Réaction auto-équilibrée égal sur unité.

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Réaction auto-équilibrée égal sur unité.
F
Soit deux roues solidaires d’un axe O
f
D = 2d
O
Pour équilibrer f il me faut une force F = 2f
d
D
Auto-équilibrer la réaction d’un ressort.
Je place deux engrenages coniques sur un axe vertical. Le diamètre du grand
engrenage est le double du petit engrenage. L’axe vertical est sur paliers
représentés en jaune.
Je mets en prise à 90° d’angle sur ces engrenages, des engrenages en tous
points identiques.
Sur chaque axe horizontal je solidarise un disque. Les deux
disques sont en tous points identiques.
Sur chaque disque j’accroche l’extrémité d’un ressort donc les
point d’appuis sont à égale distance des axes horizontaux.
Que le ressort soit en extension ou en compression, sa réaction se
divise en deux et s’équilibre sur l’axe vertical.
La tension du ressort devrait s’équilibrer par les engrenages coniques sur l’axe vertical et
l’assemblage ne devrait pas se mettre en mouvement, bien que le ressort soit en tension.
Cas des alternateurs classiques en charge normale. La réaction d’induit crée un couple antagoniste
à la rotation ressentie par l’induit. Le couple antagoniste a une valeur (y) supérieure au couple moteur
(x) à vide.
Réaction d’induit
Stator
Rotation
Rotor
La réaction d’induit a toujours le même sens d’opposition à la rotation, elle ne s’oppose au champ
inducteur que pour contrarier la rotation. C'est-à-dire une fois en répulsion une fois en attraction du
champ inducteur qui passe devant le circuit magnétique du bobinage induit. Par l’intermédiaire du
stator c’est la terre qui assume l’énergie d’appui.
Importante précision sur la loi de Lenz, basée sur des faits avérés : Quelque soit la position de
l’induit, la rotation ressentie est l’expression du différentiel de rotation. La réaction d’induit est
toujours opposée au différentiel de rotation qui lui a donné naissance.
Rappel : La réaction d’induit ne nécessite aucune énergie pour exister, bien que ces effets avérés se
manifestent par un couple mécanique en opposition au différentiel de rotation. Son existence n’est
effective que par l’énergie que fournie l’alternateur. Cette énergie fournie par l’alternateur dépend
uniquement de la variation temporelle du champ magnétique inducteur, ΔФ et Δt.
Je propose d’empêcher la réaction d’induit de s’opposer mécaniquement à la rotation. Pour cela
j’utilise le principe de la réaction auto équilibrée. Ainsi je laisse la f.c.é.m. se manifester, car sans
f.c.é.m. pas de courant induit. Je rends simplement inefficace ces effets sur la puissance absorbée par
l’alternateur.
Principe de base de la réaction auto-équilibré adapté à l’induction électromagnétique
Équilibreur analogue, fournit un sens unique de rotation en sorties à 90°
ou
Il faut que les axes horizontaux de sortie de l’équilibreur soient en rotation inverse tout en reportant la
réaction divisée par deux de façon identique à l’équilibreur analogue.
Équilibreur inverse, fournit un sens inversé de rotation en sorties à 90°
ou
Symbolisation :
Équilibreur inverse
Équilibreur analogue
Deux possibilités s’offrent alors pour équilibrer la f.c.é.m.
Le bis alternateur
L’alternateur bis rotors
Bis alternateur
L’alternateur bis rotors
Moteur
Inducteur
Induit
Carcasse
J’ai une préférence pour l’alternateur bis rotors, car il est plus probable que dans cette configuration la
réaction ou f.c.é.m. soit bien divisée en deux forces égales. Il faut solutionner le support du moteur et
de l’équilibreur inverseur, qui tous deux dépendent de la carcasse qui doit passer à l’intérieur des bis
rotors.
La solution est trouvée en passant la carcasse à l’intérieur des axes des bis rotors. C’est donc comme
dans les cas classiques, la terre qui par l’intermédiaire de la carcasse assume l’énergie d’appui de la
puissance absorbée.
Il reste à fournir une explication théorique rationnelle des phénomènes physiques intervenant dans cet
alternateur bis rotors. Bien entendu en fonctionnement normale en rapport avec sa conception.
A vide :
Puissance absorbée à vide
Pertes à vide
Conséquences
Champ magnétique
variable (CM)
Champ électrique
variable (CE)
Aucune énergie nécessaire à leur existence
Car
En charge :
Puissance absorbée
en charge (Pa)
Pertes en
charge (Pe)
f.c.é.m. (F)
F=+|F/2|-|F/2|
Puissance
utile (Pu)
Transformation
(T)
Pa - Pe + F = Pu - T
[(Pa - Pe=0) + (F=0)] = (Pu - T = 0)
Conséquences
CM ne nécessite pas plus d’énergie
que F pour exister mais maintient Pu
Pu - T = 0
L’égalité mathématique des phénomènes physiques avérées est correcte et la formule peut s’écrire :
CM = Pu - T se qui revient à écrire 0 = 0
Attention ! Bien comprendre dans ce cas, que c’est T qui engendre Pu qui induit F. Et que T est égal et
opposé à Pu. Le principe de la thermodynamique est respecté comme dans tous les cas classiques
d’apport ou de soustraction d’énergie créant un déséquilibre que les lois de la physique tentent de
rétablir. Dans ce cas c’est T qui crée le déséquilibre que Pu tente de rétablir. Tant que T reste effectif,
Pu cherchera à s’y opposer avec les conséquences décrites.
Même principe qu’un aimant auto maintenu sur un plan vertical qui s’oppose à l’attraction terrestre.
Situation considérée comme banale, sans se torturer l’esprit à la recherche d’un quelconque apport
d’énergie ésotérique.
Cela écrit, je reste ouvert à la possibilité de cet apport d’énergie ésotérique. J’essayais simplement
d’être le plus compréhensible possible.
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