Programme

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Conseil d’Administration de l’Association
Culinaire des Etablissements
Hospitaliers de France
Un bon repas, un médicament pour la vie
Tél : 07 78 11 01 44
Yannick Strottner
Président
Denis Beauce
Trésorier
3 ch. de la Grille
35300 Fougères
Tél : 06 84 42 30 29
Mail : [email protected]
4 rue Notre Dame la Blanche
44470 Carquefou
Tél : 06 70 67 79 34
Mail : [email protected]
11 rue de la Drie
85800 St Gilles X Vie
Tél : 06 14 39 64 55
Mail : [email protected]
Pro : [email protected]
Kervennie
29420 Plouénan
Tél : 06 42 42 41 24
Mail : [email protected]
Pro : [email protected]
46 rue d’Arsonval
Bât. J
69800 St Priest
Tél : 06 79 90 90 09
Mail : [email protected]
Pro : [email protected]
12 rue de Beauvais
17400 Varaize
Tél : 06 67 53 78 31
Mail : [email protected]
Pro : [email protected]
18 rue des Lilas
54710 Fleville dvt Nancy
Tél : 06 80 88 83 99
Mail : [email protected]
Patrice Ricaud
Webmaster
179 rue de la Chataigneraie
44440 Joue/Erdre
Tél :
Mail : [email protected]
Michel Doyat
3 Place H. Basle
44250 Saint-Brevin-les-Pins
Tél : 06 31 67 62 87
Mail : [email protected]
Rivière Pomme
97231 Gros-Morne
Tél : 06 96 38 03 84
Mail : [email protected]
31 rue du Colombier
59155 Faches-Thumesnil
Tél : 06 22 13 29 99
Mail : [email protected]
Stéphane Brizard
2 La Gerbaudière
85660 Saint-Philbert-de-Bouaine
Tél : 07 87 42 57 35
Mail : [email protected]
Pascal Pouvreau
2 imp. Grand Champ
85670 Falleron
Tél :
Mail : [email protected]
24 rte de Machecoul
44310 Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
Tél : 06 58 83 47 44
Mail : [email protected]
9 rue Fabien Musseau
44650 Lege
Tél : 06 50 26 81 66
Mail : [email protected]
Paul Vincent Foglia
Av. du 9 septembre
20250 Corte
Tél : 06 20 40 67 89
Mail : [email protected]
Nabil Chetibat
19 rue J. Massenet
44220 Coueron
Tél : 06 30 18 47 27
Mail : [email protected]
Laurent Lussagnet
Trésorier Adjoint
Étienne Conart
Secrétaire
Anne-Françoise Guicquel
Secrétaire Adjointe
Serge Decas
Bruno Goruchon
Président délégué chargé
de l’organisation des concours
Henri Cassin
Yann Bonnechose
Patrick Obin
David Guibert
Gaëtan Padioleau
2
Pro : [email protected]
Écoutons les patients et résidents,
pour améliorer notre action
17
En revanche, il est déplorable de servir une nourriture de mauvaise qualité à des gens malades, c’est
certain. Mais comme je le dis dans cet article, c’est
aussi un problème de coût : nous avons choisi un
modèle de santé qui est génial parce qu’il ne coûte
rien aux patients, mais à ce prix-là, on ne risque pas
de bien manger…
m
e
rè
Co
Annie (X)
Bonjour ! En direct de l’hôpital ce matin dernier
déjeuner ! (Normalement) Thé classique et deux
tartines ! Point de jus de fruits ou fruits tout court bref
pas très équilibré comme déjeuner. Bon après tout mon
séjour était inhabituel vu qu’ils m’ont fait beaucoup
d’examens pour trouver les raisons à mes douleurs j’ai
dû rester à jeun du mardi soir entrée aux urgences
17 h à mercredi 19 h pour un scan déprogrammé merci
on est content ! Bref du coup j’ai eu quand même droit
à manger le soir mais régime sans sel sans gras pour le
scan normalement programmé le lendemain.
Bonjour
Je suis assez surpris de tous ces commentaires,
je dirige une cuisine centrale hospitalière et
je peux vous dire que nous utilisons des
produits frais, que nous cuisinons sur place.
Le service hôtelier de l’hôpital tient compte des non
gout du patient systématiquement. Attention, il faut
savoir si la personne a un régime en cardiologie c’est
parfois sans sel et sans gras c’est sur que cela n’a
pas le même gout.
ng
À écouter les patients et résidents, les repas
servis en milieu hospitalier ont généralement
une mauvaise réputation !
s
20
Et pourtant les responsables de cette
restauration, font preuve d’imagination et d’un
grand professionnalisme, pour faire beaucoup
avec peu de moyen, ils utilisent eux aussi les
réseaux sociaux pour exprimer leur lassitude
devant tant d’incompréhension.
D’autre points le fait que l’on maigrisse à l’hôpital ,
le mental, les médicaments, l’âge, la douleur etc...
la restauration hospitalière n’est pas si mauvaise
que ça, il suffit d’être attentif et d’être à l’écoute du
patient. Pour ma part j’arrive à faire manger très
correctement pour 4 € par jour.
Les repas des hôpitaux font partie
des soins
Camille (X)
Je ne pense pas qu’il faille blâmer le personnel des
hôpitaux, ce sont des gens qui bossent dur dans une
structure parfois chaotique, j’ai plutôt tendance à
trouver que c’est un don de soi de travailler à l’hôpital quand on pourrait choisir un autre lieu d’exercice… Ils n’ont pas le choix de ce qu’ils servent aux
patients, l’hôpital est une énorme machine administrative et le personnel fait ce qu’il peut.
Il est important de ne pas comparer le repas à
l’hôpital avec tout autre forme de restauration,
les aliments proposés répondent avant tout à
des critères nutrionnels, d’hygiène et d’équi-
Pr
o
g
ra
m
Bref, donc déjà que ce n’est pas bon à l’origine, imaginez sans sel sans rien bref lendemain ma chère
voisine prend son café l’odeur me réveille humm un
bon café à 7 h oui par ce qu’en plus pas le choix de se
réveiller à 7 h … Ah non Mle vous c’est thé et biscotte
sans beurre bien sûr ! Et ce midi vous ne mangez
pas pour le scanner dans l’après-midi ok ! Cool j’ai
juste envie de mourir... Personne ne me dit ce que
j’ai ou pas bref je suis dans le flou. Bref, je passe
mon scanner tard dans l’après-midi. Pour finir le soir,
je serai toujours au régime en attendant les résultats
bref voilà mon petit parcours que j’appelle plus séjour
d’amaigrissement qu’autre chose… Bon courage à tous
vous n’êtes pas seul !!
Il faut aussi savoir que des préconisations sont
imposées par l’État, le PNNS, les grammages, et le
GERMCN.
Un autre point le contenant, mon équipe sert le plat
principal dans une assiette et non dans une barquette
plastique cela fait aussi la différence.
Pour ce qui est du gaspillage, en effet, nous jetons
environ 30 % de ce que nous produisons (cela me
désole) mais les grammages sont imposés.
Venir à l’hôpital avec la vision du repas qu’on
connaît à son domicile, perturbe certainement
le jugement du patient. La personne nourrit à
l’hôpital est malade, une ou plusieurs pathologies, avec des contraintes alimentaires dues à
sa santé et à son âge, le tout en milieu collectif.
3
libre. Un grand nombre de patients mangent
« mieux » à l’hôpital que chez eux. Certes, le
milieu hospitalier connaît des restrictions budgétaires, mais la massification des achats, la
concurrence et l’évolution de l’industrie agroalimentaire les compensent très largement.
des plateaux à permis d’augmenter la consommation
de 20 %. Valoriser le plat pour donner davantage
envie de manger : mettre la juste quantité de sauce,
placer les légumes en couronne, ou tout simplement
servir dans des assiettes.
Ces quelques exemples démontrent que sans moyens
financiers supplémentaires, il est possible de manger
mieux dans les établissements hospitaliers.
La restauration hospitalière française à fortement évoluée en 30 ans, le modèle français est
étudié et envié par un grand nombre de pays,
ce qui n’empêche pas les responsable de la
restauration hospitalière de chercher à faire
toujours mieux.
17
Améliorons notre action en écoutant
les patients et résidents.
L’écoute des convives permet :
- D’affiner les menus, faire du moment du repas,
un moment plaisir.
20
Peut-on faire mieux et pourquoi ?
L’hospitalisation rime souvent avec dénutrition.
Que cela soit dû à la maladie, aux effets secondaires
des traitements ou à la qualité des repas. Ce phénomène touche de 30 à 50% des patients, il entraine
des surcoûts important pour la collectivité.
s
rè
- De diminuer le taux de réadmissions, 31 % des
personnes sont retournées à l’hôpital, moins de
30 jours après leur sortie.
- D’éviter les cas de dénutrition, bien qu’elle soit
souvent présente, la dénutrition a tendance à
s’aggraver au cours du séjour à l’hôpital
ra
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m
e
Co
Dans certains CHU, il existe plus d’une centaine de régimes alimentaires différents selon les typologies de
patients de court séjour. Cette multiplicité de régimes,
qui entraîne une démultiplication des productions quotidiennes, est un des facteurs du gaspillage alimentaire.
Mais ce dernier est également dû à la qualité des plats,
au manque de variété des menus, et à un grammage
des portions parfois excessif.
L’objectif de ce projet est donc de trouver des solutions face à ce gaspillage.
- Éliminer certains aliments, qui ne rencontrent
aucun succès et dont la valeur nutritive peut-être
remplacée.
ng
Une étude sur un centre hospitalier produisant
800 000 repas par an, a montré que plus de 30 %
des denrées alimentaires sur le plateau des patients
n’étaient pas consommées. Un second audit externe
a permis de confirmer la nécessité de réduire le
gaspillage alimentaire dans le but d’améliorer la
qualité de la restauration.
- De combattre le gaspillage en définissant
parfaitement les quantités, dans certains services
le pourcentage de retour atteint les 60 % des
quantités servies.
o
g
Plusieurs expériences menées auprès de malades,
démontrent que de très légers changements donnent
de très bons résultats. La seule amélioration visuel
- De réduire les durées d’hospitalisation, un bon
repas est un médicament.
- De combattre l’altération des fonctions digestives,
en servant des textures modifiées, hachées, mixées
ou gélifiées, à la différence de simples purées,
ces textures conservent la saveur, la couleur et la
valeur nutritionnelle.
Conscient de ces prises en compte, le malade se
sentira valorisé, en fera part à sa famille qui pourra
se sentir rassurée. 
2 & 3 MARS 2017
Pr
CENTRE DES CONGRÈS DE LA FLEURIAYE - CARQUEFOU (44)
34e Congrès de l’Association Culinaire des Etablissements Hospitaliers de France.
Quelque soit votre fonction dans la chaîne alimentaire d’un établissement de santé, vous devez marquer
votre intérêt pour vos patients et résidents, en étant présent à ce congrès.
● Défendre la cause de la qualité.
● Œuvrer pour une véritable information du patient.
● Faire du repas du patient et du résident, une priorité.
4
s
20
17
Futur de l’alimentation à l’hôpital
Cette année encore, le développement de la chirurgie
ambulatoire est inscrit dans le Projet de loi de finance
de la Sécurité sociale. Ce virage ambulatoire a été
entamé il y a plusieurs années déjà, au nom de la
réduction des dépenses, et de l’amélioration des
soins.
En chiffres : 34% des chirurgies sont réalisées en
ambulatoire dans nos hôpitaux en 2015, soit 4300
séjours de plus qu’en 2014. La chirurgie ambulatoire
a progressé de 18% entre 2010 et 2014.
Co
Considérerons d’abord les facteurs inhérents à l’évolution des structures d’accueil et de soins, et de leur
personnel.
ng
rè
Différents facteurs modifieront
Différents facteurs modifieront
profondément les services
restauration des établissements
hospitaliers
La création des Groupements Hospitaliers
de territoire.
g
ra
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m
e
L’orientation n°8, du rapport de préparation du
regroupement préconise d’englober, dans la mise en
place de la fonction achat, l’ensemble de la chaîne achat
pour tous les segments d’achat.
Les décrets d’application confirmeront-ils cette main
mise d’un seul décideur sur tous les services de
restauration des hôpitaux locaux regroupés dans le
GHT ? S’en suivra une massification des commandes
et le regroupement des unités centrales de production, avec une réduction des effectifs.
L’hospitalisation à domicile.
Pr
o
Le coût de fonctionnement en Hospitalisation à Domicile est 40 % moins élevé qu’en Soins de Suite et de
Réadaptation sur l’ensemble du champ superposable.
Cette pratique avait totalisée 4,4 millions de journées
en 2014.
Le vieillissement de la population : 24 millions de
plus de 60 ans en 2060, fera exploser l’hospitalisation à domicile. Le patient ne fait appel à la structure
hospitalière, que pour les soins médicaux, l’hébergement et la restauration étant assurés par sa famille.
La chirurgie ambulatoire.
Un patient sur deux doit se faire opérer en restant à
l’hôpital moins d’une journée. C’est l’objectif du gouvernement.
Sur les 24h/24h de présence pour un patient hospitalisé, l’ambulatoire ne prend en charge l’opéré que
8 h, une fois l’intervention terminée et le réveil effectué, le patient retourne chez lui.
Diminution des RTT, augmentation de la charge
hebdomadaire de travail.
Alors que les 35 heures sont entrées en vigueur il y a
15 ans, le 1er février 2000, les directeurs d’hôpitaux
pressent le gouvernement de les soutenir à renégocier les accords très généreux de réduction du temps
de travail signés dans leurs établissements.
Un précédent qui pourrait être étendu à d’autres
pans de la fonction publique ? À l’approche des élections, la majorité des candidats, s’est dit en accord
avec cette demande, afin d’éviter d’alourdir la masse
salariale du personnel non médical.
Quels changements pour le contenu
des assiettes.
Pour sauver la planète et son climat, on nous dit
souvent qu’il faut manger local, moins de viande ou
plus de légumes. Mais que préparera t-on dans les
cuisines hospitalières dans 30 ans ?
Les prévisions démographiques tablent sur 9,7 milliards d’êtres humains sur Terre en 2050 contre
7,3 milliards aujourd’hui. Presque 10 milliards
d’humains qu’il va falloir nourrir même si la super-
5
17
Il faudra surement faire plus, avec moins de moyens
tant matériel qu’en personnel. En ayant une connaissance précoce de la nature des futurs moyens, nous
pouvons aborder une démarche des besoins. Cette
anticipation de l’action, évite de brusques décisions
ou d’être pris de court.
BUTS :
- Se projeter à long terme, c’est éviter de travailler
dans l’urgence, et sous la pression des nécessités.
Pr
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Co
Les algues pourraient bien occuper une place
importante dans notre alimentation future. Les
algues alimentaires sont faciles à produire et peu
consommatrices en énergie. Elles ont des avantages
nutritionnels étonnants, à l’instar de la spiruline dont
une poignée contient la même quantité de protéines
que 500 g de viande rouge, autant de calcium que
trois verres de lait ou encore autant de fer que trois
grands bols d’épinards.
Prévoir toutes les aspects d’une évolution radicale à
venir, c’est s’armer pour y faire face. C’est pourquoi
dans cette intervention sur « Le futur de l’alimentation » nous avons pris en considération le coté matériel et l’aspect humain.
20
On voit naître des sociétés d’élevage et de vente
d’insectes destinés à l’alimentation humaine.
Les vers de farine, les grillons domestiques ou les
criquets sont parmi les espèces comestibles les plus
répandues. Les vers de farine, qui sont en fait des
larves de scarabée, ont un profile nutritionnel très
intéressant. Riches en cuivre, sodium, potassium, fer,
zinc ou sélénium, ils sont aussi une source précieuse
de protéines. Plus encore, l’élevage des insectes est
très consommateur d’énergie.
Pour être en mesure de faire face au changement,
il faut que celui-ci soit planifié, bien évidemment,
mais aussi être en mesure d’adopter un état d’esprit
réaliste, qui permettra de ne pas sombrer dans l’immobilisme et la négativité.
s
Pour certains, il faudra abandonner l’élevage, trop
énergivore et se tourner par exemple vers la viande
in vitro. Pour d’autres, l’avenir de la nutrition réside
dans des aliments comme les algues ou les insectes.
Pour les derniers, il faudra déconstruire totalement les
modèles agro économiques connus. En attendant,
la tendance est au développement de nouvelles
méthodes de production, moins consommatrices.
rè
Voici un panel de ce que nous pourrions retrouver
dans nos assiettes en 2050 :
Le développement de la viande de synthèse n’en
est qu’à ses débuts. D’autant que pour certains,
ce genre de modèle d’élevage ferait disparaître les
500 millions d’agriculteurs qui nourrissent la population mondiale actuellement.
ng
ficie des terres agricoles à tendance à reculer selon
la Banque Mondiale. Il y a donc un besoin urgent
de trouver des nouvelles sources d’alimentation et
notamment des nouvelles sources de protéines.
6
- Connaître ses moyens, pour faire face à futures
demandes.
- Aider les jeunes qui choisissent cette filière, à mieux
appréhender leur avenir. 
Conséquences de la création des
Groupement Hospitaliers de Territoire
nouveau mode de coopération entre les établissements
publics de santé à l’échelle d’un territoire, sont
désormais officiellement créés partout en France.
20
17
Les acteurs des plus de 850 hôpitaux publics français se sont en effet concertés durant les 5 derniers
mois, sous l’égide des Agences régionales de santé,
et en lien avec les élus des territoires et la Fédération
Hospitalière de France, pour aboutir à des regroupements d’établissements qui tiennent compte des
réalités du terrain, territoire par territoire.
s
Le résultat de ce travail de fond aboutit
aujourd’hui à la création de 135 GHT.
Création des Groupements
Hospitaliers de Territoire
e
Co
La loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de
modernisation de notre système de santé crée
le groupement hospitalier de territoire (article
107 de la loi) en remplacement de la communauté hospitalière de territoire, mise en place
par la loi HPST du 21 juillet 2009.
ng
rè
Un travail d’approfondissement s’ouvre aujourd’hui
pour préciser concrètement les projets médicaux
partagés des hôpitaux au service de la santé des
Français. Ces travaux déboucheront par exemple sur
la mise en place d’équipes médicales de territoire,
de consultations médicales avancées, ou encore sur
l’accélération du développement de la télémédecine.
Pr
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g
ra
m
m
Dispositif obligatoire pour les établissements
publics de santé et facultatif pour les services
et établissements publics médico-sociaux, le
GHT s’appuie sur une convention constitutive
et sur un projet médical partagé qui a pour
objectif de garantir une offre de proximité
ainsi que l’accès à une offre de référence et de
recours. L’établissement support, désigné
dans la convention, assure un certain nombre
de fonctions pour le compte des établissements parties au groupement, cette délégation
concernant notamment : le système d’information hospitalier, l’information médicale de
territoire, la fonction achats, la coordination
des instituts et écoles de formation paramédicale ainsi que des plans de formation continue
et de développement professionnel continu des
personnels.
Chaque agence régionale de santé a arrêté le
1er juillet 2016 la liste des groupements hospitaliers
de territoire dans la région de son ressort et leur
composition.
« Conformément au calendrier fixé par la loi de
modernisation de notre système de santé, les
groupements hospitaliers de territoire (GHT),
« C’est une réforme majeure pour l’hôpital
qui est aujourd’hui une réalité. Une réforme
qui permettra de garantir à tous les patients un
meilleur accès aux soins sur l’ensemble
du territoire ».
(Communiqué de presse de La Ministre des Affaires
Sociales et de la Santé, Marisol TOURAINE le 5/07/2016)
Les missions des Groupements
Hospitaliers de Territoire
Extrait du rapport de fin de mission - Jacqueline HUBERT
& Frédéric MARTINEAU
Orientation n°8: Englober, dans la mise en
place de la fonction achat, l’ensemble de la
chaîne achat pour tous les segments d’achat
L’établissement support est en charge de la
gestion de la fonction achat pour le compte des autres.
7
- De professionnalisation de la fonction achat afin
d’optimiser le dialogue prescripteur / utilisateur ;
17
Nos préconisations pour les
textes d’application
Les éléments suivants relatifs à la fonction
achat devraient être précisés par décret:
- La fonction achat concerne les 4 missions
de la chaîne achat: élaboration de la stratégie achat, production opérationnelle des
marchés, suivi et mise en œuvre des marchés, gestion des approvisionnements;
e
Co
- De permettre une homogénéisation du parc
d’équipement et donc des outils de travail des
professionnels médicaux notamment afin de faciliter leur mobilité. Couvrir l’ensemble des segments
d’achats pour toutes les missions de la chaîne
d’achat ne signifie pas que le GHT en est nécessairement l’effecteur. À ce sujet, la mise en place
d’une fonction achat dans chaque GHT s’inscrit
pleinement dans le cadre du programme PHARE
initié par le Ministère. Dit autrement, si le GHT
définit bien sa stratégie achat, cela ne veut pas
dire qu’il exécute tous les marchés. Les opérateurs
nationaux restent compétents pour le compte des
GHT, de même que les opérateurs régionaux.
20
Une approche aussi intégrée répond à la double
exigence :
s
- Qu’en termes de segments d’achat : l’ensemble
des domaines d’achat en exploitation et en investissement.
Comme pour l’ensemble des activités mutualisées
(cf. infra: orientation n°10), nous recommandons que
l’ensemble des charges relatives à la fonction achat
(les équipes à titre principal) soient imputées sur un
budget annexe de l’établissement support, dont les
produits correspondraient à une participation de
chaque établissement conformément à une clé de
répartition définie nationalement
rè
- Tant en termes de missions : depuis la définition
d’une stratégie d’achat, jusqu’aux approvisionnements, en passant par la passation des marchés et
le suivi de leur mise en œuvre;
Pour ce qui concerne la mise en œuvre des marchés, l’option la plus efficiente et ayant déjà fait ses
preuves consiste plutôt à privilégier la formule du
groupement de commande. Nous proposons donc
que le GHT soit systématiquement érigé en groupement de commande.
ng
Or, la fonction achat n’est pas une notion qui existe
dans le cadre juridique en vigueur. Afin d’éviter toute
confusion, nous préconisons de profiter des décrets
d’application pour préciser le périmètre englobé. Nous
proposons, conformément à l’esprit de notre rapport
intermédiaire (12e condition de réussite), que cette
notion englobe l’intégralité de la chaîne d’achat :
o
g
ra
m
m
Comme pour les systèmes d’information, cette
large mutualisation nécessite la mise en place d’une
gouvernance de groupe. Nous préconisons donc que
les décrets d’application confient la gestion de la
fonction achat à un seul responsable, place sous la
responsabilité du directeur de l’établissement
support, et bénéficiant d’une autorité fonctionnelle
sur l’ensemble des professionnels concernés, quel
que soit l’établissement qui les emploie. Ceci ne signifie pas un regroupement physique de toutes les
équipes, le responsable répartit en concertation
avec les établissements les responsabilités.
Pr
Toujours comme pour les systèmes d’information, un
objectif aussi ambitieux suppose que le calendrier de
mise en œuvre soit progressif.
La première étape consiste donc en la structuration
d’une seule direction des achats et approvisionnements ainsi que l’élaboration d’un plan d’actions
achat. Là encore, cela passe par un diagnostic e
xigeant des organisations et des engagements en
cours (recensement et comparaison des marchés).
Nous proposons de retenir l’échéance du 1er janvier
2017. Seulement à compter de cette date, la convergence des marchés et la mutualisation des activités
d’approvisionnement pourra être initiée.
8
- La fonction achat concerne tous les segments d’achat qui restent mis en œuvre
conformément aux orientations du programme PHARE;
- Le calendrier de convergence est progressif avec un premier jalon au 1er janvier 2017 correspondant à la mise en
place d’une seul responsable des achats
et à l’élaboration d’un plan d’actions achat
commun;
- Un groupement de commande est automatiquement constitué dans chaque GHT.
Est du ressort du chef de fil du Groupement
Hospitaliers de Territoire :
- Les grandes orientations en matière de gestion
de personnel.
- Le choix des investissements dans les établissements et choix des services.
L’établissement chef de fil, n’a pas de personnalité
juridique.
BUTS :
- Quelle sera la place des encadrants des services
non médicaux ?
- Les services devront fonctionner en prenant en
compte les intérêts du GHT.
- Le GHT autorise le transfert d’activité entre
établissements, quelles activités ? 
rè
s
20
17
Formation des cuisiniers
De collectivités et débouchés
La passion doit-être la même que celle d’un cuisinier
traditionnel, il doit-être organisé et aimer le travail
en équipe. La différence réside dans les quantités
préparées.
m
e
Co
Les cuisines des collectivités. Faire la cuisine dans
les écoles, les hôpitaux, les maisons de retraite,
ça occupe pas moins de
300.000 personnes !
Comme dans de nombreux secteurs, tout le monde
part à la retraite. Résultat, on recherche d’urgence
16 000 personnes. Surtout des cuisiniers, mais aussi
des responsables qualité, des encadrants, des ingénieurs restauration, (ingénieur restauration c’est bac
+ 5) un métier totalement méconnu !
Le métier de cuisinier de collectivité
ng
Il existe des métiers pour les quels on ne trouve
plus de candidats, les collectivités manquent de
cuisiniers !
ra
m
Les responsables tirent la sonnette d’alarme : il faut
attirer les jeunes, pour éviter une dévalorisation du
métier.
o
g
La branche a commencé à proposer des formations
pour ceux qui ont déjà un bac pro ou un CAP. Mais
c’est surtout les reconversions qu’il faut viser. Il faut
permettre à des chômeurs de rejoindre ce secteur non
délocalisable et qui va continuer de croitre, notamment parce que les maisons de retraite font le plein.
Pr
La particularité de ce métier, c’est de prendre en
charge l’ensemble de l’activité, tant sur le plan
hygiène, composition des menus, réalisation, cuisson
et gestion de l’équipe.
Les perspectives d’emploi sont nombreuses
pour les professionnels des métiers de bouche.
La restauration collective représente actuellement 300 000 emplois, dont 56 000 cuisiniers.
Dans les deux prochaines années, 16 000
autres devront être recrutés.
C’est un professionnel aux multiples missions :
il établit des menus, travaille les produits, il s’occupe
des cuissons ou encore du dressage. Il connaît parfaitement les techniques et les préparations culinaires
afin de servir des plats de qualité, pour un grand
nombre de personnes, dans un temps restreint.
L’organisation et l’anticipation sont en effet très
importantes dans ce métier.
Il travaille pour un public spécifique (scolaires,
salariés, patients et résidents des établissements de
santé…).
Il doit faire preuve de créativité pour proposer
des plats variés et donner l’envie de découvrir de
nouvelles saveurs.
Ses connaissances en diététique lui permettent
d’élaborer des menus équilibrés.
Il connaît aussi les différents régimes alimentaires
et propose des plats en fonction des allergies ou des
intolérances.
Ce professionnel doit avoir le goût du travail en équipe
avec une charge de travail importante, les équipes
doivent être synchronisées et le travail efficacement
réparti.
Il doit avoir une parfaite connaissance des règles
d’hygiène et de conservation des produits.
En fonction de l’importance de la collectivité pour
laquelle il travaille, il peut aussi être en charge de
9
17
> La baisse régulière des budgets liés à l’alimentation qui ne cesse de s’amplifier depuis l’aprèsguerre.
20
S’y ajoute le fait que la restauration collective
est souvent perçue par les convives comme une
restauration à faible valeur ajoutée comparée à la
restauration festive.
> Le renforcement de la réglementation liée à
l’hygiène et à la sécurité alimentaire qui impacte
directement les procès et réclame un ajustement
quasi constant des méthodes de travail.
> La désaffection générale des métiers de service
qui rend difficiles les recrutements aussi bien que
les ajustements tâches/compétences.
> Les moyens budgétaires et financiers :
l’appauvrissement général des moyens a depuis
quelques années déjà entraîné un tassement
régulier des marges. La situation est particulièrement critique dans le secteur privé autogéré.
Le retentissement de cette situation sur les salaires
aggrave encore les difficultés de recrutement.
Co
Les formations requises pour devenir cuisinier en
collectivité (H/F) sont :
- Le CAP cuisine
- Le BPA Transformation alimentaires
- Le CAP Agent Polyvalent de Restauration
(sur dérogation)
- Le CAP métier de bouche
Parmi ceux-ci :
s
Les compétences et qualités requises pour devenir
cuisinier de collectivité :
- Aimer travailler les bons produits
- Être organisé et savoir anticiper lorsque la situation le permet
- Être inventif
- Connaître les règles d’hygiène et les appliquer
scrupuleusement
- Être sociable, tant pour son équipe de travail que
pour le service des clients
- Savoir s’adapter rapidement
- Être travailleur et motivé
Il faudra toutefois pour la branche composer avec un
certain nombre de facteurs qui pourraient constituer
des freins si des réponses adaptées n’étaient pas
fournies.
rè
Le cuisinier de collectivité peut travailler dans différents établissements :
- Restaurant scolaire (école, collège, université…)
- Établissement de santé (hôpital, maison de
retraite…)
- Entreprise de restauration collective
En ce qui concerne les SRC, le poids du secteur
autogéré leur laisse de larges perspectives de développement.
ng
l’achat des denrées, de la gestion des stocks, des
commandes et des livraisons.
ra
m
m
e
Ensuite, pour avoir accès à de nombreux postes de
cuisinier de collectivité en cantine scolaire, cuisine
hospitalière, maison de retraite, collège, lycée et restaurant d’entreprise, vous devez vous spécialiser en
restauration collective. La spécialisation se fait en
une année d’apprentissage. Le Certificat de Spécialisation en Restauration Collective est proposé aux
jeunes âgés de 16 à 25 ans.
Le Certificat de Spécialisation permet aux futurs
salariés de développer leurs compétences techniques
dans les productions culinaires :
Pr
o
g
- en intégrant les évolutions techniques spécifiques
à la restauration collective,
- en utilisant des produits de qualité et des
produits locaux,
- en s’intéressant aux filières de production,
- en prenant en compte la réglementation en
matière de sécurité alimentaire,
- en optimisant l’organisation du travail et l’animation de l’équipe
- en maitrisant les différents modes de distribution
38 semaines d’apprentissage dans un restaurant de
collectivité aux cotés d’un cuisinier confirmé.
Quel avenir pour la restauration
collective.
La restauration de collectivités a probablement de
beaux jours devant elle compte tenu, entre autres,
de la structure démographique du pays.
10
> Les fluctuations des coûts matières.
> Le positionnement de cette offre de restauration :
les professionnels du secteur ont su tirer parti
ces dernières années de leur avance par rapport
aux autres segments de restauration en matière
d’hygiène, de sécurité alimentaire et de diététique.
Mais cette image se heurte parfois dans l’esprit
des consommateurs à celle – moins positive – de
l’industrialisation et de la prégnance de l’agroalimentaire.
Il y a là de nombreux défis à relever.
Mais la restauration de collectivités a traversé les
siècles en s’adaptant aux évènements historiques
aussi bien qu’aux évolutions sociologiques ou techniques.
Gageons donc qu’elle saura opérer les transformations.
BUTS de cette intervention
- Informer sur une profession pleine de débouchés.
- Créer des vocations.
- Orienter les candidats
- Attirer l’attention du professionnel sur les évolutions de son métier. 
La dénutrition dans les pays en voie
de développement,
les associations en mouvement
L’ACEHF a décidé « de faire quelque chose », aller plus
loin que le simple soutien moral, faire les 4800 km,
voir ce qui se faisait déjà, pour compléter, reconstruire
ou changer.
20
17
Sur place « Destination Info Nutrition », a pour
objectif l’amélioration de l’état nutritionnel des populations, par la formation des acteurs en santé
(professionnels médico-social, enseignants, collectifs
de femmes). Leur méthode participative respectueuse
des coutumes locales, les conduisent à mettre en
place des actions diverses :
s
-
Élaboration des plans alimentaires et de protocoles de réalimentation.
-Suivi d’enfants dans un protocole de cure nutritionnelle…
Ces différentes actions adossées à une ferme de
production de spiruline et d’un centre d’éducation
nutritionnelle. C’est d’ailleurs grâce à une partie de
la production de spiruline que le combat contre la
malnutrition pouvait être mené.
Co
Selon cet institut américain, le Togo, en matière de
bien-être de la population (qualité de vie), occupe la
dernière position sur la planète ou presque, c’est-àdire 155e sur les 155 pays étudiés.
rè
Le magazine Forbes a rendu public, il y a cinq ans, les
résultats d’une recherche sur le bien-être humain dans
le monde. Le sondage a couvert 155 pays et a été mené
par des chercheurs de « Gallup World Poll » jusqu’en
2010.
-Étude des ressources locales et des habitudes de
vie et de consommation.
ng
Un marché à Lome
Dépenses santé/an/
habitant
Togo
50 €
ra
m
Postes calculés
Nombre de médecins
pour 1000 habitants
France
m
Quelques chiffres pour s’en persuader :
e
Ce pays enserré entre le Ghana à l’ouest, la république du Bénin à l’est, et le Burkina Fasso au nord est
considéré comme l’un des plus pauvres du monde.
0,5
4860 €
3,9
De la spiruline
3,28 %
Nombre de lits
d’hôpital /
100 000 habitants
70
634
Population ayant
accès à l’électricité
20 %
100 %
g
45,22
%
Pr
o
Mortalité infantile
L’attention des membres du Conseil d’Administration
de l’Association Culinaire des Établissements Hospitaliers est attirée sur ce petit pays qu’est le Togo, par
une association Loi de 1901, « Destination Info
Nutrition », co-fondateur du Centre d’Étude de Nutrition d’Agou Nyogbo.
La ferme de production
11
Il était donc urgent de rationaliser et d’augmenter
cette production de spiruline, et c’est ce que l’ACEHF
a décidé d’entreprendre aux coté de l’association Info
Destination Nutrition.
Notre projet porte sur le soutien logistique et financier de l’ACEHF pour isoler le local de fabrication et
de climatisation du jus d’ananas ! Apres finalisation
du projet et calcul des couts, nous concrétiserons
notre aide an centre d’Agou Nyogbo.
17
Pour mieux définir les besoins et l’action la plus
pertinente, Yannick Strottner et Laurent Lussagnet
acceptent une mission d’exploration 4800 km en
avion et on les retrouve à Agou Nyogbo.
Pour mieux comprendre toutes les difficultés de
l’entreprise, il faut participer aux travaux de tous les
jours. Fini les installations rutilantes, fini les mises
en route par programmation, fini les mesures de
protections du personnel, juste de la sueur et de la
manutention !
20
Nous présenterons ce dossier au 34e Congrès à
Carquefou les 2 & 3 mars 2017, et nous espérons que
vous serez nombreux à venir nous écouter et nous
encourager, pour que quelques enfants, puissent
comme les nôtres, apprendre que manger à sa faim
est une chose « normale ».
rè
s
Tona et Élisabeth seront accompagnées d’Ariel
Bernard, présidente de l’Association Destination Info
Nutrition, pour cette conférence. 
Co
ng
L’UNICEF programme une campagne « Enfance et malnutrition
au Nord Togo », et l’assemblée
nationale togolaise a lancer le
18 juillet 2016 un comité de
protection de l’enfant qui traitera des questions alimentaires.
Pr
o
g
ra
m
m
e
Yannick Strottner en pleine action.
Laurent Lussagnet, Tonato Agbeko
et Yannick Strottner
12
RÉSERVATION
aux 34e journées
de la restauration hospitalière : 2 & 3 Mars 2017
Centre des Congrès de la Fleuriaye,
CARQUEFOU (44)
Organisées par le réseau RESTAU’CO
en partenariat avec
l’Association Culinaire des Etablissements Hospitaliers de France
RESTAU’CO, Agrément Formation N° : 26210165021
Coordonnées du Stagiaire
Nom : ............................................................................................................................................................................................
Prénom : ........................................................................................................................................................................................
Grade : ...........................................................................................................................................................................................
Fonction : .......................................................................................................................................................................................
Adresse : ........................................................................................................................................................................................
Ville : .............................................................................................................................................................................................
Code postal : .................................................................................................................................................................................
Portable : .......................................................................................................................................................................................
Courriel : .......................................................................................................................................................................................
Coordonnées de l’établissement
Nom : ............................................................................................................................................................................................
Adresse : ........................................................................................................................................................................................
........................................................................................................................................................................................................
Service : ........................................................................................................................................................................................
Ville : .............................................................................................................................................................................................
Code postal : .................................................................................................................................................................................
Courriel : .......................................................................................................................................................................................
Tél : ...............................................................................................................................................................................................
Si prise en charge par la formation continue
Nom du référent(e) : ......................................................................................................................................................................
Fonction : ......................................................................................................................................................................................
Courriel : .......................................................................................................................................................................................
Tél : ...............................................................................................................................................................................................
Fax : ..............................................................................................................................................................................................
Pour les inscription sans prise en charge directement auprès de l’ACEHF,
retournez votre formulaire avec le réglement au plus tard le 8 fevrier 2017, à :
Congrès ACEHF - 46 av de l’Alma - 94210 La Varenne St Hilaire.
Pour tous renseignements: 0800 000 067. – N° vert appel gratuit
Pour les inscription avec prise en charge, retournez votre formulaire à :
RESTAU’CO - Plateforme Formation - Bâtiment Samouraï II - 3 rue René Char - 21000 DIJON.
Pour tous renseignements : 0800 000 067 - N° vert appel gratuit
13
34e journées de la restauration hospitalière
2 & 3 Mars 2017, au Centre des Congrès de la Fleuriaye
CARQUEFOU (44)
3 formules de participation
Formule A  Une nuitée
Du jeudi 2 au vendredi 3 Mars 2017
Total : 279 € (prix net)
Frais pédagogique : 174 €
Nuitée
du 02/03/2017
Déjeuner
du 02/03/2017
Déjeuner
du 03/03/2017
Dîner
du 02/03/2017
Oui = 35 €
Oui
Oui
Oui
Nuitée = chambre + petit déjeuner
Formule B  sans nuitée
Du jeudi 2 au vendredi 3 Mars 2017
Total : 244 € (prix net)
Frais pédagogique 174 €
Déjeuner du
02/03/2017
Déjeuner du
03/03/2017
Dîner du
02/03/2017
Oui
Oui
Oui
Formule C  Jeudi 2 ou vendredi 3 mars 2017
Total : 133,50 € (prix net)
Frais pédagogique =116 € - Déjeuner = 17,50 €
Formule choisie
Formule
Tarif
Retraité
Supplément
Chambre single
Formule A 
279 €
140 €
+ 20 €
Formule B 
244 €
100 €
Formule C 
133,50 €
60 €
Nombre
de participant
Total
Pour les inscription sans prise en charge directement auprès de l’ACEHF,
retournez votre formulaire avec le réglement au plus tard le 8 fevrier 2017, à :
Congrès ACEHF - 46 av de l’Alma - 94210 La Varenne St Hilaire.
Pour tous renseignements: 0800 000 067. – N° vert appel gratuit
Pour les inscription avec prise en charge, retournez votre formulaire à :
RESTAU’CO - Plateforme Formation - Bâtiment Samouraï II - 3 rue René Char - 21000 DIJON.
Pour tous renseignements : 0800 000 067 - N° vert appel gratuit
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Programme du 34e Congrès
de l’Association Culinaire
des Établissements Hospitaliers de France.
2 & 3 Mars 2017 – CARQUEFOU (44)
Jeudi 2 mars 2017
Vendredi 3 mars 2017
11 h à 12 h 30 : Accueil des congressistes et visiteurs.
8 h 30 à 10 h : Futur de l’alimentation à l’hôpital.
Continuer à favoriser la sécurité alimentaire,
surement. Opter pour des solutions sur les seuls
critères économiques, à voir !
12 h 30 à 14 h : Déjeuner.
14 h 30 à 16 h : À partir du 1er juillet 2016, seront
constitués 130 Groupements Hospitaliers de Territoires, ce qui accentuera la massification des achats.
Quels avantages, quels inconvénients ?
17 h à 18 h 30 : La restauration collective française,
exemple pour les pays en voie de développement.
Mission assistance et convoyage de matériel de l’ACEHF
au TOGO. Le point sur la situation sur le terrain.
Avec comme intervenants : Yannick Strottner,
Président National de l’ACEHF et Destination Info
Nutrition – association ayant pour objectif d’améliorer
l’état nutritionnel des populations à risques.
Suivi du Vin d’honneur.
20 h 30 : Soirée de Gala
Table ronde avec un représentant du Conseil National
de l’Alimentation et un représentant des fournisseurs.
10 h 30 à 12 h : Améliorer notre action en
écoutant les patients et résidents des établissements
de santé. Table ronde entre des représentants de
l’association des usagers du CHU de Nantes, du
conseil de la vie sociale et des responsables de
services de restauration.
12 h à 13 h 30 : Déjeuner.
14 h à 15 h : Formation des cuisiniers de collectivités et
débouchés. Avec des représentants du CFA et du réseau
RESTAU’CO. 
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