NOTE D`INTENTION

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Cette storyboard permet uniquement de se donner une idée du produit final. Les cadres, la
valeur des plans le format ainsi que le décor ne sont que représentatifs.
Traveling latéral
CONNEXION ERROR
Le métrage
« plante » à un
moment crucial.
Le métrage « The chase » sera diffusé.
CONNEXION ERROR
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Effet de perte de
connexion (arrêt
sur image) puis
travelling arrière
Plan « séquence » qui amène au Packshot
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Nous sommes un groupe constitué de 4 étudiants du DUT MMI (Métier du web et du
multimédia) : Fort Hugo, Nicolas Ladevie, Corentin Bontems et Maxime Loëte. Dans le cadre
de cette formation, nous devons réaliser une vidéo promotionnelle en faveur de la marque ou
du service de notre choix. Le service que nous avons choisi, est la fibre optique de
Numéricâble.
Nous pensons que ce thème est particulièrement adapté au sein d’un projet vidéo dans
notre formation. En effet, la fibre optique, grâce aux performances qu'elle offre, est de plus
en plus utilisée dans les réseaux de télécommunication. Avec l'essor d'Internet et des
échanges numériques, son utilisation se généralise petit à petit jusqu'à venir chez le
particulier.
[Première partie]
La scène se déroule le soir, dans un salon, un homme seul est en train de regarder
un film d’action « The Chase » à la télévision sur Internet en ADSL. L’homme est visiblement
très invertit dans ce métrage, on entend d’ailleurs une voix-off : « J’adore ce film… »,
« Génial… » . Dans le film en question, on y voit une course poursuite pleine d’adrénaline.
Puis, au moment le plus crucial du métrage (le dénouement), il y a une perte de connexion et
le film se coupe. L’homme consterné reste assis là sans réagir, bouche bée, face à sa télé.
Nous arrêterons ensuite l’image subtilement durant quelques secondes afin de faire croire au
téléspectateur lui-même qu’il a des problèmes de connexion.
[Deuxième partie]
A la fin, la caméra « sort de l’écran » et on se rend alors compte que les voix que l’on
entendait était un celles d’un étudiant (qui représente le téléspectateur) regardant un film à
propos d’un homme qui regardait un film. Celui-ci, frustré d’avoir un problème de connexion
tout comme le personnage du film qu’il regardait ferme son ordinateur et part. Le Packshot
apparait, on entend alors : « Eh oui, rien ne serait arrivé s'il avait la fibre by Numéricâble ».
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Le but principal de la mise en scène, sera d’impliquer au maximum le spectateur
dans la publicité. Il devra se retrouver dans une situation qu’il a déjà vécue ou qu’il pourrait
vivre. Pour cela, au début de la vidéo nous aurons un personnage masculin qui sera en train
de regarder la télévision d’une manière classique, assis dans son canapé. C’est une
situation qui se veut volontairement très banale, de la vie de tous les jours, afin que le
téléspectateur s’identifie au personnage.
Le téléspectateur devra également se focaliser sur le personnage et partager ce qu’il
ressent. Quelques éléments du décor (paquet de pop-corn, boissons…) montreront
« l’investissement » du personnage dans le film qu’il regarde. Nous devrons aussi bien
mettre en avant les réactions de celui-ci. Le cadrage (avec l’utilisation de gros plans) ainsi
qu’un jeu d’acteur crédible seront des éléments à ne pas négliger.
Après avoir fait partager ce que ressens le personnage devant une telle situation, le
but sera de faire vivre cette sensation au téléspectateur lui-même ! Pour cela, nous
utiliseront des effets pour faire croire à un bug de connexion (voir partie montage & effets). Il
est important que ceux-ci soient le plus crédible possible. C’est seulement à la fin (au
moment où la caméra sortira de l’écran) que nous dévoilerons l’étudiant en amorce, face à
son écran. Il s’est fait avoir, exactement comme le téléspectateur qui, (lors du premier
visionnage de la publicité au moins) devra réellement se demander s’il ne lui arrive pas la
même situation que le personnage. L’objectif est de provoquer chez lui une véritable prise de
conscience : cette situation pourrait lui arriver, il doit songer à la fibre.
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En ce qui concerne le format, celui-ci variera entre du 16:9, lorsqu’on voit le
personnage regarder la télé, puis du cinémascope lorsqu’on affichera littéralement le film
que regarde le personnage. Le cadre et ses limites seront donc soignés en prenant ces
proportions en considération.
Les valeurs de plan quant à elles seront choisies judicieusement. Un plan moyen au
début de la scène permettra de « présenter » le personnage tout en découvrant le lieu où il
se trouve. Un plan rapproché taille permettra également de se rapprocher doucement du
personnage tout en mettant en évidence son rapport avec la télévision grâce à un contre
champ de la même valeur de plan. Enfin, un gros plan ou très gros plan (à définir au
montage) permettra de rentrer dans la psychologie du personnage et fera ressortir son
émotion plus forte que jamais.
Cette production utilisera différentes sources de lumière, elles serviront à habiller la
scène tout en restant sobre. La plus représentative dans la scène, sera la lumière de la
télévision qui diffusera le film que le protagoniste regarda avec intérêt. Deux options ont été
retenues pour permettre à cette lumière d’avoir un rendu agréable au regard. Soit, le film
sera directement diffusé sur la télévision, soit il sera ajouté en post-production. Cela
dépendra du rendu, car filmer une télévision allumés peut être facilement parasitées par du
bruit ou des bandes blanches. Le reste de la pièce sera partiellement sombre pour donner
un aspect « soirée film le soir ». Seules des petites touches de lumière (comme deux petites
lampes) seront disposées de parte et d’autre derrière le canapé, assez éloignée et placée
sur les extrémités du cadre.
Pour être plus crédible, nous utiliserons un Led Panel, un appareil audiovisuel pour
produire de la lumière et la faire varier. Cela donnera l’impression d’avoir la lumière de la télé
lors du contre champs, qui se projettera sur le visage du téléspectateur. L’intérêt de son
utilisation, est qu’il nous sera possible de donner l’impression que l’acteur regarde réellement
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le film. Nous utiliserons également la lampe flash d’un smartphone si le contexte l’oblige pour
rajouter une lumière de contre ou pour toutes autres utilisations pratiques.
L’étalonnage sera découpé en deux parties. Dans un premier temps, le ton sera plus
sombre, pour donner un effet cinéma et le second plus clair. Il s’agira de bien faire varier les
étalonnages pour mieux faire croire aux lecteurs que le début de la pub est un film. De ce
fait, l’effet du bug de connexion sera plus efficace.
Le montage sera dynamique, les plans auront une durée moyenne inférieure à quatre
secondes, car l’action sera rythmée tout au long de la première partie. Le découpage du
champ-contre-champ entre le premier acteur et la télévision sera rapide, ce qui suscitera
plus l’attention du lecteur. En revanche, la scène de fin de l’étudiant qui regarde le film ne
comportera qu’un seul plan : le travelling arrière. Lentement, il ira, comme dit précédemment,
de l’écran de l’étudiant jusqu’à la l’amorce de l’acteur quittant la scène, ce qui laissera place
au Packshot.
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Au tout début de cette scène, le film sera mis en incrustation via After Effect dans
l’écran de l’ordinateur de l’étudiant, pour des soucis de rendu. Des effets de perte de
connexions seront également réalisés grâce à After Effect. Pour se faire, nous
commencerons par saccader l’image et le son, puis nous arrêterons la vidéo. Cela devra être
fait de manière très subtil et très réaliste, le but étant toujours de duper le téléspectateur.
C’est également lors de l’étape du montage que nous pourrons sélectionner de
manière définitive les différents plans selon leurs valeurs.
Le décor principal dans lequel se déroulera la scène sera une chambre décorée pour
lui donner un aspect de salon. Une télévision sera placée le long d’un mur noir, le
protagoniste de cette pub, lui sera assis sur un canapé de couleur noir en simili cuir. Devant
lui on pourra trouver une petite table de couleur bois, sur laquelle sera disposée des objets
en rapport avec la scène : Gobelet, popcorn, portable… Plusieurs lampes ou objets lumineux
seront disposés dans cette pièce afin de créer une certaine ambiance et d’avoir un bon
rendu d’éclairage (comme précisé dans la partie Lumière).
A la fin de la publicité, nous aurons un deuxième
décor. Celui-ci se trouve à l’étage d’un bâtiment
universitaire, sur une table blanche qui est placée devant
une baie vitrée. Sur cette table seront disposés un
smartphone et l’ordinateur portable de l’étudiant du plan
final. Toutes les éventuelles marques de produits seront
bien évidemment flouté subtilement ou non visible.
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Nous aurons besoin du matériel suivant pour la réalisation de cette publicité :

Appareil canon 5D
Un appareil photo réflex proposant un rendu vidéo extrêmement aboutie. Il sera idéal pour
l’enregistrement de notre court métrage.

Micro RODE :
Un micro captant le son de manière unidirectionnel. Il nous sera utile pour enregistrer des
petits sons ou bruitage de la scène pouvant être réutilisé lors du montage.

Rail de traveling
Cet accessoire va nous permettre de faire de nombreux effets stylistiques concernant le
cadrage. Cela va également apporter de manière globale un aspect beaucoup plus
professionnel.

Trépied
La base du support pour avoir un cadre stable et crédible. Le thème n’étant pas l’action, la
caméra n’effectuera pas de mouvement complexe. Elle se résumera à quelques travellings.

Plusieurs sources de lumière
Qui ont déjà été détaillés dans la partie lumière
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Nous utiliserons la musique du film Inception
« Mombasa » dans cette publicité. En effet nous
diffuserons le court métrage « The Chase » sur
l’écran de télévision. Celle-ci est d’ailleurs idéale car
elle va permettre d’illustrer le fait que l’acteur et les
téléspectateurs soient captivés par le film projeté.
Nous aurons 2 voix-off. La première sera une voix masculine qui aura pour rôle de
représenter les pensées de l’acteur qui visionnera le film mais qui sera en réalité celle d’un
étudiant qui visionne la scène sur son ordinateur visant à duper le téléspectateur. La
seconde voix-off sera une voix féminine car nous voulons bien distinguer le packshot du
reste de la vidéo. De plus une voix féminine est souvent présente dans les pubs portant sur
les débits internet comme SFR ou Orange par exemple.
Pour la deuxième partie de la publicité (qui débutera au moment où l’écran de
l’étudiant se fige et qu’un traveling arrière sera effectuer) nous mettrons une musique de
fond beaucoup plus aérienne à faible volume pour maintenir le téléspectateur en haleine et
ensuite dévoiler le Packshot.
Le Packshot apparaitra sur le dernier plan au moment où le traveling arrière s’arrête
et où l’on voit l’étudiant ranger ses affaires puis s’en aller. A ce moment précis nous aurons
un ordinateur avec un stylo et un carnet sur la table. Le Packshot apparaitra sous forme de
flou-gaussien. Il contiendra le logo de Numéricâble ainsi que les textes suivants : « Offres
soumises à conditions selon éligibilité technique. Frais d’ouverture : 50€. Engagement 1 an.
Temps de téléchargement non contractuel sur la base du débit théorique max : Internet
jusqu’à 400Mb/s. Pour toute nouvelle souscription à partir de LaBox Young (22€90/mois). »
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Nous avons pris comme modèle les publicités de Numéricâble. Elles ont servies à nous
informer avant tout sur le sujet et l’ambiance générale présente :


https://www.youtube.com/watch?v=h8INeGa42rw
https://www.youtube.com/watch?v=cof3bmOYsqw
Enfin, Canal Play a réalisé une campagne publicitaire #glorytime, qui fait la promotion du
service avec le message « si ça vous touche, ça nous touche aussi ». L’exemple le plus
pertinent est « frisson », où l’on voit exactement l’ambiance et le champ contre champ que
nous recherchons :

https://www.youtube.com/watch?v=9d_jbJImRIQ
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