LIGUE CAMEROUNAISE DES DROITS DE L’HOMME POUR LA DEFENSE DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU PLURALISME - Membre affilié à la F.I.D.H. accréditée auprès de la Commission de l’O.U.A et de l’O.N.U. Membre Fondateur de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme. Membre de l’Association Internationale des Juristes et des Avocats-Experts-Consultants en Droits de l’Homme. Présidents d’Honneur à titre posthume : Dr. Félix MOUMIE Ruben UM NYOBE Ernest OUANDIE Afana OSSENDE Abel KINGUE Monseigneur Albert NDONGMO COMMUNIQUÉ de PRESSE de la LIGUE CAMEROUNAISE des DROITS de l’HOMME METTANT en GARDE contre la BOUFFONNERIE qui UTILISE des EXPRESSIONS IRRESPONSABLES CONFUSIONNISTES. Il s’agit plus précisément de l’expression « FATWA ». Le Cameroun est une République laïque, et comme telle, les citoyens doivent utiliser le vocabulaire conventionnel de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies et de la Charte des Droits de l’Homme et des Peuples de l’Union Africaine. Le CODE qui veut dire « Collectif des Organisations démocratiques et patriotiques de la Diaspora Camerounaise » n’est pas non plus un mouvement religieux. Les gens qui utilisent l’expression « FATWA » pour régler leurs comptes n’engagent qu’eux-mêmes et non pas la destinée du peuple camerounais pour se faire justice. La Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme dénonce et se désolidarise de cette dérive digne des intégristes religieux qui frise une agitation stérile. 1 Les membres du CODE doivent s’en démarquer publiquement. La Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme n’y souscrit pas et les auteurs de cette publicité au nom du CODE doivent l’assumer pour le parti dont ils sont membres, et non pas au nom du CODE qui demeure et reste une Organisation des associations patriotiques sans connotation religieuse ou confessionnelle. D’autre part, l’expression « NOTRE CONSTITUTION » utilisée dans cette même publicité farfelue, est également dénoncée par la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme car la Constitution actuelle est une Constitution du régime criminel qu’incarne Paul BIYA qui ne concerne que le RDPC et le bourreau Paul BIYA. Ce n’est donc pas « NOTRE CONSTITUTION » puisque nous sommes dans une logique du combat d’antisystème corrompu mis en place et régi par cette Constitution antinationale. Il est donc urgent que le CODE cesse d’être utilisé par des publicitaires en mal d’activité dans leur propre parti ou organisation. Le CODE est un Collectif de synthèse des activités des organisations membres. Et nous en reparlerons Le 23 janvier 2008. Le secrétariat de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme. SECRÉTARIAT DE LA DELEGATION DU COMITE DIRECTEUR EN France 85, boulevard Saint – Michel - 75005 – PARIS tél/fax : (+33) 143.258.050. « Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org mail : [email protected] 2