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Flash-back -
Revue
électronique
hebdomadaire du Centre Mohammed VI de
Soutien à la Micro-finance Solidaire
-
N° 43 - Du 10 au 16 octobre 2011.
« Flash-back » est une revue hebdomadaire électronique d’articles, d’études et de rapports
sur le Micro-Crédit et la Micro-Finance au Maroc et dans le Monde sélectionnés par les
soins de l’équipe du Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire. Elle est
diffusée à l’ensemble des acteurs du secteur dans notre pays.
S’agissant d’une sélection d’articles, d’études et de rapports dans l’objectif de diffuser
l’information et encourager l’échange, le Centre ne peut alors pas cautionner le point de
vue exprimé par la source.
Sommaire :
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[Bolsamania.fr] Le secteur financier se mobilise pour prévenir le surendettement, afin de
promouvoir une finance responsable, CGAP (Groupe consultatif d'assistance aux pauvres)
[Afriquinfos.com] Ouverture de la 10ème conférence du réseau africain de microfinance
"AFMIN"
[Affaires –Stratégiques.info] Les difficultés de la microfinance
[MicroWorld.org] La Microfinance islamique peine à se développer
[LaMicrofinance.org] Quelle est l’influence du Printemps arabe sur la microfinance ? Compte-rendu d’une discussion organisée par le CGAP à Paris
[LeFigaro.fr] Bien financer sa microentreprise
[Zegreenweb.com] 35 milliards d’euros par an pour permettre aux populations
défavorisées d’accéder à l’électricité
[LesEchos.fr] Cyrille Parant, Président de Microfis : «Ce produit très innovant, peut-être
trop, "ne rentrait pas dans les cases"»
[Nations Unies] Table ronde sur la question urgente de la création d’emplois dans le
contexte actuel de crise économique mondiale
[LeMatin.ma] Groupe Banque Populaire – Une «souk bank» pour séduire les ruraux
[LesEchosQuotidien.ma] L’OFPPT forme au soutien de l’entreprise
[L’Economiste.com] Le Crédit Agricole dans le club de l’Economiste – La longue
mutation de la banque verte
Le secteur financier se mobilise pour prévenir le
surendettement, afin de promouvoir une finance responsable, CGAP (Groupe consultatif
d'assistance aux pauvres)
« Selon le CGAP, (…), le secteur de la microfinance poursuit ses efforts en faveur d'une
finance responsable, notamment par des mesures de protection des clients et la prévention du
surendettement. La volonté de faire croître rapidement la microfinance dans les nouveaux
marchés s'accompagne d'une détermination renouvelée à fournir un accès à des services
financiers responsables, dont les plus grands bénéfices intéressent les personnes pauvres.»
Lire plus.
Ouverture de la 10ème conférence du réseau africain de
microfinance "AFMIN"
« La 10ème conférence du Réseau africain des institutions de micro finance (AFMIN) a ouvert
ses travaux de 5 jours lundi à Bujumbura, capitale du Burundi. (…) Le président de l'AFMIN
a déploré que six ans après la création de "l'année internationale du microcrédit" par les
Nations Unies en 2005, les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) restent
contrariés par la grave crise économique et financière de ces trois dernières années et dont
les effets pourraient être ressentis au-delà de 2012.» En savoir plus. Lire aussi :
Microfinance : Ce qui doit changer en Afrique
Les difficultés de la microfinance
« (…) Comme pour la finance classique, de nombreux acteurs de la microfinance en appellent
aujourd’hui à plus de régulation, après les dérives du laissez-faire permises par les autorités
dans les pays d’accueil, face à la suroffre de crédit des institutions de microfinance ou au
surendettement. La microfinance, (…), offre des solutions d’urgence qui permettent
difficilement de résoudre les problèmes de développement en profondeur.» Lire plus.
La Microfinance islamique peine à se développer
« (…) La microfinance islamique pèse moins de 1% de la microfinance mondiale, qui totalise
environ 190 millions clients selon The Microcredit Summit Campaign. (…) Une des
principales raisons du faible essor de la microfinance islamique est liée à l’absence de
volonté de la part des grandes banques islamiques. (…) D’autres freins (…) : "la
réglementation, qui ne lui est pas toujours favorable, la méconnaissance du public,
conditionné par l’économie occidentale, et la faiblesse de la recherche académique". Une
autre raison : le manque d’innovation (…)». Lire l’article.
Quelle est l’influence du Printemps arabe sur la
microfinance ? - Compte-rendu d’une discussion organisée par le CGAP à Paris
« (…) La microfinance semble avoir relativement bien résisté au printemps arabe et cela
s’explique en partie par le lien solide entre les IMF et la population. Plusieurs personnes ont
parlé de la « résilience » de la microfinance. Cependant, affronter ce type de situation exige
une bonne préparation de la part des IMF. Elles doivent mettre en place une gouvernance
solide, une bonne gestion du personnel et garder ce lien fort avec les clients pour mieux faire
face aux crises.» Lire le compte-rendu de la réunion.
Bien financer sa microentreprise
« Il existe une multitude d'organismes qui peuvent aider à la création ou la reprise
d'une TPE. Dès lors qu'ils considèrent le projet viable, ils l'accompagnent et l'acceptation du
dossier aura un effet multiplicateur auprès des banques.» Lire l’article.
35 milliards d’euros par an pour permettre aux
populations défavorisées d’accéder à l’électricité
« (…) L’Agence internationale de l’énergie suggère (…) qu’un tiers du financement
provienne du secteur privé, qu’un deuxième tiers provienne du budget des pays en
développement (PED) eux-mêmes et que le reste soit financé par des initiatives locales,
notamment à travers le micro-crédit.» Lire l’article.
Cyrille Parant, Président de Microfis : «Ce produit très
innovant, peut-être trop, "ne rentrait pas dans les cases"»
« La première obligation Microfinance cotée sur un marché international ne verra finalement
pas le jour. Les montants souscrits ne permettent pas de couvrir les frais d'une introduction
en bourse. Explications avec Cyrille Parant, Président de Microfis.» Lire l’entretien.
Table ronde sur la question urgente de la création
d’emplois dans le contexte actuel de crise économique mondiale
« (…) Les invités, quatre experts du monde du travail, réunis en panel, ont discuté des
fondements d’un nouveau modèle de croissance qui serait centré sur la création d’emplois et
qui serait une priorité des agendas nationaux de développement et des institutions de Bretton
Woods. (…) M. AKBAR NOMAN, Chargé de recherche principal de l’Initiative pour un
dialogue politique, Université Columbia, a vanté les bienfaits du microcrédit, qui permet de
créer de la croissance dans une économie à un niveau local, mais a déploré que ce
microcrédit favorise, en outre, le secteur informel.» En savoir plus.
Groupe Banque Populaire – Une «souk bank» pour
séduire les ruraux
« La «Souk banque», mise en place par le groupe Banque populaire (GBP) sillonne, depuis
quelques jours les souks hebdomadaires de Taza et sa région proposant des services
bancaires à la population du monde rural (…). (…)"Nous comptons sur nos deux réseaux de
clientèle : Le réseau propre de la BP et celui de la Fondation BP, notamment la branche de
microcrédit. Nous sommes aussi en discussion avec des associations de microcrédit pour
pouvoir exploiter leur réseau de clientèle dans le monde rural", explique Noureddine Baroudi
(Directeur de la Division Inclusion Financière au niveau de la Banque Centrale Populaire).»
En savoir plus.
L’OFPPT forme au soutien de l’entreprise
« Le projet de soutien à l’entreprise, engagé par l’OFPPT en partenariat avec l’Agence pour
le partenariat et le progrès, vient d’achever une nouvelle étape. Ce sont 135 responsables et
animateurs de l’Office qui viennent de boucler un programme de développement de
compétences portant sur les techniques d’accompagnement pré-création et post-création
d’entreprises.» Lire la suite.
Le Crédit Agricole dans le club de l’Economiste – La
longue mutation de la banque verte
« (…) De l’obligation (…) d’aider le plus grand nombre d’exploitants, le CAM mettra
progressivement en place un système dont le microcrédit qui capte, via sa fondation Ardi,
100.000 clients et fédère les microcrédits du rural. (…) Fini le mode de subventions déguisées
au monde rural que la banque a longtemps assumé. De toute évidence, les nouvelles règles
financières internationales, encore plus Bâle III, exerceront plus de pression sur le pilotage
des banques. (…) Pour se conformer aux nouvelles règles de jeu, les banques devront alors,
soit augmenter leur capital, soit diminuer leurs activités. Pour CAM, ça sera le premier
choix.» Lire l’article.