Le Tamarina Beach Club concentré de simplicité et d

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NEWSLETTER
DE MEDINE ET EUDCOS
NO.2 Avril 2009
Le Tamarina Beach Club
concentré de simplicité
et d’élégance
La Compagnie
Mauricienne
de Commerce:
Un Partenaire
aux compétences
reconnues
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your garden
Medine Farmers’
Market:
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dans la région
de Bambous
Golden Yearss
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dine
Sommaire
1
Message de Dany Giraud, CEO de Medine
2
La crise économique mondiale
4
La Compagnie Mauricienne de Commerce
Un Partenaire aux compétences reconnues
6
Le Tamarina Beach Club; concentré de simplicité et d’élégance
7
Goûtons voir si le rhum est bon!
8
Question Time
10
Medine Farmers’ Market; redynamiser l’économie dans la région de Bambous
11
Medine Training Centre: Pépinière pour le développement
12
Medine Property
13
Medine Landscaping: Unravel your imagination through your garden
14
Golden Years of Medine
15
Les Sportifs de Medine
16
Le Garage en fête!
17
The Medine Post & Vous
& Vous
◆ Pour un premier journal d’entreprise, c’est pas mal, mais le hic c’est
qu’on ne mentionne pas toutes les compagnies de Medine et leurs
fonctions. Néanmoins, on espère que la prochaine fois ce sera le cas.
◆ Pour un début c’est bien. Je trouve que la qualité du produit est trop
réfléchie. Il nous faut un moyen de communication plus simple. Je
trouve que les cadres des différents départements doivent participer
à l’élaboration de ce journal d’entreprise. Il suffit de les convaincre.
Bonne continuation.
◆ Je trouve que c’est une bonne chose. Ce journal nous permet
de savoir un peu plus comment la compagnie se tient et comment
se passe la vie à l’intérieur de la compagnie. Il faut continuer.
◆ De nous donner de plus amples renseignements concernant
les groupes de Medine et ce qui se passe.
Merci pour vos commentaires sur la première
édition du Medine Post
◆ Le montage du magazine parait intéressant, mais le designer
peut mieux faire avec plus d’informations et de photos.
◆ Très professionnel
Félicitations! à Priscilla Dimba
de la Compagnie Mauricienne de Commerce
qui a remporté le ‘Quiz Time’ de la première
édition du Medine Post.
◆ Je suis vraiment content que Medine commence à faire son propre
journal d’entreprise, ce serait bon aussi de savoir un peu plus sur
les fonctions de Medine et nos avantages en tant qu’employés.
◆ Un journal tant attendu qui fera plaisir, j’en suis certain. Surtout
n’oubliez pas d’être à l’écoute de nos collègues.
Commentaires sur ‘The Medine Post’
Le journal d’entreprise, Le Medine Post, est appelé à s’améliorer pour répondre à vos attentes. Vos commentaires
et suggestions sont les bienvenus sur [email protected] ou alors, utilisez l’espace ci-contre pour nous faire
parvenir vos idées pour les prochains numéros. L’équipe de la rédaction compte sur votre participation pour rendre
ce journal d’entreprise encore plus proche de vous.
Comité de rédaction:
Sophie Desvaux de Marigny, Benoit Adolphe, Kevin Lennon, Marc Desmarais, Christine Crouche, Dieter Decotter.
Ont collaborés à cette édition: Pierre Dinan, Dany Giraud, Thierry Sauzier, Joël Bruneau, Yves Béga, Jean
Pierre Langlois, Glen Moutia, Christopher Blackburn, Morgan Ganeshan, David de Chalain, Jean Francois Rault,
William Résidu, Keni Vardin, Didier Bosquet, Johan Cundasamy, Jean-Noël Dominique.
Coordination, rédaction, mise en page: Blast Communications.
Envoyer vos réponses
à Benoit Adolphe,
à l’adresse suivant:
Medine Head Office
10th Floor Medine Mews
Chaussé Road
Port Louis
Message de Dany
Giraud, CEO de Medine
Chers collègues,
L’appréciation sans équivoque de la première édition du Medine Post confirme
l’importance d’une bonne communication
interne au sein d’une entreprise aussi
diverse que la nôtre.
Dany Giraud
Chief Executive Officer
Conscients du caractère essentiel et pressant de la communication, nous avons
commandité un audit de communication
interne et externe, et nous inviterons très
bientôt certains d’entre vous à participer à
cet exercice afin de nous aider à cerner les
faiblesses et à élaborer un plan d’action en
matière de communication. Ce plan d’action sera suivi de l’exercice de branding de
Medine.
Comme vous le savez, nous avons sollicité
l’expertise de Fareed Jaunbocus (De Chazal
Du Mée) pour revoir notre structure organisationnelle afin de l’adapter aux nouvelles
exigences de l’économie. Cet exercice
d’une année, qui a demandé la participation de tous, a été très riche en réflexion
et nous vous remercions de vos précieuses
contributions. Fareed nous a présenté, en
avril, son analyse et ses recommandations
et nous prévoyons la mise en place de
la nouvelle structure de Medine (en trois
pôles d’activités) pour le début de juillet.
Bien sûr, nous comptons sur votre compréhension, votre collaboration et votre
soutien inconditionnel pour faire de cette
nouvelle structure la base solide qui nous
aidera à mieux façonner l’avenir du groupe.
Un avenir qui est aujourd’hui sombre
et très incertain, vue la dimension que
pourrait prendre cette crise mondiale et
qui pourrait remettre en cause le système
économique actuel. La crise n’étant ni
conjoncturelle, ni structurelle, nous ne
pouvons prévoir l’ampleur des dégâts
qu’elle pourrait occasionner au niveau
planétaire. Notre petite économie est si
tributaire de la situation socio-économique
de nos pays-partenaires que nous subirons
de plein fouet les conséquences des mauvaises nouvelles que nous diffusent les
médias. Nous remercions Pierre Dinan,
économiste de renom et de très grande
valeur, pour sa spontanéité à venir nous
éclairer sur l’origine et le devenir possible
de cette crise.
Le gouvernement a mis en place un stimulus package pour aider le pays à traverser la crise, et c’est maintenant à nous,
entreprises, à nous mobiliser et agir avec
conviction pour réduire les coûts, innover,
et augmenter la productivité à tous les
niveaux. Nous sommes les seuls maîtres
de notre destinée et nous devons agir de
concert et dans le respect d’autrui pour en
assurer le succès.
Nous remercions les auteurs de ce deuxième numéro pour leurs excellents
articles ainsi que toute l’équipe qui
a contribué à son élaboration.
Dans ce numéro, vous pourrez savourer
un peu d’histoire tout en étant mis au
diapason de l’actualité du groupe. Je vous
souhaite une bonne lecture !
Vive Medine, Vive EUDCOS
Dany Giraud
The Medine Post No.2, Avril 2009 1
La Crise
Economique
Mondiale
Risques et Opportunités
C’est en août 2007 qu’apparaissent les premiers signes de ce qui mènera à la crise
économique dans laquelle le monde est
aujourd’hui empêtré.
Subprime
A ses débuts, la crise ne concerne que les
banques et autres institutions financières.
Par exemple, les banques centrales des
Etats-Unis et de l’Union Européenne sont
obligées d’injecter des fonds sur les marchés afin de contrer un manque de liquidités. Par ailleurs, une banque britannique,
la Northern Rock, est assiégée par ses
déposants car ils sont minés par le doute
sur sa solvabilité. Au premier trimestre
2008, 650 000 propriétaires de maisons
privées aux Etats-Unis sont en cessation
de paiement de leurs dettes envers des
banques: avides de faire du business
lucratif ; ces banques avaient outrepassé
les règles de prudence et d’évaluation des
risques, en accordant des prêts à des demandeurs dont la situation financière était
fragile. C’est ce qui a donné lieu à la saga
des « subprime ».
2 The Medine Post No.2, Avril 2009
Actifs contaminés
Les banques se retrouvent donc avec des
dettes impayées et irrécupérables. Des
saisies de maisons pleuvent, avec tout le
cortège de drames humains que cela peut
entraîner. Par ailleurs, il n’y a pas que les
banques à détenir ces actifs contaminés
que sont les dettes à haut risque (les hypothèques « subprime »).Car les banques
avaient pris l’habitude de rassembler ces
dettes qu’elles détenaient en des titres
afin de les revendre à des institutions
financières, notamment des fonds d’investissements, des fonds de pension et
des fonds alternatifs (en anglais : hedge
funds). C’est ainsi que ces fonds se sont,
eux aussi, retrouvés avec des actifs contaminés, à valeur réduite et à haut risque.
Un enchaînement catastrophique
Au début de la chaîne, des gens aux finances douteuses, davantage fragilisées
par la perte de leur maison ; au milieu
de la chaîne, des banques n’osant plus
prêter aux industries, après avoir pratiqué
l’excès ; au bout de la chaîne, des investisseurs détenant des titres bons pour la
poubelle. On l’aura compris : la crise financière a engendré la crise économique,
avec un enchaînement catastrophique.
L’appauvrissement des uns, les pertes des
autres, ont entraîné une baisse de la demande des biens de consommation. Une
baisse de la consommation se répercute
sur la production industrielle des biens et
des services. Les industries réagissent en
réduisant leurs activités et leur personnel.
Et ainsi de suite, le cycle devient infernal.
Ajoutons, enfin, que cette crise économique qui touche aujourd’hui de très
nombreux pays développés, dont nos principaux partenaires commerciaux (Grande
-Bretagne, France, U.S.A, tous en décroissance économique), a eu un impact sur
notre propre pays. Puisque nous vivons
des exportations de nos marchandises et
de nos services, vers ces pays-là, nous
subissons déjà une baisse de la demande,
ce qui pourrait nous obliger à baisser nos
prix de vente pour maintenir la demande
au niveau antérieur.
Racines de cette crise
L’ampleur de cette crise économique
mondiale est telle que des questions
se posent sur les erreurs qui nous ont
conduits à cette dangereuse impasse.
Sans doute, avons-nous succombé à un
excès d’optimisme découlant d’une très
longue période de prospérité dans le
monde développé. Ceux qui détenaient le
pouvoir économique se sont ainsi habitués
à prendre des risques excessifs, aidés en
cela par une politique de taux d’intérêts
faibles pratiqués par la Réserve Fédérale
américaine de 2001 à 2005.
Simultanément, de nouveaux produits
financiers ont fait leur apparition, telle
que la titrisation évoquée ci-dessus. Des
investisseurs ont allégrement acheté des
titres sans savoir ce qu’ils représentaient.
Ils ont fait une confiance aveugle à des
spécialistes en ingénierie financière, tandis que les organismes de régulation des
marchés ont été passifs et ont manqué de
surveillance. Avec les facilités que donne
l’internet, les transactions financières ont
dépassé facilement les frontières, des milliards de dollars et d’euros étant investis à
la seconde près et au toucher d’une souris
informatique.
Il y a eu aussi un phénomène d’endettement excessif dans des pays développés
où le goût de l’épargne s’est totalement
affadi. Dans le même temps, toutefois,
des pays émergents, notamment en Asie
avec la Chine au premier rang, accroissaient leur épargne et la prêtaient à profusion aux Etats-Unis devenus insatiables.
Malheureusement personne n’a vraiment
pris conscience qu’un tel déséquilibre
entre l’épargne des uns et les emprunts
des autres allait finir par débalancer tout
le processus de l’économie mondiale.
C’est ainsi qu’on a pu dire que si l’épargne
asiatique a fourni aux nord-américains un
nœud pour qu’ils se pendent, c’est bien ces
derniers qui se sont eux-mêmes perdus !
L’avenir
Plus on s’enfonce dans la crise, plus on entend les spécialistes repousser le moment
où l’économie mondiale pourrait rebondir.
Le Fonds Monétaire International, (FMI)
qui est à la pointe de la surveillance, ne
voit que la récession dans les pays développés et a ramené la croissance de ces
tigres asiatiques que sont la Chine et l’Inde
à des taux de l’ordre de 5 à 8 pour cent.
A Maurice, le taux de croissance espéré
en 2009 est égal à 4 pour cent mais le
FMI table sur 2 pour cent seulement. Le
ministre des Finances attribue la différence
d’appréciation au fait que le FMI s’est abstenu de prendre en compte l’impact du
plan de stimulation de l’économie. Celuici prévoit des dépenses d’infrastructure
et des aides à l’industrie de l’ordre de
10,4 milliards de roupies d’ici à fin 2010.
Souhaitons qu’il soit mis en œuvre avec
efficacité, flexibilité et rapidité, hors de
tout gaspillage de ressources si rares de
nos jours.
Les premières rafales
Il va sans dire que le sort de Maurice est
largement dépendant de la durée de la
crise économique dans nos principaux
marchés d’exportation. Nous sentons déjà
les premières rafales dans nos industries
du textile et du tourisme. Evidemment,
nous souhaitons tous que l’œil du cyclone
ne s’approchera pas mais nous avons le devoir et l’obligation de prendre nos précautions. Les risques d’une détérioration sont
réels : notamment, des pertes d’emplois,
des pertes de profitabilité pouvant même
mener à des faillites, une augmentation
du déficit budgétaire et de l’endettement
public, et enfin une baisse de nos réserves
en devises étrangères.
De nouvelles opportunités
Il est important d’être conscient de ces
risques. Il ne s’agit pas de paniquer.
Au contraire, tout risque peut être l’occasion de découvrir de nouvelles opportunités, de sortir des sentiers battus. Ainsi,
on nous parle de nouvelles infrastructures :
vivement que les routes deviennent plus
fluides. Le stress des Mauriciens baissera,
nos maigres ressources économiques seront mieux utilisées. Profitons aussi de
cette crise pour prendre des décisions
politiques sensibles, telles qu’une saine
gouvernance des institutions para- étatiques dans le respect de l’éthique et
des principes de la gestion financière.
Il convient enfin que tous les agents
économiques — apporteurs de capitaux,
gestionnaires, syndicats et employés — se
mettent à l’ouvrage pour accroître la productivité dans nos entreprises. Car c’est
ainsi que nous pourrons mieux nous battre
avec succès sur des marchés internationaux .Ces derniers deviennent de plus en
plus compétitifs puisqu’ils se rétrécissent
et nous ne savons pas combien de temps
encore cela durera.
Pierre Dinan
10 mars 2009
The Medine Post No.2, Avril 2009 3
Les opérations sont maintenant centralisées à Pailles et la Compagnie emploie
quelque 103 personnes.
Au fil du temps, l’entreprise a su diversifier
ses activités, en investissant récemment,
par exemple, dans l’immobilier. En effet,
CMC a été le promoteur de l’immeuble
Medine Mews qui abrite aujourd’hui le
siège social de Medine et a conservé près
de 60% des espaces construits. En sus
d’être le promoteur de l’immeuble, CMC
gère aussi la location d’espace de bureau
et de parkings mis à disposition d’autres
sociétés et du public.
« L’engagement et la loyauté des employés est source de réussite chez CMC
et le Management mise beaucoup sur
les compétences de tout un chacun pour
continuer à faire avancer la compagnie»
nous confie Jean Pierre Langlois, Manager
de CMC.
Pour le management, le message est clair:
CMC continuera à progresser en misant sur
ce même esprit d’entreprise qui a toujours
favorisé la performance et les relations
durables.
Le saviez-vous ?
La Compagnie Mauricienne de Commerce
démarre ses activités dans les années
1920. Les développements se font sous la
tutelle de Monsieur Joseph Margéot aidé
de son fils Raymond (respectivement le
père et le frère du Cardinal Jean Margeot).
Ils donnent très vite une dimension
internationale à l’entreprise en devenant
le distributeur agréé de Firestone et de
Bandag des USA ou encore des extincteurs
Sicli de France. CMC a été incorporée en
1931 mais l’entreprise existait bien avant
cette date comme le témoigne le trophée
FIRESTONE mentionnant l’année 1922.
La Compagnie Mauricienne de Commerce
est sans doute un des plus anciens
maillons de la chaine de distribution de
Firestone dans le monde.
CMC apporte sa contribution au concept
Maurice île durable
La confiance des consommateurs locaux
dans les pneus rechapés a grandement été
renforcée grâce au processus de rechapage
Bandag et aux efforts de CMC pour éduquer les utilisateurs.
Représentée depuis 1964 par CMC, la
technologie Bandag a demandé un réel
investissement dans des équipements
de qualité ainsi que dans la formation du
personnel. Ce processus est continu car
les normes applicables aux procédés de
rechapage et la qualité finale de ce produit
font l’objet de suivie et de contrôle minutieux chez CMC. La Franchise Bandag ne
s’obtient qu’à ce prix.
Le concept Maurice île durable s’appuie
beaucoup sur les entreprises qui œuvrent
en faveur de l’environnement et on peut
dire que CMC, en proposant les pneus
rechapés Bandag, impacte déjà favorablement sur la nature en permettant une
réduction des matières premières utilisées
ainsi qu’en limitant la génération de déchets sous forme de pneus usés. A quand
le label Ecolo pour CMC ?
Le rechapage est une pratique courante,
notamment pour certaines catégories de véhicules lourds tels que les
camions, les autobus et les tracteurs, sans
oublier les véhicules utilitaires tels que les
camionnettes et les 4x4. Si les entreprises mauriciennes rechapent, c’est pour
faire des économies car le rechapage
(recyclage) d’un pneu usé coûte bien
moins cher qu’un pneu neuf et la durabilité avec Bandag est souvent supérieure.
D’autant plus que le rechapage d’un
pneu représente une économie non
négligeable en énergie fossile car il faut
en moyenne 80 litres de pétrole pour
produire un pneu neuf de camion. Il n’en
faut que 27 litres pour le rechaper…
Enfin, il est bon de souligner que le fait de
rechaper procure des emplois à la main
d’œuvre Mauricienne tout en économisant des devises étrangères au pays.
Profil Express
Yves Bega est le General Manager de CMC
à temps partiel depuis 1986 alors qu’il est
le Group Financial Coordinator de Medine
depuis 2001. Après 33 années de bons et
loyaux services au sein du groupe, cet expert
comptable prendra bientôt sa retraite. C’est
une occasion pour le comité de rédaction
du Medine Post de saluer cet homme qui a
participé à l’évolution de Medine.
C’est en 1976 qu’Yves rejoint le WEAL Group
(dont Medine était membre) comme Town
Office Accountant. Il se verra d’emblée
confier la comptabilité de CMC et de Concorde
qui sont alors deux nouvelles acquisitions du
groupe. Au fil du temps, Yves s’est retrouvé
avec de nouvelles responsabilités et a gravi
progressivement les échelons hiérarchiques.
Sa riche expérience professionnelle a grandement servi Medine. A l’aube de la retraite,
Yves confie que le nombre des années n’a
pas entamé sa passion du travail bien fait.
Aujourd’hui membre du Mauritius Institute
of Professional Accountants (MIPA) et président du Mauritius Association of Registered
Company Secretaries, on peut dire sans
détour qu’Yves est resté profondément
attaché à sa profession.
Il se chuchote qu’en tant que futur retraité,
Yves s’organise déjà afin de garder la forme
intellectuelle et physique. Ce sera aussi l’occasion rêvée pour Yves de vivre encore plus
au grand air, lui qui est un mordu des sports
nautiques, du VTT ou encore de la chasse.
The Medine Post No.2, Avril 2009 5
Zoom sur…
David de Chalain — nouveau Food & Beverage
Manager de Tamarina Beach Club depuis
juillet 2008
« Je souhaite faire partager à notre clientèle
une vision particulière de la restauration »
Le Tamarina Beach Club;
concentré de simplicité
et d’élégance
L’
attrait harmonieux du site fait de ce lieu
un espace hors du temps. Avec une vue
quasi unique sur la baie de Tamarin,
le Tamarina Beach Club vaut une halte.
Le Bar Beach Club (BBC) et La Madrague
Restaurant, s’articulant tous deux autour
d’une piscine largement ouverte sur une
plage retirée, se distinguent par leur
charme. L’ordonnance symétrique des lieux
dégage une vue totale sur la baie et ne
manquera pas de séduire les amateurs du
grand air.
Le BBC est ouvert tous les jours de 10h à
23h (sauf le dimanche et lundi soir — fermé
à 20h) et est déjà réputé pour ses boissons
locales et cocktails à l’heure de l’apéritif.
Le restaurant La Madrague est le dernier né
du concept Tamarina Beach Club. Pouvant
accueillir jusqu’à 80 couverts, cet espace
gourmand saura combler plus d’un, grâce
à ses spécialités fruits de mer et à sa
cuisine fusion.
Discret et toujours à l’écoute de la clientèle, le
personnel du Tamarina Beach Club donne un
cachet unique à cet espace de détente. Leur
savoir-faire mérite d’être salué car il contribue
grandement à rehausser le niveau du service.
Selon les dires de David de Chalain, Food &
Beverage Manager de Tamarina Beach Club,
« L’appui du personnel est primordial à Tamarina
Beach Club pour approcher l’excellence en
matière de service et je me sens pleinement
épaulé dans cette quête. »
Le Tamarina Golf, Spa & Beach Club est vraisemblablement la consécration d’une vision
que Medine a fait mûrir pendant des années.
Avec l’ouverture du Beach Club, l’ouest n’a désormais rien à envier à la partie nord de l’île !
C’est en visionnaire que ce mauricien anglophone a posé ces valises dans l’ouest de l’île.
Responsable du F&B depuis peu au Tamarina
Beach Club, David de Chalain se définit
comme un homme aimant le ‘challenge’.
C’est aussi pour cela qu’il tente l’aventure au
pays de ses grands-parents, lui qui a pourtant
toujours vécu en Afrique du Sud.
David a déjà 15 ans de métier derrière lui;
ayant travaillé pour des grandes enseignes
de la restauration telles que Debonairs Pizza,
Steers ou encore Scooters Pizza. Petit à petit,
notre jeune F&B Manager gravit les échelons
et dit maintenant posséder une vision particulière de la restauration. Le sens du service
est une chose importante si on veut réussir
dans ce domaine. La qualité des produits
proposés en est une autre. David pense que
le Tamarina Beach Club a donc tous les atouts
pour devenir un lieu incontournable.
Pour mener à bien sa mission, David compte
énormément sur son équipe qui, à l’image
de lui-même, séduit déjà par son dynamisme
et la passion du travail bien fait.
Infos pratiques :
Dérivée de l’arabe ‘mazraba’ — qui veut dire
‘enceinte’ — la Madrague est en faite une
grande enceinte de filets pour la pêche au thon
Ouvert de 10 heures à 19 heures et sur
réservation pour le dîner.
La Madrague peut être aussi réservée pour
des fonctions à la demande. Le Happy Hour
(plus connu comme le Sundowner Experience)
du vendredi – de 18 heures à 22 heures –
est de plus en plus populaire.
Pour plus de renseignements contactez
le Restaurant Manager sur le 422 0097.
Code vestimentaire : tenue décontractée le
jour, tenue élégante le soir.
6 The Medine Post No.2, Avril 2009
Le site internet de Medine Property
(www.medineproperty.com) est actuellement en cours d’élaboration et sera
la vitrine des projets fonciers du groupe,
à l’attention des acheteurs potentiels
et professionnels du secteur. Vous y
trouverez les photos, plans et détails
des produits commercialisés par Medine.
www.medineproperty.com
Medine Property,
la filiale foncière
de Medine devient
une réalité
D
ans le passé, les projets liés au
développement immobilier de
Medine sont restés limités car
le métier de base de l’entreprise
était la culture de la canne et la production de sucre. Ainsi, les quelques projets
immobiliers de Medine – principalement
des morcellements, étaient sous-traités en
intégralité à des consultants extérieurs à la
compagnie (arpenteurs, urbanistes, chefs
de projet, agents commerciaux, entre
autres).
Avec l’avènement des VRS et la nécessité de
financer ses dépenses par la vente de terres,
Medine a finalement mis en place une
structure interne pour mener à bien ces projets. Cette structure, légère au départ, s’est
étoffée lorsque la compagnie a décidé de se
lancer dans le développement du premier
Integrated Resort Scheme (IRS) à Maurice :
Le Tamarina Golf, Spa & Beach Club.
Le succès de l’opération, associé à la
mise en œuvre du Medine Master Plan
(MMP) et à la nécessité de diversifier les
sources de revenus de Medine (suite à la
levée des prix garantis du sucre de l’Union
Européenne), a poussé le Conseil d’Administration de la compagnie à mettre
en place un véritable pôle de développement immobilier.
Cette équipe, qui est toujours en cours de
formation, assurera la mise en place des
projets de développement foncier du MMP
pour les 25 prochaines années.
12 The Medine Post No.2, Avril 2009
L’objectif à terme pour Medine est de
s’assurer que la valorisation de ses terres
à travers le MMP se fasse de façon cohérente, intégrée, socialement responsable
et profitable.
L’atteinte de cet objectif contribuera à
créer, non seulement de la valeur pour
l’entreprise, mais également un modèle de
développement novateur dans le paysage
urbain mauricien afin de laisser aux générations futures un cadre de vie agréable,
harmonieux et écologiquement viable.
Il est évident que ce projet s’inscrit dans le
long terme et que sa réalisation dépendra
des aléas de la conjoncture et de l’obtention des autorisations nécessaires pour les
différents projets.
Ainsi la crise financière actuelle remet sérieusement en question le modèle IRS dont
le marché est passé, en moins d’un an,
d’un état euphorique à un état léthargique !
Toutefois, il est permis de penser que, sur
le long terme, la destination reprendra
son souffle et que Maurice pourra se
positionner en offrant des produits immobiliers plus diversifiés de types résidentiels,
commerciaux, de bureaux, de santé et
d’éducation de haut de gamme, plaçant
notre île comme un ‘hub’ résidentiel
et d’affaires aux portes de l’Afrique.
Medine Landscaping
Unravel your imagination
through your garden
Medine Landscaping was created some 3 years
ago to attend to the landscaping needs of the
various projects of Medine Sugar Estates Co. Ltd,
in its 20-year development plan for the west
coast area.
This department, led by Christopher Blackburn,
is backed by Medine Sugar Estates Co. Ltd for any
resources (machinery, labour, etc.) that might
be needed, while plant shoots requirements
are closely monitored by the Medine nursery
department. Medine Landscaping is thus within
a well structured team that has been designed
to facilitate implementation of landscaping
projects.
The Tamarina Golf Estates was the starting point
of this department. 119 IRS villas and 25 ha of
land on the Golf course have been landscaped
by our young and dynamic team.
Medine Landscaping aims to attend to individual landscaping projects from start to finish.
We offer a professional service in six fields:
landscaping design, landscaping installation, irrigation design and installation, maintenance of
pool, maintenance of garden and sale of plant.
Our goal is to respond to the client specific
needs while having an environmentally friendly
approach.
The Medine Post No.2, Avril 2009 13
Le garage
en fête!
La récolte 2008 s’étant terminé tardivement, la traditionnelle fête de fin d’année
du garage a dû être renvoyée pour une
date ultérieure.
Comme dit le dicton : ce qui est reporté
n’est pas perdu ! En effet, tout le personnel du garage a été invité par le chef de
département au club house de Pierrefonds
le vendredi 13 février 2009 pour se retrouver autour d’un bon repas et dans une
ambiance festive. C’est par petits groupes
que le personnel s’est mis autour d’une
table, tout en bavardant sur leurs « performances » durant l’année écoulée, pendant
que les serveurs apportaient boissons et
snacks. Une musique d’ambiance donnait
le ton à la soirée.
Après le dîner, le chef de garage fit une
brève allocution en retraçant les points
saillants qui ont marqué les activités du
garage et exprima ses remerciements et
son appréciation à son personnel pour le
travail d’équipe. Son assistant parla de la
magnifique récolte mécanique, des perspectives à venir et les défis à relever.
16 The Medine Post No.2, Avril 2009
Ensuite ce fût au tour de Jean Maurice
Roopoo, chauffeur bien connu du garage,
accompagné de sa troupe de ségatiers
et de ses danseuses, à mettre le feu à
la soirée. Sur l’invitation des danseuses,
un bon nombre d’employés se sont déhanchés au rythme du séga, le tout dans
une ambiance cordiale. La bonne humeur
rayonnait sur tous les visages. Après le
dernier verre, les cols bleus ont calmement
pris le transport mis à leur disposition pour
rentrer sagement chez eux en se donnant
rendez-vous l’année prochaine.
Ceci démontre un bel exemple de collaboration entre le département des relations
publiques et celui du garage pour l’organisation d’une fête destinée au bien-être des
146 membres de son personnel.
Vivement la prochaine fête !
Sommaire
1
Message de Dany Giraud, CEO de Medine
2
La crise économique mondiale
4
La Compagnie Mauricienne de Commerce
Un Partenaire aux compétences reconnues
6
Le Tamarina Beach Club; concentré de simplicité et d’élégance
7
Goûtons voir si le rhum est bon!
8
Question Time
10
Medine Farmers’ Market; redynamiser l’économie dans la région de Bambous
11
Medine Training Centre: Pépinière pour le développement
12
Medine Property
13
Medine Landscaping: Unravel your imagination through your garden
14
Golden Years of Medine
15
Les Sportifs de Medine
16
Le Garage en fête!
17
The Medine Post & Vous
& Vous
◆ Pour un premier journal d’entreprise, c’est pas mal, mais le hic c’est
qu’on ne mentionne pas toutes les compagnies de Medine et leurs
fonctions. Néanmoins, on espère que la prochaine fois ce sera le cas.
◆ Pour un début c’est bien. Je trouve que la qualité du produit est trop
réfléchie. Il nous faut un moyen de communication plus simple. Je
trouve que les cadres des différents départements doivent participer
à l’élaboration de ce journal d’entreprise. Il suffit de les convaincre.
Bonne continuation.
◆ Je trouve que c’est une bonne chose. Ce journal nous permet
de savoir un peu plus comment la compagnie se tient et comment
se passe la vie à l’intérieur de la compagnie. Il faut continuer.
◆ De nous donner de plus amples renseignements concernant
les groupes de Medine et ce qui se passe.
Merci pour vos commentaires sur la première
édition du Medine Post
◆ Le montage du magazine parait intéressant, mais le designer
peut mieux faire avec plus d’informations et de photos.
◆ Très professionnel
Félicitations! à Priscilla Dimba
de la Compagnie Mauricienne de Commerce
qui a remporté le ‘Quiz Time’ de la première
édition du Medine Post.
◆ Je suis vraiment content que Medine commence à faire son propre
journal d’entreprise, ce serait bon aussi de savoir un peu plus sur
les fonctions de Medine et nos avantages en tant qu’employés.
◆ Un journal tant attendu qui fera plaisir, j’en suis certain. Surtout
n’oubliez pas d’être à l’écoute de nos collègues.
Commentaires sur ‘The Medine Post’
Le journal d’entreprise, Le Medine Post, est appelé à s’améliorer pour répondre à vos attentes. Vos commentaires
et suggestions sont les bienvenus sur [email protected] ou alors, utilisez l’espace ci-contre pour nous faire
parvenir vos idées pour les prochains numéros. L’équipe de la rédaction compte sur votre participation pour rendre
ce journal d’entreprise encore plus proche de vous.
Comité de rédaction:
Sophie Desvaux de Marigny, Benoit Adolphe, Kevin Lennon, Marc Desmarais, Christine Crouche, Dieter Decotter.
Ont collaborés à cette édition: Pierre Dinan, Dany Giraud, Thierry Sauzier, Joël Bruneau, Yves Béga, Jean
Pierre Langlois, Glen Moutia, Christopher Blackburn, Morgan Ganeshan, David de Chalain, Jean Francois Rault,
William Résidu, Keni Vardin, Didier Bosquet, Johan Cundasamy, Jean-Noël Dominique.
Coordination, rédaction, mise en page: Blast Communications.
Envoyer vos réponses
à Benoit Adolphe,
à l’adresse suivant:
Medine Head Office
10th Floor Medine Mews
Chaussé Road
Port Louis
NEWSLETTER
DE MEDINE ET EUDCOS
NO.2 Avril 2009
Le Tamarina Beach Club
concentré de simplicité
et d’élégance
La Compagnie
Mauricienne
de Commerce:
Un Partenaire
aux compétences
reconnues
Med
dine Land
dscaping:
Un
nrave
el your
im
magination through
your garden
Medine Farmers’
Market:
Redynamisserr
l’écon
nomie
e
dans la région
de Bambous
Golden Yearss
of Med
dine
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