Miller Reid Miller Professeur Malary Français 10 19 Novembre 2011

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Reid Miller
Professeur Malary
Français 10
19 Novembre 2011
Le Temps
Pourtant les hommes peut d’avoir le pouvoir sur nombreuses forces dans le monde, le
passage du temps est une chose qui échappe leur prise. Même avec toute la sagesse, ou
toute la force, ou toute la richesse sur la terre, on ne peut pas arrêter les temps. Le temps
peut passer rapidement ou il peut passer lentement, mais il ne cesse jamais de continuer.
Malheureusement, il y a toujours un petit percentage d’homme qui tente de prolonger
l’inévitable avec le chirurgie esthétique, les medicaments, ou les autres choses grotesque.
Dans les mots de Jacques Brel, “…Ces gens-là/on n’vit pas…/ on triche”. Les gens
comme eux, ils passent tout leur temps dans une vaine tentative à devenir un “bon
vivant”, mais en fait ils méconnaîssent la point de cette phrase completement. Plutôt que
sortir un endroit en temps, il faut comprendre cet endroit en temps, et les tâches
intrinsèquement liée à cet endroit aussi. Et avec cet fait, il est très necessaire que tout le
monde comprenne la nature éphémère d’un rôle comme ça. Dans les paragraphs suivants,
ce rôle et cette nature sera inspecter en guise d’une histoire et un poème du texte.
La première œuvre littéraire qu’on peux voir un homme qui lutte avec son sort
dans la société est le vieux bramin dans le “Histoire d’un bramin” de Voltaire1. En debut,
les pensées du bramin sont si embrouillé qu’il dit “…‘je voudrais n’être jamais né’”(288).
C’est indubitablement le moyen plus facile pour le bramin d’echapper les constraints de
la société, et c’est la piège pour beaucoup des autres dans son classe aussi. Aucun de
François Marie Arouet de Voltaire, “Histoire d’un bramin”, Panaché Littéraire,
Mary J. Baker, Jean-Pierre Cauvin (Boston: Heinle, 1995) 287-9.
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personne demande à être née, et ce n’est pas leur choix pas du tout. Alors, il est cruciale
que chacun personne trouve leur proper chemin, parce-que c’est une chose complètment
sous le contrôle. Le bramin enseigne les autres de la philosophie pour quarante ans, mais
toute le temps il ne comprend pas sa essence. Il est toujours préoccupé avec l’enterprise
d’echappe en utilisant la philosophie, quand il peut utiliser ces idées pour se libérer. À la
fin, il comprend sûrement que c’est plus productif de vivre la vie pas de la perspective
individuel, mais plutôt de la perspective holistique. Beaucoup comme le Candide, le
bramin vient de sasir que “tout est le mieux du monde”(288), même il ne paraît pas
toujours. On a son coin dans l’univers et le temps, et la peine vient avec l’essai de sortir
cet endroit. C’est la message du bramin.
Avec la conaissance d’un rôle, il est très important aussi qu’on sache qu’il ne
durera pas éternellement, et qu’il est aussi le sujet du change. C’est le cas spécialement
dans le poème “Le Pont Mirabeau” de Guillaume Apollinaire2 où, “L’amour s’en va
comme cette eau courante/ L’amour s’en va/ Comme la vie est lente/ Et comme
l’Espérance est violente…” (13-16). Comme la belle Seine, la vie coule en permanence,
sans regard pour l’individuel. L’amour est peut-être le plus grand example de ce
permanence, parce qu’elle a toujours l’implication de l’espoir. Fâcheusement, comme dit
par Apollinaire, l’espoir n’est jamais un chose sûr. La fortune peut apporter la guerre, la
peste, ou les autres types de destruction, et soudain, l’amour est perdu. L’amour est
perdu, mais la rivière coule sans cesse. Elle coule comme toujours, avant l’amour,
pendant l’amour, et après l’amour, sans le sympathie ou de notification à l’amoureux
Guillaume Apollinaire, “Le Pont Mirabeau”, Panaché Littèraire, Mary J. Baker, JeanPierre Cauvin (Boston: Heinle, 1995) 302-3.
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éconduit. On peux avoir l’ésperance, mais avec cet espoir, il faut réaliser qu’on est
seulement une partie d’un ensemble plus grand, et toutes les choses sont éphémères.
Finalement, une personne est pas plus qu’un petit bateau flottant sur un grand
fleuve. On peut avoir un aube, mais c’est vraiment l’eau qui décide la destination du
voyage. Aucun homme a trouvé comment de changer le cours de ce courant, et ce n’est
pas plausible jamais être découverts. C’est une force naturelle et inévitable, et l’homme
est simplement un petit instrument d’une grande expérience: cette expérience est appelé
la vie, et elle est un travail en cours.
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