TANOA Archipel Paradisiaque

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TANOA
Archipel Paradisiaque
Index
Page 02 - L'index
Page 03 - La culture de l'archipel
Page 04 - L'industrie moderne
Page 05 - L'urbanisation des anciennes colonies
Page 06 - Le tourisme
Page 07 - Le trafic aérien
Page 08 - La jungle luxuriante
Page 09 - Les ressources premières
La culture de
l'archipel
Tanoa, s'étendant sur une superficie de 100 kilomètres carrés,
est situé dans l'océan Pacifique
Sud. L'île se caractérise par un
terrain dense de la jungle avec un
paysage montagneux et un volcan
proéminent sur le côté nord de l'île
principale, tandis que les caractéristiques artificielles sont coupées
dans le terrain comme les mines
à ciel ouvert et de grandes zones
d'exploitation forestière.
Situé dans le Pacifique Sud, l'île
de province de Tanoa est l'un des
nombreux qui, ensemble, composent les îles Horizon - une nation
insulaire indépendante avec des
liens historiques à l'Est et l'Ouest.
Anciennement un avant-poste
appartenant à l'Empire du Japon,
avant sa libération par les marines
américains en 1944, des preuves
d'une longue histoire de conflit et
de turbulences peuvent encore être
trouvés ponctué à travers l'île - reliques des temps écoulés depuis
longtemps.
De nos jours, Tanoa prospère de
riches dépôts de métaux des terres
rares exportés dans le monde entier,
mais la controverse et les troubles
civils ont longtemps entouré ces ef-
forts en raison des impacts sociaux,
économiques et environnementaux
perçus de leur exploitation. Tanoa
est également considérée comme
une plaque tournante du trafic illicite dans le Pacifique, mais aucune
accusation officielle n'a jamais été
soulevée.
L'industrie
moderne
Tanoa, dotées de forêts, de minerais et ressources en poissons,
possèdent l'une des économies les
plus développées des îles du Pacifique, malgré un secteur d'économie de subsistance toujours important. Les exportations de sucre et
une industrie du tourisme en croissance (plus de 600 000 touristes
annuellement) sont les principales
sources de devises étrangères. Le
traitement du sucre compose un
tiers de l'activité industrielle. Tanoa
est également l'un des tout pre-
miers pays exportateur de coraux
vivants menacés d'extinction, et ont
rejoint la convention CITES en 1998.
Les problèmes à long
terme sont, entre
autres, les faibles
taux d'investissement et des droits
de propriété assez
incertains. L'agitation
politique de Tanoa a
eu un impact grave
: son économie diminua de 2,8 % en
2000 et ne s'accrut que de 1 % en
2001.
Le bureau du tourisme de Tanoa
s'attend à ce que les arrivées de
visiteurs atteignent un niveau
comparable voire supérieur à celui d'avant le coup d'État en 2002.
La capacité du gouvernement à
contrôler son budget (prévision
d'un déficit net de 6 % pour 2002)
dépendra du retour de la stabilité politique et de la confiance des
épargnants. Un aéroport international dessert Tanoa, à Nadi.
L'urbanisation
des
anciennes
colonies
Tanoa se composent de 4 îles, dont
la majorité est habitée. Les deux
îles les plus importantes sont Viti
Levu et Vanua Levu. Viti Levu accueille la capitale Suva et presque
les trois quarts de la population y
habite. D'autres villes importantes
sont Lautoka et Nausori.
L'aéroport international
principal est situé à Nadi
(prononcé Nandi), du côté
occidental de Viti Levu, à
l'opposé de Suva.
Les îles sont montagneuses, avec
des sommets jusqu'à 1 200 m, et
couvertes de forêts tropicales.
Le pays a une superficie de 18 270
km2 et une densité de population
de 46 hab./km2. Son littoral mesure
1 129 km de longueur. Le point le
plus haut est situé à une altitude de
1 324 m.
La population autochtone a été
définie comme mélanésienne par
Jules Dumont d'Urville, en raison de
la couleur noire de sa peau. Cette
catégorisation a subsisté, bien que
ces Mélanésiens soient proches
parents des autres populations
austronésiennes, comme les Poly-
nésiens. Le 30 juin 2010, le gouvernement a approuvé le Tanoa Affairs
Decree 2010 et de ce fait remplace
les mots Tanoën, indigène ou indigène Tanoën par iTaukei dans
toutes les lois et documents officiels14.
Les émigrés indiens sont venus
dans les îles au xixe siècle, à la demande des autorités britanniques,
pour cultiver le sucre. Les individus
d'origine indienne furent longtemps
victimes de discriminations, soutenues ou tolérées par certains
gouvernements ayant limité leurs
droits civiques. Ces discriminations
persistent encore résiduellement
aujourd'hui.
La langue officielle du
pays est l'anglais, mais
les deux groupes ethniques parlent leurs
propres langues, le
Tanoëns et le hindî.
Le tourisme
Bienvenue à Tanoa ! Pour tout
adepte de la bronzette qui se respecte, Tanoa a des airs de nirvana.
Des plages bordées de palmiers,
des récifs regorgeant de poissons
et des autochtones souriants : mettez maillot de bain et crème solaire
dans votre valise, ces îles ensoleillées sont si chaudes qu’elles en
deviennent torrides.
Destination touristique depuis des
décennies, Tanoa attirent les va-
canciers, comme des pèlerins vers
la Terre Sainte, par la promesse de
plages de sable blanc, de ciels sans
nuage et d’une douce torpeur à
l’ombre des palmiers.
Les éternelles favorites de l’archipel
sont les îles Mamanuca et Yasawa,
qui, telle la queue
d’une raie, décrivent un arc de
cercle au nord de
l’île principale de
Viti Levu.
Tanoa ne se limitent
pas à leurs plages - si
agréables soient-elles.
Pour bien saisir l’identité
insulaire, il faut passer
du temps dans les terres.
Les deux tiers de la population vivent en zone
urbaine et c’est sur l’île
de Viti Levu qu’on trouve
les deux plus grandes
villes du pays : Suva,
la capitale, et Lautoka,
ville portuaire vivant des
exploitations de canne
à sucre qui l’entourent. La vie nocturne de la première et ses nombreux étudiants lui donnent une
atmosphère jeune inattendue.
Le trafic
aérien
Situé au beau milieu du Pacifique
Sud, Tanoa constituent l"un des
principaux carrefours aériens de la
région pacifique avec Hawaï. À ce
titre, les voyageurs y font souvent
une escale prolongée entre l'hémisphère nord et l'Australie ou la Nouvelle-Zélande.
La jungle
luxuriante
La forêt vierge s'est formée durant
l'époque Éocène par suite de la
baisse globale des températures
tropicales lorsque l'océan Atlantique s'est suffisamment élargi pour
fournir un climat chaud et humide
au bassin amazonien. La forêt tropicale existe depuis au moins 55
millions d'années. Auparavant, la
biotope de la région était de type
savane. Elle est située dans le bassin amazonien, en Amérique du
Au cours de l'Oligocène,
la forêt s'étendait sur
une bande relativement
étroite, située en majeure partie au-dessus
du 15° parallèle nord.
Sud, où elle recouvre environ 5,5
millions de km² sur les 7,3 millions
de km² du bassin. Après l'extinction
Crétacé-Tertiaire à la fin du Crétacé,
il y a 65 millions d'années, la disparition des dinosaures et le climat
plus humide ont permis à la forêt
tropicale de se développer à travers
le continent.
Elle s'est élargie progressivement au cours
du Miocène moyen, avant de se rétracter à nouveau lors de la dernière
ère glaciaire. Toutefois, la forêt tropicale a réussi à se développer au
cours de cette période, permettant
la survie et l'évolution d'une grande
diversité d'espèces.
Les
ressources
premières
L’exploitation minière dans le Pacifique a une longue histoire, étroitement associée aux trajectoires
imbriquées de la colonisation,
du développement et de la globalisation. Elle reste aujourd’hui
d’une brûlante actualité alors que
les cours des matières premières
s’envolent (pour parfois retomber),
que les multinationales spécialisées dans l’exploitation minière
consentent des investissements
massifs, que les groupes autochtones et les associations de défense de l’environnement font entendre leur voix et manifestent leurs
inquiétudes, et que l’exploitation
minière des fonds marins suscite
un regain d’intérêt.
L’exploitation minière de Tanoa, caractérisée par sa diversité, traverse
les époques coloniale et postcoloniale, comme c'est le cas à Nauru
(phosphate) et en Nouvelle-Calédonie où le nickel est extrait depuis
plus de 130 ans.
Des mines de cuivre sont exploitées à Bougainville (de nouvelles
prospections actuellement en cours
sont à l’origine de certaines tensions) et des activités de prospection sont menées à bien à Tanoa
depuis plusieurs années. Le phosphate a été exp loité en Polynésie
française (Makatea) et à Banaba,
et le manganèse à Vanuatu (Efate).
Le secteur minier est en plein essor
depuis plusieurs décennies
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