CABARET DE CRISE CO M PAG N I E O C TAV I O CO N C EP T I O N : S O P H I E C U SSE T , G I LLES OS T RO WSK Y E T J EAN-MAT T H I E U FO U RT J E U : S O P H I E C U SSE T , G I LLES OS T RO WSK Y E T MARC P RI N M ISE EN S C ÈN E : J EAN-MAT T H I E U FO U RT CABARET DE CRISE La compagnie Octavio, collectif d’acteurs, d’auteurs et de metteurs en scène, propose un kaléidoscope de numéros de cabaret, à la frontière du burlesque, du théâtre et des arts plastiques. C’est une série d’instantanés, alliant la force de l’image à la jubilation de l’acteur. Fascinés par les clowns et les tartes à la crème, les acteurs pressent les clichés comme des citrons, font voler en éclats les conventions théâtrales et précipitent les spectateurs dans une forme pailletée, sale et hilarante. D U 9 D ÉC EM B RE 2 0 13 AU 2 0 JAN V I ER 2 0 14 AU T H ÉÂT RE D E B ELLE V I LLE Lumières : Sébastien Debant Costumes : Sophie Cusset et Valérie Simonneau Assistant mise en scène : Simon Luca Oldani Production : Compagnie Octavio & Madamelune Diffusion : Madamelune Cécile Le Glouët / [email protected] Promotion : Laurence Falleur / [email protected] & Vincent Bayol / [email protected] Avec le soutien de la Spedidam www.madamelune.com H I S TO R I Q U E D U P RO J E T « UN CABARET LO W C O S T… » À plusieurs reprises nous avons été contactés par des théâtres ou des metteurs en scène pour mettre en scène des soirées cabaret, des ouvertures de saisons théâtrales et pour créer des numéros visuels, burlesques et clownesques. Nous étions associés à chaque fois à des artistes de disciplines différentes : des circassiens dans « Hop là ! Fascinus ! » à la Grande Halle de la Villette (cabaret cirque) ; des chanteurs d’opéra avec les Jeunes Voix du Rhin (cabaret opéra) ; des marionnettistes ; des acteurs qui défendent des tragédies contemporaines : le collectif Les Possédés, les acteurs de Pierre Guillois « Les caissières sont moches » à Chalon dans la rue. Tous ces spectacles qui ont été joués dans de multiples espaces allant du théâtre à l’italienne, à la rue et au chapiteau. Ils nous ont permis au fil du temps de créer un véritable répertoire de numéros souvent référencés au « slapstick », inventant ainsi une grammaire du cabaret, explorant à chaque fois toutes les subtilités du rapport public et le poussant jusqu’à son apogée en continuant à chaque fois notre recherche sur le rire et sur l’acteur comme moteur de la création. Ces multiples expériences nous ont donné envie de créer un cabaret recentré autour de notre univers décalé, une revue burlesque, susceptible d’être joué dans des lieux plus intimes que dans la rue ou que dans de grands espaces comme La Grande Halle de la Villette. Le pari est de trouver le fil conducteur qui rassemblera tous ces numéros, avec le défi de jouer des numéros basés sur la démesure dans un plus petit espace, un cabaret low cost en quelque sorte ! La compagnie Octavio N OT E D ’ I N T E N T I O N L’ART D U M I X : LE T RI V IAL E T LE S U B LI M E Le cabaret est le dernier lieu de la tentative, un lieu où on peut prendre des risques et qui permet une grande liberté de création et de collage. On prend le risque de tester les limites d’un genre, de flirter avec le kitch et la parodie, de confronter des héros de série B à du Schubert, de mettre en scène des icônes et de les déboulonner, de s’amuser à poser un cliché pour mieux le détruire et le transcender, de faire cohabiter le glamour et la sueur, la poésie et l’obscénité, de mixer le trivial et le sublime : le clown qui pète et la mort tragique et bouleversante de Marilyn. Marilyn était chauve est la continuation de notre recherche sur le rire, le format court et la puissance du cabaret dans le lien privilégié qu’il entretient dans son rapport au public. C’est aussi l’aboutissement de notre recherche esthétique sur la puissance des images et la déflagration de la matière ; l’eau, la peinture, les paillettes, la crème fraîche… L’endroit où la régression clownesque et l’installation d’art contemporain se mélangent gaiement. N OS S O U RC ES D’I NSP I RAT I O N : LES C LO W NS : Les Marx Brothers, Charlot, Peter Sellers, Tati, Jerry Lewis, Jango Edwards,… LE N EW B U RLES Q U E E T L’ES T H É T I Q U E D E RE V U E : Des corps dénudés, des strass et des paillettes, les effeuilleuses du Burlesque. LA P H OTO G RAP H I E CO N T EM P O RAI N E : Les travestissements de Cindy Sherman, le Pop’Art. LE C I N ÉMA : Almodovar, Fellini, Lynch,… L E S P EC TAC L E « AT T E N T I O N ! L E S M O U S TAC H E S SONT RIGOUREUSEMENT I N T E R D I T E S DA N S L’ E N C E I N T E D U C A B A R E T, M E RC I D E L E S R E T I R E R ! » Les spectateurs sont accueillis par une voix mystérieuse, joyeuse et complice. Omniprésente, elle est un observateur invisible. Elle commande et surprend les spectateurs. Elle leur parle directement. Improvisée en direct, elle pose des règles absurdes et surréalistes (« attention ! les moustaches sont rigoureusement interdites dans l’enceinte du cabaret, merci de les retirer ! ») elle crée une ambiance conviviale et étrange. Elle déplace le rapport du spectateur au spectacle, tout peut arriver à n’importe quel moment ! Le spectacle commence. Le rapport au public est direct, tout est d’abord dénoncé pour que la magie opère ensuite. Un dandy attaqué par un poulpe géant dans sa baignoire, une pin-up en strass animée par un ours énamouré, la présentation d’un animal merveilleux mi-lapin mi-autruche, un homme nu décoré de baudruches bariolées agressé par une allumeuse, une conférence sur le clown, frappée d’entartage... Sur scène ou dans le public, le raffinement visuel des numéros est ici au service d’un jeu qui dérape inévitablement vers la farce la plus lourde, la moins complexée du monde. La beauté ne tient pas la route, elle est sans cesse menacée par cette puérile envie de tout casser. La jubilation des comédiens à saccager leurs chimères est contagieuse, mais on rêve avec eux à ces beautés perdues. L A C O M PAG N I E O C TAV I O La compagnie Octavio est un collectif théâtral composé de trois acteurs/auteurs/ metteurs en scène qui a un goût affirmé pour le rire et la mécanique du burlesque nourrie par la puissance du cabaret. Après une formation autour du clown, Sophie Cusset, Gilles Ostrowsky et Jean-Matthieu Fourt créent leurs premiers spectacles à partir d’improvisations. Si aujourd’hui les derniers spectacles ne s’apparentent plus à des créations spécifiquement clownesques, leur approche reste profondément empreinte de ce travail. Que se soit pour monter un texte (Schwartz, Genet, Dario Fo…), explorer un thème (Le retable de Grünewald, l’inconscient,…), ou pour travailler en salle, en rue, en appartement ou sous chapiteau, les questions qui sous-tendent les créations restent les mêmes : comment le rire puise sa force au cœur du tragique, comment réinventer à chaque fois le rapport au public, comment placer l’acteur au cœur du processus de création ? Depuis ses premières créations, la compagnie signe ses scénographies, s’amusant à créer des images magnifiques pour pouvoir mieux les casser. Depuis 1999, la compagnie travaille et donne des représentations à l’Harmonie municipale de Saint Denis, son lieu de travail et de création. Indépendamment, les acteurs ont travaillé avec : Thomas Dalle, Jean-Michel Rabeux, Rodolphe Dana, Julie Bérès, Catherine Beau, Eugène Durif, Sylvain Maurice, Pierre Guillois, Pierre Blaise, Pascale Siméon, Stéphanie Chêne, Sylvie Philibert, Olivier Besson, Philippe Eustachon, Guy Bénisty, Matthew Jocelyn, … Les membres de la Compagnie Octavio ont animé de nombreux ateliers et ont monté de 1998 à 2006 plusieurs spectacles avec des adolescents des classes option art dramatique notamment à la scène nationale de Cergy Pontoise et dans le festival Banlieues’arts à Trappes. L E S O C TAV I O E N Q U E LQ U E S DAT E S 2010 : Bang Bang – Pour Valérie spectacle de clown autour de l’adolescence et de la transformation des corps. Joué au Quartz de Brest, au TAPS de Strasbourg, au Nouveau Relax de Chaumont et au Créa de Kingersheim 2004 : Les caissières sont moches – version rue, de Pierre Guillois et de la Compagnie Octavio. Production Atelier du Rhin, joué au festival IN de Chalon-sur-Saône « Chalon dans la Rue » et à Cognac au festival « Coup de chauffe » 2009 : Hop là ! Fascinus ! Cabaret allumé avec Les compagnies Les Possédés et Le Cheptel Aleikoum, Produit par le Théâtre du Peuple de Bussang, La GrandeHalle de la Villette et Scènes du Jura. Tournée Théâtre du Peuple, Grande Halle de la Villette Paris, La commanderie à Dôle. 2001/02 : Les Bonnes de Jean Genet. Production compagnie Octavio, joué à l’Harmonie municipale Saint-Denis, et à La Merise, Trappes. 2007 : Résidence d’artistes à l’Atelier du Rhin à Colmar : Création de Men at work, la direction du stage AFDAS sur le clown « création d’un personnage » et la mise en scène pédagogique des Jeunes voix du Rhin,… 2000/01 : Un miracle ordinaire d’Evguéni Schwartz. Coproduction réseau Céat’yve et compagnie Octavio, joué à la Merise à Trappes et dans sept théâtres des Yvelines. 1998 : Sabotage Grand guignol théâtre en appartement. Production Scène nationale de Cergy-Pontoise. 2007 : Héroïnes d’après Une femme seule de Dario Fo. Production La Merise à Trappes et compagnie Octavio, joué à La Merise, Trappes et dans les festivals Regard de femmes et Banlieues’arts. 1995/98 : Débâcle tragédie clownesque. Production compagnie Octavio. Tournée de 3 ans dont le Théâtre Paris Villette, Le Prato à Lille, le théâtre Firmin Gémier à Anthony. 2006 : La porte. Production compagnie Octavio, joué au Théâtre du Peuple de Bussang, puis au Théâtre Gérard Philipe, Saint-Denis et au TAPS Scènes Strasbourgeois. 1991/95 : Vert pomme théâtre clownesque, spectacle jeune public. Production Compagnie Octavio. Tournée en France et à l’étranger. 2005 : Le retable, le Christ et le clown, Coproduction Atelier du Rhin - Centre dramatique Régional et Compagnie Octavio, joué à Atelier du Rhin, Colmar, L’Académie Fratellini, St-Denis et les TAPS – Scènes Strasbourgeois. L A PRESSE LE MONDE HOP LÀ ! FASCINUS ! Le petit théâtre forain Que c’est bon de rire. Tranquillement, d’un bon rire, un peu béat. Et de se bidonner aussi, de temps en temps, lorsque les gags pleuvent sur le plateau en même temps que des paniers à provisions remplis de bouteilles de vin tombent sur le public. Qui sert donc un tel menu ? C’est Hop là ! Fascinus !, spectacle de cabaret, à l’affiche de l’opération Des auteurs, des cirques, au parc de La Villette, à Paris. Le Cheptel Aleïkoum (cirque et musique), Les Octavio (clowns) et Les Possédés (théâtre). Huit interprètes déchaînés qui changent de personnage comme de chemise, voltigent entre les trois plateaux et les mini-roulottes qui constituent l’espace théâtral éclaté de Hop là ! Fascinus ! Un petit théâtre forain apparaît, dans lequel défilent les personnages de Barbe Bleue, tous plus sanguinolents les uns que les autres. Un acrobate s’entortille dans une corde souple tout en chantant, la tête en bas, des airs de crooner. Un type dans sa baignoire pleine de mousse se fait étrangler par un tuyau d’arrosage. C’est bête comme chou, mais qu’est-ce qu’on rit ! Règlements de comptes Une scène de ménage – elle en robe de mariée, lui en costard noir – sert d’intermèdes aux différentes saynètes. De coups de gueule (« J’ai arrêté de voir mes copains pour toi ») en règlements de comptes (« Tu ressembles à ta mère »), le couple va finalement chez le psy pour solder son compte et son échec amoureux de la façon la plus hilarante qui soit. Hop là ! Fascinus ! additionne les qualités, dont une, rare et majeure, est celle d’être bon enfant, ce qui ne veut pas dire crétin. Créé en 2008 au Théâtre du peuple, à Bussang, il détonne dans la production actuelle à un autre titre : les associations d’artistes sur un projet n’existent plus. En commandant à chacune des trois compagnies six ou sept numéros, Pierre Guillois croise les genres et les gens avec un seul dénominateur commun : le plaisir. Au fait, « fascinus » signifie « pénis dressé ». Rosita Boisseau L A PRESSE (SU ITE) L’ALSACE LE RETABLE, LE CHRIST ET LE CLOWN La tentation du Clown Le retable d’Issenheim revu et corrigé par le regard décalé du clown, tel était le pari (…) Une déferlante visuelle de plus d’une heure trente qui mêlait avec beaucoup d’à-propos le tragique et le comique, les textes de philosophes et un humour au premier degré des plus dévastateurs. (…) Un spectacle-réflexion plus qu’abouti sur l’art du clown et son corollaire, le bouc émissaire. Sous l’effet grossissant de la caricature, le public rit aux éclats, même s’il comprend que le ressort comique s’appuie sur la souffrance de celui qui glisse sur une peau de banane. Dominique Feig JSD (…) Le spectacle est conçu comme un puzzle, on passe du rire à la souffrance avec pour unicité le personnage du bouc émissaire. Le bouc émissaire c’est bien sûr le Christ, mais c’est aussi le clown, qui est arrosé, qui reçoit les tartes à la crème, celui dont on se moque perpétuellement. Du rire poussé à son paroxysme on passe aux larmes, à une tension où se mêlent jouissance et souffrance. Ce spectacle, créé à Colmar en mars dernier, a rencontré un succès qui dépasse les plus grandes espérances. Benoit Lagarrigue HOWARD BUTTEN On voit de plus en plus de clowns sur les scènes de théâtres français. Parmi les plus intéressants figure les «Octavio», le spectacle Débacle à Avignon en 1998 était déjà pour moi de grande qualité. Tout était là : personnages crédibles, effets, mise en piste, art véritable. Aupjourd’hui les Octavio proposent Le Retable, le Christ et le Clown, (Vaste projet), un spectacle ou disons plutôt une expérience spectaculaire. Ils poussent cette fois-ci, la notion de ce que c’est, un clown, encore plus loin que jamais. C’est l’audace. Leur prestation (originalement créée au Théâtre de Colmar) pousse plusieurs notions de « théâtre » à l’extrème. Ils osent. Il nous font habilement croire à un non-spectacle (ils nous montrent toutes les ficelles), pratiquant le « non-jeu » tout en le jouant. Ils forcent ainsi le public à se poser la question de ce que c’est « jouer ». Il y a l’échec voulu et la véritable virtuosité. Enfin, ils arrivent à nous montrer, miraculeusement, le lien insoupçonné qui relie le Christ et le Clown : Ridicule, Humiliation, et sublime. L A PRESSE (SU ITE) L’HUMANITÉ La Fabrik’Théâtre est un vaste hangar couvert de tôle. Juste ce qu’il faut pour abriter la poésie déglinguée de « Débâcle », du trio Octavio. (...) Dans un univers dévasté, trois comédiens tentent de perpétuer la folie du théâtre. Arkadina, la russe, San Marco, l’italien et Mister Bob, l’anglo-saxon, construisent, vaille que vaille, un jeu d’amour et de mort où se nouent dans un baroque dérisoire les grandes traditions du théâtre. Sophie Cusset, Jean-Matthieu Fourt et surtout Gilles Ostrowsky (...), tiennent sans faillir le pari audacieux de célébrer les prestiges de l’art dans ses décombres. J.P.S. LA CROIX Un monde sens dessus dessous, un art dévasté, des désirs perdus ou suspects, et là, contre ce désastre, quelques-uns, dérisoires, qui persistent à continuer le jeu. Ce sont les trois comédiens, fêlés et tragiques, donc grotesques, de Débâcle, un spectade de la compagnie Octavio. Poésie déglinguée, clownerie désespérée et imagerie baroque sont les moyens pour dire ce qui demeure d’humain après la tempête Avec leur lyrisme cassé, Sophie Cusset. Jean-Matthieu Fourt et Gilles Ostrowsky sont à la hauteur de l’ambition (...). ELLE La compagnie Octavio s’en donne à coeur joie dans ce spectacle qui tient du cabaret, de la farce absurde et du numéros de clowns! Quatre comédiens déjantés qui donnent un coup de jeune au théâtre burlesque... D’ailleurs, le sous-titre du spectacle est « Cabaret de crise ». Crise de rire sûrement ! FOUS DE THÉÂTRE.COM Un trio clownesque drolatique, trash et bien barré... Le moins que l’on puisse dire, et ici écrire, c’est qu’ils n’ont peur de rien, les membres de la Compagnie Octavio... Au cours d’un délirant spectacle de music hall enchaînant des tableaux tous plus surréalistes les uns que les autres, burlesques à souhait, parfois d’un mauvais goût divin merveilleusement assumé, Sophie Cusset, Marc Prin et Gilles Ostrowsky campent trois clowns modernes, trois branquignols fantasques, un brin portés sur la chose, n’ayant pas la langue dans leur poche, malmenant l’assistance sans aucun scrupule. Une folie et une irrévérence jouissives qui emportèrent l’adhésion du public l’an passé au Théâtre de Belleville. Voilà pourquoi « Marilyn était Chauve » nous revient dans la même salle jusqu’au 20 janvier. (...) BIOGR APHIES GILLES OSTROWSKY, CONCEPTION & JEU Co-fondateur de la compagnie Octavio avec laquelle il a mis en scène et joué dans plusieurs spectacles. Il a joué dans tous les spectacles de la compagnie Octavio. Il a par ailleurs une intense activité en tant que comédien avec de nombreux metteur en scène. Il a notamment travaillé avec Jean-Michel Rabeux, Rodolphe Dana, Julie Bérès, Marion Aubert, Marion Guerrero, Marc prin, Séverine Chavrier, Sylvain Maurice, François Rodinson, Catherine Beau et Eugène Durif, Pierre Guillois, Pascale Siméon, Mattew Jocelyn, Olivier Besson, Pierre Blaise (Marionnettes). Parrallèlement à la reprise de Marilyn était chauve, il prépare actuellement avec Jean-Michel Rabeux, un seul en scène intitulé Les fureurs d’Ostrowsky, en tournée en 2013-2014. BIOGR APHIES (SU ITE) SOPHIE CUSSET, CONCEPTION & JEU Comédienne et metteur en scène, est cofondatrice de la compagnie Octavio, au sein de laquelle elle joue, écrit et ou met en scène : Débacle, Men at work, Hop là ! Fascinus !, Un miracle ordinaire d’E. Schwartz, Les caissières sont moches, explorant ainsi diverses formes théâtrales (théâtre, performance, cabaret, monologue, théâtre de rue et en appartement ) passant par le théâtre du Peuple, Le CDR de Colmar, la Grande Halle de la Villette, le Théâtre Paris Villette …. Elle joue notamment son premier « seule en scène » Héroïnes d’après Une femme seule de Dario Fo, mise en scèhne Gilles Ostrowsky, chorégraphie Stéphanie Chênes. Son travail sur le rire et le burlesque a fortement influencé son parcours d’actrice. Elle joue aussi à plusieurs reprises sous la direction de Pierre Guillois et collabore à la mise en scène avec lui sur Le gros, la vache et le mainate (le Quartz, théâtre du Rond Point ,théâtre du peuple, Le Comédia), Abu Hassan – opéra de Weber oû elle signe aussi la scénographie et les costumes. Elle a joué également sous la direction de Rodolphe Dana (les Possédés), Pascale Siméon, Vincent Colin, Thomas Dalle, Philippe Eustachon, Jean-Matthieu Fourt, Sylvie Philibert, Madeleine Mainier, des créations et des textes essentiellement du théâtre contemporain. Elle met également en scène à plusieurs reprises divers artistes de la scène rock et chanson (Céline Caussimon, Le soldat inconnu, Charlotte etc…) et un cabaret Les Berlinoiseries de Madeleine Mainier au théâtre du Nord à Lille et au théâtre de la Commune d’Aubervilliers. Cette année elle jouera deux spectacles de la compagnie Octavio Bang Bang – pour Valérie au Quartz à Brest et reprendra Marilyn était chauve au théâtre de Belleville. B I O G R A P H I E S ( S U I T E) MARC PRIN, JEU Après une maîtrise d’Etudes Théâtrales à Paris III - Sorbonne Nouvelle, et différents stages notamment dirigés par Jean-Pierre Vincent, Dominique Pitoiset et Jean-Claude Fall, Marc Prin suit les cours du Conservatoire Régional d’Art Dramatique de Lille – École d’Art Dramatique LEDA dirigée par Yves Pignot. Au théâtre, il a joué dans de nombreuses productions: Othello de ShakespeareDominique Pitoiset, Dans ma cuisine je t’attends de Stéphanie Marchais-Benoît Lahoz, Un dîner à tout casser Création collective-Olivier Besson, L’événement Jean-Yves Pique-Monique Hervouët, Les trois Richard Shakespeare-Dan Jemmett… Il joue régulièrement pour le cinéma et pour la télévision. Récemment, il a été dirigé par Denis Dercourt Demain dès l’aube, Philippe Venault Dame de Pique, Serge Meynard Le crime des renards… En 2004, il créé sa propre Compagnie: Théâtre à Bout Portant. Il met en scène: Sœur Béatrice de Maeterlinck au Centre Wallonie Bruxelles de Paris, Klaxon, trompettes… et pétarades de Dario Fo au Théâtre Nanterre Amandiers. JEAN-MATTHIEU FOURT, CONCEPTION & MISE EN SCÈNE Cofondateur de la compagnie Octavio, metteur en scène, comédien, scénographe. A travaillé sur le clown et le théâtre visuel pendant 20 ans à travers des créations (Vert Pomme, Débâcle, Un miracle Ordinaire, Men At Work, Le retable, le christ, le Clown…) qui mêlent un univers visuel construit, esthétique et délirant, un jeu d’acteur issu du clown dans des spectacles s’adressant à tous types de publics. Parallèlement, il met en scène de diverses aventures théâtrales improbables, comme les spectacles participatif du GITHEC à Pantin, La fabrique du macadam dans le 93 (cabaret transculturel transgénérationel et autres transes des arts populaires) Sabotage, grand-guignol en appartement ; Les Bonnes de Jean Genet, décor quadrifrontal ; La porte, one man show comique; Les caissières sont moches, spectacle de rue... CABARET DE CRISE CO N TAC T CO M PAG N I E O C TAV I O 6 8 RU E D E L A V I L L E T T E 7 5 0 1 9 PARI S T E L : S O P H I E C U SS E T 0 6 87 2 5 9 2 9 1 M E L : O C TAV I O . C I E @ O RAN G E . F R P RO D U C T I O N : MADAM E LU N E & CO M PAG N I E O C TAV I O AV EC L E S O U T I E N D E L A S P E D I DAM DIFFUSION : MADAM E LU N E / S O N IA@ MADAM E LU N E . CO M / 0 1 4 3 6 6 2 8 8 9 & C ÉC I L E L E G LO U E T / C EC I L E . L EG LO U E T@ F RE E . F R / 0 6 1 5 1 6 6 7 32 P RO M OT I O N : L AU RE N C E FAL L E U R / L AU RE N C E FAL L E U R@ G MAI L . CO M & V I N C E N T BAYO L / BAYO LV I N C E N T@ G MAI L . CO M