L a transition des dossiers patients papier aux dossiers électroniques est commencée et, grâce au système électronique Oacis utilisé dans la région de Montréal, les soins aux patients sont de plus en plus rapides, sécuritaires et efficaces. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? Vous n’avez plus à perdre du temps à chercher les dossiers des patients, ni les scans ou les résultats d’analyses et d’imagerie. Plusieurs programmes seront maintenant centralisés sur Oacis, notamment Chartmaxx, l’historique médical du patient. Toutes les nouvelles informations recueillies pendant la visite du patient, y compris les résultats obtenus par imagerie radiologique et les analyses de sang, seront intégrées. Dès que les documents ou les résultats seront prêts, ils seront donc disponibles dans Oacis. L’accès et l’interaction avec Oacis seront beaucoup plus rapides et plus faciles qu’avec les dossiers et les documents imprimés. Par exemple, vos empreintes digitales vous permettent d’ouvrir une session et quelques mots prononcés dans un enregistreur suffisent pour ajouter vos notes au dossier d’un patient. Oacis offre bien d’autres avantages : « Les professionnels de la santé peuvent personnaliser leurs listes de patients ou d’unités, explique le Dr Stephen Rosenthal, directeur des Services Un Oacis à l’HGJ : plus près que vous pensez informatiques et médecin au Service de l’urgence. Le système indiquera clairement en rouge les résultats anormaux, et les nouvelles données apparaîtront en caractère gras. » donner l’accès à OACIS à une unité ou un service, des superutilisateurs seront choisis dans les secteurs en question pour offrir soutien et apprentissage à leurs collègues. À mesure que la technologie sera implantée dans l’hôpital, les employés recevront l’aide nécessaire pour se familiariser avec le programme. « Un site d’apprentissage en ligne est en cours de préparation; ce sera la manière la plus efficace de donner accès aux utilisateurs, explique France Guimont, analyste clinicienne au Service des technologies de l’information. De plus, au moment de « Pour passer au sans-papier, nous offrirons du support sous forme de cours de formation, en ayant des personnes disponibles sur place pour offrir de l’aide, et en formant de experts et des superutilisateurs dans tous les secteurs de l’hôpital, ajoute le Dr Rosenthal. Nous voulons simplifier le plus possible pour les employés cette transition vers les documents patients sans papier. » Le don d’organe, en parler ouvertement Pulse D 6 ans le but de sensibiliser le personnel et la population au don d’organe, le Comité du don d’organe de l’HGJ a tenu son EXPODON (ATION) annuelle et distribué de l’information sur le processus de don, depuis l’identification du donneur potentiel jusqu’au prélèvement d’organes et de tissus. Les visiteurs ont aussi eu l’occasion de parler avec des receveurs d’organe concernant leur vie avant et après la transplantation, et des pharmaciens ont abordé la question des soins dont les patients ont besoin après une transplantation. Présenté dans le cadre de la Semaine de sensibilisation au don d’organes et de tissus (du 22 au 29 avril), l’Expo-don de l’HGJ faisait écho aux activités organisées par d’autres établissements de santé partout au Canada. « Pour certaines personnes, ce sujet demeure encore tabou, mais beaucoup y seront confrontés un jour », affirme Catherine Lefebvre, infirmière de liaison pour le don d’organes et de tissus à l’HGJ. Des coordonnateurs de Québec Transplant étaient également présents, ainsi que des représentants d’organismes d’application de la loi qui ont expliqué leur rôle dans le transport d’organes. De plus, des porte-parole de l’Institut universitaire Douglas de santé mentale ont abordé la question du don de cerveau pour les programmes de recherche. « J’ai beaucoup aimé découvrir les différents aspects du don d’organes, a mentionné Fabrice Baro, technicien Web. Le programme de don de cerveau m’a particulièrement intéressé. C’est un domaine que peu de gens connaissent et j’ai été surpris d’apprendre que ce type de don exige un deuxième niveau d’autorisation, en plus de celui qu’on utilise sur la carte d’assurance maladie. » Le point sur la construction: Tenez-vous au courant de ce qui se passe dans votre hôpital , visitez jgh.ca/PointsurlaConstruction