de
l’espèce au N.-B.
Photo : Richard Kuzminski
Description :
• Même si chaque année, on rapporte plusieurs observations
de Couguars, on doute de la permanence de l’espèce dite
« Couguar de l’est », c’est pourquoi on le désigne ici sous
le nom de « Couguar » ou de « population des Couguars
de l’est », plutôt que sous le nom de « Couguar de l’est ».
• Le Couguar, parmi les plus grands de la famille des chats,
mesure souvent 2 m de long.
• Sa fourrure, d’un brun roux pâle ou rousse à brun-gris, est
courte et grossière.
• Sa queue, étonnamment longue et cylindrique (comme un
câble), est à l’extrémité noire.
• Certaines personnes rapportent des observations de
Couguar du genre « chat noir » même si la panthère noire
ne se rencontre actuellement qu’au sud-ouest des États-
Unis, en Amérique centrale et en Amérique du Sud.
Habitat :
• On croit que, autrefois, la population des Couguars de
l’est existait depuis la Nouvelle-Écosse jusqu’à la région du
sud du Québec et du sud-ouest de l’Ontario et, plus au
sud, en Caroline du Sud et au Tennessee.
• C’était autrefois le mammifère le plus largement réparti
dans le monde occidental; on le rencontrait presque
partout dans le sud du Canada, aux États-Unis et en
Amérique du Sud.
• Les Couguars vivent dans divers habitats. Au N.-B., ils
étaient associés à un habitat boisé.
• On croit qu’ils étaient rares au N.-B., même depuis les
débuts.
• Les observations au N.-B., quoique difficiles à prouver,
proviennent d’un peu partout, mais surtout des régions du
sud et du centre de la province.
• La preuve la plus récente de la présence du Couguar dans
la province remonte à 1932; cette année-là, on en avait
abattu un dans le comté de Kent.
• Le Couguar est très territorial : le mâle défend un domaine
vital qui peut s’étendre de 200 à 1800 km2.
• Il trouve un abri dans des branches et troncs d’arbres
abattus, aussi bien que dans des dépressions ou cavernes
naturelles.
Biologie :
• Le Couguar est solitaire et fuyant.
• À l’ouest, il peut se reproduire tout au long de l’année, et
la femelle a des portées de 1 à 4 petits.
• À l’ouest, le Couguar se nourrit surtout de gros ongulés;
au N.-B., ceci comprend l’orignal, le cerf de Virginie et,
autrefois, le caribou.
Menaces :
• Une fois établis en Amérique du Nord, les Européens ont
chassé et tué le Couguar, soit parce qu’il menaçait le bétail
ou pour des raisons de sécurité personnelle.
• Les menaces actuelles sont difficiles à évaluer vu
l’incertitude au sujet de l’importance et du statut de la
population de Couguars dans l’est de l’Amérique du Nord.
• Si l’espèce est vraiment présente, il se peut que les
Couguars aient de la difficulté à se trouver des partenaires
et ils pourraient souffrir de consanguinité.
Efforts de rétablissement :
• Le Couguar est source de confusion et de controverse au
N.-B. Même si l’on rapporte toujours des observations, il
existe peu de preuves concrètes d’une population établie.
De plus, il n’est pas certain que ces bêtes proviennent de la
nature; elles auraient pu s’échapper de lieux de captivité
d’autres régions de l’est de l’Amérique du Nord car, dans
certains États, la loi permet de posséder un Couguar
comme animal domestique. Il n’en est pas ainsi au N.-B..
• C’est le Musée du N.-B. qui recense les observations de
Couguars dans la province.
Que peut-on faire pour protéger le Couguar?
• Les observations rapportées au Musée du N.-B. par le
public pourraient aider à établir si l’espèce existe toujours
dans la province.
• Appuyer l’entretien de grandes aires boisées continues, cela
afin d’égaler l’envergure du domaine vital du mâle.
Espèces semblables ou apparentées :
• Le Lynx du Canada
• Le Lynx roux
Couguar
Puma concolor couguar
Situation actuelle au N.-B. En voie de disparition
Situation actuelle selon le COSEPAC Données insuffisantes
Groupe d’ espèces Mammifère
Renseignements sur le Couguar
Répartition de
l’espèce au N.-B.
Photo : Mountain Lion Foundation
Description :
• L’arlequin, un canard de petite taille, mesure environ
45 cm de longueur.
• Le mâle adulte a un plumage bleu-gris et un plastron
blanc bien défini sur la tête, sur le cou et sur la
poitrine; il a les côtés roux ou marron.
• La femelle est d’un brun sombre et ses plastrons blancs
sont répartis de la même façon.
• Le mâle produit son plumage adulte au cours de la
deuxième ou troisième année.
Habitat :
• L’Arlequin plongeur, un canard de mer migrateur, se
trouve sur les deux côtes de l’Amérique du Nord, ainsi
qu’en Asie du Nord et de l’Est, en Islande et au
Groenland. Il fréquente les aires d’hivernage
traditionnelles.
• Il n’existe que quelques comptes rendus au sujet de la
reproduction d’arlequins au N.-B., sur deux rivières du
nord de la province.
• L’Arlequin plongeur se reproduit sur les rivières et les
cours d’eau rapides, clairs et turbulents.
• Les nids sont construits à même le sol, assez souvent à
l’abri d’épaisses broussailles, et, en général, près de
rivières et de cours d’eau rapides et à fond rocheux.
• Le N.-B. lui sert surtout d’habitat d’hivernage (de
décembre à mars), dans la baie de Fundy.
• Pendant les mois d’hiver, on aperçoit l’Arlequin
plongeur le plus souvent le long des longues côtes
rocheuses et exposées, et sur les récifs en mer.
• Il s’alimente sur les surfaces rocheuses immergées et sur
les roches et récifs battus par les vagues.
Biologie :
• L’Arlequin plongeur se reproduit en mai ou au début
de juin.
• La femelle pond 5 ou 6 oeufs.
• En été, l’arlequin se nourrit surtout de larves d’insectes
aquatiques.
• En hiver, son régime varié comprend l’escargot, la
patelle, le crabe, les bivalves, les amphipodes, les
gastéropodes, les copépodes et peut-être les œufs de
poisson.
• Année après année, l’Arlequin plongeur regagne la
même aire d’hivernage.
Menaces :
• Au N.-B., la perturbation des aires d’hivernage par les
activités et l’aménagement accrus sur les côtes pourrait
être très nuisible à nos populations déjà faibles.
• Il existe peu de renseignements historiques au sujet des
populations d’Arlequins plongeurs au N.-B.
• La chasse a peut-être contribué à abaisser le nombre
d’individus au taux actuel, mais le faible taux de
reproduction de l’animal est aussi un facteur probable.
• Le braconnage et les tirs accidentels pendant la chasse
peuvent encore représenter un danger pour ce canard
malgré son statut d’espèce protégée dans la plupart des
régions de l’est.
• Les déversements de pétrole près des aires d’hivernage
traditionnelles peuvent nuire à une bonne partie des
individus qui hivernent au N.-B.
Efforts de rétablissement :
• À l’heure actuelle, il est interdit de chasser l’Arlequin
plongeur dans l’est du Canada.
• Selon des recherches récentes, une population
importante d’Arlequins plongeurs hiverne au large du
Groenland, mais elle se reproduit au Canada. Ainsi, sa
population dans l’est est beaucoup plus importante
qu’on ne le croyait.
• C’est pourquoi, selon le COSEPAC, le statut de la
population d’Arlequins plongeurs de l’Est s’est
amélioré, passant de « En voie de disparition » à
« préoccupation spéciale » en 2001.
• Comme l’Arlequin plongeur est encore présent en
nombre très limité au N.-B., il est une espèce menacée.
• Au N.-B., on contrôle chaque année les aires
d’hivernage actuelles.
Que peut-on faire pour protéger l’Arlequin plongeur?
• Appuyer les programmes de formation des chasseurs.
• Appuyer la protection des aires d’hivernage contre les
perturbations et l’aménagement.
• Appuyer les initiatives de réduction des risques de
déversements de pétrole dans toutes les eaux côtières et
surtout près des aires d’hivernage traditionnelles.
Arlequin plongeur
Histrionicus histrionicus
Situation actuelle au N.-B. En voie de disparition
Situation actuelle selon le COSEPAC Préoccupante
Groupe d’ espèces Oiseau
Renseignements sur l’Arlequin plongeur
Répartition de
l’espèce au N.-B.
Photo : Richard kuzminski
Description :
• Le Lynx du Canada peut atteindre une longueur de 85
cm et un poids de 10 kg.
• Il a de longues aigrettes pointues aux oreilles et une
courte queue à extrémité noire.
• Ses larges pattes lui permettent de se déplacer dans la
neige profonde. Le mâle est un peu plus grand et
pesant que la femelle.
• Il est un proche parent du Lynx roux, sauf que la queue
de ce dernier est plus longue et la partie noire se
retrouve seulement sur la surface supérieure, au bout.
Le Lynx roux est incapable de vivre dans les régions de
neiges profondes prospère le Lynx du Canada.
Habitat :
• Le Lynx du Canada se retrouve dans la plupart des
régions boisées du nord du Canada; on le dit
maintenant rare le long des limites sud de son terrain
de parcours naturel, y compris au N.-B.
• On l’associe en général aux longues bandes de forêts de
conifères denses, parsemées d’affleurements rocheux, de
marais et de broussailles.
• En hiver, ces régions sont d’habitude caractérisées par
des neiges profondes et par de basses températures.
• La majorité des observations et des piégeages
accidentels se produisent à l’extrémité nord-ouest du
N.-B.
Biologie :
• Le Lynx du Canada se reproduit surtout de la mi-mars
au début d’avril.
• La femelle a d’habitude une portée de 2 à 3 petits et
peut en avoir jusqu’à 5.
• On estime le domaine vital du Lynx du Canada entre
10 et 250 km2, selon l’âge, l’effectif de la population, le
sexe, et la disponibilité des proies.
• Sa proie principale est le Lièvre d’Amérique, mais il
mange aussi d’autres petits mammifères.
• On croit que le nombre de lynx dépend directement
du cycle d’abondance de 10 ans du Lièvre d’Amérique.
• Une diminution du nombre de lièvres entraîne une
diminution du succès de reproduction du lynx, et donc
de sa population.
Menaces :
• Il est difficile d’évaluer les menaces étant donné le
manque d’information au sujet de l’espèce au
Nouveau-Brunswick.
• Les préoccupations ont trait aux changements dans le
paysage (foresterie, agriculture, urbanisation), de la
compétition du Lynx roux et des pratiques forestières.
• Étant donné ses nombres restreints, le Lynx du Canada
souffre des piégeages accidentels et de la disponibilité
réduite du Lièvre d’Amérique.
Efforts de rétablissement :
• Au N.-B. on interdit toujours le piégeage et la chasse
au Lynx du Canada.
• Le ministère des Ressources naturelles recueille
l’information au sujet des emplacements du lynx, des
observations et des piégeages accidentels.
Que peut-on faire pour protéger le Lynx du Canada?
• Appuyer l’aménagement forestier qui met l’accent sur
la vie sauvage et sur son habitat.
• Encourager les efforts éducationnels qui visent à
prévenir le piégeage accidentel.
Espèce semblable ou apparentée :
• Le Lynx roux
Lynx du Canada
Lynx canadensis
Situation actuelle au N.-B. En voie de disparition
Situation actuelle selon le COSEPAC Non en péril
Groupe d’ espèces Mammifère
Renseignements sur le Lynx du Canada
Répartition de
l’espèce au N.-B.
Photo : Dr. Gordon Court
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