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THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE
AV. E.-H. JAQUES-DALCROZE 5
CH-1007 LAUSANNE
Directrice de la production
et des tournées
Caroline Barneaud
[email protected]
En charge du projet
Fanny Guichard
[email protected]
T +41 (0)21 619 45 80
P +41 (0)79 820 49 11
MAGALI TOSATO
Hamlet dans les écoles
William Shakespeare
Saison 16 - 17
© Franziska Keune
MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
Adapation de Hamlet de William Shakespeare :
Traduction de Pascal Collin
Mise en scène :
Magali Tosato
Dramaturgie :
Lydia Dimitrow
Scénographie :
Franziska Keune
Avec :
Alain Borek
Claire Deutsch
Baptiste Gilliéron
Nora Steinig
Production :
Compagnie Mikro-kit
Théâtre de Vidy
A partir de 13 ans
Spectacle disponible du 16 mai au 10 juin 2017
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MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
PROJET PÉDAGOGIQUE
« Théâtre en classes »
Une création dans les écoles autours de Hamlet de Shakespeare
Classes secondaires et post-obligatoires (à partir de 13 ans).
Notre projet consiste à présenter une pièce de théâtre dans des salles de classe
durant les heures de cours. Faire du théâtre dans les salles de classe permet
d’intervenir dans le quotidien des élèves et de s’adresser plus directement à
eux. Pendant deux périodes successives, ce théâtre de proximité mêle spectacle
et échange. La pièce comporte des éléments interactifs et est suivie d’une
discussion avec les élèves.
S’intéresser au théâtre ne va pas de soi. Beaucoup de préjugés y sont attachés.
En allant à la rencontre des élèves avec une forme simple et légère, nous voulons
partager notre passion pour le théâtre et donner envie aux jeunes d’y aller
ensuite par eux-mêmes. Nous souhaitons partager avec eux cet art vivant dans
son immédiateté, sans le rituel lié à l’événement social, parfois intimidant.
Nous avons opté pour Hamlet de Shakespeare principalement pour deux raisons :
1. Le thème de l’émancipation : ce processus, difficile et nécessaire pour
devenir un être autonome, est caractéristique de l’adolescence. On ne s’émancipe
certes pas une fois pour toutes, mais la première fois qu’on franchit le pas
marque une étape décisive de la vie.
2. La théâtralité du texte : Shakespeare use de la métaphore « le monde est un
théâtre » et multiplie les parallèles entre l’univers du spectacle et la vie réelle.
Dans Hamlet, c’est une scène de théâtre dans le théâtre qui permet au jeune
prince de confondre les meurtriers de son père. Par ailleurs, la folie d’Hamlet –
qu’elle soit symptôme ou stratégie – est le moteur intérieur qui le guidera vers
la vérité et l’autonomie.
Le théâtre s’installe en classe spontanément (sans y amener décors excessifs,
ni lourd appareil technique). Il s’y déploie progressivement par le seul jeu des
comédiens.
En résumé, nous proposons un Hamlet, condensé autour d’une thématique
spécifique à l’adolescence, un texte réduit à l’essentiel et porté par le jeu d’acteur
– l’outil théâtral par excellence. Nous souhaitons permettre aux élèves de se
laisser surprendre, troubler peut-être, et de poser un regard neuf et étonné sur
le monde ; quelle place y prendre ?
© DR
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MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
PARTI PRIS DRAMATURGIQUE
La tragédie écrite par Shakespeare autour de 1601 relate l’histoire d’Hamlet,
jeune prince du Danemark.
Suite à la mort suspecte de son père et aux noces précipitées de sa mère Gertrude
avec son oncle Claudius, Hamlet est saisi par le doute. Son défunt père lui
apparaît, sous l’aspect d’un fantôme, et exige de lui qu’il découvre la vérité sur
sa mort afin de le venger. Débute alors pour Hamlet une remise en question
totale de la réalité qui l’entoure et une quête acharnée de la vérité. Pour la
découvrir, il décide de jouer au fou. Son comportement inquiète ses proches
qui se mettent également à lui jouer des tours dans l’espoir de le démasquer.
Très vite, tous semblent se perdre dans ce jeu du chat et de la souris qui les
conduira finalement aux portes de la folie et de la mort.
Hamlet paie la vérité au prix de sa vie, mais l’ignorance ne protège pas non plus
contre la mort. Le personnage d’Ophélie, amoureuse d’Hamlet et symbole de
l’innocence, se voit manipulée par les adultes, qui souhaitent à travers elle percer
le secret d’Hamlet, et ne survit pas à ce drame qu’elle paraît subir passivement.
Il semble n’y avoir aucune heureuse issue possible pour ces jeunes gens en
quête de vérité.
« Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark. »
Cette phrase devenue célèbre semble plus que jamais actuelle. Il y a quelque
chose de pourri, on le sait mais on sait également qu’il ne suffit pas de le savoir
pour pouvoir agir.
Que faire ? Quel est le pouvoir d’action de l’individu au sein d’un groupe ?
Quelles sont les responsabilités qui lui incombent vis-à-vis de la société ?
Existe-t-il une forme d’individualisme qui ne soit pas le modèle d’individuconsommateur – prototype contemporain – mais un individu émancipé et
responsable ? Quelqu’un qui pose un regard critique sur l’ordre établi ? Une
personne qui défait une à une les illusions sur lesquelles est construite la réalité
et qui assume sa propre vision, son propre rêve du monde ?
Monter Hamlet dans les classes, c’est donner la possibilité aux élèves de réfléchir
activement à leur position dans le monde ; à la place qu’ils sont en train de s’y
faire.
© DR
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MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
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QUELQUES PISTES DE
RÉFLEXION AUTOUR DU TEXTE
La figure d’Hamlet ainsi que les principaux motifs de la pièce connaissent une
longue tradition en Europe : le meurtre du roi par son frère, le mariage avec la
reine Gertrude, la folie d’Hamlet.
© DR
Aux alentours de 1200 déjà, Saxo Grammaticus raconte l’histoire d’Amleth dans
sa Gesta Danorum et vers 1570, François de Belleforest adapte cette légende dans
ses Histoires tragiques. Il semblerait que ce soit la version créée par Thomas Kyd
pour la scène en 1594 qui ait directement influencé Shakespeare.
Cette tradition de réécriture sera poursuivie également après Shakespeare,
notamment par Bernard-Marie Koltès qui écrit Le jour des meurtres dans l’histoire
d’Hamlet en 1974 et par Heiner Müller qui publie Hamlet Machine en 1977. En
plus des nombreuses réécritures de la pièce, on compte un nombre important
d’adapations sur scène et à l’écran.
© DR
Ce phénomène littéraire nous intéresse autant que les motifs de la tragédie.
Dans le but de créer une représentation dense et percutante, nous avons choisi
de mettre l’accent sur certains de ces motifs.
Nous nous focaliserons sur les « scènes de famille » et réduirons les personnages
au nombre de six: Hamlet, Ophélie, Gertrude, Claudius, Polonius et le spectre.
Cette réduction nous permettra de nous concentrer sur les rapports parentsenfants. Le processus d’émancipation consistant à faire le tri dans les « vérités »
absorbées durant l’enfance, afin de construire son propre point de vue sur la
réalité et d’agir en fonction de ses propres convictions.
© DR
Nous désirons également insérer le « monologue d’Ophélie » tiré du texte
d’Hamlet Machine de Heiner Müller. Ce choix naît premièrement de la volonté
de donner une voix contemporaine à ce personnage féminin et de proposer une
alternative à sa mort désespérée. D’autre part, il nous paraît enrichissant de
donner un aperçu de ce phénomène de réécriture et d’appropriation du texte,
ainsi qu’un point de comparaison entre une écriture classique et une écriture
contemporaine.
Ce projet s’adresse spécifiquement à des jeunes. Il permet une réflexion abordant
des thèmes éthiques, historiques et socio-politiques. Par ailleurs il permet une
approche sensible de la littérature. La représentation de textes classiques et
contemporains ainsi que des scènes jouées dans le respect du texte et d’autres
scènes adaptées donnent l’occasion de réfléchir à notre rapport à l’écrit.
Nous souhaitons inviter les élèves à s’approprier texte et histoire ; les encourager
à rêver et à donner corps à leurs rêves.
CIE MIKRO-KIT
© DR
MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
RÉFLEXIONS ADRESSÉES
AUX ÉLÈVES
Durant ma scolarité je me suis demandé comment je réussirais à devenir moi, alors
que j’étais toujours obligée de tout faire comme les autres : me lever à six heures
trente, étudier le français et les mathématiques, essayer d’obtenir de bonnes notes.
Pour devenir moi ; pour qu’on ne puisse plus me confondre avec une autre, il
fallait que je développe ma personnalité et mon style. Il fallait que j’accumule des
expériences personnelles, que je développe des opinions originales et uniques.
Au lieu de ça, je passais mes journées à intégrer des règles, à appliquer des formules
et à ressasser des mots étrangers. Toutefois, de temps en temps, lors d’un travail de
groupe, d’un exposé ou d’une rédaction libre, je saisissais l’occasion de m’exprimer.
Dans ces moments-là, je me demandais si ce que j’exprimais me reflétait vraiment,
moi.
Cette pensée en entraînait plusieurs autres : était-il possible que je ne devienne
jamais moi ? Etait-ce grave ? N’étais-je pas, sans le savoir, déjà moi depuis
longtemps ? N’aurais-je pas pu être beaucoup mieux ? Pourrais-je encore le devenir
tout en restant moi ?
Je pressentais que la réalité était insaisissable ; la vérité un jeu. Elle avait de nombreux
visages et dépendait avant tout de celui qui la prononçait. Il me semblait de plus en
plus clair, que pour devenir moi, il fallait que je fasse des choix.
« Choisir » c’était de toute évidence une affaire de grandes personnes, un truc
sérieux ; parce qu’on ne peut pas « déchoisir » et comme on ne vit pas deux fois,
valait mieux ne pas se tromper.
J’aurais préféré avoir droit à quelques coups d’essai et même avoir le droit de vivre
plusieurs vies. Finalement, je n’étais pas tellement pressée de devenir moi. J’aurais
voulu pouvoir toujours faire tout ce que faisaient tous les autres.
C’est probablement pour cela que le théâtre a été l’un de mes premiers choix. Il
m’offrait un espace-temps magique où je pouvais faire des coups d’essai, emprunter
des identités nouvelles et vivre pour de vrai des histoires fausses.
S’essayer à l’histoire d’Hamlet, c’est faire un coup d’essai exemplaire. En effet, le
personnage se retrouve justement à cette étape de la vie où il doit faire un choix
terrible : tuer le roi, désobéir à son père ou disparaître à lui-même. L’enjeu :
devenir soi ou mourir.
Heureusement, on peut mourir sur scène pour naître au monde. Au théâtre, il
est possible de douter de tout, d’imaginer de nouveaux destins, de commencer à
s’émanciper ou juste de s’essayer à cette idée.
MAGALI TOSATO
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MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
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MAGALI
TOSATO
LYDIA
DIMITROW
Mise en scène et responsabilité artistique
Dramaturgie et traduction
Après l’obtention d’une maturité bilingue (françaisallemand), elle étudie le français et l’histoire à
l’Université de Lausanne de 2006 à 2008, puis elle
achève une année de formation pré-professionnelle en
art dramatique au Conservatoire de Musique de Genève
en 2009.
Lydia Dimitrow étudie la littérature comparée à
l’Université Libre de Berlin (Freie Universität Berlin).
Elle y obtient son bachelor en 2012 et fait un échange
d’une année à l’Université de Lausanne où elle découvre
le Centre de traduction littéraire (le CTL).
De 2010 à 2014, elle étudie la mise en scène à la haute
école de théâtre Ernst Busch à Berlin. Elle continue par
ailleurs de travailler comme assistante à la mise en
scène et dramaturge pour différentes compagnies
romandes (notamment : Cie Gianni Schneider, Cie
Pasquier-Rossier, Cie Un Air de Rien, Cie
FullPetalMachine, Cie Champs d’action).
Magali Tosato réalise diverses mise en scènes, dont
Messer und Brot (bat-Studiotheater et Maxim Gorki
Studio, Berlin, 2011) ; Der Auftrag de Heiner Müller (batStudiotheater, Berlin, 2013), invité au « Heiner Müller
Festival » au Residenztheater de Munich la même
année ; I love Italy and Italy loves me (bat-Studiotheater,
Berlin, 2014); Verweile doch! (Residenztheater, Munich,
2014) ; Hamlet dans les écoles (une coproduction avec le
Théâtre de Vidy, jouée dans les salles de classe des
cantons de Vaud et Genève en 2015, actuellement en
tournée) ainsi que Home-Made (Théâtre de Vidy,
Lausanne, 2015).
En 2014 elle présente en outre son projet de maquette
Il y a quelqu’un à l’occasion du concours PREMIO à
Lausanne, ainsi qu’au Festival Passe-Portes à l’île
Maurice où le projet emporte le premier prix. En 2015
elle se voit décerner la « Bourse de compagnonnage
théâtral » de la Ville de Lausanne et du Canton de Vaud
pour la période 2015-17. Dans le cadre de cette bourse
elle assiste Stefan Kaegi (Rimini Protokoll) et Denis
Maillefer (Compagnie Théâtre en Flammes), et prépare
sa prochaine création Amour/Luxe. Elle dirige par
ailleurs un atelier de théâtre en collaboration avec le
Théâtre de Vidy et l’Etablissement Vaudois d’Accueil
des Migrants (EVAM).
Depuis, elle traduit du français en allemand
parallèlement à ses études de master. En 2012, elle est
sélectionnée pour le programme d’encouragement de
Pro
Helvetia
« Young-Translators-PartnershipProgram » dans le cadre duquel elle traduit son premier
roman (Isabelle Flückiger : Bestseller, Rotpunktverlag).
En 2014 elle est sélectionnée pour le HieronymusProgramm (Robert Bosch Stiftung und Deutscher
Übersetzerfonds) et pour le Goldschmidt-Programm
pour jeunes traducteurs littéraires.
Elle fait en outre partie depuis 2008 de la rédaction du
journal du festival « Theatertreffen der Jugend » qui a
lieu une fois par année lors des Berliner Festspiele.
Depuis 2011, elle travaille aussi comme auteure et
dramaturge avec Magali Tosato et Franziska Keune,
notamment pour La Mission de Heiner Müler (batStudiotheater Berlin, 2013), I love Italy an Italy loves
me (bat-Studiotheater Berlin, 2014), Hamlet d’après
William Shakespeare (établissements scolaires des
établissements scolaires des cantons de Vaud et
Genève, 2015) et Home-Made (Théâtre de Vidy
Lausanne, 2015).
MOYENS TECHNIQUES
Afin de produire un spectacle léger et mobile, les
moyens techniques seront réduits au maximum.
Les quatre comédiens seront aussi à même d’éclairer
telle ou telle scène sur le vif, de baisser un store si la
lumière est trop forte dans la pièce. Bref, des comédiens
capables de faire face aux imprévus, et qui sont aussi à
l’aise avec les aspects plus pratiques.
MAGALI TOSATO HAMLET DANS LES ÉCOLES
CONTACTS
EN CHARGE DU PROJET :
FANNY GUICHARD
[email protected]
+41 (0)21 619 45 80
PRODUCTION :
CAROLINE BARNEAUD
[email protected]
+41 (0)21 619 45 15
LE THÉÂTRE DE VIDY
EST SUBVENTIONNÉ PAR :
VILLE DE LAUSANNE
CANTON DE VAUD
FONDS INTERCOMMUNAL DE SOUTIEN
AUX INSTITUTIONS CULTURELLES DE LA RÉGION
LAUSANNOISE
EST SOUTENU PAR :
LOTERIE ROMANDE
PRO HELVETIA – FONDATION SUISSE
POUR LA CULTURE
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LE THÉÂTRE DE VIDY
REMERCIE SES GÉNÉREUX DONATEURS
FONDATION DE FAMILLE SANDOZ
FONDATION LEENAARDS
VERA MICHALSKI-HOFFMANN
FONDATION HOFFMANN
FONDATION CASINO BARRIÈRE
DE MONTREUX
ET PLUSIEURS BIENFAITEURS ANONYMES
LES MEMBRES DE SON CERCLE DES MÉCÈNES
DONT :
ANNE ET FRANÇOIS ANSERMET
ANNE BIÉLER
ARNAUD BRUNEL
GÉRARD DIGGELMANN ET PATRICK GIGON
ALEXANDRE EDELMANN
ET STÉPHANIE JACOT-DESCOMBES
JEAN-CLAUDE FALCIOLA
MALIKA FIVAZ-ARBANE
JEAN FREYMOND
CHRISTINE ET MICHEL PIERRE GLAUSER
MANIA ET BERNHARD HAHNLOSER
ANDRÉ ET ROSALIE HOFFMANN
VERA MICHALSKI-HOFFMANN
BERTHE JUILLERAT
RAYMOND JUNOD
CHARLES KLEIBER
SYLVIA MARTINOLI ET ROLAND MEX
RAINER MICHAEL MASON ET JOHANNA OUTIS
FRANÇOISE ET GEORGES MULLER
CAMILLE ET NICOLAS NARBEL
BERNARD NICOD
CYNTHIA ODIER
ALAIN ET CHRISTINE PETITPIERRE
MARIANNE REYMOND
STÉPHANE ROUSSET ET BETTINA WISKOTT
CHANTAL TOULOUSE
YVES TRISCONI
JEAN VALLET
SASKIA VON OVERBECK OTTINO
CAROLINE DE WATTEVILLE
LES ENTREPRISES PARTENAIRES :
CITYCABLE
CORNÈRCARD
DE RHAM SA
FERRING PHARMACEUTICALS
FILOFAX/MGB SA
GÉNÉRATIONS PLUS
GROUPE MUTUEL
HERMÈS
HÔTEL AULAC
HÔTEL BEAU-RIVAGE PALACE
HOTELS BY FASSBIND
HÔTEL D’ANGLETERRE
LA CLINIQUE DE LA SOURCE
MIGROS POUR-CENT CULTUREL
NEURONES OXYGEN
RETRAITES POPULAIRES
TL TRANSPORTS PUBLICS DE LA RÉGION
LAUSANNOISE
LES PARTENAIRES DE LA KANTINA
SES PARTENAIRES DE PROGRAMME COMMUN :
POMP IT UP
PRÉSENCE SUISSE
LAUSANNE TOURISME
SES PARTENAIRES DE MÉDIATION CULTURELLE :
LES FONDATIONS EDMOND DE ROTHSCHILD
ASSOCIATION DES AMIS DU THÉÂTRE
SES PARTENAIRES CULTURELS :
TKM THÉÂTRE KLÉBER-MÉLEAU
ARSENIC
THÉÂTRE LA GRANGE DE DORIGNY
SÉVELIN 36
THÉÂTRE DU JORAT
COMÉDIE DE GENÈVE
THÉÂTRE FORUM MEYRIN
POCHE /GVE
THÉÂTRE DE CAROUGE – ATELIER DE GENÈVE
GESSNERALLEE ZÜRICH (EXPEDITION SUISSE)
THEATER CHUR (EXPEDITION SUISSE)
KASERNE BASEL (EXPEDITION SUISSE)
DAMPFZENTRALE BERN (EXPEDITION SUISSE)
CENTRE CULTUREL SUISSE DE PARIS
COURS DE MIRACLE
ÉCOUTE VOIR
AVDC ASSOCIATION VAUDOISE DE DANSE CONTEMPORAINE
ADC ASSOCIATION POUR LA DANSE CONTEMPORAINE
GENÈVE
RESO RÉSEAU DANSE SUISSE
ESPACE CHUV
MUSÉE DE L’ÉLYSÉE
MUDAC MUSÉE DE DESIGN ET D’ARTS APPLIQUÉS
CONTEMPORAINS
MCBA MUSÉE CANTONAL DES BEAUX-ARTS DE LAUSANNE
COLLECTION DE L’ART BRUT
MUSÉE BARBIER-MUELLER
CINÉMATHÈQUE SUISSE
CINÉTOILE MALLEY
BLACK MOVIE
VISIONS DU RÉEL
LES URBAINES
VERBIER FESTIVAL
LE ROMANDIE
RTS
ÉDITIONS NOIR SUR BLANC
FONDATION JAN MICHALSKI POUR L’ÉCRITURE ET LA
LITTÉRATURE
VOYAGES ET CULTURE
PROGRAMME.CH
LES ÉCOLES ET ÉTABLISSEMENTS PARTENAIRES :
MANUFACTURE HAUTE ÉCOLE DES ARTS DE LA SCÈNE
LES TEINTURERIES
ÉCOLE DE THÉÂTRE SERGE MARTIN
UNIL UNIVERSITÉ DE LAUSANNE
CONNAISSANCE 3
UNIVERSITÉ POPULAIRE DE LAUSANNE
EPFL ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE DE LAUSANNE
IBOIS | EPFL
EESP ÉCOLE D’ÉTUDES SOCIALES ET PÉDAGOGIQUES
HEAD HAUTE ÉCOLE D’ART ET DE DESIGN
HEMU HAUTE ÉCOLE DE MUSIQUE
ECAL ÉCOLE CANTONALE D’ART DE LAUSANNE
CEPV CENTRE D’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL DE VEVEY
EHL ÉCOLE HÔTELIÈRE DE LAUSANNE
DGEP ENSEIGNEMENT POST-OBLIGATOIRE
DGEO ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
EVAM ÉTABLISSEMENT VAUDOIS D’ACCUEIL DES MIGRANTS
LES CENTRES DE QUARTIER
ET LES FOYERS DE LA VILLE DE LAUSANNE
SON PARTENAIRE MÉDIA :
SON PARTENAIRE DE SAISON
SON PARTENAIRE LIBRAIRIE
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