ELECTRE de Sophocle Adaptation française d`après Antoine Vitez

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ELECTRE de Sophocle
Adaptation française d'après Antoine Vitez
Mise en scène : Marja-Leena Junker
Scénographie et lumières : Jean Flammang
Musique : René Nuss
Costumes : Caroline Koener
Avec : Myriam Muller, Nicole Dogué, Irina Fedotova, Sophie Langevin, Mélyssa
Michel et Clotilde Ramondou
Production : Théâtre du Centaure
Public visé : Tout public
Durée du spectacle : 1h30
Distribution entièrement féminine !
Extrait vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=-VwyO3ebYVU
Personne de contact : Marja-Leena JUNKER ([email protected])
Présentation :
Électre raconte comment son père, le roi Agamemnon, vainqueur de la Guerre de
Troie, au retour chez lui, est assassiné par la reine Clytemnestre, sa femme, et
par le prince Égisthe qui en est l’amant.
Dans le palais de Mycènes Électre ne vit qu'en attente de vengeance. Elle est
traitée en esclave par sa mère et par Égisthe qui a usurpé le trône royal. Elle
espère le retour de son frère Oreste, afin d'infliger le châtiment aux meurtriers
impies et ainsi faire justice en vengeant leur père. Oreste, sans être reconnu,
revient à Mycènes avec son vieux précepteur et invente une ruse pour entrer au
palais. Il accomplit la vengeance, tue sa mère et le roi usurpateur. Presse :
"Quel merveilleux théâtre d'aujourd'hui que cette Électre de Sophocle représentée pour la
première fois au 5ème siècle avant J-C, et si pertinemment mise en scène par Marja-Leena
Junker (…). Que des interprètes-femmes? En Grèce antique, ce n'était que des hommes!
Ce théâtre antique-là, dans cette mise en scène et cette interprétation-là, est un vrai
théâtre d'aujourd'hui." La Voix Du Luxembourg "Le véritable succès de cette Électre est sa modestie, son manque de prétention, sa
volonté de dire le texte au lieu d'être dans la grandiloquence (…). Malgré son âge, la pièce
nous parle des violences faites aux femmes, de la violence domestique aussi, du pouvoir
politique et économique et de ce que les gens sont prêts à faire pour l'atteindre et/ou le
garder. Électre nous parle aussi de trahisons, de désir de vengeance et de la spirale de
violence que cela peut déclencher. Chacun y trouvera ses propres résonances." D’Lëtzebuerger Land "Électre est folle, de douleur, de haine, de l'impossibilité d'échapper…Et Myriam Muller en
fait une composition fascinante, jetée au sol, bondissant soudain pour hurler sa soif de
vengeance, hébétée, dans un paroxysme de jeu, un paroxysme qu'elle gère à merveille,
ou si émouvante dans les tendres mots quelle adresse à l'urne dont elle croit qu'elle
contient les cendres de son frère (…)." Luxemburger Wort
© Jean François Wolff 
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