Dossier de presse - Théâtre de Gennevilliers

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© Alain Fonteray
Eric Vigner
Tristan
[21 au 26 février 2017]
Représentations : mardi et jeudi 19h30 / mercredi, vendredi, samedi 20h30 / dimanche 15h, relâche lundi
Tarifs : de 7€ à 24€
Réservation : sur place ou par téléphone au 01 41 32 26 26 / du mardi au samedi de 13h à 19h
ou [email protected] et en ligne sur : www.theatre2gennevilliers.com
Service de presse :
Théâtre de Gennevilliers — Philippe Boulet — 01 41 32 26 10 — [email protected]
Compagnie Suzanne M. — Dominique Racle — 06 68 60 04 26 — [email protected]
Eric Vigner
Tristan
[21 au 26 février 2017]
texte, mise en scène, décor et costumes, Eric Vigner
collaboration artistique, Olivier Dhénin, Jutta Johanna Weiss
lumière, Kelig Le Bars
son, John Kaced
atelier costumes, Anne-Céline Hardouin
assistée de, Emmanuelle Dessoude, Laëtitia Guinchard, Carole Martinière
accessoires costumes, Robin Husband
maquillage et coiffure, Anne Binois
assistant à la mise en scène, Olivier Dhénin
assistant au décor, accessoiriste, Vivien Simon
avec
Bénédicte Cerutti, Matthias Hejnar, Alexandre Ruby, Jules Sagot, Zoé Schellenberg, Isaïe Sultan, Mathurin Voltz
durée : 1h30
Production, CDDB – Théâtre de Lorient, CDN ; Théâtre National de Bretagne
avec la participation du Jeune Théâtre National
Remerciements à lʼOpéra de Rennes, au Théâtre National de la Colline et au Centquatre, établissement artistique de la Ville de Paris
Le spectacle Tristan a été créé le 4 novembre 2014,
au Théâtre de Lorient, dans le cadre du festival « Mettre en scène ».
Le texte Tristan dʼEric Vigner a paru aux éditions Les Solitaires Intempestifs.
++
[samedi 25 février à 19h30 au T2G]
Lieder Wagner / Cavanna
Schmerzen et Traüme de Richard Wagner
Concert en partenariat avec le Conservatoire Edgar-Varèse de Gennevilliers
Transcription pour soprano, accordéon, violon, violoncelle de Bernard Cavanna
Entrée libre
[dimanche 26 février après la représentation]
Rencontre et signature avec Eric Vigner
Entrée libre
Le Théâtre de Gennevilliers est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication, la Ville de Gennevilliers et le
Département des Hauts-de-Seine.
Tristan
Cʼest un héros aux multiples facettes que présente Eric Vigner dans cette
version très personnelle de Tristan et Yseult où pour la première fois le
metteur en scène monte un de ses propres textes. Loin de toute
reconstitution historique, il revisite la légende dans un spectacle où temps et
espace se télescopent sous le signe du mythe.
De Béroul à Wagner en passant par Chrétien de Troye, le mythe de Tristan et Yseult, redécouvert
à la fin du XIXe, a connu de multiples versions au cours des siècles. Eric Vigner que l’on connaît
surtout comme metteur en scène en donne une lecture profondément personnelle. Son Tristan
traverse les âges et parle de notre époque. Il est multiple, à la fois sésame magique ouvrant en
grand les vannes de l’imaginaire et pôle d’attraction magnétique. Corps blessé, fourbu rejeté à
demi mort par la mer sur une grève bretonne au début du spectacle, ses épreuves ne prennent
jamais fin. Le texte abonde en allusions : aux commandos de marines basés à Lorient, à Othello, à
Marguerite Duras, à Maurice Maeterlinck, à l’Apocalypse selon Saint Jean, aux migrants. Sans
s’identifier à ce héros ou cet anti héros, Eric Vigner y projette beaucoup de lui-même. Tristan est
un « enfant de la mort » ; comme le Chasseur Gracchus de Kafka, il est condamné à errer à
jamais entre deux mondes. C’est la première fois que le metteur en scène écrit pour les acteurs.
Il a voulu « rappeler Tristan », c’est-à-dire poursuivre ce mythe qui est aussi un souvenir, une
lecture d’enfance qui l’accompagne depuis toujours pour témoigner du monde contemporain, à
travers une histoire d'amour éternelle tragique qui unit dans une destinée fatale le trio magnifique
de Tristan, Iseult et de Marc.
© Alain Fonteray
Note d’intention de Eric Vigner
Ce qui reste de Tristan...
Lʼhistoire est là depuis toujours, lʼamour est là depuis toujours. Que reste-t-il de ces figures héroïques, archaïques,
ancestrales ? Comment ces figures éternelles arrivent-elles jusquʼà nous ? Quʼest-ce quʼelles nous enseignent ?
Que reste-t-il de Tristan et Iseult ?
Un imaginaire, une légende, un mythe, celui du territoire dʼoù je viens, la Bretagne, mais aussi lʼIrlande, la Cornouailles,
le paysage celte, territoire hostile, rude où lʼhomme lutte avec les éléments.
Une langue étrangère dʼavant la littérature savante, une langue qui est la source de la littérature, le passage de lʼoral à
lʼécrit. C
e qui reste de Tristan, une histoire en morceaux que je dois terminer. La part manquante où la création entre en
œuvre.
Ce qui reste de Tristan cʼest lʼapprêté, la violence de la nature faite à lʼhomme, la mer, la pierre, le vent. La forêt qui les
tue, les chiens.
Ce qui reste de Tristan cʼest la magie comme moteur dramatique au même titre que la raison : le philtre,
les créatures extraordinaires, le cheveu dʼIseult apporté par une hirondelle. Le merveilleux du Moyen Âge.
Ce qui reste de Tristan cʼest la jeunesse – sans père, héroïque – lʼextrême jeunesse de ces enfants qui veulent mourir –
romantiques avant lʼheure. Tristan et Iseult, des jeunes gens en colère, en révolte contre lʼordre établi. Sans illusions sur
leur avenir ou destinée, ils préfèrent le suicide à lʼabandon.
Ce qui reste de Tristan ce sont les rituels dʼamour et de mort. Ce qui reste de Tristan cʼest la force dʼun mythe très
ancien qui traverse le temps et se réactive dans lʼœuvre dʼautres écrivains de Claudel à Duras. A
vec Tristan commence
un cycle, ce sera Partage de Midi de Claudel en 2015 et Le Vice-Consul de Duras en 2016, pour en finir avec Tristan,
pour retourner à la page blanche.
Eric Vigner, mars 2014
© Alain Fonteray
Entretien avec Eric Vigner
Pourquoi avoir choisi de travailler sur Tristan et Iseult ?
Est-ce lié à votre culture ? Tristan de Loonois, cʼest un
nom breton. Un jeune homme du Léon, de Bretagne. On
sait lʼimportance quʼa pour vous Lorient et son histoire
avec lʼailleurs, la route des Indes et le rapport à lʼétranger.
Ici vous vous retrouvez face à la mer, lʼIrlande et la
Cornouailles. Tout se concentre autour de la mer de
Bretagne, est-ce un moyen pour vous dʼêtre plus proche
de votre territoire ?
Eric Vigner. Je suis breton comme Tristan mais ce mythe
celte dont lʼhistoire se concentre entre la Bretagne, lʼIrlande et
la Cornouailles ne se limite pas à ce territoire géographique ni
à son imaginaire. Il est dit que lʼon trouve déjà cette histoire
dans le conte persan Wis et Ramin. La légende de Tristan et
Iseult appartient au monde. Tristan et Iseult cʼest lʼune des
grandes histoires dʼamour tragique qui va voyager et influencer
e
la littérature. Les premières traces écrites datent du IX siècle.
Ce qui mʼintéresse cʼest de voir comment ce mythe donne
Roméo et Juliette de Shakespeare ou Bérénice de Racine ou
Pelléas et Mélisande de Maeterlinck ou plus récemment
Partage de Midi de Claudel et Le Vice-Consul de Duras. Pour
paraphraser mon ami Frédéric Boyer, mon projet est de
rappeler Tristan, aujourdʼhui, sur la scène du théâtre, au début
e
du XXI siècle.
constituer un récit faisant aujourd'hui référence. En 2014, on
peut donc réécrire lʼhistoire, reprendre ces fragments de
discours amoureux entre Iseult et Tristan et les donner à jouer,
à entendre, à vivre. Mon projet nʼest pas de raconter tous les
épisodes de la fable mais dʼen rendre compte dʼune manière
sensible et contemporaine, de voir ce quʼil en reste et de la
confronter à la jeunesse. Ce qui me passionne cʼest la part
manquante, celle qui reste à inventer. Lʼinachevé originel de
ce mythe et sa capacité de se transformer qui nous autorise à
le reprendre pour créer ici et maintenant.
Vous me disiez que vous commenciez le premier volet
dʼune trilogie consacrée à ce mythe avec la création de
Tristan puis celle du Partage de Midi de Paul Claudel et
enfin une adaptation du Vice-Consul de Marguerite
Duras...
Cʼest un cycle sur les rituels dʼamour et de mort où la mer est
présente. Il est généré par la légende. Tristan sera créé en
novembre 2014 à Lorient dans le cadre du Festival Mettre en
Scène. Le second volet que je créerai en 2015 sera la mise en
scène du Partage de Midi de Paul Claudel où la question de
lʼamour ajoutée à celle de Dieu se déplace chez des
personnages au milieu de leur vie. Ils prennent la mer pour la
Chine pour espérer recommencer une nouvelle vie. Le dernier
volet qui clôturera ce cycle en 2016 est celui des fantômes de
ces héros qui prennent cette fois les traits dʼAnne-Marie
Stretter et du Vice-Consul de Lahore dans Le Vice-Consul de
Marguerite Duras. Ce roman qui appartient au cycle indien de
lʼécrivain situe lʼaction dans une ambassade de France qui nʼa
jamais existé dans les années 30 à Calcutta à la fin du
colonialisme. Ces trois spectacles se répondent les uns les
autres. Ce qui mʼintéresse cʼest la transformation du mythe à
travers ce voyage littéraire. Tristan et Iseult deviendront Ysé et
Mesa dans Partage de Midi puis Anne-Marie Stretter et JeanMarc de H. dans Le Vice-Consul.
Quel traitement esthétique allez-vous appliquer à ce
mythe qui a généré des œuvres indissociables comme
lʼopéra de Wagner ou les toiles de Waterhouse ?
Comment le metteur en scène et plasticien que vous êtes
va-t-il sʼapproprier ces figures incandescentes et ces
espaces perdus que sont Tintagel et la forêt du Morois ?
Je reprends un travail esthétique que jʼai mené avec Orlando
de Haendel en octobre dernier et je le poursuis avec Tristan.
Comme pour Orlando, je voudrais créer une dramaturgie
plastique qui exalte la palette du sentiment amoureux qui va
de la naissance du désir à la folie suicidaire. Pour Tristan, ma
démarche est proche de celle de la construction dʼun opéra,
avec du texte bien sûr puisque cʼest un récit de tradition orale,
mais où la musique et le chant sont très présents – cʼest par le
chant quʼIseult guérit Tristan. Le Moyen Âge est le monde de
lʼenluminure, du livre dʼheures. Le spectacle se développera
par tableaux, par chapitres, quʼils soient purement plastiques,
musicaux ou théâtraux.
Lʼétrangeté de la légende de Tristan et Iseult cʼest que
nous avons plusieurs versions, en France et en
Allemagne. Cʼest la première fois que vous choisissez un
texte qui nʼest pas écrit – ou même trop écrit quand on
voit les nombreuses versions qui existent. Or vous avez
beaucoup travaillé la littérature écrite, le rapport au livre,
des auteurs ont écrit pour vous — pourquoi prendre un
texte dont on nʼa que des fragments ?
Il nʼy a pas en effet un livre qui serait lʼhistoire de Tristan et
Iseult mais une multitude de fragments qui sont réunis pour la
première fois par un spécialiste du monde médiéval Joseph
e
Bédier au début du XX siècle. Ce texte reconstitue lʼensemble
des épisodes de la légende avec les fragments qui
e
proviennent du XII siècle principalement de Béroul, Chrétien
De Troyes, Thomas dʼAngleterre, auxquels il a ajouté d'autres
fragments (Eilhart von Oberg, fragments anonymes...) pour
Lʼamour est le moteur principal de votre travail au théâtre.
Vous avez mis en scène Othello, Pluie dʼété à Hiroshima,
La Bête dans la jungle... Shakespeare, Racine, Duras...
Comment intégrez-vous dans votre réflexion cette
légende médiévale ?
Ce premier volet associe lʼamour et la jeunesse dans un
imaginaire qui est celui du Moyen Âge. Le Moyen Âge a une
rudesse, une violence, une cruauté et une crudité magnifiques.
Ce nʼest pas un monde policé, mais un monde dur, fait de
granit, de forêt, dʼocéan, où la nature la plus farouche exalte la
passion des amants. La mer est un élément fondamental dans
Tristan également, lʼélément matriciel en quelque sorte, celui
qui unit et sépare.
Est-ce que le héros Orlando a en quelque sorte convoqué
Tristan ?
Je pense sincèrement que chaque création est la partie dʼun
tout qui finit par constituer une œuvre. Une production en
entraîne une autre. Avoir travaillé Orlando de Haendel dont la
e
source originelle est le poème de LʼArioste au début du XVI
siècle me conduit à désirer rencontrer Tristan qui est antérieur
et qui est aussi lʼhistoire dʼun combattant amoureux.
Vous avez choisi des jeunes comédiens pour porter cette
histoire. Pourquoi ce choix de la jeunesse pour jouer
cette histoire ancienne qui a presque mille ans ?
Lʼextrême jeunesse est très touchante dans Tristan et Iseult.
Cʼest ce qui est très beau. Vaincre la malédiction. Aller au bout
de son désir. Jusquʼà la mort. Revenir à la légende dʼorigine
cʼest retrouver la colère, la passion, lʼélan du désir pur et
indomptable confronté à la brutalité de la nature et à la
violence dʼun monde cruel, cʼest se brancher à lʼénergie vive
de la jeunesse.
Propos recueillis par Olivier Dhénin, mars 2014.
Eric Vigner, biographie
Après des études supérieures dʼarts plastiques, Eric Vigner entre au Conservatoire National Supérieur dʼArt Dramatique de
Paris. Il fonde sa compagnie (Suzanne M.) en 1991 avec sa première mise en scène La Maison dʼos de Roland Dubillard, créée
dans une usine désaffectée puis repris pour le Festival dʼAutomne à Paris sous la Grande Arche de la Défense. Son travail de
plasticien est indissociable de celui de metteur en scène et de scénographe et le plus souvent lié à la réalité des lieux quʼil
investit, usine, musée, cloître, cour de lycée, tribunal, théâtre à lʼitalienne.
Il inscrit les écritures contemporaines ou classiques, dramatiques ou poétiques, dans des recherches stylistiques puissantes.
Cette spécificité sʼexprime dans son travail sur lʼœuvre de Marguerite Duras (Comédie-Française, Festival dʼAvignon, Festival
Bonjour India), Dubillard, Motton (Festival dʼAutomne), Koltès (US Koltès project), De Vos, Hugo, Corneille, Racine, Molière
(Prix France/Corée) mais aussi à lʼopéra dans la collaboration avec Christophe Rousset et dernièrement avec Jean-Christophe
Spinosi pour Orlando de Haendel (Capitole de Toulouse).
Nommé à la direction du CDDB-Théâtre de Lorient, Centre Dramatique National, en 1996, Eric Vigner met en place un projet
artistique consacré à la découverte, à lʼaccompagnement et à la production dʼune nouvelle génération dʼhommes et de femmes
de théâtre dont certains assument aujourdʼhui des responsabilités nationales au service du théâtre public.
Son travail à lʼétranger pour porter le répertoire classique et contemporain français dans des créations en langue originales, le
conduira tout dʼabord en Corée du Sud où il réunit pour la première fois les troupes nationales de théâtre, musique et danse
pour la création du jeu du kwi jok en coréen dʼaprès Le Bourgeois gentilhomme de Molière et Lully. Le spectacle sera présenté
à Paris, à lʼOpéra-Comique dans le cadre de lʼannée croisée France Corée et obtiendra le prix France Corée 2004. Suivront la
création de Solitude in the Cotton Fields dʼaprès la Dans la solitude des champs de coton à Atlanta en 2008 dans le cadre du
US Koltes Project., lberberi y seviljes en Albanie en 2007, Gates to India song dʼaprès Le Vice-Consul et India song de
Marguerite Duras pour le festival Bonjour India 2013 à Bombay, Calcutta et Delhi. Fort de cet intérêt permanent pour les autres
cultures, il fonde en 2010, l'Académie Internationale de Théâtre avec de jeunes acteurs étrangers et français issus de la
diversité.
En 2014, il créé à Lorient Tristan, dont il écrit le texte publié aux éditions des Solitaires Intempestifs et en 2015, en collaboration
avec M/M Paris, il publie les affiches du Théâtre de Lorient 1996-2015, témoignage des 20 ans passés à la tête du CDDB.
Depuis 2016, avec la Compagnie Suzanne M., il a créé, Brancusi contre Etats-Unis au Teatrul Odeon de Bucarest en
Roumanie. Il prépare pour 2017 la création de Lucrèce Borgia avec le Théâtre national dʼAlbanie et pour 2018, Partage de Midi
de Paul Claudel au Théâtre National de Strasbourg et au Théâtre de la Ville.
Portrait Eric Vigner © Jutta Johanna Weiss
Infos pratiques
T2G - Théâtre de Gennevilliers
Fondateur Bernard Sobel
41 avenue des Grésillons
92230 Gennevilliers
Standard + 33 [0]1 41 32 26 10
www.theatre2gennevilliers.com
Réservation
sur place ou par téléphone au +33 [0]1 41 32 26 26
du mardi au samedi de 13h à 19h
télépaiement par carte bancaire
Vente en ligne sur :
www.theatre2gennevilliers.com
Revendeurs habituels :
Fnac — Carrefour 0 892 683 622 (0,34 euros/min), fnac.com,
Theatreonline.com, 0 820 811 111 (prix dʼune communication locale),
Starter Plus, Billetreduc, Ticketac, Crous et billetteries des Universités Paris III, VII, VIII, X, Ticket Théâtre(s)
Accessibilité
Salles accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Navettes retour vers Paris
Certains soirs, après la représentation, une navette gratuite vous raccompagne vers Paris.
Arrêts desservis : Place de Clichy, Saint-Lazare, Opéra, Châtelet et République.
Accès Métro
Ligne [13] direction Asnières-Gennevilliers, Station Gabriel Péri [à 15 mn de Place de Clichy] Sortie [1] puis suivre les
flèches rayées rouges et blanches de Daniel Buren
Accès Bus
Ligne [54] direction Gabriel Péri ; arrêt Place Voltaire
Accès voiture
- Depuis Paris - Porte de Clichy : Direction Clichy-centre. Tourner immédiatement à gauche après le Pont de Clichy,
direction Asnières-centre, puis la première à droite, direction Place Voltaire puis encore la première à droite, avenue
des Grésillons.
- Depuis lʼA 86, sortie n° 5 direction Asnières / Gennevilliers-centre / Gennevilliers le Luth.
Parking payant gardé à proximité.
Le Restaurant
Au sein du T2G, ouvert avant et après le spectacle.
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