les antibiotiques.

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PHARMACOLOGIE Pharmacocinétique
La pharmacocinétique ou le devenir du médicament dans l’organisme
la toxicité des médicaments
les différentes voies d’administration des médicaments avantages et
inconvénients
posologie des médicaments
interactions médicamenteuses
généralités sur les médicaments
antibiotiques :
o ciflox*
o augmentin*
o bactrim*
antiseptique :
o betadine solution gynécologique
antiretroviral :
o videx*
o viracept*
o zerit*
antiherpétique :
o zovirax*
aspirine :
o aspegic*
fluidifiant bronchique :
o exomuc*
I. DEFINITION

Etude du devenir du médicament dans l’organisme, ensemble des processus
biologiques que l’organisme impose au médicament
II. LES DIFFERENTES ETAPES DE LA TRANSFORMATION DU MEDICAMENT

Entre l’administration et l’action il y a différentes étapes :
A. La résorption ou l’absorption
1) Définition :



Passage du médicament dans la circulation générale à partir de son lieu
d’administration. Absorption réservée à la voir orale.
Franchissement des barrières membranaire et biologique, les caractéristiques
physicochimique du médicament conditionne la traversé des membranes biologiques.
La membrane cellulaire constituée d’un double couche de phospholipide (barrière
lipidique)
Ne concerne pas l’administration par IV
2) Facteurs qui influence la résorption




Liposolubilité : molécules liposolubles, la vitesse de résorption va dépendre de la
liposolubilité du produit
Ionisation : (caractère acide faible ou base faible d’un médicament) différents
fonctions selon le pH intérieur, différentes dissociations ou ionisations (ex : acide
faible peu dissocié en milieu acide, mais fortement dissocié en milieu basique)
Ex : ASPIRINE (acide faible) dans l’estomac pH acide donc peu ionisé d’où début de
la résorption
Lieu privilégié de la résorption (intestin)
3) Biodisponibilité et 1er passage hépatique


Quantité de dose administrée qui atteint la circulation générale ainsi que sa vitesse
Franchissement du foie (1er passage hépatique)
o Soit fortement capté par le foie et éliminé par les voies biliaires
o Soit métabolisé ou bio transformé

Conséquences :
o Soustraction du principe actif au niveau hépatique (quantité disponible au
niveau de la circulation générale inférieur à l’absorption réelle)
o Métabolite : soit inactif, soit actif

Remarques :
o Si voie intraveineuse la biodisponibilité est de 100%
o Voie orale, prendre en compte le 1er passage hépatique
o Différentiation selon la forme du traitement (poudre, comprimés, etc.)
o Quelque soit la voie d’administration au niveau orale, c’est la vitesse qui prime
selon la forme
4) Facteurs pouvant modifier la résorption



Certains traitement peuvent être résorbé au niveau intestinal voir avant
Des facteurs alimentaires peuvent modifier la vitesse ou la quantité de substance
résorbée (parfois complexe insoluble avec des laitages)
Des facteurs thérapeutiques, interaction lors de prise de 2 traitements ensemble
III. DISTRIBUTION

Le médicament se retrouve dans le plasma :
1) Formes liées aux protéines

Forme de stockage du principe actif qui va être libéré progressivement
2) Formes libres

Forme active, action pharmacologique
3) Fixation protéique

Capacité du médicament de se lier aux protéines
4) Facteurs pouvant modifier la distribution


Etat physiologique du patient (ex : prématuré, personne âgée) → augmentation de la
forme libre → augmentation de l’activité du médicament
Compétition entre plusieurs médicaments (2 traitements se fixe sur la même protéine =
interaction médicamenteuse)
5) La diffusion tissulaire (notion de ligand)



C’est la forme libre qui diffuse, elle est proportionnelle à l’irrigation des tissus
L’obésité entraîne des modifications, ainsi que chez la femme enceinte
Ligand = substance qui se lie avec 1 ou plusieurs récepteur et qui exerce ainsi les
effets pharmacologiques
IV. LA BIOTRANSFORMATION OU METABOLISME
A. Définition


Etape de dégradation, métabolisation par des enzymes présentent dans l’organisme
Le produit dégradé = métabolite
B. Sites de transformation

Principaux sites
o Foie = cytochromes p450 (agents de dégradation du foie)
o Poumons = enzymes de dégradation
o Reins = enzymes de dégradation
C. Facteurs pouvant modifier la biotransformation





Facteurs génétiques :
o Race
Facteurs physiologiques :
o Jusque 1 an, le système enzymatique est incomplet
o De 1 à 8 ans + rapidement dégradé
o Chez la personne âgée ralentissement
Facteurs pathologiques :
o Insuffisance hépatique : baisse des dégradations
o Hyperthyroïdie : augmentation des dégradations
Origine thérapeutique :
o Interaction médicamenteuse
o 2 types de produits courants :
 inducteurs enzymatiques (↑ l’activité)
 inhibiteurs enzymatiques (↓ l’activité)
l’hygiène de vie :
o tabac = inducteur enzymatique
o alcoolisme chronique = inducteur enzymatique
o alcoolisme occasionnelle = inhibiteur enzymatique
V. L’ELIMINATION DES MEDICAMENTS
A. Voies d’éliminations







Rénale et hépatique
Hépatique : éliminé par la bile, évacué vers l’intestin et éliminé dans les selles
Elimination par la peau et la sueur
Elimination pulmonaire (air expiré)
Elimination lait maternel
Elimination lacrymale
Elimination rénale
B. Notion de ½ vies d’élimination



Temps au bout duquel la moitié de la quantité administré a était éliminé
Constante pour un médicament donné chez un sujet donné (ex : aspirine 3 à 9 heures)
Permet de déterminer les rythmes d’administration du médicament
C. Facteurs pouvant modifier l’élimination


Physiologique :
o Age : ↓ bébé et PA
o ↑ enfant 1 à 8 ans
o grossesse ↑ l’élimination urinaire
pathologique :
o insuffisance rénale et hépatique

thérapeutiques :
o prise de diurétiques
o prise de laxatifs
D. les dosages plasmatiques





lors de traitement simultanés
contrôle qui permet de vérifier que la posologie est adaptée
traitement dont on parle de marge thérapeutique étroite (risque de toxicité)
lors de changement de posologie
apparition d’effets indésirables fréquents
MODULE PHARMACOLOGIE
Généralités sur les médicaments
I. DEFINITION

« On entend par médicament, toute substance ou composition présentée comme
possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou
animales, ainsi que tout produit pouvant être administré à l’homme ou à l’animal, en
vue d’établir un diagnostic médicale ou de restaurer, corriger ou modifier leurs
fonctions organiques » article L511 du code de la santé publique
A. médicaments par présentation
1) présentation explicite

on énonce la notion d’indication thérapeutique (ex : traitement pour la douleur)
2) présentation implicite



on précise quelques indications mais non formelle
quelques propriétés du produit
ex : le placebo
B. médicaments par destination ou par fonction
1) propriétés curatives (guérison)

but de traiter la maladie, supprimer la cause (ex : antibiotiques)
2) propriétés préventives (protection)


protéger un sujet sain contre la pathologie future (ex : vaccin, produits antiseptiques)
modification d’un processus physiologie (ex : pilule contraceptive)
3) substitution (carence)


palier des manques, exogène (alimentaire), endogène (insuline, hormones)
ex : vitamine D contre le rachitisme, diabétique)
4) correction des symptômes (atténuation)


troubles reliés à une pathologie
ex : la fièvre, antalgiques pour la douleur dentaire)
5) en vue d’établir un diagnostic


permet de réaliser des examens
ex : scanner, radio, hyperglycémie provoquée
II. LES PRODUITS CONSIDERES COMME MEDICAMENTS







Produits répondant à la définition
Produits cosmétiques (contienne une substance qui a des indications thérapeutiques =
crème, déodorant
Produits diététiques : recherche d’une thérapeutique diététique, préparation antidiarrhéique, aliments de réhydratation, alimentation entérale ou parentérale, produits
hyperprotéiné, sels de régime, substitut sucré.
Produits supprimant l’envie de fumer ou réduisant l’accoutumance au tabac (gomme,
patch)
Thérapeutiques parallèles :
o La phytothérapie = utilisation des plantes
o L’aromathérapie = essence ou huile essentiels
o La gemmothérapie = concerne la plante à l’état de bourgeon, de jeune pouce
o L’homéopathie = soigner par les semblables (ex : caféine chez un patient qui
veut être clamé à des doses minimes), plantes, animal, minéraux
o La lithothérapie = fondé sur l’activité des sels minéraux
o L’oligothérapie = utilisation d’oligo-éléments (cobalt, nickel, souffre =
modificateur de terrains)
Thérapie génique : médicament qui n’est pas une spécialité pharmaceutique, n’est pas
fabriqué industriellement, permet de transférer du matériel génétique, ne concerne pas
des cellules humaines ou animales.
Thérapie cellulaire : n’est pas une spécialité pharmaceutique, pas fabriqué
industriellement, consiste en des cellules d’origines animales qui vont être utilisé à des
fin thérapeutiques. Ne peut être utilisé qu’avec l’avis de l’agence de bio médecine.
III. COMPOSITION DES MEDICAMENTS
A. Le ou les principes actifs


Substance responsable de l’effet pharmacologique, molécule active du médicament.
La molécule est la propriété du laboratoire fabriquant et elle est protégée pendant 10
ans avec une autorisation de mise sur le marché (AMM), puis la molécule tombe dans
le domaine public et peut donc être fabriqué par d’autres laboratoires (génériques).
Générique : copie d’un médicament original dont la production et la
commercialisation tombe dans le domaine public.
B. L’excipient ou les excipients





Il est pharmacologiquement inerte. Inactif sur la maladie, mais actif sur l’organisme.
Il permet de mettre en forme le médicament, de mettre en masse le principe actif,
permet d’avoir la consistance voulue ou un volume désiré.
Il assure aussi la conservation d’un médicament.
Il agit sur la biodisponibilité du principe actif dans l’organisme.
Doit être d’une innocuité parfaite : non toxique, non allergisant (excipient à effet
notoire, ex : lanoline dans les crèmes qui est allergisant chez certaines personnes)

Inertie, il doit être inerte vis-à-vis du principe actif, ne doit pas agir ou interagir sur le
principe actif, inerte vis-à-vis de l’organisme.
Exemples d’excipients dans les comprimés :
 Diluant = permet d’atteindre la taille et le volume (ex : lactose, amidon de mais)
 Liant = permet de lier les particules de poudre entre elles (ex : gommes végétales)
 Déliant = dissolution approprié dans l’organisme
 Lubrifiant = fluidité au grain
 Colorant = beauté
IV. LA DENOMINATION DU MEDIAMENT, CLASSE ET CODE





Nom de marque = *
La DCI (dénomination commune internationale) défini par l’OMS en 1953 elle
désigne le principe actif (ex : le paracétamol)
Groupe chimiques ou pharmacologiques : la DCI obéi à une syntaxe rigoureuse. Elle
permet de former des groupes (ex : DCI fini par « olole » : bêtabloquant ;
benzodiazépine ou la DCI termine par « zépame »)
Classification ATC (anatomical thérapeutical chemical), dans la pharmacodynamie
(ex : digitoxine : classe anatomique = cardiovasculaire ; classe thérapeutique =
cardiologie ; sous classe CO1A = glucide cardiotonique ; sous classe thérapeutique et
chimique = glucoside de la digitale ; substance chimique = digitoxine)
Classification officiel car elle permet de comparer les médicaments d’une même
classe, comparer leur consommation
V. ORIGINE DES MATIERES Ière UTILISE DANS LA PREPARATION DES
MEDICAMENTS






Origine végétale : cultivé ou recueilli à l’état sauvage, plante entière ou une partie,
récupère la drogue ou à l’état brute, peut être réduite en poudre, on peut obtenir des
extraits de cette plante, des huiles, des huiles essentielles, eau florales, substances
chimiques bien définie.
Origine animale et humaine : organes frais (foie, glande comme ovaire, hormones) ;
dérivés du sang, sérum à base d’animaux (tétanos = cheval hyperimmunisé)
Origine micro biologique : champignons (levure de bière, champignons porteur
d’antibiotique, bactéries et virus donne des bacilles actique (troubles digestifs).
Fabrication de vaccins par virus tué ou atténué.
Origine minérale : eau, cilisse (talc), argiles, la vaseline comme excipient, sels de
sodium, magnésium, potassium
Origine synthétique +++ : dérivés de synthèse (cortisone), hormones, antibiotiques,
aspirine, paracétamol, benzodiazépine
Origine génie génétique : insuline humaine, interférons (leucémie, hépatite),
hormones de croissance.
VI. MISE EN FORME DU MEDICAMENT, LES DIFFERENTES FORMES
GALENIQUE OU PHARMACEUTIQUE



Formes solides destinées à la voie orale : cachet, capsule molle, comprimés, gélules,
saccharures granulés (sachets), lyocs, sachet scellé, paquet (plié), pastilles, pâtes,
tablettes, poudre.
Formes liquides destinées à la voie orale : ampoules buvables, sirop, soluté buvable,
potions, élixir (alcool + sucre).
Formes destinées à la voie rectale : solutions (poires), mousses, lavements,
pommades, suppositoires




Formes destinées à la voie ophtalmique : collyre, pommade ophtalmique, solution
de lavage, insert ophtalmique (bâtonnet cylindrique, ellipse sous la paupière)
Formes destinées à la voie ORL :
o Perlinguale ou sub-linguale (solutés, glossette = comprimés, lyocs, granules et
globules en homéopathie)
o Muqueuse buccale (bain de bouche, gargarisme, comprimés, gels
anesthésiques locaux)
o Muqueuse nasale (solution aqueuse = eau, huileuse)
o Muqueuse pharyngée (collutoire, pâtes et pastilles)
o Muqueuse pulmonaire (soluté pour inhalation, spray doseur)
o Muqueuse auriculaire (solution, suspension aqueuse ou huileuse.
Formes destinées à la voie cutané ou percutané : pommades, crèmes, pâtes, cérats,
gels, glycérols, emplâtres, lotions, mousses, savons, shampoings, patch.
Formes destinés à la voie parentérale : intra musculaire, intra dermique, sous
cutané, intra veineuse, intra artériel, intra cardiaque, intra articulaire, intra péridural :
solutions, suspensions, préparations pour perfusions, poudres à diluer.
MODULE PHARMACOLOGIE
Interactions médicamenteuses
I. DIFFERENTES INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES




Association contre indiquée (absolue) peut entraîner de graves effets voir la mort
Association déconseillée, CI relative, l’association doit être évitée
Association nécessitant des précautions d’emplois, association possible mais respecter
les recommandations décrites
Association à prendre en compte
II. RISQUES ENCOURUS
A. Synergie (1+1=2)

2 traitements avec une activité pharmacologique identique d’où activité supérieur
B. potentialisation (1+1=4)

association de 2 médicaments avec des actions différentes, on observe une action
supérieure que s’ils avaient était donnés séparément
C. antagonisme (1+1=1 ou 0)

2 traitements d’activité identique ou différente, 1 des médicament qui inhibe ou annule
l’effet de l’autre ou ils s’annule tout les deux
MODULE PHARMACOLOGIE.
LES ANTIBIOTIQUES.
I) NOTIONS GENERALES.

Les antibiotiques sont des substances élaborées par des micro-organismes, le plus souvent ce
sont des champignons inférieurs (Penicillium notatum, streptomyces gris eus) qui ont le
pouvoir de s'opposer à la multiplication des germes microbiens en inhibant leur


multiplication (médicaments bactériostatiques) ou en les détruisant (médicaments
bactéricides).
Certains sont préparés par synthèse.
est assimilé aux antibiotiques un groupe de médicament de synthèse appelé « sulfamide
antibiotique ».
II) SENSIBILITE DES GERMES AUX ANTIBIOTIQUES.


L'antibiogramme est l'examen qui permet de connaître sur quel germe, un antibiotique est
efficace.
Les antibiotiques peuvent être classés selon leur spectre d'action :
o les antibiotiques actifs sur les bactéries Gram + (pénicilline, bacitracine,
vancomycine).
o Les antibiotiques actifs sur les bactéries Gram - (poly myxine...).
o Les antibiotiques à large spectre actifs sur les deux types de bactéries (ampicilline,
tétracycline).
III) NOTION DE RESISTANCE DES GERMES AUX ANTIBIOTIQUES.

La résistance d'un germe peut exister d'emblée si le germe n'appartient pas ou être acquise à
la suite d'un emploi abusif d'antibiotiques.
 Cette résistance explique l'importance de l'antibiogramme qui permet de choisir
l'antibiotique le plus efficace vis-à-vis d'un germe déterminé.
IV) ASSOCIATION D’ANTIBIOTIQUES.
 Il est parfois utile de recourir à une association d'antibiotiques qui permet :
o de renforcer l'action chimique de chaque antibiotique, ont dit qu'il y a synergie.
o D'obtenir un effet thérapeutique supérieur.
o D'éviter une résistance du germe.
o De lutter contre l'infection pluri microbienne.
 Par contre certaines associations peuvent aboutir à un résultat inverse de celui recherché, on
parle alors d'antagonisme.
V) LA TOXICITE DES ANTIBIOTIQUES.

Employé d'une façon intensive et prolongée, les antibiotiques peuvent exercer sur
l'organisme des effets néfastes :
o des manifestations allergiques : elles dépendent de la susceptibilité individuelle,
elles sont assez fréquentes avec la pénicilline, la streptomycine et la céphalosporine.
o Des accidents sanguins à type d'agranulocytose (Chloramphénicol*).
o Les accidents hépatiques (Rifampicine*).
o Une atteinte rénale (Amikacine*).
o Une atteinte digestive.
o Une perturbation de la flore intestinale.
VI) CLASSIFICATION ET FAMILLE DES ANTIBIOTIQUES.
A)



Famille des béta lactamines :
Amoxicilline (Augmentin*).
Pénicilline G.
céphalosporines (Fortum*, Rocéphine*).

Effets indésirables :
o rash.
o Urticaire.
o Possible fièvre aux antibiotiques.
o Oedème de Quincke.
o Choc anaphylactique.
B)




Famille des aminosides :
streptomycine.
néomycine.
Gentamicine.
Effets indésirables :
o toxicité rénale.
o Toxicité auditive.
o Toxicité hépatique.
C) Famille des phénicolés :
 Chloramphénicol*.
 Actions :
o surtout respiratoire.
 Effets indésirables :
o toxicité digestive.
o Toxicité sanguine = agranulocytose.
D) Famille des macrolides :
 Erythromycine*(double dilution).
 Josacine*.
E)



Famille des cyclines :
Vibramycine*.
Tétracycline*.
Effets indésirables :
o tache sur les dents in utero.
o Toxicité digestive.
o Toxicité rénale.
o Toxicité neurologique.
F) Famille des sulfamides :
 Bactrim*.
 Effets indésirables :
o toxicité rénale.
o Toxicité hemobiologique.
G) Famille des quinolones :


fluoroquinolone (ne pas donner à la femme qui allaite) :
o Ciflox*, Oflocet*.
Actions :
o infections génitales.
o Infection urinaire.
o Prévention avant une intervention de la prostate.
H) Famille des antifongiques :
 Triflucan*.
 Flagyl*.
 Nizoral*.
 Actions :
o effets digestifs.
o Effet sur le muguet.
 Effets indésirables :
o nausées.
o Douleurs abdominales.
I)


Famille des antibiotiques antituberculeux :
Rifampycine.
Effets indésirables :
o toxicité digestive.
o Toxicité hépatique.
 MODULE PHARMACOLOGIE
 Les différentes voies d’administration des
médicaments avantages et inconvénients

I. VOIE ORALE

But : permet d’arriver en circulation générale (effet systémique)
A. Avantages





Accès facile
Peu dangereux
Permet des prises répétées
70 à 80% des traitements utilisent cette voie
pas irréversible = lavage d’estomac
B. inconvénients
1) liés à la substance




troubles digestifs
nausées
vomissements
irritation gastrique (ulcères)


diarrhées
constipation
2) liés aux patients





automédication
obstacle sur les voies digestives
difficultés à avaler
variation de PH
1er passage hépatique
II. LES AUTRES VOIES
A. Les trans-muqueuses
1) Voie rectale



Résorption au niveau des veines hemoroïdale moyennes → direct dans la circulation
supérieure → passage hépatique
Avantages :
o Pas de nausées, vomissements
o Enfants, nourrissons
o Effet local
Inconvénients :
o Biodisponibilité variable selon l’individu
o Irritation des muqueuses rectales
o Non utilisable en cas de fissures
o Possibilité de rejet
o Selon mentalité
2) Voie sublinguale et perlinguale




Très vascularisé, permet d’éviter la voie digestive et donc le 1er passage hépatique
Granules homéopathiques, formes lyoc, traitement à base de trinitrine
Avantages :
o Absorption rapide dans la voir générale
o Pas de contact avec les sucs digestifs
Inconvénients :
o Problème du goût, non irritant
3) Voie pernasale






Certains antimigraineux en pulvérisation
Spray pour diabète
Enurésie nocturne
hormones
Avantages :
o Pas de 1er passage hépatique
Inconvénients :
o Rhinites inutilisables
o Action limitée dans le temps
4) Voie vaginale


Uniquement usage local
Attention quand même au nourrisson en cas d’allaitement
5) Voie pulmonaire


Certains anesthésiques généraux
Thérapeutique inhalée (aérosols, spray)
III. VOIE PARENTERALE OU INJECTABLE
A. Caractères généraux

Effraction cutanée

Avantages :
o Pas de 1er passage hépatique
o Pas de contact avec les sucs digestifs
o Voie utilisée en cas d’inconscience, coma
o Utilisée lors de vomissements
o Permet la bonne observance du traitement

Inconvénients :
o Matériels personnels
o Risque infectieux + important
o Irréversible
o Peut être douloureux
o Risque blocage psychologique
B. Caractères spécifiques
1) Voie IV

Avantages :
o 100% de biodisponibilité
o voie d’urgence
o gros volumes en continu
o choix pour l’anesthésie générale
o intéressant quand ½ vie du traitement courte

inconvénients :
o maîtrise geste technique
o risque lésion parois veineuse
o utilisation que de solutions aqueuses
o solutés isotoniques (même concentration osmotique que le sang)
o injection à pratiquer lentement en surveillant le patient
2) voie IM

résorption par simple diffusion

avantages :
o accès + facile que IV
o possible utilisation de solutions aqueuses ou huileuses
o permet un traitement à action prolongé
o permet de l’utiliser chez les opposants

inconvénients :
o risque infectieux
o volume limité
o lésion possible du nerf sciatique
3) voie S/C

avantages :
o facile à réaliser
o permet les auto injections
o effet stable et prolongé

inconvénients :
o volume limité
o masse corporelle du patient peut intervenir dans la diffusion
IV. VOIE PERCUTANEE



Action locale et générale selon le traitement
Jamais d’effraction cutanée
Dispositifs trans-dermiques, passage systémique (patch, hormones)

Avantages :
o Pas de risque infectieux
o Diffusion continue et constante
o Pas de 1er passage hépatique
o Pas de risque d’irritation digestive

Inconvénients :
o Limité au niveau des molécules (lors d’effet général)
o Risque allergique à l’adhésif
o Pas une voie d’urgence
o Risque de décollement du patch
o Changer de place régulièrement
o Peau saine, et sans poils
o Eviter la chaleur, exposition soleil
o En cas de fièvre peut augmenter la diffusion
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
MORPHINE
Analgésiques morphiniques majeurs
Agoniste opioïde pur des récepteurs
 Horaire
De l’administration
 Voie d’administration
Comprimé, IV, sous cut

Surveillance de la voie d’administration
Bonne prise, respect prescription surveillance si iv perf

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Absence de douleurs

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Calme, détendue

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Constipations, nausées, vomissement, dépressions respi, sédation,
confusion mentale, vertiges, hypotension orthostatique,
Surveillance
bradycardie, augmentation de la pression intracrânienne, rétention
Des effets secondaires urinaire
Et/ou
Signes para cliniques
indésirables
Particularités
Précautions
Attention objets dangereux
MODULE PHARMACOLOGIE
La toxicité des médicaments
I. TOXICITE AIGUE

Surdosage
II. TOXICITE CHRONIQUE

Lors de prises répétés et prolongé
III. RISQUES TERATOGENES

Risque de malformation fœtale durant les 3 mois de grossesse
IV. RISQUE MUTAGENE

Le traitement provoque des mutations des caractères génétiques d’un individu
V. RISQUE CANCERIGENE

Le traitement soit fait apparaître ou accélère le risque de cancer
VI. PHARMACODEPENDENCE



VII.
Dépendance au traitement
Le patient peut en contrôler l’usage :
o Dépendance psychique
o Dépendance physique
Tolérance et accoutumance
EFFETS INDESIRABLES ET EFFETS IIaire

Effets indésirables :
o Effets non souhaité
o Développe + ou – rapidement (ex : allergie aux ATB)

Effets IIaire :
o Effets connus (ex : neuroleptiques donne des sécheresses buccale)
o Peut être utilisé à but thérapeutique
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
LASILIX
Furosémide
Diurétique hypokaliémiant (diurétique de l’anse)
Inhibe la réabsorption du sodium et du chlore (anse de Henlé)
 Horaire
Comprimé 20mg (1cp/j)
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
mictions d’urines
Baisse des oedèmes
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
 Résultat des examens para cliniques
Baisse de la TA
 Signes cliniques à dépister :
Déshydratation, hypovolémie,
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Hyponatrémie, hypotension orthostatique
Hypokaliémie (alcalose métabolique)
Elévation de l’urémie (crise de goutte)
Hyperglycémie
Respecter un intervalle de 2 heures entre les prises orales
Particularités
Précautions
MODULE PHARMACOLOGIE
La matériovigilence
I) LA SECURITE SANITAIRE EN FRANCE
A) Définition


La sécurité sanitaire est la sécurité des personnes contre le risque thérapeutique de
toute nature (choix thérapeutique, acte de prévention, actes diagnostiques, risques liés
à l'usage des produits de santé)
concerne les établissements de santé
B) Structures
1) Institut de veille sanitaire (IVS)
 Définition

Établissements de santé publique d'État (1998)
 Rôle




Détection de toute menace pour la santé publique et alerte des pouvoirs publics
rassemble, analyse, valorise toutes les connaissances qu'il y a sur les risques sanitaires
(cause, évolution)
participe au recueil et au traitement des données sur l'état de santé de la population
réalisé et appuie les enquêtes, études ou expertises sur sa mission de veille sanitaire
 Champ de compétence





Tous les domaines de la santé publique (maladie à déclaration obligatoire,
infectieuses)
risques de pollution
santé au travail (amiante)
maladies chroniques (diabète)
traumatisme (accident de la vie courante)
2) L’AFSSAPS (agence Française de sécurité sanitaire et des produits de santé)
 Définition


Se substitue à l'agence du médicament
garantit l'indépendance et la rigueur scientifique vis-à-vis des produits de santé
destinée à l'homme
 Rôle






Médicament
matières premières à l'usage des médicaments
les dispositifs médicaux
les produits biologiques (sanguins)
les produits cosmétiques
sous tutelle du ministère chargé de la santé
 Les différentes commissions


AMM : obligations pour toutes les spécialités pharmaceutiques avant
commercialisation. Accorde, refuse, retire ; sur dossier (étude pharmacologique,
toxicologiques, chimiques : rapport bénéfice/risque)
commission de transparence : appui notion bénéfice/risque. Fait la différence entre
le nouveau traitement et l'ancien traitement pour une même action, détermine le
remboursement
3) L’AFSSA (agence française de la sécurité sanitaire des aliments)
 Définition

Sous tutelle du ministère de la santé, de l'agriculture, de la consommation
 Mission



Évalue les risques nutritionnels et sanitaires (aliments pour l'homme et l'animal)
recherche et appuie scientifique (santé animale, maladies d'origine animale)
responsabilité dans les médicaments vétérinaires
4) L’AFSSE (agence Française de sécurité sanitaire environnementale)
 Définition


Créée en 2001
sous tutelle du ministère de la santé et de l'environnement
 Mission

Sécurité sanitaire dans l'environnement
5) Le CNSS (comité national de sécurité sanitaire)
 Définition

Présidé par le ministère de santé, réunit les directeurs de l’AFSSA, l’AFSSAPS et de
l'institut de veille sanitaire, la direction générale de santé, la direction des hôpitaux et
organisations des soins, les commissions de répression des fraudes.
 Rôle


Tire les conséquences des différentes crises
cherche une solution
II) LES VIGILANCES A L’HOPITAL
A) La pharmacovigilance
1) Définition et objet





A pour objet de surveiller le risque d'effets indésirables après utilisation d'un
médicament ou d'un produit à visage humain
effets indésirables : réactions nocives et n'ont voulu à un médicament utilisé à bonne
posologie
effets indésirables graves : met en danger la vie du patient
effet indésirable inattendu : effet non résumé sur la notice ou le Vidal
mésusage : utilisation non conformément aux recommandations du résumé du produit
(médicament avant les repas pris après)
2) Domaine où elle s'exerce







Toutes les préparations, les spécialités pharmaceutiques, les produits officinaux
divisés, etc.
insecticides et incaricides à usage humain
produits contraceptifs
produits pour lentilles de contact
dérivés sanguins, sérum
médicaments bénéficiant ATU
homéopathie
3) Exercice des différentes missions




Signalent les effets indésirables
enregistre, expertises les travaux d'étude d'un médicament
informent les professionnels de santé
mesure de suspension au retrait AMM
4) Déclaration obligatoire ou obligation de signalement


Tout prescripteur et ont constaté un effet inattendu aux graves doit le signaler ainsi
que le pharmacien aux professionnels de santé ainsi que les labos pharmaceutiques
dans les deux ans suivants l'AMM l'organisme doit signaler tout effet indésirable
constaté périodiquement
5) Organisation de la pharmacovigilance




AFSSAPS : recueil, détecte et valide les effets indésirables
répond aux demandes de renseignements des professionnels de santé
formation des professionnels de santé
collabore avec les autorités hospitalières
B) La matériovigilence
1) Définition et objet

S'intéresse à la prévention des risques liés à l'emploi de produits ou d'appareils qui
sont utilisés chez l'homme à des fins médicales, sécurité des équipements médicaux
(dispositifs médicaux)
2) Définition d'un dispositif médical

Tout instrument, appareils, équipements, matière, produit utilisé chez l'homme à des
fins médicales
3) La matériovigilence en milieu hospitalier


Surveillance des incidents ou des risques qui résultent de l'utilisation des dispositifs
médicaux par un patient
signalisation des problèmes à l'AFSSAPS
4) Organisation de la matériovigilence au niveau des établissements



Désignation de correspondants qui signalent les anomalies grâce à un formulaire à
l'AFSSAPS
surveillance de la stérilisation
organisation de la désinfection des dispositifs médicaux quand la stérilisation est
impossible
C) l'hémovigilence
1) Définition et objet



Commission et réglementation qui garantit la sécurité transfusionnelle
associer les professionnels de santé impliquée dans l'acte transfusionnel
ensemble des procédures de surveillance depuis la collecte de sang et de ses
composants jusqu'au suivi du receveur
2) Définition de la traçabilité



Permet un suivi et un historique (utilisation du produit, localisation, étapes de
fabrication)
permet les enquêtes ascendantes et descendantes
permet la localisation du produit
3) Rôle du laboratoire






Dossier de lots
permet d'identifier les dons (respect de l'anonymat)
identification du médicament (numéro du lot)
mention médicaments dérivée du sang
suivi du médicament : trois étiquettes détachables (emballage, deux sur le
conditionnement primaire)
distribution du produit
4) Rôle du pharmacien hospitalier




Réception du produit
dispensation du produit (sur prescription médicale)
répertorie les produits dans un registre (étiquette emballage extérieure)
bordereau donné au service de soins pour retours et archives (40 ans)
5) L'agence française du sang





Définit les orientations de l'hémovigilence
veille aux procédures de surveillance
saisies autorités si nécessaires
anime et coordonne les actions des intervenants de l'hémovigilence
prendra toutes les mesures à la sécurité d'une transfusion
6) Le correspondant d'hémovigilence

Chaque établissement désigne son correspondant qui doit :
o signaler les effets inattendus et indésirables
o conserver les informations des produits
o communiquer avec l'AFSSAPS
o prendre les mesures d'urgence sur les effets de produits
o être médecin au pharmacien
D) La biovigilance
1) Définition et objet




Relatif aux dons et aux éléments relatifs au corps humain
respect du corps humain lors de prélèvements d'organes
consentement préalable du donneur
autorisation avant prélèvement
E) La toxicovigilence


Surveillance des effets toxiques sur l'homme d'un produit
pollution, intoxication
F) La réactovigilence

Signalisation d'une défaillance d'un dispositif médical de diagnostic in vitro
G) La cosmétovigilence

Non officialisé dans les textes, concerne les dermatologues et les allergologues
MODULE PHARMACOLOGIE
Posologie des médicaments
I. DEFINITION


Doses auxquelles doit être administré le médicament
Selon :
o Nature du principe actif
o Voie d’administration
o Facteurs inhérents aux patients :
 Age, poids
 Caractéristiques physiologiques
 Pathologie
II. DETERMINATION

Pharmacopée selon 4 catégories :
o 0 et 1 mois posologie du nouveau né
o 1 à 30 mois posologie du nourrisson
o 30 mois à 15 ans posologie de l’enfant
o > 15 ans posologie de l’adulte
III. TABLEAUX DE POSOLOGIE


Doses usuelles
Doses maximales (à ne pas dépasser)
IV. EXPRESSION DE LA POSOLOGIE




Nom du médicament
Dosage
Forme du médicament
Fréquence des prises
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
ASPIRINE
ASPEGIC
Acide acétylsalicylique
ASPIRINE
Analgésique, antipyrétique, anti-inflammatoire, anti agrégeant
plaquettaire
 Horaire
De l’administration
En 1 prise si action anti agrégeant plaquettaire
1 sachet de 500mg/6heures max de 6/jours
 Voie d’administration
Per-os poudre pour solution buvable (sachet), IV
Boire immédiatement après dissolution complète dans un grand
verre d’eau, lait, soda, jus de fruit
 Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Si antalgique = ↓ douleur, si antipyrétique = ↓ fièvre
Si anti-inflammatoire = ↓ douleur, ↓ chaleur, ↓ rougeur et œdème
Si anti agrégeant = ↓ signes de phlébites (rougeur, chaleur,
induration)
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
Patient moins asthénique

Résultat des examens para cliniques
Baisse de la température
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
 Signes cliniques à dépister :
Acouphène, céphalée (signe de surdosage)
Epixtasis, purpura, gingivorragies, douleurs abdominales
Risque hémorragique, risque d’ulcère gastrique

Signes para cliniques
Ulcéra gastrique, hémorragie digestive patente (méléna)
Anémie, hematemése, augmentation du temps de saignement
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Femmes enceinte > 5 mois contre indiqué
Allaitement CI
Avant 5 mois de grossesse prise sous prescription médicale
< 150mg/j
Ne pas donner aux hémophiles, attention patientes porteuses de
stérilet (inhibes action stérilet), ↕ 7jours avant bloc opératoire
ATROVENT
Ipratropium bromure
Bronchodilatateur (anticholinergique, antiasthmatique)
Inhibe l’augmentation du tonus des bronches et la
bronchoconstriction, inhibe les récepteurs des muscles lisses
 Horaire
Solution à 0,50 mg/2 ml ou 0,50mg/1ml
unidose
 Voie d’administration
Orale (nébulisateur)
 Surveillance de la voie d’administration
Présence d’un brouillard
a diluer avec sérum pour obtenir 5 ml
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la dyspnée
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
 Résultat des examens para cliniques
Gaz du sang
 Signes cliniques à dépister :
Bouche sèche, irritation pharyngée
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Surveillance

Signes para cliniques
boire de l’eau après l’aérosol
ANTIBIOTIQUE
AUGMENTIN
Amoxicilline
BETALACTAMINE
Antibactérien
 Horaire
2g/j en 2 prises
ou 3g/j en 3 prises
au début des repas
 Voie d’administration
Comprimé, IV, poudre suspension buvable (sachet)

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
De l’efficacité
Efficacité locale :
Surveillance du lieu de la présence de signes inflammatoire
Chaleur, douleur, rougeur, œdème (induration)
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Efficacité générale :
Baisse T°, ↓ sueurs, ↓ frissons, ↓ malaise, ↓ douleur
 Résultat des examens para cliniques
VS, NFS (↓ GB), CRP, bactériologie
 Signes cliniques à dépister :
Nausées, vomissement, diarrhée, douleurs abdominales
Risque allergique : éruption cutanée, œdème de Quincke
Choc anaphylactique
Surveillance
Des effets secondaires Fièvre aux ATB
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Particularités
Précautions
Ne fait effet qu’au bout de 48 à 72 heures
Ne pas donner en cas de grossesse et d’allaitement
antibiotique
BACTRIM
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants Sulfamétholazole + triméthopriane
Classe (groupe ou
sulfamides
famille si besoin)
Mode d’action
 Horaire
1h30 x 3/24heures
Surveillance
De l’administration
Surveillance
De l’efficacité
 Voie d’administration
voie IV, toujours dans un glucosé isotonique à 5%
sirop et comprimé au cours des repas
 Surveillance de la voie d’administration
Surveillance d’une extravasation (retour veineux)
Surveillance du point de ponction (inflammation : d, c, r, t)
Dates péremptions, prescription, débit ?
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la température, pouls, fréquence respiratoire
Selon la diminution des signes cliniques pour lesquels le traitement
est instauré

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie, baisse de la température

Résultat des examens para cliniques
Baisse de la VS, de la CRP, NFS (taux de GB)
Selon les examens de la pathologie
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
 Signes cliniques à dépister :
Troubles digestifs (nausées, vomissements, brûlures d’estomac)
Réactions cutanées allergiques (œdème de Quincke, choc
anaphylactique)

Signes para cliniques
Contrôle bilan hépatique et rénal (urée, créat)
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Présence d’alcool dans les ampoules IV
Présence de saccharose dans les comprimés (diabétiques)
BRICANYL
Terbutaline
Bronchodilatateur (béta2 stimulant)
Bronchodilatation des muscles lisses
 Horaire
Unidoses 2ml nébulisateur

orale
Voie d’administration
 Surveillance de la voie d’administration
Présence d’un brouillard
diluer dans sérum pour obtenir 4 à 5 ml
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Moins dyspnée
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie

Résultat des examens para cliniques
Gaz du sang
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
 Signes cliniques à dépister :
Nervosité, tremblements des extrémités, céphalées, vertiges,
palpitations, tachycardie sinusale
Crampes musculaires

Signes para cliniques
Sous surveillance médicale avec abord veineux
BETADINE solution gynécologique
Polyvidone iodée
Antiseptique, bactéricide
Antiseptique à large spectre, antifungique
 Horaire
1 à 3 applications / jours
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Locale (interne ou externe)
Badigeonnage infection vaginale
 Surveillance de la voie d’administration
Surface propre et sèche

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
En fonction de la posologie

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Température si surinfection

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
 Signes cliniques à dépister :
Des effets secondaires
Et/ou
Réactions allergiques +++
indésirables

Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Signes para cliniques
Attention allergie à l’iode
Attention femme enceinte
Attention à ne pas mélanger avec le savon, bien rincer avant
Attention à ne pas mélanger avec un autre antiseptique (autre que
iodée) même sur une autre surface du corps
CARDIO SOLUPSAN
Carbasalate calcique
Aspirine (antiagrégant plaquettaire)
Analgésique, antipyrétique, anti-inflammatoire et anti agrégant
plaquettaire
 Horaire
Sachet 160mg (1 prise quotidienne sans dépasser 350mg/j)
 Voie d’administration
Per-os
 Surveillance de la voie d’administration
En mangeant
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la douleur
Pas de signes IDM

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
 Résultat des examens para cliniques
troponines
CPKMB
myoglobine
 Signes cliniques à dépister :
Allergie : éruptions cutanées, crise d’asthme, choc anaphylactique
Fièvre, angine, ulcération buccale
Surveillance
Des effets secondaires Risque hémorragique : gingivorragies, digestive, ulcère
céphalées
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
TCA, TP, NFS
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
ANTIBIOTIQUE
CIFLOX
Ciprofloxacine
FLUOROQUINOLONES
bactéricide
 Horaire
250 mg, 500mg, 750 mg
2 prises Matin et Soir au milieu du repas
 Voie d’administration
Comprimé, IV

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Efficacité locale :
Surveillance du lieu de la présence de signes inflammatoire
Chaleur, douleur, rougeur, œdème (induration)
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Efficacité générale :
Baisse T°, ↓ sueurs, ↓ frissons, ↓ malaise, ↓ douleur
 Résultat des examens para cliniques
VS, NFS (↓ GB), CRP, bactériologie
 Signes cliniques à dépister :
Nausées, vomissement, diarrhée, douleurs abdominales
Risque allergique : éruption cutanée, œdème de Quincke
Choc anaphylactique
Surveillance
Des effets secondaires Fièvre aux ATB, céphalées, endormissement
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Particularités
Précautions
Ne fait effet qu’au bout de 48 à 72 heures
Ne pas donner en cas de grossesse et d’allaitement
Eviter l’exposition au soleil (photosensible)
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
cordarone
amiodarone
antiarythmique
Ralenti la conduction sino-auriculaire, auriculaire et nodale, effet
bradycardisant modéré
 Horaire
2 cp/24heures
Surveillance
De l’administration

orale
Voie d’administration

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse dyspnée

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité

ECG
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Photosensibilisation, dépôts cornéens
hypothyroïdie

Signes para cliniques
Particularités
Précautions
Antidépresseurs sérotoninergiques
DEROXAT
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants paroxétine
Classe (groupe ou
Antidépresseurs sérotoninergiques
famille si besoin)
Mode d’action
Psychotropes thymoanaleptiques (stimulant de l’humeur
susceptibles de corriger la tristesse pathologique qui définit la
dépression)
 Horaire
1cp/jour le matin au repas
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Per-os ou susp buvables

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Signes d’amélioration de la pathologie
Absence d’idées suicidaires
Humeur stable
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Nausées, vomissement, somnolence, insomnie, asthénie,
tremblements, céphalées, impuissance, troubles de l’éjaculation,
Surveillance
Des effets secondaires sécheresse buccale, hypersudation
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Risque de levée d’inhibition chez les patients suicidaires
Syndrome de sevrage
Ne pas associer avec IMAO
DIFFU K
Chlorure de potassium
Potassium
Traitement des hypokaliémies
 Horaire
Gel de 8mmol à libération prolongée (1gél/j)
 Voie d’administration
Per-os
 Surveillance de la voie d’administration
Après le repas
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Pas de crampes

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
 Résultat des examens para cliniques
Pas d’hypokaliémie
 Signes cliniques à dépister :
Nausées, gastralgies, vomissements, diarrhées
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Hyperkaliémie par surdosage
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Digoxine
digitaliques
Tonicardiaques ou agents inotropes
Ralenti la fréquence cardiaque et la conduction auriculoventriculaire, augmente l’excitabilité myocardique
 Horaire
½ ampoule
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
IV lente
 Surveillance de la voie d’administration
Calcul de dose débit goutte, extravasation, signes d’inflammation
Surveillance

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
De l’efficacité
Diminution du pouls
Baisse de la volémie

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse dyspnée

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Eruption cutanée allergique, purpura, thrombopénie
surdosage : troubles digestifs (nausées, anorexie, vomissement) ;
neurosensoriel (vertiges, céphalées, vision colorée en jaune)
Surveillance
Des effets secondaires ECG
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Surdosage (digoxinémie)
Kaliémie, créatininémie, bilan hépatique et rénal
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
FLUIDIFIANT BRONCHIQUE
EXOMUC
Acetylcystéine
mucolytique
 Horaire
1 prise x3/jours en milieu de repas
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Comprimé effervescent
Granulé pour solution buvable
 Surveillance de la voie d’administration

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Délais d’action environ 24 heures
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance des sécrétions bronchiques (moins épaisses)
Bon expectoration, coloration de la peau et muqueuses
↓ signes d’essoufflement, dyspnée
 Résultat des examens para cliniques
Radio de thorax
Stéthoscope = pas d’encombrement
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
 Signes cliniques à dépister :
Douleurs gastriques
Nausées, diarrhée
Attention si atcd d’ulcère

Signes para cliniques
Ne jamais donner d’anti-tussif (risque de noyer les poumons)
HEPARINE SODIQUE
Héparinate de sodium
Anticoagulant, héparine non fractionnée
Inhibiteur de la coagulation
 Horaire
Ampoules1ml=2500UI, 1ml=5000UI, 2ml=10000UI
Flacon de 5ml=25000UI
Bolus IV ou perfusion ou SAP
 Voie d’administration
IV
 Surveillance de la voie d’administration
Retour veineux, rougeur, chaleur, douleur, induration
Calcul de dose
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la douleur
Augmentation de la TA
Augmentation du pouls
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie

Résultat des examens para cliniques
ECG
coronarographie
échographie cardiaque
 Signes cliniques à dépister :
Risque hémorragique, éruptions cutanées
Risque d’hématomes
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Hyperkaliémie, élévation des transaminases
thrombopénie
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Bilan préalable : TCA, temps de Quick, NFS, plaquettes
Surveillance en cours de traitement : TCA, plaquettes
HYPNOVEL
midazolam
benzodiazépine
Anxiolytique myorelaxant anticonvulsivant sédatif et hypnotique
 Horaire
Ampoule 5ml dosé à 5mg
 Voie d’administration
sublinguale

Surveillance de la voie d’administration
(0.05x75=3,75)=3,75ml
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Patient plus calme
décontracté

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
 Signes cliniques à dépister :
Des effets secondaires Somnolence résiduelle
Et/ou
Risque d’accoutumance et de dépendance
indésirables
Troubles du comportement (agitation)

Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Signes para cliniques
Arrêter progressivement
Pas d’alcool
INNOHEP
Tinzaparine sodique
Anticoagulants, héparine de bas poids molléculaire
Anticoagulante 12heures et antithrombique 18 heures
 Horaire
Seringue 0,25 = 2500UI ; 0,35 ; 0,45 ; 0,50=10000UI
175 UI/kg/24 heures
 Voie d’administration
Sous cutanés
 Surveillance de la voie d’administration
Œdème
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Absence de phlébite
Absence de thrombose

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
 Résultat des examens para cliniques
Echo doppler de MI
Doppler artériel
 Signes cliniques à dépister :
Hématome au point de ponction, réaction allergique
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
thrombopénie
Particularités
Evaluer la fonction rénale avant traitement
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Plaquettes avant traitement et durant le traitement
Kaleorid
Chlorure de potassium
potassium
Rôle dans la polarisation membranaire, activité neuromusculaire,
automatisme cardiaque, réactions enzymatiques
 Horaire
2 grammes / 24 heures
Surveillance
De l’administration

Voie d’administration
Per-os
 Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
Ionogramme sanguin
 Signes cliniques à dépister :
Nausées, gastralgies, vomissement, diarrhées
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
 Signes para cliniques
kaliémie
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
KARDEGIC
Acétylsalicylate de lysine
Aspirine (antiagrégant plaquettaire)
Analgésique périphériques et antiagrégant plaquettaire
 Horaire
Sachet de 75, 160, 300mg en 1 prise
Flacon de 5ml=500mg (1 à 3 min) de 250 à 500mg
 Voie d’administration
Per-os ou IV
 Surveillance de la voie d’administration
IV : retour veineux, rougeur, douleur, induration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la douleur
Augmentation de la TA
Augmentation du pouls

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
 Résultat des examens para cliniques
Coronarographie
ECG
Echographie cardiaque
 Signes cliniques à dépister :
Allergie : éruptions cutanées, crise d’asthme, choc anaphylactique
Fièvre, angine, ulcérations buccales (arrêt traitement immédiat)
Surveillance
Des effets secondaires
 Signes para cliniques
Et/ou
TCA, TP, NFS
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Coloration rose/rouge des urines
Incompatibilité avec le SPASFON
antibiotique
KEFANDOL
céfamandazol
Céphalosporines de 2èmes génération
Antibioprophylaxie, antistaphyloccocique anti-anaérobie
 Horaire
1,5g dans 100ml de SGI en 1 heure

Voie d’administration
IV
 Surveillance de la voie d’administration
Retour veineux, inflammation, extravasation
33gouttes/min par défaut

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Pas de température
Pas d’infection

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques à dépister :
Réactions allergiques, urticaire, éruptions cutanée, oedème de
Quincke, choc anaphylactique
Troubles digestifs : diarrhée, nausées, vomissement,
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
leucopénie
thrombopénie
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
LEXOMIL
Bromazepam
Benzodiazépine
Anxiolytique, myorelaxante, anticonvulsivant, sédatif, hypnotique à
forte dose
 Horaire
Comprimé de 6 mg
3 à 12mg/j en 1 à 3 prises
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de l’anxiété
Baisse des insomnies
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Somnolence, difficulté de concentration, hypotonie, sensations
ébrieuse
Surveillance
Risque de dépendance physique et psychique
Des effets secondaires
Surdosage : dépression respiratoire
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Particularités
Précautions
Attention aux insuffisant hépatique ou rénale
antituberculeux
MYANBUTOL ou DEXAMBUTOL
Ethambutol
Antituberculeux
antibiotique
bactériostatique
 Horaire
Le matin en comprimé
600 mg/24 heures dans 250 ml de SGI en 3 heures vers 8 heures
6 ml dans le 250, 10ml = 1000mg
Surveillance
 Voie d’administration
De l’administration IV dans un glucosé, per-os = cps 250 à 500 mg
 Surveillance de la voie d’administration
Extravasation (retour veineux), inflammation du point de ponction,
Débit de la perfusion : 28 gts/min ou débitmètre 83
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des sueurs nocturnes
Baisse de la température
Baisse du syndrome inflammatoire
Baisse de la dyspnée
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
Prise de poids, augmentation de l’appétit
 Résultat des examens para cliniques
Amélioration de l’image radiologie
Absence de BK dans les crachats
 Signes cliniques à dépister :
Troubles oculaires = névrite
Nausées, vomissements, anorexie
Allergie (éruptions cutanée, œdème de Quincke)
Surveillance
Des effets secondaires Rash cutané
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Leucopénie, hyper uricémie
Uricémie (risque de crise de gouttes)
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Faire un bilan de la fonction rénale avant la mise en route (clairance
de la créatinine)
Examen ophtalmologique avant traitement
NITRIDERM
Trinitrine percutanée
Dérivé nitré
Vasodilatateur veineux (baisse les besoins O² du myocarde)
traitement préventif des crises d’angor
 Horaire
Patch de 5 mg adhésif (1/24heures)
 Voie d’administration
percutanée
 Surveillance de la voie d’administration
Rougeur locale, allergie locoïdes
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse HTA

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
 Signes cliniques à dépister :
Céphalées, bouffées vasomotrices, nausées, vomissements
Hypotension orthostatique

Signes para cliniques
Majoration possible de l’hypotension avec l’alcool, les
antihypertenseurs, les diurétiques, le vasodilatateur
OFLOCET ou OFLOXACINE
Ofloxacine
Quinolones de 2ème génération ou fluoroquinolones
Antibactérien
 Horaire
Comprimé 200mg 2 prises quotidiennes
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des expectorations purulentes
Baisse de la dyspnée
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
 Résultat des examens para cliniques
radiologie
 Signes cliniques à dépister :
Arthro-myalgie et/ou tendinopathies achiléennes
Surveillance
Photosensibilisation, nausées, douleurs gastro-intestinales
Des effets secondaires
Vomissement, diarrhée
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Risque lésion des cartilages de conjugaison de l’enfant
DUROGESIC*
FENTANYL STUPEFIANT
Analgésique morphinomimétique
Dispositif transdermique
 Horaire
Reste en place 72h (libération prolongée)
 Voie d’administration
Pansement adhésif appliqué sur peau à un endroit propre, sec et non
pileux, non irrité, non irradié
Appliquer immédiatement après ouverture
 Surveillance de la voie d’administration
Peau non lésée

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Absence de douleurs (EVA ou mimiques, ou comportement)

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques à dépister :
Risque respiratoire (très rares)
Vertiges, somnolence, nausées
Surveillance
Des effets secondaires Cordon colique
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Particularités
Précautions
Noter la date de la pose sur le patch
A mettre avec des gants, ne peut pas être coupé
Attention : stupéfiant (nominatif) ne pas jeter le patch après
utilisation
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
NITRIDERM*; EMLAPATCH* ; NICOTIONELL TTS*
 Horaire
En discontinu (12h)
EMLA (1h avant action)
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Transdermique : pansement adhésif appliqué sur la peau à un
endroit propre, sec et non pileux
Changer de localisation chaque jour
 Surveillance de la voie d’administration
Respecter la durée de l’application
Si pansement décollé, ne pas le recoller mais en poser un nouveau
Peau non lésée
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Selon principe actif du patch

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
 Signes cliniques à dépister :
Selon principe actif du patch
Lésion cutanée

Signes para cliniques
Selon protocole de service : mettre des gants ou lavage des mains
après la pose du patch
Attention lors de la manipulation : ne pas mettre les doigts sur le
principe actif
previscan
Dérivés de l’indane-dione
Anticoagulant : antivitamine K
Mode d’action
Action différée, inhibe les facteurs de la coagulation vitamine K,
inhibe la synthèse des protéines C et S
 Horaire
½ cp / jour
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Pas de thrombose

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques à dépister :
Diarrhées, asthénie, éruptions cutanées, fièvre,
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
 Signes para cliniques
Risque hémorragique (INR)
TCA
Bilan préalable : NFS, créatininémie, bilan hépatique, TCA, TP,
Protéine C
antituberculeux
RIFADINE
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants rifampicine
Classe (groupe ou
Antituberculeux
famille si besoin)
antibactérien
Bactéricide à diffusion intra et extra cellulaire contre mycobactéries
Mode d’action
 Horaire
le matin pour la forme orale
300 mg/24 heures dans 250 ml de SGI en 3 heures (vers 16heures)
Surveillance
De l’administration ½ ampoule de 600mg
 d’administration
IV dans un glucosé 250 ml, orale : suspension buvable ou gélule
 Surveillance de la voie d’administration
Extravasation (retour veineux), inflammation du point de ponction,
Débit goutte minute : 28 gouttes/min ou débitmètre 83
orale : matin à distance des repas
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la température
Baisse du syndrome inflammatoire
Baisse de la dyspnée
Disparition des sueurs nocturnes
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
Prise de poids et augmentation de l’appétit
 Résultat des examens para cliniques
Amélioration de l’image radiologie
Absence de BK dans les crachats
 Signes cliniques à dépister :
Nausées, vomissements
Risque allergique (éruptions cutanée, oedéme de Quincke)
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Thrombopénie ; hépatotoxicité (survei : transaminases)
leucopénie
anémie
Particularités
Précautions
Coloration orangée des urines
Surveillance NFS et bilan hépatique et rénal le 8ème et 30ème jour
Ne pas associé aux contraceptifs oraux
Baisse l’efficacité du Ritanovir (contre VIH)
Baisse l’efficacité des anticoagulants oraux
Antituberculeux comprenant isoniazide rifampicine pyrazinamide
RIFATER
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
Isoniazide avec autres antituberculeux
famille si besoin)
bactéricide
Mode d’action
 Horaire
6 comprimes par jours
Surveillance
De l’administration
en 1 prise par jour à jeun (le matin)
 Voie d’administration
orale

Surveillance
De l’efficacité
Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des sueurs nocturnes
Baisse de la température
Baisse du syndrome inflammatoire
Baisse de la dyspnée
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
Prise de poids, augmentation de l’appétit
 Résultat des examens para cliniques
Amélioration de l’image radiologie
Absence de BK dans les crachats
 Signes cliniques à dépister :
Allergie (éruptions cutanées, oedème de Quincke)
Névrites optiques
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Hépatotoxicité (transaminases)
anémie
Particularités
Précautions
Bilan hépatique préalable puis hebdomadaire 1er mois puis mensuel
Allaitement à éviter
Déconseillé lors de grossesses
antituberculeux
RIMIFON
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants isoniazide
Classe (groupe ou
Antituberculeux
famille si besoin)
antibiotique
Bactéricide actif sur les mycobactéries
Mode d’action
 Horaire
150 mg/24 heures dans perfusion 250 ml SGI sur 3 heures
5 ml = 500 mg d’où 1,5 ml
le matin en comprimé
 Voie d’administration
Surveillance
IV, per-os : comprimés de 50 et 10mg, IM
De l’administration
 Surveillance de la voie d’administration
Extravasation (retour veineux), inflammation du point de ponction,
débit de la perfusion : 28gouttes/min ou débitmètre 83
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des sueurs nocturnes
Baisse de la température
Baisse du syndrome inflammatoire
Baisse de la dyspnée
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
Prise de poids
 Résultat des examens para cliniques
Amélioration de l’image radiologie
Absence de BK dans les crachats

Signes cliniques à dépister :
Des effets secondaires Allergie (éruptions cutanées, oedéme de quinck)
Névrites optiques
Et/ou
Troubles psychiques : hyperactivité, euphorie
indésirables
Troubles digestifs : nausées, vomissements
 Signes para cliniques
Hépatotoxique (transaminases)
anémie
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Bilan hépatique préalable puis hebdomadaire 1er mois puis mensuel
Allaitement à éviter
Déconseillé lors de grossesses
! avec rifampicine = neurotoxicité
(paresthésies distales d’où prescription de Vit B6)
RISORDAN
Isosorbide dinitrate
Dérivé nitré
Vasodilatateur à prédominance veineuse
 Horaire
Ampoule 10ml = 10mg
Perfusion continue 2 à 15 mg/heure

Voie d’administration
IV
 Surveillance de la voie d’administration
Retour veineux, syndrome inflammatoire (douleur, chaleur, rougeur
Induration) calcul de dose
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des douleurs
TA normale
Normalisation du pouls
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
 Résultat des examens para cliniques
ECG normal
Gaz du sang
 Signes cliniques à dépister :
Céphalées, bouffées vasomotrices, vasodilatation cutanée avec
Surveillance
érythème, hypotension
Des effets secondaires
Surdosage : cyanose, hypovolémie
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Dosage de la méthémoglobine (si cyanose)
Particularités
Précautions
Antidépresseurs sérotoninergiques purs
SEROPRAM
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants citalopram
Classe (groupe ou
Antidépresseurs sérotoninergiques purs
famille si besoin)
Psychotropes thymoanaleptiques (stimulant de l’humeur
Mode d’action
susceptibles de corriger la tristesse pathologique qui définit la
dépression)
 Horaire
20 mg/jour dans 250 ml de SGI 5% en 2 heures puis relais per-os à
J9
 Voie d’administration
Surveillance
Per-os, injectable
De l’administration
 Surveillance de la voie d’administration
Si injectable (inflammation, retour veineux, extravasation, calcul
doses)

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Amélioration des signes de la dépression

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques à dépister :
Céphalées, nausées, diarrhée, troubles de l’éjaculation, insomnie
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions

Signes para cliniques
Risque de levée de l’inhibition (suicide)
Ne pas associer avec les IMAO
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
SOLUMEDROL
methylprednison
Corticoïde de synthèse
Antiiflammatoire, antiallergique, immunodepresseur à forte dose
 Horaire
Flacon de 20, 40, 120,500 mg
 Voie d’administration
IV ou IM
 Surveillance de la voie d’administration
Retour veineux, syndrome inflammatoire (chaleur, rougeur, douleur
Induration) calcul de dose
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la température
Baisse de la dyspnée
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
 Résultat des examens para cliniques
CRP, VS, NFS (blancs)
 Signes cliniques à dépister :
Trouble métabolique : rétention hydrosodée
Troubles digestifs : ulcère
Trouble psychique : euphorie, excitation, insomnie, état maniaque
Surveillance
Des effets secondaires Réveil des infections, manifestations cutanées
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
hypokaliémie
hyperglycémiant
Particularités
Précautions
Prise de poids
HTA
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
TAHOR
Atorvastatine
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Hypolipémiant (inhibiteur de l’HMG-CoA réductase)
Hypocholestérolémiant
 Horaire
Comprimés de 10, 20, 40,80mg
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de poids
Moins de masse graisseuse
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Se mobilise mieux
Moins fatigué à l’effort
 Résultat des examens para cliniques
Baisse du cholestérol
 Signes cliniques à dépister :
Troubles digestifs : constipation, nausées, crampes gastrointestinales, flatulences, diarrhée
Myopathie avec myalgies
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Elévation des CPK
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveiller les transaminases
Examen ophtalmologique avant
Risque de rhabdomyolyse (antiprotéases, délavirdine, antifongiques
azotés, acide nicotique
Pas de jus de pamplemousse
TENORMINE
Aténolol
Béta-bloquant cardio-sélectif hydrosoluble
Dépression nœud sinusal, baisse conduction du nœud d’aschoff
tawara, baisse de la contractilité myocardique (baisse travail VG,
réduction du débit cardiaque, baisse consommation en O² du
myocarde) antihypertenseur
Surveillance
De l’administration
 Horaire
Comprimé en 1 prise le matin et soir
50 mg
ampoule de 10ml=5mg (1mg/min sous ECG)
 Voie d’administration
Per-os et IV lente
 Surveillance de la voie d’administration
Retour veineux, rougeur, douleurs, induration, chaleur
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la fréquence cardiaque
Baisse de la TA
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
Baisse de la douleur
 Résultat des examens para cliniques
Augmentation de sa SaO² et PaO²
ECG normal
 Signes cliniques à dépister :
Asthénie, bradycardie
Chute de la TA, insuffisance cardiaque, crise d’asthme
Eruptions cutanées, syndrome de Reynaud
Surveillance
Des effets secondaires Paresthésie des extrémités
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
hypoglycémie
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Ne pas arrêter le traitement brutalement (1 à 2 semaines) car risque
trouble de rythme
Arrêt 48 heures avant bloc opératoire
TRENTADIL
Bamifylline
Bronchodilatateurs : méthylxanthines ou bases xanthiques
Relaxation des muscles lisses bronchiques et du diaphragme
 Horaire
Comprimé 300mg (2cps matin et soir)
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la dyspnée

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie
 Résultat des examens para cliniques
Gaz du sang (augmentation SaO², PaO²)
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
 Signes cliniques à dépister :
Excitabilité, nervosité, pesanteur gastrique
Forte dose : tachycardie, nausées, vomissement, gastralgies,
diarrhée, céphalée, tremblements

Signes para cliniques
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
TRIATEC
Ramipril
Inhibiteur de l’enzyme de conversion
Antihypertensive et vasodilatatrice (réduction de la pré-charge et de
la post-charge avec augmentation de l’index cardiaque chez l’insuf
cardiaque)
 Horaire
Gélules 1,25 ; 2,5 ; 5 ; 10mg
 Voie d’administration
Per-os
 Surveillance de la voie d’administration
A dose progressive
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de la TA

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Toux séches persistantes, éruptions cutanée,
Risque hypotension brutale et/ou insuf rénale, asthénie,
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Elévation de la créatininémie, des transaminases
Elévation kaliémie
NFS, protéinurie
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Préalable diurétique et régime hypo-sodé
antirétroviral
VIDEX
didanosine
Inhibiteur de la reverse transcriptase (transcriptase inverse)
 Horaire
1 le soir 30 minutes avant le repas
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Orale en gélule gastrorésistante

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des infections opportunistes
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Diminution de l’asthénie

Résultat des examens para cliniques
Baisse de la charge virale
Augmentation du nombre de CD4
 Signes cliniques à dépister :
Atteintes du pancréas, du foie, des nerfs périphériques
Troubles digestifs, sécheresse de bouche, fatigue, maux de tête
Atteintes ophtalmologiques
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Fonction hépatique, triglycérides
Anomalies hématologiques (modification de la formule sanguine)
Augmentation de l’acide urique
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
antirétroviral
VIRACEPT
antirétroviral
nelfinavir
Inhibiteur de protéase
 Horaire
5 matin, 5 soir lors des repas
Surveillance
De l’administration

Voie d’administration
Orale : comprimés
 Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse des infections opportunistes

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie

Résultat des examens para cliniques
Baisse de la charge virale
Augmentation du taux de CD4
Surveillance
 Signes cliniques à dépister :
Des effets secondaires Troubles digestifs, éruptions cutanées, réactions allergiques
Et/ou
indésirables
Une lipodystrophie (redistribution de la masse grasse corporelle)

Signes para cliniques
Augmentation des CPK (enzymes cardiaques)
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Psychotrope
XANAX
Alprazolam
Benzodiazépines
Anxiolytique myorelaxant anticonvulsivant sédatif et hypnotique
 Horaire
½ au coucher
 Voie d’administration
Per-os comprimés 0,25 et 0,50 mg

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Baisse de l’anxiété
Baisse des insomnies
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Baisse de l’asthénie

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Somnolence, difficultés de concentration, hypotonie, sensations
ébrieuses
Risque de dépendance physique et psychique à forte dose
Surveillance
Des effets secondaires Risque de surdosage
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Particularités
Attention aux conducteurs et utilisateurs de machines
Précautions
Attention pour la PA en cas d’insuffisance hépatique ou rénale
antirétroviral
ZERIT
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
stavudine
famille si besoin)
Inhibiteur de la reverse transcriptase (transcriptase inverse)
Mode d’action
 Horaire
1 matin et 1 soir
Surveillance
De l’administration

Voie d’administration
gélules
 Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
moins de maladies opportunistes

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Patient moins asthénique
 Résultat des examens para cliniques
Baisse de la charge virale
Augmentation du taux de CD4
 Signes cliniques à dépister :
Atteinte des nerfs périphériques, du foie ou pancréas
Fièvre, maux de tête, troubles digestifs, douleurs abdominales
douleurs musculaires, articulaires, dorsales
Surveillance
Des effets secondaires réactions allergiques, éruptions cutanées (douleurs, vomissement,
diarrhée)
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Fonction hépatique
Particularités
Précautions
A prendre à jeun 1 heure avant le repas ou repas léger
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
anti herpétique
ZOVIRAX
aciclovir
antiviral
Inhibiteur des herpes virus
 Horaire
4cp/j à intervalle régulier
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Orale en comprimé (existe en IV et crème, et lotions)
 Surveillance de la voie d’administration
Point de ponction (inflammation = douleur, chaleur, rougeur,
induration), attention aux extravasations (retour veineux)
Dates de péremptions, débit, prescription

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Selon l’évolution de la maladie opportuniste
Baisse du prurit, baisse des douleurs et de l’atteinte cutanée
Disparition des vésicules, diminution des brûlures

Surveillance
De l’efficacité
Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Douleurs, température

Résultat des examens para cliniques
Cultures négatives

Signes cliniques à dépister :
Rares réactions allergiques cutanées
Surveillance
Parfois troubles digestifs, maux de tête, fatigue
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Surveiller la fonction rénale (urée, créat)
Hypernatrémie en cas de perfusion trop rapide
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
Cristallisation en cas de mélange, conserver à l’abri de la lumière ne
pas réfrigérée, garder à température ambiante
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration

Horaire

Voie d’administration

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques

Signes cliniques à dépister :

Signes para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
MODULE PHARMACOLOGIE
Législation pharmaceutique
I) DEFINITION DU MEDICAMENT

Article L. 511 du code de la santé publique
A) Préparations magistrales

Médicament préparé au moment du besoin (extemporanément) pour un patient donné
et un praticien donné
B) Préparations hospitalières



Préparé sur prescription médicale, quand on n’a pas de médicaments adaptés aux
besoins
préparé par la pharmacie à usage intérieur (PUI)
peut être destiné à plusieurs patients
C) Préparation officinale

Formule à la pharmacopée, peut être préparé à l'avance
D) Le produit officinal divisé (POD)


Formule à la pharmacopée (exemple : suppositoire à la glycérine) mais peut être
fabriqué dans un laboratoire à grande échelle
peut-être aussi un produit chimique (talc)
E) Spécialités pharmaceutiques

Médicament préparé à l'avance, avec son nom spécifique (DOLIPRANE*),
présentation spécifique (conditionnement)
F) Médicaments immunologiques

Vaccins, allergènes
G) Médicaments radiopharmaceutiques


Contient des isotopes radioactifs « radionucléides »
traitement en curatifs ou diagnostique
H) Les générateurs

Produit qui contient un radionucléide parent après réaction chimique radionucléides
filiatif
I) Trousse

Préparation qui reconstitués ou recombiné avec des radionucléides et qu'il a formé un
produit radiopharmaceutique finale
J) Précurseur

Tous autres radionucléides non évoqués produits pour faire un marquage radioactif
d'une autre substance
K) Médicaments homéopathiques

Fabriqué à partir d'une souche homéopathique

selon la pharmacopée
II) LES MEDICAMENTS A PRESCRIPTION PARTICULIERES
A) Les médicaments sans AMM (autorisation de mise sur le marché) mais avec ATU
(autorisation temporaire d'utilisation)

Apparue en 1992 permet d'attendre AMM qui peut prendre des années, surtout dans
les pathologies graves (sida, cancer)
1) ATU de cohorte





Donné un laboratoire pharmaceutique
le laboratoire s'engage à demander une AMM
pour les maladies rare et orpheline
le résultat doit être donné à l'organisme référant
durée de 1 an renouvelable
2) ATU nominatives


Donné au médecin traitant pour un médicament donné un patient donné
durée de 1 an non renouvelable
B) Les médicaments à prescription restreinte
1) Médicaments réservés à l'usage hospitalier

Délivrance par la pharmacie de l'hôpital, ordonnance hospitalière nominative avec le
nom du prescripteur et qualité (antibiotiques, antirejet, chimiothérapie)
2) Médicaments à prescription initiale hospitalière(PIH)

Traitements possibles hors de l'hôpital mais a été prescrit la première fois par l'hôpital,
le médecin traitant peut renouveler le traitement (maladie d'Alzheimer prescrit par un
gériatre, les psychiatres, les neurologues)
3) Les médicaments nécessitant une surveillance particulière durant le traitement

Surveillance biologique, radiologique, etc.
4) Les médicaments d'exception



Fondée sur la base du critère économique
extrêmement cher, indications précises
ordonnance à plusieurs volets
C) L'ordonnance
1) Définition





Document écrit, daté et signé par un praticien
la qualification du praticien doit apparaître
adresse du praticien
numéro de téléphone ou cachet du service hospitalier
date de prescription, signature











spécialités : dénomination, posologie, mode d'emploi, durée du traitement ou quantité
prescrite, éventuellement la durée du renouvellement
patient : nom, prénom, âge, sexe (possible taille et poids)
validité : 1 an, on ne peut délivrer que 1 mois de traitement d'exception pour les
contraceptifs (trois mois) ou boîtes de traitement de trois mois
durée de 1 an mais la première délivrance doit être dans les trois mois de l'ordonnance
attention : si il manque une chose, la prescription et non recevable
certains stupéfiants ne sont donnés que pour sept jours
les hypnotiques sont non renouvelables
les anxiolytiques une prescription pour 12 semaines de traitement
liste I : cadre rouge, ne peut être renouvelé que si le prescripteur la noté
liste II : renouvelée sauf si le médecin a noté non renouvelable
liste stupéfiant : non renouvelable
2) Les prescripteurs






Le médecin généraliste ou spécialiste en rapport avec sa spécialité
le chirurgien-dentiste en rapport avec sa profession
la sage-femme selon une liste spécifique
le vétérinaire en précisant l'animal
pédicure et podologue
directeur de laboratoire d'analyses de logique
D) Les substances vénéneuses
1) Classification et liste



Liste I : tête de mort sur fond orange
Liste II : une croix sur fond orange
stupéfiant : tête de mort sur fond orange
2) Réglementation concernant les étiquetages





Produits qui servent à faire des préparations magistrales ou officinales
étiqueter une préparation qui contient un produit réglementé
spécialités pharmaceutiques
étiquettes pour préparations : nom et adresse du préparateur, voie d'administration
(internes ou externes)
étiquettes spécialités : cadre rouge si liste I ou stupéfiants ; cadre vert si liste II
E) Prescription, dispensation et administration des médicaments ; champ
d'application dans les établissements de santé disposant d'une PUI (pharmacie à
usage interne)





Arrêté du 31 mars 1999, relatif à la prescription, à la dispensation et à l'administration
des médicaments soumis à la réglementation des substances vénéneuses dans les
établissements de santé disposant d'une PUI
liste des prescripteurs habilités et donne la liste aux pharmaciens (nom, qualité et
signature des personnes)
durée du traitement, unité de soins, même de téléphone du prescripteur (original
conservé dans le dossier médical est une copie à la pharmacie gardée trois ans)
prescription pour patients non hospitalisés (ordonnance protégée)
tampon d'identification











médicaments délivrés par la pharmacie sous contrôle des pharmaciens
article huit : l'infirmier doit vérifier l'identité du malade selon la prescription, et pour
les médicaments notés la dose et l'heure d'administration sur le dossier médical
les médicaments sont conditionnés sous clef dans une armoire
le pharmacien décide avec le chef de service du rangement des médicaments en
réserve d'urgence
le surveillant ou l'infirmière surveille la réserve
le pharmacien et le médecin-chef avec consultation du surveillant établisse la dotation
des médicaments
le transport des médicaments entre la pharmacie et le service sous système clos
la pharmacie peut vérifier la dotation
les médicaments doivent être contenus dans un emballage d'origine ou un réceptacle
approprié
sauf accord du prescripteur, les médicaments à l'entrée du patient sont enlevés
stupéfiant : livre d'entrée de sortie dans un coffre
o nom de l'établissement
o désignation de l'unité de soins
o dates et heures d'administration
o nom et prénom du malade
o dénomination du médicament et forme pharmaceutique
o dose administrée
o prescripteur
o administrateurs et signature (nom et prénom)
MODULE CARDIOLOGIE
Les principales familles thérapeutiques en
cardiologie
I) LES ANTICOAGULANTS
A) Héparine de bas poids moléculaires (HBPM)
B) Antivitamine K (AVK)
C) Héparine sodique
D) Héparine calcique
II) LES ANTIAGREGANTS PLAQUETTAIRES
III)
LES DIURETIQUES
A) Diurétiques hypokaliémiants
B) Diurétiques épargneurs de potassium
C) Association hypokaliémiants et épargneurs de potassium
IV) LES ANTIANGOREUX
A) Les dérivés nitrés
B) Les Béta-bloquants
C) Les inhibiteurs calciques
V) LES ANTI-ARYTHMIQUES
VI) LES INHIBITEURS DE L’ENZYME DE CONVERTION (IEC)
VII)
LES DIGITALIQUES
VIII) LES ANTI-HYPERTENSEURS
Anticoagulants
Fragmine* lovenox* fraxiparine* inohep*
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
Héparine de bas poids moléculaires (HBPM)
famille si besoin)
Anti thrombotique par l’inactivation du facteur de coagulation Xa
Mode d’action
 Horaire
Surveillance
De l’administration

Voie d’administration
Sous-cutanée
 Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Surveillance des signes en fonction des buts recherchés

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
 Résultat des examens para cliniques
Dosage activité anti Xa si traitement curatif

Signes cliniques à dépister :
Syndrome hémorragique (épistaxis, gingivorragies, hématome,
Surveillance
hématurie..) en présence de facteurs de risques associés
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
thrombocytopénie
Particularités
Précautions
Pas d’injection intramusculaire
Neutralisation par le sulfate de protamine (dose pour dose)
anticoagulant
Coumadine* sintrom* previscan* pindione*
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
Anti vitamine K
famille si besoin)
La vit K est issue de l’alimentation et fabriquée par la flore
Mode d’action
intestinale. Elle est indispensable à la fabrication par le foie de
certains facteurs de coagulation. Leur action anticoagulante lente et
prolongée est utilisée pour le traitement préventif à long terme.
Traitement au long court et relais de l’héparine
 Horaire
Délais d’action 36 à 72 heures
Prise régulière chaque jour à la même heure de préférence le soir
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Pas de phlébite

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
 Résultat des examens para cliniques
TP = 20 à 30% normalement 90 à 100% chez l’homme
INR > 2 et < 4 normalement 1
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
 Signes cliniques à dépister :
Eruptions cutanées réversibles à l’arrêt du traitement
Signes hémorragique (épistaxis, gingivorragies, hématome,
hématurie.)

signes para cliniques
Antidote = PPSB en IV ou vitamine K en IV
Ne pas associer avec aspirine et AINS
Eviter les aliments riches en vit K : céréales, brocolis, carottes,
tomates, choux, choucroute, crudités)
Porter une carte signalant le traitement AVK
Eviter les activités à risque (cuisine, bricolage, jardinage…)
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
anticoagulants
Héparine sodique
Héparine sodique
Anticoagulant d’action immédiate et prévisible. Anticoagulant
s’opposant à l’action de la thrombine sur le fibrinogène (coag +
lente)
 Horaire
 Voie d’administration
IV en SAP sur une durée max de 12 heures
Flacon de 5 ml = 25 000 UI
Flacon de 1 ml = 5 000 UI
 Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Surveillance
De l’efficacité
 Résultat des examens para cliniques
TCA = action coagulante curative 2 à 3 fois le témoin
Prélèvement sanguin effectué 4 à 6 heures après changement de
dose
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
 Signes cliniques à dépister :
Dépistage saignement (épistaxis, hématurie, gingivorragie,
hématome.)
 Signes para cliniques
Thrombopénie d’origine immuno-allergique (contrôle plaquette sur
prescription)
Pas d’IM pour un patient sous héparine
Antidote = sulfate de protamine (1mg pour 100 UI d’héparine)
Anticoagulant
Héparine calcique
Héparine calcique
. Anticoagulant s’opposant à l’action de la thrombine sur le
fibrinogène (coag + lente) action retardée
 Horaire
Activité anticoagulante apparaît en 3 heures et reste stable 3 à 5
heures pour ensuite décroitre
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Voir sous cutanée repartie sur les 24 heures
 Surveillance de la voie d’administration
Péri ombilicale ou cuisse
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
 Résultat des examens para cliniques
TCA = action coagulante curative 2 à 3 fois le témoin
Prélèvement sanguin effectué 4 à 6 heures après changement de
dose
 Signes cliniques à dépister :
Dépistage saignement (épistaxis, hématurie, gingivorragie,
hématome.)
Hématome au point d’injection voir nécrose
Formation de nodule inflammatoire

Signes para cliniques
Pas d’IM pour un patient sous héparine
Antidote = sulfate de protamine (1mg pour 100 UI d’héparine)
Antiagrégant plaquettaire
Ticlid* Aspégic* Kardégic* persantine* plavix
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
Antiagrégant plaquettaire
famille si besoin)
Ils inhibent l’agrégation des plaquettes qui est l’un des premiers
Mode d’action
stades de la formation du thrombus (hémostase primaire)
 Horaire
Surveillance
De l’administration
Effet du traitement persiste 5 à 7 jours après l’arrêt
 Voie d’administration
Voie orale et parentérale (solution injectable)
Effet inhibiteur obtenu avec de faibles doses d’aspirine

Surveillance de la voie d’administration

Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Amélioration des signes cliniques
Prévention des récidives
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Troubles gastro intestinaux
Manifestation allergique et hémorragique
Troubles hématologiques et hépatiques (Ticlid*)
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Coagulation et fonction hépatique
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Arrêt du traitement 8 jours avant un acte invasif
Nouvelles familles pour la thrombolyse (Agrastat*, Intégrilin*,
Réopro*)
diurétique
Brinaldix* fludex* burinex* lasilix*
Diurétique hypokaliémiants
Augmentent l’élimination rénale du sodium et de l’eau
Diminuent le débit cardiaque et la volémie
Action rapide, courte, puissante
 Horaire
Eviter le soir
Si IV répartition sur 24 heures
 Voie d’administration
Per os ou IV (surveillance diurèse par 3 heures)

Surveillance
De l’efficacité
Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Diminution de la surcharge hydrosodée et les signes de congestion
(œdèmes)
Diminution de l’HTA, réduction des œdèmes
Augmentation de la diurèse
Amélioration de la respiration du patient an cas d’OAP
Surveillance du poids du malade (baisse attendu)
Surveillance des entrée et sortie
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Déshydratation qui peut aboutir à une insuffisance rénale
Diurèse, entrée-sortie, signes de déshydratation
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Créatinémie, urémie risque d’hyper uricémie (crise de goutte)
Risque d’hypokaliémie (fuite de potassium) crampes, troubles du
rythme
Particularités
Précautions
diurétique
Aldactone* modamide*
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
Diurétique épargneurs de potassium
famille si besoin)
Augmentent l’élimination rénale du sodium et de l’eau
Mode d’action
Diminuent le débit cardiaque et la volémie
Action modérée, lente, progressive, prolongé plusieurs jours
 Horaire
Eviter le soir
Si IV répartition sur 24 heures
 Voie d’administration
Surveillance
Per os ou IV (surveillance diurèse par 3 heures)
De l’administration
 Surveillance de la voie d’administration
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Diminution de la surcharge hydrosodée et les signes de congestion
(œdèmes)
Diminution de l’HTA, réduction des œdèmes
Augmentation de la diurèse
Amélioration de la respiration du patient an cas d’OAP
Surveillance du poids du malade (baisse attendu)
Surveillance des entrée et sortie
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Déshydratation qui peut aboutir à une insuffisance rénale
Diurèse, entrée-sortie, signes de déshydratation
Surveillance
Des effets secondaires
 Signes para cliniques
Et/ou
Risque d’hyperkaliémie (troubles rythme) surtout en cas
indésirables
d’insuffisance rénale
Créatinémie, urémie risque d’hyper uricémie (crise de goutte)
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Diurétique
Aldactazine*
Association diurétique hypokaliémiants et épargneurs de potassium
Augmentent l’élimination rénale du sodium et de l’eau
Diminuent le débit cardiaque et la volémie
 Horaire
Eviter le soir
Si IV répartition sur 24 heures
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Per os ou IV (surveillance diurèse par 3 heures)

Surveillance
De l’efficacité
Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Diminution de la surcharge hydrosodée et les signes de congestion
(œdèmes)
Diminution de l’HTA, réduction des œdèmes
Augmentation de la diurèse
Amélioration de la respiration du patient an cas d’OAP
Surveillance du poids du malade (baisse attendu)
Surveillance des entrée et sortie
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Surveillance
Déshydratation qui peut aboutir à une insuffisance rénale
Des effets secondaires
Diurèse, entrée-sortie, signes de déshydratation
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Créatinémie, urémie risque d’hyper uricémie (crise de goutte)
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Les antiangoreux
Risordan* Risordan LP* lénitral* nastispray* nitriderm*
cordipatch* disorlon* langoran LP* monicor*
Formes sublingual : Risordan* trinitrine*
Sprays : isocard* lénitral* natispray*
Dérivés nitrés
Vasodilatateur artériel (à forte dose) et veineux et anti spastique
coronarien. Vasodilatation des coronaires. Ils réduisent également
la consommation en O² en diminuant la pré-charge (pression de
remplissage du VG)
 Horaire
 Voie d’administration
Formes sub linguales : comprimés à croquer et garder sous la
langue, action rapide et brève
Per cutané : nettoyer la peau, dépiler si nécessaire, appliquer le
patch, retirer l’ancien, changer la localisation tous les jours
Per-os : action prolongée, maladie angineuse
Voie veineuse : pour formes sévères
 Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Amélioration signes cliniques
Surveillance
De l’efficacité
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions


Signes cliniques de l’amélioration de l’état général
Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Céphalées, bouffées de chaleur, vasodilatation cutanée (érythème)
Hypotension artérielle chez la personne âgée
Troubles digestifs (nausées, vomissement,…)

Signes para cliniques
Mauvaise tolérance : corvasal* changer de molécule
Education pour l’utilisation des formes particulières
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Antiangoreux
Avlocardyl* sectral* tenormine* detensiel* seloken* soprol*
kerlone* celectol* corgard* trandate*
Béta-bloquants
Antagoniste du système sympathique
Inotrope négatif : diminue la force contractile du myocarde
Chronotrope négatif : ralentissement de la fréquence cardiaque
Les besoins en O² du cœur baissent dans le cas d’angor
Dromotrope négatif : ralentissement de la conduction auriculoventriculaire
 Horaire
 Voie d’administration
Per-os ou IV

Surveillance
De l’efficacité
Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Signes d’amélioration des signes cliniques
 Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Asthénie en début de traitement
Syndrome de Raynaud
Insomnie, cauchemar
Risque de BAV, de bradycardie sévère, chute TA, Insuf cardiaque,
Surveillance
Des effets secondaires de crise d’asthme, impuissance chez l’homme, baisse pouls, baisse
TA, dépister les gènes respiratoire, et les signes d’hypoglycémie
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
hypoglycémie
Particularités
Précautions
Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez l’angoreux
(risque d’infarctus, de troubles du rythme et mort subite) et dans
l’hypertension artérielle
Ne pas administrer si bradycardie < 50 battement/min
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Antiangoreux
Adalate* loxen* amlor* nidrel* tildiem* isoptine*
Inhibiteur calciques
Empêchent l’entrée de Ca++ ou sa libération dans les fibres
myocardiques et les fibres lisses des parois vasculaires
Diminuent la contractilité myocardique
S’oppose au spasme artériel, crée une vasodilatation artérielle
entrainant une baisse de la TA et baisse de la post charge et donc la
consommation en O² par vasodilatation artérielle
 Horaire
 Voie d’administration
Voie per-os ou IV en SAP

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Amélioration des signes cliniques
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Rush cutané, œdème des membres inférieurs
Céphalée, bouffée vasomotrice
Surveillance
Des effets secondaires Hypotension orthostatique
Bradycardie (isopotine* tildiem*)
Et/ou
indésirables
 Signes para cliniques
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance du pouls et TA en début de traitement
Anti angoreux
Cordarone
Anti-arythmique
S’oppose aux effets adrénergiques du système sympathique sur les
récepteurs alpha et béta, elle produit une bradycardie sinusale
modérée au repos avec limitation de la tachycardie à l’effort
Vasodilatation coronaire et diminution des résistances
périphériques avec pour résultat l’augmentation du flux sanguin
coronaire et une réduction de la consommation en O²
Propriété anti angineuse
 Horaire
Surveillance
De l’administration
 Voie d’administration
Voie per-os et IV
 Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Amélioration des signes cliniques

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques à dépister :
Impose d’arrêt du traitement
Photosensibilisation (exposition au soleil déconseillé)
Dépôts cornéens se constituent avec parfois perception de halos
Surveillance
Des effets secondaires colorés (jaune) disparaissent à l’arrêt du traitement
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Hyper ou hypothyroïdies (car iode dans la molécule)
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Anti- arythmique
Langacor* sérécor* rythmodan* rythmol* flécaine* cordarone*
xylocaïne*
Anti-arythmique
Traitement préventif et curatif des troubles du rythme, modifient les
propriétés éléctrophysiologique des cellules myocardiques
 Horaire
 Voie d’administration
Per-os ou IV

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Régularisation du rythme

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
De l’efficacité
 Signes cliniques à dépister :
Céphalées, bourdonnement d’oreille, douleurs abdominales,
vomissements
Aggravation du trouble du rythme
Surveillance
Des effets secondaires Baisse de la fréquence cardiaque
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Vérification de la kaliémie (pas administration si <3,5 meq/l)
Dérivés xylocaïne utilisés pour les extrasystoles ventriculaires
entrainant des syndromes confusionnel chez la personne âgée
(nervosité, agitation, tremblements…)
Inhibiteur de l’enzyme de convertion
Lopril* captolane* coversyl* renitec* triatec* zestril*
Inhibiteur de l’enzyme de convertion
Bloquent le système rénine angiotensine 1 et 2 (qui est une
hormone vasoconstrictive et qui déclenche la sécrétion
d’aldostérone) et aboutit donc à une baisse de la résistance
systémique (levée de la vasoconstriction) et baisse de la rétention
hydrosodée par baisse de sécrétion aldostérone
 Horaire
 Voie d’administration
Per-os

Surveillance
De l’efficacité
Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
En fonction de l’indication, surveiller si amélioration de l’état du
patient

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
 Signes cliniques à dépister :
Toux quinteuse gênante, œdème de face, manifestation cutanée
Agueusie, perturbation de la fonction sexuelle
Altération de la fonction rénale en cas de sténose rénale
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
 Signes para cliniques
indésirables
neutropénie
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
Surveillance bio : fonction rénale (urée, créat)
Iono (hyperkaliémiant), NFS
TA à surveiller
Attention si association avec des diurétiques et surtout les
épargneurs calciques
digitaliques
Digoxine nativelle* digitaline nativelle* cedilanide*
Digitaliques
Tonicardiaque, régularise (Bathmotrope +), renforce contractibilité
myocardique (Inotrope +) ralenti la fréquence cardiaque
(Chronotrope -) règle des 3 R
Le myocarde se renforce et de ralenti, le débit cardiaque s’améliore
Traitement d’urgence pour les troubles du rythme auriculaire et
Insuf cardiaque aigue
 Horaire
 Voie d’administration
IV lente

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
Amélioration signes pathologie
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Dosage Digoxinémie ou digitoxinémie
Surveillance
Des effets secondaires
Et/ou
indésirables
Particularités
Précautions
Nom de spécialité*
D.C.I + noter si stupéfiants
Classe (groupe ou
famille si besoin)
Mode d’action
Surveillance
De l’administration
 Signes cliniques à dépister :
Liés surdosage : troubles digestifs (nausées, vomissement, diarrhée)
Allergie, trouble de la vision des couleurs

Signes para cliniques
Digoxine éliminé par le rein (attention Insuf rénale)
Digitaline éliminé par le foie (attention Insuf hépatique)
Pas de calcium IV chez patient sous digitaliques car le calcium
augmente l’action
Vérifier la kaliémie (arrêt traitement si < 3,5 meq/l)
Antihypertenseurs
Centraux : catapressan* hypérium* aldomet*
Vasodilatateurs : eupressyl* alpress*
Antihypertenseurs
Entrainent baisse du tonus sympathique par le biais d’une action au
niveau du SNC, ils ne s’opposent pas à l’activité du Baro-reflexe
 Horaire

Voie d’administration

Surveillance de la voie d’administration
 Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie
TA (au repos et avant le traitement)
Signes d’amélioration
Surveillance
De l’efficacité

Signes cliniques de l’amélioration de l’état général

Résultat des examens para cliniques
Surveillance
 Signes cliniques à dépister :
Des effets secondaires Somnolence, sécheresse de bouche, troubles digestifs, hypotension
Et/ou
orthostatique
indésirables

Particularités
Précautions
Signes para cliniques
Possibilité de prendre aussi pour baisser la tension : diurétique,
Béta-bloquants, inhibiteurs calciques, inhibiteurs de l’enzyme de
conversion
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