NEWSLETTER DE MEDINE ET EUDCOS NO.2 Avril 2009 Le Tamarina Beach Club concentré de simplicité et d’élégance La Compagnie Mauricienne de Commerce: Un Partenaire aux compétences reconnues Med dine Land dscaping: Un nrave el your im magination through your garden Medine Farmers’ Market: Redynamisserr l’écon nomie e dans la région de Bambous Golden Yearss of Med dine Sommaire 1 Message de Dany Giraud, CEO de Medine 2 La crise économique mondiale 4 La Compagnie Mauricienne de Commerce Un Partenaire aux compétences reconnues 6 Le Tamarina Beach Club; concentré de simplicité et d’élégance 7 Goûtons voir si le rhum est bon! 8 Question Time 10 Medine Farmers’ Market; redynamiser l’économie dans la région de Bambous 11 Medine Training Centre: Pépinière pour le développement 12 Medine Property 13 Medine Landscaping: Unravel your imagination through your garden 14 Golden Years of Medine 15 Les Sportifs de Medine 16 Le Garage en fête! 17 The Medine Post & Vous & Vous ◆ Pour un premier journal d’entreprise, c’est pas mal, mais le hic c’est qu’on ne mentionne pas toutes les compagnies de Medine et leurs fonctions. Néanmoins, on espère que la prochaine fois ce sera le cas. ◆ Pour un début c’est bien. Je trouve que la qualité du produit est trop réfléchie. Il nous faut un moyen de communication plus simple. Je trouve que les cadres des différents départements doivent participer à l’élaboration de ce journal d’entreprise. Il suffit de les convaincre. Bonne continuation. ◆ Je trouve que c’est une bonne chose. Ce journal nous permet de savoir un peu plus comment la compagnie se tient et comment se passe la vie à l’intérieur de la compagnie. Il faut continuer. ◆ De nous donner de plus amples renseignements concernant les groupes de Medine et ce qui se passe. Merci pour vos commentaires sur la première édition du Medine Post ◆ Le montage du magazine parait intéressant, mais le designer peut mieux faire avec plus d’informations et de photos. ◆ Très professionnel Félicitations! à Priscilla Dimba de la Compagnie Mauricienne de Commerce qui a remporté le ‘Quiz Time’ de la première édition du Medine Post. ◆ Je suis vraiment content que Medine commence à faire son propre journal d’entreprise, ce serait bon aussi de savoir un peu plus sur les fonctions de Medine et nos avantages en tant qu’employés. ◆ Un journal tant attendu qui fera plaisir, j’en suis certain. Surtout n’oubliez pas d’être à l’écoute de nos collègues. Commentaires sur ‘The Medine Post’ Le journal d’entreprise, Le Medine Post, est appelé à s’améliorer pour répondre à vos attentes. Vos commentaires et suggestions sont les bienvenus sur [email protected] ou alors, utilisez l’espace ci-contre pour nous faire parvenir vos idées pour les prochains numéros. L’équipe de la rédaction compte sur votre participation pour rendre ce journal d’entreprise encore plus proche de vous. Comité de rédaction: Sophie Desvaux de Marigny, Benoit Adolphe, Kevin Lennon, Marc Desmarais, Christine Crouche, Dieter Decotter. Ont collaborés à cette édition: Pierre Dinan, Dany Giraud, Thierry Sauzier, Joël Bruneau, Yves Béga, Jean Pierre Langlois, Glen Moutia, Christopher Blackburn, Morgan Ganeshan, David de Chalain, Jean Francois Rault, William Résidu, Keni Vardin, Didier Bosquet, Johan Cundasamy, Jean-Noël Dominique. Coordination, rédaction, mise en page: Blast Communications. Envoyer vos réponses à Benoit Adolphe, à l’adresse suivant: Medine Head Office 10th Floor Medine Mews Chaussé Road Port Louis Message de Dany Giraud, CEO de Medine Chers collègues, L’appréciation sans équivoque de la première édition du Medine Post confirme l’importance d’une bonne communication interne au sein d’une entreprise aussi diverse que la nôtre. Dany Giraud Chief Executive Officer Conscients du caractère essentiel et pressant de la communication, nous avons commandité un audit de communication interne et externe, et nous inviterons très bientôt certains d’entre vous à participer à cet exercice afin de nous aider à cerner les faiblesses et à élaborer un plan d’action en matière de communication. Ce plan d’action sera suivi de l’exercice de branding de Medine. Comme vous le savez, nous avons sollicité l’expertise de Fareed Jaunbocus (De Chazal Du Mée) pour revoir notre structure organisationnelle afin de l’adapter aux nouvelles exigences de l’économie. Cet exercice d’une année, qui a demandé la participation de tous, a été très riche en réflexion et nous vous remercions de vos précieuses contributions. Fareed nous a présenté, en avril, son analyse et ses recommandations et nous prévoyons la mise en place de la nouvelle structure de Medine (en trois pôles d’activités) pour le début de juillet. Bien sûr, nous comptons sur votre compréhension, votre collaboration et votre soutien inconditionnel pour faire de cette nouvelle structure la base solide qui nous aidera à mieux façonner l’avenir du groupe. Un avenir qui est aujourd’hui sombre et très incertain, vue la dimension que pourrait prendre cette crise mondiale et qui pourrait remettre en cause le système économique actuel. La crise n’étant ni conjoncturelle, ni structurelle, nous ne pouvons prévoir l’ampleur des dégâts qu’elle pourrait occasionner au niveau planétaire. Notre petite économie est si tributaire de la situation socio-économique de nos pays-partenaires que nous subirons de plein fouet les conséquences des mauvaises nouvelles que nous diffusent les médias. Nous remercions Pierre Dinan, économiste de renom et de très grande valeur, pour sa spontanéité à venir nous éclairer sur l’origine et le devenir possible de cette crise. Le gouvernement a mis en place un stimulus package pour aider le pays à traverser la crise, et c’est maintenant à nous, entreprises, à nous mobiliser et agir avec conviction pour réduire les coûts, innover, et augmenter la productivité à tous les niveaux. Nous sommes les seuls maîtres de notre destinée et nous devons agir de concert et dans le respect d’autrui pour en assurer le succès. Nous remercions les auteurs de ce deuxième numéro pour leurs excellents articles ainsi que toute l’équipe qui a contribué à son élaboration. Dans ce numéro, vous pourrez savourer un peu d’histoire tout en étant mis au diapason de l’actualité du groupe. Je vous souhaite une bonne lecture ! Vive Medine, Vive EUDCOS Dany Giraud The Medine Post No.2, Avril 2009 1 La Crise Economique Mondiale Risques et Opportunités C’est en août 2007 qu’apparaissent les premiers signes de ce qui mènera à la crise économique dans laquelle le monde est aujourd’hui empêtré. Subprime A ses débuts, la crise ne concerne que les banques et autres institutions financières. Par exemple, les banques centrales des Etats-Unis et de l’Union Européenne sont obligées d’injecter des fonds sur les marchés afin de contrer un manque de liquidités. Par ailleurs, une banque britannique, la Northern Rock, est assiégée par ses déposants car ils sont minés par le doute sur sa solvabilité. Au premier trimestre 2008, 650 000 propriétaires de maisons privées aux Etats-Unis sont en cessation de paiement de leurs dettes envers des banques: avides de faire du business lucratif ; ces banques avaient outrepassé les règles de prudence et d’évaluation des risques, en accordant des prêts à des demandeurs dont la situation financière était fragile. C’est ce qui a donné lieu à la saga des « subprime ». 2 The Medine Post No.2, Avril 2009 Actifs contaminés Les banques se retrouvent donc avec des dettes impayées et irrécupérables. Des saisies de maisons pleuvent, avec tout le cortège de drames humains que cela peut entraîner. Par ailleurs, il n’y a pas que les banques à détenir ces actifs contaminés que sont les dettes à haut risque (les hypothèques « subprime »).Car les banques avaient pris l’habitude de rassembler ces dettes qu’elles détenaient en des titres afin de les revendre à des institutions financières, notamment des fonds d’investissements, des fonds de pension et des fonds alternatifs (en anglais : hedge funds). C’est ainsi que ces fonds se sont, eux aussi, retrouvés avec des actifs contaminés, à valeur réduite et à haut risque. Un enchaînement catastrophique Au début de la chaîne, des gens aux finances douteuses, davantage fragilisées par la perte de leur maison ; au milieu de la chaîne, des banques n’osant plus prêter aux industries, après avoir pratiqué l’excès ; au bout de la chaîne, des investisseurs détenant des titres bons pour la poubelle. On l’aura compris : la crise financière a engendré la crise économique, avec un enchaînement catastrophique. L’appauvrissement des uns, les pertes des autres, ont entraîné une baisse de la demande des biens de consommation. Une baisse de la consommation se répercute sur la production industrielle des biens et des services. Les industries réagissent en réduisant leurs activités et leur personnel. Et ainsi de suite, le cycle devient infernal. Ajoutons, enfin, que cette crise économique qui touche aujourd’hui de très nombreux pays développés, dont nos principaux partenaires commerciaux (Grande -Bretagne, France, U.S.A, tous en décroissance économique), a eu un impact sur notre propre pays. Puisque nous vivons des exportations de nos marchandises et de nos services, vers ces pays-là, nous subissons déjà une baisse de la demande, ce qui pourrait nous obliger à baisser nos prix de vente pour maintenir la demande au niveau antérieur. Racines de cette crise L’ampleur de cette crise économique mondiale est telle que des questions se posent sur les erreurs qui nous ont conduits à cette dangereuse impasse. Sans doute, avons-nous succombé à un excès d’optimisme découlant d’une très longue période de prospérité dans le monde développé. Ceux qui détenaient le pouvoir économique se sont ainsi habitués à prendre des risques excessifs, aidés en cela par une politique de taux d’intérêts faibles pratiqués par la Réserve Fédérale américaine de 2001 à 2005. Simultanément, de nouveaux produits financiers ont fait leur apparition, telle que la titrisation évoquée ci-dessus. Des investisseurs ont allégrement acheté des titres sans savoir ce qu’ils représentaient. Ils ont fait une confiance aveugle à des spécialistes en ingénierie financière, tandis que les organismes de régulation des marchés ont été passifs et ont manqué de surveillance. Avec les facilités que donne l’internet, les transactions financières ont dépassé facilement les frontières, des milliards de dollars et d’euros étant investis à la seconde près et au toucher d’une souris informatique. Il y a eu aussi un phénomène d’endettement excessif dans des pays développés où le goût de l’épargne s’est totalement affadi. Dans le même temps, toutefois, des pays émergents, notamment en Asie avec la Chine au premier rang, accroissaient leur épargne et la prêtaient à profusion aux Etats-Unis devenus insatiables. Malheureusement personne n’a vraiment pris conscience qu’un tel déséquilibre entre l’épargne des uns et les emprunts des autres allait finir par débalancer tout le processus de l’économie mondiale. C’est ainsi qu’on a pu dire que si l’épargne asiatique a fourni aux nord-américains un nœud pour qu’ils se pendent, c’est bien ces derniers qui se sont eux-mêmes perdus ! L’avenir Plus on s’enfonce dans la crise, plus on entend les spécialistes repousser le moment où l’économie mondiale pourrait rebondir. Le Fonds Monétaire International, (FMI) qui est à la pointe de la surveillance, ne voit que la récession dans les pays développés et a ramené la croissance de ces tigres asiatiques que sont la Chine et l’Inde à des taux de l’ordre de 5 à 8 pour cent. A Maurice, le taux de croissance espéré en 2009 est égal à 4 pour cent mais le FMI table sur 2 pour cent seulement. Le ministre des Finances attribue la différence d’appréciation au fait que le FMI s’est abstenu de prendre en compte l’impact du plan de stimulation de l’économie. Celuici prévoit des dépenses d’infrastructure et des aides à l’industrie de l’ordre de 10,4 milliards de roupies d’ici à fin 2010. Souhaitons qu’il soit mis en œuvre avec efficacité, flexibilité et rapidité, hors de tout gaspillage de ressources si rares de nos jours. Les premières rafales Il va sans dire que le sort de Maurice est largement dépendant de la durée de la crise économique dans nos principaux marchés d’exportation. Nous sentons déjà les premières rafales dans nos industries du textile et du tourisme. Evidemment, nous souhaitons tous que l’œil du cyclone ne s’approchera pas mais nous avons le devoir et l’obligation de prendre nos précautions. Les risques d’une détérioration sont réels : notamment, des pertes d’emplois, des pertes de profitabilité pouvant même mener à des faillites, une augmentation du déficit budgétaire et de l’endettement public, et enfin une baisse de nos réserves en devises étrangères. De nouvelles opportunités Il est important d’être conscient de ces risques. Il ne s’agit pas de paniquer. Au contraire, tout risque peut être l’occasion de découvrir de nouvelles opportunités, de sortir des sentiers battus. Ainsi, on nous parle de nouvelles infrastructures : vivement que les routes deviennent plus fluides. Le stress des Mauriciens baissera, nos maigres ressources économiques seront mieux utilisées. Profitons aussi de cette crise pour prendre des décisions politiques sensibles, telles qu’une saine gouvernance des institutions para- étatiques dans le respect de l’éthique et des principes de la gestion financière. Il convient enfin que tous les agents économiques — apporteurs de capitaux, gestionnaires, syndicats et employés — se mettent à l’ouvrage pour accroître la productivité dans nos entreprises. Car c’est ainsi que nous pourrons mieux nous battre avec succès sur des marchés internationaux .Ces derniers deviennent de plus en plus compétitifs puisqu’ils se rétrécissent et nous ne savons pas combien de temps encore cela durera. Pierre Dinan 10 mars 2009 The Medine Post No.2, Avril 2009 3 Les opérations sont maintenant centralisées à Pailles et la Compagnie emploie quelque 103 personnes. Au fil du temps, l’entreprise a su diversifier ses activités, en investissant récemment, par exemple, dans l’immobilier. En effet, CMC a été le promoteur de l’immeuble Medine Mews qui abrite aujourd’hui le siège social de Medine et a conservé près de 60% des espaces construits. En sus d’être le promoteur de l’immeuble, CMC gère aussi la location d’espace de bureau et de parkings mis à disposition d’autres sociétés et du public. « L’engagement et la loyauté des employés est source de réussite chez CMC et le Management mise beaucoup sur les compétences de tout un chacun pour continuer à faire avancer la compagnie» nous confie Jean Pierre Langlois, Manager de CMC. Pour le management, le message est clair: CMC continuera à progresser en misant sur ce même esprit d’entreprise qui a toujours favorisé la performance et les relations durables. Le saviez-vous ? La Compagnie Mauricienne de Commerce démarre ses activités dans les années 1920. Les développements se font sous la tutelle de Monsieur Joseph Margéot aidé de son fils Raymond (respectivement le père et le frère du Cardinal Jean Margeot). Ils donnent très vite une dimension internationale à l’entreprise en devenant le distributeur agréé de Firestone et de Bandag des USA ou encore des extincteurs Sicli de France. CMC a été incorporée en 1931 mais l’entreprise existait bien avant cette date comme le témoigne le trophée FIRESTONE mentionnant l’année 1922. La Compagnie Mauricienne de Commerce est sans doute un des plus anciens maillons de la chaine de distribution de Firestone dans le monde. CMC apporte sa contribution au concept Maurice île durable La confiance des consommateurs locaux dans les pneus rechapés a grandement été renforcée grâce au processus de rechapage Bandag et aux efforts de CMC pour éduquer les utilisateurs. Représentée depuis 1964 par CMC, la technologie Bandag a demandé un réel investissement dans des équipements de qualité ainsi que dans la formation du personnel. Ce processus est continu car les normes applicables aux procédés de rechapage et la qualité finale de ce produit font l’objet de suivie et de contrôle minutieux chez CMC. La Franchise Bandag ne s’obtient qu’à ce prix. Le concept Maurice île durable s’appuie beaucoup sur les entreprises qui œuvrent en faveur de l’environnement et on peut dire que CMC, en proposant les pneus rechapés Bandag, impacte déjà favorablement sur la nature en permettant une réduction des matières premières utilisées ainsi qu’en limitant la génération de déchets sous forme de pneus usés. A quand le label Ecolo pour CMC ? Le rechapage est une pratique courante, notamment pour certaines catégories de véhicules lourds tels que les camions, les autobus et les tracteurs, sans oublier les véhicules utilitaires tels que les camionnettes et les 4x4. Si les entreprises mauriciennes rechapent, c’est pour faire des économies car le rechapage (recyclage) d’un pneu usé coûte bien moins cher qu’un pneu neuf et la durabilité avec Bandag est souvent supérieure. D’autant plus que le rechapage d’un pneu représente une économie non négligeable en énergie fossile car il faut en moyenne 80 litres de pétrole pour produire un pneu neuf de camion. Il n’en faut que 27 litres pour le rechaper… Enfin, il est bon de souligner que le fait de rechaper procure des emplois à la main d’œuvre Mauricienne tout en économisant des devises étrangères au pays. Profil Express Yves Bega est le General Manager de CMC à temps partiel depuis 1986 alors qu’il est le Group Financial Coordinator de Medine depuis 2001. Après 33 années de bons et loyaux services au sein du groupe, cet expert comptable prendra bientôt sa retraite. C’est une occasion pour le comité de rédaction du Medine Post de saluer cet homme qui a participé à l’évolution de Medine. C’est en 1976 qu’Yves rejoint le WEAL Group (dont Medine était membre) comme Town Office Accountant. Il se verra d’emblée confier la comptabilité de CMC et de Concorde qui sont alors deux nouvelles acquisitions du groupe. Au fil du temps, Yves s’est retrouvé avec de nouvelles responsabilités et a gravi progressivement les échelons hiérarchiques. Sa riche expérience professionnelle a grandement servi Medine. A l’aube de la retraite, Yves confie que le nombre des années n’a pas entamé sa passion du travail bien fait. Aujourd’hui membre du Mauritius Institute of Professional Accountants (MIPA) et président du Mauritius Association of Registered Company Secretaries, on peut dire sans détour qu’Yves est resté profondément attaché à sa profession. Il se chuchote qu’en tant que futur retraité, Yves s’organise déjà afin de garder la forme intellectuelle et physique. Ce sera aussi l’occasion rêvée pour Yves de vivre encore plus au grand air, lui qui est un mordu des sports nautiques, du VTT ou encore de la chasse. The Medine Post No.2, Avril 2009 5 Zoom sur… David de Chalain — nouveau Food & Beverage Manager de Tamarina Beach Club depuis juillet 2008 « Je souhaite faire partager à notre clientèle une vision particulière de la restauration » Le Tamarina Beach Club; concentré de simplicité et d’élégance L’ attrait harmonieux du site fait de ce lieu un espace hors du temps. Avec une vue quasi unique sur la baie de Tamarin, le Tamarina Beach Club vaut une halte. Le Bar Beach Club (BBC) et La Madrague Restaurant, s’articulant tous deux autour d’une piscine largement ouverte sur une plage retirée, se distinguent par leur charme. L’ordonnance symétrique des lieux dégage une vue totale sur la baie et ne manquera pas de séduire les amateurs du grand air. Le BBC est ouvert tous les jours de 10h à 23h (sauf le dimanche et lundi soir — fermé à 20h) et est déjà réputé pour ses boissons locales et cocktails à l’heure de l’apéritif. Le restaurant La Madrague est le dernier né du concept Tamarina Beach Club. Pouvant accueillir jusqu’à 80 couverts, cet espace gourmand saura combler plus d’un, grâce à ses spécialités fruits de mer et à sa cuisine fusion. Discret et toujours à l’écoute de la clientèle, le personnel du Tamarina Beach Club donne un cachet unique à cet espace de détente. Leur savoir-faire mérite d’être salué car il contribue grandement à rehausser le niveau du service. Selon les dires de David de Chalain, Food & Beverage Manager de Tamarina Beach Club, « L’appui du personnel est primordial à Tamarina Beach Club pour approcher l’excellence en matière de service et je me sens pleinement épaulé dans cette quête. » Le Tamarina Golf, Spa & Beach Club est vraisemblablement la consécration d’une vision que Medine a fait mûrir pendant des années. Avec l’ouverture du Beach Club, l’ouest n’a désormais rien à envier à la partie nord de l’île ! C’est en visionnaire que ce mauricien anglophone a posé ces valises dans l’ouest de l’île. Responsable du F&B depuis peu au Tamarina Beach Club, David de Chalain se définit comme un homme aimant le ‘challenge’. C’est aussi pour cela qu’il tente l’aventure au pays de ses grands-parents, lui qui a pourtant toujours vécu en Afrique du Sud. David a déjà 15 ans de métier derrière lui; ayant travaillé pour des grandes enseignes de la restauration telles que Debonairs Pizza, Steers ou encore Scooters Pizza. Petit à petit, notre jeune F&B Manager gravit les échelons et dit maintenant posséder une vision particulière de la restauration. Le sens du service est une chose importante si on veut réussir dans ce domaine. La qualité des produits proposés en est une autre. David pense que le Tamarina Beach Club a donc tous les atouts pour devenir un lieu incontournable. Pour mener à bien sa mission, David compte énormément sur son équipe qui, à l’image de lui-même, séduit déjà par son dynamisme et la passion du travail bien fait. Infos pratiques : Dérivée de l’arabe ‘mazraba’ — qui veut dire ‘enceinte’ — la Madrague est en faite une grande enceinte de filets pour la pêche au thon Ouvert de 10 heures à 19 heures et sur réservation pour le dîner. La Madrague peut être aussi réservée pour des fonctions à la demande. Le Happy Hour (plus connu comme le Sundowner Experience) du vendredi – de 18 heures à 22 heures – est de plus en plus populaire. Pour plus de renseignements contactez le Restaurant Manager sur le 422 0097. Code vestimentaire : tenue décontractée le jour, tenue élégante le soir. 6 The Medine Post No.2, Avril 2009 Le site internet de Medine Property (www.medineproperty.com) est actuellement en cours d’élaboration et sera la vitrine des projets fonciers du groupe, à l’attention des acheteurs potentiels et professionnels du secteur. Vous y trouverez les photos, plans et détails des produits commercialisés par Medine. www.medineproperty.com Medine Property, la filiale foncière de Medine devient une réalité D ans le passé, les projets liés au développement immobilier de Medine sont restés limités car le métier de base de l’entreprise était la culture de la canne et la production de sucre. Ainsi, les quelques projets immobiliers de Medine – principalement des morcellements, étaient sous-traités en intégralité à des consultants extérieurs à la compagnie (arpenteurs, urbanistes, chefs de projet, agents commerciaux, entre autres). Avec l’avènement des VRS et la nécessité de financer ses dépenses par la vente de terres, Medine a finalement mis en place une structure interne pour mener à bien ces projets. Cette structure, légère au départ, s’est étoffée lorsque la compagnie a décidé de se lancer dans le développement du premier Integrated Resort Scheme (IRS) à Maurice : Le Tamarina Golf, Spa & Beach Club. Le succès de l’opération, associé à la mise en œuvre du Medine Master Plan (MMP) et à la nécessité de diversifier les sources de revenus de Medine (suite à la levée des prix garantis du sucre de l’Union Européenne), a poussé le Conseil d’Administration de la compagnie à mettre en place un véritable pôle de développement immobilier. Cette équipe, qui est toujours en cours de formation, assurera la mise en place des projets de développement foncier du MMP pour les 25 prochaines années. 12 The Medine Post No.2, Avril 2009 L’objectif à terme pour Medine est de s’assurer que la valorisation de ses terres à travers le MMP se fasse de façon cohérente, intégrée, socialement responsable et profitable. L’atteinte de cet objectif contribuera à créer, non seulement de la valeur pour l’entreprise, mais également un modèle de développement novateur dans le paysage urbain mauricien afin de laisser aux générations futures un cadre de vie agréable, harmonieux et écologiquement viable. Il est évident que ce projet s’inscrit dans le long terme et que sa réalisation dépendra des aléas de la conjoncture et de l’obtention des autorisations nécessaires pour les différents projets. Ainsi la crise financière actuelle remet sérieusement en question le modèle IRS dont le marché est passé, en moins d’un an, d’un état euphorique à un état léthargique ! Toutefois, il est permis de penser que, sur le long terme, la destination reprendra son souffle et que Maurice pourra se positionner en offrant des produits immobiliers plus diversifiés de types résidentiels, commerciaux, de bureaux, de santé et d’éducation de haut de gamme, plaçant notre île comme un ‘hub’ résidentiel et d’affaires aux portes de l’Afrique. Medine Landscaping Unravel your imagination through your garden Medine Landscaping was created some 3 years ago to attend to the landscaping needs of the various projects of Medine Sugar Estates Co. Ltd, in its 20-year development plan for the west coast area. This department, led by Christopher Blackburn, is backed by Medine Sugar Estates Co. Ltd for any resources (machinery, labour, etc.) that might be needed, while plant shoots requirements are closely monitored by the Medine nursery department. Medine Landscaping is thus within a well structured team that has been designed to facilitate implementation of landscaping projects. The Tamarina Golf Estates was the starting point of this department. 119 IRS villas and 25 ha of land on the Golf course have been landscaped by our young and dynamic team. Medine Landscaping aims to attend to individual landscaping projects from start to finish. We offer a professional service in six fields: landscaping design, landscaping installation, irrigation design and installation, maintenance of pool, maintenance of garden and sale of plant. Our goal is to respond to the client specific needs while having an environmentally friendly approach. The Medine Post No.2, Avril 2009 13 Le garage en fête! La récolte 2008 s’étant terminé tardivement, la traditionnelle fête de fin d’année du garage a dû être renvoyée pour une date ultérieure. Comme dit le dicton : ce qui est reporté n’est pas perdu ! En effet, tout le personnel du garage a été invité par le chef de département au club house de Pierrefonds le vendredi 13 février 2009 pour se retrouver autour d’un bon repas et dans une ambiance festive. C’est par petits groupes que le personnel s’est mis autour d’une table, tout en bavardant sur leurs « performances » durant l’année écoulée, pendant que les serveurs apportaient boissons et snacks. Une musique d’ambiance donnait le ton à la soirée. Après le dîner, le chef de garage fit une brève allocution en retraçant les points saillants qui ont marqué les activités du garage et exprima ses remerciements et son appréciation à son personnel pour le travail d’équipe. Son assistant parla de la magnifique récolte mécanique, des perspectives à venir et les défis à relever. 16 The Medine Post No.2, Avril 2009 Ensuite ce fût au tour de Jean Maurice Roopoo, chauffeur bien connu du garage, accompagné de sa troupe de ségatiers et de ses danseuses, à mettre le feu à la soirée. Sur l’invitation des danseuses, un bon nombre d’employés se sont déhanchés au rythme du séga, le tout dans une ambiance cordiale. La bonne humeur rayonnait sur tous les visages. Après le dernier verre, les cols bleus ont calmement pris le transport mis à leur disposition pour rentrer sagement chez eux en se donnant rendez-vous l’année prochaine. Ceci démontre un bel exemple de collaboration entre le département des relations publiques et celui du garage pour l’organisation d’une fête destinée au bien-être des 146 membres de son personnel. Vivement la prochaine fête ! Sommaire 1 Message de Dany Giraud, CEO de Medine 2 La crise économique mondiale 4 La Compagnie Mauricienne de Commerce Un Partenaire aux compétences reconnues 6 Le Tamarina Beach Club; concentré de simplicité et d’élégance 7 Goûtons voir si le rhum est bon! 8 Question Time 10 Medine Farmers’ Market; redynamiser l’économie dans la région de Bambous 11 Medine Training Centre: Pépinière pour le développement 12 Medine Property 13 Medine Landscaping: Unravel your imagination through your garden 14 Golden Years of Medine 15 Les Sportifs de Medine 16 Le Garage en fête! 17 The Medine Post & Vous & Vous ◆ Pour un premier journal d’entreprise, c’est pas mal, mais le hic c’est qu’on ne mentionne pas toutes les compagnies de Medine et leurs fonctions. Néanmoins, on espère que la prochaine fois ce sera le cas. ◆ Pour un début c’est bien. Je trouve que la qualité du produit est trop réfléchie. Il nous faut un moyen de communication plus simple. Je trouve que les cadres des différents départements doivent participer à l’élaboration de ce journal d’entreprise. Il suffit de les convaincre. Bonne continuation. ◆ Je trouve que c’est une bonne chose. Ce journal nous permet de savoir un peu plus comment la compagnie se tient et comment se passe la vie à l’intérieur de la compagnie. Il faut continuer. ◆ De nous donner de plus amples renseignements concernant les groupes de Medine et ce qui se passe. Merci pour vos commentaires sur la première édition du Medine Post ◆ Le montage du magazine parait intéressant, mais le designer peut mieux faire avec plus d’informations et de photos. ◆ Très professionnel Félicitations! à Priscilla Dimba de la Compagnie Mauricienne de Commerce qui a remporté le ‘Quiz Time’ de la première édition du Medine Post. ◆ Je suis vraiment content que Medine commence à faire son propre journal d’entreprise, ce serait bon aussi de savoir un peu plus sur les fonctions de Medine et nos avantages en tant qu’employés. ◆ Un journal tant attendu qui fera plaisir, j’en suis certain. Surtout n’oubliez pas d’être à l’écoute de nos collègues. Commentaires sur ‘The Medine Post’ Le journal d’entreprise, Le Medine Post, est appelé à s’améliorer pour répondre à vos attentes. Vos commentaires et suggestions sont les bienvenus sur [email protected] ou alors, utilisez l’espace ci-contre pour nous faire parvenir vos idées pour les prochains numéros. L’équipe de la rédaction compte sur votre participation pour rendre ce journal d’entreprise encore plus proche de vous. Comité de rédaction: Sophie Desvaux de Marigny, Benoit Adolphe, Kevin Lennon, Marc Desmarais, Christine Crouche, Dieter Decotter. Ont collaborés à cette édition: Pierre Dinan, Dany Giraud, Thierry Sauzier, Joël Bruneau, Yves Béga, Jean Pierre Langlois, Glen Moutia, Christopher Blackburn, Morgan Ganeshan, David de Chalain, Jean Francois Rault, William Résidu, Keni Vardin, Didier Bosquet, Johan Cundasamy, Jean-Noël Dominique. Coordination, rédaction, mise en page: Blast Communications. Envoyer vos réponses à Benoit Adolphe, à l’adresse suivant: Medine Head Office 10th Floor Medine Mews Chaussé Road Port Louis NEWSLETTER DE MEDINE ET EUDCOS NO.2 Avril 2009 Le Tamarina Beach Club concentré de simplicité et d’élégance La Compagnie Mauricienne de Commerce: Un Partenaire aux compétences reconnues Med dine Land dscaping: Un nrave el your im magination through your garden Medine Farmers’ Market: Redynamisserr l’écon nomie e dans la région de Bambous Golden Yearss of Med dine