L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME sommaire Normes 333 Grandeurs et unités de mesures 334-335 Symboles 336-337 Règlementation accessibilité 338 Salles de bains : zones réglementées 338 Compatibilités chimiques 339 Les ballasts pour lampes fluorescentes 340 La technologie LED SERMES LAMDALUX partenaire DIALUX® 341-342 342 Tableau des éclairements 343-344 Etudes types 345-346 332 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME norme champs d’application Principales normes utilisées dans l’éclairage. NF EN 60-598-2-1 à NF EN 60-598-2-25 Relatives aux luminaires. Source AFNOR. NF EN 12464-1 Relative à l’éclairage des lieux de travail – intérieurs. NF EN 12464-2 Relative à l’éclairage des lieux de travail – extérieurs. NF C 71-121 Méthode simplifiée de prédétermination des éclairements dans les espaces clos et classifications correspondantes. NF X 35-103 Principes d’ergonomie visuelle applicables à l’éclairage des lieux de travail. NF EN 13032-1 Relative aux données photométriques des lampes et des luminaires. NF EN 13032-2 Relative aux caractéristiques photométriques des lampes et luminaires. NF EN 13032-3 Relative aux caractéristiques photométriques des lampes et luminaires en éclairage de sécurité. NF EN 12193 Relative à l’éclairage des installations sportives. NF EN 15193 Relative aux exigences énergétiques pour l’éclairage (performances énergétiques des bâtiments). LENI (Lighting Energy Numeric Indicator) L’indice LENI est déterminé dans le calcul énergétique selon la norme EN 15193. Il est utilisé avec les indices de chauffage, de ventilation et de production d’eau chaude pour déterminer et calculer les besoins énergétiques globaux d’un bâtiment. NF C 15.100 Norme qui règlemente les installations électriques basse tension. (protection de l'installation électrique et des personnes, confort de gestion, d'usage et évolutivité de l'installation). NF EN 13201-1 à 4 Relative à l’éclairage public. NF C 17-200 Relative aux installations d’éclairage public. NF EN 40 Relative aux mâts. NORMES CONDITIONS D’UTILISATION DES PRODUITS LAMDALUX 333 Sauf mention contraire, tous nos luminaires sont construits pour un ta = 25°C, 230V 50Hz. Les vitres montées sur nos appareils sont réalisées en verre trempé «sécurit», ce qui signifie qu’en cas de bris (rupture), la vitre se fragmente en petites pièces, sans danger pour les personnes et les biens. Malgré toutes les précautions utiles, il est impossible de garantir à 100% le non bris de la vitre. Un bris de vitre peut se produire exceptionnellement durant les premières heures de fonctionnement de l’appareil. Un tel risque doit être pris en considération. La durée de vie des sources à LED est indiquée pour une exposition à température de fonctionnement de 25° C (sauf indication particulière). Celle ci ne peut être rendue contractuelle dans le cadre de son intégration dans un luminaire. Pour des fréquences d’allumage et d’extinction importantes, nous consulter afin de prévoir les alimentations et sources adaptées. Il est recommandé de procéder à un rodage de 100 heures minimum pour atteindre le flux lumineux nominal, et pour réaliser la gradation des sources fluorescentes. Il est important de planifier une maintenance périodique des installations d’éclairage (remplacement sources + organes de l’alimentation). SERMES LAMDALUX se réserve le droit d’apporter des modifications de cotes, de modèles, de conception, ou de cesser la fabrication de certains articles figurant dans ce catalogue. Dans ce cas, SERMES LAMDALUX n’est pas tenu de fournir les articles supprimés ou aux anciennes spécifications. L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME LE FLUX LUMINEUX C’est la puissance totale de l’énergie radiante fournie par une source lumineuse. GRANDEURS ET UNITÉS DE MESURES Symbole : F ou φ 0,50 C + 0,30 T Ø Unité : lumen (lm) PARTIE DIRECTE Le flux lumineux émis par un appareil se divise en deux parties distinctes : Une partie émise vers le plafond : la composante indirecte représentée dans le symbole photométrique par la lettre T. Une partie dirigée vers le sol, représentée dans le symbole photométrique par une lettre comprise entre A et J, en fonction de l’intensité du faisceau (de intensif à extensif ). PARTIE INDIRECTE 50 % du flux des lampes est émis en direct 30 % du flux des lampes est émis en indirect C : Répartition définie suivant norme UTE 71121 T : Indirect Devant chacune de ces lettres se trouve la valeur du rendement lié à ces émissions. L’INTENSITÉ LUMINEUSE C’est la quantité de flux émise dans une direction donnée : notion de « rayon lumineux » (dφ émis dans un angle solide dΩ) dV Symbole : I Unité : candela (cd) Une source de lumière émet son flux lumineux (F) dans différentes directions et à différentes intensités. L'intensité de rayonnement visible dans une direction particulière s'appelle l'intensité lumineuse [I]. dø L’ÉCLAIREMENT L'éclairement est le rapport entre le flux lumineux et la zone devant être illuminée. Un éclairement de 1 lx se crée lorsqu'un flux lumineux de 1 lm est distribué de façon égale sur une zone de 1 mètre carré. Symbole : E Unité : lux (lx = lm/m²) 1 lx = 1lm/1m². (Attention : l’éclairement ne dépend pas des propriétés de la surface éclairée) LA LUMINANCE C’est de cette grandeur que dépend la sensation visuelle de luminosité. Symbole : L Unité : candela par m² (cd/m²) La luminance dépend des propriétés de réflexion de la surface éclairée et de la direction d’observation. Intensité Lumineuse (cd) Luminance (cd/m2) Afin de limiter l’éblouissement direct, des courbes limites de luminance ont été définies dans un angle d’observation entre 45° et 85°. Les abaques (de Bodmann et Söllner) permettent de vérifier si la luminance directe d’un luminaire reste inférieure aux limites en fonction de l’angle d’observation, du niveau d’éclairement de 2000 à 250 Lux et des 5 classes de qualité A, B, C, D et E (ces 5 classes de qualité sont fonction du travail effectué dans le local). La courbe de luminance inscrite se rapporte à la lampe fluo ayant un flux lumineux maximum (= 5400 lumens pour 58 W). Dans cet exemple les courbes de luminance se situant donc à gauche de la courbe limite des 1000 lux (classe de qualité B) nous pouvons affirmer que quel que soit l’angle d’observation, avec une disposition parallèle ou perpendiculaire au sens du regard il y a absence d’éblouissement. Eclairement (lx) Classe de qualité A (1.15) 2000 B (1.5) C (1.85) D (2.2) E (2.55) =85° hs =45° 45° 60° 65° g 70° Eclairement moyen initial (lux) 1000 2000 500 1000 2000 250 500 1000 2000 250 500 1000 2000 250 500 1000 250 500 250 85° 75° 8 6 4 70° 3 80° 65° 2 60° hv=h-1,2m (assis) hv=h-1,5m (debout) 55° a long. local (maxi) = hv hauteur de vision 50° 45° Implantation perpendiculaire au sens d'observation Implantation parallèle au sens d'observation courbe limite de luminance courbe de luminance Classe de qualité A B C D.E. = = = = taches minutieuses très exigeantes taches de bureau courantes; concentration importante ateliers pour pièces de taille moyenne; concentration faible hangars - entrepôts divers avec déplacement 334 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME GRANDEURS ET UNITÉS DE MESURES L’ÉBLOUISSEMENT L’éblouissement est l’ensemble des conditions dans lesquelles on éprouve une gêne ou une réduction de l’aptitude à distinguer de petits objets. Il existe : 1) l’éblouissement direct par les sources lumineuses, quantifié par l’UGR : a) si leur luminance est élevée b) s’il n’y a pas de grille sur le luminaire c) si le fond sur lequel elles se détachent est plus sombre 2) l’éblouissement indirect : La réflexion des sources de lumière par des surfaces brillantes amoindrit la perception visuelle et peut être une cause importante d’inconfort et de fatigue visuelle UGR (UNIFIED GLARE RATING) Méthode d’évaluation du taux d’éblouissement. La méthode du taux d’évaluation ne se fera plus au travers des abaques de Bodmann et Sölner mais grâce à la méthode simplifiée en utilisant les tableaux UGR. On distingue au total 8 classes d’UGR : UGR = 10 - 13 - 16 - 19 - 22 - 25 - 28 - 31. Plus la valeur d’UGR est faible, plus l’éblouissement est faible. L’UGR est déterminé dans les deux directions d’observation, à savoir dans le sens transversal d’observation du luminaire ainsi que dans le sens longitudinal. TEINTE DE LA LUMIÈRE La teinte de la lumière d'une lampe peut être définie en termes de température de couleurs. Cette grandeur exprime la façon dont est perçue la lumière en comparaison avec la couleur d ’un corps étalon ( corps noir ) placé à cette température ( exprimé en K ). Les lampes sont classées en trois catégories : teintes chaudes T ≤ 3300 K teintes intermédiaires ( ou neutres ) 3300 K < T ≤ 5300 K teintes froides T > 5300 K LE RENDU DES COULEURS Cet indice est la mesure exprimant la correspondance entre la couleur d'un objet (sa "couleur auto-lumineuse") et son aspect sous une source de lumière de référence. S’il n’y a aucune différence d ’aspect entre l ’objet coloré éclairé par la lampe étudiée et par la source de référence de même Tc, l ’indice calculé est 100. Une source à incandescence ou aux halogènes a un IRC (Ra) de 100. Les indices inférieurs à 50 ne sont pas significatifs. L’EFFICACITÉ LUMINEUSE L’efficacité lumineuse est le rapport entre le flux lumineux produit par la source en lumen et sa puissance électrique en Watt. 335 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME Le marquage CE est un marquage rendu obligatoire par les directives du Parlement européen et du Conseil de l'Union Européenne (93/68/CEE). Il apparaît sur les produits électriques et électroniques et sur leurs emballages. Ce marquage repose sur des directives précises qui encadrent la fabrication des luminaires d'un point de vue sécurité électrique et compatibilité électromagnétique. SYMBOLES F Le marquage F ne doit plus être indiqué sur les luminaires. Ils sont dorénavant classés selon le matériau de la surface d’appui pour laquelle le luminaire est conçu. symbole définition aucun Luminaires conçus pour être installés sur des surfaces normalement inflammables. Luminaires ne convenant pas au montage direct sur des surfaces normalement inflammables et convenant uniquement pour un montage sur des surfaces non combustibles. Luminaires ne pouvant pas être recouverts d’un matériau isolant thermique. ESSAI AU FIL INCANDESCENT Depuis Mai 2010 : les paragraphes 2 & 3 de l’article EC 5 du Règlement dans les ERP concernant les essais au fil incandescent ont été supprimés. Le règlement de sécurité des établissements recevant du public (ERP), ne comporte plus aucune exigence de test au fil incandescent. C’est dorénavant la norme EN 60598 qui s’applique : Locaux concernés ERP(1) Date application mai 2010 IGH(1) Date application avril 2012 Circulations horizontales et escaliers 650 °C 850 °C Autres locaux 650 °C 650 °C (1) ERP : Établissement Recevant du Public IGH : Immeuble de Grande Hauteur (hauteur du plancher du niveau le plus haut supérieure à 28 m). RoHS La Directive européenne RoHS (Restriction of the use of certain Hazardous Substances in electrical and electronic equipment) vise à limiter l'utilisation de six substances dangereuses dans les équipements électriques et électroniques. Depuis le 1er juillet 2006, tout nouveau produit mis sur le marché dans l'Union européenne ; qu'il soit importé ou fabriqué dans l'Union, doit être conforme à la directive. Depuis le 22 juillet 2014 le marquage CE incorpore le RoHS : Tout produit électrique marqué CE doit être RoHS. Les substances concernées sont : le plomb, le mercure, le cadmium, le chrome hexavalent, les polybromobiphényles (PBB), les polybromodiphényléthers (PBDE). ÉVALUATION DE LA SÉCURITÉ PHOTOBIOLOGIQUE Depuis le 1er Janvier 2014, la norme du luminaire EN 60598-1 ed.8 prend obligatoirement en compte le risque rétinien lié à la lumière bleue des LED et impose l'évaluation de la sécurité photobiologique des luminaires avec LED ou modules LED intégrés selon la norme EN 62471. La Directive Européenne Basse Tension (DBT) 2006/95/CE impose donc aux fabricants et vendeurs de lampes et appareils d’éclairage, y compris ceux à LED, d’évaluer et de communiquer le niveau de sécurité photobiologique des produits commercialisés en Europe. Cette disposition entre dans le cadre du marquage CE et relève du domaine légal. L’évaluation de la sécurité photobiologique permet de déterminer le groupe de risques auquel appartient le produit mesuré conformément aux dispositions règlementaires en vigueur. groupe description générale 0 sans risque ne présente aucun risque photobiologique 1 risque faible aucun risque photobiologique sans des conditions normales d’utilisation 2 risque modéré ne présente pas de risque lié à la réponse d’aversion pour les sources trés brillantes ou en raison de l’inconfort thermique 3 risque élevé risque potentiel même pour une exposition momentanée ou courte 336 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME Le sigle ta = ... °C selon la norme EN 60598/VDE 0711 indique la température ambiante assignée nominale admise à laquelle un luminaire peut fonctionner. En l’absence d’indication sur la température, les luminaires sont conçus pour une température ambiante par défaut de ta = 25 °C (utilisation intérieur et extérieur). La norme NF EN 60 598-1 luminaires prévoit un fonctionnement temporaire à une température ne dépassant pas (ta+10)°C. La norme NF C 15 100 : température ambiante - Risque AA4 – tempérée prévoit quant à elle une utilisation des luminaires dans une ambiance dont la température pourra varier dans le temps de - 5°C à + 40°C. Mise en garde : dans le cas où un luminaire est prévu de fonctionner de façon permanente dans une ambiance où la température (Ta) serait supérieure aux limites du Ta du luminaire, il est impératif de contacter votre correspondant chez SERMES pour étudier avec lui le produit le plus adapté à cet environnement. Dans le cas contraire et sans information de votre part, SERMES se dégage de toutes responsabilités quant aux dysfonctionnements et dommages subis sur le luminaire et sur l’installation d’éclairage. Ta symbole CLASSIFICATION ÉLECTRIQUE INDICE IP IP classe description classe I isolation fonctionnelle avec mise à la terre de toutes les parties métalliques accessibles classe II isolation double ou renforcée des parties accessibles. Pas de mise à la terre. classe III protection par une alimentation en très basse tension de sécurité (<50 V). L’indice IP est composé de deux chiffres : le premier (de 0 à 6) indique le degré de protection contre la pénétration des corps solides et des poussières le second (de 0 à 8) indique le degré de protection contre l’humidité. IP par le dessous INDICE IK 337 IK corps solides humidité IP0x aucune protection IPx0 aucune protection IP1x protection contre les corps solides de plus de 50 mm (dos de la main) IPx1 protection contre les chutes verticales de gouttes d’eau IP2x protection contre les corps solides de plus de 12 mm (doigt de la main) IPx2 protection contre les chutes obliques de gouttes d’eau avec une inclinaison maximale de 15° IP3x protection contre les corps solides de plus de 3,5 mm (outils, fils) IPx3 protection contre l’eau de pluie avec une inclinaison maximale de 60° P4x protection contre les corps solides de IPx4 plus de 1 mm (outils fins, petits fils) protection contre les projections d’eau IP5x protection contre les poussières, pas de dépôt nuisible IPx5 protection contre les jets d’eau puissants (paquets de mer) IP6x étanche à la poussière IPx6 protection contre les jets d’eau IPx7 protection contre l’immersion temporaire IPx8 protection contre l’immersion prolongée L’indice IK (énergie de choc) indique le degré de protection de 1 à 10 contre la protection des dommages mécaniques. indice énergie (joule) indice énergie (joule) indice énergie (joule) IK01 0,15 IK05 0,70 IK09 10 IK02 0,23 IK06 1 IK10 20 IK03 0,35 IK07 2 IK04 0,50 IK08 5 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME RÈGLEMENTATION ACCESSIBILITÉ (plus d’information sur http://www.accessibilite-batiment.fr/) La réglementation technique relative à l’accessibilité du cadre bâti aux personnes handicapées est applicable depuis le 1er janvier 2007 aux bâtiments neufs ou rénovés accueillant des établissements recevant du public ou des locaux d’habitation. NIVEAU D’ÉCLAIREMENT MOYEN MINIMUM À MAINTENIR AU SOL Parties communes Cheminements extérieurs accessibles (en tout point)* 20 lux Circulations intérieures horizontales (en tout point)* 100 lux Postes d’accueil (au droit)* 200 lux Paliers d’ascenseur (en tout point)* 100 lux Escaliers (en tout point)* 150 lux Intérieur des locaux collectifs (en tout point)* 100 lux Parcs de stationnement intérieurs et extérieurs Circulations piétonnes des parcs de stationnement couverts (en tout point)* 50 lux Parcs de stationnements extérieurs 20 lux *Par “valeur d’éclairement minimale mesurée au sol en tout point”, il faut comprendre “niveau d’éclairement moyen horizontal à maintenir”. (source FAQ http://www.accessibilite-batiment.fr/) DISPOSITIF DE COMMANDE AUTOMATIQUE Dans le cas d’un fonctionnement par détection de présence, la détection doit couvrir l’ensemble de l’espace concerné et deux zones de détection successives doivent obligatoirement se chevaucher. Un usager, quelle que soit sa taille, qui emprunte une circulation commune équipée d’un système d’éclairage fonctionnant par détection de présence, ne doit pas risquer de se trouver dans l’obscurité. TEMPORISATION L’objectif est de fournir un signal prévenant de l’extinction imminente du système d’éclairage afin qu’une personne ne puisse pas se retrouver subitement dans l’obscurité. Cette exigence peut être satisfaite par une diminution progressive ou par paliers du niveau d’éclairement, ou par tout autre système de préavis d’extinction. SALLE DE BAINS (plus d’information sur http://www.accessibilite-batiment.fr/) VOLUME 0 Aucun appareillage électrique n’est autorisé à l’intérieur de ce volume. VOLUME 1 Aucun appareillage électrique n’est autorisé à l’intérieur de ce volume à l’exception des équipements TBTS dont la tension est inférieure à 12V. Toutefois les chauffe-eau sont admis. VOLUME 2 À l’intérieur de ce volume sont admis : Les appareils admis dans le volume 1. Les appareils de classe 2 ( CL II ). Les luminaires à poste fixe alimentés en basse et très basse tension, y compris ceux incorporés dans les armoires de toilette, ainsi que leurs interrupteurs éventuels incorporés, sous réserve qu’ils soient installés à une hauteur d’au moins 1,60 m au-dessus du niveau du sol. VOLUME 3 À l’intérieur de ce volume sont admis : Les appareils admis dans les volumes 1 et 2. L’appareillage électrique (prises 2P+T, interrupteurs). Les appareils de classe I (luminaires et convecteurs). IPX3 Volume 3 Volume 2 3m Volume 1 IPX4 2,40 m 60 cm 60 cm 2,40 m 225 m IPX1 Volume 0 338 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME COMPATIBILITÉS CHIMIQUES Résistance chimique des matériaux Acétone Acide acétique jusqu'à5 % Acide acétique jusqu'à 30 % Acide chlorhydrique (HCl) < 20 % Acide chlorhydrique (HCl)> 20 % Acide de batterie Acide de brome Acide nitrique jusqu'à 10 % Acide nitrique jusqu'à 20 % Acide nitrique à partir de 20 % Acide sulfureux jusqu'à 5 % Acide sulfurique (H2S04) < 50 % Acide sulfurique (H2S04) < 70 % Acide sulfurique (H2S04) > 70 % Acide sulfurique (H2S04) > 98 % Ammoniac 25 % Aniline Benzine (white-spirit) Benzol Bière Cétones Chloroforme Chlorphénol Chlorure de méthylène Crésol Diesel Dioxane Eau de mer Eau jusqu'à 60°C Eau savonneuse Essence de térébenthine Essence normale Essence super Éthanol < 30 % Éthanol > 30 % Ether Ether de pétrole Ethylacétate Gazole, pétrole brut Glycérine Glycol Glysantin Graisses animales Graisses minerales Graisses végétales Huile de silicone Hydrocarbures aliphatiques Hydrocarbures aromatiques lsopropanol Lait de chaux Mazout Méthanol Monoxyde de carbone Mousse de savon synthétique Oxyde de carbone Peroxyde d'hydrogène jusqu'à 40 % Peroxyde d'hydrogène au-delà de 40 % Phénol Potasse 30 % Pyridine Sang Solution de chlorure de sodium Soude Soude caustique 2 % Soude caustique 10 % Sulfure d'hydrogène Tétrachlorure de carbone Toluène Trichloroéthane Xylène 앪 non résistant - 앬 résistant 339 Recommandations selon applications PC PMMA Polyester 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앪 앪 - 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앬 앬 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앬 앬 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬 앪 앬 앬 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앪 앬 앬 앪 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬 앬앬 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앪 앪 앪 앪 앪 앪 앬 앪 앪 앪 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬 앪 앬 앪 앬 앬 앬 앪 앪 앬 앪 앪 앪 앪 앪 앬 앪 앪 앪 Locaux humides Fournils Caves humides Cuisine de préparation des aliments Cuisines industrielles pour animaux Zones humides Caves à bière et à vin Brasseries Caves à vin (désinfection des fûts au soufre) Salles de pompes Entreprises de transformation de viande Entreprises de galvanisation (attention : ne pas utiliser de V2A) Serres Fromageries Laiteries Stations de lavage / tunnels de lavage (voitures) Locaux ou zones dans des stations de bain ou de lavage Salles de bains / douches Bains thermaux / thalassothérapie Etablissements agricoles Traitements des fourrages Serres Entrepôts / réserves de foin. Paille, aliments, engrais Locaux d’élevage d’animaux (étables) Etablissements à risque d'incendie (FF uniquement dans Ia version B.E.) Traitement du bois Traitement du papier Traitement des textiles Ateliers de théâtre Séchoirs Garages Garages en sous-sol Parkings Petits garages Dépôts de véhicules Installations extérieures Installations sur rampes (sous abri) Entrées (sous toit) Quais couverts Stations-services couvertes Auvents Xylène fortement recommandé utilisable non utilisable PC PMMA Polyester 앬 앬 앬 앪 앬 앬앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬앬 앪 앬앬 앬앬 앬 앬 앬 앪 앬 앬앬 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬앬 앬앬 앪 앬 앬 앪 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬앬 앬 앬 앪 앬앬 앬 앬 앬 앬 앪 앬앬 앬 앪 앬앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 앬 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME LES BALLASTS POUR LAMPES FLUORESCENTES Les ballasts sont classés par famille : Les ballasts de classe B1 et B2 sont des ballasts ferromagnétiques. Les ballasts de classe A3 sont des ballasts électroniques. Les ballasts de classe A2 Sont des ballasts électroniques faibles pertes. Les ballasts de classe A1 sont des ballasts à gradation. BALLAST ÉLECTRONIQUE Le ballast électronique est un ballast performant et comme tout appareillage constitué de composants électronique, il est sensible : aux températures élevées (le Ta est indiqué sur le produit). aux perturbations de courants (pics de tension, changement de fréquence, déphasage...). au nombre trop élevé d’allumages. BALLAST ÉLECTRONIQUE À GRADATION Avec les lois et réglementations successives visant à réduire la facture énergétique, cette technologie présente à ce jour la meilleure solution pour gestion d’éclairage et les économies d’énergie dans le bâtiment. Gradation analogique (système 1-10V) C’est le système le plus simple et le moins onéreux. La gradation s’effectue via un courant continu et une variation de tension dans les fils de commande du ballast. Les variations envoyées par le potentiomètre transmettent un signal que décode le système électronique du ballast pour faire varier l’intensité lumineuse. Ce système nécessite de respecter la polarité au niveau du câblage. Les limites de ce type de ballast sont qu’il ne peut y avoir 2 organes de commandes (potentiomètres) sur un seul ballast (pas de va et vient), et que la longueur du câble de commande est limitée au risque que se produisent des chutes de tension. Gradation par bouton poussoir (également appelé switch control) : ce type de gradation offre des possibilités supplémentaires au système 1-10V ; c’est une solution simple et économique pour gérer l’éclairage. Le principe est une variation de l’intensité lumineuse par des impulsions électriques envoyées par le B.P. au ballast. L’avantage également est que les ballasts peuvent être mis en parallèle. A la différence du 1-10V, il n’y a pas de polarité à respecter excepté dans le cas d’une installation des ballasts en parallèle. Ballast DSI Le protocole DSI est un protocole propriétaire développé par TRIDONIC pour concurrencer le protocole DALI. C’est une gradation numérique monodirectionnelle et non adressable : tous les ballasts connectés sur un même bus DSI réagiront de la même façon. Ballast DALI Le système DALI est un protocole universel permettant une gestion non seulement des ballasts pour lampes fluorescentes mais également pour lampes à décharge et LED. Ce système permet une gestion fine des installations d’éclairage puisqu’il effectue un adressage individuel des luminaires. A l’inverse du DSI, le protocole DALI est bidirectionnel et permet l’échange d’informations entre le système de gestion et le luminaire. De base, 64 adresses peuvent être gérées sur un bus DALI ; au-delà, un routeur est nécessaire pour relier les différents bus. Le système accepte une longueur du câble de commande plus important que le 1-10V. 340 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME LA TECHNOLOGIE LED Une LED (Light-Emitting Diode) est un composant électronique capable d'émettre de la lumière lorsqu'il est parcouru par un courant électrique ; c'est un composant faisant partie de la famille des composants optoélectroniques LA DURÉE DE VIE La luminosité d’un module LED diminue tout au long de sa durée de vie. Cette valeur est représentée par la valeur ‘L’. L70 signifie que le module fournira 70% de son flux initial. La seconde valeur ‘F’ définit la combinaison entre la quantité de modules qui seront en dessous de la valeur ‘L’ et la quantité de modules pouvant être considérés comme défectueux. Ainsi L70F20 signifie que 20% des modules seront considérés comme défectueux ou possédant une valeur inférieur à 70% au flux initial au bout de 50 000 heures. La maîtrise de la régulation de la température de fonctionnement des LED est primordiale pour garantir leur flux et leur durée de vie. LES DIFFÉRENTS TYPES DE LED ET LEUR PUISSANCE Les principales technologies sont: Les LED SMD (Surface Mounted Device) Une LED SMD est un composant CMS (Composant monté en surface), c'est à dire que le composant est directement soudé sur la face avant du circuit imprimé. Les LED SMD existent en basse puissance et haute puissance. LED SMD basse puissance Elles sont montées sur les bandeaux et certains spots ou sources ; 2 modèles : les modèles "simple cœur" et les modèles "triple cœur" ; Le modèle triple cœur permet d'intégrer trois LED de couleurs différentes dans une seule LED il est utilisé pour réaliser des changements de couleur (RGB). La puissance lumineuse dépend du nombre de LED installées LED SMD haute puissance Elles font au moins 1W et sont montées sur tout type de supports. Elles nécessitent des systèmes permettant de dissiper la chaleur actifs (ventilateur) ou passifs (radiateurs). Elles sont constituées d’une base de LED SMD poussées au maximum de leurs capacités sur laquelle on ajoute une lentille qui multiplie la puissance lumineuse de la source. Cela permet d’obtenir un rendement et une intensité lumineuse supérieurs à la LED SMD basse puissance. Les LED COB (Chip On Board). C’est la technologie la plus récente ; ce sont des puces LED montées en surface sur un support aluminium et interconnectées en série de façon à constituer une surface éclairante large et homogène. LES AVANTAGES DE LA LED Efficacité lumineuse élevée (lm/W) : elles permettent des économies de 60 à 90% par rapport aux lampes à incandescence conventionnelles ou à décharge (sodium ou vapeur de mercure), et de 10 à 20% par rapport aux lampes fluocompactes. Le flux directionnel des lampes LED optimise la lumière émise et réduit ainsi la consommation d’énergie et la pollution lumineuse. Indice du Rendu des Couleurs important (Ra > 80) Une extraordinaire économie d’énergie Un coût de maintenance minimum : En raison de leur longue durée de vie, la technologie LED limite les maintenances. Elles sont de plus extrêmement bien adaptées aux éclairages compliqués ou coûteux à installer et à entretenir (illuminations, ponts etc.). Une économie importante dans de nouvelles installations : L’utilisation de produits LED requière des câbles dont la section est très inférieure aux installations d’éclairage avec sources à décharge. Une longue durée de vie utile : La durée de vie des LED peut être de 50 000 heures voire plus pour les dernières générations (une lampe allumée en moyenne 8 heures par jour a une durée de vie de 17 ans). Une plus grande sécurité d’installation et d’utilisation : Les lampes LED fonctionnent à très basse tension (< 32v) et génèrent une chaleur minime, ce qui offre une grande sécurité d’installation et d’utilisation. Une plus grande fiabilité et une plus grande résistance mécanique (à l’impact) : Les lampes LED résistent à de grandes variations de température et aux vibrations, ce qui garantit un fonctionnement continu. Elles ne sont pas fragiles et se cassent. 341 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME LA TECHNOLOGIE LED Un IRC élevé : Les lampes LED se déclinent dans une large gamme de couleurs (réelles) et ont un (CRI) Indice de Rendement Chromatique (Ra>80) élevé. Par ailleurs, les lampes LED permettent d’obtenir des couleurs vives sans filtre et sans perte d’énergie. Une technologie à la pointe : La technologie LED est parfaitement adaptée aux systèmes de variation ; contrairement à d’autres sources, la durée de vie utile des LED est augmentée dans le cas d’une utilisation avec ces systèmes. Les LEDs permettent des cycles de commutations illimités, sans affecter ni leur rendement et ni leur fonctionnement. Des rendements élevés grâce à leurs dimensions réduites et leur flux directif Source de lumière monochromatique, sans génération de rayons ultraviolets ou infrarouges, elles sont idéales l’éclairage des monuments historiques et de la végétation sans risque de dommages. Protection de l’Environnement : Les lampes LED sont recyclables et ne polluent pas l’environnement. Les principaux inconvénients Les deux inconvénients majeurs des LED sont : • une luminance (très) élevée (éblouissement dû à la faible surface éclairante) • La dégradation à la chaleur. SERMES LAMDALUX partenaire DIALUX® Logiciel de calcul sous Windows Le logiciel DIALUX permet de simuler l'éclairage à l'intérieur et à l'extérieur des pièces, de calculer et de vérifier de façon professionnelle tous les paramètres des installations d'éclairage, (gymnases, ateliers, entrepôts,..) fournissant des résultats précis selon les dernières règlementations. Qualité, performance, précision, fonctionnalité et rapidité. FONCTIONNALITÉS Calcul d’éclairement moyen avec visualisation des résultats sous forme de courbes isolux, point par point ou diagramme des nuances. Implantation individuelle ou groupée de luminaires. Visualisation d’une représentation 3D du projet sous forme de rendu réel. Bibliothèque de mobilier évolutive. Choix sur les textures du mobilier et des parois. Import de plans aux formats DXF et DWG. Implantation de plans de calculs conformes aux fédérations sportives. Edition des résultats au format PDF. RECOMMANDÉ Processeur: P IV ou plus haut Fréquence: 1.4 GHz ou plus Mémoire principale: 1GB RAM Carte graphique: Carte graphique compatible avec OpenGL, 1280x1024px SYSTÈME D’ADMINISTRATION Windows Vista Windows 2000 (SP4) Windows XP TÉLÉCHARGEMENT Le logiciel DIALUX® est téléchargeable gratuitement sur le site internet www.dialux.com. Le PLUG IN DIALUX® contenant la base de données LAMDALUX est disponible en téléchargement sur le site www.sermes.fr dans la rubrique éclairage.Il regroupe les descriptions, les photométries, les photos, ainsi que les dimensions de chaque luminaire. 342 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME Extraits des recommandations relatives à l’éclairage des lieux de travail intérieur selon l’Association Française de l’Eclairage (AFE) et selon la norme européenne NF EN 12464-1. TABLEAU DES ÉCLAIREMENTS ÉCLAIRAGE INTÉRIEUR LOCAUX D’INTÉRIEUR TACHE OU ACTIVITÉ AFE Ecl. (lux) LOCAUX INDUSTRIELS Norme NF EN 12464-1 Ecl. (lux) UGRL U0 TACHE OU ACTIVITÉ IRC (Ra) AFE Norme NF EN 12464-1 Ecl. (lux) Ecl. (lux) UGRL U0 IRC (Ra) 80 à 250 100 28 0,40 40 Poulaillers 40 50 - Étables, salle de traite, préparation des aliments du bétail BUREAUX ET LOCAUX ADMINISTRATIFS Couloirs, escaliers Bureaux de travaux généraux, dactylographie 425 500 19 0,60 80 BÂTIMENTS AGRICOLES Salles de dessins, tables 850 750 16 0,70 80 Salles de conférence et de réunion 125 200 25 425 500 19 0,60 80 Étables, couloirs d’alimentation 25 50 - Réception 250 300 22 0,60 80 Laiterie 250 200 25 40 0,60 80 40 0,60 80 ÉTABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT INDUSTRIES ALIMENTAIRES (Pour plus de détails, voir l’arrêté du 30 mars 1965 du Ministre de l’Education Nationale) Brassage-laiteries-cuisson 250 300 25 0,60 80 Préparation du chocolat brut 125 200 25 0,40 80 Conditionnement bouchées confiserie, conserveries 425 500 22 0,60 80 Salles de classe en primaire et secondaire 325 300 19 0,60 80 Salles de classe pour les cours du soir et enseignement aux adultes, amphithéâtres 325 500 19 0,60 80 Scieries 125 300 25 0,60 60 Tableaux, salles de dessin d’Art 425 500 19 0,60 80 Travail à l’établi 250 300 25 0,60 80 Travail aux machines 425 500 19 0,60 80 INDUSTRIES DU BOIS Tables de démonstration, laboratoires 625 500 19 0,60 80 Finition, polissage, vernissage 425 750 22 0,70 80 Bibliothèques, tables de lecture 425 500 19 0,60 80 Contrôle final 625 1000 19 0,70 90 Boutiques/Zones de vente 200 300 22 0,40 80 Moulage, presses 250 300 25 0,60 80 Self-services 300 Vernissage 425 750 19 0,70 80 Grandes sur faces 500 Décoration 425 1000 16 0,70 90 INDUSTRIES CÉRAMIQUES MAGASINS LOISIRS - RÉSIDENCES - LIEUX DE CULTE INDUSTRIES CHIMIQUES Salles de spectacles Fabrication des pneus 250 500 22 0,60 80 125 Calandrage, injection 425 300 25 0,60 80 80 Salles de contrôle, laboratoires 425 500 19 0,60 80 Salles de cinéma 40 Comparaisons de couleurs 850 1000 16 0,70 90 Salles des fêtes 250 INDUSTRIE DU CUIR Foyers Amphithéâtres Hôtels Réception, halls, salles à manger, chambres et annexes 250 Vernissage 425 500 22 0,60 80 Couture, comparaison de couleurs 850 1000 16 0,70 90 CONSTRUCTIONS ÉLECTRIQUES ET ÉLECTRONIQUES Montage, travail de petites pièces 625 750 19 0,70 80 Nef 80 Travail de pièces moyennes 425 500 22 0,60 80 Chœur 125 Travail très délicat ou très petites pièces 1250 à1750 1000 16 0,70 80 Nettoyage, modelage grossier 175 200 25 0,40 80 Modelage fin-fabrication des noyaux 425 300 25 0,60 80 Sablerie 250 300 25 0,60 80 Pupitre de composition 625 1000 19 0,70 80 Lithographie 850 1000 19 0,70 80 250 300 25 0,60 80 Cardage, étirage-bobinage 250 300 22 0,60 80 Filage-tissage gros ou clair 425 500 22 0,60 80 Tissage fin ou foncé 625 750 22 0,70 80 Comparaison de couleurs 850 1000 16 0,70 90 Soufflage ou moulage 250 300 25 0,60 80 Décoration-gravure 425 750 16 0,70 80 850 1000 16 0,70 90 Églises FONDERIES INDUSTRIE DU LIVRE INDUSTRIES DU PAPIER Calandrage INDUSTRIES TEXTILES INDUSTRIE DU VERRE INDUSTRIE DU VÊTEMENT Piqûre-contrôle final 343 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME TABLEAU DES ÉCLAIREMENTS ÉCLAIRAGE SPORTIF Extraits de la norme NF EN 12193 et des réglements de fédérations. Éclairements moyens horizontaux à maintenir en lux, demandés par la plupart des fédérations sportives nationales extraits des réglements fédéraux. Ces valeurs sont à respecter impérativement dans le cas d’une homologation. Elles sont définies sur des semis spécifiques à chacun des sports concernés. Les uniformités (Emin/Emoy) à respecter doivent être généralement supérieures à 0,7 pour tous les sports. Vous trouverez dans le guide de l’éclairage des installations sportives publié par l’Association Française de l’ Éclairage (AFE) en juille 2007, les exigences de la norme et de quelques fédérations DISCIPLINE ÉCLAIREMENT HORIZONTAL (LUX)* FOOTBALL entraînement réduit / normal catégorie E5 catégorie E4 catégorie E3 catégorie E2 (3) catégorie E1 (3) 75 (2) 120 200 480 800 1000 JUDO entraînement compétition nationale, régionale et internationale 600 de 1100 à 1400 (1) SQUASH entraînement compétition 600 800 TENNIS DE TABLE entraînement compétition 300 500 ATHLÉTISME (intérieur) entraînement compétition nationale et régionale compétition internationale 200 250 à 625 1000 BASKET, HANDBALL, entraînement TENNIS,VOLEY, compétition nationale et régionale BADMINTON 300 de 500 à 1000 (1) ESCRIME 500 800 compétition nationale et régionale compétition internationale * éclairement horizontal à maintenir (facteur de maintenance 0,8) (1) Valeurs liées au niveau de la compétition : se reporter aux règles d’homologation fédérale. (2) Non définie par la fédération. (3) Éclairement vertical moyen requis compris entre 0,5 et 2 fois l’éclairement horizontal moyen. 344 L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME ÉTUDES TYPES TERRAINS DE FOOTBALL Semis FFF 25 points. Niveaux d’éclairements à maintenir (dépréciation 0,8). Terrain type de 100m x 60m catégorie luminaire nombre de mâts disposition des mâts recul et déport m hauteur moyenne des luminaires m nombre total de projecteurs éclairement moyen lux uniformité Emin/Emoy Emin/Emax Entrainement 75 lux KHEOPS I.M. 2Kw asymétrique 4 3 18,0 / 82,0 14,0 8 75 0,5 0,27 E5 - régional 120 Lux RHODES I.M. 2 Kw asymétrique 6 4m 18,0 / 50,0 / 82,0 16,0 10 125 0,81 0,7 E5 - régional 120 Lux RHODES I.M. 2 Kw asymétrique 4 4m 18,0 / 82,0 18,0 12 124 0,76 0,61 Terrain type de 105m x 70m catégorie luminaire nombre de mâts disposition des mâts recul et déport m hauteur moyenne des luminaires m nombre total de projecteurs éclairement moyen lux uniformité Emin/Emoy Emin/Emax Entrainement 75 lux KHEOPS I.M. 2Kw asymétrique 4 3 18,0 / 82,0 14,0 8 75 0,5 0,27 E5 - régional 120 Lux RHODES I.M. 2Kw asymétrique 6 4m 18,5 / 52,5 / 86,5 16,0 12 133 0,76 0,51 E5 - régional 120 Lux RHODES I.M. 2Kw asymétrique 4 4m 19,0 / 85,0 18,0 12 129 0,76 0,52 E4 - régional 200 Lux RHODES I.M. 2Kw asymétrique 4 4m 19,0 / 86,0 22,0 20 208 0,74 0,55 TENNIS DOUBLE EXTÉRIEUR Terrain type de 36m x 18m – Semis FFT 15 points Niveaux d’éclairements à maintenir (dépréciation 0,8). catégorie 345 luminaire nombre de mâts nombre total de luminaires hauteur moyenne des luminaires m éclairement moyen lux uniformité Emin/EMoy Emin/EMax 300 lux EVOLUTION I.M. 400W Asymétrique 6 24 9 328 0,79 0,68 500 lux 6 16 9 509 0,75 0,61 KHEOPS IM 1000W asymétrique L’ATELIER D’ÉCLAIRAGISME ÉTUDES TYPES TENNIS DOUBLE INTÉRIEUR Terrain type de 36m x 18m – Semis FFT 15 points Niveaux d’éclairements à maintenir (dépréciation 0,8). catégorie luminaire nombre total de luminaires hauteur moyenne des luminaires m éclairement moyen lux uniformité Emin/EMoy Emin/EMax PLAYER I.M. 400W + SHP 400W 20 7 593 0,76 0,61 STATUS 4x80W extensive avec grille de protection 40 7 521 0,79 0,63 500 lux SALLE MULTISPORT Terrain type de 42m x 22m - Niveaux d’éclairements à maintenir (dépréciation 0,8). Hand-Ball : Semis FFHB 14 points – Basket-Ball : Semis FFBB 13 points Tennis : Semis FFT 15 points – Volley-Ball : Semis FFVB : Semis 10 points sport catégorie luminaire nombre total de luminaires hauteur moyenne des luminaires m éclairement moyen lux uniformité Emin/EMoy Emin/EMax 300 lux PLAYER I.M. 400W + SHP 400W 10 7 - - - Hand-Ball - - - - 354 0,77 0,60 Basket-Ball - - - - 382 0,81 0,69 Tennis - - - - 355 0,82 0,71 Volley-Ball - - - - 344 0,89 0,84 - 500 lux MAX/P LED 380 Asymétrique 5.000°K 26 7 - - - Hand-Ball - - - - 514 0,77 0,63 Basket-Ball - - - - 685 0,74 0,51 Tennis - - - - 625 0,79 0,58 Volley-Ball - - - - 604 0,84 0,68 - 500 lux PLAYER I.M. 400W + SHP 400W 16 7 - - - Hand-Ball - - - - 564 0,79 0,71 Basket-Ball - - - - 558 0,90 0,84 Tennis - - - - 550 0,81 0,69 Volley-Ball - - - - 537 0,92 0,83 346 Une équipe de technico-commerciaux à votre écoute dans votre région. Patrick LEBLANC 06 03 12 18 95 [email protected] Rudy PLANTARD 06 14 47 90 38 [email protected] Jean Claude KLIMASZEWSKI 06 14 47 93 10 [email protected] REGION PARISIENNE VAL-D’OISE 95 93 SEINE-ST-DENIS 75 VILLE DE PARIS HAUTS-DE-SEINE 92 94 VAL-DE-MARNE Laurent MASSON 06 09 12 92 18 [email protected] PAS-DECALAIS 62 ESSONNE 91 NORD 59 SOMME 80 José CUVELIER 06 03 99 45 88 [email protected] SEINE-MARITIME 76 AISNE 02 ARDENNES 08 MANCHE 50 CALVADOS14 EURE 27 78 ORNE 61 COTES D’ARMOR 22 ILLE-ETVILAINE 35 MAYENNE 53 MORBIHAN 56 SEINE-ETMARNE 77 EURE-ET LOIRE 28 HAUTEMARNE 52 LOIRET 45 VOSGES 88 MAINE-ETLOIRE 49 INDRE-ETLOIRE 37 LOIRE-ETCHER 41 COTE D’OR 21 DOUBS 25 NIEVRE 58 58 CHER 18 VENDEE 85 Cyril BOURGEON 06 29 12 11 72 [email protected] DEUXSEVRES 79 HAUTRHIN 67 HAUTESAONE 70 YONNE 89 LOIREATLANTIQUE 44 BAS-RHIN 67 MEURTHE- ETMOSELLE 54 AUBE 10 SARTHE 72 MOSELLE 57 MEUSE 55 MARNE 51 YVELINES FINISTERE 29 Gregory SCHEMEL 06 14 47 92 56 [email protected] OISE 60 INDRE 36 SAONE-ET-LOIRE 71 VIENNE 86 TERRITOIRE-DEBELFORT 90 Nicolas MAUXION 06 14 47 93 93 [email protected] JURA 39 ALLIER 03 CREUSE 23 CHARENTEMARITIME 17 CHARENTE 16 HAUTEVIENNE 87 AIN 01 PUY-DE-DOME 63 HAUTE-SAVOIE 74 LOIRE RHONE 69 42 SAVOIE 73 CORREZE 19 ISERE 38 DORDOGNE 24 CANTAL 15 HAUTE-LOIRE 43 GIRONDE 33 LOT 46 LOT-ETGARONNE 47 LANDES 40 AVEYRON 12 TARN-ETGARONNE 82 LOZERE 48 ARDECHE 07 GARD 30 DROME 26 HAUTES-ALPES 05 VAUCLUSE 84 ALPESDE-HAUTEPROVENCE 04 BOUCHES-DURHONE 13 VAR 83 TARN 81 GERS 32 Romain DUCHARTRE 06 21 42 34 25 [email protected] PYRENEESATLANTIQUES 64 HAUTEGARONNE 31 HAUTESPYRENEES 65 HERAULT 34 ALPESMARITIMES 06 AUDE 11 ARIEGE 09 CORSEDU-SUD 2A PYRENEESORIENTALES 66 André SCHUMMER 06 22 74 69 46 [email protected] HAUTECORSE 2B Laurent MERCIER 06 22 91 51 24 [email protected] Florian BOUCQ 06 21 51 37 19 [email protected] Lionel PLARD 06 16 24 72 33 [email protected] Paul ATMANE 06 16 24 09 66 [email protected]