Les normes IFRS Le point de vue des utilisateurs des états financiers . Introduction : quelles est la spécificité des financiers Ique recherche les financiers dans les rapports annuels IIles IFRS : un rêve ancien qui devient une réalité IIIles IFRS : des évolution a un plus long temps qui devient inquiétant I- que recherche les financiers dans les rapports annuels Un financier s’intéresse à la valeur ….pour prendre position : acheter ou vendre c’est donc fondamentalement un marchand….dans la réalité ou dans l’état d’esprit La valeur est une synthèse entre : - La rentabilité attendu de l’investissement et au flux qu’il va ( peut-être ) générer dans le futur . - Le risque lié à l’incertitude pesant sur les flux futur Le temps est donc une dimension fondamentale pour un financier car il est porteur d’opportunité ( la rentabilité )et ( d’aléas) (le risque) Le financier est donc - soit un investisseur qui cherche à valoriser au mieux les fond investis, - soit un préteur qui cherche à déterminer la capacité qu’aura son client à rembourser l’emprunt consentis entre ces deux approche l’espérance de la rentabilité et le niveau du risque sont structurellement différents, mais le raisonnement sont fondamentalement le même . L’actionnaire et le prêteur se trouvent autour du tableau des flux trésorerie/plans d’affaire qui mesurent la capacité d’entreprise : - A rembourser sa dette - A rémunérer ses capitaux propres - A créer de l valeur Les deux approches convergent vers le même objectifs : - Apprécier la récurrence des résultat et le niveau de risque - Distinguer les flux de trésorerie des écritures comptables - Comprendre la capacité de l’entreprise à générer des flux de trésorerie - Déterminer le vrai niveau d’endettement - Apprécier la rentabilité Un financier ne peut pas être dans son domaine s’il ne maîtrise pas d’abord correctement la comptabilité. II- Que cherche les financiers dans les rapports annuels Les premiers réflexe vitaux : Comprendre l’activité - lire le rapport des commissaire aux comptes/auditeurs ( en particuliers les éventuelles réserves ou observations) - lire les principes comptables - * quel sont les principes comptables adoptés - * quel sont les changements du principe comptable - * quel traitement du stocks, des provisions.. on pourra alors lire les documents comptables proprement dite : compte de résultat, tableaux des flux, bilan, notes, annexes apprécier la récurrence des résultat - retraitement de l’exceptionnel participation des salariés - volatilité de résultat d’exploitation aussi retraité - volatilité du flux de trésorerie disponible - appréciation du risque - avec comme objectif de pouvoir faire des prévisions distinguer les flux de trésorerie des simples écritures comptables - provisions, amortissement - mais aussi le profits de dilution et plus value lors apports d’actif. Comprendre la capacité d’entreprise à appréhender les flux de trésorerie - repose sur l’analyse de consolidation et des méthodes de consolidation déterminer le vrai niveau d’endettement - dette dans des filiale non consolidé - opération de fin d’exercice des BFR - analyse des provision pour risques et charges apprécier la rentabilité - la rentabilité économique est le point d’orgue de l’analyse financière. II- IFRS un rêve ancien qui devient une réalité que faut il en attendre ? - une comptabilité est souvent accru qui facilité les évaluations - permettant une baisse du coût de capital pour les entreprises - et une simplification de travail des analyse des comptes. Les évolutions récentes ont déjà permis de grande progrès - avec la généralisation et la modernisation des comptes consolidés les traitements classiques que nous avons appris ne sont plus d’actualité ( créditbail, effet escompté..) car intégré dans les comptes. - Les comptes sont disponible de plus en plus rapide et l’analyse financière est de mois en mois en retard sur la réalité économique. Quelque suggestion d’amélioration à courte terme - boucler le tableau des flux de trésorerie sur la variation de l’endettement bancaire et financier net plutôt que sur la trésorerie - la trésorerie est un concept de liquidité qui est un « Bâtard » dans un tableau de flux et sur la définition de la quelle il n’y a pas de consensus - permet de rendre intelligible la dernière partie du tableau des flux : financement par capitaux propre / financement par dettes. - Avoir le détail de certain passage dans le tableau des flux - Présenter le compte résultat en ligne - Rattaché la participation des salariés au frais de personnel devrait allé de soi si le stock-option sont traités comme de frais personnel - Mieux distingué dans le bilan les dettes financières, les dettes d’exploitation et les dettes hors exploitation - A terme réfléchi le bilan se présente en 5 blocs Immobilisations Besoin de fond de roulement d’exploitation BFR hors exploitation Capitaux propres Endettement bancaire et financière net III- IFRS : les évolution à plus long terme plus inquiétantes - des financiers ne sont pas demandeurs : - de la généralisation de juste valeur -* les financiers n’ont jamais attendu ni demandé que le bilan traduise la valeur de l’entreprise .il doit permettre au contraire de mesurer avec rigueur des rentabilités ce qui nécessite des valeur historiques d’autant que d’inflation qui les rendais dénué d’intérêt n’est plus au sujet. * de surcroît une juste valeur calculé au 31/12/n et connue/ exploitable au mieux en février n+1 n’a plus d’intérêt - de la primauté du bilan sur le compte résultat - * les conséquences sont pour l’instant assez floues mais en priori inquiétantes car pour un financier s’il doit avoir primauté c’est du compte résultat ou du tableau des flux mais du bilan qui ne permet pas de prévoir l’exploitation de l’entreprise. Exemple : L’entreprise aurait l’obligation de cesser l’amortissement d’une immobilisation dès lors que la valeur vénale de cette immobilisation deviendra supérieure à sa valeur comptable nette et ce même si cette immobilisation doit être cédée dans un an et remplacé par une nouvelle qui devra naturellement être amortis Critique conséquence dans le compte résultat en effet une année sans dotation aux amortissement est donc une hausse totalement artificielle et temporaire du résultat d’exploitation compensée l’année suivante par un résultat exceptionnelle sur cession de l’immobilisation plus faible, ou est la bonne information financière ? Conclusion - un passé récent et un présent enthousiasme : un seul référentiel comptable mondiale semble être possible au 2010 - * travail simplifie pour les utilisateur des états financiers - * probable baisse du coût du capital pour les entreprises - mais une inquiétude nourrie par le dogmatisme peut par fois de manière surprenante faire preuve . - le force de la comptabilité est sa simplicité, son caractère naturel et plein de bon sens qui fait qu’un bilan, compte résultat, tableau de flux peuvent être lus et compris par un très grand nombre de citoyens, la comptabilité n’est pas réservé à une seule élite . - les projets actuels dont certain ont déjà commencé à être mise en œuvre vont dans le sens d’une complexification accrue porteuse de deux risques majeurs - * rendre la comptabilité ésotérique pour plus de grand nombre renforçant le discrédit qui pèse actuellement sur elle de façon assez injuste, à cause des scandales dont la portée médiatique n’a rien avoir avec le caractère statistiquement très réduit. Il y aura toujours des escrocs dans ce bas monde. Demander à la comptabilité de tous les mettre en échec est chimérique. - * développer une comptabilité parallèle destinée aux besoin de ses utilisateur et qui réponde aux principes de la bonne informations financière un peu à l’instar du développement des langues nationales face aux latin à partir du III ème siècle de nore ère - ces risques ne sont pas théoriques, ils sont bien réels.