FAQ éco-consommation - ale-lyon

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FAQ éco-consommation
Extrait du L'Agence Locale de l'Energie de l'agglomération lyonnaise (ALE)
http://ale-lyon.org/eco-consommation/questions-eco-consommation.html
FAQ éco-consommation
- Eco-consommation -
Date de mise en ligne : jeudi 14 avril 2011
L'Agence Locale de l'Energie de l'agglomération lyonnaise (ALE)
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FAQ éco-consommation
Qu'est-ce que l'éco-consommation ?
L'éco-consommation, c'est la prise en compte des conséquences environnementales de nos achats quotidiens.
C'est donc choisir des produits qui ont le moins d'impact sur notre santé, les ressources en énergie, les sols, la
biodiversité, l'eau et le climat. Au sens large, c'est privilégier des produits qui respectent l'environnement mais aussi
les conditions de vie des humains et leur conditions de travail, et l'organisation démocratique des sociétés.
Qu'est-ce qu'un produit de l'éco-consommation, quels sont
les critères à prendre en compte ?
C'est un produit qui aura un plus faible impact environnemental que son homologue de référence. On peut pour cela
prendre en compte plusieurs critères :
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la consommation d'énergie nécessaire pour son fonctionnement : voiture, électroménager, appareil de
chauffage etc (Voir étiquette énergie)
Les impacts du transport nécessaire à l'acheminement du produit : par exemple on peut vérifier sur les
étiquettes la provenance des fruits et légumes ou des produits manufacturés
Les conséquences de l'utilisation de ce produit sur notre santé ou sur l'environnement : par exemple les
aliments issues de l'agriculture biologique et produits localement (voir la question sur l'agriculture biologique).
la production de déchets : par exemple l'emballage plus ou moins important de ce produit,
L'énergie grise, c'est-à-dire celle nécessaire à sa fabrication et son élimination (voir définition énergie grise
dans le lexique).
La quantité de ressources naturelles nécessaires pour obtenir ce produit et leur caractère plus ou moins
renouvelable : terre arable, eau ,etc.
Voici quelques critères utiles pour faire des choix lors de ses achats :
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Des aliments produits localement et de saison
Des produits de l'élevage (lait, fromage oeufs, viande) provenant d'une ferme produisant ses aliments pour
bétail (sans importation massive de soja par exemple)
Des aliments peu transformés et qui nécessitent une réfrigération ou congélation peu importante
Des produits peu ou pas emballés
Des produits contenant peu ou pas de composés chimiques et toxiques
Des produits issus du recyclage ou d'occasion : ré-emploi provenant par exemple de recyclerie et magasins de
seconde main
Des produits de bonne qualité qui dureront plus longtemps
Des produits éco-labellisés : agriculture bio, éco-label, NF environnement (cf les labels)
Des produits du commerce équitable : labels Max Havellar , Mingua ...
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Où trouver les produits de l'éco-consommation ?
Vous trouverez sur notre annuaire de l'éco-consommation, en lien ici, des adresses liées à la consommation
durable sur la région Rhône-Alpes.
Est-ce que çà coûte plus cher ?
Question bien sûr essentielle dont la réponse est multiple :
Un certain nombre de produits écologiques et/ou bio sont dans des gammes de prix équivalentes à un produit
conventionnel de la grande distribution :
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par exemple les produits alimentaires secs achetés en vrac en magasin biologique (céréales, riz,
légumineuses...) ont des prix équivalent à des produits conventionnels dans la grande distribution. En plus ils
sont souvent moins raffinés et donc plus nourrissants.
Les prix moyens pratiqués dans les AMAP (Cf. Qu'est-ce qu'une Amap) sont dans des zones de prix proches
des produits conventionnels de la grande distribution.
Un certain nombre d'aliments peuvent être plus chers, mais sont de meilleure qualité nutritionnelle (différence
entre un aliment raffiné et complet à haute teneur en éléments nutritifs et essentiels : vitamines, oligoéléments
etc). On n'est ainsi pas obligé d'éplucher un fruit bio dont la peau ne contiendra pas de résidus des traitements
d'un fruit conventionnel et dont on pourra profiter pleinement de l'apport en vitamines essentiellement contenues
dans la peau justement.
Selon leur conditionnement on peut acheter des produits moins cher au litre ou au kilo. Vrac, pot familial, bidon
de plusieurs litres : autant de bons plans pour consommer moins cher. Et qui produisent moins de déchets !
Un critère important est la durabilité d'un produit : de bonne confection et composé de matières nobles un
vêtement sera plus cher à l'achat mais sera amorti à l'utilisation au fil des années.
De même des appareils sobres en énergie peuvent représenter un cout global achat + fonctionnement moins
cher à la longue ! Pour aller plus loin : « manger bio c'est pas du luxe » aux éditions terre Vivante De Lylian Le
Goff
Qu'est-ce que l'agriculture biologique ?
L'agriculture biologique est une méthode de culture qui n'utilise pas des produits chimiques de synthèse. Elle a pour
principe de maintenir les sols, les plantes et les animaux en bonne santé afin d'éviter de multiples traitements. Elle
s'appuie sur une fertilisation organique (recyclage des déchets de la ferme : fumier etc) qui respecte la vie des sol.
Elle entretient les formes complexes d'interactivité de la vie des écosystèmes : rotation des cultures pour ne pas
appauvrir les sols, association de plantes et utilisation de traitement à base d'éléments organiques ou minéraux,
utilisation d'insectes auxiliaires pour combattre d'éventuels ravageurs etc. Les conditions d'élevage garantissent un
minimum de bien être aux animaux, (parcours en plein air), limitent fortement l'utilisation de produits chimiques pour
les soins (antibiotique), et réglementent l'alimentation du bétail : pas d'OGM (pas d'importation de tourteaux de soja
par ex) et respectent les régimes alimentaires des animaux (de l'herbe pour les vaches !). L'agriculture biologique
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n'utilisant pas de produit chimique de synthèse (pesticide, engrais) elle contribue très peu à la pollutions des sols et
des eaux. En préservant l'environnement, elle économise ainsi des coûts importants à la collectivité (dépollution de
l'eau,...) L'agriculture biologique se devant par nature d'être ancrée dans son territoire, elle développe une économie
locale à taille humaine. D'autant plus que celle-ci est créatrice d'emploi : pour une même production, l'interdiction des
traitements fait qu'il faut plus de main d'oeuvre en bio qu'en conventionnelle. D'une manière générale l'agriculture
biologique assure aussi bien une alimentation saine, nutritionnellement riche, sans résidu de produits chimiques,
avec un impact faible sur nos ressources et l'environnement, et amène une plus value sociale au travail. Aujourd'hui
le label officiel de l'agriculture biologique ( logo AB )se réfère au cahier des charges européen de l'agriculture
biologique et tout producteur est soumis à des contrôles stricts. D'autres cahiers des charges d'agriculture
biologiques existent ; on peut citer les mentions Nature et Progrès et Déméter (Bio-dynamie). Pour aller plus loin :
www.corabio.org/ [http://www.corabio.org/] www.bioconvergence.asso.fr/ [http://www.bioconvergence.asso.fr/]
www.fnab.org [http://www.fnab.org] www.natureetprogres.org [http://www.natureetprogres.org] www.bio-dynamie.org/
[http://www.bio-dynamie.org/] www.alternativebio2009.fr [http://www.alternativebio2009.fr]
Bio à tout prix ?
Est-ce qu'un produit bio est une garantie d'eco-consommation ? Le cahier des charges de l'agriculture biologique
garantie la méthode de production agricole mais pas le transport, la transformation, l'emballage, ni les conditions
sociales des travailleurs. Même si un produit bio amène une sécurité sur les impacts environnementaux sur les lieux
de productions, on trouve des produits bio sur-emballés, et qui on fait le tour du monde pour arriver dans notre
assiette. Certaines appellations privées de l'agriculture biologique vont plus loin et proposent dans leur cahier des
charges des critères sociaux par exemple comme Nature et Progrès.
Comment s'y retrouver dans la jungle des logos ?
Un premier réflexe : lire les étiquettes. Mais voilà ! Écolabels, labels verts, etc. : à quels repères faire confiance ?
Pour se retrouver dans ce labyrinthe, un petit décodage de la signalisation s'impose. Il existe des écolabels, mis en
place par les pouvoirs publics qui garantissent à la fois la qualité d'usage d'un produit et ses caractéristiques
écologiques. Ce sont l'écolabel français (marque NF Environnement) et l'écolabel européen.
Vous pouvez obtenir la liste complète actualisée des produits éco labellisés sur le site des écolabels.
La marque AB identifie les produits issus de l'agriculture biologique
Le nouveau label biologique européen apparaitra à partir de juillet 2010 et un nouveau logo remplacera l'ancien logo
AB.
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Seuls les produits alimentaires peuvent bénéficier de ces deux certifications.
Il existe également des labels privés issus d'initiatives d'entreprises ou d'associations et qui bénéficient d'une
vérification par une tierce partie indépendante.
Ce sont par exemple : les logos FSC et PEFC garantissant que les produits en bois sont issus de forêts gérées
durablement,
Les labels du commerce équitable tels que Max Haavelar (pour l'alimentaire) ou STEP (pour le textile), Les labels
"confiance textile" sur des vêtements...
Vous trouverez également des appareils électroménagers et des ampoules estampillés d'une étiquette énergie.
Elle indique les performances énergétiques de l'appareil et renseigne sur ses caractéristiques (volume de stockage
pour un réfrigérateur ou un congélateur, efficacité de lavage, d'essorage, capacité et consommation d'eau pour un
lave-linge, niveau de bruit lorsque l'appareil fonctionne, etc. Les classes A t A+ voire A++ rassemblent ceux qui
offriront les meilleures performances en matière d'économies d'énergie. Ces différences de consommation sont loin
d'être négligeables : la consommation électrique des appareils électroménagers peut varier du simple au quintuple.
Aujourd'hui, les voitures et les logements bénéficient également d'une étiquette énergie qui indique la
consommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre émis.
Mais attention, il existe aussi des auto-déclarations qui sont sous la responsabilité des entreprises elles-mêmes.
Elles ne sont pas vérifiées par une tierce personne. Parmi ces autodéclarations, il y en a de bonne qualité et de
moins bonne. Pour être sûr de votre achat et pour plus de détails sur tous les logos que vous rencontrez au
quotidien, voici deux guides sur les labels :
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www.mescoursespourlaplanete.com [http://www.mescoursespourlaplanete.com]
www.eco-sapiens.com/labels-eco-cons... [http://www.eco-sapiens.com/labels-eco-consommation.php]
Quels fruits et légumes, pour quelle saison ?
A force de se voir proposer sur les étals toutes sortes de fruits et légumes à tout moment de l'année on fini par s'y
perdre et se retrouver dans les choux ! Faites un test entre amis, ou dans votre famille : ludique et pédagogique à la
fois ! Une solution simple : afficher dans votre cuisine un calendrier des produits de saison !Voici quelques posters
de fruits et légumes de saison : www.defipourlaterre.org/fraise/pdf/...
[http://www.defipourlaterre.org/fraise/pdf/affiche-saisons.pdf] www.mescoursespourlaplanete.com/med...
[http://www.mescoursespourlaplanete.com/medias/pdf/Calendrier-fruits-legumes.pdf] www.rac-f.org/
[http://www.rac-f.org/]
Mange t-on trop de viande ?
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Une consommation excessive de viande a de lourdes conséquences sur la planète, le climat, et humanité. Notre
consommation de viande dans les pays riches a doublé depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Alors qu'un
milliard de personnes souffrent de la faim, le bétail mondial consomme a lui seul une quantité de nourriture
équivalente aux besoins caloriques de 8,7 milliards d'humain, soit plus que la population de la planète !
Conséquence première pour nourrir ces milliards d'animaux, il faut des terres ! En France l'élevage essentiellement
industriel importe massivement des aliments pour bétails : de fait la superficie agricole utile (SAU) se retrouve
doublée. Essentiellement venus des Amériques, ces tourteaux de soja sont en majorité issue d' OGM. Et bien
souvent ces cultures intensives contribuent à la déforestation qui sévit sur ce continent. Or les conséquences en
termes de bio-diversité et surtout d'émissions de CO2 sont conséquentes. A tel point que plusieurs études placent
l'élevage comme responsable de la plus grande partie des émissions de GES : en plus des émanations de méthane
(Ch4) des ruminants, le changement d'affectation des sols (culture intensive de soja conquise sur la forêt vierge),
déstocke des quantités conséquentes de CO2 dans l'atmosphère autrefois contenu dans les sols et les forets. Ces
problèmes planétaires ne doivent pas nous faire oublier les conséquences locales de l'élevage industriel : pollution
des eaux et des sols (nitrates, algues vertes, etc).
Mais ne doit-on pas se poser la question aussi en termes de santé humaine ? La consommation excessive de
viande augmentant fortement les risques de maladie cardio-vasculaire, de certains cancers, d'obésité... Au regard de
ces réalités, il est indispensable de diminuer notre consommation de viande et de produits animaux.
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Concrètement on peut facilement diminuer les quantités. Testez des menus végétariens, en remplaçant par
exemple la viande par des légumineuses, et essayez des jours inclure sans viande.
fournissez vous auprès de producteurs locaux d'élevage traditionnel ou biologique (Le cahier des charges de
l'agriculture bio encadre l'alimentation animale qui doit être en grande partie produite sur place) Pour aller plus
loin :
Rapport du WWF : www.wwf.fr/pdf/rapport%20substituti...
[http://www.wwf.fr/pdf/rapport%20substitution%20au%20soja%20complet%202.pdf]
Rapport de la FAO : www.fao.org/docrep/012/a0701f/a0701...
[http://www.fao.org/docrep/012/a0701f/a0701f00.htm]
Livre de Claude Aubert : « Faut-il être végétarien pour la santé et la planète » aux éditions Terre Vivante
Qu'est-ce qu'un calculateur carbone ?
Un calculateur carbone (ou de gaz à effet de serre) est un logiciel qui sert à mesurer les émissions de gaz à effet de
serre (responsable du réchauffement climatique) qu'émet une collectivité, une entreprise ou bien un individu. Il s'agit
d'un logiciel calculateur d'empreinte climatique (à l'image de l'empreinte écologique). Il convertit un certain nombre
de données (consommation d'énergie, déplacement, habitudes de consommation, d'alimentation ...) en une
estimation des émissions de gaz à effet de serre correspondantes. Il permet ainsi de chiffrer notre impact sur le
climat. Cela permet également de s'engager dans des actions de réductions des émissions de GES en hiérarchisant
les choix selon l'importance de chaque action. De nombreux calculateurs en ligne existent sur internet. Voici une
petite sélection :
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www.leclimatentrenosmains.org/ [http://www.leclimatentrenosmains.org/]
bilancarbonepersonnel.org/
www.wwf.ch/fr/cequevouspouvezfaire/...
[http://www.wwf.ch/fr/cequevouspouvezfaire/gestes_ecologiques/footprint/klimacheck/]
www.ademe.fr/climact/ [http://www.ademe.fr/climact/]
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www.fge-carbone.com [http://www.fge-carbone.com] L'ALE mène aujourd'hui un partenariat avec le « climat
entre nos mains », car celui-ci permet une grande interactivité et également des échanges entre les participants.
Qu'est-ce que le commerce équitable ?
En 2001, quatre structures internationales de commerce équitable (FLO, IFAT, NEWS, EFTA) proposent une
définition du commerce équitable : « Le commerce équitable est un partenariat commercial fondé sur le dialogue, la
transparence et le respect, dont l'objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial. Il
contribue au développement durable en offrant de meilleures conditions commerciales et en garantissant les droits
des producteurs et des travailleurs marginalisés, tout particulièrement au Sud de la planète. Les organisations du
commerce équitable (soutenues par les consommateurs) s'engagent activement à soutenir les producteurs, à
sensibiliser l'opinion et à mener campagne en faveur de changements dans les règles et pratiques du commerce
international conventionnel. » De nombreuses organisations, associations, fédérations promeuvent le commerce
équitable en France. Vous trouverez dans notre annuaire de l'éco-consommation les acteurs du commerce équitable
sur le Grand Lyon. Pour aller plus loin.
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www.equisol.org/ [http://www.equisol.org/]
www.minga.net/ [http://www.minga.net/]
www.artisansdumonde.org/ [http://www.artisansdumonde.org/]
www.commercequitable.org [http://www.commercequitable.org]
Qu'entend-on par tourisme durable et équitable ?
Les loisirs représentent une partie non négligeable du budget des ménages. Notamment celui qui concerne les
déplacements lors des weekends ou des congés. Tandis l'offre vers des destinations exotiques est de plus en plus
fortes et attractives (subventions et faible taxation du kérosène permettant des tarifs défiant toutes concurrences), le
transport aérien est logiquement en constante augmentation. Ses nuisances et ses émissions de gaz à effet de serre
le sont également, en tout logique. Dans ce domaine peu d'adaptations sont possibles, si nous voulons économiser
l'énergie et stabiliser le climat il faut adopter un comportement sobre. C'est du coup l'occasion de revoir notre
modèle et notre approche au voyage. Pour Jean Giono « l'aventure commence au bord du talus ». Le voyage peut
commencer en bas de chez soi. Si prendre l'avion régulièrement est une pratique peu durable, on peut envisager
une pratique « d'amortissement » : autrement dit voyageons plus longtemps et profitons-en en plus. On peut
également voyager avec des agences de voyages soutenant le tourisme durable. Consultez notre annuaire de
l'éco-consommation nous avons listées, les agence présentes sur le Grand Lyon. On peut également essayer de
compenser en carbone en soutenant une association qui entreprend des action de compensation : un projet qui
consiste a créer des action qui favorisent des systèmes, des comportements sobres en gaz à effet de serre qui
viendront « compenser » les émissions induites par un vol en avion par exemple. On parle alors de neutralité
carbone. Pour plus d'information consultez : www.compensationco2.fr [http://www.compensationco2.fr]
En ce qui concerne le tourisme en France métropolitaine 75 % de ses émissions de gaz à effet de serre sont liées
au transport. Le premier mode de transport des touristes français se rendant en région est la voiture : 83,5% de la
fréquentation est réalisée par les touristes utilisant la voiture. Le train est le deuxième mode de transport, avec
14,4% de la fréquentation dont 11,6% provient du TGV. Enfin l'autocar et l'avion représentent respectivement 1,6%
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et 0,3%. La aussi un tourisme « doux » est à redécouvrir. La région Rhône-Alpes regorge de richesse à découvrir en
prenant son temps. De plus le réseau ferroviaire y est dense ainsi que les transports en car. Voici quelques liens
vers des sites utiles pour s'organiser des vacances « vertes ».
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www.changerdapproche.org&amp ;nbsp [http://www.changerdapproche.org&nbsp] ; : base de données
européennes pour la mobilité douce et l'écotourisme en montagne :
www.multitud.org/&amp ;nbsp [http://www.multitud.org/&nbsp] ; : portail multimodal de la grande agglomération
lyonnaise
www.pignonsurrue.org/&amp ;nbsp [http://www.pignonsurrue.org/&nbsp] ; : la maison du vélo
www.tersncf.com/Images/Rhone_Alpes/...
[http://www.tersncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/D%C3%A9couvrez%20RA%20mag_tcm31-27886.pdf]
consultez également notre fiche sur les transports et la mobilité douce.
Où trouver des sources d'information sur
l'éco-consommation ?
Site internet :
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http://ecocitoyens.ademe.fr/mes-achats
www.ecoconso.be/ [http://www.ecoconso.be/]
www.mescoursespourlaplanete.com [http://www.mescoursespourlaplanete.com]
www.greenpeace.org/france/campagnes... [http://www.greenpeace.org/france/campagnes/ogm/documents]
Livres :
•
"Faut-il être végétarien ?" de Claude Aubert aux éditions Terre Vivante
Comment réduire ses émissions de gaz à effet de serre au quotidien/alimentation ?
En dehors des mesures d'économies d'énergie dans les transports et dans l'habitat que vous trouverez dans les
rubriques suivante (liens), nos consommations quotidiennes entrainent des émissions en gaz à effet de serre
conséquentes.
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