Loterie des Eglises - Reformierte Kirchen Bern-Jura

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Loterie des Eglises: le point sur la
campagne, et 22 questions et réponses
Campagne de proximité « Loterie des Eglises » 2011
(état juin 2011)
A quelles questions les collaboratrices et collaborateurs des paroisses ou du
projet peuvent-ils se trouver confronter lors de discussions avec des membres de
la paroisse ou lors d’actions auprès du public? Et que peuvent-ils répondre? Une
liste de questions susceptibles d’être posées a été établie avec le concours des
participantes et participants aux ateliers d’introduction de mars et avril dernier à
Aarau, Lenzburg, Olten, Berne et Zurich.
Les membres de la direction de projet des Eglises réformées d’Argovie, de Berne-Jura-Soleure,
de Soleure et du canton de Zurich ont établi une liste de réponses possibles aux questions les
plus importantes.
Ces réponses pourront s’avérer utiles aux collaboratrices et collaborateurs des paroisses et de
la campagne lors de discussions et de manifestations diverses. Elles les aideront également à
répondre aux questions des médias lorsque celles-ci ne peuvent pas être transmises à la
direction de projet responsable au niveau cantonal.
Votre interlocuteur au sein des Eglises réformées Berne-Jura-Soleure en cas de
question
Thomas Gehrig, responsable du service de la communication
031 370 28 34 , [email protected], www.refbejuso.ch
Différentes possibilités de participation
Les paroisses définissent leur engagement de façon individuelle en fonction de leurs propres
ressources humaines.
Campagne minimale
• Distribution des tickets à gratter (éventuellement en lien avec le mensuel protestant, le bulletin
de paroisse ou une autre publication, ou à l’occasion d’une distribution organisée dans la
paroisse).
• Présentation d’un projet de la paroisse sur le site internet spécial.
• Réponse aux questions de la population locale.
Activités complémentaires
Culte sur le thème de « la chance/le bonheur » durant la période de la campagne. Une
documentation détaillée sera mise à disposition pour l’organisation d’un culte lié à la campagne
d’action.
Actions dans la rue autour du thème « la chance/le bonheur »: il existe diverses possibilités
d’accompagner la distribution des cartes à gratter par des actions telles que stand lors du
marché hebdomadaire, projets de catéchèse ou de jeunesse, etc. Un guide sera mis à
disposition pour faciliter l’organisation.
Une matériel d’enseignement présenté sous forme de modules sera fourni pour traiter cette
question dans le cadre de la catéchèse.
Les manifestations et activités pour adultes peuvent aussi se prolonger après l’achèvement de
la campagne. Les paroisses participantes peuvent obtenir des idées de projets, des listes de
personnes pouvant présenter un exposé, des offres de manifestations culturelles, etc.
Les Eglises réformées BE-JU-SO prennent an charge le financement du matériel mis à
disposition. Quant aux actions spécifiques (spot publicitaire au cinéma, etc.), leur financement
peut aussi être partiellement, voire entièrement pris en charge selon entente préalable avec le
service de la communication des Eglises réformées BE-JU-SO.
Mais que veulent donc les Eglises?
1. Quel est le message fondamental de la campagne, qu’est-ce que les Eglises réformées
cherchent à atteindre ainsi?
Les prestations dispensées par les Eglises réformées et de leurs paroisses comprennent des
services et des manifestations à la fois modernes et originales qui s’adressent également aux
personnes dans la vie active mais restent souvent méconnues de ces dernières. Dans notre
société, nombreux sont les adultes entre l’adolescence et la vieillesse qui en bénéficient. Les
Eglises contribuent ainsi un peu au bonheur de ce monde. Elles sont une chance et ont donc
aussi le droit d’organiser un jeu de « chance ».
2. Comment la campagne sera-t-elle évaluée? Quel but cherchez-vous à atteindre ? Quels
résultats en escomptez-vous?
Cette campagne est avant tout ciblée sur les membres de l’Eglise réformée âgés de 30 à 60 ans
qui n’ont pas beaucoup d’attache avec leur Eglise, n’assistent à aucune manifestation et
connaissent donc très mal les prestations modernes proposées aujourd’hui par leur paroisse
(suivant les régions, ils représentent entre 50 et 60% des membres). A travers leur contribution,
ces personnes participent pourtant au financement de ces offres qu’elles ne connaissent pas.
Notre objectif est de leur faire découvrir l’Eglise réformée sous un nouveau jour dans une
approche ludique, et de leur montrer tout ce que leur argent permet de soutenir.
La campagne et son impact sont faciles à évaluer, car elle mène directement à un site internet
dont l’utilisation est analysée avec précision: nombre d’utilisatrices et d’utilisateurs, qu’ont-ils fait
exactement et sur quoi ont-ils cliqué? Quel est leur proportion par rapport au nombre de tickets
que nous avons distribués ? (celui-ci ne sera toutefois connu qu’à la mi-juin)
3. A qui s’adresse cette campagne? Est-ce une façon détournée d’attirer de nouveaux
membres, voire d’en rechercher dans d’autres Eglises?
Le but premier est de montrer aux membres n’ayant pas beaucoup d’attaches avec l’Eglise
réformée ("distancés") que leur paroisse propose de nombreuses prestations de qualité qui
pourraient aussi les intéresser. En même temps, nous leur permettons de constater que leur
contribution ecclésiastique est bien utilisée par leur paroisse.
Si les offres et les activités des paroisses interpellent aussi des personnes n’appartenant pas à
une Eglise et leur font découvrir la valeur de l’Eglise réformée, voire les incitent à en devenir
membre, nous en serions certes heureux. Cependant, ce n’est pas le but premier de notre
campagne, il ne s’agirait que d’un effet positif subsidiaire.
Nous ne pensons pas que notre campagne puisse attirer des membres d’une autre Eglise, car
les paroisses catholiques, par exemple, font un très bon travail. Simplement, nous donnons pour
une fois un coup de projecteur sur nos activités..
4. Une telle campagne va sûrement provoquer une vague de démissions de l’Eglise.
Notre objectif est au contraire d’attirer l’attention des membres éloignés de l’Eglise sur le
remarquable travail accompli par leur paroisse, afin de renforcer leur lien avec elle et de prévenir
ainsi d’éventuels départs.
Cela dit, toute activité publique de l’Eglise l’expose à la critique et peut susciter
l’incompréhension. Il n’est pas impossible qu’une action de ce genre soit un élément qui, ajouté
à d’autres, incite finalement une personne à quitter l’Eglise. Mais en général il ne s’agit alors que
de la dernière étape d’un long processus d’éloignement, de la petite impulsion qui manquait
pour décider au départ.
5. Pourquoi cette campagne est-elle menée exclusivement par les Eglises réformées et non de
manière œcuménique / en collaboration avec l’Eglise catholique ?
La campagne telle qu’elle est conçue pourrait aussi être menée par des paroisses catholiques.
Parmi les offres et projets présentés figurent d’ailleurs quelques activités œcuméniques. Mais la
planification à grande échelle dans diverses régions de Suisse avec de nombreuses Eglises
cantonales réformées s’avère une tâche assez complexe et exigeante. Pour des raisons
purement organisationnelles, seules les Eglises réformées ont collaboré au présent projet.
Les Eglises réformées ont déjà lancé et mené quelques campagnes œcuméniques, et elles le
feront encore si l’Eglise catholique y est intéressée.
6. Combien coûte la campagne et qui en a eu l’idée?
Cette campagne de relations publiques est l’une des moins chères jamais réalisées par les
Eglises réformées, car elle ne se base pas sur une publicité commerciale avec un grand nombre
d’affiches et d’annonces, mais sur un site internet. Les paroisses distribuent surtout des tickets à
gratter, qui sont nettement moins coûteux qu’une publicité commerciale.
La campagne et le site internet ont été développés par l’agence Wirz à Zurich à un prix spécial
très avantageux pour les Eglises réformées. Les frais à la charge des Eglises cantonales
concernent essentiellement les imprimés (tickets et affiches notamment) et leur distribution.
Il faudra attendre le mois d’août pour connaître les coûts exacts. Compte tenu de l’ampleur de la
campagne qui se répartit sur quatre cantons, nous les estimons à environ 200 000 francs, le
coût pouvant varier en fonction du nombre de paroisses participantes.
7. Comment la campagne est-elle financée - par les deniers publics ?
La campagne est financée par les Eglises cantonales et non par les paroisses. Il est vrai que
l’argent versé par les Eglises cantonales provient avant tout des contributions de membre. Pour
une fois, les Eglises réformées affectent donc une part minime de l’impôt ecclésiastique à une
campagne de sensibilisation pour tout public. Cela dit, les coûts ne représentent qu’une fraction
par rapport aux montants que les entreprises et même d’autres organisations sociales prévoient
à leur budget pour la publicité et la communication.
En investissant de l’argent dans ce projet, les Eglises veulent surtout montrer aux membres qui
financent le travail de l’Eglise à travers l’impôt ecclésiastique mais ne la fréquentent que
rarement ou ne font guère appel à ses services, toutes les choses utiles que leur contribution
permet de réaliser.
8. L’argent que l’on peut gagner est-il vraiment affecté aux projets présentés ? D’où vient-il / qui
paie ? Comment puis-je être sûr qu’il parviendra à son destinataire ?
Les montants gagnés sont fournis par les directions des Eglises cantonales participantes.
Chaque gain est réellement versé à la paroisse qui organise le projet ou propose l’offre. La
loterie est conçue de telle sorte que l’ensemble des gains soient distribués dans un délai de trois
semaines.
Après avoir affecté leur gain à un projet, les gagnants peuvent - s’ils le souhaitent - indiquer une
adresse postale ou de courriel. Ils recevront alors un message de remerciement de la paroisse
concernée. Pour la plupart des projets, une personne de contact est mentionnée. A la fin de la
campagne, on peut s’adresser à elle pour savoir si l’argent est bien arrivé à destination.
9. Vous feriez mieux d’utiliser l’argent de la campagne pour des personnes et des projets
sociaux plutôt qu’à des fins publicitaires.
La plus grande partie de l’argent de l’Eglise revient directement à des personnes sous forme de
salaires et de financement d’offres et de services de l’Eglise, ou sert à soutenir financièrement
des organisations et des projets sociaux et internationaux. L’entretien et l’exploitation de
l’infrastructure et des bâtiments ecclésiaux, dont des monuments historiques, engendrent
également des coûts. Par contre, les dépenses de communication et de publicité restent
modestes, y compris par rapport à d’autres organisations ou sociétés oeuvrant dans le domaine
social.
Ce type de dépenses sert avant tout à garantir les contributions des membres et à prévenir les
sorties de l’Eglise afin que cette dernière dispose de moyens suffisants pour financer ses
activités. C’est précisément ce que font les Eglises réformées à travers cette campagne en
montrant aux membres peu liés à l’Eglise l’importance de leur affiliation.
10. Cette campagne n’est qu’un feu de paille. Qu’en restera-t-il à long terme?
La découverte des offres et activités paroissiales auxquelles la campagne rend attentif, les
nouvelles rencontres que celle-ci permet de faire avec l’Eglise sont des expériences qui agissent
à long terme. La campagne en soi ne peut avoir qu’un effet limité dans le temps. Elle n’est qu’un
élément parmi les divers efforts et offres des paroisses sur lesquels elle entend attirer l’attention.
Les questions qui dérangent et qui fâchent
11. La loterie des Eglises suscite de faux espoirs. Beaucoup de personnes nourrissant des
attentes erronées (que puis-je en retirer personnellement?) seront déçues: il n’y a rien à gagner
pour moi! D'où un sentiment de colère contre l’Eglise.
Nous voulons répondre aux déçus en publiant des argumentaires et des offres spécifiques sur
internet. La déception est un point de départ pour approfondir la question : qu’aurais-je attendu
d’un prix gagné personnellement? Ce que je reçois pour moi-même me rend-il toujours
heureux ? Existe-t-il d’autres façons d’être heureux? Contribuer au bonheur des autres peut-il
aussi me rendre plus heureux?
Lorsqu’une personne participant au jeu regarde les prestations proposées par la paroisse, elle
voit qu’elles permettent de rendre d’autres personnes plus heureuses. Elle découvre aussi que
par son impôt ecclésial, elle a contribué à ce bonheur. Et tous les participants et participantes (y
compris ceux qui n’ont pas versé de contribution) sont invités à profiter de ces offres et à gagner
ainsi un moment de bonheur pour soi-même.
12. Pourquoi je ne gagne rien?!
Parce que le principe de ce jeu de « chance », son message fondamental est de montrer que ce
qui me rend heureux, ce n’est pas toujours ce que je reçois ou que je gagne personnellement.
Voir comment je peux contribuer à rendre d’autres personnes plus heureuses peut aussi me
rendre moi-même plus heureux.
13. Beaucoup de tickets finiront à la corbeille.
Beaucoup plus de personnes que l’on croit – bien plus que la moitié de la population – jouent à
des jeux de hasard et à des loteries presque par réflexe. Quant à celles qui n’ont pas l’habitude
de participer à ces jeux, les paroisses prendront diverses mesures pour attirer leur attention sur
le sens de ces tickets et de la campagne. Des affiches et des informations avec des slogans
accrocheurs sur la loterie des Eglises éveilleront exceptionnellement leur intérêt pour ce jeu hors
du commun.
14. Peut-on aussi participer sans ticket de loterie?
Oui, le jeu est également accessible sur le site Internet www.kirchenglücksspiel. Cette possibilité
permet de faire de la publicité pour la campagne directement sur internet, par e-mail ou par des
médias sociaux tels que Facebook et Twitter. Le visiteur du site internet reçoit un code avec
lequel il peut jouer.
Sur le principe: l'Eglise peut-elle soutenir une loterie?
15. Pourquoi une loterie ? La Coop et la Migros le font déjà, ce n’est pas dans l’esprit de l’Eglise
protestante.
Nous rêvons tous d’un peu de bonheur. Les loteries sont une manière simple d’éveiller l’espoir
de voir ce rêve se réaliser et c’est pourquoi nous aimons y participer. Mais par la même
occasion, les Eglises posent la question sérieuse de savoir ce qui nous rend véritablement
heureux, et elles contribuent par leurs activités à apporter un peu de bonheur dans ce monde.
Des exemples de prestations et d’activités proposées par les paroisses sont présentés sur
Internet pour montrer comment ces dernières permettent à des hommes et à des femmes de
vivre un peu plus heureux.
Pendant la campagne, les paroisses abordent la question du bonheur véritable et montrent ce
qui peut nous aider à vivre un peu plus heureux. Les Eglises réformées signalent clairement
qu’elles ont beaucoup à dire sur le thème de la quête du bonheur.
Parmi le programme d’activités complémentaires figurent un culte et des débats publics au
cours desquels la question du bonheur sera approfondie. Un dossier complet sera mis à
disposition des paroisses pour qu’elles puissent préparer et animer ces manifestations.
16. Pourquoi l’Eglise distribue-t-elle des tickets à gratter ?
Beaucoup plus de personnes que l’on croit – bien plus de la moitié de la population – aiment ce
genre de loterie. Gratter un ticket est une démarche active qui suscite en même temps des
émotions et des espoirs divers (« peut-être vais-je gagner quelque chose, que j’aurai de la
chance »). Animées par ce sentiment et cette attente de nature émotionnelle, ces personnes se
rendent sur le site internet ou s’adressent à la paroisse en cas d’action personnelle.
Démarche active et émotions : c’est nettement plus que ce que les Eglises réformées ont atteint
avec leurs précédentes campagnes, qui étaient plutôt basées sur la communication d’un
message ou d’un enseignement.
17. Dans certains cas, en particulier dans les casinos, les jeux de hasard sont associés à la
dépendance au jeu. Par cette loterie, l’Eglise ne favorise-t-elle pas cette dépendance?
En général, les tickets à gratter ne sont pas liés à une mise ou à des coûts, ils sont plutôt utilisés
dans le cadre de campagnes publicitaires et ne favorisent donc pas directement la dépendance
au jeu. D’autant plus que cette « loterie » n’a qu’extérieurement l’apparence d’une loterie alors
qu’en réalité ce n’en est pas une, étant donné qu’il n’y a pas à proprement parler de prix à
« gagner ».
Ce type de jeu de hasard repose sur deux motivations essentielles, d’une part le plaisir de jouer,
d’autre part l’espoir d’avoir de la chance. Ces deux traits fondamentaux de l’être humain, en
particulier la quête du bonheur, peuvent prendre des formes de dépendances. Cependant, la
campagne ne les favorise certainement pas, car la question explicitement posée par les Eglises
est de savoir où se trouve le bonheur véritable.
18. Que niveau pour l'Eglise! L’Eglise avait-elle vraiment besoin de ça!?
Les tickets à gratter et la loterie ne sont qu’une première impression. Si l’on en reste là, cette
présentation de l’Eglise réformée pourrait peut-être susciter l’agacement et l’incompréhension.
Cependant, l’objet de la campagne est de montrer les offres et services proposés par les
paroisses et de poser la question de savoir où nous trouvons vraiment notre bonheur.
Cette thématique est abordée de façon très approfondie sur le site internet, mais aussi et surtout
lors des activités complémentaires des paroisses (ces dernières peuvent s’appuyer pour se
préparer sur la documentation de la campagne). Il est donc clair que ce que les Eglises veulent
à travers cette action, c’est engager une réflexion sur l’essence du bonheur et la façon dont
chacun de nous peut y avoir part.
19. Cette loterie est-elle légale?
Oui, étant donné qu’il n’y a pas de mise et qu’elle est ouverte à tout le monde, même sans
ticket. Ce n’est pas non plus un jeu de hasard au sens de la loi fédérale sur les loteries, car il n’y
a pas de distribution de gains personnels.
Mais qu'est-ce qu'on soutient?
20. Pourquoi publier ces projets sur Internet et pas ceux que je connais (EPER, PPP, Mission
…)– selon quels critères ont-ils été choisis?
Cette campagne ne présente que des offres et activités locales des paroisses participantes, à
l’exclusion de projets nationaux des œuvres d’entraide de l’Eglise ou d’autres institutions. Ces
offres ont été choisies par les paroisses elles-mêmes. Elles s’adressent surtout à des personnes
adultes dans l'âge dit des actifs(du début de l'âge adulte au seuil de la retraite). Il s’agit d’offres
régulièrement proposées à un endroit donné ou qui seront à nouveau organisées
prochainement, et dont les destinataires de la campagnes pourraient aussi avoir l’occasion de
profiter.
Pour une fois, cette action ne porte pas sur les offres et prestations pour lesquelles l’Eglise est
déjà connue, comme celles destinées aux personnes en situation de vie particulière ou vivant en
marge de notre société ou dans d’autres pays.
21. Comment quelqu’un peut-il faire un don s’il n’a pas gagné? Comment satisfaire son souhait?
Chaque offre de paroisse présentée sur le site internet mentionne une adresse de contact et un
compte de chèques postaux. Le site ne fait pas d’appel de don spécifique, car cette campagne
ne vise pas à récolter des fonds. Cependant, toute personne qui le souhaite peut faire un don
avec les informations fournies.
22. Pourquoi la somme gagnée ne peut-elle pas être versée au profit d’un autre projet de son
choix?
Le but de cette campagne n’est pas de financer des projets sociaux ou d’intérêt général ni de
récolter de l’argent à cet effet. Les gains, d’un montant relativement modeste, ne sont qu’une
incitation à participer au jeu et à s’intéresser aux offres et activités présentées par les paroisses
concernées. Il s’agit de focaliser l’attention des participants sur ces prestations qui sont au cœur
de la campagne, et non sur les nombreux autres projets existants.
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