Préparation de la dictée : « Au bord du cratère » 1. Comment appelle-t-on le chercheur qui étudie les volcans ? ……………………………………… 2. Observe les mots et cherche quatre autres mots formés de la même façon : accident - accueil - accessoire - accorder - accomplir – accablant - …………………..- …………………….…………………..- ……………………. . 3. Donne un synonyme de suffoquer. Trouve deux mots de la même famille. Synonyme : ………………………….. ; même famille que suffoquer : ……………………………………………… 4. Complète les phrases avec leur (devant un verbe ou un nom singulier) ou leurs (devant un nom pluriel). Nous ………. rendons ………. livres. Les touristes se sont perdus ; je ………. indique la bonne direction. Prête- ………. ta paire de jumelles. Je ………. demande des nouvelles de ………. mère. 5. Mets les mots au pluriel : un creux : des ……………….. - un nez : des ……………….. - un radis : des ……………….. - une croix : des ……………….. 6. Observe bien l'orthographe des mots : le gouffre - l'atmosphère - asphyxiant - l’abîme et copie-les 5 fois : ………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………… 7. Recopie les phrases en conjuguant les verbes au présent de l'indicatif. Je les (forcer) à écouter. ……………………………………………………………………………………………… Tu les (donner) à ta mère. …………………………………………………………………………………………… Elles la (rendre) à son propriétaire. …………………………………………………………………………………… 8. Conjugue les verbes au présent de l'indicatif : rire - étudier - conduire. rire : Je ………………, tu ………………., il ………………., nous ………………., vous ………………., ils ……………….. étudier : J’ ………………., tu ………………., il ………………., nous ………………., vous ………………., ils ……………….. conduire : Je ………………., tu ………………., il ………………., nous ………………., vous ………………., ils ……………….. dictée : Au bord du cratère. Les trois vulcanologues observent avec émotion le gouffre fumant à leurs pieds. Ils entament la descente et au bout d’une heure se retrouvent sur une plate-forme où ils installent leur camp. Plus bas, le spectacle est grandiose : un lac de lave à la surface élastique se lève, s’abaisse et parfois se déchire. L’atmosphère est chargée de gaz et la chaleur suffocante les obligent à reculer. Il leur faut respirer de l’air moins asphyxiant. Le sol vibre sous leurs pieds et leur interdit d’accéder au bord de l’abîme. Ils devront attendre une accalmie.