I. La déficience intellectuelle
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I. La déficience intellectuelle a. Définition de l'OMS : constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d'activité, ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive, d'une ou plusieurs fonctions (physique, sensorielle, mentale, cognitive, ou psychique) d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. Loi 2005 : loi pour l'égalité des lois et des chances 1er thème : l'accueil des handicapés : la MDPH : CDAPH qui prend toutes les décisions (commission départementale pour l'autonomie des personnes handicapées) 2e thème : droit à la compensation - véhicule (adaptation au volant) - allocation handicap (aménagement) - scolarité : tout enfant présenté comme handicapé est inscrit dans l'école et son quartier → faux - l'emploi : entreprise ordinaire qui doit embaucher en priorité des personnes handicapées (5% mini) - l'accessibilité : tous les lieux publics pour les fauteuils à mettre en norme → 2011 : 20% du parc mis aux normes. - citoyenneté et participation à a vie sociale : loi qui permet aux majeurs placés sous tutelle de voter sous réserve de l'autorisation du juge des tutelles CAT (d'entre d'aide par le travail) devient ESAT (établissement et services d'aides par le travail) la déficience intellectuelle inférieure à 70 + évaluation → est déficient ou non distinction à faire entre déficience mentale et santé mentale : la santé mentale affecte le comportement et affectif « sans lien » avec le fonctionnement intellectuel de la personne. La déficience n'est pas une maladie, c'est un état permanent. b) Maladies génétiques - Trisomie 21 : (1enfant sur 300 nait avec une anomalie chromosomique, sinon, 1 sur 1000nait trisomique) la plupart des anomalies sont dues à un problème de division ou de chromosome, et 2% d'hérédité (un des parent qui a le gêne) il existe aussi la trisomie 14.. 18.. - Le X fragile : sur le caryotype décelé par un généticien : retard au niveau global du moteur hypotonique, difficulté motricité fine, du mal dans le langage. - Syndrome du double cortex : léger trouble dans la tête → tempête dans la tête, épilepsie, maux de têtes insupportables, (deuxième couche de neurones) fixer son intention, maîtriser les objets avec précision, comprendre es règles de communications, le contact avec l'environnement est préservé. Degrés de déficiences : - léger → acquisition lecture arithmétique (grâce à une éducation spécialisée) - modéré → accès langage/lecture/calcul (limité)/autonomie restreinte - grave → déficience associée à d'autres handicap : visuel, auditif, - profond → myopathe, accès à une éducation spécialisée c. psychose déficitaire Une symptomatologie déficitaire évoquant les cas d'arriérations mentales avec une note dysharmonieuse plus ou moins facile à mettre en évidence, initiale ou apparaissant dans un second temps. II. Déficience liée à la carence affective - situation d'abandon parents seuls démunis - la grande carence, carence de l'institution - carence dorée : situation bourgeoise, l'enfant roi théorie de l'attachement : déficience neuronale.
